Appât (histoire d'Anne)

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Bouya2

Appât (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Ce soir, je ne vais pas partager avec vous une histoire d'Anne. Je vais vous livrer seulement un chapitre. En effet, ce récit est décomposé en plusieurs chapitres, dont voici le premier. Je vous donnerais les autres ensuite.
Et pourquoi pas tous maintenant ? Déjà, parce que c'est comme ça qu'Anne avait publié son histoire à l'origine. Et ensuite simplement parce que toutes les histoires d'Anne sont conservées sur un PDF, lui-même convertit à partir d'un fichier Word ; donc avec la mise en page Word. Or, cette mise en page saute lorsqu'on copie l'histoire sur le forum. Notamment les tirets pour les dialogues, ce qui fait que toutes les phrases se suivent sans retour à la ligne. Il faut donc corriger manuellement la mise en page du récit. Et ça, ça prend plus de temps qu'on ne pourrait le croire...
Bon, j'arrête de vous soûler avec ça. Bonne lecture ! :)

Appât – 2009/08/01
Le gibier


J’ai fait une rencontre durant les vacances, avec un couple de blacks spécialement branchés « bondage ». Je venais de rompre avec mon copain et je testais le suivant. Ce couple est étonnant. Physiquement, le mec est une armoire à glace d’un peu plus de mètre nonante, musclé comme pas possible sans un gramme de graisse. Elle est grande, mais avec de jambes interminables, et une poitrine des plus affirmées. J’aime les fesses des noires, il y a peu de blanches qui peuvent rivaliser avec.
Nous logions dans leur villa, ce week-end là. C’est dans la région d’Arlon et le coin est des plus isolés. Une grande propriété boisée très sauvage entoure la villa. Nous avions convenu de faire un safari. Il fallait nous capturer entre nous.
Il faisait chaud et j’avais donc opté pour une tenue légère. Je suis allée dans la chambre et j’ai revêtu un petit bikini style léopard vraiment très sexy. Il met en valeur à ce point que les mecs ont habituellement peur de toucher ou de faire mal, ce qui me donne un avantage stratégique certain. J’avais mis des bottes de cuir blanches à talons plats qui arrivaient sous le genou.
Mes longs cheveux blonds étaient libres, et j’avais complété ma tenue par un sac de cuir souple porté en bandoulière qui contenait mon nécessaire de capture : bâillons boule et cordes variées. Histoire de pimenter le tout et de distraire un éventuel assaillant, j’avais noué un foulard autour de mon cou. Cela peut servir de bâillon en cas de besoin.
Quand je suis descendue, j’ai trouvé le noir seul qui attendait. Il était prêt aussi. Mais il ne portait qu’un tout petit short de cuir noir très serrant et de petits mocassins noirs. Mon regard ne s’est pas attardé mais il était impossible d’ignorer une protubérance très virile. Mmmmh… J’ai cru qu’il allait s’étrangler quand il m’a vue dans cette tenue. Il m’a regardée plusieurs secondes, l’œil rond.
- Je les attends, ils se préparent encore, me dit-il.
- Je suis curieuse de voir cela.
- Tu pourrais déjà partir et prendre les devants. Nous, on connaît bien le coin.
- Bonne idée.
Je suis donc sortie seule et je suis allée vers le bois, histoire de me dissimuler et de pouvoir surprendre l’un des autres. Je riais en songeant au regard qu’il avait fait en me voyant. J’adore ce bikini. Et avec cette chaleur, c’est très pratique.
Je devais être enfoncée de quelques mètres d’ans le sous bois, bien à l’ombre et cachée, mais non loin de la maison. J’ai entendu un bruit venant de l’arrière de la maison. Je me suis avancée un peu, sans quitter l’abri du bois. Soudain, j’ai vu qu’il y avait une lutte. Le noir hilare avait attrapé mon copain et l’aisance avec laquelle il le maintenait était incroyable. Il le soulevait littéralement du sol et le conduisait à un poteau solidement planté dans le jardin. Il tenait les bras de mon copain derrière son dos avec un bras et le bâillonnait avec l’autre main. Mon mec ne portait qu’un petit slip de bain et se débattait comme un beau diable.
La fille attendait posément près du poteau et, dès que le colosse eut relâché sa poigne, elle a enfoncé profondément un gros bâillon boule dans la bouche du garçon. Pendant qu’elle achevait de le bâillonner, le mec le maintenait fermement collé au poteau, bras derrière le dos. Rapidement, elle entreprit de lui attacher les poignets derrière le poteau, et a commencé à lui ligoter les bras. Elle serrait vraiment très fort les liens et mon copain ne put rapidement plus de gigoter des jambes et tenter de donner des coups de ses pieds nus.
