Cambriolage (histoire d'Anne)

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Bouya2

Cambriolage (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voilà une autre histoire d'Anne. Bonne lecture !

Cambriolage - 2009/03/07

Voilà, je suis prête !
Le collègue qui va passer me prendre aura une surprise car j'ai choisi d'être très sexy pour cette soirée. Pour une fois, j'ai laissé au vestiaire mes tenues hyper mini. J'ai choisi une robe arrivant sous le genou. C'est un modèle sans manches fait d'un tissu noir satiné et légèrement élastique ce qui la rend très moulante. Son décolleté carré est particulièrement vertigineux et elle est légèrement plissée dans le bas. De plus, des motifs dorés ornent le tour du décolleté et d'autres créent l'illusion de multiples volants.
J'ai chaussé une paire de fines bottes de cuir noir arrivant sous le genou. Leurs talons aiguilles sont très hauts et me donnent une démarche particulièrement accrocheuse pour les regards masculins. Pour compléter, je porte de longs gants d'opéra noirs arrivant au-dessus des coudes. Sous cette robe, bien que personne ne soit supposé le vérifier, je porte des bas résille, porte jarretelles et bikini en le même matériau que la robe dirait-on. Enfin, je dis bikini mais c'est exagéré car je ne porte pas de soutien-gorge. Avec cette robe, je préfère cela. De plus, mes seins sont naturellement fermes et la robe les met fort bien en valeur.
C'est une sensation difficile à exprimer que de se promener avec ce genre de sous-vêtements et une robe plus habillée. C'est comme si je me promenais complètement nue. Tiens, j'ajoute ce collier à brillants du plus bel effet. Un coup d'œil dans le miroir. Je me regarde en jouant avec les pis de la robe. Je secoue la tête et regarde le jeu de mes longues boucles blondes. Je regarde l'heure. Il ne devrait plus tarder à présent.
J'ouvre la boîte qui se trouve sur le lit et en regarde pensivement le contenu. De nombreuses cordes de longueur variées soigneusement rangées et trois bâillons-boule de diamètres variés. Le gros est réellement très impressionnant avec sa balle de latex blanc de deux pouces de diamètre. Ce n'est pas pour toutes les bouches. Une partie de mon matériel de jeu, que j'utilise pour ligoter un mec. C'est là depuis ce matin et je n'ai pas pris le temps de le ranger. Je vide le contenu de la boîte sur le lit.
La sonnerie du téléphone retentit. Je cours au salon et je reconnais la voix de mon collègue.
- Anne ? J'ai eu un contretemps avec la voiture. J'aurai probablement une heure de retard.
- Une heure ? Mais je suis déjà prête à partir.
- Excuse-moi, mais je n'y peux rien. De toute façon tu auras une surprise.
- Toi aussi quand tu verras ma tenue. Tu ne m'as jamais vue comme cela.
J'entends frapper à la porte.
- Oh, je dois te laisser, il y a quelqu'un à la porte ! Bisouuuus.
- Bisous. On tambourine à nouveau. Ce doit être la voisine car il aurait fallu sonner pour entrer de l'extérieur. Je me précipite et ouvre la porte en souriant, m'attendant à voir le visage de Catherine.
Au lieu de ça, je suis brusquement poussée à l'intérieur par deux types cagoulés en tenue de motard. L'un d'eux m'a déjà attrapée, tient fermement mes bras derrière mon dos et sa main gantée se plaque rudement sur ma bouche avant que j'aie pu pousser le moindre cri. L'autre a déjà fermé la porte.
- Regarde si elle est seule.
Je me débats et me tortille en tout sens. Mon agresseur resserre son étreinte et m'emmène vers le salon pendant que son complice inspecte rapidement les autres pièces. J'essaie de mordre et de donner des coups de pieds mais il me tient trop bien
- La vache ! S'exclame celui qui me maintient en voyant revenir son complice. Elle est combative mais tu as vu comme elle est souple, cette nana ?
Il avait constaté qu'en me tenant de plus en plus fermement mes bras s'étaient rapprochés au point que mes coudes se touchaient !
- Ça tombe bien. J'ai justement trouvé de quoi calmer la demoiselle sur le lit, à côté.
Il exhibait une corde dans une main et tenait le gros bâillon par la sangle de l'autre.
- On est tombé sur une fille à fantasmes en plus !
Il est parvenu non sans mal à m'enfoncer l'énorme balle dans la bouche. Le diamètre est tel que ma bouche est ouverte au maximum. Il tend la sangle de cuir et la serre graduellement tout en poussant la balle aussi profondément que possible. C'est tendu à un point tel que la balle obstrue ma bouche de manière quasi rigide et hermétique. Je ne peux plus que pousser de petits gloussements étouffés en me tortillant.
- C'est qu'elle est bien roulée en plus ! Je me demande ce qu'elle peut bien porter là-dessous.
Il tend la main et commence à retrousser ma robe. Son petit sifflement admiratif a été interrompu par mon coup de pied. Je crois qu'il a eu mal.
- Ouh ! La garce ! Tiens la bien.
J'ai été littéralement extraite de ma robe en un instant. Pendant qu'il jetait la robe sur le fauteuil voisin, j'entendis celui qui me tenait commenter :
- J'aurais parié qu'il n'y avait pas de soutif. Joli ! C'est au moins du 90C, ça !
Intérieurement je corrigeai : c'est du "D".
- Puisque tu veux lutter, on va t'attacher bien serré. Oh oui, elle va être servie !
