Kidnapping sur commande

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sam22

Kidnapping sur commande

Message par sam22 »

Ce devait juste être un plan ligotage avec ce mec avec qui je discute sur internet mais il en a décidé autrement...

Steven avait l'air d'un mec super sympa et avec qui j'avais des affinités en matière de ligotage et au niveau de nos caractères mais à présent qu'il est devant avec sa cagoule et pointant un pistolet sur moi, il s'est visiblement joué de moi et compte bien profiter de la situation.
Je lui avait donné rendez-vous chez moi à 19h ce samedi pour nous rencontrer pour la première fois. J'étais à la fois nerveux et très excité, à quoi ressemble t-il? Es-ce que notre plan ligotage sera inoubliable ou non? Allons-nous nous revoir par la suite?
Il est arrivé à l'heure et lorsqu'il a sonné et que j'ai ouvert la porte, j'ai eu immédiatement peur de lui car il avait déjà mis sa tenue de kidnappeur, sa veste en cuir, ses gants en cuir, son jean noir et surtout sa cagoule qui le rend vraiment effrayant.

"Steven j'espère" lui dis-je en tentant de cacher ma crainte
"A ton avis Quentin?"
"Ecoute, je préfère voir ton visage avant qu'on commence"
"On verra" me dit-il en passant la porte et en me bousculant légèrement au passage.
Je referme la porte et le suis au salon.
"Retire cette cagoule s'il te plait"
"Non" rétorque t-il en se retournant rapidement
Et c'est alors que je le vis dans ses mains, pointant dans ma direction, un petit revolver qui visiblement était un vrai.
"Oh non... pitié"
"Oh siiii"

Il me fait asseoir sur le canapé de mon salon et saisit une des paires de menottes dont il m'avait parlé dans un de ces e-mails. Il me fait enlever mon tee-shirt ainsi que mon pantalon et se moque de mon corps imberbe. Le métal des menottes est glacé et dur, il se referme sur mes poignets et je sens que c'est le début des ennuis... Il passe alors la main sur mon torse et le contact du cuir me donne des frissons à la fois d'excitation et de dégout.
"Que me veux-tu Steven?" tenté-je alors pour établir le contact et ne pas perdre le peu de contrôle que j'ai sur la situation.

"Je veux te faire subir ce dont tu as vraiment envie et que tu n'osais pas me demander"
Cela n'est guère rassurant à vrai dire et je sens le stress monté encore lorsque je le vois déballer son matériel sur la table de mon salon : des cordes, des fouets, des menottes, des bâillons de toutes sortes, des foulards, des bandanas, des plugs, des pinces-tétons, et ce n'est sans doute qu'une partie de ce que contient réellement ce sac. Il doit bien prendre son pied à me faire peur par ce lent déballage, comme une menace de ce qui va m'arriver. J'aimerai crier à l'aide mais je sais que c'est inutile, je serai bâillonné dans la seconde avec l'un de ces nombreux accessoires que j'ai sous le nez. Je tire sur les menottes comme si j'avais un espoir de les faire céder, c'est sans doute ce que l'on ressent lorsque l'on est prisonnier d'un pervers, ce qui est précisément mon cas.

" Allonge-toi à plat ventre sur le canapé" me lance t-il sans même me regarder
"Je t'en supplie ne fais pas ç..."
Un simple regard de sa part dans ma direction me convint qu'il était inutile de discuter avec lui. Va t-il me violer ou simplement me ligoter de la tête au pied pour faire de moi rien de plus qu'un jouet impuissant, une simple peluche humaine?
Je roule alors sur le côté pour me mettre à plat ventre. Dans cette position, je ne peux voir de quel objet il se saisit sur la table avant de monter à califourchon sur moi. C'est le moment... je m'attends au pire.
Il saisit alors les bords de mon caleçon et le descend lentement sur mes cuisses. Il prend son temps pour me torturer, j'en suis sur.

"Détends-toi et ce sera plus facile" me dit-il avec une voix grinçante
Et alors, au lieu de détacher sa ceinture, je le sens placer un objet aux bords de mes fesses et commencer à me l'introduire dans l'anus. Je ne peux plus me débattre, c'est trop tard. L'objet pénètre si rapidement en moi que cela me laisse comme tétanisé. Il me laisse alors quelques secondes pour reprendre mes esprits et retire cette fois totalement mon caleçon.

