Service d'étage

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stephanie
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Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
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Service d'étage

Message par stephanie »

Chers tous,

après une (trop) longue absence, me voici de retour avec une histoire vécue lors d'un de mes derniers séjours professionnels à Paris. Je prends toujours de grandes valises mais là j'avais pu ajouter une bonne partie de mon matériel de bondagette. La scène se déroule, vous allez le découvrir, dans un hôtel. Bonne lecture à tous.
Stéphanie

Le premier soir, dès mon dîner expédié, j’ai rejoint ma chambre rapidement. J'ai mis toute une série de clés de cadenas dans ma pochette d'ordinateur fermant par une double fermeture éclair dont les deux boucles peuvent recevoir un cadenas et j'ai effectivement fermé la pochette avec un cadenas. Je suis sortie de ma chambre pour placer la clé de ce cadenas à un endroit que j’avais repéré, sur le rebord de la fenêtre du palier, au 4° étage de l'hôtel où j'étais logée.
Une fois la fenêtre du palier refermée, la clé était invisible. Ce palier donnait sur un couloir qui desservait les chambres de l’étage, dont la mienne située à environ une dizaine de mètres.
Je suis retournée dans ma chambre et ai vite préparé tout le matériel nécessaire pour ma session, toute émoustillée. Je me suis déshabillée en ne gardant que ma petite culotte un collant et mon soutien gorge. J’ai d’abord enfilé mon pantalon de pyjama en satin puis trois blouses nylon successivement ; d’abord ma grande mauve à longues manches, boutonnée sur le côté jusqu’au cou. Ensuite une blouse droite classique boutonnée sur le devant puis ma blouse orange sans manche et avec col en V. C’est elle qui a le nylon le plus fin que je ne me lasse pas de caresser. Je suis en suite passée aux choses sérieuses en commençant par cadenasser autour de ma taille une chaîne en guise de ceinture. Les clés de ce cadenas et des suivants étant donc dans ma pochette d’ordinateur. Puis je me suis attachée à l’aide d’une longue corde les jambes, des chevilles jusqu'aux cuisses, le tout bien serrées et j’ai enfilé par dessus une grande jupe couleur chocolat à la texture soyeuse, satinée. Cette jupe très large qui va jusqu’aux chevilles est l’une des pièce de ma tenue islamique (un jilbab crystal deux pièces pour ceux qui connaissent). J'ai relié le lien intérieur de serrage de la taille de la jupe à la chaîne qui faisait le tour de ma taille, pour être sûr de ne pas la perdre. Je me suis bâillonnée (adhésif), j’ai noué mon niqab sur ma tête, me suis attachée les bras justes au-dessus des coudes (et juste en dessous des seins), en prenant soin de ne pas bloquer avec les cordes les voiles de mon niqab ou les pans d’une autre blouse, d’un beau vert émeraude, que je n’avais enfilé qu’au niveau du cou. Une fois mes bras bien attachés, et dans la limite de ce que me permettaient mes liens, j'ai fait glisser le long de mon buste la grande blouse verte émeraude boutonnée dans le dos. Je l’ai tiré jusqu’à ce que le haut de la blouse épouse bien mon buste en m’emprisonnant bras et épaules. Ainsi tirée, la blouse ne pouvait plus tourner et il aurait fallu que je puisse atteindre ses boutons et les défaire pour me donner plus de marges de mouvements. Mais les boutons étaient dans le dos et moi je me suis menottée les mains par devant, les menottes étant cadenassées à cette chaîne me servant de ceinture. Une fois mes menottes en cuir bien serrées, je les ai cadenassé à leur tour, les clés nécessaires pour ouvrir les cadenas étant elles aussi dans mon sac d'ordinateur lui-même cadenassé.
J’étais donc saucissonnée, les bras soudés au corps, les mains enchainées par devant, le corps enfermé dans une blouse dont je ne pouvais que soulever le bas pour en faire sortir mes mains dans la mesure permise par les menottes. Mes jambes également étaient étroitement liées par des cordes mais ces cordes étaient cachées par ma jupe ample. Mon niqab, la blouse et la jupe enfilées cachaient donc bâillon et liens. J’étais une vraie niqabi. Pour me libérer, il fallait donc que je me rende en niqabi bâillonnée et ligotée sur le palier de ce 4°, étage de l'hôtel, que je récupère la clé et revienne dans ma chambre pour ouvrir la pochette de l’ordinateur, récupérer les clés mises à l’intérieur pour me délivrer. J’étais au septième ciel et pour récupérer de mon effort, mais aussi pour profiter du moment, je me suis allongée sur mon lit après avoir éteint -avec l’interrupteur situé en tête de lit- toutes les lumières de la chambre. (à suivre)

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Mad Hatter
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Re: Service d'étage

Message par Mad Hatter »

Et bien je suppose que le niquab doit être plus agréable qu'une cagoule.

