l'académie du bondage

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sakura

l'académie du bondage

Message par sakura »

Une des dernières histoires que j'ai écrite, bonne lecture à tous

L’académie du Bondage.

Bienvenue à vous l’académie du Bondage, où nous pensons que nous allons vous faire vivre une bonne expérience.
Nous allons vous présentez l’équipe dirigeante, mais tout d’abord on tient à préciser que cette école n’est pas mixte en dehors des cours.
Le directeur général de l’école est Monsieur Kimbaku, vous lui devez respect et obéissance même pour ceux qui sont en spécialité bondageur ou domination.
Le directeur pour la section des garçons sera Madame Kamasutra, elle sera en charge de faire respecter la discipline et les règles de l’internat pour les messieurs quelques soit la spécialité.
Le directeur pour la section des filles sera Madame Stoneworld, comme pour les garçons, elle s’occupera des filles.

Nous vous rappelons également les différentes spécialités de cette école :

Bondageur : vous apprendrez à bien bondager à travers différents cours et techniques pour réaliser des bondages avec tous types de matériaux, et dans différents styles que ce soit par exemple le style américain ou le style japonais. En dernière année vous pourrez choisir une spécialité qui doublera le coefficient de la matière en question.

Domination : cette section a pour but de vous former au métier de maitre ou de maitresse afin que vous puissiez prendre heureux votre soumis ou soumise.

Bondagé ou bondagette : pour apprendre à se détacher de son ligotage mais aussi pour apprendre à les supporter et à respecter les choix de la personne qui vus fait l’honneur des liens.

Soumis ou soumise : Dans cette spécialité c’est la discipline qui prime, on vous demandera une totale obéissance.

Bien sur vous pouvez en plus choisir deux options parmi la liste suivante : tape, corde, bâillon, cuir, latex, plastique, foulard/tissu, photographie, montage vidéo, soubrette, confinement, sécurité, histoire, philosophie, écriture, role play.

Maintenant les responsables vont vous expliquer les règlements intérieurs qui sont différents pour les filles des garçons.

(Pour des raisons de temps et d’idée, je ne ferais que la partie des filles ^^)

Et voilà une nouvelle année qui commence, certaines des filles me connaissent déjà de l’année dernière voir plus car la formation dure trois ans et que l’on redouble si on a de mauvaises notes ou que l’on veut se réorienter ?
Je les réunis dans la grande salle commune, cela me fait plaisir de voir le succès florissant de cette académie. Je monte sur l’estrade, pour faire mon discours de bienvenue :
« Bonjour à toutes, pendant cette année, je serais votre directrice, à ce titre et comme vous la rappelez Monsieur le directeur, je serais votre responsable à ce titre et bien que cela puisse porter à confusion, vous devrez à chaque fois Madame la Directrice et me montrer toujours un immense respect. Dans le cas contraire, je saurais vous le faire apprendre rapidement, cette école dispose de tout ce qui est nécessaire pour punir à vie l’ensemble des élèves présents en ses murs.

Pour le moment vous avez encore vos tenues civiles, que vous ne pourrez pas garder une fois que vous aurez passé la porte de cette salle. Cette école impose un uniforme que vous devrez porter en toute occasion, elles se trouvent dans vos dortoirs respectifs, mais vous devrez être nue pour les atteindre.
Interdiction d’avoir des portables, de pouvoir communique avec l’extérieur sauf si je vous en donne l’autorisation et cela ne se fera que si vous le méritez.

Concernant les autres règles tous les sanctions sont à ma discrétion, je peux aussi bien vous imposez une paire de menotte pour simplement une journée comme vous confinez et vous gardez dans un cachot jusqu’à la fin de l’année voire plus si j’oublie de venir vous voir.

Autre élément important le bâillon est OBLIGATOIRE, je ne veux pas vous entendre même pendant les cours de domination, seul les travaux pratiques se feront sans le bâillon.

Le soir, le couvre-feu est à 22H, les portes de vos chambres seront fermées à clé, vous aurez le droit de retirer vos bâillons pour la nuit, mais des sonomètres me préviendront s’il y a trop de bruit et si je dois me déplacer pour cela vous risquez de passer un très mauvais moment. Le matin à 7h tout le monde en dehors de sa chambre pour le petit déjeuner en uniforme et avec un bâillon en bouche.
Et maintenant dans vos chambres, je vous veux en tenue dans 30 minutes. »

Toutes les filles se déshabillent devant, moi je me régale de les voir ainsi se mettre nue sous mon regard. Je me place à la sortie de la grande pièce pour vérifier que les filles sont bien nues, pour trouver les chambres c’est facile, il y a leur nom sur la porte.

