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Ce que j'adore : Être attaché les poignés dans le dos, ainsi que les chevilles, les genoux, et le torse. Et tenter désespérément de me libérer le temps que ma femme décide enfin de me libérer.
J'aime tout type de lien, mais mes préférences se tournent plutôt vers les menottes (pour leur côté rapide et efficaces), mais surtout vers les cordes (chanvre, coton, polypropylene...) qui permettent une immobilisation beaucoup plus efficace avec une sensation sur la peau très agréable.
J'apprécie depuis peu les bâillon boule, car je trouve que ça renforce grandement l'impression de vulnérabilité du fait de ne pas pouvoir l'enlever une fois les mains bien attachées.
J'adore mon chat également, à part quand il vient me déranger pendant un bondage...
Et j'adore surtout ma femme qui me permet de m'épanouir encore plus dans mon amour pour les liens !
Ce que je déteste : Un bondage trop facile à défaire. J'en ai déjoué un paquet, même difficile au premier abord, mais cela devient de plus en plus rares grâce à l'expérience grandissante de ma femme (pour mon plus grand plaisir), et ma capacité à pratiquer le self bondage de manière toujours plus efficace.
Je n'aime pas non plus tout ce qui s'apparente à du SM hard. La domination doit rester très soft pour que j'apprécie.
Je déteste les courbature pendant un bondage, notamment les douleurs à l'épaule, ce sont elles qui me fixent ma limite de temps à ne pas dépasser lors de mes séances de ligotage.
Cette suite m'a permis de découvrir le début que je n'avais pas encore lu.
Fallait oser une histoire où la fille ligote sa mère
On se demande à chaque instant, à quel moment la vilaine coquine de Marjorie va-t-elle dépasser les limites...celles qui risqueraient de casser à tout jamais leur liens mère-fille basés sur le respect mutuel.
Mais finalement, on sent que chacune des décisions prises par Marjorie sont mûrement réfléchies, et qu'elles ont pour unique but de satisfaire les fantasmes les plus fous de sa mère...
Cependant, une mère peut-elle supporter être dominée de la sorte par sa fille ? Et quelles en sont les limites ?
Ou joue-t-elle le jeu de sa Fille-Dominatrice pour la mettre en confiance, et ainsi mieux préparer sa vengeance ?
Où cela va-t-il mener ? Dans tous les cas là suite m'intrigue
Quand je pense qu'il existe des personnes dans ce monde qui peuvent toucher une corde sans penser un seul instant au bondage Comme je les plainsElles ne savent pas ce qu'elles loupent
Ce qui me marque dans cette histoire c'est à quel point elle se promène avec des éléments scénaristiques que je cherche à éviter. Une relation bondagesque entre un tuteur et son pupille tout juste majeur.
Mon enfant c'est avec fierté que je t'ai vu grandir. et devenir une arme au service de la vertu.
Souviens-toi, notre ignée a toujours régné avec force et sagesse. Et je sais que tu fera preuve de retenue dans l'exercice de ton grand pouvoir.
