C'est la fin
de l'histoire ! La suite du flashback vous la connaissez (lorsque les cambrioleurs arrivent avec Aurélie
).
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Ils libérèrent Natascha en suivant les instructions
de leur professeur : ils lui laissèrent les chevilles et genoux libres mais ses coudes rejoints, ses poignets croisés dans sur ses reins et ses bras plaqués sur son dos la gênaient terriblement. Ses camarades féminin la regardait avec curiosité, la toisant des pieds à la tête et certaines même avec envie. Sur le coup, Natascha ne savait pas très bien pourquoi.
- Voilà mesdemoiselles ce qui se passe lorsqu’on se fait avoir par ses amies. Elles m’ont raconté qu’elle na rien eu le temps
de voir et qu’elle ne sait même pas qui l’a mise dans cet état. Elle vint vers elle et la plaça au milieu
de la salle. Nathan ! vient ici, vous allez répéter quelques mouvements. Ta partenaire n’aura besoin que
de ses jambes mais retient là au cas ou. Ensuite Natascha puisque tu es là, tu vas nous faire un balancé, un balloné, un balloté et une cabriole pour commencer.
- MMphmm!! geignait celle-ci, attachée comme ça, ces exercices seraient d’une difficulté extrême. Nathan ne la laissa pas le temps
de se poser des questions et commença sa danse en entrainant la jeune fille avec lui. Celui-ci savait bien danser et entraînait facilement sa comparse. Celle-ci n’avait pas grand chose à faire à part suivre les mouvements et sauter lorsque Nathan la portait à certains moments. Elle failli tomber plusieurs fois mais le garçon l’aidait à tenir pied. Au bout
de 5 minutes
de répétitions et
de conseils pour le garçon, la professeur lui demanda :
- Natasha, , un balancé, balloné, balloté et une cabriole et un grand jeté s’il te plaît.
Elle fut sourde à aux gémissements que la jeune danseuse sortit sous son bâillon. Le grand jeté n’était pas prévu au début !
- Nathan, sois assez gentilhomme pour aider la belle devant toi. Je m’en voudrai si elle se blessait.
L’intéressé rougit beaucoup mais obéit à la femme.
Un grand silence envahit la salle quand elle commença ses mouvements. Pour le balancé, elle se mis sur ses pointes (que les garçons eurent la bonne idée
de lui mettre), croisant ses chevilles et essaya
de tourner sur elle même. Mais avec sa posture, ce fut Nathan qui l’aida et elle réussit l’exercice. Tandis qu’elle tournait, elle était sûre que les garçons ne regardaient pas seulement ses jambes …
Elle essaya
de souffler un peu mais pas
de repos :
- Balloné ! Non ! pas tout
de suite se dit-elle mais elle n’eu pas le choix. Le principe était simple, avec son pied droit, elle devait le mettre à plat et l’instant d’après sur la pointe puis plier et tendre un maximum sa jambe gauche vers le haut 3 fois
de suite. Tandis que Natahan la tenait par les hanches pour plus
de simplicité, elle réussit à faire son premier balloné.
- On recommence ! 7 fois !
Sentant la fatigue revenir elle s’appuya beaucoup plus sur le garçon et réussit son exercice. Ouf !
- Balloté suivi d’une cabriole ! Cette fois elle fit deux pas chassé sur la gauche, sauta pour s’appuyer sur sa jambe gauche, plia et déplia sa table droite tendue. Elle refit la même chose en sens inverse et recommença 2 fois. Pour la cabriole, elle devait prendre un peu d’élan, sauter en tendant légèrement ses jambes et toucher ses deux pointes en l’air. Elle n’aurait jamais réussis sans l’aide
de Nathan.
- Grand jeté ensuite ce sera au tour des autres garçons
de venir avec toi.
Entendant cela, le jeune fille fit mine
de protester en essayant
de parler. Mais elle tomba durant son élan et le jeune homme du la remettre sur pied.
- Si tu le prend comme ça, tu devras recommencer tes gestes en solo après chaque tour des garçons, ça t’apprendra à rouspéter.
Le grand jeté est en fait le mouvement le plus connu, c’est un grand écart durant un saut. Elle recula
de 3 pas, prit son élan et lorsqu’elle sauta, elle fut aidée par le garçon pour atterrir doucement au sol.
-Bien ! Eric, à ton tour et après ce sera à Gabriel ! Le même scénario se représenta 2 fois avec ces 2 garçons. Une fois qu’ils finissaient leurs mouvement qui posaient problème, elle devait faire ses 5 mouvements. Au dernier mouvement solo, elle était tellement fatigué que sans Gabriel elle serait tombée à même le sol. La prof revint vers elle et lui remis son bandeau.
