Chasse au trésor

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Mad Hatter
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

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Gwenboyfriend a écrit : 17 janv. 2021, 13:25
- Qu’est-ce que tu avais ressenti.
- J’étais…
La jeune femme avait hésité un instant.
- …excitée.
- Tu étais excitée de voir ces femmes humiliées.
- Elle m’avait expliqué que c’était des criminelles, des voleuses, peut-être pire. Et puis leurs efforts. Les encouragements du public. Le claquement des fouets. C’était… excitant.
- Tu étais excitée par le claquement des fouets.
Ses deux compagnes d’infortune avaient du mal à cacher leur colère.
- Si vous aviez été à ma place avant de connaître tout ce que nous avons appris, vous auriez réagi de la même façon.
;) Et alors explique moi […] tu l'aurais, tu n'en ferais pas autant ? Dis-moi le contraire !
:saitpas: - Je n'irais pas jusqu'à le jurer.
Il s’attache à dresser le portrait d’un pays en pleine transformation politique, économique et culturelle, qui sert de toile de fond aux récits. Jia Zhang Ke s’efforce de saisir un monde en train de disparaître, un pays engagé dans une course au profit qui laisse beaucoup de monde sur le bord de la route. D’où son pessimisme et l’absence d’horizon pour la plupart des personnages. [extrait à la 32 ème minute]
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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Cher Mad,
je suis flatté que tu me prêtes de telles intentions. Je m'amuse à plutôt à utiliser une situation dystopique pour y intégrer mes petites histoires.
J'admets que certains évènement (je ne dirai pas lesquels) récents m'ont inspiré et vont continuer de m'inspirer de ce récit parce que cela leur donne une assise plus "solide".
Mais encore une fois je m'amuse surtout à imaginer ces situations et j'espère qu'elles amusent aussi ceux qui les lisent.
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

:boufon: Oh il ne faut pas prendre trop au sérieux ce que je rajoute en commentaire, c'est juste que certaines phrases me donnent envie de détourner des citations. :boufon:
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:biere: Ensuite mes idées d'histoires et de récits aussi sont influencés par ma perception de la réalité. :biere:
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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Poney-girls for ever

Cela commence par le discours d’Olga qui rappelle les origines des courses clandestines de poney-girls.
- Comme vous le savez, la prise en compte de la souffrance animale a privé nos concitoyens de nombreuses distractions. La chasse, la pêche et bien sûr les courses de lévriers ou de chevaux. C’est manifestement ces courses qui leur ont manqué le plus aussi. Et au bout de quelques années des courses clandestines se sont mises en place. Mais les animaux étaient trop bien protégés. Alors a surgi l’idée des poney-girls.
- Mais ces courses aussi étaient interdites. Elles le sont toujours d’ailleurs.

La remarque vient d’une journaliste qui travaille pour un journal indépendant. Un des seuls existants. Tous les autres sont liés à des associations ou groupes financiers. Ce qui revient à dire qu’ils sont tous liés à Olga et son organisation.

Les captives l’ont compris à leurs dépens : dans cette partie du monde, tout revient à Olga qui, telle une araignée dans sa toile est au centre d’une terrifiante organisation que personne ne souhaite reconnaître comme criminelle.

Elles voudraient prévenir cette journaliste. Mais, heureusement, leurs bâillons et leurs entraves les protègent de cette vaine tentation. Elles ne peuvent que rester debout et attendre l’instant où elles devront jouer leur rôle dans cette sinistre comédie. Et écouter la réponse de leur maîtresse à l’inconsciente journaliste.
- C’est en effet le problème : ces courses étaient illégales donc clandestines. Et les jeunes femmes ainsi exploitées n’avaient aucun droit.
- Et pourquoi acceptaient-elles cette exploitation ?
- Vous le savez très bien : elles avaient commis des délits ou étaient endettées. Elles tombaient alors entre les mains d’organisations criminelles.
- Comme la vôtre.

Kim, Claire et Alice sont surprises de l’inconscience de la journaliste prête à agresser verbalement une femme aussi puissante. Mais sans doute sont-elles influencées par leur situation actuelle. Nues, bâillonnées, les chevilles enchaînées, les bras enfermés dans un manchon lacé qui va d’une aisselle à l’autre. Contrainte de se tenir droites si elles veulent éviter une trop dure punition pour les maladresses qu’elles auront accomplies pendant cette séance. Sans doute aussi en veulent-elles à cette journaliste qui ne fait que prolonger vainement cette insupportable exposition.
- Mon association est tout à fait légale et prépare la réinsertion de nombreuses femmes égarées.

