Chantage

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fredchl
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Re: Chantage

Message par fredchl »

Encore un passage riche en action ! :bravo:
Et le retour de Crina comme je m'en doutais et qui réapparaitras peut-être encore vu qu'elle semble s' être évanouie dans la nature... :o

nonobound
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Re: Chantage

Message par nonobound »

et ba dis donc, que d'aventure pour cette demoiselle,

décidément on ne sait pas dans quel rôle on la préfère :D :D

Nina

Re: Chantage

Message par Nina »

Bonjour, nouvel épisode, bonne lecture à tous :) :) :)


Trahison

Mmmmm...Je suis fatiguée aujourd'hui...le travail a passé long hier soir, j'ai bossé à la boîte jusqu'à 04h00 du matin. Je sais même pas quelle heure il est, je suis bien dans on lit aujourd'hui.
Mais je regrette pas la soirée pour autant, je me suis fait refiler un bon paquet de billets entre les seins. Je regarde le réveil. Putain, 11h00 déjà, il faudra quand même que je me lève, je dois refiler la part du patron de la boite avant midi. Je prends une douche, ça fait quand même du bien, en plus c'était bien chaud hier soir. Je sors, j’émerge progressivement, puis je commence à enfiler ma tenue. Je mets un string noir et un soutien-gorge de la même couleur. J'enfile des pantalons couleur léopard, ils sont très serrés et moulant, m'arrivant juste au dessous du nombril. Je mets un débardeur noir, très serré, m'arrivant bien au dessus du nombril, mon ventre est à moitié nu. Je mets par dessus une jaquette très fine, noire également, n'arrivant pas plus bas que mon débardeur, je la laisse ouverte, elle n'a d'ailleurs pas de fermeture. Je mets encore des bottes, noir en cuir, arrivant à la moitié de mes mollets, elles ont une chainette de deux lignes au bas de la cheville, faisant un demi cercle ne couvrant que l'avant de la cheville. Je mets encore une montre argentée à mon poignet gauche et trois attaches cheveux ainsi qu'un bracelet argenté assez large à mon autre poignet. Je vais pouvoir y aller. Mes cheveux sont longs, pas attachés.
Je descends l'escalier je jette un coup d’œil dans la boîte au lettre avant de partir. Il n’y a qu’une enveloppe avec mon nom dessus. Un admirateur ou un emmerdeur ? Peu importe, j’ai pas le temps maintenant, je la lirai plus tard.
Je prends la porte pour aller à l'extérieur. J'entre dans ma voiture. Le téléphone sonne, c'est Tad, je réponds:

"-Oui, Tad?"

"-Salut Alicia, il faut que tu viennes, je suis à l'hôtel Gerico, viens tout de suite".

"-Attend, il se passe quoi exactement" je réponds.

"-Pose pas de question Alicia et fais moi confiance, viens toute de suite!"

"-Tad, tu me prends pour ta pute personnelle ou quoi? Dis-moi ce qui se passe d'abord?"

"-Bon d'accord, je vais faire court: Yvan m'a engagé pour un job, c'était de transférer des fonds pour lui, qu'on était 4 en tout à assurer le transfert. Je devais conduire mon bus, celui qui à les vitres teintées, je conduirais et 3 portes-flingues seraient avec moi pour l'escorte. Il y avait un sacré mago, je pouvais pas laisser filer une telle occasion, j'ai tout prévu: J'ai roulé environ 10 kilomètres, après je leur ai fait croire que le bus démarrait plus, qu'il fallait pousser pour le faire redémarrer, que ça m'était déjà arrivé une fois. Les 3 gars sont sortis pour pousser, et pendant qu'ils étaient dehors, je suis partis plein gaz, et j'ai filé avec le magot, je me suis barré à l'hôtel, il faut que tu me rejoigne, on disparaitra avec le mago, il y a une fortune, ça vaut le coup Alicia."

"-Tu veux que je parte avec toi" je réplique.

"-Allez, Alicia, depuis le temps qu'on flirte ensemble, tu dois bien ressentir quelques chose pour moi en retour aussi. Toi et moi, on s'en va, la belle vie, la nouvelle vie. Puis Je sais que tu tiens à ta sœur, elle peut partir avec nous aussi".

"-Il y avait combien, en tout dans ces fonds?"

"- Accroche-toi bien: 3’000'000.- !!"

"-D'accord Tad, attends moi, j'arrive".

"-C'est exactement ce que je voulais entendre, viens vite Alicia".

Je démarre la voiture, et part en direction de l'hôtel. Faut dire qu'il commence à sacrément s'emballer le roméo, mais peu importe, j'ai aussi ma petite idée. Je serai à l'hôtel dans 2 minutes.
Eh merde, une voiture qui me barre la route. Mais c'est qu'il s'arrête en plus. Eh merde, je crois bien que c'est les sbires de Yvan, faut que je file, je descends de la voiture, la laissant en plan sur la route, je traverse une voie ferrée sur ma droite, les barrières pour le train sont descendues, leur voiture ne pourra pas passer. Alors que j'ai traversée la voie, la voiture qui m'a barré la route redémarre, je continue de nouveau en direction de l'hôtel, je continue à avancer. Pourvue que j'arrive à rejoindre Tad, surtout avant que les hommes d'Yvan me choppe, ça fouterait tout mon plan en l'air. Faut dire quand même, j'aurais pas pensé qu'il réussisse à piquer un tel paquet de pognon. Je continue à avancer, je vois au loin une voie routière passant sous les voies ferrées, puis...oh merde, la même voiture qui viens dans ma direction. Elle n'est plus qu'a une vingtaine de mètres déjà, puis la voilà qu'elle vient vers moi. Quatre hommes, tous armés sortent de la voiture, l'un d'eux me fait:

"-Bonjour Alicia, M. Soumarov désire vous voire, je vous prie d'enter".

Deux des hommes braque leurs armes sur moi, je suis obligée d'entrer. Le Qg d'Yvan n'est pas très loin, après une demi heure, nous y arrivons. Les quatre hommes m'emmènent au bureau de Yvan, me tenant toujours en joue. Nous voilà devant la porte de son bureau maintenant, nous entrons, Yvan y est déjà, avec deux autres gardes, ils referment la porte, Yvan commence à me parler:

"-Bonjour Alicia."

"-Bonjour, M. Soumarov" je réplique. "Puis je vous demander pourquoi vous m'avez fait venir?"

"-Alicia, est tu au courant de ce qu'a fait Tad, ton chère amis, ou même petit ami, qui sait?"

"-Tad, je ne sais pas, qu'est ce qui se passe?"

"-Vois-tu, je lui ai confié une mission de haute confiance, transférer de l'argent qui m'appartient, seulement, il a entourloupé mes hommes est a filé avec l'argent. Toi, t'en a-t-il parlé?"

"-Non, il ne ma rien dit de tout ça" je réponds. Aïe, je suis pas en très bonne position. Yvan me répond:

"-Alors, explique moi, pourquoi, tu te dirigeais en direction de l'hôtel dans lequel il s'est réfugié".

"-Il m'a appelé, il m'a dit de venir, que c'était urgent, qu'il n'avait pas le temps de m'expliquer, je suis allé de suite".

"-Ce matin, tu devais passer donner les recettes de ta boite à ton patron, pourquoi ce changement de destination, juste sur un coup de fil insignifiant".

"-Il m'a dit que c'était urgent" je réplique, cachant mon stress "je pensais ramener les recettes à la boite ce soir, je suis sensé y travailler de toute façon".

"-Je vais te dire Alicia, 3 millions n'est qu'un grain de sable dans ma fortune qui est un désert, je me fiche pas mal de perdre 3 petits millions, par contre je déteste être trahit, je ferai tout pour tuer ce traitre. Mes hommes ont déjà fait exploser sa chambre à l'hôtel où il se cachait. Hélas, ce petit rat a réussi à s'enfuir avant, je vais le retrouver et le tuer. Ainsi que ses complices."

"-Je ne suis pas son complice, M. Soumarov, je vous le promets".

"-Alors pourquoi as-tu tenté de fuir, lorsque mes hommes t'ont retrouvé!!?"

"-Je savais pas que c'était vos hommes, je pensais que c'était des hommes de Alfred Bocan, il a des raisons d'en avoir après moi, comment je pouvais savoir que tes hommes me cherchait ou cherchait Tad, je ne savais rien de sa trahison" je réponds. Yvan reprend la parole:

"-Mmm... je voudrais beaucoup te croire, ma chère Alicia, mais ça fait tout de même beaucoup de coïncidence. De toute façon, on fera parler Tad, dès qu'on le retrouvera, je saurai très vite si tu disais vrai. D'ici là je vais te laisser patienter dans ma chambre d'hôte, messieurs, je vous laisse accompagner et vous occuper de mademoiselle, vous savez quoi faire, mettez la à l'aise".

