flagrant délit
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
flagrant délit
quand on est dans la brigade financière, on ne sort pas son arme souvent. La délinquance elle est en col blanc et en costume cravate. Aucun risque de prendre une balle perdue dans une ruelle sordide.
C'est sans doute à quoi pensa Anne-Lise au moment de sortir de sa voiture. Elle était lieutenant de police dans la brigade financière, cette grande brune elancée passait beaucoup de temps dans la paperasse et donc dans les bureaux que sur le terrain mais cela lui convenait plutôt bien.
Tout le contraire de sa co-équipière Orlane, grande blonde au visage dur mais néanmoins charmant, muté dans ce service pour manquement répété à la discipline. Pourtant le courant passait plutôt bien entre les deux filles devant il est vrai cohabiter pour ne pas que ce devienne invivable.
Elles sortirent donc de la voiture en même temps mais dans une tenue bien différente.
Alors que Anne-Lise avait choisi un tailleur assez strict mais sexy avec des talons aiguilles, Orlane elle était habillée comme un flic, blouson de cuir, débardeur jean mais des bottines à talons un peu plus épais trahissait son appartenance au sexe faible.
Il est vrai que pour arrêter des délinquants financiers un tailleur et des talons aiguilles n'était pas un obstacle tant la résistance de l'interpellé était nulle.
C'est donc relativement decontractées qu'elle arrivèrent devant la porte de l'appartement d'un immeuble assez cossu.
Anne-Lise frappa discrètement et attendit une réponse.
La porte s'ouvrit sur un homme d'une quarantaine d'années, bien bâti et habillé avec des vetements de luxe.
"Bonjour monsieur, pouvons nous entrer? Anne-Lise Potain Lieutenant de police à la brigade financière. Nous avons quelques questions à vous poser." dit simplement la brune sûre d'elle brandissant son insigne devant l'homme très surpris.
"La brigade financière? Mais pourquoi? Je ne comprends pas? Expliquez moi? s'affola l'homme.
"Bien sur monsieur, continua Anne-Lise, je vous présente l'officier Orlane Baquère, nous allons vous demander de nous suivre afin d'évoquer votre rôle dans l'affaire Motaz où votre nom apparait dans quelques versements d'argent."
Il blémit soudainement, semblant prendre conscience de tout.
"Me permettrez vous de prendre quelques affaires?" commenta t'il sobrement.
"Mais bien sur" lui répondit le lieutenant.
L'homme prit le chemin de son bureau face aux deux jeunes femmes, il mit sa chevalière à sa main droite, enfila sa veste et ouvrit le tiroir de son bureau.
En un instant, il sortit un Glock 17 et le pointa en direction des deux officiers.
Orlane esquissa un geste mais l'homme lui conseilla de renoncer à cette idée d'une inclinaison de la tête.
"Mesdemoiselles, veuillez me confier vos armes de service je vous prie faites les glisser sur le sol doucement." dit simplement le financier.
elles s'executèrent tout en faisant la moue, vexées d'avoir été roulées dans la farine.
"Sortez vos menottes, je sais que vous en avez chacun une paire" continua t'il.
"Vous n'allez pas faire ça, lui rétorqua Anne-Lise, cela va vous coûter cher!"
"Allez!" lui répondit l'homme d'un geste de son arme.
Anne-Lise et Orlane jettèrent toutes deux leurs menottes au pied de leur coupable.
"je vous prierais à présent de vous deshabiller, je ne veux pas risquer le diable, vous avez souvent des armes cachées!" dit il laconiquement.
Les deux trentenaires se regardèrent, effarées. "Vous plaisantez ou quoi? Filez pendant qu'il en est encore temps! prevena Orlane passablement enervée.
"Pas question!" lui asséna l'homme. "A poil! et tout de suite!" insista t'il
Anne-Lise ouvrit le bal et ota sa veste ainsi que sa jupe de tailleur, elle se retrouva en soutien gorge, culotte, bas noirs et talons aiguilles.
"Pas mal, dit il, vous avez un budget lingerie à la brigade financière ou quoi? Tu peux garder ce que tu as sur toi, ça ira"
Orlane hésita avant d'enlever difficilement son jean ainsi que son débardeur.
"Toi tes fringues et tes sous-vêtements sont moches, tu va te mettre complètement à poil et vite!" continua t'il sur un ton plus menaçant.
