Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

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bdsmwinner
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Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

Message par bdsmwinner »

Ceci est une histoire de fiction entre deux actrices que nous connaissons bien dans ce forum qui sont Dounia Coesens et Laetitia Milot, un jour pendant qu'elles se revoyaient après leurs tournages respectifs, elles subissent un enlèvement par deux hommes qui apprecient leurs talents d'actrices, elles subiront alors des tourmentes et essayeront de s'échapper mais comment faire avec ces hommes qui sont leurs fans

En espérant qu'elle vous plaise :)

Partie 1: Une journée qui tourne mal

Dans un café confortable et animé de la ville, Dounia et Laetitia, deux actrices accomplies, se sont retrouvées pour discuter de leurs projets récents.

Dounia : (en sirotant son café) Ah, c'est tellement agréable de sortir un peu du rythme effréné du tournage et de prendre le temps de discuter avec une amie !

Laetitia : (avec un sourire chaleureux) Absolument ! Je suis ravie que nous ayons réussi à trouver un moment pour nous rencontrer. Comment s'est passé ton dernier projet, Dounia ?

Dounia : (enthousiaste) Oh, tu sais, c'était incroyable ! J'ai travaillé sur un film indépendant qui avait un scénario vraiment puissant. Mon personnage était si complexe et nuancé, c'était un défi fantastique à relever.

Laetitia : (intéressée) Ça sonne formidable ! Je n'aurais pas pu espérer mieux pour toi. Et ce rôle au théâtre dont tu m'as parlé la dernière fois ?

Dounia : (en souriant) Oh, oui, le théâtre reste ma première passion ! J'ai joué dans une pièce classique cette fois-ci, une tragédie grecque. L'expérience sur scène est tout simplement inégalable, tu sais.

Laetitia : (avec admiration) Tu es une actrice incroyable, Dounia. Je t'envie vraiment d'avoir pu jouer dans des projets si variés. Pour ma part, je suis en train de préparer un rôle dans une série télévisée. C'est un personnage complexe aussi, mais d'une manière différente.

Dounia : (curieuse) Raconte-moi tout ! Quel est le pitch de la série ?

Laetitia : (enthousiaste) La série s'appelle "Mystères Urbains". C'est un thriller psychologique qui se déroule dans un quartier mystérieux. Je joue le rôle d'une détective privée qui essaie de résoudre une série de crimes étranges et non résolus.

Dounia : (impressionnée) Oh, ça a l'air si captivant ! Et ce personnage de détective va mettre à l'épreuve toutes tes compétences d'actrice. Tu vas briller, j'en suis sûre !

Laetitia : (reconnaissante) Merci, Dounia ! C'est encourageant d'entendre ça venant de toi. Et toi, as-tu des projets futurs intéressants ?

Dounia : (pensive) Eh bien, j'ai quelques auditions pour de nouveaux films en vue. Rien de concret pour l'instant, mais je reste optimiste. C'est la vie d'actrice, tu sais, parfois on doit attendre le bon projet qui résonnera vraiment avec nous.

Laetitia : (compatissante) Tu as tout à fait raison. Il faut de la patience et de la persévérance dans ce métier. Mais je suis certaine que de belles opportunités t'attendent à l'avenir.

Dounia : (sourit) Merci, Laetitia. Et je te souhaite également beaucoup de succès avec "Mystères Urbains". Je vais suivre la série de près !

Laetitia : (avec un clin d'œil) Merci ! On se soutient mutuellement, c'est ce que j'aime dans notre cercle d'acteurs. On comprend les hauts et les bas de cette carrière.

La conversation entre les deux femmes actrices s'est poursuivie pendant des heures, mêlant rires, anecdotes de plateau et partage de conseils professionnels. Une amitié solide et une passion commune les unissaient dans ce monde palpitant du cinéma et du théâtre.

Quelques jours plus tard, Laetitia a organisé une soirée spéciale pour célébrer les succès et les projets de Dounia. Elles se retrouvent dans un restaurant chic et cosy, réservant une table dans un coin tranquille pour pouvoir discuter en toute intimité.

Laetitia : (en accueillant chaleureusement Dounia) Bienvenue, ma chère amie ! Je suis si contente que tu aies pu venir ce soir.

Dounia : (sourit) Merci de m'avoir invitée, Laetitia. C'est adorable de ta part d'organiser cette soirée pour moi. Et félicitations encore pour ton rôle dans "Mystères Urbains" ! J'ai vu les premières critiques, et elles sont excellentes !

Laetitia : (ravie) Merci, merci ! Cela signifie beaucoup venant de toi. Mais ce soir, c'est toi qui est à l'honneur. Raconte-moi tout sur tes projets récents et futurs.

Dounia : (enthousiaste) Eh bien, tu te souviens de cette audition pour un film historique ? J'ai eu le rôle principal ! Je serai une femme pionnière du 19e siècle, luttant pour ses droits et sa liberté. Je suis tellement excitée par ce rôle !

Laetitia : (émerveillée) Wow, félicitations ! Ce rôle semble tellement fort et inspirant. Je n'en doutais pas une seconde, tu es parfaite pour ce genre de personnages profonds.

Le serveur arrive pour prendre leur commande, et après avoir choisi leurs plats, les deux amies continuent de discuter passionnément.

Dounia : (après avoir pris une gorgée de vin) Et toi, comment se passe le tournage de "Mystères Urbains" ? As-tu des anecdotes amusantes à partager ?

Laetitia : (riant) Oh, tu peux le dire ! Le tournage est intense, mais incroyablement amusant aussi. J'ai dû faire une scène de cascade l'autre jour, et je peux te dire que ça a été toute une expérience. Heureusement, personne n'a été blessé, et le résultat était époustouflant.

Dounia : (amusée) Je t'envie toujours pour ces scènes d'action ! C'est un aspect du métier d'actrice que j'aimerais explorer davantage. Peut-être que dans mon prochain film, je pourrais essayer quelques cascades.

Laetitia : (encourageante) Absolument ! Tu es capable de tout, Dounia. Il suffit d'avoir confiance en tes capacités et de saisir les opportunités qui se présentent à toi.

