Le salon photo ou les découvertes

[Mars34230]

Je me présente, je me nomme Calliopé, je suis une femme âgée de 35 ans. Mon prénom vient du nom grec de la muse de la beauté et de la poésie. Mes parents, tous les deux professeurs de lettres à l’Université m’ont raconté qu’ils m’ont nommée ainsi en raison de ma beauté à venir mais aussi de leur passion commune pour les lettres. Pour la beauté, par chance les Dieux de l’Olympe se sont penchés sur mon berceau : une longue chevelure blonde aussi dorée que les blés qu’Aphrodite elle-même en serait jalouse, des yeux bleus envoûtants, électrisants, un aimant dans le regard qui fait craquer les hommes, une silhouette fine, tel un mannequin et une taille d’un mètre soixante-quinze qui fait de moi une candidate pour tous ces concours de beauté que je trouve gnian-gnian, je préfère passer de l’autre côté de la caméra ou de l’appareil photo, capter les instants, figer le temps…



Après avoir obtenu des diplômes de photographe professionnelle, j’ai ouvert mon salon photo, et j’ai aussi monté ma petite entreprise en organisant des mariages, des baptêmes mais aussi des shootings photos avec des mannequins hommes ou femmes qui veulent débuter dans la mode. Je jouis d’une bonne presse et en général ceux qui viennent à mon laboratoire photo, ceux dont je capture l’âme en images, me recommandent et cela me constitue une petite renommée dans le métier. J’ai même embauché une assistante et apprentie, Ariane, âgée de 28 ans, elle mesure un mètre soixante, cheveux bruns coiffés au carré, des yeux émeraudes et une silhouette assez élancée, sa passion après la photographie est la natation.



Après cette petite introduction, voici l’histoire que je vais vous raconter. Après presque deux ans de collaboration avec mon assistante, Ariane approche de son diplôme pour devenir elle aussi photographe et attend ses résultats sous peu…C’est un soir d’été, pour une fois depuis pas mal de mois, que je profite d’une semaine de congés, Ariane gère les prises de rendez-vous et le courrier à l’agence dans l’attente donc de ses résultats… De mon côté, je décidais donc, lors d’une paisible journée juste avant le week-end, le jour où les résultats de mon apprentie devaient arriver, avant de reprendre le travail le lundi suivant, d’aller me faire une petite virée shopping.



J’enchaîne les magasins, je m’achète des escarpins rouges et une autre paire noire, dans une autre boutique je me fais plaisir à m’acheter des petits chemisiers en soie de différentes couleurs : bleu ciel, noir, blanc, rose et jaune et quelques ensembles de lingerie… Je vais dans une autre boutique où je craque pour une jupe en cuir noire et une robe vintage style rockabilly … Cherchant constamment de nouvelles idées, je me suis depuis peu, lors de mes soirées, seule à la maison (le célibat ça a du bon et résister aux hommes est un jeu qui ne me déplait absolument pas…), je me suis documentée sur les modèles attachés, bâillonnés, les yeux bandés, réduits à l’impuissance… Je me suis découvert une curiosité vis-à-vis du bondage ! Je terminerais donc ma journée par un détour, comme dernière boutique, dans un sex-shop afin d’acheter quelques tours de cordes, de tape, des bâillons-boules de différentes tailles, des foulards, bandeaux pour les yeux, et, juste pour le plaisir, une tenue de soubrette sexy … J’aime jouer aussi avec les déguisements, c’est mon plaisir coupable de petite fille…

Une fois ma virée shopping terminée, avec presque 400 euros de dépensés, j’appelle ma belle Ariane et lui propose une petite soirée filles avec un petit restaurant et une petite soirée au studio où je lui montrerai mes différents achats de la journée …. On s’est chacune donnée rendez-vous à 19h30 à l’Esquisse, un petit restaurant en face du studio. J’ai pris soin de stocker avant le rendez-vous mes achats dans mon bureau, gardant secrets dans un placard les achats du sex-shop, je n’ai pas envie d’être découverte et mise à nu par Ariane … Notre petit restaurant permet à mon assistante de m’annoncer sa réussite et l’obtention de son diplôme, qu’elle aimerait qu’on entame une collaboration et développer notre marque, elle propose de renommer notre entreprise photo : « Les Muses Grecques », ce qui n’est pas pour me déplaire …



Une fois parties du restaurant, on arrive au studio et là, Ariane regarde mes paquets avec attention, silencieuse… Elle ouvre le placard et trouve la fameuse boîte « interdite » … Après l’avoir vue esquisser un petit sourire, elle s’approche de moi et me dit :