La journaliste tente d’interrompre à nouveau Olga qui refuse de lui céder la parole.
- Laissez-moi terminer. Ensuite, vous pourrez poser vos questions.

La journaliste n’insiste pas.
- Il était impossible d’empêcher toutes les courses clandestines de poney-girls. Il a donc été décidé de les rendre légales afin de les encadrer. Les jeunes femmes qui accepteront d’y participer toucheront un salaire qui, comme pour les trois jeunes femmes bâillonnées et entravées sur l’estrade, servira à rembourser l’argent qu’elles ont volé ou détourné.

La journaliste intervient à nouveau
- Prenons le cas de ces trois « égarées » ainsi que vous les nommez. Vous ne parlez pas de criminelles. Ce qui simplifie bien sûr les choses. Ce ne sont pas des criminelles donc pas de procès, pas de décision de justice. Il suffit de vous les confier jusqu’à ce qu’elles remboursent leur dette.
- Quelle est votre question ?
- Comment pourraient-elles rembourser la somme qu’elles sont sensées avoir volé.
- Il leur suffirait de gagner plusieurs grands prix et de tenter la coupe du Corto Maltese.
- Il faudrait gagner plusieurs coupes. D’autant plus qu’elles devront aussi payer leur nourriture, le salaire de leurs gardiennes…
- Pas tout le salaire, seulement le temps que les gardiennes leur consacrent.
- Elles doivent aussi rembourser leurs bâillons, tous leurs bâillons. Ainsi que leurs chaînes ou entraves. Je suis surprise qu’elles ne doivent pas payer l’usure du fouet qui sert à les punir.
- Mais c’est prévu. De même que la location de leur cachot.

La remarque est saluée par un immense éclat de rire. Les captives sont désespérées. Elles ignoraient qu’elles devaient payer tout ce qui sert à les tenir prisonnières de cette infâme organisation.

Pourtant, elles ne font aucun mouvement. Ne manifestent aucune émotion. Leurs entraves et leurs bâillons les aident bien sûr. Mais elles parviennent même à retenir leurs larmes de rage et de désespoir.

Olga reprend la parole.
- Donc ces courses seront légales et encadrées et j’ai décidé d’y inscrire les trois jeunes femmes présentes sur l’estrade. Il est évident qu’il leur faudra du temps pour rembourser ce qu’elles doivent mais au moins contribueront-elles à la bonne marche de la société.
- Serait-il possible de connaître leur opinion à ce sujet ?
- Ma chère, si je voulais qu’elles donnent leur opinion, je ne les aurais pas bâillonnées.

Un nouvel éclat de rire salue la cruelle remarque. Respectant les leçons de leur maîtresse, les captives s’efforcent de rester calmes et de ne pas exprimer leur émotion.

Pourtant la journaliste ne renonce pas.
- Dans la mesure où il s’agit des principales intéressées, leur opinion n’est pas négligeable.

Les captives imaginent le sourire d’Olga. Cette journaliste n’a réussi qu’à donner à leur ravisseuse ce qu’elle souhaitait.
- Puisque cela vous semble important, j’accepte votre demande. Laquelle voulez-vous interroger ?
- Les trois.
- Comme vous le souhaitez. Commençons par Claire.

La jeune femme est terrifiée. Elle croyait que ce serait Kim la première interrogée. Et elle se retrouve exposée. Elle avance d’un pas en faisant résonner le son des maillons des chaînes de ses chevilles. Une exigence d’Olga qui affirme que ce son est doux aux oreilles du public. Marianne retire son bâillon.
- Merci madame.

La captive devine le mouvement de surprise du public et n’est pas étonnée de la réaction de la journaliste.
- Vous remerciez votre tortionnaire de vous retirer votre bâillon.

Claire sait exactement ce qu’elle doit répondre.
- Ce n’est pas ma tortionnaire. C’est ma maîtresse et une esclave doit remercier sa maîtresse quand celle-ci fait preuve de générosité envers elle.
- Une esclave ? Je croyais que vous étiez « égarée ».
- Je me suis égarée et je serai une esclave tant que je n’aurai pas payée mes dettes.
- Et qu’en pensez-vous ?
- En devenant par ma faute une esclave, j’ai perdu le droit d’exprimer mon opinion.
- Mais votre maîtresse vous y a autorisée.
- Je lui suis reconnaissante de me permettre de corriger ainsi les erreurs que j’ai faites.