La soirée se poursuit avec les deux amies échangeant des conseils professionnels, parlant de leurs expériences passées sur les plateaux de tournage, et partageant leurs rêves pour l'avenir. Les plats délicieux du restaurant sont savourés tout en discutant, et l'ambiance chaleureuse les enveloppe dans une bulle de complicité et d'amitié.

Laetitia : (émue) Dounia, je suis tellement fière de toi et de tout ce que tu as accompli jusqu'à présent. Tu es une artiste exceptionnelle et une amie précieuse.

Dounia : (touchée) Merci, Laetitia. Je suis reconnaissante d'avoir une amie comme toi à mes côtés, qui comprend et partage ma passion pour le théâtre et le cinéma.

Laetitia : (avec un sourire) Toujours, Dounia. Nous sommes là l'une pour l'autre, dans les bons moments comme dans les moments plus difficiles.

Et ainsi, la soirée se prolonge, emplie de rires, de confidences et de projets excitants pour l'avenir. Les deux actrices, liées par leur amour commun pour l'art, savent qu'elles peuvent compter l'une sur l'autre pour continuer à briller sur les scènes et les écrans du monde entier.

Alors que Dounia et Laetitia quittent le restaurant, leur bonne humeur et leur complicité sont toujours palpables. Elles marchent côte à côte, discutant joyeusement du reste de la soirée et des projets futurs, sans se douter de ce qui les attend.

Soudain, deux hommes masqués surgissent de nulle part derrière elles, les prenant par surprise. L'un d'eux tient un objet menaçant dans sa main.

Homme masqué 1 : (d'un ton menaçant) Ne criez pas et ne faites rien de stupide, sinon vous le regretterez.

Homme masqué 2 : (pointant l'objet vers elles) On veut juste un peu de monnaie, rien de plus. Donnez-nous vos sacs et vos objets de valeur, et tout se passera bien.

Dounia et Laetitia se regardent brièvement, comprenant la gravité de la situation. Sans paniquer, elles remettent leurs sacs aux hommes, qui se mettent à fouiller à l'intérieur, cherchant de l'argent et d'autres objets de valeur.

Dounia : (calme) Prenez ce que vous voulez, mais s'il vous plaît, ne nous faites pas de mal.

Laetitia : (d'une voix ferme) Nous coopérons, vous n'avez pas besoin de nous menacer.

Homme masqué 1 : (agacé) Taisez-vous et donnez-nous tout ce que vous avez !

Soudain, elles découvrent qu'une porte de sortie s'est présentée à eux, elles essayent de s'échapper mais leurs ravisseurs les plaquent contre le mur, sortent un mouchoir rempli de chloroforme et les endormissent. Elles se retrouvent à l'arrière d"un camion, les mains attachées contre le mur, un baîllon-boule de couleur noir sur leur bouche et un de leurs ravisseurs assis tenant un bâton. Dounia se réveilla, réussit a cracher son baîllon et s'écria "Lâchez-Nous, Libérez-Nous", l'homme se leva, donne un coup de bâton pour l'assommer, remit la boule et applique un "duct tape" pour encore plus la faire taire, son amie Laetitia subit aussi la même chose et le camion roula alors vers une maison abandonnée.

La suite dans une deuxième partie

bdsmwinner
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Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

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Partie 2 : La maison abandonnée

Laetitia et Dounia se réveillent dans une chambre d'une maison abandonnée, elles se retrouvent alors toutes les deux assises sur une chaise, solidement ligotées et bâillonnées avec cette fois un mouchoir dans leur bouche et un duct tape pour masquer le mouchoir, leurs ravisseurs disent alors :

Homme masqué 1 : (souriant narquoisement) Eh bien, eh bien, quelle coïncidence ! Deux célèbres actrices françaises dans notre petit repaire de bondage.

Homme masqué 2 : (riant) Oui, nous avons touché le gros lot ! Peut-être que nous pourrons obtenir une rançon juteuse pour votre libération.

Laetitia : (d'une voix étouffée par le bâillon) Vous ne pouvez pas faire ça ! Nous ne sommes pas des célébrités riches, nous sommes simplement des artistes passionnées par notre métier.

Dounia : (acquiesçant) C'est vrai, s'il vous plaît, laissez-nous partir. Nous ne ferons de mal à personne.

Homme masqué 1 : (moqueur) Oh, je suis sûr que vous trouverez un moyen de nous payer pour votre liberté. Les médias vous adorent, n'est-ce pas ? Ils paieraient certainement cher pour vous retrouver

Dounia : (frustrée) Vous vous trompez. Le succès ne signifie pas forcément richesse, et nous ne sommes pas les personnes que vous imaginez.

Homme masqué 2 : (perplexe) Vraiment ? Je trouve ça difficile à croire.

Alors que les ravisseurs continuent de les surveiller étroitement, Dounia et Laetitia cherchent désespérément un moyen de s'échapper. Leur esprit d'actrice leur permet de garder leur calme, même dans cette situation terrifiante.

Laetitia : (cherchant à distraire les ravisseurs) Vous avez peut-être entendu parler de notre travail, mais saviez-vous que nous avons tous les deux joué dans des films d'action ? Peut-être que vous nous avez sous-estimées.

Dounia : (renforçant la diversion) Oui, et nous pourrions vous montrer quelques mouvements impressionnants si vous nous lâchiez.

Homme masqué 1 : (intrigué) Vous jouez dans des films d'action, vraiment ?

Homme masqué 2 : (un peu méfiant) Ne les écoute pas, ils essaient juste de nous embrouiller.

Cependant, l'idée a piqué la curiosité des ravisseurs, et une lueur d'intérêt s'est allumée dans leurs yeux. Finalement, ils décident de relâcher les bâillons pour laisser les actrices s'exprimer librement.

Dounia : (avec détermination) Écoutez, nous pouvons négocier autrement. Vous nous laissez partir, et nous vous promettons de ne pas informer la police de votre identité. Nous pourrons discuter d'un arrangement qui ne vous attirera pas d'ennuis.

Homme masqué 1 : (pensif) Un arrangement, dites-vous ?