- Mphm ?
- Les garçons, vous connaissez les ballets à 4 ? Je vous en propose un immédiatement. Par contre il faudra la diriger vous même car elle ne pourra faire grand chose aveuglée. Allez-y !
Ce fut l’enfer pour Natascha, elle ne voyait rien et pourtant elle était balloté entre les 3 garçons, ils la faisaient tournée entre eux. Parfois elle arrivait à réaliser des balloné et des grand jeté. Souvent, elle devait tournée sur elle-même pour passer d’un garçon à un autre. Ce n’était pas tout à fait
de la danse classique. Après une éternité, le monde s’arrêta
de tourner et son bandeau lui fut enlevé.
- Bien ma chère ! Gabriel et Eric, allez lui faire boire un coup, j’ai l’impression qu’elle va s’effondrée. Elle est tellement rouge la pauvre. Nathan, il y avait un problème
de tuyauterie dans les autres vestiaires, tu pourrais aller jeter un oeil et me dire si on doit appeler un plombier ? Elle en profita pour faire un clin d’oeil à 3 filles attendant leur tour. Je sais que tu es fatigué mais ce serait sympa
de ta part.
- Très bien, c’est par où ? demanda t-il
Il fut guidé par les 3 danseuses …
Gabriel et Eric ramenèrent leur captive dans les vestiaires. Ils lui enlevèrent le bâillon.
- Gabriel il faut que …
Il lui enserra sa mâchoire avant qu’elle ne puisse parler et lui donna le goulot
de la bouteille. Pendant ce temps, Eric vint derrière la jeune fille et lui enserra son buste
de ses bras en serrant fermement. Gabriel répondit
- Désolé mais elle a été très stricte. On doit juste te donner à boire et te ramener. Le bâillon doit rester et c’est pour pas me déplaire ! Tu as tendance à beaucoup parler je trouve …
Il lui donna délicatement à boire une fois qu’elle bu, il lui remit son bâillon.
- Au moins tu nous auras illuminé notre journée !
On toqua à la porte et la prof avec son amie rentrèrent. La prof dit :
- Gabriel et Eric, je vous présente Armel, elle va s’occuper du reste du cours. Je vais prendre une petite pause. Par contre vous pouvez retourner travailler, Nathan et les autres vous attendent !
- Ok on arrive ! À plus Natascha, amuse toi bien fit-il. Une fois partis, elles purent discuter.
- Je pense que tu en as marre, on va te ramener chez toi. Au fait tu as un petit copain ?
Soucieuse, la captive hocha la tête.
- Bien ! il sera ravie
de te voir dans cet état !
- Mphmm ??!
- Et si ! Viens là ma jolie. Numéro 4 lui noua les chevilles croisées ainsi que le haut des genoux. Elle la fit allonger par terre et plia un maximum ses jambes pour que ses chevilles touches ses fesses. Une fois ça
de fait, elle lia les mollets et les chevilles
de Natascha à ses cuisses. Elle luit mis ses coudes et ses bras par au dessus, pris un lien et rejoignit les liens
de ses poignets à la corde qui lui plaquait les bras dans son dos mais du côté
de son torse en passant par l’entrejambe. Elle en profita pour placer la corde sur la partie intime
de la fille. Celle-ci se retrouva saucissonnée et incapable du moindre mouvement collée comme elle l’était.
Quelques gémissements et gloussement sortirent du bâillon.
- Tu seras bientôt
de retour chez toi ! Arrête
de râler …
Elles la mirent dans un grand sac
de sport, fermèrent le sac et sortirent des vestiaires. Avant
de partir, numéro 2 voulait voir ce que ce cours donnait.
Elle retrouva Nathan attaché dans les vestiaires au milieu
de 4 jeunes filles. Celui-ci était placé dans un hogtied bien réalisé. Il avait les coudes joints, les chevilles reliées aux poignets et les genoux attachés. La corde entre les poignets et les chevilles était très tendu ce qui limitait énormément les mouvements du jeune homme. Les filles lorgnaient sur les jambes du jeune homme et même bien plus. Pour le moment, une des filles le bâillonnait un ses mains en étant assise sur ses omoplates.
- Et bien Nathan, comme ça des filles ne peuvent pas attacher des garçons ? ironisa t’elle
- Gmmphh ?!
- Et oui mon joli, je t’avais prévenu. Tiens Amélie, ce sera mieux pour le mettre au silence. C’était un court foulard épais avec une boule en cuir. Amélie inséra la boule dans le foulard, fit un noeud et s’approcha du jeune homme. Sa comparse enleva ses mains et à 2, elles l’obligèrent à accepter la boule dans sa bouche, elles l’enfoncèrent profondément et nouèrent un noeud bien serré à l’arrière
de la nuque.
