Les aventures de Katy Stone

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Evasion

Seule avec Jim, la captive réalise que l’homme est jeune et manifestement fasciné par elle. Elle doit prendre le risque de l’exciter davantage.
Elle le regarde intensément
- Mmmmmhhh...ggggmmmhhh.
Si elle pouvait arriver à lui faire retirer son bâillon.
Mais le jeune homme se contente de s'approcher et de caresser les seins de la captive largement découverts par le chemisier ouvert.
- Mmmmmhhhh....mmmmmmgggmmmhhh".
Elle continue de gémir espérant qu'il retirera son bâillon.
- Ce que vous êtes belle.
Il embrasse ses seins.
Katy enrage. Qu’est-ce que ce crétin attend pour lui retirer son bâillon. Elle ne peut rien faire à part faire semblant d’aimer être pelotée par un gamin.
- On dirait que ça vous plait.
Ça a l’air de marcher finalement. Elle hoche la tête pour montrer son accord. Il continue de la couvrir de baisers. Il caresse ses jambes. Elle se tortille dans ses liens en gémissant. Le regarde intensément. Elle met dans ses yeux tout le désir qu’elle est capable de feindre. Heureusement, elle a de l’entraînement avec tous les hommes repoussants qu’elle a dû séduire pour les affaires de son père.

- Ce que j’aimerais vous embrasser.
Enfin !
Elle approuve d’un mouvement frénétique de la tête.
- Vous aimeriez aussi ?
Quel abruti. Bien sûr qu’elle adorerait être embrassée par un gamin complice de son enlèvement.
Mais ce n’est pas le moment de décourager cet imbécile. Elle met dans son regard tout le désir possible. Elle n’a jamais autant voulu être embrassée.
L’homme cède.
- Bon, mais ne le dites pas à Marc, ce sera notre secret.
Le regard de Katy exprime tout l’amour et la reconnaissance possibles.
Il enlève son bâillon et colle ses lèvres aux siennes.
Elle l'embrasse intensément, en y mettant sa langue !! Parfait. Elle fait durer le baiser le plus longtemps possible. Ce crétin sera facile à manipuler.

Le baiser lui plait. Quand il se relève, elle voit qu'il a une érection.
Il caresse ses jambes.

- Ohhh Jim...peux t'appeler Jim ??? Moi qui était effrayée d'être ainsi kidnappée. Finalement dois dire que...
- Que quoi ? Vous avez aimé le baiser. Vous aimez que je vous caresse. J'ai jamais eu une femme comme vous.
- Oui !!! Vraiment j'ai adoré, Jim! !! Jim je...oh suis un peu gênée...mais voudrais vous demander quelque chose.
Katy sourit tout en parlant.
- Demandez ce que vous voulez.
- Je....bon. J’ai peur de vous choquer. Une dame ne doit pas demander une chose pareille.
- N’ayez pas peur, je ne serai pas choqué.
- Je voudrais beaucoup voir votre sexe Jim !!!
Il a l’air surpris. Zut, elle est allée trop vite.
- Vraiment ?
- Je le savais, je vous ai choqué. Vous n’aimez pas qu’une femme parle comme ça.
- C’est que… je n’ai pas l’habitude qu’elles soient aussi directes. Ni même qu’elles me regardent comme un homme.
- Ce sont des idiotes. Qui ne savent pas apprécier ce qui est beau. Et je suis sûre que votre sexe est très beau.
Ça marche. Le jeune homme excité défait son pantalon et exhibe son sexe.
- Oh JIM !!!
Elle se lèche et se mord les lèvres.
- Jim, je veux... je voudrais tellement vous faire l'amour !!! Si seulement vous n'étiez pas obligé de me laisser attachée !!!
- Marc a été très strict. Je ne dois pas vous libérer. Déjà que j'ai retiré votre bâillon.
- Et ne je dirai rien à Marc. Mais je ne pense pas que ce soit si nécessaire !! Vous êtes tellement musclé !! Même si je voulais m'enfuir, je ne pourrais pas me mesurer à vous.... Mais je comprends... les ordres sont les ordres... mais quel dommage.
Elle soupire.
- Vous êtes tellement beau...votre sexe est d'une si belle taille !! voudrais tellement, l'avoir dans mon petit minou !!! La vie est trop injuste Jim !!!"
Jim s'approche.
Et si vous détachais les mains et les bras, vous pourriez le prendre dans votre main et peut-être dans votre bouche.
- Ohhh Jim....mais comment pourrai-vous embrasser ainsi ?? Mais si vous y tenez, suis prêt à le faire...j'en...j'en ai vraiment envie !!"
- D'accord.
En hâte, il libère ses bras, ses mains et son torse en tranchant les corde avec un couteau. Katy est toujours attachée à la chaise par la taille les cuisses et les chevilles. Il pose le couteau loin d’elle.
- OOOhhhh Jim !!!
Katy saisit son sexe et le frotte intensément !!
- Oooh, c'est trop bon. Vous savez y faire.
- C'est parce que j'adore ça mon beau Jim
Elle frotte de plus en plus fort afin de lui donner un maximum de plaisir.
- Et pourquoi tu ne poserais pas tes mains sur une partie plus intime de mon corps...crois que mes seins ont très envie de sentir tes mains Jim !!!"
Jim pose ses mains sur ses seins.
- Vous aimez ça !!!!
- Ohhhh oui Jim !!! Oh Jim, Caressez mes jambes, mes jambes, j'en ai tellement envie !!! OHH JIM !!!
- Ooohh oui. Vos jambes sont si douces.
- OOOOHHHH OUIIIII !! OOHHH JIM !! JE VOUDRAIS TELLEMENT POUVOIR ECARTER MES JAMBES !!! JIIIIIIM !!!!"
- Oui et je vous baiserai toute la nuit.
- OHHH OUIIiii, Jim !!! je voudrais tellement !!!
- D'accord.
Jim saisit le couteau et coupe les liens de ses jambes et de ses chevilles. Il jette le couteau au loin et commence à retirer la jupe de Katy.
Elle l'embrasse tout en saisissant son sexe, le frottant ardemment !!
Il retire la jupe de Katy et il l’allonge sur le sol. Elle émet un petit cri de douleur.
- Aïe...ouaïe, ce sol.... c'est pas ce qu'il y a de plus confortable... Jim, ça te gêne si suis au-dessus??"
- Tout ce que tu veux. Du moment que suis en toi.
Il s’allonge
- OOOhhh ouiiii, ou mieux encore !!! Si on le faisait sur ton beau bateau Jim !! puis tu me la mettras...ou tu veux !!!
- Sur le bateau tu es sûre. Je ne sais pas si je vais tenir jusque là
- OOOHhh, je pense pas non plus. Ferme les yeux mon beau Jim et laisse-moi faire, ne peux plus attendre !!
Jim obéit et ferme les yeux. Katy donne aussitôt plusieurs grands coups de pieds écrasant sur ses testicules !!