« Pourquoi tu portes un masque ? Tu as été brûlé à l'acide ou un truc dans genre ?
- Oh non c'est juste confortable, je suis sûr que tout le monde en portera un jour. » https://youtu.be/lISBP_fPg1s?t=80 :langue:
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Ou est-ce l'inverse ?
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stephanie
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Re: Service d'étage

Message par stephanie »

Cher Mad,

je porte souvent une cagoule, en spandex, latex ou cuir.
Ce n'est pas tant pour le confort que pour la dépersonnalisation que cela me procure. Je deviens autre avec une cagoule.
Autre avantage, une cagoule atténue les marques des sangles des bâillons et muselières que je porte bien serrés (sinon cela ne sert à rien).
Le niqab participe à ma dépersonnalisation et est signe de soumission, ce qui est parfait pour une soumise dans l'âme comme moi.
Enfin, je n'hésite pas à porter cagoule en spandex, bâillon puis niqab par dessus ce qui me permet de masquer le tout. J'adore.
Bises à partager,
Stéphanie

stephanie
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Re: Service d'étage

Message par stephanie »

La suite
Comme la plupart des chambres d'hôtel, la mienne était dotée d'une porte se fermant automatiquement (un système de rappel classique) et ne pouvant être ouverte qu'avec une grosse clé équipée d'un gros porte-clés rectangulaire avec le numéro de la chambre.
J'étais donc tranquillement allongée sur mon lit dans ma chambre, dans le noir, ligotée, menottée par devant, bâillonnée sous mon niqab (un seul voile devant pour pouvoir voir une fois dans le couloir et sur le palier), avec cette superposition de blouses nylon que j’aime tant.
J’ai passé un long moment à caresser le nylon de mes blouses, à en froisser l’étoffe entre mes doigts, heureuse d’être ainsi enfermée dedans. Puis vers 22H30 j’ai entendu du bruit. Deux personnes sont arrivées dans le couloir et se sont arrêtées devant ma porte tout en continuant à bavarder. Sans doute des voisins de palier. Il s’agissait d’un homme et d’une femme, avec des voix assez jeunes, deux collègues de travail à ce que j’ai cru comprendre de leur conversation. Ils s'amusaient et ont fait du bruit avec leur clé. La femme n'arrivait pas à ouvrir sa porte.
Ils ont fini par réussir, sont rentrés dans leur chambre respective en se souhaitant bonne nuit et le silence est revenu.
J'étais bien sur mon lit, environnée de nylon, mais je n'arrivais pas à dormir.
A 23H00, sachant que j'avais une grosse journée de travail le lendemain, j'ai fini par me lever.
 A tâtons j’ai progressé dans le noir et, arrivant péniblement à sortir mes mains de la blouse nylon qui me couvrait, j'ai trouvé la grosse clé de la chambre. Ensuite, toujours à très petits pas, dans la limite de ce que me permettait mes chevilles liées l'une à l'autre j'ai rejoint la porte de la chambre. J'étais donc pieds nus ou presque, si l’on excepte le collant, regrettant d’avoir enlevé pour ce ligotage mes escarpins à brides et hauts talons. Ce serait pour une prochaine fois... La porte de ma chambre s’ouvrait vers l’intérieur. En tirant la poignée, je l'ai ouverte doucement, le couloir étant plongé dans le noir. Bloquant la porte avec une épaule pour qu'elle ne se referme pas, j'ai essayé de mettre la clé dans la serrure du côté extérieur. L'idée était de la laisser ainsi, d'aller chercher la clé du cadenas et, en revenant, je n'aurai plus qu'à tourner la clé pour rentrer dans la chambre.
Mais je n'y suis pas arrivée tout de suite. J'ai fait du bruit. Et je venais tout juste d'y arriver quand à ma grande surprise la porte de l’une des autres chambres du couloir s'est ouverte.
(à suivre)

stephanie
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Re: Service d'étage

Message par stephanie »

Chers tous,

voici la suite et la fin de cette session de self bondage.
Ce pourrait être amusant que certains d'entre vous imaginent une autre fin. Je suis curieuse de savoir le sort que vous me réserveriez.
Bon week-end à tous,
Stéphanie