A l’intérieur, elles trouveront plusieurs uniformes en conformité avec leur section. Je me suis moi-même occupée du choix des tenues des soumises, elle se compose d’un bâillon au choix mais il doit être efficace et pas juste sur les lèvres pour la décoration, d’un mini chemisier avec un large décolleté faisant ressortir leur sous vêtement, une mini-jupe, et une paire de petite basket.
Au bout d’une demie heure, je fais venir toutes les filles dans le couloir pour vérifier les bâillons, je leur demande de toute se mettre sur la droite, j’en attrape quelques-unes par le bras pour les mettre à gauche, je dois vérifier les bâillons de plusieurs centaines de filles, on pourrait penser que c’est un truc fastidieux, mais j’adore le faire et puis à chaque fois je tente de battre mon record. Avec l’expérience j’ai appris à le faire vite et bien.

Je dois avoir une dizaine de filles sur la gauche ce qui est une bonne année d’habitude, il y en a plus « Celles que j’ai déplacé, vous avez exactement 5 minutes pour me changer vos bâillons pour des trucs plus efficaces, les autres, vous pouvez vous rendre dans la salle d’étude, je vous rejoints juste après. »
Je vérifie une nouvelle fois les bâillons des fautives et cette fois elles ont eu l’idée de recouvrir le bas
leur visage avec de bon tours de tape et à la forme de leurs joues, je peux en déduire qu’elles ont en plus des bourres entre les dents. Ce sont pour la plupart des élèves en cours de domination qui n’ont pas l’habitude d’en porter, ce qui est bien normal ce n’est pas ce qu’on leur demande, mais moi j’aime voir les filles bâillonnées et ligotées, c’est pour cette raison que je fais ce métier, que je ne quitterais pour rien au monde.

Je fais rentrer tout le monde dans cette immense salle, le nombre de chaise est égale au nombre de fille qui ont choisis les sections bondagette ou soumise.
« Comme il ne va pas tarder d’être l’heure de la fin théorique des cours, et qu’ensuite une heure d’étude est obligatoire, nous allons directement passer à cette étape. Ceux qui sont en section bondageuse ou dominatrice, vous récupérez les accessoires qui se trouvent dans les placards au fond de la salle et vous me saucissonnez comme il se doit les personnes assises sur les chaises, je ne veux plus qu’elles bougent. »

Aussitôt dis, que les filles vont chercher les accessoires au fond de la salle et commence à ligoter les filles assises sur les chaises. Je passe dans les rangs pour vérifier la qualité des réalisations, il y a de tout, c’est assez variée. Je retourne devant quand je vois que les derniers liens sont apposés.
« Bon maintenant celles qui sont debout vous allez contre les murs, vous placez vos mains et vos pieds dans les anneaux en fer. Une fois qu’elles sont toutes en place, j’appuie sur une télécommande qui ferme les menottes et me permet de pouvoir prendre une pose bien mérité et de sortir un coup fumer une cigarette avec un bon verre, cette année s’annonce radieuse.

Je les abandonne jusqu’à la sonnerie, je reviens et je détache celles qui sont contre les murs en appuyant sur la télécommande. « Vous pouvez aller manger. » J’en vois qui commence à s’approcher des filles qui sont encore ligotées sur les chaises. « On ne détache pas celles qui sont sur les chaises, elles vont faire un peu de travail supplémentaire. »

Elles partent donc en direction du réfectoire, alors que je reste avec celles qui ne peuvent pas se déplacer pour le moment. « Comme vous êtes de futures bondagette sou de futures soumises et que vous devrez supporter des liens et des bâillons à longueur de journée, je vous demande donc de rester sagement sur mon chaises pendant le temps que je mange, vous pouvez crier dans vos bâillons, personne ne viendra vous détachez. Je ferme la porte à clé et j’éteins la lumière et aussitôt c’est un concerto de mmffggghhhh dans des bâillons qui les étouffent. J’en profite pour rester quelques instants contre la porte, j’adore les filles criant avec désespoir dans un épais bâillon en étant ligotée solidement, sans aucune possibilité de libération. Cela me procure beaucoup de plaisir de les entendre, bien qu’une soumise ou une soubrette parfaitement silencieuse me convienne également.
Je mange dans la salle de restaurant réservé au personnel de l’académie, on ne va pas manger avec les élèves qui ne sont que des parvenus pour nous.

