Délicieusement tourmentée
Publié : 08 juil. 2014, 13:26
Bonjour à toutes et à tous, après quelques mois sans écrire je viens vous livrer une petite nouvelle. Bonne lecture.
Chaque pas était pour elle un véritable supplice. Déguisée en soubrette sexy pour la circonstance, la jeune femme arpentait les différentes pièces de sa maison munie d'un seau et d'une brosse à pavé. Une heure qu'Il était parti et elle ne tenait déjà plus. Les sensations étaient si fortes, si intenses... Impossible de s'y soustraire, impossible de s'en défaire...
Maudite ceinture !
Bouclée, verrouillée, cadenassée, la jolie rousse était forcée à la soumission la plus totale. Elle n'avait plus aucune prise sur son sexe... Et encore moins sur les deux godes qui pénétraient ses orifices, dévoyant de toute leur emprise l'idée même de chasteté.
C'était trop !
Trop de désir, trop de plaisir. Un désir duquel elle ne pouvait s'échapper. Un plaisir auquel elle ne pouvait s'abandonner. La bande de métal qui recouvrait son clitoris était bien ajustée, impossible d'y glisser le moindre petit doigt pour soulager, ne serait-ce qu'instant, ce tourment aussi douloureux que délicieux.
Deux heures s'étaient maintenant écoulées depuis son départ.
Le salaud !
D'habitude si prompte, Il semblait prendre son temps pour les courses... tout son temps... Et le fait de recevoir des invités n'était guère une excuse valable pour la faire languir dans cet état.
Et pourtant...
C'était si bon. Un mélange de frustration et d'excitation comme elle en raffolait. Prisonnière de ce carcan de métal, elle ne pouvait qu'attendre Son retour, et rester d'ici-là, soumise à tous Ses caprices... au point d'en souffrir.
Mais, ce n'était pas tant la douleur physique qui la dérangeait. Bien évidemment le port de la ceinture et de ses deux embouts était très contraignant. Suffisamment d'ailleurs pour qu'elle ne puisse pas s'assoir sans cambrer son dos de tout son long. De même que chaque mouvement, aussi doux soit-il, venait ô combien lui rappeler sa soumission.
Non, ce qui la dérangeait au plus haut point, c'était d'avoir à portée de main, le moyen de mettre fin à son supplice.
La tentation !
Une clé. Une simple et toute petite clé, posée là, devant elle, sur la petite table du salon. Comparée à la ceinture et aux deux godes, elle était de loin la pire des tortures. Car, enfermée à l'intérieur d'une enveloppe scellée par Ses soins, elle demeurait hors de portée.
Si proche et pourtant si loin...
Une mesure de sécurité aussi louable... qu'insupportable. Elle n'avait qu'à déchirer l'enveloppe pour s'emparer de la clé et déverrouiller le cadenas de sa ceinture. En moins d'une minute elle serait libre. Libre d'ôter ces deux objets de malheur qui tourmentent ses entrailles et obnubilent son esprit... Mais alors Il saurait. Il saurait qu'elle aurait triché, qu'elle aurait rompu sa promesse et trahi Sa confiance. Elle ne serait plus une bonne soumise... Tout cela pour n'avoir pas eu la patience d'attendre sagement Son retour.
Bientôt trois heures et Il n'était toujours pas rentré. Le ménage était fait, la table mise... même sa robe était choisie. Elle n'en pouvait plus d'attendre la délivrance, et ce n'était pas la douche froide qu'elle venait de prendre qui la soulagerait bien longtemps de ses ardeurs.
La tentation !
Elle était si forte, terriblement forte, bien plus forte que le désir qui dévorait ses entrailles. Minute après minute, seconde après seconde, elle menaçait chaque fois davantage d'y succomber.
Mais alors Il saurait.
Maudite ceinture !
Maudite clé !
Maudit soit-IL !
Mais diable que tout ceci est terriblement excitant !
Chaque pas était pour elle un véritable supplice. Déguisée en soubrette sexy pour la circonstance, la jeune femme arpentait les différentes pièces de sa maison munie d'un seau et d'une brosse à pavé. Une heure qu'Il était parti et elle ne tenait déjà plus. Les sensations étaient si fortes, si intenses... Impossible de s'y soustraire, impossible de s'en défaire...
Maudite ceinture !
Bouclée, verrouillée, cadenassée, la jolie rousse était forcée à la soumission la plus totale. Elle n'avait plus aucune prise sur son sexe... Et encore moins sur les deux godes qui pénétraient ses orifices, dévoyant de toute leur emprise l'idée même de chasteté.
C'était trop !
Trop de désir, trop de plaisir. Un désir duquel elle ne pouvait s'échapper. Un plaisir auquel elle ne pouvait s'abandonner. La bande de métal qui recouvrait son clitoris était bien ajustée, impossible d'y glisser le moindre petit doigt pour soulager, ne serait-ce qu'instant, ce tourment aussi douloureux que délicieux.
Deux heures s'étaient maintenant écoulées depuis son départ.
Le salaud !
D'habitude si prompte, Il semblait prendre son temps pour les courses... tout son temps... Et le fait de recevoir des invités n'était guère une excuse valable pour la faire languir dans cet état.
Et pourtant...
C'était si bon. Un mélange de frustration et d'excitation comme elle en raffolait. Prisonnière de ce carcan de métal, elle ne pouvait qu'attendre Son retour, et rester d'ici-là, soumise à tous Ses caprices... au point d'en souffrir.
Mais, ce n'était pas tant la douleur physique qui la dérangeait. Bien évidemment le port de la ceinture et de ses deux embouts était très contraignant. Suffisamment d'ailleurs pour qu'elle ne puisse pas s'assoir sans cambrer son dos de tout son long. De même que chaque mouvement, aussi doux soit-il, venait ô combien lui rappeler sa soumission.
Non, ce qui la dérangeait au plus haut point, c'était d'avoir à portée de main, le moyen de mettre fin à son supplice.
La tentation !
Une clé. Une simple et toute petite clé, posée là, devant elle, sur la petite table du salon. Comparée à la ceinture et aux deux godes, elle était de loin la pire des tortures. Car, enfermée à l'intérieur d'une enveloppe scellée par Ses soins, elle demeurait hors de portée.
Si proche et pourtant si loin...
Une mesure de sécurité aussi louable... qu'insupportable. Elle n'avait qu'à déchirer l'enveloppe pour s'emparer de la clé et déverrouiller le cadenas de sa ceinture. En moins d'une minute elle serait libre. Libre d'ôter ces deux objets de malheur qui tourmentent ses entrailles et obnubilent son esprit... Mais alors Il saurait. Il saurait qu'elle aurait triché, qu'elle aurait rompu sa promesse et trahi Sa confiance. Elle ne serait plus une bonne soumise... Tout cela pour n'avoir pas eu la patience d'attendre sagement Son retour.
Bientôt trois heures et Il n'était toujours pas rentré. Le ménage était fait, la table mise... même sa robe était choisie. Elle n'en pouvait plus d'attendre la délivrance, et ce n'était pas la douche froide qu'elle venait de prendre qui la soulagerait bien longtemps de ses ardeurs.
La tentation !
Elle était si forte, terriblement forte, bien plus forte que le désir qui dévorait ses entrailles. Minute après minute, seconde après seconde, elle menaçait chaque fois davantage d'y succomber.
Mais alors Il saurait.
Maudite ceinture !
Maudite clé !
Maudit soit-IL !
Mais diable que tout ceci est terriblement excitant !