Claire est honteuse de répéter les mots qu’elle a appris comme ses deux compagnes d’infortune et qui lui rappellent les coups de cravache qu’elles recevaient à chaque fois qu’elles se trompaient ou n’avaient pas l’air de croire ce qu’elles disaient.

Découragée, la journaliste s’adresse à nouveau à Olga.
- Pourrais-je interroger une de ses compagnes.
- Vous n’êtes pas satisfaite de ses réponses ?
- Elle récite manifestement ce que vous lui avez imposé d’apprendre.
- Je dirais plutôt que grâce à nos efforts, elle a compris les erreurs qu’elle avait faites et comment les réparer. Mais qui voulez-vous questionner à présent ?
- Kim.

Claire est à nouveau bâillonnée. Elle en éprouve une sorte de soulagement à l’idée de ne plus être interrogée et de risquer de se tromper dans ses réponses. Ce qui lui vaudrait une nouvelle punition. Elle n’écoute ni les questions de la journaliste ni les réponses de Kim. Elle sait que, comme elle, la captive récitera des phrases toutes faites par crainte des punitions qu’entraînerait la moindre erreur de sa part. Qu’elle a remercié ses tourmenteuses quand elles lui ont retiré son bâillon. Qu’elle a affirmé que participer au programme des poney-girls lui permettrait de compenser le tort qu’elle avait fait à la société.

Ce qui inquiète le plus Claire et ses amies, c’est qu’elles finissent par croire en leurs réponses. Qu’elles oublient qu’elles ont été trompées, enlevées, ligotées, bâillonnées. Contraintes de confirmer les mensonges de leurs ravisseuses à partir de l’instant où elles ont compris que personne ne viendrait à leur secours.

Déjà c’est à peine si elles trouvent anormal d’être bâillonnées, entravées et punies à la moindre erreur. Elles savent comment marcher élégamment avec leurs chevilles enchaînées. Et elles acceptent facilement d’être nourries avec des aliments énergétiques qui évitent à leurs geôlières le mal de libérer leurs bras et leurs mains.

Claire réalise que la journaliste indépendante n’a plus de questions et qu’elle semble découragée de l’absence de soutien de ces collègues qui posent à leur tour des questions. Ils ou elles se contentent surtout de féliciter Olga pour son initiative qui met fin à des pratiques illégales et va permettre à des jeunes femmes égarées de se réhabiliter.

Claire, Kim et Alice sont blessées une nouvelle fois par ce terme d’égarées mais elles ne peuvent rien faire pour exprimer leur désaccord. Elles doivent supporter d’entendre les journalistes féliciter leur ravisseuse pour avoir appris à ces « égarées » l’obéissance, le maintien, en un mot la soumission.

Les prisonnières découvrent alors qu’elles doivent subir une nouvelle épreuve. Tenues en laisse par Olga, Marlène et Marianne, elles doivent traverser le groupe des journalistes. Elles croient à la fin de cette épreuve quand elles atteignent l’extérieur. Mais une dernière humiliation les attend.

Elles découvrent un cabriolet à trois places, équipé de harnais pour trois poney-girls. Malgré elles, elles s’arrêtent et résistent à la traction de leur laisse.

Mais les coups de cravache sur leurs postérieurs leur rappellent la présence de Mona, la nouvelle assistante de leurs ravisseuses. Ils leur rappellent aussi à quel point il est vain et stupide de s’opposer à Olga comme l’a fait la jeune journaliste à présent ligotée et bâillonnée à l’arrière du cabriolet auquel elle est reliée par une corde fixée à un collier qui enserre son cou.

Les prisonnières savaient que l’arrogance de la jeune femme ne resterait pas impunie mais elles n’auraient jamais imaginé que la sanction soit si rapide. Cet acte vil démontre une fois de plus la puissance d’Olga et de son organisation qui agit de plus en plus ouvertement sans craindre la moindre opposition.

Kim, Claire et Alice ont toutefois d’autres soucis. Harnachées et reliées au cabriolet, leurs bâillons ont été remplacés par des mors qui permettront de les diriger. Olga se tient en souriant face à elles.
- Nous allons nous promener à travers la ville. Je vous conseille d’être attentives et de bien respecter les changements de direction si vous ne voulez pas goûter du fouet.
- Nous devrons bien en user.
- Bien sûr. Pour attirer l’attention des promeneurs qui sauront apprécier le doux bruit du claquement mais n’en abusons pas. Il s’agit de les motiver pas de les blesser.
- Et l’idiote ligotée à l’arrière.
- Il est préférable pour elle de prendre le rythme de la course.