La fille portait une jupe de cuir serrante lui arrivant sous le genou et un chemisier satiné moulant mais largement décolleté dont elle avait retroussé les manches au-dessus du coude. Ses bottes de cuir noir étaient munies de talon aiguilles très hauts. Elle était vraiment très sexy avec ses cheveux libres. Et elle s’en donnait à cœur joie en ligotant méthodiquement le garçon quasi nu déjà solidement attaché au poteau par la taille et par les épaules. Elle me faisait songer à une araignée qui immobilise silencieusement sa proie impuissante. Le garçon gesticulait de son mieux mais c’était sans espoir.
- Je peux m’en tirer. Va chercher Anne, dit-elle à son complice.
- J’y vais. Mais n’aie pas peur de bien serrer. Il aime cela dirait-on.
- Sois tranquille, je sais comment faire. Moi aussi j’aime ça.
Sans s’interrompre, elle avait saisi de nouveaux liens et commençait à attacher les jambes du garçon qui soufflait dans son bâillon. La vache, c’est serré à faire peur. Et elle met vraiment beaucoup de corde.
Voyant le noir s’éloigner dans l’autre direction, je me suis dit qu’il valait mieux me cacher un peu plus efficacement. Je me suis donc enfoncée plus profondément dans le bois, silencieusement. J’ai trouvé un endroit à une centaine de mètres, à couvert, mais d’où la maison restait légèrement visible. Je voyais Christelle qui continuait à attacher les jambes de mon copain. Une cheville, puis l’autre, puis les genoux, puis les cuisses. Et toujours très serré et solidement arrimé au poteau. Le malheureux était vraiment immobilisé et il me semblait qu’elle l’effleurait de plus en plus au fil des cordes qu’elle appliquait.
J’ai entendu du bruit sur la gauche. Un coup d’œil. Rien. Mais je me suis tassée un peu plus. Évidemment, un noir, ça passe facilement inaperçu en forêt. Blanche et blonde avec des bottes blanches, j’ai un désavantage. J’ai donc décidé de me rapprocher de la villa, aussi discrètement que possible. Je suis arrivé à une vingtaine de mètres de mon copain. Juste pour voir Christelle se redresser, et se camper debout devant lui, tout contre lui, souriant de toutes ses dents. Visiblement heureuse de son travail, sa main est descendue le long du corps du garçon jusqu’à sa taille. Il ne pouvait pas remuer d’un pouce. Sa main a glissé doucement sur le slip de bain, vers le sexe de sa victime qu’elle s’est mise à caresser doucement. Ce faisant, elle approchait son visage de celui du garçon et ses lèvres ont touché le bâillon.
A ce moment précis, j’ai vu une sorte d’ombre venir de droite en un instant. Pas le temps de réagir, j’étais plaquée au sol et une énorme balle de latex était enfoncée dans ma bouche. Je n’ai pas eu le temps de crier ni même de pousser le plus petit gloussement. Il était sur mon dos et immobilisait mes bras contre mon corps de ses cuisses, pendant qu’il enfonçait la balle au plus profond dans ma bouche. Puis il tendit la sangle du bâillon boule aussi étroitement que possible, déformant ma bouche et me faisant saliver immédiatement. Il boucla ensuite très rigoureusement la sangle du bâillon. La balle est véritablement gigantesque et ma bouche est totalement obstruée tout en étant maintenue très largement ouverte. Et de plus, elle est tellement enfoncée profondément dans ma bouche que je ne peux plus articuler le moindre son.
Il a ensuite utilisé une série de ceintures de cuir d’environ deux centimètres de largeur pour me ligoter rapidement mais très solidement. Il était très équipé et avec ce type de lien, tout allait très vite. Mes bras ont été attachés à l’horizontale dans mon dos et maintenus contre mon corps par des liens passant au-dessus, puis au-dessous de mes seins. Une fois mes bras littéralement soudés à mon torse, ce fut au tour de mes chevilles, puis de mes genoux, d’abord au-dessus puis au-dessous, et enfin des cuisses.
Ce fut très rapidement fait. Une fois son paquet terminé, il contrôla chaque lien. Tout était parfaitement serré et aucune lanière ne jouait. Il se redressa un peu et jeta un regard vers la maison. La fille n’avait rien entendu. Il me regarda me tortiller à ses pieds. Il sourit largement et m’empoigna. Il me mit sur son épaule et s’emmena plus profondément dans le bois. Il a marché quelques minutes pendant lesquelles je voyais la forêt se refermer derrière nous, avant de me déposer sur le sol, dans une clairière.
- Nous y sommes. Tu as fait un joli gibier, Anne !
- Mpfhhhh !
- Attends, à présent tu vas me servir d’appât. Tu vas voir, c’est amusant.
Il a rapidement inspecté le contenu de mon sac.
- Des jolies cordes. J’aime ça.
Il a détaché mes jambes et a solidement attaché chaque cheville à la cuisse correspondante en faisant de nombreux tours de corde. Mes talons étaient pressés contre mes cuisses. Il a terminé par un nœud très serré qui ne risquait aucunement de se défaire seul.
Ce ligotage est très étonnant car les jambes sont libres d’une façon, mais il est impossible de se déplacer. Par contre il laisse le libre accès aux parties stratégiques de la nana qui est prise comme cela. Et avec un tel bâillon, je ne risquais pas de me plaindre bien fort !