Les quatre hommes me font sortir du bureau et m'emmène et me tenant en joue. Nous marchons vers l'étage inférieur. Nous arrivons vers la pièce en question, nous entrons. Il s'agit d'une chambre d'ami à la base, avec un lit et un petit équipement. Un des hommes ferme la porte, alors que les autres ont pris des cordes à la mains, l'un d'entre eux me dit:

"-Assieds toi sur le lit, ne tente rien surtout, ce serait très dommage".

Autant se laisser faire, si je résiste, il se doutera que je ne suis pas innocente, et me fera tuer de suite ou pire. Je m'assieds sur le matelas. Le même homme se met derrière moi et me dit:

"Met tes mains derrière le dos, et serre tes jambes ensemble".

Je crois mes mains dans le dos, je sens les cordes enlacer mes poignets, mes chevilles, mes jambes au dessus des genoux, et le troisième homme m'attache au niveau des bras également, passant les cordes en dessus et au dessous de mes seins. Après quelques minutes, ils serrent les nœuds, me voilà attachée. L'un d'eux prend un rouleau de scotch noir et coupe un morceau, je lui dis:

"-C'est vraiment nécessaire, je suis déjà attachée!"

Puis il le colle contre ma bouche, puis il me dit:

"-On veut que tu sois une enfant bien sage, et silencieuse. Reste bien tranquille ma mignonne!"

"-Eh les gars, vous me la laisser quelques minutes, j'en rêve depuis la première fois que je l'ai vue arriver au QG, faut qu'on en profite, c'est une belle occasion" dit un autre" pi ce petit cul, avec son petit pantalon moulant...ouah ça me donne envie, je bande rien qu'en le regardant!!".

"-Pas question de même la ploter, le patron nous ferais tuer, de toute façon on a fini, on dégage maintenant, oublie pas de fermer la porte à clé!!" réplique celui qui m'a bâillonnée.

Les voilà qui quitte la pièce et me laisse seul, ils ont fermé à clef. Là je peux dire que je suis dans une belle merde, attachée et bâillonnée dans cette pièce. Il va falloir que je m'enfuie au plus vite, si ils arrivent à retrouver Tad et à savoir la vérité, soit ils me tueront, soit je ferai office de pute soumise pour le centre. Ah quelle merde, j'étais pas loin de réussir mon plan, si au moins ces abrutis m'auraient pas cueillis. Bon bref, va falloir trouver un moyen de me libérer et de filer maintenant. Il n'y a pas grand chose dans cette chambre, à part un lit, une commode, des livres, et ...mais oui, la fenêtre, déjà je pourrai m'enfuir, mais surtout je vais pouvoir utiliser le verre pour couper mes liens. Je tente de me déplacer, je roule sur le matelas, je dois dire que c'est pas facile, ligotée comme je suis. Ces cordes sont bien serrées en plus, impossible de s'en défaire. Je parviens à me mettre assis sur le lit, et à poser mes pieds au sol. J'avance en sautillant, difficile je dois dire. Je continue à avancer, je suis à 2 mètre de la fenêtre. Je perds l'équilibre, et merde...Aïe, je tombe par terre, forcément, quand on est attachée, c'est difficile de rester debout. Je continue en rampant et en roulant. Connerie de cordes, elles sont tellement serrées. Je parviens vers la fenêtre, je me mets sur le dos, et je lève mes jambes. Je donne un grand coup avec mes bottes... mais rien. Je continue, je donne un autre coup encore plus fort, puis encore un autre...au bout du 10 ème je m'arrête. Ces vitres sont solides, mais je dois dire qu'avec les jambes ligotées j'ai de la peine à donner beaucoup de puissance dans mes coups. Je tente de me relever, je me mets dos au mur, puis je plie mes jambes, je commence à me redresser en me servant du mur. Je me mets debout, je vais peut-être me faire un peu mal, mais peu importe. Je donne un immense coup d'épaule contre la vitre, utilisant tout mon poids. Aussitôt, je retombe à terre, la vitre n'a pas une seule égratignure, comment c'est possible...à moins que...oh non, mais bien sûr, ce sont des vitres pares balles, le QG est un bâtiment blindés. Impossible de briser cette vitre. Il n'y a rien d'autre là dedans pouvant couper mes liens, je me dirige vers la porte, en roulant et en rampant. C'est vraiment pas évident faut dire. Après 10 minutes d'effort, je parviens vers la porte, il faut que j'alerte quelqu'un, que je les convaincs que je peux retrouver Tad pour eux, je me débrouillerais après pour être seule avec lui. Je tente de crier de toute mes forces:

"MMMMMHHHHHH..GGGMMMHHHH...MMMMHHHHMMHHHH!!".

Personne n'y fait attention, je continue:

"GGGGGMMMMMHHHH..MMMMHHHHHHH...MMMMMMMMMMHHHHH!!!.

Toujours rien, c'est inutile, ils n'enverront personne avant d'avoir retrouvé Tad. Je me redirige vers le lit, j'attends, me voilà au dans la merde jusqu'au cou. Je ne peux qu'attendre pour l'instant. Je peux rien faire d'autre...

Et voilà, ça fait déjà deux heures que j'attends ici attachée et bâillonnée, enfermée dans une forteresse, depuis le temps, ils ont peut-être déjà retrouvé Tad, ou bien il a déjà mis les voiles.
Putain, cette pièce de merde avec rien d'autre qu'un lit, des chiottes et...mais pendant que j'y pense, il y a un miroir je crois dans ces toilettes, je me redirige vers les toilettes de la chambres, je sautille debout. J'arrive vers la porte, je me retourne, et tente d'ouvrir avec mes mains attachées derrière le dos, je saisis la poignée, j'ouvre la porte, j'entre. J'ai une bonne mémoire, il y a bien un miroir, je le fait tomber avec mon épaule, il se casse dans l'évier. Je saisis un morceau cassé, il semble bien coupant, je m'assieds au sol. Je commence à scier la corde de mes poignets..c'est quand même difficile, même coupant, c'est pas super aiguisé, mais je scie progressivement la corde. Si je parviens à me libérer, je pourrai me tirer par la fenêtre. Ensuite il faut que je retrouve Tad, et je fais comme je l'ai prévu.

La corde enlaçant mes poignets est rompue. Parfait, je continue en coupant la corde de mes bras...voilà détachée, je commence à défaire les nœuds de la cordes de mes jambes...voilà enlevée, plus que mes chevilles...et voilà libre, j'enlève de suite mon bâillon. Je prends les draps de la chambre, j'ouvre la fenêtre, c'est pas trop haut, en attachant les draps à la barre de la fenêtre, je dois pouvoir descendre assez facilement. Je parviens à quitter le bâtiment, la porte est toujours gardée, mais heureusement, il n'y a pas de grilles autour du QG. Une chance qu’il ne m’ait pas retenu au Centre ! Il faudra être quand même être méfiante, ils vont me rechercher dès qu'il comprendront que je me suis barrée. Je pars le plus loin possible du QG.

Après une demi heure de marche je trouve une cabine téléphonique, heureusement qu'ils m'ont privée que de mon portable et pas de mon portemonnaie, je joins Tad:

"-Hallo, qui est-ce?"

"-Tad, c'est moi Alicia, où est tu?" je réponds.

"-Alicia, j'ai tellement eu peur, j'ai cru que Yvan et ses hommes t'avais capturée".

"-C'est le cas, mais j'ai pu m'enfuir, où tu es, il faut vite que je te retrouve".

"-Je suis allé dans une autre planque, dans le nord de la ville, ils me trouveront pas cette fois, j'aurai bientôt les billets d'avion pour 3 personnes, où tu es, je viens te chercher".

"-Je suis à la cabine téléphonique derrière le bar Golden, ça doit pas être très loin de ta planque" je réplique.

"-Bouge pas, j'arrive Alicia" il répond.

"-Ok, magnes-toi" je termine.

Après moins de 10 minutes, il me retrouve et me ramène a sa planque, il s'agit d'une résidence secondaire banal à un de ses amis qui est à l'étranger. Nous entrons, je lui demande".

"-Où est l'argent Tad?"

Il m'emmène dans sa chambre à l'étage et s'empare d'une grosse mallette, il ouvre, je vois les piles de billets de 500.-, il me dit:

"3 millions pour notre nouvelle vie Alicia, j'ai déjà appelé ta sœur, elle sera là dans 5 minutes."

"Parfait, dès quelle sera là on partira alors."

Nous redescendons dans le salon, une fois arrivé je lui demande:

"Qui d'autre est au courant que je pars avec toi"

"-Juste ta sœur, personne d'autre" me répond-t-il.

Soudain après un bref regard partout dans la pièce, Tad me demande:

"Alicia, tu a vu mon flingue, je croyais l'avoir laissé sur la table au salon, mais..."