Je sens le plug dans mon anus lorsque j'essaye de bouger et je peux sentir son extrémité du bout des doigts.
"Debout" m'ordonne t-il
Je ne tente plus de lutter, c'est peine perdue, je suis sa chose, il me le fait bien comprendre. En tentant de me relever, je tombe par terre et il s'en amuse en m'obligeant à lécher ses chaussures. Le goût est infecte mais je n'ai vraiment pas le choix. Ma langue rencontre toutes sortes de choses auxquelles elle n'est pas habituée mais être totalement sous son contrôle commence à me procurer une immense sensation de plaisir. J'ai soudain envie de lui obéir aveuglement et de m'en remettre totalement à lui. Il m'attrape par les épaules et me mets debout.
Puis il passe derrière moi et je sens soudain les menottes s'ouvrirent et relâcher mes poignets. Je me sens alors frustré mais alors que je m'apprête à le supplier de me les remettre, je vois une combinaison en latex devant moi. Elle a l'air si chaude et confortable que mon désir est trop grand, je veux la mettre. Avant même qu'il ne m'en donne l'ordre, je commence à descendre la fermeture éclair jusqu'à l'entre-jambe et je me glisse à l'intérieur. Elle est juste à ma taille et me colle à la peau, je sens le plug me titiller l'anus et toutes ces sensations sont exquises. Je remonte la fermeture éclair jusqu'en haut. Je sens son regard sur moi et je baisse la tête en signe de soumission. Je ramène mes mains dans le dos pour être de nouveau menotté. Je l'entends attraper quelque chose et alors mes mains sont fourrées dans de petites moufles douces et rembourrées qu'il ferme rapidement sur mes poignets. Les menottes viennent alors se refermer sur les moufles pour finir de me rendre incapable de me servir de mes mains.

"Bâillonne-moi" lui dis-je dans un souffle.
Le bruit de lui fouillant dans ses affaires à la recherche du bâillon le plus humiliant est si excitant que je sens mon sexe se durcir dans la combinaison. Il se tourne alors vers moi et il m'introduit dans la bouche ce qui semble être un sexe en érection : un penis-gag! Il me le pousse dans la bouche et attrape les sangles pour le serrer suffisamment fort pour que je garde cet énorme phallus dans la bouche. Je tente de parler mais seuls de faibles gémissements sortent de ma bouche ainsi obstruée. Ma langue caresse le bâillon comme pour s'habituer à sa présence qui risque de se prolonger une bonne partie de la soirée.

C'est alors qu'il se saisit par les hanches et me fait pivoter. Je me retrouve face à lui mais je n'ose pas le regarder dans les yeux tant j'ai honte d'aimer ce qu'il me fait subir. Avant même que je puisse le réaliser, un collier en cuir à piques vient se fermer autour de mon coup et une petite chaîne est fixée au maillon de devant. Un chien! Il fait de moi son petit animal domestique et... Non, il m'attire vers la porte, il veut me montrer à tout le monde ainsi vêtu, ainsi soumis. Il saisit la poignée et me fais sortir de l'appartement dont la porte donne directement dehors sur un balcon extérieur commun qui permet d'atteindre la rue. Je suis contraint de le suivre, je prie de ne croiser personne, lui, il s'en fiche d'être vu avec sa cagoule. Je me sens épié de tous les côtés, railler pour tous les gens que je connais, démasqué à prendre mon plaisir dans cette humiliation de cuir et de latex. Mon érection se fait de plus en plus forte à mesure que nous faisons le tour du quartier, je vois des passants au loin. La panique est à son comble mais par chance, il tourne et reprend le chemin de l'appartement. Je le suis toujours, et plus je me rapproche de la porte de l'appartement, plus je stresse de tomber sur l'un de mes voisins que je salue amicalement tous les matins. Nous franchissons la porte de mon appartement à l'instant même où une porte du palier s'ouvre. Je me précipite alors dans l'appartement et il referme la porte derrière moi. J'entends les pas des talons hauts de ma voisine qui sort en boîte le samedi soir et je prie pour que cette expérience ne m'arrive plus jamais.

"Alors notre petite sortie t'as plu?" me lance t-il
Je tente de l'insulter mais cela ne semble que l'encourager tant mes gémissements me semble ridicules. Il s'approche alors de moi et me libère complètement de mes entraves à part mon bâillon comme pour garder un ascendant psychologique sur moi.