Alors que la nuit suit son cours, Roxanne, après s’être abandonnée au sommeil et cessant toute lutte dans ses liens, se réveille aux alentours de 3 heures du matin et reprend frénétiquement son combat pour tenter de se libérer et de basculer définitivement dans la soumission… Son cogito lui envoie un message, il faut qu’elle se batte pour remettre l’impertinente à sa place… Elle peut accepter les jeux de liens, être prisonnière mais après une telle journée passée en soumission, il est temps d’élaborer un plan pour que sa petite peste de fille subisse le même sort qu’elle …. Marjorie a beau avoir pris énormément de confiance et d’autorité mais son manque d’expérience va vite se retourner contre elle…
Le lendemain matin au réveil, Marjorie réveille sa mère avec un vibromasseur à pleine puissance sur sa zone sensible … Elle ôte la cagoule, lève sa mère du lit et la conduit à la salle de bains. Elle lui dit :
« Bien Sophie,
Je te donne une demi-heure pour faire un peu de toilette et t’habiller avec une tenue en latex noire, car après, pendant que j’irai faire quelques courses (j’en ai pour la journée et je déjeunerai avec des amis ce midi), tu devras faire la lessive, nettoyer notre belle maison de fond en combles et t’apprêter avec la tenue de bonne, dorée, que j’ai entreposée dans ta chambre car ce soir j’ai une soirée pour mon baccalauréat de prévue et tu devras nous servir petite soubrette… Dire que tu en étais la maîtresse il y a encore une journée … [murmurant à l’oreille de Roxanne] désormais tu en seras la domestique ma chère mère… »
Roxanne a senti, dans cette nouvelle provocation, le sentiment de supériorité de sa fille mais aussi dans ce murmure à l’oreille, dans son sarcasme une faille à exploiter …. Pendant sa toilette, elle dissimule son téléphone portable, toujours visible sur l’étagère de la salle de bain et laissé là par Marjorie (première négligence de la dominatrice en herbe), dans le panier de linge sale, se recoiffe avec un chignon, se maquille et suis les consignes à la lettre, il est encore trop tôt pour exploiter la fragilité de sa fille …
Une fois devant Marjorie, elle se laisse menotter les chevilles, les poignets et se laisse imposer un bâillon-boule qui ne la quittera pas jusqu’au soir… Une fois que sa fille s’est absentée pour le restant de la journée, Roxanne exécute ses tâches et, au moment de lancer la lessive, attrape son téléphone et envoie un message à Ava, la meilleure amie de sa fille :
« Chère Ava,
Voici une journée que ma fille me retient prisonnière à la maison, elle a fait de moi sa domestique… je sais que vous vous connaissez depuis longtemps, que tu as une certaine autorité sur elle, que tu aimes dominer les autres, et si tu m’aides à lui donner une bonne leçon et à retrouver, en partie, ma liberté après la fête de ce soir, je m’engage à vous loger gratuitement en colocation dans la petite villa des grands-parents, dont j’ai héritée, située à côté de la maison et proche de l’université des Beaux-Arts pour permettre à Marjorie d’étudier sa passion pour le métier d’actrice…
Voici la demande : peux-tu, après quelques heures et quelques verres, une fois qu’elle sera au point le plus fragile, l’habiller avec une tenue de soubrette que tu trouveras dans ma chambre et la ligoter à l’identique de moi, en face à face ? Je te laisserai gérer la fin de soirée et le départ des invités et, une fois le retour au calme, me libérer de ma prison, laissant Marjorie seule prisonnière ?
En espérant que tu acceptes de m’aider et si tel est le cas, je t’offre ma fille en soumise… De mon côté, je t’appartiendrai aussi en étant soumise à Marjo …
Efface ce message une fois lu, à ce soir
Roxanne (ou Sophie en nom de soubrette) »