Une fois que j’ai fini mon repas qui a été servi par les garçons qui sont en spécialité soubrette (car il y en a une dizaine qui veulent exercer ce métier, on parle plus dans ce cas-là de garçon de café.). Je me lève de table et je me dirige vers la salle d’étude où les filles continuent de crier dans leur bâillon respectif. Je me prépare à faire mon entrée, je tourne délicatement la clé dans la serrure, j’appuie doucement sur la poignet, puis j’ouvre la porte dans un grand fracas « Silence tout le monde. » Alors que j’allume la lumière et que je fais une tête de personne très en colère alors qu’au fond de moi je suis morte de rire par la situation. Toutes les filles sont encore sur les chaises, c’est bien elles sont dociles cette année. « Bon vous allez être détachée, vous aurez 30 minutes pour manger et ensuite vous irez dans vos chambres respectives, toute retardataire sera sévèrement puni par moi-même. »
Les filles sont rapidement détachées, alors que leur repas est servi dans le réfectoire, je les vois ensuite courir dans les couloirs pour ne pas en être en retard, j’en attrape quelques-unes au vol que je menotte à des radiateurs. Une fois le délai écouler, avec ma télécommande je ferme à clé les portes des chambres car il est déjà 21h et que le retour au silence absolu est prévu dans une heure. Je me tourne et je vois que j’ai attrapé une demi-douzaine de filles. « Si je vous ai menottées, c’est que vous avez mes très chère demoiselle, oublier un petit détail dans votre précipitation. Vous n’avez plus de bâillon à ce titre vous inaugurerez les punitions pour cette année. »

Je ramène de quoi les bâillonner à ma manière, je commence par leur enfoncer un bâillon gonflable, que je gonfle dans chacune des cavités buccales au maximum, puis je prends du tape et j’en entoure le bas de leur visage.

Je leur enfonce une cagoule intégrale sur la tête que je sangle derrière. Je prends ensuite les paires de menottes que je détache des radiateurs pour placer leurs mains menottées dans leur dos, je leur passe ensuite une corde autour de la taille pour les conduire dans mon bureau. Je leur place les mains dans un armbinder, puis les jambes dans des legbinders. Je ferme le tout fermement et je rajoute du tape par-dessus. Je plaque ensuite l’armbinder à l’aide de sangle en cuir dans leur dos. Je prends ensuite des sleepsacks, je les fourre à l’intérieur, ce sont des modèles simples en latex avec une fermeture éclair, je rajoute une bonne couche de tape gris par-dessus pour m’assurer qu’il ne puisse pas s’ouvrir par mégarde. Je ramène ensuite des duvets et je les glisse à l’intérieur comme elles vont y rester la nuit, je m’assure qu’elles aient bien chaud et qu’elle ne manque pas de liens, je rajoute encore une couche de tape, puis de cellophane et encore du tape. Je les place ensuite dans de petits placards individuels en verre et je leur souhaite une bonne nuit. J’éteins mon bureau, je le ferme à clé et je monte à mes appartements, je fais de longues journées mais j’aime tellement mon travail que j’essaye de le vivre au maximum chaque jour. Je monte dans mon appartement de fonction pour retrouver la fille qui partage ma vie, c’est une ancienne élève de l’académie, l’une des plus brillante que j’ai connu, je me suis attachée à elle et depuis maintenant près de deux ans, elle partage ma vie et je lui apporte de l’amour mais aussi tous les liens et bâillons qu’elle me réclame.

Je la retrouve, elle est comme je l’ai laissé ce midi, dans une belle momification avec un uro gag, dont le tuyau est rempli d’urine. Elle a une cagoule en latex sur la tête et en dessous, elle a un bandeau en cuir en plus de tape sur les yeux pour qu’elle soit totalement aveugle. Comme liens je lui ai mis juste le strict minimum pour moi, à savoir les mains dans de petits sacs en cuir, le tout dans un armbinder à cadenas, que j’ai plaqué contre son dos avec des sangles en cuir. Entre ses cuisses, elle a un gros gode dans le vagin et un crochet dans l’anus, le tuyau pour l’urine est planté dans son orifice et le tout est relié en place avec une petite corde et maintenue en place avec une ceinture de chasteté en métal avec cadenas. Pour ses jambes, je lui ai mis une hobble skirt, puis un sleepsack à cadenas et enfin, je l’ai mis dans un sleepsack en cuir avec une trentaine de cadenas sur toute la longueur. Je l’ai mis ensuite dans un autre sac qui est gonflable, puis je l’ai mis dans une cage en métal, pour finir par le gonfler au maximum. La vue de cette « pauvre fille » dans sa cage, me procure une bouffée de plaisir que j’évacue rapidement.