Il hurle.
- Salope.
Jim essaie de se relever malgré la douleur.
Katy court vers le couteau et le ramasse au passage, elle se retourne face à son adversaire.
- Ne t'approche pas de moi espèce de sale pervers, j'hésiterai pas te l'enfoncer dans le coeur salopard !!
- Bon ça va. Vous n'irez pas loin de toute façon. Marc a pris le hors-bord. Il ne reste qu'une barque.
- Où est-elle cette barque ??
- A l'embarcadère là où on vous a débarqué. Vous faisiez moins la fière alors. Comptez pas sur moi pour ramer.
- Lance moi les clés de la pièce, tout de suite !!
- Vous comptez aller loin à moitié à poil. Avec votre chemise et vos chaussures.
- Lance moi les clefs immédiatement, mes fringues aussi, sinon je te tue et après je les prendrai !!
- OK. Vous gagnez… pour l’instant
Il lance les clefs et les vêtements de Katy.
La jeune femme le quitte un instant des yeux. Il se jette sur elle. Tord le poignet qui tient le couteau. Katy laisse tomber l’arme sur le sol. L’homme tente de la ramasser. Katy en profite pour lui donner un nouveau coup de pied. Jim se tord sous l’effet de la douleur. Katy s’empare de la chaise sur laquelle elle était attachée et frappe violemment son adversaire sur le crâne. Il s’écroule inconscient. Katy ramasse le couteau. Observe le jeune homme. Envisage un instant de lui enfoncer la lame dans le cœur. Renonce.
Elle sort de la pièce et referme à clé. Elle remet ses vêtements et se dirige vers la barque
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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Pauvre petit jeune gardien !
Subir une pareille tension érotique pour finir avec les bijoux comme des pastèques et assommé...
Sa fougue amoureuse lui a joué un beau tour ! :lol:

J’espère juste pour Katy qu'il ne va pas émerger trop vite de l'inconscience... Parce que sinon !... :twisted:

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Le village

Le plus urgent est maintenant d'atteindre la terre ferme puis d'appeler son père à la première occasion. Aucun signe de Marc pour le moment. Elle arrive à l'embarcadère...

Elle voit la barque. Il fait nuit. Elle voit les lumières d'un village de l'autre côté de l'eau.
Elle monte dans la barque et se dirige vers le village en question. Elle commence à ramer.... Se rapproche du village, tente de distinguer ce qui s'y trouve...

Enfin elle arrive à un autre embarcadère. Amarre la barque. Décide de rejoindre le village pour demander de l'aide.

Elle tient le couteau dans ses mains. Pas très pratique pour demander de l'aide. Mais il pourrait s'avérer utile. Autant le cacher à proximité. Pourquoi pas dans cette cabane devant le ponton de l'embarcadère. La porte n'est même pas fermée à clef. Elle y pénètre. Elle voit une table. Elle glisse le couteau dans un tiroir. Personne ne viendra là avant demain. Et elle espère bien avoir quitté cette région pourrie d'ici là.

Il est temps de rejoindre le village.

Elle voit ce qui semble être un bistrot. Il y a des lumières, du bruit, des gens qui parlent.
Elle s’y dirige, ouvre la porte et entre à l'intérieur...

Le silence se fait quand elle entre il y a une dizaine d'hommes et autant de femmes.Elle continue à marcher doucement, se dirigeant vers le bar...Quel silence tout de même !!
- Vous voulez boire quelque chose ma petite dame. dit le barman.
- je...je...est-ce que peux emprunter votre téléphone, c'est assez urgent !!
- Vous avez de quoi payer la communication ?
- Pas vraiment, mais c'est pour appeler mon père, il vous paiera dès qu'il viendra. Mais pour ça je dois utiliser le téléphone pour l'appeler, vous comprenez ?
- Appeler votre père. Mais c’est que je le connais pas votre père. Et je ne vous connais pas non plus d'ailleurs.
- Je...suis Katy, Katy Stone, vous avez peut-être davantage entendu parler de mon père, William Stone !!
- Ah vous êtes Katy Stone. Là c'est différent. Sûr qu'on vous connait.

Le ton est glacial.

- Bien sûr, j'imagine...je...peux donc emprunter votre téléphone ?
- Je ne crois pas non.

Katy sent que les clients l'entourent et se rapprochent. Elle commence à avoir peur, vraiment peur.
- Bon très bien, je ne vais pas davantage vous ennuyer.

Elle tente de se diriger vers la sortie. Plusieurs hommes s'interposent.
- Ne partez pas si vite, on va vous faire un petit cadeau.
- Je... c'est gentil mais…une autre fois d'accord ? Je reviendrai promis !!
- Faudra vous dépêcher et revenir avant que le village soit noyé par le barrage de votre père.
La sortie devant elle est totalement bouchée par les hommes. Sa respiration s'accélère.
- Je...je.... Bon bien...quel...quel cadeau voulez...voulez-vous m'offrir ?
- C'est pas vraiment un cadeau. Un jeu ou un pari plutôt.

Un des hommes saisit ses poignets et amène ses bras dans le dos.

- NON, arrêtez !!! Lâchez-moi !!! Qu'est-ce-que vous faites !!??"
Elle sent des cordes qui entourent ses poignets dans son dos.
- NON !!! ça suffit !!! Vous n'avez pas le droit !!! Arrêtez-ça tout de suite, relâchez-moi maintenant !!! ça suffit votre petit jeu !!!
- Mais le jeu ne fait que commencer. Tu as de la chance. Tout le village est dehors cette nuit.
- Qu'est-ce que vous comptez faire de moi !!!??? Pourquoi vous m'attachez ???
- C'est un pari. Si tu trouves une seule personne pour te libérer avant le retour de Marc on te laisse partir.