Je saisis son arme que j'ai récupéré dès qu'il l’avait posé sur la table et je la braque sur lui, il me dit:

"Mais Alicia, tu fais quoi là?"

"Tad, je dois te dire, j'ai pas l'intention de partager avec toi" je réplique. Il me répond:

"-Attend, depuis que je t'ai appelé...tu...c'est pas incognito que tu me doubles, tu avais prévu ça depuis je t'ai dit que j'avais volé Yvan, hein avoue le!!!"

"-C'est surprenant, même si j'ai jamais rien ressenti pour toi, je dois dire qu'en retour, en plus de m'avoir pris pour ta Juliette, tu as fini par très bien me connaître, c'est vrai, j'avais prévu ça depuis le début. Et d'ailleurs, j'ai pas l'intention de quitter mon pays."

"-Alicia, tu es une vrai sociopathe, tu n'éprouve rien, pour personne, ni pour tous tes crimes. Espèce de pute!!!" me dit Tad.

"-J'avoue tout de même tu m'as quand même presque impressionné en entubant Yvan, et surtout tu m'as beaucoup rendu service, mais maintenant c'est à moi de reprendre la partie, ce fut un plaisir Tad" je termine, puis je lui tire deux balles dans le cœur.

Imbécile de Casanova, il croyait peut-être que j'allais tout lâcher pour lui, alors que je pouvais tout prendre. On sonne à la porte, j'ouvre en faisant entrer ma soeur, je lui passe la mallette:

"-Il faut que tu la ramène chez nous, dépêches toi, je vais arranger le coup avec Yvan" je lui dis.

"-D'accord, mais tu vas lui dire quoi?" me répond-t-elle.

"-Je t'expliquerais ce soir, tout ira bien t’inquiète, barres toi vite!!"

"-D'accord, à ce soir!" termine ma soeur.

J'appelle immédiatement Yvan, je lui explique que j'ai pu retrouver Tad avant qu'il ne quitte le pays et que je m'en suis occupé. Je lui dis que j'ai été obligée m'échapper car il ne me faisait plus confiance, et que je savais que je pouvais convaincre Tad de me retrouver. Il semble me croire, il vient en personne avec sa garde à peine une demi heure après. Je lui dis dès qu'il arrive.

"Yvan, je suis désolée, mais l'argent était resté dans la chambre d'hôtel que vous aviez fait explosé, tout a brulé pendant l'explosion".

"Je me fiche royalement de cet argent, je te l'ai dit, ou est Tad" me répond-t-il.

Je l'emmène vers le salon, il voit le cadavre de Tad, ainsi que ses deux balles dans le cœur Yvan me dit:

"-Excellent travail Alicia. Je suis désolé d'avoir douté de toi, comme je l’espérais tu es digne de ma confiance, plus jamais je ne douterai de toi".

"-Je comprends, et j'en suis heureuse M. Soumarov" je réplique.

Ses hommes débarrasse le corps de Tad, je rentre chez moi et explique tout à ma sœur. J'irais bientôt à la boîte ramener la commission de mon patron et faire mon boulot. Yvan ne se doute pas que j'ai récupéré les 3 millions, espéront que ça dure sinon ce serait très mauvais pour moi. En tout cas ça me fait une bonne fortune, et je m'en suis tirée, seule.
Je suis maintenant dans mon lit, j’ai pris l’enveloppe qui était dans ma boîte, je déchire et je commence à lire le message :

"Bonjour,

Ma chère Marie, où devrais-je dire plutôt Alicia ?

Peu importe, votre véritable identité n’est de loin pas difficile à dénicher ! Mais alors qui est cette Alicia ? Une kidnappeuse ? Rien d’impressionnant non plus dans ce domaine. Je réserve aux amateurs d’enlever de jeunes touristes pour les remettre à un Centre roumain de prostitution pour quelques billets. Mais voilà qu’un beau jour, vous parvenez à kidnapper une de mes proies, Nina Averine. Très bien, une fois ça passe, la chance de la débutante. Seulement, il y a peu, vous l’avez enlevée une deuxième fois. Je déteste que l’on touche à mes proies, Mademoiselle Duca, et votre petit jeu gâche le mien, ce qui commence à sérieusement m’agacer.

Comme j’ai cru comprendre que vous aviez de la peine à renoncer à Nina, je vais vous donner un petit coup de main pour y parvenir : Nina est à moi ! Ne cherchez surtout pas à la retrouver où à vous approcher de nouveau d’elle. Autrement, c’est vous que je kidnapperai, et vous comprendrez rapidement que contrairement à vous je ne suis pas un amateur en la matière. Ou bien, il se peut aussi que je kidnappe une autre jolie fille de votre entourage, pour qui vous semblez avoir beaucoup d’affection. La voir attachée doit être tout aussi régalant que de vous voir ligotée et bâillonnée !

Salutations,

le Geôlier O---O"

nonobound
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Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire
Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Chantage

Message par nonobound »

hum hum, très intéressant tout ça, les 2 histoires se mélange bien :)

Nina

Re: Chantage

Message par Nina »

Bonjour à tous,

Désolé pour cette longue absence, mais maintenant je vais pouvoir publier mes histoire de façon régulière. Bonne lecture à tous :) :)



l'enlèvement

Aujourd'hui c'est samedi, je me suis levé il y a pas longtemps. Je pense encore au message du geôlier. Le moins que l’on puisse dire c’est que notre inconnu se prend pas pour de la merde !! Que je renonce à Nina, de toute façon Yvan m’a déjà interdit de la rechercher. Je crains bien plus Yvan que le geôlier. Mais bon, j’allais quand même pas restée les bras croisé : j’ai mes petits contact en France, et je leur ai demandé de rechercher l’adresse de Nina, je l’ai joué discret, Yvan n’en saura rien. Mais pour aujourd’hui, j’ai d’autre choses de prévues : Yvan m'a fait savoir qu'il avait besoin de nouvelles filles pour le centre, je vais donc à l'endroit propice pour attraper les petites touristes, à l'aéroport. J'enfile une tenue de danseuse, le but est de faire croire que je me rend à un mariage pour y faire un spectacle de danse, je me débrouille très bien en danse de plus et ça c'est pas du crack, bref le but c'est de gagner leur confiances, et la tenue me rend séduisante. Je commence par enfiler un juste au corps blanc, moulant l'ensemble de mon torse, et faisant aussi ressortir mes seins. Par dessus, j'enfile un corsaire noir en cuire, que j'attache via des lanières à l'avant, le corsaire couvre le bas de mon torse, commençant un peu en dessous de mes seins, et finissant à la hauteur de mes hanches. Puis je termine en enfilant des hauts talons noirs, remontant mes chevilles, avec de larges brides à mes chevilles. Je porte des boucles d'oreilles noires, et mes cheveux sont longs légèrement ondulés vers le bas. Je vais pouvoir y aller.

Je descends les escaliers, en remémorant ma manière de procéder. Si j'ai un pépin j'appelle soit directement les sbires de Yvan, soit je passe par ma sœur si la situation est trop tendue, qui reconnaitra le mot de passe KATARINA. Je sors de mon immeuble et entre dans ma voiture, je vérifie que tout y soit: mon flingue, un rouleau de scotch, du chloroform... J'ai tout ce qu'il me faut.
Je démarre la voiture et me dirige vers l'aéroport. Je me suis garée dans le parking souterrain. Je sors en emportant uniquement mon rouleau de scotch, que je dissimule dans une veste en cuir grise que j'enfile par dessus ma tenue. Ce serait dangereux de me promener dans un aéroport avec une arme à feu, et dans la boite à gant elle est à l'abri. Je monte dans le bâtiment même. Il est déjà 09h30, les vols va et vont, tout comme les touristes. Nous sommes en fin juin, le début des grandes vacances, les touristes vont pas manquer, et il y a toujours des minettes bien fraiche dans le tas. Je me dirige vers la zone commerciale, il y a de tout, café, restaurant, magasin de vêtement, souvenir... tous ces trucs coute la peau du cul, il faut est bien riche ou très con pour consommer ici. En avançant je vois une valise sans son propriétaire, je dois dire que ça commence bien. Comme j'ai l'habitude, j'avance et prends la valise, l'air de rien, comme si c'était la mienne, ça passe toujours innaperçu. Pendant que j'avance, en me retournant derrière moi, je vois une blondinette qui m'observe et observe particulièrement la valise que je viens d'emporter. Elle ressort de la boutique, merde elle l'a vue. Je continue ma route, puis voyant pas très loin deux agents de la sécurité de l'aéroport, je m'approche d'eux, et fait à l'un:

"-Bonjour messieurs, désolé de vous déranger, mais je viens de trouver une valise abandonnée, puis je vous la remettre, j'ai peur que d'autre personnes ne la vole avant que son propriétaire ne la retrouve. "

"-Bonjour mademoiselle, oui bien sûr, c'est très gentil à vous. De nos jours les gens ne pensent qu'à prendre ou voler, c'est rare de trouver encore des gens honnête, merci pour votre geste" me
répond-il.