Et dire que chaque jour qui passe, elle en redemande encore plus, j’ai vraiment bien fait de la choisir comme compagne pour le reste de ma vie, je croise les doigts pour. Cela ne sert à rien que je lui parle, d’un par ce qu’elle ne me répondra pas et de deux parce qu’elle est moitié sourde à cause de ce qu’elle a sur la tête. Je lui retire sa cagoule qui dégage ses oreilles. Je coupe ensuite le tuyau de son uro gag et fait couler, le surplus dans une grosse bouteille, je laisse ensuite le tuyau dans la bouteille car c’est l’heure de son repas, je lui retire son bâillon, elle n’a pas le droit à la parole, elle ouvre juste la bouche pour que je puisse lui mettre la fourchette dans la bouche. Je lui fais ensuite boire une petite bouteille d’eau, je referme son bâillon, je la laisse ainsi et dire qu’elle n’a pas vu la lumière du jour depuis presque une semaine. Je la laisse pour prendre ma douche et mettre ma nuisette, je reviens vers ma bondagette, je prends la télécommande du gode qui vibre en permanence dans son vagin et je le pousse à pleine puissance, c’est un modèle spécial que j’ai pris avec un vibreur redoutable. Dès qu’il est à pleine puissance tout le corps de la pauvre fille se met à vibrer dans tous les sens, elle vibre un peu comme un portable que l’on laisse en vibreur sur une table. Je l’entends crier dans son bâillon, elle doit prendre son pied c’est sûr, la bouteille se remplit un peu plus.

C’est un peu sa séance de sport quotidienne qui ne dure pas plus d’une demi-heure. Je prends ensuite sa cagoule de nuit que je lui enfonce sur la tête à travers le trou de son uro gag, je lui fais boire une nouvelle petite bouteille d’eau avant de lui remettre le tuyau qui vient d’entre ses cuisses en bouche pour la nuit. Je gonfle ensuite sa cagoule pour que sa tête soit coincée par les barreaux de sa cage, de façon qu’elle est la tête de bien calée pour pouvoir dormir. Je l’admire quelques minutes, puis je vais dans ma chambre à coucher et je me cale devant un écran vidéo qui montre les filles que j’ai puni aujourd’hui se débattre dans leurs liens et bâillons, elles sont magnifiquement mises en valeur dans ma vitrine qui peut en accueillir une dizaine et elle n’est que très rarement vide.

Je finis par me coucher dans mon drap lit, en pensant à ce que je vais bien pouvoir inventer demain en étant bercer par les petits cris étouffés de désespoir de toutes ces filles que je bondage à longueur de journée depuis des années maintenant.

Au petit matin, je me lève très tôt vers 6h du matin, je prends ma douche du matin après avoir réveillé ma bondagette à grands coups de vibrations dans le vagin. Je mets ma tenue de travail, puis je prends mon petit déjeuner avec ma bondagette dont je libère le bas du visage pour qu’elle puisse manger. Pour la journée, elle aura son uro gag, une cagoule sur le visage et bien sur son gode en fonction.

Je descends de mes appartements de fonction pour me rendre à mon bureau, j’y retrouve les pauvres filles qui ont passé la nuit dans ma vitrine. Je récupère deux trois papiers, je regarde rapidement mes mails. Je descends ensuite à l’internat pour ouvrir les portes des chambres. Toutes les files doivent se présenter devant moi en uniforme et avec bâillon sur les lèvres à 7h du matin précis. Elles doivent toutes passer devant moi avant de pouvoir se rendre au réfectoire pour le petit déjeuner. Je les laisse manger et je retourne dans mon bureau pour sortir de ma vitrine les pauvres filles qui y ont passé la nuit, je leur retire les cagoules, les sleepsacks et tous les liens des jambes pour ne leur laisser que les bras dans un armbinder et le bâillon en place dans la bouche. « Aller hop tout le monde en cours et plus vite que çà. » J’ai décidé en mon libre arbitre de les punir pour la journée. « Vous viendrez me voir à la fin de la journée pour que je vous libère les bras. »

Elles partent pour les salles de cours ou de travaux pratiques. Enfin seul dans mon bureau, je me mets un fond sonore qui se compose de cri de demoiselle en détresse qui ne demande qu’une chose, qu’on les libère mais elles le font à travers d’épais et redoutable bâillon qui les rendent presque inaudible pour leur plus grand malheur et pour mon plus grand bonheur.
Le matin, je regarde mes mails, j’y réponds et je regarde aussi mon courrier que l’on dépose au fil de la matinée sur mon bureau.