Il a alors libéré mes bras et a utilisé mes propres cordes pour les attacher à nouveau de la même manière. Les avant-bras solidement attachés ensemble horizontalement dans mon dos. Les bras très étroitement attachés ensemble entre le coude et l’épaule, le tout rigoureusement fixé à mon torse par plusieurs tours de corde passant sous mes seins. Une corde passée autour des épaules et derrière le cou formait une sorte de harnais serré auquel il a fixé les liens de mes avant-bras et de mes bras de manière que rien ne puisse bouger ou glisser.
- Mrgghhh…
- Regarde cela. C’est étonnant !
J’étais à genou devant lui et il se mit à genoux devant moi. Ses genoux posés à terre forçaient les miens à rester largement écartés. Il avança les mains et les posé doucement sur mes seins qu’il caressa doucement avant d’en saisir les pointes entre le pouce et l’index.
- MMMhhggfhhh !!!
- Ha ha ! Crie plus fort ! Christelle va venir. Tu es l’appât.
- MMggrrghhhh !!!!
Sa main descendit brusquement entre mes cuisses, paume en haut et son index se mit à caresser résolument mon sexe !
- MMghhhGGGhh !!!
- Ha ha ha !! Pas la peine. C’est inaudible. Les filles, ça pense toujours résister et ça se fait toujours attraper !
Sa main pressait sur mon sexe dans des mouvements réguliers de va et vient. C’est horrible ! Je ne peux véritablement pas remuer et je suis obligée de sentir monter l’excitation en moi sans même pouvoir dire un seul mot ! Le colosse continuait à me caresser d’une main en riant. De l’autre, il a écarté lentement les fines bretelles de mon soutien gorge et a baissé le fin tissu. Mes seins jaillirent littéralement du petit bikini.
- Oh ! Fameux !
- Mmgnnnhhh…
Puis il me poussa brusquement et me fit tomber à la renverse, dans l’herbe.
Le colosse quasi nu se releva de toute sa hauteur et me regarda me tortiller en tentant sans succès de trouver une position d’équilibre à ses pieds. Ligotée de cette façon, aucune position ne permet de prendre d’appui. Je grogne et couine futilement en me tordant sur le sol. Il se penche et passe la main dans mes cheveux. Il plante ses yeux dans les miens.
- Tu sais à quel point il serait facile de te violer dans cette position. C’est ce qu’on fait au gibier dans certains cas.
- MMMGMHHHHH !
- Non, tu serviras d’appât pour un autre gibier. Sois sage et tu verras. Cela peut demander du temps. Appelle si tu veux.
- Mmmmhhhgggfffffhh…
Je souffle dans le bâillon mais cela n’a aucun autre effet que de me faire saliver. Je le vois s’éloigner vers le couvert du bois où il disparaît. Je perds bientôt sa trace. Plus de bruit, plus rien ne bouge et je reste seule à me tortiller au beau milieu d’une clairière. J’ai beau remuer comme une diablesse, mais décidément aucun lien ne bouge. Pas un seul millimètre. Le souffle court, toute ébouriffée, les seins nus, je ne suis vêtue que de ce minuscule slip en léopard et de mes bottes. Je constate que tous mes efforts restent vains et que je ne me déplace pas du tout. Dès que je me dresse un tant soit peu, je glisse aussitôt au sol et reste au même endroit.
Je suis restée longtemps dans la clairière, à tenter vainement de bouger et de me détacher. Épuisée, je commençais à paniquer. Ne m'avait-il pas oubliée ? Que se passait-il ? J'émettais de petits "Gghh" et des "Mmgnrhh" ou des "Pfhh" plus ou moins aigus ou sourds. Mais toute tentative restait dérisoire. Il m'avait bougrement bien ligotée ! Drôlement solide et rigoureux. Il fallait me rendre à l'évidence, j'étais parfaitement immobilisée et réduite au silence. J'étais à genoux, tentant de donner des secousses pour bouger. Cela faisait juste rebondir mes seins, sans plus.
Soudain, j'entendis du bruit. Quelqu'un approchait. Derrière moi. Je tentais de me retourner pour voir, et j'entendis la voix de Christelle.
- Oh là là, Anne ! Il ne t'a pas ratée dirait-on
- Mmmfghhh !!!!
J'allais être libérée si elle ne se faisait pas capturer à son tour.
- Et il a exposé tes seins, le petit coquin !
- Mmummmumfhh !!!
Il fallait qu'elle fasse attention sinon elle allait aussi être surprise.
Elle me contourna lentement. Elle portait toujours sa jupe de cuir fin arrivant sous le genou et ses bottes noires à talons hauts. Son chemisier satiné était toujours impeccable et aussi largement ouvert et ses manches toujours retroussées au-dessus des coudes. Elle souriait de toutes ses dents, radieuse. Elle jouait avec une cravache, donnant de petits claquements sur sa cuisse.