Laetitia : (convaincante) Oui, nous avons une image à préserver, et si nous disons aux autorités que nous avons été enlevées, cela pourrait faire beaucoup de bruit dans les médias. Nous sommes prêtes à trouver un compromis, si vous êtes d'accord.

Les ravisseurs semblent hésiter, mais la proposition des actrices a suscité leur intérêt. Dounia et Laetitia continuent de parler avec eux, cherchant à gagner du temps et à les convaincre de les laisser partir sans encombre.

Dans l'espoir que leur talent de comédienne puisse les sauver, elles essaient de jouer sur leurs émotions et de créer une connexion humaine avec leurs ravisseurs. La situation reste tendue, mais elles gardent espoir qu'une issue favorable est possible.

Soudain, le premier ravisseur dit :

Homme masqué 1 : D'accord, mais vous accepterez nos conditions

Il enlève le bâillon a Laetitia et continue a dire :

Homme masqué 1 : Vous serez nos prisonnières pendant une semaine, vous ferez tout ce que l'on vous dira, et si vous ne respectez pas une seule de nos consignes, nous vous attacherons et on vous mettra des coups de fouet ou de cravache, c'est compris ?

Dounia (voix étouffée) : Non Laetitia, n'accepte pas ça !

Mais Laetitia ne l'entend pas et dit :

Laetitia (Acquiesce) : C'est d'accord, j'aime le bondage car je l'utilise souvent lors des films d'action, je n'ai jamais été dérangée par le scénario qui m'impose d'être attachée.

Les ravisseurs sont heureux de cette situation et disent :

Homme masqué 1 : D'accord, dans ce cas on remet votre baîllon, rendez vous ce midi.

L'Homme remet le baîllon et ferme la porte de la chambre a clé, mais avant il dit "ne vous échappez pas, les murs sont très hauts".

Trois heures après, les ravisseurs lancent un jeu pour qu'elles mangent un bout le midi

Les ravisseurs, semblant apprécier la présence des deux actrices et leur jeu psychologique, annoncent le défi qu'ils ont préparé pour elles avant de partir. Ils enlèvent leurs bâillons pour leur expliquer les règles.

Homme masqué 1 : (souriant) Mesdames, nous avons décidé de vous offrir un petit jeu pour vous divertir pendant notre absence.

Homme masqué 2 : (riant) Exactement ! Vous allez devoir vous débattre tout en mangeant cette délicieuse assiette de fromages français. Mais attention, vous ne pouvez en aucun cas essayer de vous libérer ou de vous échapper, sinon il y aura des conséquences.

Dounia : (intriguée) Qu'est-ce que vous voulez dire par "des conséquences" ?

Homme masqué 1 : (énigmatique) Ah, ça, c'est un mystère que vous devrez résoudre par vous-mêmes.

Laetitia : (avec détermination) Et si nous refusons de jouer à votre jeu ?

Homme masqué 2 : (en souriant) Vous êtes des actrices, n'est-ce pas ? Nous savons que vous aimez les défis. Vous avez faim, et ces fromages sont délicieux, profitez-en.

Dounia et Laetitia échangent un regard complice. Elles réalisent qu'elles n'ont pas d'autre choix que de jouer le jeu des ravisseurs pour assurer leur propre sécurité. Les ravisseurs placent l'assiette de fromages composée d'un gros morceau de comté, d'emmental et de gruyère devant elles et retirent leurs bâillons en les posant sur leur cou.

Homme masqué 1 : (d'une voix ferme) Le jeu commence maintenant. Bon appétit !

Les actrices commencent à manger avec détermination, malgré les entraves de leurs mains. Elles utilisent leurs dents pour découper les morceaux de fromage et tentent de garder leur calme pendant qu'elles dégustent les délicieuses fromages.

Dounia : (chuchotant) Bon sang, quel est ce jeu absurde ? Ils veulent qu'on mange ces fromages tout en restant ligotées ? C'est complètement fou !

Laetitia : (répond doucement) Oui, c'est fou, mais nous n'avons pas d'autre choix que de jouer le jeu. Ils nous ont clairement mis en garde contre toute tentative d'évasion. Restons concentrées et trouvons un moyen de réussir ce défi.

Les cordes qui les retiennent sont solidement attachées, rendant tout mouvement difficile. Dounia et Laetitia essayent de trouver une position qui leur permettrait de manger les fromages, mais c'est un véritable défi.

Dounia : (essayant de rire malgré la situation) Je ne pensais pas qu'un jour je me retrouverais à manger du fromage dans une situation aussi étrange. C'est surréaliste !

Laetitia : (souriant) La vie nous réserve parfois des surprises inattendues. Essayons de nous concentrer sur le fromage et trouvons un moyen de le manger sans nous étouffer.

Le temps s'écoule lentement alors qu'elles continuent de manger, essayant de rester concentrées et calmes malgré leur inquiétude grandissante quant à ce qui pourrait arriver si elles échouent à ce défi étrange.

Dounia : (en mangeant un morceau) Mmm, c'est délicieux, mais ça aurait été beaucoup plus agréable sans ces cordes !

Laetitia : (essayant de garder le moral) Au moins, on ne peut pas dire que nous ne profitions pas de nos fromages français préféré, surtout pour moi qui aime trop le comté, même dans cette situation étrange.

Finalement, elles parviennent à finir l'assiette de fromages, bien que leurs mains soient toujours entravées. Lorsque les ravisseurs reviennent, ils retirent à nouveau les bâillons.

Homme masqué 2 : (impressionné) Vous avez bien joué, mesdames. Vous êtes vraiment talentueuses, et vous savez comment relever les défis.

Laetitia : (haletante) Maintenant, pouvez-vous nous dire ce qui se passe ensuite ?

Homme masqué 1 : (avec un sourire mystérieux) Vous avez réussi le défi, mais cela ne signifie pas que vous êtes libres. Vous verrez bien ce qui vous attend.

Les ravisseurs remettent les bâillons aux actrices et quittent la pièce sans expliquer ce qui se passera ensuite.

La soirée devient de plus en plus angoissante pour Dounia et Laetitia alors que les ravisseurs les emmènent dans une étrange salle remplie de cordes. Leur cœur bat la chamade alors qu'ils les forcent à s'asseoir, Dounia étant attachée et bâillonnée en premier.