La blonde ne discuta pas et se mit entièrement nue, très gênée. elle se mordait les lèvres pour ne pas lacher la moindre émotion. Orlane dissimulait tant qu'elle pouvait son intimité avec ses mains.
Il poussa du pied une paire de menottes en direction d'Anne-Lise.
"Tiens, attache ta copine avec ça" lui indiqua t'il.
Humiliée, le lieutenant ne pouvait qu'obéir et elle referma les bracelets métalliques sur les poignets d'Orlane ne pouvant à présent plus rien cacher du tout de son corps très attirant malgré quelques bourrelets.
"Attention, dit-il, a ton tour! Mais pas de mauvaises surprises! ou c'est le tir aux canards! compris?"
Elle hocha la tête se tournant pour lui permettre de la menotter. Il enjoigna ensuite les deux jeunes femmes à s'asseoir sur les chaises de bureau prévues à cet effet.
"Maintenant que vous êtes revenues à la raison, nous allons papoter un peu si vous le voulez bien. Il me semble cohérent de ne pas accéder à votre invitation dans les locaux de la police, je vais donc prendre congé de vous et de la police française mais avant je voudrais bien m'amuser avec vous." leur asséna t'il froidement.
"s'amuser?" dit Anne-Lise sans comprendre.
"oui s'amuser, continua t'il tout en prenant son ordinateur portable qu'il alluma pour montrer quelques photos bien intéressantes, vous voyez cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu de cobayes pour mes expériences, je pense que vous êtes les modèles parfaits pour cela."
Il faut expliquer que les photos en question montrait des jeunes femmes attachées baillonnées dans des situations extrêment humiliantes.
Le doute n'étant plus permis, Anne-Lise et Orlane hurlèrent de concert. De toutes leurs forces. Mais l'homme ne bougea pas.
Ce qui fit stopper les deux jeunes femmes intriguées.
"Merci de cette démonstration mesdemoiselles mais cet appartement qui coûte très cher est entièrement insonorisé. Vous pensez bien que vous n'êtes pas les premières mais apparement les dernières puisque la police me cherche. C'est pourquoi je vais particulièrement bien prendre soin de vous..." dit doucement l'homme.
Anne-Lise ouvrit fébrilement la bouche: "Mais enfin, vous n'allez pas faire cela? Je vous en prie! Reflechissez"
Orlane fut moins diplomate " salopard, tu nous le paieras! De toute façon, une unité va venir à notre secours si nous ne donnons pas de nouvelles!"
Cela me surprendrait puisque le lieutenant est dans ses murs et que c'est le chef d'équipe...
A cette nouvelle, Anne-Lise baissa la tête. Elle savait qu'il avait raison. Orlane serra les dents de rage.
il prit une clef dans sa poche et ouvrit un vieux coffre présent dans la pièce et servant uniquement de décoration. Mais il renfermait aussi le secret de ce chef d'entreprise.
Tout un arsenal de tortures pour mettre à mal les deux officiers de police tremblantes de peur.
C'est sans doute à quoi pensa Anne-Lise au moment de sortir de sa voiture. Elle était lieutenant de police dans la brigade financière, cette grande brune elancée passait beaucoup de temps dans la paperasse et donc dans les bureaux que sur le terrain mais cela lui convenait plutôt bien.
Tout le contraire de sa co-équipière Orlane, grande blonde au visage dur mais néanmoins charmant, muté dans ce service pour manquement répété à la discipline. Pourtant le courant passait plutôt bien entre les deux filles devant il est vrai cohabiter pour ne pas que ce devienne invivable.
Elles sortirent donc de la voiture en même temps mais dans une tenue bien différente.
Alors que Anne-Lise avait choisi un tailleur assez strict mais sexy avec des talons aiguilles, Orlane elle était habillée comme un flic, blouson de cuir, débardeur jean mais des bottines à talons un peu plus épais trahissait son appartenance au sexe faible.
Il est vrai que pour arrêter des délinquants financiers un tailleur et des talons aiguilles n'était pas un obstacle tant la résistance de l'interpellé était nulle.
C'est donc relativement decontractées qu'elle arrivèrent devant la porte de l'appartement d'un immeuble assez cossu.
Anne-Lise frappa discrètement et attendit une réponse.
La porte s'ouvrit sur un homme d'une quarantaine d'années, bien bâti et habillé avec des vetements de luxe.
"Bonjour monsieur, pouvons nous entrer? Anne-Lise Potain Lieutenant de police à la brigade financière. Nous avons quelques questions à vous poser." dit simplement la brune sûre d'elle brandissant son insigne devant l'homme très surpris.