Sur ces mots, la terrifiante criminelle s’installe avec ses complices dans le cabriolet et fait claquer son fouet. Ce claquement suffit à lancer les trois poney-girls qui prennent très rapidement le rythme de la course.

L’entraînement que les captives ont subi est payant et elles prennent rapidement le rythme qui leur est imposé. Malgré l’inquiétude qu’elles éprouvent pour la malheureuse journaliste elles n’essaient pas de ralentir.

Elles devinent plus qu’elles ne voient les spectateurs et spectatrices le long de leur douloureux chemin. Elles ne sont même plus choquées par les applaudissements et se concentrent sur les changements de direction imposés par le mors enfoncé entre leurs lèvres.

La course semble ne jamais devoir se terminer. Leurs maîtresses sont manifestement déterminées à les contraindre à parcourir la ville. A l’épuisement et l’angoisse du claquement des fouets s’ajoute l’humiliation d’être une nouvelle fois exposées et maltraitées.

Enfin elles voient apparaître l’immense propriété d’Olga et instinctivement, elles se dirigent vers le portail mais Marianne tire sur leurs rennes et elles comprennent que ce n’est pas la fin de leurs épreuves. Obéissantes, elles s’arrêtent devant le portail.
- Libérons cette impertinente journaliste.

Marlène, va à l’arrière et au bout de quelques instants revient avec la jeune femme manifestement épuisée. Elle lui retire son bâillon.
- As-tu compris la leçon.
La journaliste regarde Olga humblement.
- Oui Madame, je m’excuse de mon impertinence.
- Très bien, tu peux repartir.
La jeune femme regarde les trois criminelles sans comprendre.
- Vous ne me libérez pas ?

Les poignets de la journaliste sont toujours liés dans son dos. Ses bras et son torse sont soigneusement ligotés. La réponse d’Olga est dépourvue d’ambigüité
- Je commence à regretter mon indulgence.
- Je propose de la bâillonner à nouveau. Cela lui apprendra peut-être les vertus du silence.
- Bonne idée.
- Non ne faites pas ça s’il vous plait. Je m’excuse de m’être montrée aussi présomptueuse.

Mais il est trop tard, la jeune femme est à nouveau bâillonnée et renvoyée à travers la ville après une nouvelle tape sur les fesses.
- Essaie de ne pas faire de mauvaises rencontres.

Le regard outragé de la jeune journaliste ne cache pas son désarroi. Elle s’éloigne aussi vite qu’elle le peut.
- On aurait peut-être dû lui attacher les chevilles.
- Il est encore temps, on peut encore la rattraper.

La jeune femme est suffisamment près pour entendre les cruels propos de ses tourmenteuses. Elle commence à courir.
- Cela va être encore plus amusant si elle fuit.
- Allons mesdames, nous devons lui laisser une chance d’arriver jusque chez elle sans encombre.

La remarque d’Olga ramène au calme ses cruelles assistantes qui regardent en souriant s’éloigner leur victime.

Kim, Claire et Alice, toujours harnachées attendent la suite des événements le corps et la tête droite, leur poitrine en avant comme elles l’ont durement appris.

Elles espèrent qu’elles vont avoir droit à un peu de repos. Mais leur espoir est vite déçu par les propos d’Olga.
- Il est encore tôt. Que diriez vous de poursuivre notre promenade en ville.
- Nous pourrions aller dans le parc. Je crois que nos amies ont besoin d’encore un peu d’exercice.

Les trois criminelles s’installent tranquillement. Le fouet claque. Les poney-girls comprennent qu’elles n’ont plus qu’à obéir et reprennent leur insupportable course.
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

Gwenboyfriend a écrit : 03 févr. 2021, 12:55

La jeune femme est suffisamment près pour entendre les cruels propos de ses tourmenteuses. Elle commence à courir.
- Cela va être encore plus amusant si elle fuit.
- Allons mesdames, nous devons lui laisser une chance d’arriver jusque chez elle sans encombre.
Chasse aux Journalistes :dada: Nan mais, des journalistes qui veulent croiser les sources et refuser de faire de la communication. :langue:

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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

La colère d’Olga

Chacune dans une cage, nues, ligotées en balltie, bâillonnées, Kim, Claire et Alice attendent l’instant où leurs geôlières vont leur amener à manger et à boire. Seul instant où elles sont libérées de leurs bâillons. Il leur est interdit de prononcer la moindre parole. Elles savent que cette terrible situation durera jusqu’à ce qu’Olga vienne leur annoncer quelle sera leur sanction pour avoir échoué dès la première course.