Les poignets de Katy sont à présent solidement ligotés.

- Marc !!! Comment ça, vous le connaissez ???
- Tu perds du temps ma mignonne. On connait Marc et on connait ses plans. A présent tu n'as plus qu'à trouver un habitant du village qui accepte de te libérer.
- Je peux sortir du bar !!??
- Bien sûr, on n’est pas des sauvages. Mais tu ne vas pas essayer de convaincre un d'entre nous de te libérer ?
- Quelqu'un du bar ?? Ou n'importe qui dans ce village ?
- N'importe qui du village.
- Bon très bien on va commencer par le bar. ECOUTEZ MOI TOUS !! VOUS SAVEZ QUI SUIS ET QUI EST MON PERE. JE PROMETS 5 MILLIONS DE DOLLARS AU PREMIER QUI ME LIBERERA !!

Personne ne bouge. L'homme sourit.
- Tu commences mal. On sait ce que valent tes promesses et celles de ton père. Par contre ça mérite un gage.
- Je suis prête à subir votre gage...mais avant, pour prouver ma bonne volonté, je n'ai pas d'argent en ce moment, et aucun objet de valeur sur moi, mais suis prête à passer la nuit avec le premier qui se décidera, il pourra constater...à quel point je peux être reconnaissante !!

L'homme prend de nouvelles cordes pour attacher les bras de la jeune femme.
- On devrait peut-être demander l'avis de leurs épouses.
- Tous les hommes sont mariés ici !!?
- Non pas tous mais même ceux qui ne sont pas mariés hésiteront à accepter ta proposition devant les femmes du village.
- Pourquoi vous attachez mes bras maintenant ??
- C'est ton gage ma chérie. A chaque échec, tu gagnes... de nouveaux liens.
- Mais… C’est injuste. Vous ne m’aviez pas prévenue.
- Pour une fois, ce n’est pas toi qui décide ce qui est juste ou injuste.
- Très bien, je vais essayer de convaincre quelqu'un d'autre dans le village !! J'espère que vous ne serez pas trop déçu quand vous découvrirez que cette autre personne est devenue millionnaire à votre place !!!

Katy se dirige vers la sortie, une des femmes s'interpose.
- On devrait la bâillonner.
- Vous aviez dit que pouvais essayer avec d'autres personnes du village.
L'homme répond.
- C'est vrai mais c'est désagréable de voir que tu comptes encore t'en sortir avec le sexe ou l'argent. Je vais donc devoir changer les règles. Si tu promets encore de l'argent ou de la baise pour être libérée je te bâillonne.

- Okay, c'est compris. Ecoutez tous. Voilà ce que vous propose. Je peux faire pression auprès de mon père pour qu'il ne construise pas le barrage qui vous pose problème. Comme vous n'avez pas confiance en moi, vous n'aurez qu'à me garder prisonnière, le temps que le projet soit annulé. Qu'en dites vous ??
- C'est le plan de Marc. S'il te convient, c'est parfait. On te remettra entre ses mains à son retour.
Finalement, cette solution ne plait pas à la jeune femme.

- Je peux tout de même sortir du bar et tenter ma chance d'être libérée ??
- Bien sûr mais tu ne sors pas du village. Et tu connais les règles. Pas de promesse d’argent ou de sexe.

Katy sort sans rien dire, à la recherche de quelqu’un d'autre.

Elle voit une place. Un groupe d'homme et de femmes jeunes. Un homme âgé seul. Deux femmes assises devant leur maison.

Katy se dirige vers les deux femmes devant leur maison en criant et pleurant :
- AU SECOURS, PITIE, AIDEZ MOI !!! IL VA REVENIR, IL VA ME VIOLER ET ME TUER !!! S'IL VOUS PLAIT JE NE VEUX PAS MOURIR.
Puis elle recommence à pleurer me rapprochant des deux femmes. Une des deux femmes la prend dans ses bras.
- Qui va vous tuer ma petite ?
- Il... je ne connais pas son nom...un homme qui m'a kidnappée alors que me promenais sur cette ile...il a déjà tué d'autres filles après les avoir violée...pitié aidez-moi !!
- Je vis ici depuis toujours et je n'ai jamais rien entendu de tel. Vous êtes sûre ?
- Pitié, il allait me violer...me tuer...vous en supplie libérez moi...ne veux pas mourir.
La femme la serre dans ses bras "
- Mais vous qui êtes-vous ? ne vous connais pas.
- Je...je… m'appelle Pauline...Pauline Green...suis en train de faire mon master en écologie, j'étudie sur les effets des entreprises néfastes pour l'environnement...votre ile est en danger à cause de l'entreprise Stone...Je suis ici pour faire un rapport complet des dangers que comporte ce projet de barrage… et je voulais m'en servir pour inciter le gouvernement à abandonner ce barrage pour sauver l’ile et le village !! Mais quand je suis arrivé sur cette île, cet homme m'a enlevée et.... ce que j'ai vu...les cadavres de ces filles....c’est horrible, j'ai tellement peur maintenant !!!!

- Oh que c'est laid de mentir mademoiselle Stone.

Katy espère qu'elle a mal entendu.
- Comment m'appelez vous ??? Non non non non non !!!! je vous assure, je n'ai rien à voir avec la famille Stone !!!
- Comment pouvez-vous croire que quelqu'un du village ignore le visage de celle qui est responsable de sa destruction.

Les pensées se bousculent dans la tête de Katy
Cette femme sait qui elle est ...tout le monde sait qui elle est !! Comment va-t-elle s’en sortir !? Le couteau !!! dans la cabane !!! elle pourra s'en servir pour couper ses liens, puis partir ailleurs avec la barque. Elle commence à se déplacer en direction de l'embarcadère.

La femme la retient.
- Le gage d'abord.

Avec l'aide de son amie, elle attache le torse de Katy au dessus et au dessous des seins tout en bloquant ses bras contre son dos.
- J'espère que vous appréciez, espèce de cinglée !!

Le ton de la jeune femme est sarcastique. Mais elle est affolée. Le haut de son corps est complétement attaché. Elle est consciente d’être à nouveau une captive ou d’être sur le point d’en redevenir une.