Homme masqué 1 : (d'un ton sinistre) C'est un autre défi pour vous, mesdames. L'une d'entre vous va devoir rester attachée et silencieuse, tandis que l'autre devra tout faire pour la libérer sans dire un mot.

Laetitia regarde avec inquiétude Dounia, alors qu'elle-même reste libre pour l'instant. Les ravisseurs sortent de la pièce en verrouillant la porte derrière eux, laissant les deux femmes seules dans cette ambiance oppressante.

Laetitia : (anxieuse) Dounia, ça va aller, ne t'inquiète pas. Je vais te libérer rapidement.

Dounia acquiesce, le regard rempli de confiance en son amie. Laetitia s'approche avec précaution et commence à examiner les nœuds des cordes, cherchant le moyen le plus sûr de les défaire. Elle s'efforce de garder un calme absolu, car elle sait que la moindre erreur pourrait être risquée.

Après quelques minutes de concentration intense, Laetitia parvient enfin à libérer Dounia de ses liens. Elles échangent un regard de soulagement avant de se préparer pour le prochain défi.

Homme masqué 2 : (entrant dans la pièce) C'est maintenant le tour de l'autre actrice d'être attachée. Et souvenez-vous, le silence est d'or.

Laetitia se prépare à son tour à être attachée, tandis que Dounia observe attentivement les mouvements des ravisseurs, cherchant le moindre indice qui pourrait les aider à s'échapper plus tard.

Une fois Laetitia attachée et bâillonnée, Dounia commence à analyser la situation. Elle essaie de décoder les gestes des ravisseurs et de comprendre la manière dont ils les surveillent. Le jeu devient de plus en plus dangereux, mais Laetitia est déterminée à trouver un moyen de s'échapper.

La soirée se prolonge dans cette tension insoutenable. Les actrices alternent entre être libres et prisonnières, s'efforçant de trouver des opportunités pour se libérer sans attirer l'attention des ravisseurs.

Enfin, les ravisseurs décident de mettre fin au jeu et emmènent les deux femmes dans une chambre à l'étage où ils les attachent de part et d'autre du lit. Les cordes sont serrées et sécurisées, rendant presque impossible tout espoir de s'échapper.

Homme masqué 1 : (avec un sourire sinistre) C'est l'heure de dormir, mesdames. Nous espérons que vous avez apprécié notre petit jeu. Dormez bien !

La suite dans une troisième partie
Dernière modification par bdsmwinner le 26 juil. 2023, 12:01, modifié 1 fois.

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Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

Message par bdsmwinner »

Partie 3 : Les désirs des hommes

Le lendemain matin, Dounia et Laetitia se réveillent pour faire face à une nouvelle situation effrayante. Elles sont maintenant attachées à leur lit, impuissantes face à leurs ravisseurs qui se tiennent près d'elles avec un sourire sournois.

Homme masqué 1 : (riant) Bien dormi, mesdames ? Nous avons un nouveau défi pour vous aujourd'hui.

Homme masqué 2 : (amusé) Exactement ! Aujourd'hui, vous allez réaliser tous nos désirs, sans exception. Vous ferez tout ce que nous demandons, sinon... vous savez ce qui vous attend.

Dounia et Laetitia échangent un regard inquiet, sachant qu'elles n'ont pas le choix. Elles doivent jouer le jeu pour leur sécurité, du moins pour l'instant.

Dounia : (d'une voix tremblante) Et que voulez-vous que nous fassions ?

Homme masqué 1 : (avec un sourire malsain) Oh, ce ne sera pas si compliqué. Vous allez d'abord préparer un délicieux petit-déjeuner pour nous. Nous avons faim, et vous êtes d'excellentes actrices, non ? Alors, montrez-nous vos talents culinaires.

Homme masqué 2 : (riant) Oui, c'est un bon début. Allez-y, et n'essayez pas de faire de bêtises.

Les actrices se lèvent avec difficulté, toujours entravées, pour se diriger vers la cuisine. Dounia et Laetitia échangent des regards silencieux, cherchant un moyen discret de s'échapper sans éveiller les soupçons des ravisseurs.

Dans la cuisine, elles s'affairent à préparer le petit-déjeuner, espérant que cette situation leur donnera le temps de trouver un plan pour s'échapper plus tard. Les hommes sont assis dans la pièce voisine, les gardant constamment à l'œil.

Homme masqué 1 : (en souriant) N'oubliez pas de mettre tous vos talents de comédienne dans ce repas. Nous voulons être impressionnés.

Dounia et Laetitia échangent un regard rapide, sachant que c'est leur chance de faire diversion et de gagner un peu de temps.

Laetitia : (avec un sourire forcé) Bien sûr, messieurs. Vous ne serez pas déçus.

Pendant qu'elles cuisinent, elles essaient discrètement de trouver des objets utiles ou des indices qui pourraient les aider à s'échapper. Mais les ravisseurs sont vigilants, et elles doivent être prudentes.

Après avoir servi le petit-déjeuner, les hommes mangent avec satisfaction, laissant les actrices encore une fois avec un défi imminent.

Homme masqué 2 : (après avoir fini) C'était délicieux, mesdames. Maintenant, nous aimerions que vous nous divertissiez. Vous êtes des actrices, n'est-ce pas ? Montrez-nous un spectacle.

Dounia : (feignant l'enthousiasme) Bien sûr, nous serions ravies de vous divertir.

Les femmes cherchent un moyen de créer une distraction pendant leur "spectacle". Elles savent qu'elles ne peuvent pas résister directement, mais elles doivent être astucieuses pour gagner un peu de liberté de mouvement.

Alors qu'elles jouent leur "spectacle", elles essaient de déplacer leurs mains discrètement, espérant trouver une façon de desserrer les liens qui les retiennent. Mais l'horloge tourne, et elles doivent être prudentes pour ne pas attirer l'attention des hommes.

La soirée arrive et Dounia et Laetitia restent attachées à leur lit, surveillées par les deux hommes masqués. Ces derniers semblent s'amuser de leur situation et leur lancent un nouveau défi.