Leur entraînement de poney-girls avait pourtant bien commencé. Elles éprouvaient une certaine honte au plaisir de pouvoir courir ensemble malgré le harnachement qui était le leur. Le mors entre les dents, les rênes qui permettaient à leur entraîneuse de les guider. Le poids du cabriolet qu’elles devaient tirer. Le claquement des fouets sur leurs fesses.

L’entraîneuse avait trouvé l’arrangement idéal pour leur course. Kim la plus à gauche, Claire au centre et Alice la plus à droite. Elle leur avait expliqué qu’elle devait ménager leurs forces au début. Qu’une course durait plusieurs tours et que le fait de prendre la tête dès le commencement pouvait constituer une charge lourde à supporter. Les coups de fouet étaient là pour les guider et leur dire quand accélérer et une traction sur leurs mors quand ralentir.

En d’autres temps, elles se seraient sans doute senties humiliées d’être ainsi rabaissées au rang d’animaux devant obéir à des injonctions simples et douloureuses. Mais la dure éducation que leur avait donné leurs ravisseuses leur avait appris les vertus de l’obéissance et de l’humilité.

Et progressivement, elles s’étaient habituées à cette course, aux claquements du fouet et aux tractions du mors entre leurs lèvres. Elles prenaient même plaisir aux courses auxquelles elles participaient. Devinaient quand elles devaient accélérer ou ralentir. Se déporter sur la gauche ou la droite. Le sifflement du fouet ou la traction entre leurs lèvres n’étaient plus qu’une confirmation. Elles s’efforçaient bien sûr de cacher ce minuscule plaisir à leurs maîtresses. Persuadées que celles-ci trouveraient un moyen de les en priver.

Puis avaient commencé les éliminatoires. Le succès des courses de poney-girls était aussi inattendu que foudroyant. Outre les prisonnières légitimes ou illégitimes comme elles de nombreuses femmes avaient été contraintes par leurs compagnons ou leurs compagnes de participer à ces compétitions. D’autres l’avaient d’elles-mêmes décidé dans l’espoir d’échapper à leur condition misérable.

Avant d’en arriver à la grande compétition, il était indispensable de trier les moins douées.

L’entraineuse des captives avait été remplacée par Clara une conductrice réputée par son efficacité. C’est alors que la situation s’était dégradée.

La façon dont Clara les guidait allait à l’encontre de leur entrainement. Elle les retenait quand elles devaient se lancer et les poussait à courir quand elles auraient dû économiser leurs forces.

Elle exigeait en outre qu’elles soient bâillonnées en permanence pour ne pas être distraites et fatiguées inutilement par des discussions sans intérêt.

Puis vint le jour de la course. Dès le départ, elles avaient senti qu’elles étaient mal positionnées. Clara les maintenait derrière deux chars très difficiles à dépasser. Et se laissait dépasser par d’autres concurrentes. Les jeunes femmes terrifiées imaginaient l’instant où elles seraient face à Olga folle de rage parce qu’elles avaient été éliminées. C’est sans doute pour cette raison que quand une ouverture s’était présentée, sans possibilité de se concerter, elles s’étaient lancées à l’assaut. Ignorant les tractions sur le mors qui tentaient de les retenir ou de les ramener dans la file des perdantes. Leur retard était tel qu’elles n’avaient aucune chance de finir dans les premières. Mais elles avaient réussi à éviter l’élimination.

Malheureusement, face à la colère d’Olga, Clara les avait accusées d’avoir été indisciplinées et de s’être opposées à ses directives. Ce qui expliquait leur si mauvais classement.