La blonde de tout à l'heure nous a rattrapé et fait:

"-Attendez, s'il vous plait, c'est ma valise que vous avez là".

"-Très bien mademoiselle" fait l'autre agent " si vous êtes bien la propriétaire vous pourrez ouvrir le cadenas je suppose?"

"-Bien sûr" dit elle en composant le code du cadenas.

Je dois dire que c'est une très jolie fille, une jolie blonde cheveux longs et lisses aux yeux bruns, un corps fin avec de beaux seins, Elle porte un pull robe rayée en rouge, jaune, vert, blanc, d'un tissus très fin, il lui arrive jusqu'au haut des hanches, elle porte également des bottes en cuire blanche, lui arrivant au dessus des genoux au bas des hanches. Elle parvient à ouvrir le cadenas, et dit:

"-Vous voyez, c'est la mienne, cette femme a essayée de me voler."

"-Vous vous tromper, elle croyait que vous avez perdu votre valise, elle nous l'a remise en espérant qu'elle retourne à son propriétaire" reprend l'agent de sécurité.

"-Oh, désolé, pardon, je ne pensais pas...merci alors pour le geste, c'est vrai que je n'aurais pas du laisser ma valise sans surveillance" me dit la blonde.

"-Aucun problème, c'est moi qui suis confuse, je croyais vraiment que cette valise avait été perdue" je réplique. Les agents de sécurités s'en vont l'un d'eux fait:

"-Très bien, le problème est réglé, bonne journée et bonne vacances mes demoiselles".

La blonde me ré adresse la parole:

"-Ouf, j'ai eu une de ces peurs, tout mon argent est dedans, il y en pour presque mille francs, vous imaginez je viens ici pendant une semaine"

"-Je comprends, je crois que j'aurais encore plus paniquée si j'étais vous" je réplique. Voilà une bonne opportunité, je continue la conversation:

"-C'est la première fois que vous venez en Roumanie?"

"-Oui, je suis tellement impatiente, on m'a dit que ce pays est magnifique".

"- Quelle ville comptez-vous visiter?" je réplique.

"-Je vais à Sighisoara, ça fait longtemps que je désire connaitre cette ville?" me répond-elle, je continue:

"-C'est incroyable, je me rends justement à un mariage là-bas aujourd'hui. Je devais récupérée une invitée, ici, mais elle vient de me répondre qu'elle était arrivée en avance, et qu'elle s'était déjà rendu sur les lieux, je vais partir maintenant, vous voulez que je vous prenne. Cela m'évitera d'être venue ici pour rien."

"-Oh, c'est tellement aimable, oui avec grand plaisir! Je ne savais pas que les roumains étaient aussi accueillant"

"-Très bien, ma voiture est en dessous au parking, venez avec moi alors." je réplique.

"-Merci beaucoup en tout cas, au fait je m'appelle Emily Dwight".

"-Marie Miaradi, enchantée" je répond.

Mais quelle conne celle-là, en plus de me dire qu'elle a un paquet de pognon sur elle, elle me suit comme ça, sans avoir la moindre idée de qui je suis. Bon je dois dire que le coup de tout à l'heure était bien réussi, je me suis fais passée pour une fille honnête. Quelle aubaine, en plus de son pognon, je vais gagner à max en la remettant à Yvan. Elle me demande:

"-J’adore votre tenue"

"-Oui, c’est une tenue de danse, je vais là-bas pour y faire un spectacle au mariage"

"-Ouahouh, je pourrai regarder!?"

"-Oui, bien sûr" je réplique.

Nous arrivons au parking, nous nous dirigeons vers ma voiture. Soudain, son téléphone sonne, elle décroche et dit:

"-Oui allo...bonjour...oui....oh j'avais complètement oubliée, c'est juste, oui dans ce cas j'arrive, merci à tout à l'heure."

Elle raccroche et me fait:

"-Ah, je suis vraiment désolé, mon agence de voyage vient de m'appeler, ils avaient prévu le transport pour moi, c'était compris dans le prix, je n'avais pas bien saisi, je vais devoir vous laisser, encore désolée."

"-Oh, ce n'est pas grave" je réplique. Il va falloir utiliser la manière forte, on est tout prêt de ma voiture, c'est une trop belle occasion. Alors qu'elle se retourne, je l'attrape avec mon bras au coup et utilise mon autre main pour l'empêcher de parler. En se débattant elle tente de crier:

"MMmmmhhhhh" ça dure pas longtemps, elle est déjà affaibli, je sort mon rouleau de scotch et ramène ses poignets derrière le dos. Je les attaches ensembles, je dois dire que je trouve ça tout de même excitant. Et voilà, ses mains sont attachées, puis je coupe un morceau et le colle contre sa bouche, la voilà bâillonnée. Elle semble avoir récupérée, elle tente de crier:

"MMMHHHHH, MMMMMMHHHHH"

"-La ferme" je réplique" écoute moi bien, tu vas me suivre tranquillement, sinon je vais te faire très mal, et je trainerais de toute façon, tu as bien compris?"

Elle me signe positif de la tête, j'avance en la tirant par le bras, prenant également sa valise de mon autre main. C'est une si belle femme, tellement sexy attachée et étant ma prisonnière. Nous arrivons vers la voiture. J'ouvre le coffre et lui dit:

"-Entre là dedans espèce de gourde"

Elle rentre dans le coffre moi la transportant. Une fois dans le coffre, j'attache ses pieds ensemble, passant le scotch autour de ses chevilles. Puis je continue attachant ses jambes, juste au dessous de ses genoux, puis je l'attache également au dessus des genoux. Je termine par attacher ses bras, passant la bande de scotch au dessus et au dessous de ses seins. Putain, je dois tout de même dire qu’elle est vraiment sexy, attachée et bâillonnée de la sorte. Je profite de la regarder quelques instants, alors qu'elle gémit, puis je renferme le coffre. Je mets ses bagages dans le siège arrière. Il faut encore que j'aille payer le ticket du parking. Je me dirige vers la borne de paiement. Eh merde, ces saloperies ne prenne que les pièces, je vais devoir faire de la monnaie. Je remonte dans les boutiques, je me rends dans un café et je paie un coca. Tout de même 12.- la bouteille, c'est vraiment de l'arnaque. Bon heureusement je vais gagner suffisamment pour me le permettre. Je m'installe et bois ma consommation en réfléchissant à la suite. Je n'ai besoin de rien d'autre, la fille est ligotée, je n'ai que quelques kilomètres à faire, j'avais fait le plein tout à l'heure, je pense que tout est ok, je vais pouvoir filer. Je finis ma boisson, et je quitte le café, voilà déjà une demi heure que Emily est ligotée dans ma voiture. Je me redirige vers le parking, je prends l'ascenseur et descends au bon étage. La porte s'ouvre, mais un homme pointe un pistolet face à moi, il me dit:

"-Pas de geste brusque, ôtez votre veste, tout doucement".

Eh merde, j'ai été repérée, ça doit être la sécurité, j'enlève doucement ma veste et la lui tend. Alors qu'il la prend, je recule et appuie sur le bouton de l'ascenseur, alors que la porte se
referme, il utilise sa main pour empêcher la fermeture, comme je le voulais, son arme dépasse, j'exécute une torsion a son poignet, il lâche son pistolet de suite, la porte est ouverte, je le frappe à la gorge de mon poing, puis je continue en donnant un coup de pied frontal sur sa cuisse. Même si ça doit faire mal, il n'est pas affaibli, je tente de lui donner le coup de grace en frappant à la tempe de mon poing, puis il se protège et réplique de suite par un coup de coude dans mon ventre, qui me fait décoller contre le mur juste derrière moi, puis il attrape mon bras me tire et me prend en clé de bras, puis m'amène au sol, je n'arrive plus a bouger, j'ai même perdu le souffle avec son coup de coude. Il fait:

"Putain, mais t’as bouffé du lion toi" puis il sors une paire de menotte, et attache mes mains à l'arrière. Eh merde, je me suis fait chopée. Il me fait:

"-Viens avec moi, ne refais pas un truc du genre, on va aller retrouver la blonde que tu as enlevée" .

Je marche, les mains menottées dans le dos, lui étant derrière moi me tenant par un bras. Nous avançons vers la voiture, une fois arrivé, il fouille ma veste et trouve mes clés il ouvre le coffre et trouve Emily ligotée et bâillonnée. Il ouvre la porte de ma voiture et me fait assoir sur le siège arrière et referme la porte. Chiotte, je vais pas pouvoir m'enfuir, il ôte le scotch bâillonnant Emily, je l'entends dire:

"-Vous allez bien madame?"