- **** !
- Merci madame ! J’avoue que ça marche très bien.
- Je suis un bon professeur.
- C’est vrai !répondit une autre. Pour le moment on le garde avec nous comme ça. Il va avoir le droit à un interrogatoire. Il nous a menée en bateau sur quelques petites choses et on va en profiter pendant qu’il est tout heureux
de nous parler. S’il veut pas … elle caressa sa jambe et l’instant d’après une grande claque sur les fesses du jeune homme retentit. Il protesta.
- J’ai bien aimé vous diriger pendant ce cours mais n’allez pas trop loin non plus. Armel, l’amie dont je vous ai parlé va vous surveiller et terminer ce cours. Elle s’agenouilla devant Nathan et le regarda dans les yeux.
- On en reparlera une autre fois d’accord ? Elle lut dans ses yeux
de l’étonnement, un peu
de peur
de se retrouvé dans cette situation mais aussi une légère teinte d’excitation, il était rouge et a du donc se débattre. Ça devait être la première fois qu’il découvrait ces sensations et il devait donc être un peu perdu.
- Occupez-vous bien d’eux lança t’elle aux filles avant
de partir.
- Bien -sûr, on les mettra les 3 comme ça avant
de partir rigola t’elle.
- Armel, tu m’enverras des photos ?
- Avec plaisir !
Elle revint dans la salle et observa la situation. Les grands jeunes hommes n’en menaient pas large. Ils avaient les poignées attachés derrière leurs dos, les coudes encore une fois rejoints (décidément ses filles savaient y faire !). Ils essayaient
de suivre le mouvement que leur imposait les filles. Elle vit aussi 2 danseuses attachées et bâillonnées aux grandes échelles
de bois au fond
de la salle. Elles devaient surement attendre bien sagement leur tour …
Elle sortit
de la salle par la sortie
de secours, mis le sac dans le coffre et démarra la voiture en direction
de la maison
de Natascha. Elle avait récupérer ses clés et son adresse dans le studio.
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Une fois arrivées dans le garage des parents
de Natascha, numéro 2 sortit son sac et pénétra dans la maison. Ses parents étaient partis en voyage d’affaires donc il n’y avait pas d’inquiétude à avoir. Elle fouilla rapidement la maison et pris quelques bijoux et un peu
de liquide pour la forme. Elle arriva à l’étage des chambres et chercha celle
de sa captive. Elle fouilla 2 min le temps
de la trouver.
Elle rentra dans celle-ci, posa le sac doucement à terre et l’ouvrit. Natascha était toujours dans sa tenue verte et dans la même position qu’auparavant. En bref elle n’avait pas bougé d’un pouce.
- Mpphmmm !!!
- Oui oui, je comprend, tu dois avoir chaud et avoir un peu mal. Il fallait te mettre comme ça sinon tu ne rentrais pas dans le sac expliqua t’elle. Elle la souleva et la posa sur le lit.
- À moins que ce ne soit ça qui te gêne tant ? Elle coupa le lien qui lui tiraillait l’entrejambe car il était trop tendu pour qu’elle puisse l’enlever avec ses mains. Dès que le contact disparu, Natascha laissa échapper un long soupir
de soulagement.
- On est
de retour chez toi, tu devrais être heureuse.
Sa prisonnière se dandina sur son lit à cause
de sa position et protesta.
- Je pense que tu serais mieux couchée. Bon je te laisse 3 minutes le temps
de chercher 2 - 3 trucs et j’arrive !
Elle laissa la jeune fille pendant au moins un bon quart d’heure. Celle-ci essaya bien
de se détacher mais elle n’arrivait pas à atteindre les noeuds et les cordes ne se desserraient pas d’un pouce.
En revenant, elle enleva les liens qui reliaient ses chevilles à ses cuisses mais laissa pour le moment ses coudes et poignets joints.
Elle la retourna sur le dos, détacha ses chevilles et mis sur chacune un bracelet épais en cuir. Un anneau y était apposé sur chacun et ce qui permettait
de passer un lien à l’intérieur. Ce qu’elle fit avant
de détacher les genoux
de la danseuse. Elle passa rapidement la chaînette gauche sur le pied du lit et au travers
de l’anneau et fit la même chose pour le côté droit. Elle en profita pour cadenasser la chaîne dans l’anneau. Enfin, elle coupa les cordes qui retenaient les bras et finit d’écarteler la jeune fille par le même procédé en n’oubliant pas
de décadenasser. Sa ravisseuse lui laissa tout
de même quelques centimètres ou elle pouvait bouger ses 4 membres.