Et c’est ainsi qu’elles s’étaient retrouvées dans ces cages, chacune bâillonnée et ligotée en balltie.
L’arrivée des geôlières chargées de les nourrir les tire de ces sombres pensées. Leur bâillon sont retirés. C’est alors que Kim prend une décision lourde de conséquences.
- Nous devons parler à Olga.
La réponse de leurs cerbères n’attend pas.
- Qui t’a autorisé à parler, petite garce.
En d’autres temps, Kim aurait renoncé mais leur situation ne peut guère se dégrader et parler à Olga est leur seule chance.
- C’est indispensable, elle ignore la cause de notre échec à la course.
- Tu insultes ta maîtresse et tu espères échapper à une punition. Ton insolence est sans limites.
Certaine qu’il s’agit là de leur seule chance, Claire intervient à son tour.
- Elle ignore qu’elle a été abusée par notre conductrice qui nous a menées pour que nous soyons éliminés.
- Mais vous n’avez pas été éliminées.
- Parce que nous avons cessé de nous laisser guider par elle malgré les coups de fouet et les tractions sur nos rênes.
- C’en est assez, il est temps de retrouver vos bâillons. Vous vous passerez de nourriture et de boisson.
Alice intervient à son tour.
- C’est la vérité. Prévenez notre maîtresspfff…
La pose du bâillon interrompt la jeune femme. Ses compagnes d’infortune ont déjà été bâillonnées. La chef des gardiennes s’adresse durement à elles.
- Je vous conseille de réfléchir à votre situation. Je vais faire preuve d’indulgence en évitant de faire part de votre insolence à Olga qui a d’autres soucis.
- Vous ne croyez pas que nous devrions lui faire part de leurs propos. Elles semblaient sincères.
- J’aurais préféré que tu ne poses pas cette question.
Sur un geste de leur cheffe les deux autres geôlières se jettent sur leur infortunée compagne et la ligotent puis la bâillonnent en un instant.
- Qu’allons-nous faire d’elle ?
- Conduisez là dans un coin reculé de la forêt et attachez là à un arbre. Je vais prévenir Clara que ses complices ont un paquet à récupérer.
Une fois ses complices parties, l’effrayante criminelle s’adresse aux prisonnières désespérées de constater que leur situation ne fait qu’empirer.
- J’espère que vous réalisez le résultat de votre insolence et que vous n’essaierez plus d’alerter Olga.
Sur ces impitoyables paroles, la traîtresse sort abandonnant les prisonnières à leur triste sort.
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

Il ne leur est rien épargné à ces personnages victime de sabotage.
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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Nouveau départ

Claire, Alice et Kim marchent librement dans les rues du Corto Maltese.

Librement est peut-être excessif. Elles sont nues. Leurs poignets sont enchaînés dans leur dos et reliés à leur collier pour les obliger à garder les bras pliés. Leurs chevilles sont étroitement reliées par une courte chaîne qui les contraint à avancer lentement.

Mais pour la première fois depuis leur capture, elles ne sont pas bâillonnées et sont autorisées à parler librement entre elles.

Elles évitent bien sûr de dire du mal de leurs maîtresses. Elles ignorent qui pourrait les entendre et rapporter leurs propos.

Elles ne sont pas les seules dans cette situation. Elles croisent de nombreuses jeunes femmes enchaînées et nues comme elles.

Elles ne leur adressent pas la parole. Des esclaves appartenant à des maîtres ou maîtresses différentes ne doivent pas entrer en contact.

Claire songe que le plus inquiétant est peut-être qu’elle et ses compagnes d’infortune trouvent cette situation normale et le ressentent comme une récompense de l’insistance qu’elles ont mis à convaincre Olga que c’était leur conductrice qui s’efforçait de les retenir et de les empêcher d’être qualifiées pour la grande course du Corto-Maltese.

Face à leur ténacité, alors que les punitions se multipliaient, Olga avait demandé à consulter le film des courses et avait constaté qu’elles disaient la vérité.

Leur seule récompense avait été la fin de leurs punitions. Ce qui aurait dû leur paraître suffisant. Après tout, elles avaient osé accuser une femme libre. Le fait qu’elles aient dit la vérité n’avait pas à entrer en ligne de compte.

Kim avait alors insisté pour participer à la dernière course des éliminatoires. Olga n’avait pas caché sa surprise. Qu’espéraient-elles ainsi ? Claire avait soutenu sa compagne. Elles comprenaient le déroulement de la course. Elles savaient dans quelle position, elles étaient le plus efficaces et savaient doser leurs efforts.

En résumé, avait conclu Olga, elles n’avaient pas besoin de conductrice. Ce qui était un problème parce que les spectateurs voulaient voir les poneys-girls être guidées, fouettées quand elles traînaient, retenues quand elles allaient trop vite. Oui, les spectateurs souhaitaient entendre le claquement du fouet sur leur postérieur.