"-Merci, mon dieu merci, j'ai failli être kidnappée, je ne sais pas pourquoi, c'est une femme cheveux noire, typée roumaine, toute mignonne, je m'en doutais pas du tout..." dit Emily jusqu'à ce que l'agent la coupe:

"-Tout va bien, je viens de l'arrêter, elle est menottée à l'arrière de la voiture. Je m’appelle Yuri, je suis de la police je viens spécialement pour arrêter cette femme. Laissez-moi vous détacher."

L'homme est en train de couper les liens de ma prisonnière, pendant que j'attends à l'arrière de la voiture. Après quelques minutes Emily est libérée, l'agent me fait ressortir, Emily s'approche de moi en me disant:

"-Espèce de cinglée, comment avez-vous pu!!! M'attachez et m'enlever de la sorte." Le flic qui apparemment se nomme Yuri la fait éloigner de moi en disant:

"Calmez-vous madame, je vais la conduire à mes collègues, on va devoir l'interroger".

"Qu'est ce que tu allais faire de moi espèce de sale garce!?"réplique Emily, l'agent lui fait:

"-Madame, écoutez moi maintenant, retrouver le bureau de la sécurité, il se trouve à l'étage, je vais la fouiller puis je vous retrouve là-bas, c'est compris".

"-Oui, très bien, je... d'accord désolé de m'être emportée" réplique Emily.

Eh merde, cette conne est hors de portée, et maintenant je me fais coffrer pour tentative de kidnapping. L'agent fouille ma veste, puis il y trouve mon portefeuille, il regarde la pièce d'identité. Il Puis il reprend la parole:

"-Magnifique c’est bien vous. Vous êtes Alicia Duca!!"

"-Pardon, mais je vous connais pas mon beau" je lui réponds.

"-Moi je sais qui tu es. Tu es la femme qui a enlevé deux fois ma fiancée en France et tenté de la livrer à un centre de proxénète en Roumanie même, je suis sûr que tu dois te souvenir de cette fille, elle s'appelle Nina Averine!"

"-C'est elle qui avait tenté de me faire chanter, elle a récolter ce qu'elle méritait. Enfin pas tout à fait, vu qu'elle s'est chaque fois échappée de suite. Je ne savais pas que son chéri jouait les héros dansles aéroport" je réplique.

"- Il y a des caméras dans le parking pour ton info, il n'y a pas un espace qui n'est pas sous surveillance, je pensais qu'une sois-disante professionnelle dans ton genre l'aurai remarqué. Cette fille tu comptais aussi la livrée tes trou du cul de mafieux. Ils sont où, où tu avais rendez-vous?" me répond-t-il.

"-Tu veux connaître mes rencards, tu crois pas que t'es déjà un peu jaloux mon beau?" je lui réponds. Il réplique:

"- On va aller au poste, tu feras moins la maligne là-bas. Mais avant tu vas enlever cette veste". Yuri se place derrière moi, enlève mes menottes, me tenant en joue, j’enlève par moi-même ma veste, je suis maintenant en juste au corps, aussitôt il se replace derrière moi et menotte à nouveau mes mains dans le dos. En avançant il me fait :

"-Tes patrons savent bien choisir leurs soumises. Je suis sûr que tu adore tirer profit de ta beauté pour entuber les autres !!"

Nous remontons l'escalier, puis allons vers le poste de la sécurité de l'aéroport, il y a deux autres agents, ils disent à l'agent qui ma emmenée:

"-Nickel Yuri, on va s'en charger."

"-Attendez, elle s'appelle Alicia Duca, une protégée de Yvan Soumarov, elle est d'une importance cruciale. "-réplique Yuri

"-Oui, mais on va s'en occuper" rélique l'autre homme.

"-Je peux vous voir deux secondes dehors s'il vous plait" demande Yuri aux deux agents.

"-Oui, on vient" répond-il et me dit" restez sagement ici".

Pi voilà qu'ils me laissent seuls dans la pièce. Mes mains sont toujours menottées, je suis assise sur une chaise, attendant qu'ils veuillent bien s'occuper de moi. Putain mais de quoi ils peuventparler, et comment je vais faire pour m'en tirer cette fois.

Après environ 10 minutes, les deux agents reviennent, sans Yuri, ils me font:

"-Bon écoutez moi bien, je vais faire court. Je sais qui est Soumarov, et je suis aussi au courant de vos implications dans ces affaires. Je n'ai pas envie que ma famille soit assassinée juste pour avoir fait mon devoir de con de flic en vous faisant arrêter. On est prêt à vous relâcher, à conditions qu'il n'y aura pas de répercutions sur nous, et que Yvan se souviendra de notre aide, en temps voulu."

"-Messieurs, comme vous le savez, j'ai de la valeur à ses yeux, je vous promet que si vous me relacher et effacer cette histoire, rien de mal ne vous arrivera, et si vous êtes dans le pétrain, Yvan se souviendra de votre aide, et vous apportera la sienne en retour" je réplique. Voilà qui est bien, finalement je suis tirée d'affaire. Heureusement qu'ils croient que je suis si importante dans l'organisation d'Yvan, ça me sauve la peau pour une fois.

"-Il y a encore un problème:" réplique l'agent" Notre collègue français qui vous a attrapée, Yuri, il veut votre peau, il est encore dans l'aéroport, il va tenter de vous tuer. Mais on a une solution:
On a une sortie, par derrière, elle est discrète et on est pas beaucoup à la connaître, Yuri ne la connait pas. On peut vous faire sortir par l'arrière, un taxi vous attendra et vous emmènera dans la destination que vous souhaiterez, votre voiture vous sera rendue en temps voulu."

"-Parfait, alors je vous suis, mais ces menottes ne servent plus à rien non?" je réponds.

L'agent me les enlèves pendant que l'autre me dit:"Non en effet, on est certain que vous coopérerez, il s'agit de votre vie de toute façon."

Je sors avec les deux agents qui m'accompagnent. Nous nous déplaçons vers la sortie dont ils me parlaient. Quelle aubaine quand j'y pense. Bon, c'est vrai, je n'aurais pas Emily ni son fric, mais j'aurais pu bien plus mal m'en tirer. Nous traversons les boutiques, eux m'escortant toujours. Nous arrivons derrière les escaliers roulant proche d'une porte contre le mur, nous la traversons, elle donne sur un couloir avec une porte de sortie au bout, celle dont ils me parlaient.

Nous prenons la porte et sortons, je leur demande:

"-Où est le tax.." tout d'un coup je sens qu'on m'attrape, une main m'empêche de parler, et un des agents me tiens les bras en disant:

"-Dépêchez vous, amenez la dans le jet".

Alors qu’ils m’emmènent de force, je tente de crier:

"-MMMMHHHHHHHHHH".

Ils me font rentrer dans un avion de taille moyenne. Trois autres hommes nous y attendent, l'homme qui m'a attrapée leur crie:

"-Vite amenez les cordes, attachez la solidement, et bâillonnez-la, il ne faut surtout pas la laissez crier!!"

Un des hommes me baillonne à l'aide d'un foulard blanc avant que je puisse prononcer un seul mot. Un autre dit:

"-Je lui tiens les mains, attache la!!"

Puis voilà qu'on attache mes poignets à l'arrière. Les cordes sont bien serrées, puis ils continuent, attachant mes bras en passant les cordes au dessus et au dessous de mes seins. Puis il me font assoir sur une chaise, un des hommes attaches mes cheville ensemble, un autre attache mes jambes passant la corde au dessus de mes genoux, alors qu'un troisième attache mon corps à la chaise...Les nœuds sont serrés, on attache encore mes chevilles déjà ficelée aux pieds de la chaise. Me voilà ligotée et bâillonnée sur cette chaise, Yuri s'approche alors de moi et leur fait:

"-Excellent travail les gars, personne ne sait qu'elle est ici".

Je tente de crier:

"-GGGMMMMHHH...MMMMMMHHHHHHH!!!"

"-Inutile de crier ma jolie" réplique Yuri" on va te transporter en France, là-bas tu seras intérogée par les services secret, et tu vas tout leur dire sur Yvan et son organisation mafieuse, puis enfin tu sera jugée et condamnée là-bas pour enlèvement et tes autres crimes." puis il s'adresse à ses hommes" Elle est bien ligotées mais soyez tout de même vigilent, je vous retrouverai en France dans quelques jours. Au revoir Alicia, tu vas enfin payer pour tous tes crimes ma mignonne!!"

A SUIVRE...LA SUITE!

Yuri est reparti, les 4 hommes sont toujours dans le jet et je suis toujours attachée et bâillonnée sur cette chaise. J'entends le moteur du jet démarrer, il y a encore deux pilotes à bord du jet.
Je tente tout de même de crier:

"-GGGMMMMHHH..MMMMMMMHHHH.MMMMMMMMMMMHHHHHH!!!"