Heureusement aucune lumière n'était allumée, sinon le spectacle que je donnais aurait été intéressant. Paniquée, je me suis reculée vivement dans la chambre, libérant la porte qui s'est refermée en deux secondes. J'étais donc dans ma chambre, derrière la porte, toujours étroitement ligotée et bâillonnée, le coeur battant, la clé de ma chambre à l'extérieur. La lumière du couloir s'est allumée, on a toqué doucement à ma porte et j'ai entendu la voix de la jeune femme demander s'il y avait quelqu'un. Figée sur place, je n'ai pas répondu, priant pour qu'elle n'ouvre pas la porte. Quel scandale allais-je provoquer, quelles explications donner ?
Quelques longues secondes se sont écoulées puis, j’ai entendu qu’elle s’en retournait dans sa chambre. Le calme étant revenu, j'en ai profité pour rejoindre mon lit en sautillant, sans faire de bruit, toujours dans le noir.
J'étais à peine à nouveau allongée sur les couvertures que cela a à nouveau frappé à la porte.
J'ai entendu la jeune femme et l'homme discuter à voix basse dans le couloir.
Elle avait dû le prévenir et ils devaient se demander que faire devant cette porte avec sa clé pendante à l'extérieur, sur la serrure.
Saucissonnée sur le lit je ne bougeais pas d'un pouce.
Qu'allaient-ils faire ?
Ouvrir la porte, entrer et ouvrir la lumière ?
Descendre prévenir la réception ?
Appeler la police ? C'est ce que je ferais si je découvrais une niqabi ligotée sur un lit…
Après quelques derniers coups frappés sur la porte, quelques derniers échanges, l'homme et la femme s'éloignèrent.
Rentraient-ils dans leur chambre ? Descendaient-ils à la réception ou allaient-ils l'appeler au téléphone ? Ou guetter le bruit que je ferai en sortant pour me surprendre ? Je ne pouvais rien faire d'autre qu'attendre.
Les secondes puis les minutes défilèrent. Rien ne vint. Je me suis dit qu'il fallait laisser s'écouler pas mal de temps, qu'ils s'endorment. J'ai somnolé de mon côté plusieurs fois. Après un endormissement plus prolongé que les précédents j’ai pu lire sur le téléviseur de la chambre qu’il était 3H du matin. Il était temps que je me délivre. Une grosse journée m'attendait et je n'avais pas encore beaucoup dormi. Et il y a plus de risques de croiser quelqu'un dans un hôtel vers 6H du matin qu'à 3. Je me suis décidée à me lever.
A petits pas et à tâtons je me suis rapprochée de la porte.
Je l'ai ouverte doucement.
Par chance, la clé était encore sur la porte. J'avais trop peur qu'ils ne l'aient enlevé.
Je me suis risquée dans le couloir de l’hôtel, progressivement, doucement, retenant avec mon épaule droite la porte qui se refermait.
Centimètre par centimètre, j'ai accompagné avec mon corps la porte jusqu'à ce qu'elle se ferme sans bruit. J'ai ensuite progressé dans le couloir, ouvrant délicatement la porte donnant sur le palier, craignant à tout moment voir un de mes voisins sortir de sa chambre ou croiser un couple de couche-tard.
Tout était calme. Chevilles toujours liées, j'ai sautillé cette fois-ci jusqu'à la fenêtre. Me mettant sur la pointe des pieds, remontant la blouse nylon qui me recouvrait tout le buste, j'ai ouvert malgré mes poignets menottés la fenêtre en PVC. La clé était bien restée sur le rebord. Je l'ai prise, ai refermé la fenêtre et suis retournée vers la chambre, toujours avec beaucoup de précaution.
Ouvrir la porte était le dernier obstacle. Il fallait que je l'ouvre à la fois rapidement et sans faire trop de bruit, au risque de voir sortir la voisine de la chambre d'à côté, et cette fois-ci j'aurais été du mauvais côté de la porte…
J'ai réussi à ouvrir la porte vite et sans trop de bruit. Je suis entrée, j'ai pu refermer la porte. J'ai pu ensuite avec la clé ouvrir le cadenas qui maintenait fermée ma pochette d'ordinateur. J'ai récupéré les autres clés et ai pu décadenasser les menottes, les enlever, et ensuite ôter une par une les cordes qui me saucissonnaient. J'ai récupéré la clé qui était restée dans la serrure, à l'extérieur de la porte, et me suis endormie en jupe et blouses, épuisée mais heureuse de l'aventure que je venais de vivre.

Pearl99
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Re: Service d'étage

Message par Pearl99 »

J'ai bien aimé cette histoire de self bondage ! Assez palpitant honnêtement ! Il eut fallu un petit foulard sur les yeux pour augmenter encore la difficulté, mais on ne peut pas tout avoir :police:
Sinon, Stephanie, si tu veux partager tes histoires ou échanger avec nous encore plus simplement, tu peux venir sur le discord ! On t'y accueillera avec joie

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fredchl
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Re: Service d'étage

Message par fredchl »

Perso, je n'ai que survolé l'histoire.

Mon regret est de constater ce pavé indigeste à lire.

Par pitié, Stéphanie, à l'avenir, construit ton texte en petit paragraphes d'une dizaine de lignes, ce sera plus lisible.
C'est d'autant plus dommage que tu décris vraiment bien tes scènes, il manque juste un peu de dialogue et de la construction pour rendre ton récit intéréssant. ;)

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Mad Hatter
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Re: Service d'étage

Message par Mad Hatter »

C'est vrai que ça gagnerait à être un peu plus aéré pour mieux se lire.

J'ai l'impression qu'il y a des caractères qui ne passent pas sur le format du forum.

Mais sinon bonne conclusion pour ce récit de selfbondage
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Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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