C'est alors que je vis qu'elle tenait une corde de l'autre main, à la façon d'une laisse. Et au bout de la laisse, suivait son copain, le colossal noir qui m'avait ligotée comme cela, attaché par le cou. Il portait une cagoule noire, sans trous pour les yeux. Sa bouche était déformée par un énorme bâillon boule extrêmement serré et ses bras étaient très solidement attachés derrière son dos et fixés à son torse par de nombreux tours de corde blanche très étroitement serrés.
Ses chevilles étaient entravées, ce qui lui permettait de marcher à tout petits pas. Il portait encore son petit slip de cuir fin pour tout vêtement. Elle lâcha la laisse.
- Il n'ira pas loin. C'est comme du bétail.
Pour illustrer son propos, elle lui donna un coup de cravache sur les fesses et il eut un sursaut. Elle se pencha vers moi et entreprit à remettre délicatement mon soutien-gorge en place. Je tendais la tête avec insistance pour qu'elle m'enlève le bâillon. Mais au lieu de cela, elle s'accroupit et dénoua la corde d'une de mes jambes. Je pus bientôt la déplier en m'asseyant en biais. Mais au lieu de me libérer directement, elle a attaché cette corde à ma cheville libre. Elle libéra mon autre jambe et saisit la cheville, puis elle m'entrava exactement comme son copain. Une fois satisfaite de l'entrave, elle m'aida à me relever. Je pouvais faire des pas d'une trentaine de centimètres.
Elle passa l'autre corde à mon cou et m'en fit une laisse, qu'elle saisit d'une main. Puis elle tira sur la laisse en direction de son copain. Elle ramassa sa laisse et nous fit passer devant elle.
- Allez, mon bétail ! On retourne à votre enclos. Elle m'asséna un coup de cravache sur la fesse.
- Mmmhmmg !!!
Un second coup, plus sec, m'a rapidement convaincue d'avancer. Mais ce n'était pas facile, entravée de la sorte. Ce n'était pas plus simple pour son copain aveuglé par sa cagoule ! Elle nous poussait en guidant de petits claquements de langue et de coups de cravache. Parfois un petit sifflement signalait un obstacle plus important. Elle sentait une fleur par ici, caressait un tronc par-là. Elle s'amusait en nous promenant dans la propriété. J'entendis plusieurs fois son rire cristallin.
A un moment, elle nous fit arrêter et elle força son copain à s'allonger au sol. Elle attacha une corde à son entrave et la fit passer dans le harnais de son dos, puis la tendit rudement. Voilà brusquement le colosse mis dans un hogtie ultra tendu, sans bruit. Son bâillon a l'air aussi rude que le mien. Elle approcha de moi et colla son corps contre le mien, me pressant contre elle de son bras passé autour de ma taille. Elle m'embrassa goulûment sur la bouche en passant lentement la main sur ma poitrine. Ce fut soudain et je sursautai
- Mgnnnnhhh…
- Belle poitrine, Anne. Très ferme.
Elle tâtait avec curiosité.
Sa main s'aventura ensuite vers mon bas ventre et elle explora mon entre jambe minutieusement, s'amusant de mes sursauts incontrôlés et de mes petits couinements aigus. Son embrassade fut longue et ses attouchement intimes incessants. Je ne pouvais m'empêcher de remarquer qu'elle aussi avait une poitrine très ferme et aussi généreuse que la mienne. Elle avait des formes très féminines et excitantes, dont elle jouait avec amusement.
Puis, soudainement, elle s'éloigna et libéra son copain du hogtie. Il se remit debout et nous reprîmes la route. Ce n'est pas que la destination était loin, mais nous avancions très lentement et elle nous faisait faire de nombreux détours. Nous approchions de la villa. Je vis que mon copain était toujours solidement ligoté au même poteau, et toujours aussi redoutablement bâillonné. Lui aussi était encore en slip et il faisait des efforts dérisoires pour se tortiller faiblement.
Arrivés près du poteau, elle nous libéra des entraves mais nous attacha les jambes très solidement, une fois assis à terre. Chevilles croisées pour nous interdire de nous mettre debout, et avec des cordes très serrées au-dessus et au-dessous des genoux. Elle allait de l'un à l'autre en riant et nous excitait tour à tour. Chez son mec, l'effet était spectaculaire. Approchant son visage, elle me glissa à l'oreille :
- Il n'en a pas l'air mais il est très soumis. Il adore être attaché, bâillonné et humilié.
- Mpfhh !
Elle alla s'accroupir près de son copain et entreprit de le libérer complètement. Pendant qu'il se mettait debout en se massant, elle vint me détacher. Elle pris son temps car elle rangeait soigneusement les cordes au fur et à mesure. Une fois libre, je fis quelques mouvements pour rétablir la circulation.
- Tu es souple, Anne.
- Oui, je suis danseuse. Elle se mit derrière moi et saisit gentiment mes coudes pour voir les limites de ma souplesse. Elle constata avec surprise que je pouvais les joindre sans aucun effort !
- Oh ! Ce n'est pas courant.
Je ris, fière de la prouesse. Stupéfaite, j'entendis soudain Christelle lancer à son copain :
- Attrape-la, et va la ligoter solidement dans sa chambre.