"-Ta gueule, personne ne t'entendra, tes connards de mafieux ne vont pas venir à toi, alors ferme la, ou on va te donner de vrais raisons de crier!!" me dit un des hommes.

J'arrête de gémir, de toute façon ma voix est étouffée par le bâillon. Ces types sont probablement des collègues de Yuri, probablement flics ou des agents français pour l'étranger, quoi qu'il en soit ils sont des forces de l'ordre. Bande de rat, des flics et pourtant ils me kidnappent, m'attache, m'empêche même de parler, malgré leurs insignes ils ne valent pas mieux que les sbires de Yvan.
Me voilà dans un sacré pétrin, en France, Yuri n'a presque plus aucun hommes ni exploitation, il ne pourra jamais me sauver là-bas. D'ailleurs il ne pourra jamais savoir ou je suis, personne ne le sait. Mes contacts là-bas ne sauront jamais que je serai prisonnière en France !
Il faut que je me tire avant. Je tente de me dégager des cordes, je tire de toutes mes forces de mes poignets, mes bras mes jambes...rien ne se passe, mais j'y mets encore toute mes forces...rien, aller encore....non impossible, ils m'ont bien ligotée.

L'avion commence à avancer, les 4 hommes sont dans la même pièce que moi. Je n'ai plus rien, Yuri m'a confisqué mon portable et mon portefeuille. Ces trous du cul d'agents à l'aéroport m'ont bien bernée, ils étaient bien de mèches avec Yuri. D'ailleurs qui c'est exactement ce type, pourquoi un flic français s’amuse à travailler en Roumanie?

L'avion commence à décoller, les 4 hommes sont assis sur leurs sièges, moi attachée sur cette chaise fixée apparemment au sol. L'avion monte de plus en plus, je vois d'un hublot que nous prenons de l'altitude, l'aéroport apparait de plus en plus petit. L'avion est encore en train de monter, je ne peux qu'attendre, impossible de s'enfuir, même si je n’étais pas attachée. Après quelques minutes, l'avion semble se stabiliser. L'un des hommes se lève et dit à ses collègues:

"-ça à l'air bon les gars, vous pouvez quitter vos sièges si vous voulez, nous voilà parti, je vais aller voir les pilotes, je reviens dans un moment".

Il avance et entre dans la cabine de pilotage, refermant la porte. Les autres hommes parlent entre eux:

"-C'est bon tu peux dormir Jacques, on aura pas de turbulence".

"-Ta gueule George, on sait que c'est toi l'ours qui dort tout le temps".

Le troisième homme dont je n'ai pas encore le nom commence à dire:

"-Ben moi je peux vous dire que je vais pas dormir. Eh non mais regarder moi cette bombe, elles sont quand même bien foutue les petites roumaines!!"

"-Ben tu m'étonnes Bill. On parle de Yvan Soumarov, il est pas du genre a embauché des cageots. Avec des filles comme celle-là il doit vraiment pas se faire chier ce vieux mafieux!" réplique George.

"-Non mais attend, t'a vu comme elle est fringuée en plus. D'ailleurs pourquoi elle s'est habillée comme ça?" réplique Bill "enfin, on s'en fout, elle m'excite vraiment celle-là!!"

"-Ouais, pi en même temps elle est attachée, bâillonnée, personne ne saura ce qu'il s'est passé ici à part nous" réplique Jacques en s'approchant et me relookant "ouahou, j'en ai déjà vu des bonnes, mais c'est vrais que celle là elle est sacrément mignonne!"

Bill se place juste derrière moi, il touche les cordes enlaçant mes poignets et fait:

"-Oui, toute ligotée. J'ai vraiment adoré attachée cette minette. Mmiam, c'est quand même excitant une jolie fille encordée" puis il pose ses mains sur mes seins en les plotant et disant "Aah, mais comme elle est bonne, les gars c'est vraiment une aubaine!!"

Je tente de crier:

"GGGMMMMHHHH, GGMMMMGGMMMHHHHH!!!"

"Oui, j'aime quand elle gémisse bâillonnée" réplique Jacques commençant à attoucher mes jambes" Ouais, celle là c'est vraiment une bombe!!"

"Ca va les gars vous vous faites pas trop chier?" réplique le 4ème homme qui est revenu.

"Bon aller fais pas ton rabat joie, t'a pas envie d'en profiter aussi, regarde moi ce canon!!" réplique Bill.

"Vous touchez ce que vous voulez, mais pas question de la défringuée ni de la détacher, et hors de question qu'on enlève son bâillon, c'est clair?" réplique le 4ème

"-D'accord ça marche. Dommage quand même, j'aurais bien voulu me la faire celle-là." puis les deux hommes regagne leur siège, Bill me fait encore:

"-T'inquiète ma chérie, le vol va durer plusieurs heures, on aura encore du temps!!"

Bande d'enfoirés. Bon au moins je ne serai pas violée, en tout cas pas dans l'avion. Mais je déteste ça, êtres prisonnière sans défense, à la merci de ces trous du cul. Mais malheureusement c'est exactement ce qui m'attend jusqu'à ce qu'on arrive à destination. Si au moins je n'avais pas ce bâillon, je pourrai toujours essayer de les berner, je suis sur que ce serai possible, un petit coup de charme et des cons comme eux je les embobine comme je veux. Mais le 4ème qui semble être le chef est bien trop parano, je vais rester comme ça tout le long. Bon réfléchissons comment je pourrais m'en tirer. Impossible de me libérer ici, et encore plus de quitter l'avion, je ne pourrai rien faire avant d'avoir atterri à Paris. Mais si c'est les services secrets qui m'attendent...peut être que ma seule solution reste de balancer Soumarov, peut-être qu’ils m’accorderont la liberté, ensuite je disparaitrais avec ma soeur. Je verrai bien sur place.

Voilà déjà plus d'une heure que nous volons. Bill s'approche de moi pose sa main sur mon épaule et me caresse le visage avec son autre main, il me dit:

"-Ce vieux porc de Soumarov, c'est un homme béni d'avoir pu se taper une merveille comme toi! J'espère que je pourrai encore te surveiller lors de l'interrogatoire, qu'ils me chargeront de ta surveillance, je me débrouillerait pour qu'on aie du bon temps, tous les deux." Puis il termine en m'embrassant le cou, et reniflant ma chevelure comme un chien sur une femelle en chaleur.
Connard, si je n'étais pas ligotée, je t'arracherais les couilles!! Il s'est barré, autant en profiter pour me reposer, du moment que personne me plote. Je regarde tout de même autour de moi. Ily a de l'équipement, des accessoires, mais rien de coupant, et je ne peux ni bouger ni me déplacer. Bon autant me reposer, je tente de me relâcher, malgré ces cordes qui m'enroule de partout,je me met tranquillement à l'aise...

...Je commence à émerger, je crois que je me suis un peu endormie, peut- être une heure, 10 minutes, j'en sais rien du tout. Ohh, putain, un de ces cons est en train de me ploter les seins, normal que je sois réveillée, j'ouvre les yeux, c'est le 4 ème homme. Il prend la parole:

"-T'aime ça ma jolie. Oooh, moi oui en tout cas. Voilà ou ça mène de jouer à la kidnappeuse, c'est toi qui est kidnappée à présent. Dis moi d'ailleurs, ça t'a jamais gêné, de savoir que les filles que tu remettais à tes mafieux se faisait violer ou violentée. Mais ça tombe bien, en tant normal j'aurai honte d'attoucher une fille contre son gré, mais avec toi, je me dit que dans le fond c'est tout ce que tu mérites."

Puis il passe sa main sous mon juste au corps, touchant directement mes seins, pendant que je gémi, il s'extase:

"-aaahh,oui ah oui!!". Puis il saisit sa queue, voyant qu'elle est complètement dure, je regarde ailleurs, ça me suffira pour aujourd'hui. Puis de son autre main il la frotte et continue à jouir:

"-ah oui, ah oui, ah oui,ahouiahouiAH OUI OUI OUI OUI!!!.....AAAaaaaahhh" il est déjà en train de spermer. Il a enlevé sa main de mes seins pour mettre un mouchoir avant que ça déborde. Moin de 10 minutes pour éjaculer juste en m'attouchant les seins, même si je suis attirante il est vraiment en forme celui-là.

Il est retourné s'assoir avec les autres. Ils font tous une sieste, ça me donne un peu de répit. Mais j'en ai plus que marre d'être attachée!! Les hommes sont tous des pervers, je le sais depuis que j'ai 10 ans, et je déteste demeurer à leur total merci.

Après environ une demi heure, les 4 enfoirés ont terminé leurs siestes. Le 4 ème reprend la parole:

"-Bon ça va plus être très long. En tout cas, ce voyage était vraiment superbe, pour une fois qu'on a une aussi jolie dans nos filets".