"La brigade financière? Mais pourquoi? Je ne comprends pas? Expliquez moi? s'affola l'homme.
"Bien sur monsieur, continua Anne-Lise, je vous présente l'officier Orlane Baquère, nous allons vous demander de nous suivre afin d'évoquer votre rôle dans l'affaire Motaz où votre nom apparait dans quelques versements d'argent."
Il blémit soudainement, semblant prendre conscience de tout.
"Me permettrez vous de prendre quelques affaires?" commenta t'il sobrement.
"Mais bien sur" lui répondit le lieutenant.
L'homme prit le chemin de son bureau face aux deux jeunes femmes, il mit sa chevalière à sa main droite, enfila sa veste et ouvrit le tiroir de son bureau.
En un instant, il sortit un Glock 17 et le pointa en direction des deux officiers.
Orlane esquissa un geste mais l'homme lui conseilla de renoncer à cette idée d'une inclinaison de la tête.
"Mesdemoiselles, veuillez me confier vos armes de service je vous prie faites les glisser sur le sol doucement." dit simplement le financier.
elles s'executèrent tout en faisant la moue, vexées d'avoir été roulées dans la farine.
"Sortez vos menottes, je sais que vous en avez chacun une paire" continua t'il.
"Vous n'allez pas faire ça, lui rétorqua Anne-Lise, cela va vous coûter cher!"
"Allez!" lui répondit l'homme d'un geste de son arme.
Anne-Lise et Orlane jettèrent toutes deux leurs menottes au pied de leur coupable.
"je vous prierais à présent de vous deshabiller, je ne veux pas risquer le diable, vous avez souvent des armes cachées!" dit il laconiquement.
Les deux trentenaires se regardèrent, effarées. "Vous plaisantez ou quoi? Filez pendant qu'il en est encore temps! prevena Orlane passablement enervée.
"Pas question!" lui asséna l'homme. "A poil! et tout de suite!" insista t'il
Anne-Lise ouvrit le bal et ota sa veste ainsi que sa jupe de tailleur, elle se retrouva en soutien gorge, culotte, bas noirs et talons aiguilles.
"Pas mal, dit il, vous avez un budget lingerie à la brigade financière ou quoi? Tu peux garder ce que tu as sur toi, ça ira"
Orlane hésita avant d'enlever difficilement son jean ainsi que son débardeur.
"Toi tes fringues et tes sous-vêtements sont moches, tu va te mettre complètement à poil et vite!" continua t'il sur un ton plus menaçant.
La blonde ne discuta pas et se mit entièrement nue, très gênée. elle se mordait les lèvres pour ne pas lacher la moindre émotion. Orlane dissimulait tant qu'elle pouvait son intimité avec ses mains.
Il poussa du pied une paire de menottes en direction d'Anne-Lise.
"Tiens, attache ta copine avec ça" lui indiqua t'il.
Humiliée, le lieutenant ne pouvait qu'obéir et elle referma les bracelets métalliques sur les poignets d'Orlane ne pouvant à présent plus rien cacher du tout de son corps très attirant malgré quelques bourrelets.
"Attention, dit-il, a ton tour! Mais pas de mauvaises surprises! ou c'est le tir aux canards! compris?"
Elle hocha la tête se tournant pour lui permettre de la menotter. Il enjoigna ensuite les deux jeunes femmes à s'asseoir sur les chaises de bureau prévues à cet effet.
"Maintenant que vous êtes revenues à la raison, nous allons papoter un peu si vous le voulez bien. Il me semble cohérent de ne pas accéder à votre invitation dans les locaux de la police, je vais donc prendre congé de vous et de la police française mais avant je voudrais bien m'amuser avec vous." leur asséna t'il froidement.
"s'amuser?" dit Anne-Lise sans comprendre.
"oui s'amuser, continua t'il tout en prenant son ordinateur portable qu'il alluma pour montrer quelques photos bien intéressantes, vous voyez cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu de cobayes pour mes expériences, je pense que vous êtes les modèles parfaits pour cela."
Il faut expliquer que les photos en question montrait des jeunes femmes attachées baillonnées dans des situations extrêment humiliantes.
Le doute n'étant plus permis, Anne-Lise et Orlane hurlèrent de concert. De toutes leurs forces. Mais l'homme ne bougea pas.