- Pourquoi ne pas faire appel à notre entraîneuse?

La proposition venait de Claire et avait soutenue par Kim et Alice. Leur entraîneuse les connaissait et saurait suivre leurs accélérations et leurs ralentissements comme si elle les guidait.
Elles pourraient même convenir de moments où elles semblaient faiblir pour que la coach les motive de coups de fouets bien placés.
- On croirait presque que vous aimez ça.

Claire avait trouvé les mots justes.
- Nous comprenons que cette course est importante pour vous et nous souhaitons ainsi montrer que nous sommes de fidèles esclaves.

Olga avait souri.
- Très bien, nous allons tenter cette qualification mais pour être qualifiée, en raison du retard que vous avez pris, vous devrez arriver les premières.

Les jeunes femmes avaient heureusement résisté à la tentation de répondre qu’elles n’étaient pas responsables de cette situation.

Elles avaient retrouvé leur entraineuse et s’étaient mises d’accord avec elle sur le déroulement de la course. L’entraîneuse connaissait très bien la piste et elles en avaient établi le déroulement. Elle n’avait pas épargné les coups de fouet et le public avait apprécié les claquements.

Une fois qualifiées, elles avaient été préparées pour le voyage vers le Corto-Maltese.

Le voyage devait se dérouler en avion. Des sièges avaient été préparés spécialement pour elles. Équipés de sangles qui immobilisaient leurs bras, leurs cuisses, leur torse, et leur front, elles avaient été bâillonnées par une bande cuir qui couvrait leur bouche. La seule concession d’Olga était un bouton situé sous leur index dont l’objet était de demander le retrait du bâillon. A l’unique condition qu’elles se sentent malades pendant le vol.

À une journaliste qui interrogeait Olga sur ces contraintes plutôt strictes alors que les trois jeunes femmes avaient montré leur fidélité à leur maîtresse, Olga avait répondu d’une façon limpide et cruelle.

- En m’alertant sur le fait que leur conductrice tentait de les faire perdre, ces prisonnières ont fait leur devoir. Je n’ai donc aucune raison de les récompenser. En revanche, je dois absolument éviter qu’elles éprouvent le moindre orgueil à m’avoir rendu ce service. Le risque serait qu’elles se sentent supérieures à leur maîtresse et à leur geôlières. En les immobilisant pendant ce vol d’une dizaine d’heures, je leur rappelle leur condition. »

L’avion avait décollé quelques minutes après le départ de la journaliste. Et c’était déroulé sans problème. Les captives avaient résisté à la tentation de simuler un malaise pour obtenir le retrait du bâillon. Elles savaient que leur tentative de duperie serait impitoyablement punie.

Elles avaient donc supporté le vol en voyant leurs geôlières se répartir librement dans les confortables sièges de l’appareil alors qu’elles même devaient supporter le bâillon et la pression des sangles qui les immobilisaient intégralement.

Sous le regard bienveillant d’Olga, ses assistantes avaient même tourmenté les malheureuses captives en profitant de leur nudité pour les caresser les chatouiller avec des plumes et profiter du spectacle de leurs contorsions bloquées par les impitoyables sangles sans oublier leurs gémissements étouffés par leurs bâillons.

L’atterrissage avait été accueilli avec soulagement par les captives et avec regret par leurs tourmenteuses.

Le soulagement des prisonnières avait été de courte durée. Immédiatement enchaînées et bâillonnées, elles avaient été conduites face à un douanier qui avait tenu à vérifier que malgré leur nudité elles ne cachaient aucun objet interdit. Il était alors assisté de plusieurs de ses collègues. Après cette inspection longue et minutieuse, l’individu avait fixé à leur collier une plaque indiquant qu’elles étaient la propriété d’Olga.

Elles avaient alors rejoint leur maîtresse et conduite à la luxueuse résidence que cette dernière avait réservée. C’est alors qu’Olga leur avait donné l’ordre incompréhensible d’échouer aux qualifications de la course finale.

Leurs bâillons avaient évité aux captives de demander la raison de cet abandon et de courir le risque d’une nouvelle punition. Elles avaient été autorisées à sortir en ville et à profiter ainsi de l’avantage qu’avaient les esclaves de se promener librement dans ce merveilleux pays.