Bouya2

Re: Appât (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voilà le chapitre 2 !

Le retour de la chasse

Avant que j'aie pu réagir, il était là et m'avait empoignée en plaquant la main sur ma bouche. Je n'ai eu que le temps d'émettre un "Hîîîîî !" strident aussitôt remplacé en un "Hmmmpfff…" étouffé. Je gesticulai en lançant les jambes en tous sens mais il me tenait fermement.
Je fus emportée à l'étage et jetée sur mon lit. Il m'a extirpée de mes bottes qu'il a remplacées par mes petits escarpins vernis à talons aiguilles de douze centimètres. Il m'a à nouveau bâillonnée avec le même bâillon boule, toujours aussi serré. Il m'a mise en hogtie extrême. Mes coudes étaient joints dans mon dos et mes bras étaient solidement attachés au corps. De plus, mes poignets étaient attachés contre mes fesses par une corde multiple passant entre mes jambes et frottant sur mon sexe, reliée à une ceinture de cordes bien serrées à ma taille.
Il a attaché mes chevilles, jambes dessus et dessous les genoux. Il m'a forcée à plier les jambes et m'a attaché les chevilles contre les cuisses avec plusieurs tours d'une corde bien tendue. Puis il a tendu une corde entre mes chevilles et la corde qu'il avait passée derrière mon cou en formant son fameux harnais. Il a fait plusieurs aller-retours avec cette corde et y a attaché mes poignets et mes coudes. C'était très tendu et j'étais forcée à une position cambrée. Sans me laisser le temps de me remettre, il m'a brusquement basculée sur le flanc. La tête sur l'oreiller, je bavais abondamment.
Mes seins étaient mis en évidence par les cordes qui passaient dessus et dessous et se croisaient entre eux. Je voyais mes tétons pointer à travers le fin tissu de mon petit bikini léopard. Je pouvais me voir dans le miroir de la garde robe située à côté du lit. Encore secouée par les ressorts du lit que venait de quitter le colosse, je voyais ma poitrine s'agiter. Chaque tentative de mouvement faisait jouer la corde qui passait sur mon sexe. L'effet est très puissant chez moi. Je sursautais en poussant de petits gloussements chaque fois que cette corde se tendait. Je me voyais me tortiller dans le miroir. Quel spectacle j'offrais !
Mon foulard était coincé sous la bande formée par les cordes passant au-dessus de mes seins. Il n'y avait même pas moyen de me remettre sur le ventre. Le centre du lit était plus enfoncé et j'y revenais automatiquement, sur le flanc, poitrine offerte. Il m'avait laissée seule depuis un moment déjà quand la porte s'ouvrit pour laisser enter Christelle, magnifique black très féline. Elle portait encore ses bottes, mais uniquement accompagnées d'un bikini noir satiné et d'un porte-jarretelles assorti.
- Ooooh ! Il a bien fait les choses !
Je tentai de grogner. Elle vint s'asseoir à côté de moi, au bord du lit, et passa le bout des doigts sur les cordes.
Elle baissa légèrement un balconnet de mon soutien et exposa le téton. Elle se pencha et se mit à le titiller de la langue
- On va bien s'amuser, entre nanas.
Je m'agitai.
- De toute manière, je ne demandais pas ton avis. Mon mec s'amuse avec le tien, de son côté.
C'était parti pour la soirée.