Ce qui fit stopper les deux jeunes femmes intriguées.
"Merci de cette démonstration mesdemoiselles mais cet appartement qui coûte très cher est entièrement insonorisé. Vous pensez bien que vous n'êtes pas les premières mais apparement les dernières puisque la police me cherche. C'est pourquoi je vais particulièrement bien prendre soin de vous..." dit doucement l'homme.
Anne-Lise ouvrit fébrilement la bouche: "Mais enfin, vous n'allez pas faire cela? Je vous en prie! Reflechissez"
Orlane fut moins diplomate " salopard, tu nous le paieras! De toute façon, une unité va venir à notre secours si nous ne donnons pas de nouvelles!"
Cela me surprendrait puisque le lieutenant est dans ses murs et que c'est le chef d'équipe...
A cette nouvelle, Anne-Lise baissa la tête. Elle savait qu'il avait raison. Orlane serra les dents de rage.
il prit une clef dans sa poche et ouvrit un vieux coffre présent dans la pièce et servant uniquement de décoration. Mais il renfermait aussi le secret de ce chef d'entreprise.
Tout un arsenal de tortures pour mettre à mal les deux officiers de police tremblantes de peur.
Re: flagrant délit
Une histoire de ligotage liée à la brigade financière ! C'est original ça 
En plus, l'histoire est bien écrite et se lit facilement
Juste une toute petite remarque :
Mais lorsqu'une cheffe d'équipe, et une de ses collègue en plus, sont portées disparues, ça m'étonnerait fortement que la police ne lance pas de recherche parceque la cheffe d'équipe n'est plus là pour signer les papiers

En plus, l'histoire est bien écrite et se lit facilement

Juste une toute petite remarque :
Je ne suis pas policier. Il faudrait demander à Grognar, puisqu'il est policier lui." salopard, tu nous le paieras! De toute façon, une unité va venir à notre secours si nous ne donnons pas de nouvelles!"
Cela me surprendrait puisque le lieutenant est dans ses murs et que c'est le chef d'équipe...
A cette nouvelle, Anne-Lise baissa la tête. Elle savait qu'il avait raison. Orlane serra les dents de rage.
Mais lorsqu'une cheffe d'équipe, et une de ses collègue en plus, sont portées disparues, ça m'étonnerait fortement que la police ne lance pas de recherche parceque la cheffe d'équipe n'est plus là pour signer les papiers

- voldenuit
- Accro à JdL
- Messages : 498
- Inscription : 28 déc. 2012, 15:49
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : le ligotage dans toutes positions , par tous les moyens, et uniquement ça .
- Ce que je déteste : la vulgarité
Re: flagrant délit
on va poas non plus se compliquer la vie avec des détails ... ç'est très original . bravo
Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...
Re: flagrant délit
Je n'ai pas dit que l'action se situait a Paris. Tout peut se passer dans une petite ville et dans un petit service.
- Sayanel
- Passionné(e) de JdL
- Messages : 267
- Inscription : 15 nov. 2012, 11:14
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Utiliser les cordes comme une méditation, pour trouver une réponse , la femme idéale.
- Ce que je déteste : La vulgarité
Re: flagrant délit
Merci pour cette histoire ...je redoute le pire pour la suite que je souhaite connaitre 

L'amour consiste à ouvrir des portes et des fenêtres, pas à bâtir des prisons.
Jylhano.kabook.fr
Jylhano.kabook.fr
Re: flagrant délit
C'est pas une excuse. Dans ce cas, ils vont se rendre compte encore plus vite qu'elle manque à l'appelJe n'ai pas dit que l'action se situait a Paris. Tout peut se passer dans une petite ville et dans un petit service.

Re: flagrant délit
Anne-Lise et Orlane n'en menaient pas large, evidemment elles ne s'etaient jamais retrouvees dans une telle situation. Orlane, la plus sanguine des deux fulminait ainsi devetue. La honte avait empourpree son visage.
L'homme, de son cote, terminait l'inventaire d'un coffre apparemment bien rempli. A la vue de certains objets, les deux filles frissonnerent.
"Bon par laquelle des deux je commence?"Interrogea l'homme.
Les deux policieres baisserent la tete, priant qu'il ne mette pas ses menaces a execution.
"Bon je vais prendre la plus rebelle des deux!"Dit-il en se levant.
Il prit par le bras Orlane qui tenta bien d'empecher le suspect de realiser ses projets.