- Très jolie ! Ton copain sera ravie ! J’ai eu une bonne idée d’avoir pris cette combinaison en lycra. Ah mais j’y pense, tu dois en avoir assez
de cet affreux bâillon je me trompe ?
Avant qu’elle essaye
de répondre, elle lui enleva le grand bâillon boule
de sa bouche et lui enfonça à la place un grand morceau
de tissus ou était posé la petite clé qui enfermait les 4 cadenas. Elle l’enroula par la suite à l’aide d’un foulard. Ce n’était peu-être pas aussi beau que l’autre mais un peu plus efficace. Elle prit le téléphone portable
de la jeune fille et fouilla dans ses messages ce qui lui donna vite l’identité
de son petit ami. Elle appelle et mis le haut parleur, le téléphone sonna 3 fois avant
de décrocher :
- Oui Natascha ?
- Non ce n’est pas elle mais une amie. Je voulais te dire que Nata t’attend chez elle dans sa chambre. Elle aimerait te voir rapidement si c’est possible.
- Pourquoi elle a un problème ?
- Non mais elle est occupé fit-elle en appuyant une
de ses mains sur le bâillon
de la jeune fille pour la mettre au silence complètement. Elle pouvait deviner les gros yeux qu’elle pouvait faire sous son bandeau
de sommeil vu comme elle s’agitait soudain sur son grand lit.
- Tu pourras la rejoindre ?
- Oui, dans une demie heure à peu près.
- Très bien , au revoir !
Elle raccrocha au nez et éteignit le téléphone.
- Tu peux lui raconter n’importe quoi mais je te préviens, pas un mot sur Aurélie et sur ce qui s’est passé. Si tu parles on le saura. J’espère qu’on se reverra ! Elle lui glissa un oreiller derrière sa nuque.
- Mppphmmmm !!!!
Elle partit en refermant la porte derrière elle et sortit
de la maison. Ce fut à ce moment qu’elle se débattit comme une diablesse mais même avec quelques centimètres
de liberté, elle ne pouvait rien faire à part attendre aveuglée, bâillonnée et attachée que son petit ami ne vienne l’aider. Quelques minutes plus tard, elle entendit son copain arrivé criant :
- Natascha ? tu voulais me voir ?
- MMPPhmmm!
Mais en criant et en levant la tête rapidement elle sentit quelque chose dans sa gorge
de très petit et plat descendre lentement. Sans faire attention elle déglutit. C’est à ce moment qu’elle se rappela un bruit
de cadenas contre une chaîne et son coeur se glaça : elle venait d’avaler la clé qui ouvrait les cadenas !
De plus en plus paniquée, elle se débattit violemment mais elle savait qu’elle était dorénavant à la merci
de son petit ami. D’ailleurs celui-ci arriva sans crier gare.
- Et bien ! Quelle surprise ! Comment es-tu arrivée là ?
- MMMPPHMMM !!! fit-elle pour le supplier
de l’aider.
- ok ok j’arrive. Elle pensait sans doute qu’il lui enlèverai son bâillon mais il n’en fut rien à la place elle sentit quelque chose caresser son entrejambe. Déjà excitée par ce qui c’était passé auparavant elle ne put réprimer un sursaut
de plaisir et d’excitation. Son petit ami continua jusqu’à ce que vienne l’orgasme.
- Je m’attendais pas à ça ! Attend je vais cherché la clé dit-il.
- MMpphmmm !
- Non d’abord je te détache et après je t’enlève ce bâillon. Elle geignit plus fort en étendant ces mots. Soudain une sonnerie retentit.
- C’est Maxime ! je vais descendre et on va prendre une bière. Je chercherai la clé plus tard, genre dans trois quart d’heure !
il lui glissa dans l’entrejambe un vieux portable qu’il mit sur mode vibreur.
- mpphhmm !
- Je sais, je sais, je suis irrésistible ma chérie !
Il quitta la pièce en laissant son amie exaspérée et blasée. Cette journée ne finirait donc t’elle jamais ? Dès qu’elle l’entendit ouvrir à son ami elle sentit la vibration dans son entrejambe e s’énerva en sentant que ça lui faisait
de plus en plus d’effet. Et elle comprit que c’était le téléphone avec le réveil qui buggait et qu'une fois mis en place , le réveil ne s’arrêtait jamais …
Elle se contorsionna, se cambra et se débattit mais personne ne l’entendit, si ce n’est que la caméra qu’avait installé son petit copain tout en discrétion …
Je vous laisse imaginer la suite.