Homme masqué 1 : (riant) Eh bien, mesdames, ce soir nous voulons un peu de divertissement. Vous allez devoir nous raconter des histoires, mais attention, vous devrez parler tout en gardant vos bâillons.

Homme masqué 2 : (amusé) Exactement ! Vous êtes des actrices, alors nous savons que vous pouvez relever ce défi.

Dounia et Laetitia échangent un regard résigné, sachant qu'elles doivent coopérer pour leur propre sécurité. Elles hochent la tête, montrant qu'elles sont prêtes à jouer le jeu.

Homme masqué 1 : (en souriant) Parfait ! On commence avec toi, Dounia. Raconte-nous une histoire passionnante.

Dounia : (murmurant derrière son bâillon) Mmm mmm, hmmm mm mmm hmm.

Homme masqué 2 : (riant) Oh, cette histoire semble vraiment captivante ! Continue !

Dounia essaie tant bien que mal de raconter une histoire en utilisant des gestes et des expressions faciales pour accompagner ses paroles étouffées par le bâillon. Laetitia regarde son amie avec admiration, sachant à quel point il est difficile de faire passer un message sans pouvoir parler clairement.

Homme masqué 1 : (amusé) C'est vraiment amusant de vous voir essayer de vous exprimer ainsi. Allez, Laetitia, à toi maintenant. Raconte-nous une histoire drôle.

Laetitia : (essayant de sourire derrière son bâillon) Hmmm hmm mm mm hmmm.

Laetitia improvise une histoire drôle en utilisant ses mimiques et ses yeux pétillants pour ajouter du charme à son récit étouffé. Les ravisseurs semblent divertis par l'effort que les actrices déploient pour relever leur défi.

Homme masqué 2 : (riant) C'était vraiment amusant ! Vous êtes toutes les deux très talentueuses.

Homme masqué 1 : (avec un ton sérieux) Mais n'oubliez pas que nous sommes toujours en charge ici. Vous ne pouvez pas vous échapper ou essayer de nous tromper, sinon les conséquences seront graves.

Dounia et Laetitia acquiescent en signe de compréhension. Elles savent qu'elles doivent rester prudentes et jouer le jeu, du moins jusqu'à ce qu'elles trouvent une opportunité d'évasion sûre.

La soirée se poursuit avec d'autres défis et demandes des ravisseurs. Les actrices continuent de jouer leur rôle, espérant secrètement trouver un moyen de s'échapper sans mettre leur vie en danger.

La nuit finit par tomber, et les hommes semblent satisfaits de leur amusement. Ils décident de partir pour laisser Dounia et Laetitia seules pour la nuit.

Homme masqué 1 : (avec un sourire malicieux) Nous reviendrons demain pour d'autres défis. Ne pensez même pas à essayer de vous échapper cette nuit.

Homme masqué 2 : (s'adressant aux actrices) Vous avez été de bonnes petites actrices, continuez comme ça, et tout ira bien.

Les hommes quittent la pièce, laissant les femmes seules avec leurs pensées. Dounia et Laetitia s'allongent dans leur lit, toujours attachées et bâillonnées.

La suite dans une quatrième partie

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Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

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Partie 4 : Une connaissance revient

Le lendemain matin, les ravisseurs reviennent dans la pièce avec une nouvelle captive : Aurélie Vaneck, une actrice et une amie de Dounia et Laetitia. Les deux femmes sont soulagées de la voir, mais aussi inquiètes pour sa sécurité.

Homme masqué 1 : (avec un sourire sinistre) Eh bien, regardez qui nous avons ici ! Une autre actrice célèbre. Vous allez toutes les trois être très amusantes à regarder aujourd'hui.

Aurélie : (murmurant derrière son bâillon) Mmm mm hmm mmm.

Dounia : (inquiète) Aurelie, ça va ? Ne t'inquiète pas, nous allons nous en sortir.

Laetitia : (acquiesçant) Oui, nous allons nous entraider et trouver un moyen de sortir d'ici.

Homme masqué 2 : (avec un ton menaçant) Vous avez raison de vous soutenir, mais ne pensez pas qu'une nouvelle venue rendra les choses plus faciles. Aujourd'hui, vous allez relever un nouveau défi. Vous devrez vous débattre dans vos lits, mais sans vous libérer. Si l'une de vous réussit à se libérer, toutes les trois serez amenées au donjon. C'est bien clair ?

Les trois femmes acquiescent, comprenant la gravité du défi. Elles se mettent toutes les trois dans leur lit et commencent à se débattre avec leurs entraves, en essayant de trouver un moyen de se libérer sans violer les règles des ravisseurs.

Leurs voix étouffées par les bâillons, elles se parlent entre elles, cherchant à se soutenir mutuellement et à trouver une stratégie.

Dounia : (murmurant) Essayons de nous aider mutuellement. Si l'une de nous trouve un moyen de se libérer, elle doit alerter les autres.

Laetitia : (derrière son bâillon) D'accord. Ne paniquons pas, prenons notre temps et cherchons des points faibles dans les liens.

Aurélie : (avec détermination) Nous pouvons y arriver. Nous sommes des actrices, nous sommes capables de relever ce défi.

Les femmes se débattent sans relâche, cherchant des faiblesses dans les cordes qui les retiennent, tout en veillant à ne pas attirer l'attention des ravisseurs. La situation est angoissante, mais elles gardent espoir en leur force et en leur amitié.

Homme masqué 1 : (observant) Vous avez l'air de vous amuser, mesdames. Continuez à vous débattre, cela nous divertit beaucoup.

Homme masqué 2 : (riant) Oui, nous adorons voir de belles actrices comme vous en action.

Les ravisseurs semblent se moquer d'elles, mais Dounia, Laetitia et Aurélia continuent de se battre, déterminées à trouver un moyen de s'échapper sans subir les conséquences terribles.

Alors qu'elles luttent contre les liens, une idée surgit dans l'esprit de Dounia. Elle parvient à desserrer légèrement ses liens en utilisant une astuce qu'elle avait apprise sur un plateau de tournage. Elle fait signe à Laetitia et Aurélie de faire de même, tout en restant discrètes.