Peine perdue puisqu'il serrait tres fort le bras de la blonde qu'il accompagna jusqu'a la table du salon. Il bascula l'officier sur celle-ci.
"Non, marmonna t'elle, non" Elle restait fiere malgre cette situation inextricable.
Orlane tentait bien de resister en gigotant comme elle le pouvait.
Un moment dont profitait Anne-Lise pour tenter de fausser compagnie a son agresseur. L'homme la ramena a la raison en la menottant au radiateur. Il rejoigna ensuite Orlane qui elle aussi avait déjà tente de desendre de la table malgre ses mains entravees.
"Alors voilà Orlane, lui annonca t'il, j'ai remarque que tu etais la plus grande gueule des deux donc je vais t'en faire baver un peu plus que ta copine"
"Connard,lui repondit-elle, tu vas nous le payer je te le jure!"
"Et en plus, tu es grossiere? On va voir ca!"
Il prit les poignets d'Orlane et les ficela soigneusement dans son dos. Il les fixa ensuite a son buste avec une autre corde. On lui ota ensuite les menottes.
"Alors? Tu n'est pas mieux comme ca?" Interrogea l'homme.
Orlane ne repondit rien cette fois-ci, se contenant de maugreer, nue sur cette table.
L'homme, de son cote, terminait l'inventaire d'un coffre apparemment bien rempli. A la vue de certains objets, les deux filles frissonnerent.
"Bon par laquelle des deux je commence?"Interrogea l'homme.
Les deux policieres baisserent la tete, priant qu'il ne mette pas ses menaces a execution.
"Bon je vais prendre la plus rebelle des deux!"Dit-il en se levant.
Il prit par le bras Orlane qui tenta bien d'empecher le suspect de realiser ses projets.
Peine perdue puisqu'il serrait tres fort le bras de la blonde qu'il accompagna jusqu'a la table du salon. Il bascula l'officier sur celle-ci.
"Non, marmonna t'elle, non" Elle restait fiere malgre cette situation inextricable.
Orlane tentait bien de resister en gigotant comme elle le pouvait.
Un moment dont profitait Anne-Lise pour tenter de fausser compagnie a son agresseur. L'homme la ramena a la raison en la menottant au radiateur. Il rejoigna ensuite Orlane qui elle aussi avait déjà tente de desendre de la table malgre ses mains entravees.
"Alors voilà Orlane, lui annonca t'il, j'ai remarque que tu etais la plus grande gueule des deux donc je vais t'en faire baver un peu plus que ta copine"
"Connard,lui repondit-elle, tu vas nous le payer je te le jure!"
"Et en plus, tu es grossiere? On va voir ca!"
Il prit les poignets d'Orlane et les ficela soigneusement dans son dos. Il les fixa ensuite a son buste avec une autre corde. On lui ota ensuite les menottes.
"Alors? Tu n'est pas mieux comme ca?" Interrogea l'homme.
Orlane ne repondit rien cette fois-ci, se contenant de maugreer, nue sur cette table.
-
- Squatteur(se) de JdL
- Messages : 523
- Inscription : 25 août 2013, 13:45
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: flagrant délit
ça mérite une suite ça ^^
Re: flagrant délit
La besogne était loin d'etre terminée, il s'attaqua alors aux jambes de la belle blonde. Il lui attacha les chevilles l'une contre l'autre puis relia le tout aux poignets malgré les protestations d'Orlane de plus en plus paniquée par l'amas de cordes s'abattant sur elle.
Les 4 saisons de Vivaldi interrompit ce ligotage en règle. C'était la sonnerie de portable du quadragénaire.
"Veuillez m'excusez mesdemoiselles, je suis obligé de prendre cet appel, je vous laisse un instant et je vous le répète evitez de vous briser les cordes vocales inutilement, a tout de suite" s'excusa t'il en poussant la porte d'un bureau contigu.
Orlane sentit que ce moment pouvait être leur porte de sortie a toutes les deux, elle s'évertua alors a tenter de se libérer mais ligotée comme elle l'était, difficile d'espérer quoique ce soit.
Plus elle tirait sur ses liens et plus ils s'incrustaient dans sa chair.
"Hummmm, fit-elle, je n'y arrive pas c'est beaucoup trop serré, et toi?"
"Tu le vois bien, a moins de démonter toute la tuyauterie, je n'y arriverais pas. Et puis j'ai déjà les poignets abîmés" lui montra t'elle.