Elle éteint son téléphone et le dissimule dans sa chambre…. Elle exécute les tâches sans rechigner et attend avec impatience le soir… Il est 17h lorsque Marjorie rentre à la maison, elle inspecte la lessive lavée, étendue, la maison propre, aucune trace et elle voit même, dans le salon une table dressée pour entreposer un buffet dinatoîre… Surprise devant cette initiative, elle monte dans la chambre et voit sa mère, docile, finissant quelque repassage, la jeune femme est loin de se douter du piège qui la menace… Elle va sans bruit faire sa toilette et se préparer pour sa grande fête, elle s’occupera ensuite de sa soumise de mère : une robe cocktail dorée à paillettes, qu’elle a « emprunté » dans le placard de sa mère , un maquillage doré et une queue de cheval tombante sur l’épaule, Marjorie s’est transformée en « Reine Soleil » pour l’occasion… Elle revient dans la chambre où Roxanne, s’étant aperçue du retour de sa fille, l’attend sagement devant le dressing, les chaînes tombent l’une après l’autre et la jeune femme s’adresse à la soubrette en disant :
« Et bien Sophie, quel travail ! Tout es propre, prêt pour accueillir la fête et même tout le linge est à jour … Tu me surprends, aucune rébellion ce jour, t’habituerais-tu enfin à la soumission ? Je vais t’offrir une heure de répit pour te changer et vêtir la tenue de soubrette dorée, tu auras droit à la parole un court instant en ma présence mais à la fin de l’heure tu seras apprêtée avec les liens et bâillons nécessaires à ta condition d’esclave désormais …. »
Roxanne hoche la tête pour acquiescer et valider ce court répit… Marjorie lui ôte le bâillon et l’invite à parler, la mère ne se fait pas prier et dit :
« Ma chérie,
Je sais que tu as percé mon secret mais me soumettre à toi doit être fait selon les règles, on discutera du contrat de soumission après ce soir c’est ta soirée et j’obéirai … Si tu me laisses cette heure, je rédigerai le contrat et on validera ça demain. En attendant, va préparer ta soirée et je m’engage à me préparer pour être la Sophie docile et parfaite que tu attends … »
Interrompue dans sa fausse promesse par un baiser aussi soudain que passionné, Roxanne continue à déceler chaque instant un peu plus la fragilité chez sa fille qui se laisse envahir par les sentiments et cette faiblesse prouve le manque d’expérience dans la domination qu’elle a senti chez Marjorie… La jeune fille dit alors à sa mère :
« Ma chère mère,
Ne prends pas trop goût à cette liberté, car demain, une fois le contrat signé, tu m’appartiendras corps et âme… Tu seras Roxanne, la prof de philosophie en journée au lycée, mais dès le soir, tu seras Sophie soubrette, soumise et à mes pieds … Je te laisse une heure de liberté et rendez-vous vêtue de ta tenue de gala à 18h au salon. »
Une fois Marjorie sortie de la chambre de bonne, pour gagner du temps, Roxanne se vêtit de la tenue de soubrette dorée, éclatante et brillante. Une fois apprêtée, elle rallume son téléphone furtivement et aperçoit la réponse d’Ava :
« Madame,
Vous me connaissez presque autant que votre fille, cela fait des années que nous nous connaissons avec Marjorie et j’accepte de vous rendre ce service ! De plus, depuis quelques temps, elle m’agace avec son arrogance en disant partout qu’elle sera une grande actrice et mannequin et la soumettre sera l’occasion de la rappeler à l’ordre que toute actrice a aussi un rôle de demoiselle en détresse à jouer… à tout à l’heure ! »
Le sourire aux lèvres, Roxanne éteint à nouveau son téléphone et se met, sur un petit bureau d’écolière avec son ordinateur portable (Marjorie lui a laissé ses outils de travail), à rédiger le contrat suivant :
« Je soussigné Roxanne,
Mère de Marjorie, s’engage par le présent contrat à demeurer moi-même en journée pour mon métier de professeure de philosophie et à devenir, le soir à la maison, Sophie, domestique obéissante et soumise à la volonté de mon enfant devenue adulte, ma fille Marjorie, ma maîtresse.
Je m’engage à préparer les repas et effectuer l’ensemble des tâches ménagères et accepte toute forme de punition si mon travail de soumise n’est pas terminé, peu ou pas effectué. Je m’engage à faire les courses pour chaque personne vivant dans ce domicile.
Je demande aussi, à ma maîtresse, deux jours de congès par semaine dans ma soumission envers elle afin de pouvoir mener en parallèle mon activité d’enseignante notamment dans la correction des copies d’élèves.