"-Comment ça va se passer pour elle après " réplique Bill

"-Dès qu'on sera arriver, un fourgon avec des agens des services secrets l'attendront, on la transfèrera là-bas, un d'entre nous l'accompagnera jusqu'à leur siège".

"-Quand elle aura crachée le morceau, tu penses qu'on pourra quand même atteindre Soumarov. Dans son pays il reste pratiquement intouchable" réplique George.

"-ça passera pas l'interpole, même puissant, si on a des preuves solides contre lui, on pourra le faire chuter. On peut pas laisser un pourri comme lui en liberté, pense à toutes les filles qu'il a fait enlevé, toutes ces vies détruites!!"

Alors qu’ils font leur causette, je suis toujours au même endroit attachée et bâillonnée sur leur fichue chaise, autant les écouter, il n'y a rien d'autre à faire. Jacques reprend:

"-C'est ce qui est arrivé à la fiancée de Yuri, elle a été enlevée par la minette qui nous tient companie, elle l'avait livrée à un centre de proxo en Roumanie, heureusement, elle a réussit à s'enfuire. Je dois dire qu'on a eu de la chance qu'il ait pas laissé sa colère monter, il aurait bien pu la tuer".

"-Il savait surtout que ce qui lui attend sera rude, je suis sur que ça l'a aidé dans sa décision" réplique le 4ème.

"-Mais c'est qui qui va l'escorter d'entre nous chez les S S" demande Bill

"-On a tous un autre taf après sauf toi, c'est toi qui va l'escroter Bill espèce de gros veinard" réplique le 4eme.

"-Sérieux!?Ben je n’aurais pas gâché ma journée, oh je suis content de savoir que je vais encore la voir un bon moment."

"-ça risque d'être long, pi je ne préfère pas imaginer ressentir ce qui vont lui faire. J'espère qu'elle est bavarde sinon elle va sacrément déguster" réplique George.

"-Mais t'a quand même du cul mon vieux" réplique Jacques en se levant."Je vais voir nos pilotes" réplique-t-il.

Il se déplace vers la cabine mais s'arrête vers moi et pose ses mains sur mes seins et mon torse. Et c'est reparti. Il me fait:

"-Putain, toi on peut dire que t'a des jolie forme mon canon!"

Par réflexe je tente de bouger mes mains, mais elles sont trop serrées ça ne donne rien. J'attends qu'il ait fini. Il descend avec ses mains en plotant mes jambes, il les caresse comme une fourrure. Puis il termine en attouchant mes chevilles et mes talons. Il termine en me disant:

"-Je crois même que t'es la pute la plus sexy que j'ai jamais vu" puis repart se dirigeant vers les pilotes.

J'aperçois une horloge, mon dieu, cela fait déjà presque 4 heures que nous volons. Jacques ressort de la cabine et leur fait:

"-les gars, faites vos adieux à la fille et reprenez vos siège, on va tout de suite atterir".

Ils s'installent sur leur siège et mettent leur ceinture. De se côté je ne crois pas que j'aurais de problème.

L'avion commence à descendre, je vois Paris, cette saloperie de France, je n'y suis pas retournée de puis l'histoire de Nina, histoire qui me rattrape d'ailleurs encore aujourd'hui. L'avion descend de plus en plus, je vois la piste d'atterrissage. L'avion commence à se poser, puis ralenti au fur et à mesure. Après quelques minutes l'engin est stabilisé.

"Ok les gars, le fourgon est là, détacher ses pieds et ses jambes, et les cordes qui la relie à la chaise mais rien d'autre, Yuri nous a dit qu'elle entrainée et dangereuse!" explique le 4ème.

Les 3 hommes détaches mes chevilles mes jambes et la corde qui reliant mon torses à la chaise. Mes bras et mes mains sont toujours attachés, et je suis toujours bâillonnée. Ils me prennent par le bras et me font sortir de l'avion, le fourgon est juste là avec 6 hommes des services secret:

"-Bonjour on prend le relais comme prévu, qui d'entre vous nous accompagne" demande un des agents.

"-C'est moi, Bill Brandy, je viens avec vous"

"-Très bien, alors ne perdons pas de temps, en route, charger la!".

Les hommes m’emmènent dans le fourgon, surement un blindé. Ils me font assoir sur le banc, des hommes sont partout autour de moi. Avant que le fourgon démarre, Bill leur dit:

"-Attendez, je vais attachez ses chevilles, on prend aucun risque".

Putain, mais sont pas trop paranoe, je suis seule, ligotée bâillonnée, avec 7 chiens armés pour me surveillé, et il veut encore attacher mes pieds!? C'est parce que ça l'excite oui!!.

Il saisit une des cordes et enlace mes pieds ensemble...et sert le nœud, mes pieds sont à nouveau attachés, le fourgon avance.

"Plutôt mignonne notre pigeon, comment vous l'avez chopée" demande un des hommes, Bill réplique:

"-Elle a tenté d'enlevé une touriste à Bukarest, c'est Yuri qui l'a appréhendé, quand il a vu que c'était une protégée d'Yvan Soumarov, il a organisé en vitesse une mission pour l'extrader ici en France"

"-Malheureusement son charme va pas lui servir à grand chose. Quand elle aura tout avoué elle va passer un bon moment derrière les barreaux pour tous ces crimes. C'est bien possible qu'elle ait perpet". Replique le même homme.

Je n'essaie même pas de me détachez, c'est peine perdue. De toute façon c'était impossible de filer à partir de l'aéroport. Ce qui m'inquiète, c'est qu'a mon avis ça va pas être plus facile au siège des services sercret. Et même si je balance tout, je suis bonne pour la tôle. Quel cauchemar. Dire que j'était juste parti pour enlever une conne d'étrangère comme j'ai l'habitude, et voilà ou j'en suis quelques heures après.

Nous arrivons devant une grille entourant un immense complexe. On dirait qu'on est bien arrivé à destination. Le fourgon traverse la grille, et arrive devant le bâtiment.

"Détachez ses pieds, on va entrer" réplique le leader des SS.

On détache mes chevilles, puis il m'emmène me tenant à chacun de mes bras. Nous entrons dans le complexe, montons plusieurs étage, c'est dingue, il y a des hommes partout, comment je vais faire pour me tirer. On donne l'ordre à Bill de me surveiller dans une pièce, le temps que mon interrogatoire soit prêt. Il lui dit encore:

"-Tu peux lui enlever son baillon, ici elle peut crier ce qu'elle veut".

Bill me fait assoir sur un fauteuil dans le pièce et enlève mon bâillon, puis il me dit:

"-Je sais que ça fait beaucoup pour aujourd'hui, mais j'aurais pas d'autre occasions". Mais c'est qu'il semble beaucoup m'aimé, je crois que je pourrai m'en servir, je lui répondy:

"-Tu sais, si tu m'aurais enlevé ce bâillon avant, je t'airais dit que j'en avais envie autant au moins que toi".

"-Quoi, tu es sérieuse, alors toi aussi!?".

"-T'attends quoi, les services vont arriver d'un instant à l'autre".

Il m'embrasse à pleine bouche et se vautre sur moi sur le fauteuil. Eh merde, il me laisse quand même attachée, mais peu importe, tout n'est pas encore perdu. Je l'embrasse à pleine bouche, je fais semblant de jouir, heureusement il ne pourra pas me déshabiller, il se contente alors de m'embrasser et de me caresser de partout, je lui murmure:

"-Tu es tellement beau, oh oui, si seulement on était tout seul, juste toi et moi".

Nous entendons des pas venir. Les SS reviennent. Il me relève et se sépare de moi. Ils ouvrent la porte, leur chef dit:

"-C'est prêt on va pouvoir la déplacer".

Ils me font aller encore dans une autre pièce. Il s'agit d'une salle, blanche avec du carrelage blanc partout, des seringues et toutes sortes de produit se trouve sur la table. Ils détachent mes bras et mes mains. Mais il m'installe sur une chaise avec des sangles pour les poignets et les chevilles, ils m’attachent à nouveau à la chaise, ça me fait penser à une chaise électrique. Ils m’attachent à cette même chaise, puis Ils quittent tous la pièce, un seul homme reste avec moi. Il commence à parler:

"-Alors, madame Alicia Duca, ou plutôt mademoiselle. Inutile de repasser tous vos crimes et implications dans les affaires de Soumarov, il faut que soyez d'accord pour me dire absolument tout ce que vous avez fait depuis qu'il vous a engagé, si vous êtes d'accord, j'enclencherai ce petit magnétophone, on enregistre tout, et vous n'aurez pas de souffrance".