stephanie
Amateur(trice) de JdL
Messages : 130
Inscription : 04 juin 2015, 08:24
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Appât (histoire d'Anne)

Message par stephanie »

Et dire qu'il a falloir attendre pour le Chapitre 3..
Bises

Bouya2

Re: Appât (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voilà le chapitre 3 !

La soirée

Et bien non, ce n'était pas la fin de la soirée. Christelle s'est amusée à me caresser riant de chacun de mes miaulements pendant une demi-heure environ.
Elle m'a ensuite détachée, à son aise.
- Prépare-toi, ma belle. On va manger dans une demi-heure, puis on verra comment on passera la soirée… et la nuit.
Elle a quitté ma chambre de sa démarche féline. Le temps de me recoiffer et de me rafraîchir. Je me dirige vers la douche et lorgne au passage la valise contenant mes affaires. Je songe à une tenue appropriée. Pendant que je m'habille machinalement d'un essuie éponge au sortir de la douche, je crois avoir trouvé. Je pense mettre une robe fine et longue avec des gants d'opéra et mes escarpins. J'ai apporté une belle robe foncée sans manches, sexy et habillée à la fois.
A cette pensée, je me précipite vers la valise et j'entre brusquement en collision avec le colosse qui était entré silencieusement dans ma chambre. Il est en costume sombre très chic cette fois, avec une cravate et il porte des gants noirs. Cela change. Je n'ai pu retenir un petit cri de surprise, mais il a tôt fait d'emprisonner mes bras derrière mon dos d'une main et de me plaquer sa main libre sur la bouche. Je me tortille et l'essuie qui me couvrait tombe à terre, me laissant gesticuler totalement nue dans ses bras !
Je me sens soulevée du sol et transportée en trois enjambées vers le centre de la pièce. Il a tôt fait de m'allonger sur la moquette et de s'asseoir sur mon dos sans relâcher son étreinte. Mes bras sont immobilisés entre ses cuisses comme dans un étau. Sans perdre une seconde, il enfonce un objet en caoutchouc ou en latex dans ma bouche. C'est mou. Puis il presse une poire et cela se met à gonfler par saccades. Cela va tellement vite ! Le bâillon emplit totalement ma bouche et bloque ma langue.
Et bien ce type de bâillon gonflable est encore bien plus efficace que le bâillon boule de l'après-midi. Me voilà réduite au silence, occupée rouler de grands yeux surpris en agitant les pieds pendant qu'il boucle solidement la sangle dans ma nuque.
- Voilà. Surprenant non ?
- Mmgn !
- L'occasion était trop belle de ligoter une belle blonde au moment où elle est complètement nue.
- gh…
- Avec de telles fesses et ta poitrine, tu aurais du être noire !
Il m'avait déjà attaché les coudes dans le dos, avec une corde sortie de sa poche. Il serrait fort les multiples tours du lien avant de terminer par un nœud très rigoureusement sécurisé entre mes bras.
- ghrh… je tentais de hurler.
Aussitôt je sentis le bâillon gonfler une nouvelle fois dans ma bouche. Mes joues étaient déjà déformées par l'énorme balle qui obstrue parfaitement ma bouche en la maintenant toute grande ouverte ! C'est comme si la sangle avait soudainement rétréci et enfoncé encore plus profondément le bâillon dans ma bouche.
- Voilà, il suffisait de demander… tu devrais être silencieuse à présent. Crie un peu, pour voir !
- …
Il écarte mes jambes avec ses pieds et je sens sa main se glisser entre mes cuisses !
- …
- Ça, ma fille, c'est pour te faire constater l'efficacité de ce bâillon.
Il avait déjà fini d'attacher mes poignets et s'était repositionné de manière à maintenir fermement mes mollets. Il entreprenait d'attacher mes jambes sous les genoux. Je me tortillais pour voir ce qu'il faisait mais, implacable, il continuait de m'attacher soigneusement.
Il a croisé mes chevilles avant de les attacher solidement ensemble. Puis il passe une corde entre mes chevilles, autour du lien qu'il vient de placer, et la tend vers mes poignets. Il tire sèchement, ce qui me force à plier les jambes. Il tend la corde par saccades, tout en pressant mes chevilles de son autre main. J'en arrive rapidement à être légèrement cambrée et à sentir mes doigts me toucher les talons !
J'essaie de crier à nouveau, mais mes gloussements sont étouffés avec une efficacité extraordinaire. Il me fait basculer sur le flanc, face à la pièce. Il se lève et va calmement s'asseoir dans le fauteuil, pour ne rien perdre du spectacle que j'offre !
Je soufflais en essayant de me tortiller pendant qu'il faisait ses commentaires.
- Je ne croyais pas que tu sois une vraie blonde, Anne. Pourtant, il n'y a pas de doute à ce que je vois !
- gn…
Je me cambre dans un effort intense.
- Et une lutteuse en plus !
Je suis toute échevelée et il reluque tout son saoul. Je secoue la tête en tous sens et m'agite de mon mieux pour retrouver un certain équilibre ou tout au moins, me dissimuler un peu. C'est que je n'ai pas l'habitude du nudisme ! Écarlate, essoufflée, je grogne de mon mieux en remuant, mais je demeure résolument sur le flanc.
- Tu es ne vraie pin-up ! C'est très excitant, ma belle.
Il s'extasie du mouvement saccadé de mes seins, et me complimente de l'énergie de ma lutte
- Si tu ne te libères pas, j'irai chercher le caméscope. Un tel spectacle ne devrait pas se perdre.
- Gh… gn…gh…
Je suis affolée à cette idée.
- Ha ha ! Tu en as envie, je le vois. Bien, je vais faire cela.
Il se lève et vient déposer un baiser sur mon front, ce qui a le don de m'énerver au plus haut point. Je redouble d'efforts et tente de lancer une sévère bordée d'injures, mais ce n'est qu'une faible succession de grognements indistincts entrecoupés de petits hoquets qui l'accompagnent pendant qu'il quitte la pièce ! J'essaie vainement de ramper à travers la chambre, mais c'est incontestablement futile. Puis, je me demande ce que je ferais si j'arrivais à me déplacer. Ligotée aussi étroitement, je ne pourrais de toute manière rien atteindre pour me libérer.
Je redouble d'efforts et tire en tous sens sur mes liens en me tordant frénétiquement sur la moquette. Misère ! C'est tellement serré ! Je suis parvenue enfin à me remettre sur le ventre. Mais cela ne me sert à rien ! Je me secoue de plus belle. Ce bâillon est tellement rigoureux que je ne parviens même pas à pousser mes couinements traditionnels !
Plusieurs minutes passent ainsi. La porte s'ouvre et Christelle entre dans la chambre. Elle pose son regard sur moi. Je note au passage qu'elle a mis un pantalon ultra moulant en une sorte de lycra luisant entrant et ses bottes noires à talons aiguilles dessus. Les deux garçons entrent à leur tour.
- Il paraît que tu donnes un spectacle ? Ironise Christelle.
- …
Acharnée, je m'escrime contre le bâillon, mais aucun son ne sort. Elle me contourne souplement et s'accroupit derrière moi. Elle passe gentiment la main dans mes cheveux épars, tend les bras et me bascule à nouveau sur le flanc de manière à m'exposer totalement à la vue des garçons !
Elle fait quelques pas et se joint à eux pour contempler le spectacle.
- Belle pointure ! C'est du combien, tu crois ? 90C
- Non, c'est un 90D répond l'autre en regardant l'étiquette de mon soutien resté sur le lit. - Ah ! Ça se respecte !
- Oui, et une blonde bien roulée comme ça, c'est très émouvant.
- Et quelle sportive aussi ! Regarde la s'agiter !
- En effet, ça, c'est de la femelle de compétition.
Je ne sais plus où me mettre, ni comment me tourner.
- Bon, ce n'est pas tout. Tu as l'appareil photo ?
Je suis surprise par l'éclair d'un flash ! Mince, ils l'ont fait ! Je regarde rapidement, mais je ne vois aucun appareil. Lequel a pris la photo ?
- On met Anne en vente sur Ebay ? Je me demande combien on va en tirer.
Nouvel éclair ! C'est Christelle qui prend les photos !
- Libérez-la. Lance-t-elle en s'éloignant. Je vais mettre cela en lieu sûr.
Les garçons ont encore pris un moment pour contempler ma lutte vaine, sur le sol, alors que le pas de Christelle s'éloignait dans le couloir.
Après m'avoir détachée, ils m'ont expliqué en riant qu'il n'y avait pas eu de photo. C'était juste une blague.

Bouya2

Re: Appât (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici le quatrième et dernier chapitre de cette histoire. Bonne lecture !