Vers 11 h, on toque à la porte de mon bureau « entrez », je vois une demoiselle qui arrive avec un mot dans la main. Elle vient de se faire virer d’un cours et elle est envoyée dans mon bureau pour punition. Je regarde le motif de l’exclusion, elle s’amusait à glisser ses doigts sous son bâillon pour le décoller légèrement de ses lèvres et commençait à chuchoter pendant un cours.

Je vais dans mon placard à accessoires de bondage, j’en sors un bon nombre et je commence à ligoter l’élève fautive, je lui mets des menottes autour des poignets que je place dans son dos, je prends ensuite des petits sacs dans lesquels je glisse ses mains. Je prends une autre paire de menotte et j’enserre ses coudes. Ce n’est pas fini pour ses bras, ce n’est pas une faute très « grave » mais je veux marquer le coup et lui faire comprendre que ce n’est plus à refaire, je les place ensuite dans un armbinder que je sangle au maximum pour comprimer ses bras et avec d’autres sangles je plaque le tout contre son dos, je sers le tout convenablement. Je finis par lui passer une paire de menotte à hauteur de genou et une autre autour des chevilles. La voilà bien puni et je lui demande de retourner en cours ainsi.

Ce problème résolu, je vais à une courte réunion avec les autres têtes pensantes de l’école. On discute de tout et de rien, mais cela nous permet de bien rigoler, on travaille tous beaucoup et c’est une bonne occasion de se détendre. Le grand directeur ramène une bouteille de vin et on fume également quelques cigarettes. A la fin de la réunion je vais manger avec les autres dirigeants dans notre propre salle de restaurant.

En début d’après-midi, je retourne à mon bureau, pour vérifier deux trois trucs, puis je dis à ma secrétaire qui est solidement sanglée sur sa chaise de bureau, elle a juste les mains et la bouche de libre car ce sont des accessoires indispensables à son travail, ce qui n’est pas le cas du reste. Si elle n’avait pas besoin de sa bouche ou de ses bras, ils seraient dans le même état que le reste de son corps.

Je descends vers ma salle de cours, j’ai la particularité de donner aussi des cours durant plusieurs demi-journée dans la semaine. Mes cours sont pour les filles en bondage, je n’ai que trois classes, une par année de niveau. Dans chacune des classes, il y a une trentaine de filles à chaque fois, moitié bondageuse et moitié bondagette. Mon cours doit commencer à 14h et il va durer 3 heures, ce sont des travaux pratiques et les élèves n’ont pas le droit à des pauses entre les cours.

J’entre dans ma salle, j’ouvre les volets, j’ouvre les placards ave les accessoires de bondage, j’allume mon ordinateur portable, je règle le vidéo projecteur et la sonnerie retentit. Je me présente devant la porte, ma classe est là en rang « vous pouvez entrer. »

Tout le monde est à sa place une bondageuse à côté d’une bondagette, pour ce premier cours, je vais faire simple après une bref introduction théorique sur les liens, qu’elles prennent en note, puis je leur dis « les bondageuses vous avaient 30 minutes pour attacher vos voisines avec des cordes, ce travail sera notée je vous le rappel. »

Les cordes pleuvent sur les bondagettes qui sont rapidement ligotées que ce soir, sur des chaises, sur les paillasses, au poteau qui se trouvent au fond de la salle, d’autres sont simplement attachées et assises au sol. « Mettez maintenant les bondagettes d’un côté de la salle. » Toutes les bondagettes sont ainsi déplacées. Les bondageuses se réinstallent à leur place et je reprends mon cours « Les bondagettes vous pouvez maintenant tenter de vous libérer, celles qui y arriveront auront un 20. » C’est beau de voir des filles se tortillant dans des liens, je fais le cours aux bondageuses qui doivent maintenant remplir un questionnaire sur le bondage qu’elles ont imposé à leur binôme.