Les captives s’arrêtent un instant pour contempler le vaste fleuve qui traverse la capitale du Corto Maltese.
- Savez-vous que personne n’a totalement exploré le fleuve dans son entier
- L’île est immense et le fleuve se perd dans la jungle aucun de ceux qui se sont risqués à l’explorer au delà de la limite du dernier comptoir n’est revenu.

Alice ne peut pas s’empêcher de réagir aux propos de ses compagnes d’infortune.
- Nous sommes nues et enchaînées en permanence. Nous devons remercier nos geôlières quand nous ne sommes pas bâillonnées et que nous avons l’autorisation de parler. Et vous vous intéressez à l’exploration d’un fleuve.
- Tu as un plan pour nous libérer?
- Non, bien sûr.
- Tu es consciente que si de tels propos sont rapportés a notre maîtresse, nous serons bâillonnées et punies. »
- Nous ne savons même pas pourquoi nous sommes là. Nous allons devoir être éliminées. Après tous nos efforts.
- Participer à la course est la seule façon d’entrer au Corto Maltese. Et d’y rester. C’est évidemment le but de notre maîtresse.

La phrase de Claire excède Alice.
- Êtes-vous incapables d’appeler Olga autrement que notre maîtresse?
- Tu tiens tant que ça à être bâillonnée?
- Je refuse de me comporter comme une esclave.»
- Tu l’as fait en acceptant de gagner la course pour notre maîtresse et tu devras le faire en perdant les éliminatoires.
- Sans comprendre pourquoi nous devons agir ainsi.
Kim intervient.
- Nous n’avons pas à comprendre. Claire a raison. Notre seul devoir est d’obéir et c’est ce que nous allons faire.
-
Les prisonnières regagnent l’hôtel particulier qu’a réservé Olga.

Elles sont accueillies par Mona qui les bâillonne immédiatement puis les conduit face à leur maîtresse souriante.
- Je suis ravie que vous ayez enfin compris votre fonction et que vous soyez décidés à obéir.
Elle regarde Alice.
- A l’exception de cette petite idiote grâce à qui vous allez recevoir une nouvelle punition. Quelques coups de fouets devraient suffire.

Alice n’ose pas regarder ses amies. Elle souhaiterait supplier Olga de ne pas punir ses amies.

L’impitoyable femme devine ses intentions.
- Crois-tu que si je souhaitais entendre tes misérables excuses je t’aurais bâillonnée. Peut-être apprendras-tu à accepter ton rôle dans l’organisation.

Les captives impuissantes guidées par les assistantes d’Olga rejoignent le lieu de leur punition puis la subissent en s’efforçant de rester dignes comme le leur ont appris leurs geôlières.

La course se déroule quelques jours plus tard. Et les jeunes femmes sont éliminées comme le souhaitaient leur maîtresse.

Quelques jours plus tard, elles sont conduites vers le port où un vieux bateau à vapeur les attend.

Elles découvrent sur le pont trois étranges chevaux d’arçons dont l’équivalent du siège est constitué d’une barre triangulaire.

Sans qu’elles puissent s’y opposer, elles sont libérées de leurs chaînes et leurs bras liés dans leur dos sont retournés de façon à ce qu’ils soient maintenus avec les mains « collées » entre les omoplates.

Elles sont ensuite installées sur la barre triangulaire. Claire et Kim de chaque côté d’Alice. Leur taille est entourée d’une corde liée à des anneaux fixés dans la barre. Leurs chevilles sont ensuite attachées à des anneaux plantés sur le pont de telle façon que chacune partage un anneau avec sa voisine.

Les captives bâillonnées par des chiffons enfoncés dans leur bouche et maintenus par une étroite bande de tissu entre leurs lèvres ne peuvent bien sûr pas protester contre le traitement qui leur est imposé.

Olga s’approche d’elles en souriant. Elle caresse la cuisse de Claire.
- Mes chéries, nous approchons de la dernière étape de notre aventure. Bientôt vous comprendrez les raisons de votre captivité et de notre voyage.

Les prisonnières comprennent qu’elles n’obtiendront pas d’autre explication.

Bientôt les amarres sont retirées et le bateau s’engage dans le fleuve emportant les captives vers un mystérieux et inquiétant destin.
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Mad Hatter
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

Alice semble un peu rétive à se plier corps et âmes à maitresse Olga.
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Il semblerait que le flashack soit en train de se terminer.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
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cowboygf
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Re: Chasse au trésor

Message par cowboygf »

ensore un plaisir de te lire!! :bravo: :bravo:

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