Elle commence à s’éloigner des deux femmes mais une d’entre elle s’interpose.
- Je crois que cette petite insolente mériterait d'être bâillonnée.
- Ecartez-vous de mon chemin, vous n'avez pas conscience de l'erreur que vous commettez en me martyrisant de la sorte...Mon père finira par me libérer d'une façon ou d'une autre !! Et ferai tout pour détruire votre ile d'écolo maudite !!
- Décidément, tu dois aimer les bâillons.
Les deux femmes la retiennent. Une brandit une boule de tissu, l'autre une large bande du même tissu.

Katy réalise qu’elle a fait une erreur. Elle ne peut pas être bâillonnée. Ce serait renoncer à toute chance d’être libérée. Elle doit faire preuve d’humilité.
- Attendez...bon d'accord je suis désolée, je m'excuse !! Comment est-ce que je fais pour qu'on défasse mes liens ?? Qu'est-ce que je dois faire pour que l'on me détache ??
- ça, c'est à toi de le découvrir ma mignonne. On ne te bâillonne pas mais va embêter quelqu'un d'autre. On t'a assez vu.

L'ordre est accompagné d'une tape sur les fesses. Le geste surprend et agace Katy qui oublie ses bonnes résolutions.
- Sale garce !!! Comment oses-tu me donner une fessée !!!
Elle accompagne sa phrase d’un coup de pied maladroit qui rate son objectif. C’est une nouvelle erreur. Elle réalise que le groupe de jeunes hommes et jeunes femmes s’est rapproché.
- Qui t'a autorisée à insulter et frapper l'une d'entre nous.

Ils l’entourent la retiennent et la tiennent par les épaules. Folle de rage, Katy oublie toutes ses "bonnes" résolutions.
- Allez tous vous faire foutre, bandes d'enfoirés d'écolos !! Vous n'êtes qu'une espèce en voie de disparition, vos jours sont comptés !!
- Décidément, tu aimes les ennuis.

Un des hommes noue autour de ses chevilles une corde juste assez large pour pouvoir marcher.
- Essaie de donner des coups de pieds maintenant.
- Okay !!! Vous voulez une proposition, en voici une : si vous refusez de me libérer maintenant, je vous promets que je ferai tout pour détruire votre île, et mon père paiera les meilleurs avocats du monde, pour tous vous foutre en prison pour le restant de vos vies !!!
- Cette fois, crois qu'on l'a assez entendue.

Une des jeunes femmes enfonce la boule de tissu dans a bouche de la captive. Une fine bande placée entre ses lèvres bloque la boule de tissu. Une autre bande plus large recouvre entièrement sa bouche. Elle sent que les noeuds sur sa nuque sont très serrés.
- Ggggmmmhhhh!!!mmmmhhhh.

Katy entourée d’ennemis commence à marcher. Les hommes et les femmes s’écartent pour la laisser passer. Au moins, ils respectent la règle de leur jeu ignoble.

Il est vrai qu’elle ne peut plus faire grand chose, ligotée et bâillonnés comme elle l’est. Ses bras sont plaqués dans son dos. Son torse est totalement immobilisé. Le bâillon parfaitement enfoncé et fixé par les boules de tissu ne lui permet de s’exprimer que par de ridicules bafouillis. Et les liens de ses chevilles ne l’autorisent qu’à marcher lentement et maladroitement.

Pourtant, déterminée à tenter sa chance jusqu’au bout, elle se dirige vers l'embarcadère. Une fois devant la cabane, elle réalise qu'elle doit ouvrir la porte.

Avec ses mains attachées dans le dos.

Elle appuie ses fesses contre la porte. Cherche fébrilement la poignée avec ses mains liées. C'est trop dur. Où est passée cette fichue poignée. Enfin elle la sent entre ses doigts. Fait pression de toutes ses forces. Réalise que la porte s'ouvre vers l'extérieur. Elle doit la tirer alors qu'elle s'est appuyée dessus. Elle tente d'avancer. La fatigue, l'angoisse et le ligotage ne l'aident pas. Elle sent la poignée lui échapper. Elle doit recommencer. Se coller à la porte. Chercher la poignée. Tirer la porte. Maudits villageois. Cette bande d'ignares regrettera son attitude ignoble.

Cette fois elle a réussi. Elle tire la porte. Lâche la poignée pour se retourner et pénétrer dans la cabane.

Et voit la porte se refermer avant qu'elle puisse entrer. Elle tente pourtant sa chance mais trébuche avec ses chevilles entravées. Et se retrouve à genoux sur le sol.

Des larmes de rage coulent sur son visage et vont se perdre dans son bâillon. Elle se relève difficilement, gênée par l'étroit ligotage de son corps et de ses membres et tente une nouvelle fois d'ouvrir la porte. Heureusement que ces crétins de villageois n'ont pas tenté de la suivre. Ces abrutis sont trop respectueux des règles de leur jeu débile.

Elle réussit de nouveau à ouvrir la porte. La tire au maximum. La contourne en tentant de la bloquer avec son pied entravé. ça marche. Elle la pousse jusqu'à l'ouvrir au maximum. La porte reste grande ouverte. Elle a réussi.

Le tiroir à présent. Heureusement qu'elle ne l'a pas fermé à clef et qu'il a une petite poignée qu'elle pourra saisir avec ses doigts malgré ses poignets ligotés. Evidemment, elle doit encore tourner le dos et chercher la poignée avec ses doigts douloureux après tous ces efforts. Elle sent l'anse, elle tire. Le tiroir s'ouvre. C'est bien plus facile que la porte. Elle sent qu'elle sourit sous son bâillon.

Le plus simple est de faire tomber le tiroir. C'est fait.
C'est curieux, elle s'attendait à entendre le bruit du couteau heurtant le sol. Elle se retourne. Heureusement que la pleine lune apporte un éclairage suffisant pour voir l'intérieur de la cabane.

Le couteau n’est pas là !!!???

C’est impossible. Il doit être sous le tiroir. Elle donne un coup de pied. Le tiroir se déplace. Pas de couteau. Elle frappe le tiroir. Le bois n'est pas très solide et se brise facilement. Le couteau n'est pas dessous. Elle parcourt le sol des yeux et doit se rendre à l'évidence : le couteau n'est plus là.

Désespérée, elle sort de la cabane.

Elle doit retourner au village. Trouver un moyen de se libérer.