« Bien ma chère muse, ma chère amie

J’ai eu une idée en regardant tes paquets, pourquoi, pour une fois, je ne serais pas la photographe et toi la modèle, tu pourrais faire un book avec tes nouvelles tenues achetées ce jour … »

J’accepte l’idée et je me laisse facilement prendre au jeu de jouer un peu le mannequin, chaque tenue y passe, y compris la lingerie… C’est soudain qu’Ariane apporte ma boîte secrète et elle ricane en disant :

« Ces achats là aussi font partie du jeu, tu voulais les cacher mais on va s’en servir, aller va te changer et enfiler la tenue de soubrette ! »

J’ai honte mais, prise dans l’élan et le jeu, j’accepte … Je revêts donc la tenue de soubrette et coiffant ma magnifique chevelure en deux couettes de chaque côté. Une fois revenue dans le studio, sous les projecteurs et face à l’objectif, ma désormais collaboratrice s’approche de moi avec plusieurs cordes en main, sans dire un mot, elle me prend les poignets, me les attache dans le dos, et fais la même opération avec mes coudes… Ensuite, autour de ma poitrine, elle fait passer un harnais de cordes en forme de cœur auquel elle relie mes bras prisonniers dans le dos, ce qui fait que mon haut du corps est solidement fixé ….

Elle me lie les chevilles ensemble et attache plusieurs tours de cordes sur les tibias, en dessous et au-dessus de mes genoux, solidement attachée, je ne peux plus bouger, elle rajoute une corde passant sur mon sexe, ma culotte en devient toute humide, j’ai perdu mon innocence … Elle s’approche de moi avec le bâillon-boule le plus grand et je tente de résister, devant ma tentative elle dit :

« Ce n’est qu’une question de secondes avant que tu sois silencieuse … Abandonne, désormais c’est moi qui contrôle ! Et puis, je sais tout, j’ai regardé ton ordinateur pendant tes congés et j’ai vu ce dossier que tu nommes « PRIVE » … Tu veux explorer la magie des liens en photo, et je sais que tu as une attirance particulière pour le bondage vintage, il y a beaucoup de Dita Von Teese et de Betty Page dans un sous-dossier … Tu seras la première modèle à expérimenter ça, ma chère collaboratrice … »

Elle a raison, je suis démasquée, j’abandonne ma résistance et me résigne à me faire bâillonner … Elle m’allonge enfin sur le sol et relie mes chevilles en plusieurs petits liens à mes poignets, mes coudes et au harnais, elle me bande les yeux avec un foulard noir et prend plusieurs photos de moi, impuissante, montrant le hogtie, le harnais, l’immense boule du bâillon…



Une fois le shooting terminé, elle s’approche de moi et me murmure à l’oreille :

« Bien ma jolie Calliopé,

Tu as été mon mentor, ma formatrice maintenant te voici à la fois ma collaboratrice et ma soumise !

Je ne veux pas être ta supérieure sur le plan professionnel, j’ai encore besoin de ton apprentissage … Mais dès ce soir, en dehors du travail, tu seras ma prisonnière, attachée par différents liens, réduite au silence par mille bâillons et ma petite soubrette que je paierai pour venir faire la bonniche chez moi ….. On jouera avec les costumes puisque tu aimes ça mais j’ai découvert ton point faible et désormais, tu m’appartiens ma petite salope ! »

Je gigote frénétiquement dans mes liens, grommelant derrière mon infâme bâillon, qui s’humidifie de mes filets de bave qui dégoulinent … Je sens ses lèvres m’embrasser sur l’immense boule, me mettre une gifle au passage pour ma rébellion et sa voix autoritaire me dire :

« Tu apprendras à obéir petite conne ! En attendant pour ce soir, tu vas dormir ainsi attachée dans ce studio, je vais éteindre les lumières et fermer à clé, je te détacherai demain matin et on discutera de notre future collaboration professionnelle mais aussi de notre avenir en tant que Maîtresse Ariane et toi, ma soumise ! »

J’entends les lumières s’éteindre, la porte se verrouiller … Je tente une nouvelle fois de me débattre mais chaque lien est si bien placé, si serré que ma lutte est vaine … Je suis condamnée à demeurer immpuissante jusqu’au retour de ma nouvelle maîtresse… Je suis prise au piège du fil d’Ariane ….