"Mets-toi à poil, maintenant!" crie t-il en me montrant son pistolet à sa ceinture
Je m'exécute rapidement malgré le fait que la combinaison a l'air d'avoir fusionné avec ma peau à cause de mon abondante transpiration. Me revoilà nu, dans mon salon, à la même place, attendant les prochaines sévices de mon bourreau avec impatience. Celui-ci me jette alors les menottes pour m'obliger à me contraindre moi-même. Je me place un premier bracelet sur le poignet gauche que je referme dans une série de cliquetis qui scellent le métal autour de mon poignet. Je ramène mes mains dans le dos et en fermant les yeux, je referme le second bracelet autour de mon poignet droit.

"Maintenant allonge-toi sur le canapé mais cette fois, mets-toi sur le dos."
J'ai l'impression d'être un robot sans volonté, obéissant à son maître sans poser de question, enfin, il n'est sans doute pas nécessaire de bâillonner les robots pour cela.
Je m'assois alors sur le canapé, et je cherche la position la plus confortable pour m'allonger sans que les menottes ne me scient les poignets et sans qu'elles me rentrent dans le dos. De là où je suis je le vois alors remonter sa cagoule au dessus de la bouche et se passer la langue sur les lèvres. Cela ne me dit rien qui vaille. Il fouille alors dans son sac et en sort un grand pot de Nutella et une cuillère...

Il s'approche alors de moi en dévissant le couvercle du pot en le faisant tomber par terre et y trempe la cuillère pour ensuite lécher longuement celle-ci avec satisfaction. Puis, il monte à califourchon sur moi et commence à me badigeonner le torse de Nutella. La tache finie, il pose le pot de Nutella par terre et se lance dans une dégustation du Nutella sur mes tétons qui pointent de toutes leurs forces sous le coup de l'excitation. Sa langue est habile et la situation bien que dégradante n'en est pas moins furieusement stimulante. Je gigote et me débat pour tenter d'échapper à cette langue à la recherche de chocolat. Pas une goutte ne lui échappe et je me laisse bercer par ses chatouilles sur mon corps impuissant. Un de ces gants vient prendre appuie sur mon entrejambe, ce qui réveille instantanément mon sexe qui se durcit, souhaitant sans doute participer aux festivités mais à mon grand regret, il ne semble pas être au menu.
Quand mon kidnappeur semble repu et s'arrête de me lécher le torse, il s'allonge à mes côtés comme pour se reposer une seconde et savourer la situation. Et alors que je pensais qu'il m'avait oublié, il m'attrape par les épaules et me conduit dans la salle de bain pour me pousser ensuite dans la douche à l'italienne.

"Je te trouve un peu sale, on va prendre une petite douche ensemble"
Il commence alors à se déshabiller, sa veste en cuir, puis son tee-shirt noir. Le pantalon et le caleçon viennent ensuite rejoindre le reste de ses affaires sur le lavabo. Je me blottis dans un coin comme si je pouvais lui échapper. Il saisit un bandana dans la poche de son pantalon et me bande de les yeux sans doute pour pouvoir retirer sa cagoule sous la douche. Il attrape un morceau de savon qui traînait par là et tourne le robinet de la douche, faisant ainsi couler une eau glacée qui me coupe le souffle. Je tente de crier mais cela ne donne rien. L'eau se réchauffe. Il me rejoint alors sous la douche et commence à me savonner le haut du corps. Il est attentionné et ne semble plus être le même homme qui m'a menacé de son arme un peu plus tôt. Il me passe le savon partout, il titille le plug au passage, comme si je pouvais oublier sa présence dans mon anus. Il me touche le sexe avec le savon mais ne s'y attarde pas. Je suis un peu frustré. Il descend alors le long de mes jambes et je frisonne. Les frottements du savon sur mon corps, malgré le fait que ce soit un homme qui me fasse ressentir ces sensations, m'excite au plus haut point. Je sens mon sexe dur et turgescent, et je me débats contre mes menottes comme si je voulais l'attraper mais il m'en empêche. L'attente est la nouvelle torture qu'il a choisi pour moi. Il se relève alors, me gifle les fesses au niveau du plug et se savonne tranquillement en me laissant seul avec mon érection et ma frustration croissante. Puis, il pose une main sur mon épaule et me fait ainsi descendre à la hauteur de son entrejambe. Je sens alors que la situation lui plait beaucoup tant son sexe contre ma joue est dur et imposant. Il passe alors les mains derrière ma nuque et défait les sangles qui maintiennent mon bâillon. J'ouvre alors la bouche avec plaisir à la recherche du membre turgescent. Il guide ma tête et je sens alors son pénis emplir ma bouche. Je me recule un peu, et, de ma langue, je chatouille son gland ce qui lui arrache des gémissements de plaisir. Je me lance alors dans un va-et-vient de ma bouche sur son sexe et je m''applique à stimuler au mieux ses zones les plus sensibles. Il aime ça et moi aussi. D'un dernier coup de langue, je le pousse à l'orgasme et je sens alors le sperme chaud couler aux bords de mes lèvres.