L'homme du bar est sur son chemin.
- C'est ce que tu cherchais?
Il tient le couteau à la main.
- GGGGMMMMHHHH!!!
Quel salaud, il l'avait pris auparavant. Elle se dirige vers l'homme qui recule en souriant des efforts ridicules de la prisonnière.`

Deux individus surgissent et la maîtrisent sans mal.
- GGGGMMMHHHH....MMMMHHHH!!

Un des hommes retrousse sa jupe. L'autre passe une corde autour de sa taille puis la noue devant, la fait passer entre ses cuisses puis remonter le long de ses fesses pour l'attacher à ses poignets.

Katy tente de se débattre...rien à faire. Elle est trop bien attachée...une chance qu’elle puisse encore marcher.

Si elle essayait de pleurer, ça avait marché avec Marc. Autant tenter avec ces hommes !! Elle tombe par terre intentionnellement, reste au sol quelques instant et commence à sangloter.

- Je crois que tu as perdu. Sangloter n'y changera rien.

Décidément ces ordures sont sans pitié. Inutile de continuer à s'humilier ainsi.

- Toutefois, j'ai décidé de te laisser une dernière chance.
- Mmmmhhhhh ???
- Marc ne reviendra que demain. Nous allons te laisser ligotée sur la place du village avec le couteau inaccessible pour toi.
- GGGGmMMHHH!!! MMMHHHH???

Que veulent-ils ?? Comment pourrait-elle se libérer sans le couteau ??

- Si quelqu'un du village décide de te détacher avant l'aube. Tu es libre.

Personne ne semble vouloir la libérer...comment pourrait-elle les convaincre ligotée et bâillonnée ??

Les hommes la conduisent jusqu'à la place du village ligotent ses chevilles et ses cuisses. Puis relient les liens de ses poignets à ceux de ses chevilles. Ils l'abandonnent ainsi. Les lumières s'éteignent. Il n'y a plus un bruit. Elle est seule à genoux éclairée par la seule clarté de la pleine lune.

Katy tente de se débattre....
Saletés de cordes, elles sont trop solides, et elle est trop bien ligotée...il faut qu’elle appelle quelqu’un. Elle crie.
- GGGGMMMMHHH !!! mMMMMMHHHH!!!MMMMMMHHHH"
Tout en continuant de se débattre.

Personne ne vient.

Rien à faire...Elle est leur prisonnière désormais...A leur totale merci... ligotée, bâillonnée... leur otage...

Comment pourrait-elle s'en sortir ??
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par cowboygf »

c'est bien fait pour cette petite garce, ils ont raison :langue:
le baillon est une chose trés efficace surtout pour ce genre de demoiselle..................vivement la suite!

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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

L'idée de tout un village qui se ligue contre un projet est original !
D'autant plus que l'insolence de Katy n'arrange rien ! :-)

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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Avant la pluie

Katy rêve d’un rêve fiévreux. Elle est libre. Tous les villageois sont à ses pieds. Suppliants, effrayés à l’idée des supplices qui les attendent pour l’avoir humiliée. Derrière elle, les soldats attendent ses ordres, prêts à massacrer ces misérables larves.
Elle en oublie la douleur dans ses bras, ses poignets, ses jambes. L’infâme douleur qui parcourt son corps. Elle refuse de s’inquiéter du gémissement qui semble ne jamais devoir cesser. Elle ne veut pas savoir d’où ni de qui il vient. Elle ne veut pas se réveiller et découvrir que ce gémissement est… le sien.

Le sien !!!???