"On s'est fait avoir comme des bleues, poursuivit Anne-Lise, d'autant qu'il a raison. Personne ne remarquera notre absence a la brigade, Walter est en arrêt maladie. Il n'y a que notre famille qui peut s'inquiéter..."
"Juste la tienne" marmonna t'elle.
Il faut dire que nous n'étions que le matin et le temps serait surement très long avant que quelqu'un ne se préoccupe de quelque chose.
"Que va t'il nous faire?" S'inquiéta Anne-Lise.
"Tu as vu les photos des filles non? Regarde moi je ressemble a un saucisson! Et puis tu as fais gaffe aux instruments dans le coffre?" Lâcha laconiquement la blonde impuissante.
"Mon dieu" dit Anne-Lise en levant les yeux au ciel.
L'officier Bacquere posa doucement sa tête sur la table et réfléchit:"Je te jure que je retrouverais ce salopard" sanglota t'elle.
Leur chance était passée, l'homme reparut après quelques minutes d'absence.
"Alors Lieutenant Potain, c'est a vous je crois?" Dit il en s'avançant vers la brune encore en lingerie.
"Attendez!" Dit Orlane.
Cela stoppa net l'élan de l'homme.
"Laissez la tranquille! Soupira la blonde. Faites plutôt vos cochonneries sur moi. Je suis prête a tout encaisser."
"Intéressant, lui répondit l'homme, tout?"
"De toute façon, vous n'avez pas besoin de mon avis, pas vrai?"
Il sourit et se désintéressa d'Anne-Lise qui ne participa nullement a la conversation effarée par la décision courageuse de sa partenaire.
"Et bien alors allons-y!"
Les 4 saisons de Vivaldi interrompit ce ligotage en règle. C'était la sonnerie de portable du quadragénaire.
"Veuillez m'excusez mesdemoiselles, je suis obligé de prendre cet appel, je vous laisse un instant et je vous le répète evitez de vous briser les cordes vocales inutilement, a tout de suite" s'excusa t'il en poussant la porte d'un bureau contigu.
Orlane sentit que ce moment pouvait être leur porte de sortie a toutes les deux, elle s'évertua alors a tenter de se libérer mais ligotée comme elle l'était, difficile d'espérer quoique ce soit.
Plus elle tirait sur ses liens et plus ils s'incrustaient dans sa chair.
"Hummmm, fit-elle, je n'y arrive pas c'est beaucoup trop serré, et toi?"
"Tu le vois bien, a moins de démonter toute la tuyauterie, je n'y arriverais pas. Et puis j'ai déjà les poignets abîmés" lui montra t'elle.
"On s'est fait avoir comme des bleues, poursuivit Anne-Lise, d'autant qu'il a raison. Personne ne remarquera notre absence a la brigade, Walter est en arrêt maladie. Il n'y a que notre famille qui peut s'inquiéter..."
"Juste la tienne" marmonna t'elle.
Il faut dire que nous n'étions que le matin et le temps serait surement très long avant que quelqu'un ne se préoccupe de quelque chose.
"Que va t'il nous faire?" S'inquiéta Anne-Lise.
"Tu as vu les photos des filles non? Regarde moi je ressemble a un saucisson! Et puis tu as fais gaffe aux instruments dans le coffre?" Lâcha laconiquement la blonde impuissante.
"Mon dieu" dit Anne-Lise en levant les yeux au ciel.
L'officier Bacquere posa doucement sa tête sur la table et réfléchit:"Je te jure que je retrouverais ce salopard" sanglota t'elle.
Leur chance était passée, l'homme reparut après quelques minutes d'absence.
"Alors Lieutenant Potain, c'est a vous je crois?" Dit il en s'avançant vers la brune encore en lingerie.
"Attendez!" Dit Orlane.
Cela stoppa net l'élan de l'homme.
"Laissez la tranquille! Soupira la blonde. Faites plutôt vos cochonneries sur moi. Je suis prête a tout encaisser."
"Intéressant, lui répondit l'homme, tout?"
"De toute façon, vous n'avez pas besoin de mon avis, pas vrai?"
Il sourit et se désintéressa d'Anne-Lise qui ne participa nullement a la conversation effarée par la décision courageuse de sa partenaire.
"Et bien alors allons-y!"
Re: flagrant délit
Orlane serra une nouvelle fois les dents, évitant de lâcher une bordée d'injures, l'homme en profita pour la caresser longuement, admirant la belle plastique de la jolie blonde. Sans gigoter, elle le regarda avec un peu de défi mais surtout beaucoup de dépit.