Je reste ainsi à ses pieds un petit moment au comble du plaisir.

Je sens alors l'eau arrêter de couler sur moi, ainsi qu'une main m'aider à me relever. Une serviette passe sur moi pour me sécher de la tête au pied, et, sans attendre, mon kidnappeur me pousse hors de la salle de bain et je me retrouve seul dans le salon, menotté, bâillonné, nu avec un plug dans l'anus, avec tout un tas de questions et d'appréhensions qui me trottent dans la tête.

C'est alors que je l'entends revenir dans la pièce, venir se placer derrière moi et me détacher le bandana que j'avais sur les yeux. Il s'éloigne alors de moi et m'ordonne de m'asseoir par terre immédiatement, ce que je fais dans la seconde. Il attrape alors une corde et se met à me ligoter les chevilles ensemble bien solidement pour ensuite passer une seconde corde autour de mes genoux.
"J'en ai finis avec toi, tu as bien quelqu'un qui remarquera ton absence et qui viendra te délivrer héhé enfin j'espère pour toi parce que moi je me sauve!"
Je me mets alors à crier et à gémir à travers mon bâillon, ce qui a pour seul effet de l'inciter à rajouter un grand foulard sur le bâillon pour étouffer encore un peu plus mes tentatives de protestations.

"Je suis sympa quand même, je t'offre les menottes, le penis-gag, et le plug hahaha!"
Il range alors toutes ces affaires dans le sac, et, alors que je suis en pleine panique et qu'il s'apprête à sortir de l'appartement, il fouille dans une de ses poches et en sort une clé et un bout de papier qu'il jette dans le salon à l'opposé de moi...

"Je t'ai mis mon adresse et mon numéro de téléphone là-dessus... A toi de jouer!"
FIN

Tchocobo

Re: Kidnapping sur commande

Message par Tchocobo »

ça donne envie tout ça :admire:

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Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Kidnapping sur commande

Message par Mad Hatter »

En temps réel lors d'une séance il est vivement recommandé de laisser une indication à un ami de confiance ( sans avoir besoin de se lancer trop dans des détails ) pour vérifier que tout va bien et intervenir le cas échéant. Pour plus de détail suivez le lien http://wp.vassilia.net/documentation/pi ... -wanda-lee
C'est un enchainement assez rapide, enfin l'autre a l'air d'aimer un petit peu trop les jeux de rôles. Enfin il invite à ce qu'on lui rende la politesse.
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Ou est-ce l'inverse ?
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sam22

Re: Kidnapping sur commande

Message par sam22 »

Je suis d'accord, ça n'est qu'une histoire et ça doit le rester. Après si cette histoire peut être appréciée par certains comme ce qu'elle est, un fantasme, je n'aurai pas perdu mon temps en l'écrivant.

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Re: Kidnapping sur commande

Message par Mad Hatter »

Si tu as mal pris mon précédent message je m'en excuse, ( je ne suis toujours pas hélas intéresser par les homme ) mais ce qui m'avait géné dans cette histoire c'est le côté on se donne rendez vous et l'autre menace avec une ( fausse ? ) arme qui m'a un peu braqué, mais après puisqu'il en redemande :mrgreen: :bravo:
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Ou est-ce l'inverse ?
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sam22

Re: Kidnapping sur commande

Message par sam22 »

Je ne l'ai pas mal pris, ne t'inquiète pas. :mrgreen: Pour ce qui est de l'arme, c'est peut-être pas le meilleur élément narratif que j'ai trouvé effectivement mais je voulais innover un peu, c'est tout.

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Re: Kidnapping sur commande

Message par Mad Hatter »

Si l'arme était en plastique ça serait sans doute mieux passé, c'est le visiblement vrai qui rend ça trop vrai. :mrgreen:
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Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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sam22

Re: Kidnapping sur commande

Message par sam22 »

Et bien justement, c'est le narrateur qui pense que l'arme qui est pointé sur lui est vraie... Le kidnappeur ne confirme jamais.

Tchocobo

Re: Kidnapping sur commande

Message par Tchocobo »

Suspense... :lol: En tout cas j'ai beaucoup aimé ton histoire :admire:

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