Le baby-sitting

Le lendemain après-midi, Christelle et mon copain sont partis ensemble dans le coin et je suis restée seule avec monsieur muscle, le colosse noir. Il faisait bon et j'étais dans le salon. J'avais commencé à passer en revue les émissions TV du moment. J'avais changé de style vestimentaire, optant pour un pantalon noir ultra moulant en lycra satiné avec un top sans manches largement décolleté. Pour corser le tout, j'avais mis mes bottes noires à talons aiguilles que j'aime tant.
En partant, Christelle m'avait demandé en riant de m'occuper du "baby-sitting" de son copain. Au bout d'un moment, le garçon est venu s'asseoir à côté de moi, sur le canapé. Il ne portait que le minuscule slip de cuir serrant de la veille. Fier de ses muscles, il se serra plus près de moi. Je lui laissais toute la place, mais il s'approchait en souriant. Au bout d'un temps, je me suis trouvée coincée contre l'accoudoir. Comme par inadvertance, il s'est légèrement penché de mon côté, passant son épaule devant la mienne et s'est appuyé contre le dossier, m'obligeant également à m'adosser. Il a posé la main sur ma cuisse et j'ai sursauté.
Je me suis débattue et j'ai pu arracher mon épaule à son emprise, mais il m'a attrapée par les épaules et a coincé mes deux bras derrière mon dos. Pendant qu'il me maintenait d'un bras, il s'est mis à tâter mes seins de sa main libre. Je n'étais pas trop d'accord pour cela en dehors de nos jeux de la veille.
J'ai commencé à crier, mais il m'a plaquée contre lui et m'a embrassée à pleine bouche tout en passant une main insidieuse entre mes cuisses. Mes bras étant toujours solidement maintenus, je ne pouvais rien faire, si ce n'est gigoter futilement. Manifestement, mon agitation et mes cris l'excitaient au plus haut point. Au terme d'un très long baiser, il relâcha son étreinte un instant, me permettant de reprendre mon souffle. Il maintenait toujours mes bras derrière mon dos et continuait à passer lentement la main sur mon bas ventre et entre mes cuisses.
- Tu es vraiment un cochon !
- Si tu fais la maligne, je vais finir par te bâillonner, ma jolie. Dit-il en passant la main sous mon top pour me pincer un sein.
Là, je me suis souvenue qu'il était plutôt soumis et qu'il adorait être humilié.
- Si tu ne me lâches pas, je serai obligée de te punir, menaçai-je.
- Oh, vraiment ? Me punir ?
- Oui. Très sévèrement.
- Ah ?
- Tu appelleras Christelle pour te sauver de moi.
- Je serais curieux de voir cela…
Il m'avait libérée.
- Va chercher les cordes. Tu mérites d'être attaché.
- Bien, dit-il en se levant.
- Et prend aussi le bâillon gonflable et la cagoule sans yeux.
Pendant qu'il allait chercher tout cela, je me félicitais de m'être rappelé ses fantasmes. L'idée de me faire peloter par ce monstre durant toute l'après-midi ne me plaisait qu'à moitié. J'inspectai la pièce. Il me semblait avoir remarqué un détail durant la soirée. Ah oui, voilà. Il manque un lustre. Le salon est très grand et le crochet fixé dans le plafond est prévu pour y accrocher un très gros lustre. Christelle m'avait dit la veille qu'il était spécialement prévu pour supporter de grosses charges.
J'avais trouvé la punition idéale pour qu'il me laisse tranquille. Pas simple, mais cela pouvait être tenté. Une fois le garçon de retour, je lui ai demandé de déplacer la table de bois massif qui se trouvait sous le crochet.
J'ai pris une longue corde avec laquelle j'ai entrepris de lui confectionner un solide harnais. Le lien tournait autour de chaque épaule et se croisait dans son dos. Un tour de plus autour de sa poitrine, passant juste sous les aisselles, et voilà ! Le point d'ancrage se trouve au croisement des cordes à la base du cou. Avec un autre lien, j'entrepris rapidement de lui faire un second harnais dont le point d'ancrage était situé entre les omoplates. J'en entends déjà se demander pourquoi deux harnais ? Je suis peut-être blonde, mais je sais prévoir où mettre mes cordes.
- Allons, commençons les choses sérieuses. Donne-moi le bras.
Je pris son bras et le pliai dans son dos au point de ramener son poignet entre ses omoplates. J'attachai son poignet à un nouveau lien que je passai autour de point de fixation du second harnais dorsal, puis j'attachai l'autre extrémité à son autre poignet, ramené également entre les omoplates. Avec le reste de ce lien, j'attachai ses deux poignets ensemble.
- Ça va, mon mignon ?
- Oui, c'est spécial, mais très bien.
Je pris une nouvelle corde que j'utilisai pour presser ses bras contre son torse. Je fis plusieurs tours passant sous ses seins avant de fixer le tout à son harnais. De cette manière, il est impossible que cette corde glisse et le nœud est bien trop bas pour être accessible vu la manière dont ses mains sont attachées.
- Ça va toujours ? Demandai-je en caressant doucement ses tablettes de chocolat.
- C'est très bien. Tu es douée.
- Tu crois pouvoir tenir un long moment comme cela ?
- Sans problème.
Je tâtai ses mains. Chaudes. Ça va, la circulation n'est pas coupée. Je posai une chaise sur la table et grimpai sur cet échafaudage, munie d'une corde. Je le pliai en deux et fis passer le lien double obtenu dans le crochet du plafond. Apparemment, le point de vue que j'offrais au garçon, étirée comme cela, toute en hauteur, lui plaisait beaucoup. Je laissai pendre le lien et redescendis à terre. Je remis la chaise à sa place.
- Grimpe. Je te veux debout au milieu de la table.
Il s'exécuta. Je déposai quelques cordes et le reste de matériel sur la table, puis grimpai à mon tour.
Je saisis la corde pendant du plafond et la passai doucement dans le premier harnais que je lui avais fait. J'ai passé le bout de la corde dans l'anneau formé par l'autre bout et tirai jusqu'à tendre le lien.