Elle reprend conscience. Quitte son rêve pour revenir dans son cauchemar. Elle est toujours ligotée et bâillonnée sur la place de cet infect village. La seule lumière vient de la pleine lune qui contribue à amplifier la sensation cauchemardesque de ce qu’elle vit. L’aube est encore loin. Elle la craint et l’espère. Elle est certaine qu’aucun de ces stupides villageois ne viendra la libérer. Tous la détestent au point de préférer l’humilier à gagner une somme considérable d’argent.
Elle entend des voix qui s’approchent. Des hommes et des femmes. Jeunes. Des rires. Est-ce d’elle qu’ils rient. Elle ne veut pas le croire. Personne n’a jamais osé rire d’elle. Mais personne n’avait jamais osé la traiter ainsi.
Le groupe est là. Deux jeunes hommes et deux jeunes femmes. Ceux qui l’ont bâillonnée et qui lui ont ligoté les chevilles quand elle espérait encore mettre la main sur son couteau. C’était bien d’elle qu’ils riaient. Elle reste la tête baissée. Elle ne veut pas croiser leurs yeux. Prendre le risque de les supplier vainement d’un regard d’un gémissement alors qu’elle sait qu’elle n’a aucune pitié à attendre.
- Elle fait moins la fière à présent.
C’est un des femmes qui a parlé. De quel droit cette garce se pense-t-elle supérieure à elle.
Katy lève la tête oubliant ses précautions et lance un regard furieux à l’insolente qui a osé se moquer d’elle. Ce qui provoque un grand éclat de rire du groupe.
- Elle a encore des réserves.
- Et elle ne manque pas de courage.
- Du courage ou de la stupidité. Dans la situation où elle est, ses regards furieux sont tout ce qui lui reste.
Une des filles réagit.
- Ce n’est pas une raison pour la laisser faire.
- C’est vrai, il est important de lui rappeler qu’elle n’est plus en position de faire la maline.
- Cela pourrait sembler injuste. Imagine que quelqu’un veuille la libérer. Il n’osera pas si nous sommes là.
- Et bien tant mieux.
- Le maire a promis que si quelqu’un la libérait, elle pourrait partir. Nous n’avons pas le droit de nous y opposer.
Ainsi, c’était le maire l’homme qui a poussé tout le village à l’humilier. Elle le lui fera regretter.
- D’accord, on va la laisser. Mais il reste plusieurs heures avant l’aube. On peut jouer un peu avec elle. Et si quelqu’un a envie de la détacher, il pourra le faire après notre départ.
- Très juste. Personnellement, je la trouve encore un peu trop habillée.
Le jeune homme qui a prononcé ces mots s’approche de la captive et écarte les pans de sa chemise qu’il rabat et descend le long des épaules et des bras jusqu’à ce qu’il soit arrêté par les liens. Il dégage ensuite le tissu qui cachait à peine la poitrine de la prisonnière.
Katy ne s’est jamais considérée comme quelqu’un de pudique mais être ainsi exposée à la merci de ses idiots de villageois est une nouvelle humiliation.
- Il faut reconnaître qu’elle est plutôt bien foutue. Vous êtes pas d’accord les garçons ?
- Tu crois qu’on pourrait la faire jouir.
- Mais dites donc les gars, on dirait que cette pute vous excite.
Une des jeunes femmes se penche sur Katy.
- Tu sais qu’on a récupéré Jim.
Comment pourrait-elle le savoir. Ligotée et bâillonnée sur cette place. Mais évidemment il ne s’agit pas d’une question.
- Il nous a raconté comment tu l’as manipulé. Tu voulais voir son sexe. Tu veux peut-être voir celui de nos copains.
Katy est de plus en plus effrayée. Les deux filles semblent déterminées à lui faire payer sa tentative ratée d’évasion. Sur un geste d’elle, les deux hommes exhibent leur sexe.
- Lequel te plait le plus. Il semblerait que tu sois une experte. Lequel veux-tu dans ton petit minou.
Ça ne peut pas être par hasard qu’elle reprend l’expression que Katy a employé avec Jim. La captive regarde les deux jeunes femmes avec des yeux terrifiés. Elle ne joue pas la comédie. Ces deux filles semblent déterminées.
- Remballez votre matériel les gars, elle ne mérite pas d’y gouter.
- Elle mérite quand même une bonne leçon.
Un des hommes intervient.
- Il me semble qu’elle est déjà bien punie. Exposée ainsi sur cette place. Ligotée et bâillonnée comme elle est, elle peut à peine bouger le petit doigt.
- Elle peut bouger la tête.
- Tu as raison. Il faut régler ça.
Katy devine ce qui l’attend. Elle supplie ses tortionnaires du regard. Proteste à travers son bâillon. En vain. Une des filles saisit ses cheveux qu’elle réunit en une tresse à laquelle elle noue une corde puis relie cette corde aux liens des bras de la captive qui sent que sa tourmenteuse tire sur la corde jusqu’à ce qu’elle soit obligée de tenir sa tête en arrière. La villageoise noue alors la corde afin de maintenir sa victime dans cette douloureuse position.
La prisonnière constate alors qu’elle est totalement immobilisée. Réduite à des mouvements minuscules, ridicules et douloureux. Les efforts qu’elle fait pour trouver une position moins inconfortable ne font que serrer davantage les nœuds.
- Maintenant, on pourrait peut-être la faire jouir.
- Bonne idée.
Les deux jeunes femmes caressent la poitrine de la captive qui sent que ses seins durcissent malgré elle. Les deux jeunes hommes s’approchent lui embrassent les épaules. L’un d’entre eux glisse une main entre ses cuisses.
Katy sent qu’elle ne contrôle plus son corps.
Le quatuor diabolique la conduit ainsi jusqu’à l’orgasme et la regarde ensuite se tordre dans ses liens, incapable de maîtriser les spasmes de son corps et les gémissements qui franchissent la barrière de son bâillon.
- Je parie que t’as aimé ça, salope.
La jeune femme qui s’est exprimée ainsi est manifestement la chef du groupe. La captive essaie d’éviter son regard de crainte de l’inciter à poursuivre ses tourments.
Katy horrifiée songe qu’elle a définitivement renoncé à toute dignité. Mais comment peut-elle se le reprocher dans sa situation actuelle ?
- On ferait mieux de partir. On est en train de fausser le résultat de l’épreuve qu’a proposée le maire.
- Tu crois qu’il était sérieux. Qu’il la laissera partir si quelqu’un la libère. Ou qu’il l’écoutera si elle dit qu’on a influencé le résultat.
- Tu as raison mais on a assez joué avec elle. Et il va bientôt pleuvoir.
- Tu as raison.
L’ignoble jeune femme caresse une dernière fois le visage de la captive.
- Profite bien de la pluie ma mignonne.
Le groupe infernal part en riant, abandonnant Katy dans sa douloureuse position.
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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Pauvre Katy exposée à la vindicte populaire ! Je crains qu'elle doive changer son fusil d'épaule si elle veut être libérée ! :-)

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cowboygf
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par cowboygf »

superbe la suite, cette petite garce ne merite que ce qu'elle a cherche :lol: :lol:

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Pendant la pluie

Quelques instants plus tard, la jeune femme sent quelques gouttes chaudes tomber sur son front. Ses tourmenteurs n’ont pas menti. Il va pleuvoir. Une des pluies diluviennes que connaît ce pays. Et elle est exposée au milieu du village sans aucun abri.
Si au moins, cela pouvait détendre ses liens. Mais elle en doute les gens du village connaissent ses pluies et elle est certaine qu’ils utilisent des cordes adaptées à ce type de situation. De toute façon, elle ne va pas tarder à en avoir la confirmation.
En effet, les gouttes deviennent de plus en plus nombreuses, imprègnent ses vêtements déjà mis en mauvais état par toutes les épreuves qu’elle a subi. S’insinuent entre ses liens et sa peau sans que cela procure le moindre soulagement au contraire. Glissent sur son front exposé depuis que ses cheveux sont reliés aux entraves de ses bras. Humectent son bâillon. Se mêlent aux larmes de rage qui coulent de ses yeux
Puis soudainement, des tonnes d’eau semblent se déversaient sur la captive qui ne peut que subir cette nouvelle épreuve. Elle a le sentiment que son corps entier est fouetté brûlé par ses trombes d’eau. Que son bâillon imbibé enfle dans sa bouche. Elle tire sur ses liens dans le vain espoir de dégager ses poignets mais les villageois connaissent leur climat et les nœuds restent inévitablement serrés.
Puis les gouttes s’espacent et la pluie cesse progressivement alors que les premières lueurs de l’aube apparaissent emportant les derniers espoirs de la prisonnière.
C’est alors qu’elle entend des voix qu’elle reconnaît sans peine. Celle des deux convoyeurs qui envisageaient d’abuser d’elle.
- Mais on dirait que c’est notre petite copine. Dis donc, ils t’ont mis dans un drôle d’état depuis qu’on s’est séparé.
- Il paraît que t’as fait des propositions intéressantes aux villageois et qu’ils les ont déclinées. On venait voir si on peut en profiter.
Katy tente de hocher la tête pour montrer son approbation. Mais elle est gênée par ses cheveux toujours liés aux liens de ses bras et son bâillon toujours imbibé d’eau empêche toute possibilité d’émettre un oui même étouffé. Heureusement un des individus libère sa chevelure ce qui lui permet d’afin approuver énergiquement la proposition.
- Attention, on avait entendu parler d’un acompte. On le veut aussi.
La captive comprend l’indécente réclamation de l’individu. Mais elle s’est engagée et devine qu’elle n’a pas le choix. Elle approuve sans enthousiasme.
- C’est pour tous les deux, l’acompte. Et t’as intérêt à prouver que ça en valait la peine.
Décidément rien ne lui sera épargné. Elle approuve une nouvelle fois.
- Bien, tu permets qu’on vérifie la qualité de la marchandise. On a manqué de temps avec Marc. De toute façon tu n’as pas le choix.
La jeune femme doit alors supporter un examen de son corps par ces deux individus sans pudeur et sans scrupules. Elle s’inquiète du fait que l’aube est proche et se demande ce qui se passera si ils sont encore là quand les villageois et le maire sortiront. D’autant plus qu’elle est toujours ligotée et bâillonnée.
Mais les deux hommes ont résolu le problème d’une façon peu agréable pour elle. Ils glissent un bâton de bois sous ses aisselles et la soulèvent sans efforts.
La position n’est guère agréable pour la jeune femme dont les chevilles sont toujours reliées aux poignets et collés contre ses fesses. Mais cela ne gêne pas ses « sauveurs » qui n’ont même pas pris la peine de lui retirer son bâillon. Katy mécontente de la situation tente de protester. Sans succès.
- Tu croyais qu’on allait te libérer. Il va falloir patienter ma mignonne. On va d’abord faire un petit voyage dans le van. Ensuite tu paieras l’acompte promis puis tu appelleras ton père pour qu’il nous verse l’argent. Ensuite tu seras libre.
Katy enrage. Elle avait espéré abuser ces deux individus et réussir à leur échapper mais ils ne sont pas aussi stupides qu’elle le pensait et ils sont méfiants.
Les deux hommes déposent la captive dans le van. Ils se contentent de retirer le bâton de bois de ses aisselles et l’abandonnent à plat ventre à l’arrière du véhicule.
Ils s’installent à l’avant. Le chauffeur démarre. La prisonnière en levant la tête voit le paysage défiler et comprend qu’ils ont quitté le village. C’est déjà une bonne chose. A présent, elle doit trouver un moyen de ne pas satisfaire toutes les exigences de ces deux individus. Peut-être en leur promettant davantage d’argent.
Pas facile en étant bâillonnée et ligotée en hogtie. Il faut tenter le coup. Elle commence à appeler à travers son bâillon pour attirer leur attention. C’est difficile avec ce tissu qui emplit toute sa bouche.
Pourtant le compagnon du chauffeur réagit.
- On dirait que notre copine a quelque chose à dire.
- Elle se trouve peut-être mal installée. Mais on en a pour un quart d’heure. C’est pas la peine de la détacher pour un temps aussi court ni de lui enlever son bâillon.
- Il avait l’air imbibé d’eau, je peux peut-être le changer.
- Soit t’es trop bon, soit t’as envie de la peloter. Fais toi plaisir.
L’homme passe à l’arrière et dénoue le bâillon de la jeune femme qui réussit à cracher l’infect tissu et à parler avant d’être à nouveau bâillonnée.
- Merci ! S’il vous plait défaites la corde qui relie mes chevilles et mes poignets. Je n’en peux plus de cette position.
- Et après tu vas me demander quoi ? De te détacher les jambes pour me faire l’amour. Tu crois que je connais pas l’histoire de Jim.
Zut, ce garçon est vraiment trop bavard.
- Juste me permettre d’étendre les jambes, vous pouvez les laisser attachées.
- C’est gentil de me dire ce que j’ai le droit de faire.
- Excusez-moi. Je ferais tout ce que je peux pour vous remercier.
- Rappelle lui qu’elle devra faire avec moi, tout ce qu’elle fera avec toi.
Décidément, ces deux la partagent tout. Autant leur donner satisfaction.
- Tout ce que vous voudrez.
L’homme coupe le lien. Katy peut enfin allonger se jambes. Quel soulagement. Elle tente de se retourner pour se mettre sur le dos mais son ravisseur la maintient à plat-ventre.
- A quoi tu joues.
- Je voulais seulement m’installer dans une position moins douloureuse.
- Et puis quoi encore. Tu ne bouges plus. C’est compris.
- S’il vous plait. Je voudrais seulement m’asseoir contre la cloison.
Voilà qu’elle est de nouveau obligée de supplier. Elle en a assez. Et tout ça pour ne rien obtenir.
- ça suffit tu restes à plat-ventre. Surtout que la vue est magnifique.
L’homme pose sa main sur les fesses de la captive. C’en est trop.
- Espèce de salaud.
- Je crois qu’il est temps que tu retrouves un bâillon.
- Non !!! Je ne dirai plus rien !!!!
Indifférent aux supplications de Katy, l’ignoble individu lui enfonce un nouveau chiffon dans la bouche qu’il maintient par une bande de sparadrap qui fait plusieurs fois le tour de la bouche de la jeune femme.
- Tu remarqueras que j’ai eu la gentillesse de soulever tes cheveux pour qu’ils ne soient pas pris dans le sparadrap.
L’homme retourne s’installer à côté de son complice abandonnant à l’arrière une captive désespérée à l’idée qu’elle va devoir accepter les exigences de ses infâmes individus pour retrouver la liberté.
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Le retour de Marc
Le van approche d’un port longé par un fleuve. Le chauffeur s’arrête à proximité d’un bateau. Un homme s’approche.
- Je vois que vous avez retrouvé notre invitée.
- Oui, elle s’était mise dans une situation délicate.
- Parfait, amenez là jusqu’au bateau.
- Et on avait prévu de passer un bon moment avec elle.
- Et bien vous le passerez sur le bateau.
- On en a assez de repousser sans arrêt. On va la baiser maintenant. Ensuite, on l’amènera sur ta saleté de bateau.
Katy est submergée par une vague de terreur. Elle ne peut rien faire pour échapper au sort que lui promettent ses ignobles individus. Elle se tord en tous sens. Réussit à se mettre sur le dos. Tente de frapper ses agresseurs avec ses pieds liés. Hurle dans son bâillon.
- Elle a encore de l’énergie, la petite.
- C’est bien, je sens qu’on va s’amuser.
- Quand vous aurez fini de jouer vous pourrez l’amener jusqu’au bateau et vous aurez tout votre temps pour la baiser.
Un des hommes saisit les épaules de Katy, l’autre s’empare de ses jambes. Ils soulèvent leur victime sans effort. La jeune femme, bien que consciente de l’inutilité de ses efforts continue de se débattre entre leurs mains. Ce qui a pour seul résultat de les amuser.
Elle est ainsi portée sur le pont d’un petit bateau équipé d’une cabine de pilotage dans laquelle se tient l’homme qui a donné les ordres.
Elle voit alors un autre homme apparemment inconscient adossé au bastingage. Ses mains et ses chevilles sont enchaînées. Elle reconnaît Marc. Qu’est-ce-que cela signifie ?
Ses deux ravisseurs sont aussi surpris qu’elle.
- Qu’est-ce-qui se passe ?
L’homme brandit un révolver.
- Assez joué. Posez la fille sur le pont à genoux.
Un instant Katie se croit sauvée. L’homme a été engagé par son père pour la délivrer. Mais elle doit vite déchanter.
- Reliez ses chevilles et ses poignets avec une corde.
Ce n’est pas possible, elle va se trouver encore ligotée dans cette position.
- Serrez bien les liens.
Les deux hommes obéissent.
- Approchez du bastingage.
Marc semble vaguement reprendre conscience et les observe alors qu’ils avancent vers lui.
- Escaladez le bord.
- Tu veux qu’on saute.
- Pas exactement.
L’homme tire deux coups de feu. Le chauffeur et son compagnon basculent par dessus bord et disparaissent de la vue de Katy.
L’assassin s’approche et vérifie le résultat de son tir. Satisfait, il largue les amarres du bateau, lance le moteur et avance au milieu du fleuve.
Katy toujours ligotée et bâillonnée lance des regards interrogateurs à Marc. Tout en pilotant l’homme commence à parler.
- Tu te poses beaucoup de questions. C’est très simple. Tu es morte ma petite.
La captive frémit en entendant ces propos.
- Et l’homme blessé et enchaîné à tes côtés aussi. Je vais donc me contenter de rétablir une vérité historique.
L’homme se concentre sur sa conduite. Et Marc commence à parler.
- Notre avion a explosé en vol. Sans doute une bombe. Je t’ai sauvé la vie en t’enlevant. C’est ironique, non ?
Katy garde la tête baissée.
- J’ai changé les plans au dernier moment. Le plan initial était de t’enlever à l’arrivée. Mais j’ai trouvé préférable de te détenir dans ce pays. D’autant plus qu’il faudrait du temps aux hommes de ton père pour intervenir.
Katy remarque qu’il attire son attention vers son pied. Elle voit un objet qu’elle a du mal à identifier. Un mouvement du pied de Marc. L’objet est entre ses mains. Un couteau. Comprenant que c’est leur seule chance, elle commence à trancher ses liens pendant que Marc continue de parler.
- Je n’ai prévenu qu’un petit nombre de personnes de mon nouveau plan. Franck l’homme que tu vois ne l’a appris que quand il a rendu visite à Jim. Au moment où Jim l’annonçait au maire du village.
Katy tout en s’acharnant sur ses liens ne voit pas ce que ça change.
- Franck est le chef de mon groupe et c’est lui qui a posé la bombe. Il était payé par un certain Robert.
Robert, non ce n’est pas possible.
- Tu as bien compris. Ton cousin Je dois t’apprendre aussi qu’en apprenant l’explosion de l’avion, ton père a fait un malaise très grave. Ta sœur s’est effondrée et c’est donc Robert qui a pris la tête de l’entreprise.
Katy s’acharne de plus en plus sur ses liens Elle a réussi à libérer ses poignets. Ses chevilles à présent.
- Si nous sommes encore vivants, c’est parce que Franck doit nous amener à un point du fleuve où il est certain que nos corps disparaîtront. Et comme il est paresseux. Il préfère attendre le dernier moment pour ne pas avoir à nous porter.