Je jette de temps en temps un œil sur mes bondagettes, peu de liens bougent, faut dire que je sais motiver les bondageuses, car si malheureusement une des bondagettes parvient à se libérer, je lui mettrais un 20 car ce sera un exploit mais la bondageuse aura elle un zero. Il est donc rare qu’une bondagette se libère car les bondageuses n’ont pas envie d’avoir de mauvaises notes. Le cours continue cela doit maintenant faire une bonne heure que je blablate et j’ai envie d’un peu d’action. Je vais donc faire une démonstration en cours mais pour cela il me faut une volontaire. « J’ai besoin d’une volontaire pour la suite du cours, quelqu’un veut bien venir ? »

Bien entendu, il n’y a pas foule qui se bouscule au portillon, je prends la liste des élèves et j’en choisis une au hasard et je lui demande de venir à mon bureau. J’installe une chaise haute et je fais asseoir mon modèle dessus, je prends mes cordes et je commence à lui attacher les mains devant elle, en même temps que je fais la démonstration, je continue de débiter mon cours. Je montre à mes élèves comment, l’on fait de bons nœuds bien solides. Je prends une autre corde que je place autour d’une des chevilles de mon modèle pour ensuite l’attacher à l’un des pieds de la chaise. J’enchaine avec une autre corde pour continuer ma démonstration, je vois le visage de mon modèle se crispait à mesure que j’enroule des cordes autour d’elle. Je prends encore un rouleau de corde pour faire la deuxième cheville, c’est la partie que je préfère dans mes cours, lorsque je fais des démonstrations dans le cadre de mes cours. Je prends encore une corde et j’attache tout son buste avec pour que ses bras soient le long de son corps, j’en profite pour lui plaquer tout le haut du corps contre le dossier. Je montre ensuite à mes élèves très attentive que la pauvre ne peut plus bouger à par les bras mais cela ne va pas durer bien longtemps. En effet, je prends une autre corde qui finit de lui placer les mains devant en les plaquant sur l’assise de la chaise.

« Maintenant, qu’elle est bien attachée, il faut rajouter l’accessoire indispensable à toute bondagette. C’est le bâillon, et il en faut un qui soit esthétique et très efficace à la fois. » Bien qu’elle en porte déjà un, je lui retire pour le remplacer par un modèle de ma composition, je commence par lui mettre une bourre dans la bouche, je rajoute une petite éponge entre les dents, pour que sa bouche soit bien pleine. Elle aura déjà du mal à les retirer avec la langue, je prends alors un ball gag de 5 cm de diamètre que je lui enfonce au milieu de la bouche. Je sors alors l’un de mes accessoires préféré, un gros rouleau de tape gris et je fais une dizaine de tour de la tête de mon modèle. « Comme je vous l’ai déjà dit, le bâillon doit aussi être esthétique. » Je prends alors un beau foulard de soie que je sors de ma collection personnelle. Je lui place sur le bas du visage pour qu’il recouvre parfaitement le tape.

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sdc
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Re: l'académie du bondage

Message par sdc »

Je serais sans doute resté à l'école si c'était cette académie...

sakura

Re: l'académie du bondage

Message par sakura »

Je pense que tu n'es pas le seul dans ce cas là,
normalement je vais écrire prochainement la suite.

fanfan049

Re: l'académie du bondage

Message par fanfan049 »

Drôle de façon d' apprendre le bondage.

Bouya2

Re: l'académie du bondage

Message par Bouya2 »

Tiens. J'étais pourtant sûr d'avoir déjà commenté ici.
Pas grave.

Alors, déjà, un gros gros gros gros bon point positif qui mérite d'être souligné : ton orthographe s'améliore vraiment ! C'est très agréable à lire. Pareil pour la mise-en-page. :bravo:
Pour ce qui est de l'idée, elle est originale. On suit les idées, qui s'enchaînent les unes après les autres, sans qu'il n'y ait ni de temps mort, ni un rythme trop rapide.
Même si parfois on a un peu de mal à comprendre :
le petit déjeuner en uniforme et avec un bâillon en bouche.
WTF ? Comment font-elles pour manger ?

Ensuite, il y a quand même une petite faiblesse. Ce que tu viens de poster n'est ni une histoire, ni une succession de scènes. C'est un peu entre les deux. Or, c'est un entre-deux difficile à tenir.
Est-ce que tu feras évoluer ce que tu écrits vers une succession de portraits ? Ou vers une histoire ? Ou bien vas-tu conserver l'entre-deux ? Et si oui, y arriveras-tu , Il n'y a qu'un moyen de savoir : UNE SUITE :mrgreen:

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