La tension monte alors que les actrices continuent de se débattre, espérant qu'elles pourront trouver le moyen de s'échapper avant qu'il ne soit trop tard. Le défi est difficile, mais elles sont déterminées à survivre et à rester soudées.

Les ravisseurs sont furieux quand ils réalisent que Dounia, Laetitia et Aurélia ont réussi à se libérer partiellement. Ils les rattrapent rapidement et les attachent encore plus fermement, les emmenant de force dans le donjon.

Dans le donjon, les trois actrices sont attachées avec les bras en haut, bâillonnées et avec les pieds liés. La situation est devenue encore plus terrifiante pour elles, mais elles restent résolues à rester unies et à ne pas perdre espoir.

Homme masqué 1 : (d'un ton menaçant) Vous avez vraiment cru que vous pourriez nous tromper ? Maintenant, vous allez payer pour vos tentatives de fuite.

Homme masqué 2 : (regardant les femmes) Vous allez rester ici jusqu'à ce que vous appreniez à ne jamais désobéir à nos ordres.

Les actrices se regardent avec détermination, sachant que cette situation est extrêmement dangereuse. Mais elles se soutiennent mutuellement, conscientes que leur solidarité est leur seul espoir de survie.

Dounia : (calmement) Écoutez, nous ne voulons pas de problèmes. Nous ne voulons que notre liberté. Si vous nous relâchez, nous ne dirons rien à personne.

Laetitia : (suppliante) S'il vous plaît, laissez-nous partir. Nous ne chercherons pas à vous nuire.

Aurélie : (avec détermination) Nous ferons tout ce que vous voulez. Nous obéirons à vos ordres, mais nous voulons juste rentrer chez nous en sécurité.

Homme masqué 1 : (froidement) Vos supplications ne nous intéressent pas. Vous avez désobéi, et maintenant vous paierez le prix.

Homme masqué 2 : (riant) Et vous pouvez oublier toute idée d'évasion. Nous avons renforcé les liens et pris toutes les précautions pour que vous ne vous échappiez pas.

Elles comprennent qu'elles doivent être prudentes et ne pas aggraver la situation. Elles savent que toute tentative d'évasion pourrait entraîner des conséquences encore plus terribles.

Dans le donjon sombre et glacial, les actrices se serrent les unes contre les autres, se soutenant mutuellement dans cette épreuve. Leur espoir de liberté et de retour à la vie normale est plus fort que jamais, mais elles savent qu'elles doivent rester calmes et patientes jusqu'à ce qu'une nouvelle opportunité se présente.

Alors que les heures s'écoulent dans le sombre donjon, les ravisseurs remarquent un objet posé dans un coin de la pièce. Un sourire diabolique se dessine sur leur visage alors qu'ils saisissent l'objet, qui s'avère être une cravache.

Homme masqué 1 : (tenant la cravache) Eh bien, eh bien, que diriez-vous de pimenter un peu les choses ? Nous avons trouvé un moyen de vous punir pour vos tentatives d'évasion.

Homme masqué 2 : (riant) Oui, cela vous apprendra à ne pas sous-estimer notre vigilance.

Les actrices regardent la cravache avec appréhension, sachant que cela signifie que les choses vont devenir encore plus difficiles pour elles. Elles comprennent qu'elles doivent être prêtes à faire face à cette nouvelle épreuve.

Dounia : (d'une voix tremblante) Vous n'avez pas besoin de faire ça. Nous avons compris notre erreur, nous ne chercherons plus à nous échapper.

Laetitia : (suppliante) S'il vous plaît, soyez cléments. Nous sommes désolées.

Aurélie : (déterminée) Nous ferons tout ce que vous voulez, nous obéirons à vos ordres, mais épargnez-nous cette punition.

Homme masqué 1 : (ignorant leurs supplications) Trop tard pour les regrets. Vous avez désobéi, et maintenant vous devez faire face aux conséquences.

Homme masqué 2 : (avec un regard menaçant) Maintenant, approchez-vous du mur, face à l'autre côté de la pièce.

Les actrices obéissent à contrecœur, sachant qu'elles ne peuvent pas résister sans risquer des représailles encore plus sévères. Elles se tiennent près du mur, le dos tourné aux ravisseurs, les voix étouffées par les bâillons.

Homme masqué 1 : (d'un ton sinistre) Vous allez recevoir un coup chacune, pour que vous compreniez que nous ne tolérerons aucune désobéissance.

Homme masqué 2 : (tenant la cravache) Et ne pensez même pas à tenter de vous protéger, sinon les choses seront bien pires.

Elles serrent les poings, se préparant mentalement pour la punition imminente. Leurs esprits sont remplis de peur, mais aussi de détermination à rester fortes et à trouver un moyen de s'en sortir.

Les coups de cravache pleuvent sur leurs dos, faisant monter des larmes de douleur et de frustration derrière les bâillons. Elles serrent les dents, résistant à l'envie de crier, sachant que cela ne ferait qu'attirer davantage l'attention des ravisseurs.

Après la punition, elles restent silencieuses, les dos meurtris par les coups de cravache. Mais leur détermination reste intacte. Elles savent qu'elles doivent continuer à rester unies et à chercher des opportunités d'évasion, même dans les moments les plus sombres.

Homme masqué 1 : (avec un air satisfait) Cela devrait vous rappeler de ne jamais nous défier.

Homme masqué 2 : (avec un sourire sadique) Vous feriez mieux de bien vous comporter à l'avenir, sinon vous vivrez des moments encore plus douloureux.

La suite dans une cinquième partie

bdsmwinner
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Ce que j'adore : J'adore voir les femmes attachées de toutes sortes, qu'elles soient amateures ou non
J'ai un petit kif pour les actrices attachées, surtout si elles sont françaises
Ce que je déteste : Pas vraiment grand chose sauf si il y'a de la nudité abusive

Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

Message par bdsmwinner »

Partie 5 : Les Punitions

Dans la soirée, les ravisseurs décident de libérer Dounia, Laetitia et Aurélie du donjon. Les actrices, soulagées d'être libérées de cet endroit sombre et oppressant, sont cependant inquiètes quant à ce qui les attend à présent.