Katy est libre de ses mouvements. Elle s’approche de Franck. Percevant un danger il se retourne. Elle lui plante le couteau dans le cœur. Elle coupe le moteur et se débarrasse enfin de son bâillon.

Elle se dirige vers Marc. Il va payer lui aussi. Celui-ci lève les mains.
- Tu devrais réfléchir. Tout le monde te croit morte sauf Robert qui attend des nouvelles de Franck. Quand il ne va plus en avoir, il va comprendre que ça a mal tourné et commence à se mettre à ta recherche. Il a sans doute déjà pris des contacts avec les autorités et le dictateur.
- Qui me connaît.
- Et s’intéresse surtout à l’argent.
- Je reste la fille de William Stone
- Ou une imposteure que la police jettera dans un cachot dès qu’elle se manifestera.
- Que proposes-tu ?
- Je te fais sortir discrètement du pays. Tu retournes chez toi et tu élimines Robert
- Tu y gagnes quoi ?
- Rien mais ça m’agace de voir cet assassin s’en sortir. Si tu es d’accord récupère les clefs de mes chaînes et donne les moi.
- D’accord.

Katy se penche et libère Marc. Elle l’aide ensuite à jeter le corps de leur ravisseur par-dessus bord.
-Qu’est ce qu’on fait à présent ?
-Nous devons sortir du Corto Maltese et regagner l’Europe pour dénoncer le mari de ta sœur.
- ça ne devrait pas être difficile
- Ton visage a été diffusé sur tous ce qui peut transmettre une image. Télévision, ordinateurs, téléphones, tablettes, tout.
-On doit bien pouvoir payer des passeurs.
-Avec quel argent
-Je dois bien pouvoir m’adresser à des personnes qui m’avanceront l’argent sur mon nom.
- Ou qui s’empresseront de te vendre à Robert. Quelle que soit la somme que tu promettes, ils savent qu’il paiera le double pour se débarrasser de toi.
-Alors. Quelle est la solution.
- Il faut cacher ton visage et trouver quelqu’un prêt à nous sortir du pays pour une somme modique.
- Et tu sais comment faire ?
- Oui mais tu vas devoir me faire confiance.
- Comme si j’avais le choix.
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