[Crazycoyote]

Et bien, un début plus que prometteur... Vivement la suite. Bravo.

[lapeyrouse31]

joli récit

[Mars34230]

Voici la suite

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Il est tôt ce matin, je n’ai plus aucune notion du temps ni des heures passées ainsi saucissonnée dans ce studio…. J’ai fini par abandonner toute lutte par fatigue et à m’endormir jusqu’à ce réveil, où chaque mouvement, chaque tension des cordes surélevait ma poitrine et les filets de bave qui découlaient de cet infâme bâillon, ce harnais sur mon visage et mes yeux bandés, j’attends désormais, transpirante, le retour de ma belle Ariane …

J’entends soudain le cliquetis de la serrure et la porte du studio s’ouvrir, je me tortille de plus belle comme pour supplier d’être libérée après une nuit complète dans les liens… j’entends le son d’escarpins s’approcher de moi, une main gantée me relever le menton et une douce voix, à la fois sensuelle mais aussi emprise de confiance me murmurer à l’oreille :

« Ma jolie Calliopé,

Tu es si magnifique ainsi prisonnière mais bon, même si j’aime t’admirer en tant que soumise, on a quand même beaucoup de travail et de rendez-vous aujourd’hui….je vais te libérer et va te doucher et te changer pour une tenue plus professionnelle… ce soir tu seras mienne ! »

C’est Ariane, sa voix si apaisante me rassure sur mon sort mais l’idée de la soumission ne m’enchante pas plus que ça mais je vais devoir trouver une solution pour que mon assistante et associée ne soit plus une menace …. Je vais donc dans le petit appartement derrière le studio, notre « vestiaire » pour me doucher, quel plaisir et enfiler un pantalon de cuir noir avec un top sans manches rouges…. Je coiffe mes cheveux avec une queue de cheval et me maquille pour effacer les traces de ma dure nuit…

Des shootings de mariage, de belly painting, de mannequins pour des magazines, la journée est bien remplie …. Environ une heure avant la fermeture de l’agence, je demande à Ariane de me montrer les photos prises la veille, mon premier shoot en tant que mannequin…. Les tenues achetées me vont à ravir mais je ne peux m’empêcher de rougir de honte face aux clichés de la petite soubrette réduite à l’impuissance ultime ….

Je donne mon avis sur le travail de mon associée et je lui propose qu’on discute de cette histoire de soumission ! Je n’ai pas donné mon accord et je souhaite mettre en place des shootings photos de bondage en effet, mais je ne veux pas finir continuellement dans les liens, je soulève donc l’idée que les jeux de liens seront désormais à tour de rôle et que pour ce soir, c’est à son tour de tenter l’expérience…

Ariane accepte l’idée mais n’est pas enchantée de ne pas être la dominante…. Cependant elle veut bien se prendre au jeu… elle va enfiler une tenue de policière et se présente face à moi…. Je lui dis :

« Ma belle Ariane,

Tu fais une magnifique policière mais ce soir tu n’arrêteras personne ! Prépare toi à être ma prisonnière à ton tour ! »

Je ricane doucement et commence à attacher les mains et les coudes dans le dos de mon assistante, je lui attache la poitrine en formant un huit autour de ses seins…. Je lui impose ensuite un crotchrope. Je lui ôte sa culotte déjà humide sous sa jupe de policière et Je la mets à genoux …. Je lui attache ensuite les cuisses et les mollets ensemble dans un frogtie très serré…. Pour achever le tableau, je lui insère dans la bouche sa culotte bien trempée et je la bâillonne avec plusieurs tours de tape !

Elle tente de se débattre mais aucun lien ne bouge… je prends quelques photos d’elle restreinte et je la laisse là dans le studio quelques heures après la fermeture …. Je reviens aux alentours de 22 heures et je lui murmure à l’oreille :

« Le fil d’Ariane m’a tenu prisonnière toute une nuit mais ton corps ainsi attaché est un synonyme à la fois de beauté et de poésie… chaque lien raconte une histoire et la nôtre sera écrite au travers des liens …. Bonne nuit Ariane ! »

À cet instant, je lui bande les yeux et m’éclipse pour la nuit dans notre petit « vestiaire », de cet appartement je garde un oeil sur mon assistante…. Je tiens ma revanche mais surtout la soumission n’est plus une option… que nous réserve la suite de nos aventures ? Seuls les dieux de l’Olympe le savent …..

[Red Sonja]

perso j'adore

[Mad Hatter]

Calliopé a bien raison de ne pas se laisser faire.