"-Je vous donnerai tout, mais seulement si vous me promettez une immunité, sinon je ne dirai rien!" je réplique, il continue:

"-Officiellement, vous n'êtes pas ici. Ici vous ne bénéficiez d'aucun droit, et avec la douleur vous finirez par tout avouez." me répond il en prenant sa seringue, puis il continue" le produit qui s'y trouve mettra tous vous nerfs en fusion, la douleur est intense, peut être mortel pour des cardiaques, hélas, je sais que ce n'est pas votre cas. Je vous laisse encore 20 minutes, quand je reviens si vous n'êtes pas encore prêtes à avouez, je commencerai le traitement, 20 minutes pour réfléchir!".

Avant de partir, il prend un morceau de scotch, je fais:

"-Qu'est ce que vous..mmmmhhhhh"

"-J'aime pas beaucoup être assourdi par les cris de douleurs, pendant la procédure vous serez bâillonnée, en plus les cris permette d'une certaine manière de soulagé la douleur, alors cela renforcera votre calver. Mais si dans 20 minutes vous êtes prêtes à parler, j'ôterai ce scotch et vous ne souffrirez pas, à plus tard."

Avant de sortir, il fait signe à Bill de rester dans la pièce me surveiller. Il croit que c'est plus prudent, au contraire, pour moi c'est mieux.

Aussitôt la porte refermée je tente de lui parler:

"-gmmmhhhmmhhggmmmhhh...mhhhmmhhh!!"

"-je ne suis pas autorisé à te parler Alicia!" me répond Bill.

Je cesse de gémir. Autant patientez un peu, je sais comment m'y prendre. Plus le temps s'écoule, plus il pensera qu'il perd sa chance de me garder pour lui. Je me contente de le regarder avec mes yeux doux. Je vois qu'il est mal à l'aise, il tombe sous mon charme. Je continue, il faut que j'y arrive, cette saloperie de seringue va me provoquer des douleurs impossible à contrôler, il faut que je m'en sorte maintenant.

Après environ 8 minutes, je recommence à tenter de lui parler:

"mmmmmmmmhhh..mmmmmmmmmmmhh!"

Il court vers moi et enlève le scotch et me dit:

"-Bon qu'est ce que tu veux Alicia?"

"-Je t'en supplie Bill, ne les laissent pas me faire ça, ne les laissent pas me torturer" je réponds.

"-Tu dois parler Alicia, et ils ne te feront pas de mal, ne te fais pas souffrir pour cet enflure de Soumarov!!"

"-Je me fous de Soumarov, si je parle, je serai en prison, peut-être pour le restant de mes jours, tu le sais très bien d'ailleurs!".

"-Je sais, mais admettons que je te fasse sortir, après, quoi? on sera pourchassé tous les deux, il n'essaieront peut être même pas de nous attraper vivant".

"-Bill, j'ai une véritable fortune sur mon compte, d'ailleurs si tu connais mon dossier tu dois en être conscient, il y a assez pour refaire ma vie, et la tienne, on pourra vivre ailleurs, loin de tout cet enfer!"

"-Tu es sérieuse?! Tu es prête à tout lâcher pour moi??"

"-La confiance ça fonctionne dans les deux sens," je réplique "si toi tu es prêt à tout sacrifier pour moi, je ferai tout pour toi également".

Bill attend quelques instants, il se frotte le visage. Soudain il commence à détacher mes poignets en me disant:

"-Je peux te faire quitter le complexe, si tu es avec moi ils ne se douteront de rien, mais il faudra quitter le pays au plus vite"

Pendant qu'il détache déjà mes chevilles je lui réponds:

"-Il faut qu'on rejoigne la Belgique, on utilisera l'aéroport de Bruxelles, on trouvera un hôtel là-bas, pi on décidera sur place de la destination".

Avant de partir il me dit:

"-Il faut que je te mette les menottes, si ils te voient marcher sans rien ils vont se douter que quelques choses cloche Alicia".

"-Tu as raison, je suis à toi Bill".

Je me tourne et croise mes poignets derrière le dos. Il n'attend pas pour me remettre les menottes. Nous sortons de cette horrible pièce, il reste 5 minutes avant que mon boucher reviennent.
Pendant que nous descendant les étages, je vois tous les agents armés, ils ne font pas attention à moi. Toute seule je n'aurai jamais pu quitter cet endroit. Puis je vois la porte principale, Bill l'ouvre, je vois l'extérieur, puis il ouvre le même fourgon, il me dit:

"-Reste là dedans, je te laisse les menottes au cas où il vérifierait, on va sortir"

Avant de rentrer je lui dit:

"-d'accord, je t'aime Bill!"

Il referme la porte, je suis encore menottée, mais pas pour longtemps. Le fourgon avance, il s'arrête à la grille un court instant, puis repart.

Mes mains sont toujours attachées, j'attends, ça fait déjà 15 minutes que nous roulons, ou est-ce qu'on va, espérons qu'il ne va pas changer d'avis. Soudain le fourgon s'arrête. Bill descend, mais il ne m'ouvre pas tout de suite. Allez Bill, revient, ne m'abandonne pas, pas comme ça. Après 10 minutes, la porte s'ouvre à nouveau, je viens vers lui il me dit:

"-Tout va bien, je vais pouvoir enlever tes menottes"

Je me retourne, et...enfin me voilà détachée, je lui dis:

"-Il faut que l'on parte au plus vite, ils savent surement déjà que quelques chose cloche".

"-Je les ai appelés pour dire que je devais te transférer, le temps qu'il vérifie prendra bien 2 bonnes heures, mais après ils seront après nous deux, on va partir tout de suite, j'ai déjà chargé mes affaires dans ma voiture!"

Nous prenons la route et roulons à pleine vitesse pour Bruxelle. Après une heure de route nous arrivons proche de la frontière, je me cache dans le coffre pour ne pas être vue, nous passons sans encombre, puis une heure de plus nous arrivons à Burxelles, et prenons le premier hôtel 4 étoiles. Nous arrivons dans la chambre, je lui dis:

"-je vais regarder les vols sur l'ordinateur mon chou, prépare toi, nous avons toute la nuit pour nous deux!!"

"-Oh oui Alicia, je crois que je suis amoureux de toi, je crois même que je l'ai été dès que je t'ai vu!"

Ouais c'est ça abrutis, emballe toi, c'est bien ce que je veux. Je lui dis encore:

"-Tu pourrais aller me chercher une bouteille de champagne, pour notre avenir, je crois qu'il faut le fêter!"

"-Entendu, je file à la réception, ils doivent avoir quelques choses de bon dans un 5 étoiles"

Avant qu'il ait quitté la pièce j'ai déjà trouvé un vol de nuit pour la Roumanie, heureusement que la chambre est équipée d'une imprimante, j'imprime un billet pour Mihail-Kogalniceanu, Bukarest est trop risquée pour le moment. A peine Bill est sorti de la pièce que je cherche dans ses affaires, je trouve rapidement son arme, et...parfait un silencieux, pile ce qui me fallait.

Après quelques minutes je l'entends remonter, je cache l'arme équipée du silencieux sous une couverture, il referme la porte, je lui dis aussitôt:

"-Mon amour, je veux que tu fasses quelques chose pour moi"

"-Tout ce que tu voudrais ma chérie" réplique-t-il.

"-Ferme les yeux, et laisse moi te surprendre" je réplique

Il ferme les yeux, ironiquement comme un aveugle et me dit:

"-Je sais que tu sauras me surprendre, ma belle Alicia".

A peine a-t-il fini sa phrase que je pointe son arme pile entre ses deux yeux, et j'appuie immédiatement sur la détente, il est mort sans n'avoir rien compris. Imbécile, je savais que j'arriverais à le duper si je pouvais parler, au moins ce que j'ai fait l'a vraiment surpris. Je prends les billets ainsi que l'argent de son portefeuille, une jolie somme vu qu'il comptait partir, finalement la journée n'est pas si gâchée, je quitte l'hôtel et prends le premier vol pour la Roumanie.

J'ai pu me rendre dans l'avion, il part à 02h00 du matin. J'arrive vers 06h00 en Roumanie, un taxi me dépose chez moi, par sécurité, je change mon adresse, prenant ma soeur avec moi. Je savais
que je pourrai m'enfuire, je m'en sors toujours. Cet imbécile de Bill a vraiment cru que je l'aimais, je l'ai duper, j'arrive toujours à duper les gens, ils tombent tous dans le panneau, personne
ne peut m'arrêter.

nonobound
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comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire
Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Chantage

Message par nonobound »

bon retour parmi nous nina
et quelle suite tu nous livre, cette petite alicia est décidement une sacré emmerdeuse ^^

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foulards6384
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Ce que je déteste : Les bâillon boule,ne pas avoir de partenaire pour les scéances de ligotages, tout ce qui hard
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Re: Chantage

Message par foulards6384 »

Et très bonne suite, cette Alicia est vraiment une dur à cuire, en tout cas content de te revoir parmi nous Nina :)
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Mad Hatter
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Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Chantage

Message par Mad Hatter »

En fin de compte Nina aime beaucoup le thème du viol et vengeance
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

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