Homme masqué 1 : (d'un ton froid) Bien, nous allons vous amener quelque part où vous pourrez passer la nuit. Mais ne pensez pas que vous êtes libres pour autant. Nous vous surveillerons de près.

Homme masqué 2 : (avec un sourire sinistre) Oui, vous allez rester attachées pour la nuit. Et cette fois, nous allons vous emmener dans la forêt, loin de tout secours.

Les actrices sont emmenées dans la forêt, leur cœur battant la chamade à l'idée de ce qui les attend. Elles sont attachées aux arbres avec des cordes serrées, empêchant tout mouvement. Le bâillon toujours en place, elles sont incapables de parler clairement entre elles.

Les ravisseurs regardent les actrices, s'assurant qu'elles sont bien retenues.

Homme masqué 1 : (d'un ton menaçant) Vous resterez ici pour la nuit. N'essayez même pas de vous échapper ou de faire quoi que ce soit de stupide. Nous serons juste ici, à vous observer.

Homme masqué 2 : (riant) Profitez bien de votre nuit en plein air. Nous reviendrons demain pour voir si vous avez appris la leçon.

Les ravisseurs quittent la forêt, laissant les actrices seules, entravées et vulnérables. La nuit tombe, enveloppant la forêt dans l'obscurité. Dounia, Laetitia et Aurélia se soutiennent silencieusement, malgré leur incapacité à communiquer clairement.

Les heures passent lentement. La froideur de la nuit et l'inconfort de leur position entravée rendent la situation encore plus éprouvante. Les actrices essaient de se parler à travers leurs bâillons, mais leurs voix sont étouffées, rendant la communication difficile.

Dounia : (murmurant derrière son bâillon) Mmm mm hmm mm.

Laetitia : (essayant de répondre) Hmmm mm mm.

Aurélie : (suppliante) Mmm hmm mm.

Les actrices cherchent à se réconforter mutuellement, mais elles sont toutes conscientes du danger qui les entoure. La forêt est silencieuse, à l'exception des bruits de la nature, et elles se sentent vulnérables et isolées.

Dans l'obscurité de la nuit, les ravisseurs réapparaissent soudainement, se tenant devant les actrices attachées aux arbres.

Homme masqué 1 : (d'un ton menaçant) Vous avez désobéi dans le donjon, alors maintenant vous allez subir la même punition.

Homme masqué 2 : (tenant la cravache) Vous auriez dû apprendre à ne jamais nous défier.

Les actrices serrent les dents, sachant ce qui les attend. Les coups de cravache pleuvent à nouveau sur leurs dos, provoquant des gémissements de douleur étouffés par les bâillons. La nuit devient encore plus terrifiante pour elles, laissant des marques physiques et émotionnelles.

Lorsque les ravisseurs ont fini de les punir, ils quittent la forêt une fois de plus, laissant les actrices seules dans leur douleur et leur angoisse. Les larmes coulent silencieusement sur les joues des actrices, qui essaient de se soutenir mutuellement dans cette épreuve éprouvante.

Dounia, Laetitia et Aurélie, épuisées et meurtries, sont emmenées par les ravisseurs jusqu'à une sombre cave. Leur cœur se serre lorsqu'elles aperçoivent une croix et plusieurs menottes accrochées aux murs. La vue de cet équipement sinistre les terrifie, comprenant que les ravisseurs ont l'intention de leur infliger la même punition brutale que dans le donjon.

Homme masqué 1 : (d'un ton glacial) Vous avez désobéi, alors maintenant vous allez apprendre la leçon une fois de plus.

Homme masqué 2 : (sourire malicieux) Montez sur la croix et tendez vos bras, nous allons vous attacher.

Les actrices se regardent, les yeux emplis de peur et de détresse, mais elles n'ont pas d'autre choix que d'obéir pour assurer leur survie.

Dounia : (d'une voix tremblante) S'il vous plaît, épargnez-nous cette punition. Nous avons compris notre erreur.

Laetitia : (suppliante) Nous ne chercherons plus à nous échapper, nous ferons tout ce que vous voulez.

Aurélie : (déterminée) Nous avons coopéré, laissez-nous partir maintenant.

Homme masqué 1 : (ignorant leurs suppliques) Assez de paroles. Tendez vos bras et vos jambes. Nous allons vous attacher solidement.

Les actrices sont attachées aux bras de la croix avec des menottes, les empêchant de bouger. Leurs voix étouffées par les bâillons, elles sont incapables de communiquer clairement, mais leurs yeux trahissent leur terreur et leur désespoir.

Homme masqué 2 : (sourire sadique) Vous n'auriez jamais dû essayer de nous tromper. Cette punition devrait vous rappeler qui est aux commandes ici.

Les ravisseurs prennent une cravache et la font claquer dans l'air, ajoutant à l'atmosphère sinistre de la cave. Les actrices se préparent mentalement à subir à nouveau la douleur insoutenable des coups de cravache sur leur peau déjà meurtrie.

Les coups de cravache pleuvent sur leurs dos, provoquant des cris étouffés par les bâillons et des larmes silencieuses de douleur. Les ravisseurs ne montrent aucune pitié, prolongeant leur punition pour les faire souffrir davantage.

Laetitia : (gémissant derrière son bâillon) Mmm mm mm...

Aurélie : (essayant de retenir ses larmes) Mmm hmmm...

Dounia : (luttant pour respirer) Mmm mm hmmm...

Les actrices endurent la douleur avec courage, s'accrochant à l'espoir que cette épreuve finira un jour et qu'elles retrouveront leur liberté.

Homme masqué 1 : (arrêtant la punition) Vous voyez, désobéir ne fait qu'aggraver les choses. Vous êtes à notre merci, et vous n'avez pas d'autre choix que de nous obéir.

Homme masqué 2 : (avec un sourire satisfait) Vous allez rester ici pour la nuit. Demain, nous reviendrons pour voir si vous avez enfin compris.

Les ravisseurs quittent la cave, laissant les actrices toujours attachées à la croix, leurs corps endoloris et leurs esprits brisés par cette nouvelle épreuve.