Avec mes seins nus, gants, bottes, porte jarretelles et slip noirs, j'ai plutôt l'air d'une hôtesse de salon SM.
Ils m'ont saucissonnée vraiment très étroitement avec beaucoup de corde. Mes jambes ont été attachées aux chevilles, au-dessus et au-dessous des genoux ainsi qu'au haut des cuisses. A chaque fois, la corde formait une bande de cinq centimètres de large et il la sécurisait en l'enroulant quelques fois autour du lien, en passant entre mes jambes. Chaque passage entre mes jambes me faisait évidemment remuer et glousser de plus belle quand il plaçait le lien du haut de mes cuisses. Il prenait un plaisir manifeste à caresser mon entrejambes à chaque passage.
Chaque lien était méticuleusement tendu et terminé par un nœud extraordinairement serré. Pour les bras, c'était à peu près pareil. Des cordes ont été placées aux poignets, au-dessus et au-dessous des coudes de manière qu'ils soient strictement joints ! Je ne pouvais pas voir ces cordes mais je suppose que cela formait également des bandes de cinq centimètres. Elles étaient sécurisées de la même manière que celles des jambes. Mais en plus, ils ont fait un harnais autour de mes épaules avec une corde passant derrière mon cou, dont ils se sont servis pour accrocher le lien fixant mes bras au-dessus des coudes. Cette corde ne pouvait donc absolument plus bouger.
Je ressemblais à un véritable petit saucisson, mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont attaché les bras au torse avec une longue corde passant alternativement au-dessus et au-dessous des seins. Chaque tour de corde comprimait davantage mes seins et les faisait se relever. Je constatai avec horreur que leurs pointes étaient dressées d'une manière qui trahissait mon exceptionnelle excitation. Eux aussi l'avaient noté.
Une autre corde fixait mes poignets à la taille en formant une sorte de ceinture bien serrée. Je n'étais plus maintenue à présent. L'un des types a attaché une nouvelle corde autour de mon torse, mais qui séparait mes seins, se croisant plusieurs fois entre eux.
Je bavais abondamment. Derrière celui qui s'occupait de ma poitrine, je voyais l'autre faire des nœuds dans une double corde. Il est ensuite venu me la placer entre les jambes de manière qu'un gros nœud presse très exactement sur mon sexe. Il l'a fixée devant et derrière à ma ceinture de corde et a tendu ce lien diabolique de plus en plus fort, me faisant sautiller et souffler dans mon bâillon. Je pense qu'il a tiré de moi à peu près toutes les sonorités imaginables durant la pose de cette dernière corde.
A ce stade, j'étais debout au milieu du salon, avec les fauteuils à deux mètres de moi et entourée de deux types. Je ne pouvais réellement plus remuer du tout, à part secouer la tête ou remuer les doigts. Les liens autour des genoux étaient si serrés qu'il m'était impossible de plier un tant soit peu les jambes. Sauter était tout aussi impossible à cause de la position où me contraignaient les talons particulièrement hauts de mes bottes. De plus, les secousses durant les sauts m'auraient rapidement dissuadée tant à cause du ligotage de mes seins que du nœud qui cherchait à pénétrer mon sexe.
- Là, elle est devenue la douceur même.
- C'est remarquable d'efficacité, ce bâillon ! Dit celui qui me fait face en posant une main sur chacun de mes seins et en flattant leurs pointes du bout des pouces.
J'ai poussé une exclamation gutturale très étouffée en penchant la tête comme pour le mordre mais, et bien que je ne sois plus maintenue par personne, j'étais forcée de rester immobile et silencieuse, debout devant lui, et de le regarder passivement me peloter. Il a fait cela une minute puis ils se sont totalement désintéressés de moi et m'ont plantée là, debout au milieu de la pièce, pour explorer rapidement tout l'appartement et y trouver ce qui pouvait être intéressant.
Quelques minutes plus tard, ils allaient partir. L'un d'eux est venu devant moi, ramasser son sac.
- On te laisse ton collier. Mais tu devras te débrouiller seule pour te libérer, ma jolie. C'est comme cela qu'on traite les nanas agressives comme toi. Puis ils sont partis et je me suis trouvée seule, plantée comme un piquet dans un équilibre précaire.
Tout cela avait pris pas mal de temps et mon collègue est arrivé quelques minutes plus tard. Il a frappé à la porte. Comme il n'y avait pas de réponse, il a frappé plus fort, puis s'est aperçu que la porte était ouverte et est entré. Il m'a appelée puis s'est avancé dans l'appartement.
Il est resté sans voix, l'œil rond quand il s'est trouvé en face de moi. Après quelques secondes de flottement, il a fini par s'exclamer :
- Ça, c'est effectivement une vraie surprise ! C'est sûr que je ne t'avais jamais vue comme cela !!

sam22

Re: Cambriolage (histoire d'Anne)

Message par sam22 »

Un début prometteur, j'aime ça!

rocame
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Ce que j'adore : Les histoires de bondage !
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Re: Cambriolage (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Tenue super sexy, ligotage parfait, tout y est !

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