- Tiens-toi droit ! Et sur la pointe des pieds.
Je tendis encore un peu le lien. Après avoir consolidé la fixation à son harnais, je terminai par un solide nœud bien serré.
- Tu peux te suspendre ? Ça résiste ?
Il essaie. Ça tient bien.
- Ça va, ce n'est pas trop dur ?
- Non, c'est bien fait. Il y a suffisamment de corde. La pression est correctement répartie
- Tu es bien en homme tronc, lui glissai-je à l'oreille en passant lentement les doigts le long de son sexe.
- Eh là !
Je lui enfonçai promptement le bâillon gonflable dans la bouche.
- Voyons voir, c'est bien comme cela qu'on fait si je me souviens bien ? Demandai-je ingénument en serrant la sangle de cuir.
- Mmmgmh !
- Attends, reste tranquille, ris-je en bouclant la sangle au plus serré.
- MMRgh !
- Et puis, c'est comme ceci je crois. On presse cette poire, là, dis-je en joignant le geste à la parole.
- …
- C'est beaucoup mieux comme cela, constatai-je après trois pressions fermes sur la poire.
Les yeux écarquillés du garçon indiquaient clairement l'efficacité de son bâillon.
- Mes seins contre les tiens, dis-je en souriant.
Nous sommes face à face, debout sur cette table, pressés l'un contre l'autre. Je sens son sexe enfler rapidement sous les lentes caresses de ma main. Je me presse contre lui, posant les mains sur ses hanches. Je me frotte langoureusement au garçon impuissant. Je sens son sexe continuer à durcir.
- Ce n'est pas terminé, ajoutai-je en me mettant lentement à genou devant lui.
Dans le même mouvement, je fis descendre lentement son petit slip sur ses pieds. Ensuite, j'entrepris rapidement de lui attacher étroitement les chevilles croisées. Puis, je lui attachai rigoureusement les jambes au-dessus et au-dessous des genoux.
- Je serre bien le lien au-dessus de tes genoux, comme cela tu ne pourras plus plier les jambes
- …
J'allais me relever, mais redressant la tête, je vis son énorme sexe tout raide, juste devant mon nez.
- Tu es un tentateur, espèce de cochon ! Je crois que je vais te traire !
Mon captif émit une sorte de gloussement incrédule. Puis, quand je saisis l'objet à pleine main, ce fut un mugissement indistinct mais remarquablement étouffé. Je commençai à faire jouer ma main sur la hampe, sous ses yeux écarquillés.
- Tu es en forme. J'aime bien cela.
Il se tortillait mais immobilisé de la sorte, il était totalement en mon pouvoir. Surtout que je le tenais fermement par "les sentiments".
Je commençai à jouer de la langue sur le bout du gland, délicatement, tout en douceur, en même temps que je continuais de "l'astiquer" de la main
- Tu trembles, remarquai-je. Quelque chose ne va pas ? Tu n'avais pas prévu cela ?
- …
- Tu es terriblement indécent, cela ne se fait pas, une impudeur pareille devant une innocente demoiselle !
Je ne lâchais pas son sexe de la main, et le garçon avait l'air un peu inquiet. Il grognait en bavant
- Dis, tu crois que c'est cela qu'on appelle "bander comme un âne", ris-je ?
- …
- Pas d'impatience, ça ne fait que commencer.
Le diamètre de son engin m'impressionnait. Il est énorme.
J'approchai l'objet de ma bouche, puis, après quelques caresses de la langue, je l'enfournai lentement. J'alternais les mouvements de va-et-vient de la tête avec des mouvements de la langue autour du gland, puis sur le bout. A chaque fois que je sentais qu'une explosion menaçait, je sortais l'objet de ma bouche et le serrais plus fort de la main. Puis quand la pression descendait, je recommençais mon petit jeu. Je l'ai maintenu en érection permanente pendant plus d'une demi-heure, sans jamais lui permettre de conclure.
A la fin, je commençais à avoir mal au genoux. Je suis descendue de la table et ai rapidement contrôlé que ses mains étaient encore chaudes. Parfait. J'ai alors poussé la table plus loin dans la pièce, de manière que mon captif se trouve pendu dans le vide.
- Attends, j'ai lu un truc amusant sur Internet. Il y a des groupes de discussion instructifs sur la morphologie masculine.
- …
Je saisis un long foulard que je posai sur son sexe toujours en érection, tendu à l'horizontale.
- C'est gentil de me donner ce support, m'esclaffai-je !
Je pris les deux pans du foulard et les fis passer entre ses cuisses pour les récupérer derrière. Je fis passer un pan de chaque côté de sa taille et tendis le foulard de manière à tirer son sexe vers le bas. De même coup, cela tire la peau vers l'arrière. Je ramenai les deux pans devant lui et les nouai solidement en un lien bien tendu.
- Voilà, c'est un essai mais on dirait bien que ça marche. Au plus tu vas bander, au plus tu seras forcé de continuer à bander. C'est auto entretenu. Tu devras rester dans cet état jusqu'à ce que Christelle te l'enlève.
- …
Il grognait comme un animal pris au piège. Je me suis assise dans le canapé à feuilleter distraitement une revue Toutes les cinq minutes, je me levais pour tester ses liens et sa circulation. Du même coup, je constatais que son sexe était toujours aussi raide, fièrement dressé à l'horizontale.
- C'est nettement plus tranquille avec une baby sitter qui sait y faire ! Plus tard, les autres sont rentrés.
- Vous avez été sages ? Questionna Christelle depuis le hall d'entrée
- Comme des images ! Il a été un peu agité au début et j'ai du intervenir, mais ça va maintenant.
Christelle a été très étonnée en entrant dans le salon et découvrant son mec tout nu accroché au plafond, exhibant toute sa gloire.

rocame
Habitué(e)
Messages : 79
Inscription : 19 déc. 2021, 10:28
Ce que j'adore : Les histoires de bondage !
Ce que je déteste : le mensonge
Localisation : Clermont - Ferrand ( 63 )

Re: Appât (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Histoire complète, avec des jolies positions de bondage, du cuir, des bottes, le récit parfait en somme !

Répondre