La nuit dans la cave est longue et cauchemardesque. Les actrices essaient de se réconforter mutuellement, malgré leur douleur et leur incapacité à communiquer clairement. Elles se soutiennent dans cette épreuve, sachant que leur solidarité est leur seul espoir de survie.

L'aube finit par se lever, apportant un peu de lumière dans la sombre cave. Les ravisseurs réapparaissent, prêts à infliger de nouvelles souffrances aux actrices qui ont osé les défier.

Après ces deux jours éprouvants de punition, les ravisseurs emmènent les actrices de retour dans leur cellule. Toutes les trois sont épuisées physiquement et mentalement, sont impuissantes face à leurs geôliers. Les cordes solidement attachées autour de leurs poignets et chevilles les empêchent de se libérer, et les bâillons étouffent toujours leurs voix.

Homme masqué 1 : (d'un ton dur) Vous avez eu droit à votre leçon. Maintenant, vous allez rester ici jusqu'à ce que nous en décidions autrement.

Homme masqué 2 : (avec un sourire sinistre) On vous surveillera de près. N'essayez même pas de faire quoi que ce soit de stupide.

Les actrices sont poussées à l'intérieur de leur cellule sombre, et les ravisseurs ferment la porte derrière elles, les laissant dans l'obscurité. Leurs corps endoloris se laissent tomber sur le sol dur et froid de la cellule, tandis que leur esprit est empli de peur et d'incertitude.

Dounia : (d'une voix étouffée) Mmm mm hmmm...

Laetitia : (les larmes aux yeux) Hmmm mm mm...

Aurélie : (déterminée) Mmm mm mm...

Les actrices essaient de se réconforter mutuellement malgré leur douleur et leur impuissance. Elles comprennent que leur seule option est de rester calmes, de se soutenir les unes les autres et d'attendre une opportunité pour s'échapper.

Les heures s'écoulent lentement dans la cellule lugubre. Les ravisseurs continuent de les surveiller étroitement, rendant toute tentative d'évasion presque impossible. Les actrices savent qu'elles doivent être patientes et attendre le bon moment.

La suite dans une dernière partie

bdsmwinner
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Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

Message par bdsmwinner »

Partie 6 : Leur Liberté et le syndrome de Stockholm

Après une semaine de captivité épuisante et traumatisante, les ravisseurs semblent avoir pris une décision inattendue. Ils entrent dans la cellule, cette fois sans masques, et les actrices peuvent enfin apercevoir leurs visages. Un mélange de peur et d'espoir envahit les actrices, ne sachant pas à quoi s'attendre.

Homme masqué 1 : (d'un ton hésitant) Nous avons pris notre décision. Vous êtes libres de partir maintenant.

Homme masqué 2 : (d'une voix grave) Vous avez appris votre leçon, n'est-ce pas ? Vous ne devriez pas essayer de nous trahir ou de nous dénoncer.

Dounia, Laetitia et Aurélia sont surprises par cette soudaine libération, mais leur état émotionnel est complexe. D'une part, elles sont soulagées d'être enfin libres, mais d'autre part, elles ont développé une forme de syndrome de Stockholm pendant leur captivité. Elles ressentent une étrange empathie envers leurs ravisseurs, ce qui les perturbe profondément.

Dounia : (hésitante) Nous... nous pouvons partir ?

Laetitia : (confuse) Mais pourquoi nous libérer maintenant ?

Aurélie : (les yeux baissés) Peut-être qu'ils ont vu que nous ne chercherons pas à les dénoncer...

Les ravisseurs ne donnent aucune explication supplémentaire et les actrices comprennent que ce serait inutile de poser davantage de questions. Cependant, au fond d'elles-mêmes, elles se sentent troublées par leur réaction face à leur libération. Le syndrome de Stockholm, qui est un phénomène psychologique où les victimes développent une sorte de sympathie ou de lien émotionnel avec leurs ravisseurs, les hante.

Après un moment de silence, Dounia, Laetitia et Aurélie se lèvent prudemment, encore fragilisées par leur captivité. Alors qu'elles sortent de la cellule et retrouvent enfin la lumière du jour, elles ressentent un mélange d'émotions contradictoires. La liberté a un goût amer pour elles.

Elles font le choix de garder le silence sur leur captivité et de ne pas raconter les détails de cette terrifiante expérience. Leur syndrome de Stockholm les pousse à protéger leurs ravisseurs, même si elles sont conscientes que c'est irrationnel.

Une fois libres, elles décident de se séparer et de retourner à leurs vies respectives, reprenant leur carrière d'actrice avec un poids lourd sur leurs épaules. Malgré leurs sourires en public, elles portent en elles des cicatrices invisibles qui rappellent chaque jour cette épreuve traumatisante.

Elles sont toutes les trois déterminées à se reconstruire et à surmonter cette terrible expérience. Elles trouvent du soutien les unes auprès des autres, partageant un lien unique forgé dans les moments les plus sombres de leur captivité.

Leur histoire reste cachée dans l'ombre, et elles décident de ne pas raconter leur captivité, gardant pour elles le fardeau de leur syndrome de Stockholm. Elles trouvent la force de continuer, avec l'espoir que le temps finira par guérir leurs blessures intérieures.

Dans le silence de leur cœur, elles se promettent de ne jamais oublier cette épreuve et de faire de leur mieux pour transformer cette terrible expérience en une force pour apprécier la vie, la liberté et l'amitié qui les lie à jamais.

J'espère que cette longue histoire vous a plu. :) :)

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Mad Hatter
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Re: Histoire de fiction entre deux actrices connues qui se font kidnapper

Message par Mad Hatter »

En ce moment je ne suis pas particulièrement en forme. Ensuite le côté tourmenteur n'est pas trop. Le récit à un format pièce de théâtre dans les premiers chapitres.
Les émotions des personnages sont beaucoup moins poignant. Entre Bande dessiné et romans il y a des avantages et des défauts. Comme c'est si bien raconter dans A la poursuite de la carbonite - LGE07 À la B.D le visuel et l'impressionant ; aux romans la psychologie et la complexité. ;)
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

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