A valoir ce que de droit »
Imprimé et mis sous enveloppe, Roxanne sait que une fois signé ce contrat sera irréversible, elle l’entrepose sous son oreiller et se présente devant Marjorie, à 18h piles ! La jeune femme attend sa mère, la fait s’agenouiller devant elle et lui présente un bâillon-boule doré, spécialement préparé pour la soirée… un collier de chien doré à paillette, un armbinder serré et serti de diamants viennent compléter le haut du corps de la soubrette… des chaînes aux chevilles et un petit plateau d’argent, relié par une chaîne au collier… Roxanne savait très bien que les restrictions allaient revenir mais de nouveau condamnée au silence, elle ne peut s’empêcher de laisser échapper un râle de frustration…
Il est 19h lorsque les invités commencent à arriver, Sophie la domestique les accueille en demeurant, tel un trophée dans l’entrée, les embrassades avec Marjorie vont et les félicitations pleuvent … Ava arrive vers 20 heures et, avant d’aller avec son amie, s’approche de la soubrette et lui murmure à l’oreille :
« Encore quelques heures Miss R., encore quelques heures et mère et fille seront à moi, comme promis …. »
Un léger frisson parcours l’échine de Roxanne et un sourire non dissimulé derrière son bâillon car ça y est le piège est ouvert … Quitte à perdre la liberté autant que Marjorie profite un peu des liens ….. La soirée se déroule, petits fours, champagne amené sur un plateau par une domestique obéissante et docile, alcool (vin rosé, bières)… le plan de Roxanne se déroule comme prévu… C’est aux alentours de minuit lorsque Marjorie, avant d’être à la limite, amène Roxanne dans sa chambre, la laisse vêtue de son habit de lumière, l’allonge sur le lit, lui bande les yeux et lui attache les chevilles, les genoux et lie le tout dans un hogtie à l’armbinder …. Elle lui murmure à l’oreille :
« Bonne nuit Sophie, tu as fait du bon travail ce soir »
C’est aux alentours de une heure du matin que Marjorie, après le départ des invités, commence à connaître la fatigue… Ava sait que c’est le moment d’agir ! Elle escorte Marjorie jusque dans sa chambre, la chloroforme et suite aux indications de Roxanne lui change sa belle tenue pour une tenue de soubrette rose en latex, elle amène la fille rebelle dans la chambre de bonne, la ligote à l’identique de sa mère et prends en photo le tableau … Après s’être installée dans la chambre de Marjorie, elle revient libérer Roxanne de ses liens comme convenu. La mère s’assied un court instant à côté de sa fille prisonnière et puis, propose à Ava un dernier verre. Elle lui dit :
« Je te remercie Ava, Marjorie avait besoin d’apprendre sa place … Le contrat de soumission pour m’offrir à elle est rédigé, je vais profiter de cette nuit de liberté pour me reposer de ces dernières heures où elle ne m’a laissé aucun répit … Profite bien de la chambre de Marjorie, demain sera un autre jour. »
La jeune femme tient sa victoire sur son amie et de ce fait, profite de la situation d’avoir deux soumises pour le prix d’une. Elle répond à Roxanne :
« Miss R,
Désormais votre fille est mienne, elle va devenir une soumise bien sage à mes côtés et par ricochet, vous m’appartiendrez aussi… Je suis plus expérimentée que votre fille, j’ai déjà appris à subir avant de dominer et de retenir les leçons … Bonne nuit Roxanne ! »
Ava monte donc se coucher tandis que, assise sur le canapé, Roxanne explore, une coupe champagne à la main, une nouvelle fois son cogito et comme conclusion de ses tourments, le message semble désormais clair : Elle ne dominera jamais car elle aime trop s’abandonner à l’autre, être prisonnière des liens divers, c’est comme ça qu’elle s’est découverte soumise … Une nuit de leçon pour sa fille et une soumission avec Ava qui se profile pour la jeune impertinente, Roxanne sait désormais que pour elle, la frontière est franchie et que désormais de nouveaux liens vont se créer entre elle et Sophie, son alter ego soubrette …..
Fin
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