Et encore un plus lorsqu'il saisit un bâillon-boule dans sa main.
Orlane fut effrayée car elle savait ce que ca signifiait.
Malgré cette peur affichée, la jeune femme accepta non sans mal cette boule rouge se ficher entre ses dents. Elle était maintenant réduite au silence ce qui semblait réjouir l'homme.
"Néanmoins pour éviter d'être dérangés, je me vois obligé de bâillonner aussi ta copine" expliqua calmement le quadragénaire.
"Oh!" Fit Anne-Lise visiblement surprise.
Il sortit de sa besace un autre bâillon-boule mais différent de l'autre car celui-ci comportait deux sangles, une qui passait derrière la tête et l'autre sous le menton comme pour s'assurer d'un maintien total de la sphère dans la bouche.
Cette fois-ci, il dut s'employer pour parvenir a ses fins car Anne-Lise refusa jusqu'au bout de se faire bâillonner mais en employant la force, le présumé coupable vint a bout de la jolie brune.
Il revint ensuite auprès d'Orlane afin de lui donner une leçon. Elle s'y attendait tellement que la blonde ne protesta que mollement a l'instant ou il la bascula sur le coté, l'officier était a présent sur le flanc soufflant très fort pour extirper le bâillon qui semblait déja la gêner beaucoup.
L'homme prit alors des pinces qu'il approcha doucement des tétons de la blonde. Le regard d'Orlane changea alors, ses yeux brillerent soudainement et il s'en aperçut.
Le chef d'entreprise fut franchement déstabilisé mais il apposa tout de même la pince sur le sein gauche de l'officier Bacquere.
"Mmmmmmmphhhhhhh" fit Orlane qui se contorsionna au contact de l'acier sur son mamelon.
Le hogtied était au point et evidemment la blonde ne pouvait pas se libérer, heureusement car elle tirait sur ses liens comme une damnée.
L'homme avait toutefois eté troublé par cet echange avec Orlane, comme si l'espace d'un instant il avait décelé quelque chose chez elle.
Aussi, la décision qu'il prit quelques instants plus tard avait de quoi surprendre tous les protagonistes de cette affaire.
"Finalement mesdemoiselles, je vous laisse car j'ai trop a faire. N'ayez crainte, je préviens les autorités. Il est certain en revanche que votre fierté en prenne un coup." Dit l'homme calmement.
"Mmmmmmmmppphhhhhhh" fit Orlane tentant vainement de s'expliquer alors qu'Anne-Lise bavant abondamment y avait renoncé depuis longtemps.
Avant de partir, l'homme glissa discrètement une carte dans le blouson de la blonde, il lança ensuite a la cantonade: "Au plaisir de vous revoir mesdemoiselles!"
"Mmmmmppphhhhhh" lui répondit Orlane dont le sein était toujours mordu par cette fichue pince.
Heureusement encore quelques heures et elles seraient retrouvées saines et sauves mais avec un peu de dignité en moins...
A suivre...
Et encore un plus lorsqu'il saisit un bâillon-boule dans sa main.
Orlane fut effrayée car elle savait ce que ca signifiait.
Malgré cette peur affichée, la jeune femme accepta non sans mal cette boule rouge se ficher entre ses dents. Elle était maintenant réduite au silence ce qui semblait réjouir l'homme.
"Néanmoins pour éviter d'être dérangés, je me vois obligé de bâillonner aussi ta copine" expliqua calmement le quadragénaire.
"Oh!" Fit Anne-Lise visiblement surprise.
Il sortit de sa besace un autre bâillon-boule mais différent de l'autre car celui-ci comportait deux sangles, une qui passait derrière la tête et l'autre sous le menton comme pour s'assurer d'un maintien total de la sphère dans la bouche.
Cette fois-ci, il dut s'employer pour parvenir a ses fins car Anne-Lise refusa jusqu'au bout de se faire bâillonner mais en employant la force, le présumé coupable vint a bout de la jolie brune.
Il revint ensuite auprès d'Orlane afin de lui donner une leçon. Elle s'y attendait tellement que la blonde ne protesta que mollement a l'instant ou il la bascula sur le coté, l'officier était a présent sur le flanc soufflant très fort pour extirper le bâillon qui semblait déja la gêner beaucoup.
L'homme prit alors des pinces qu'il approcha doucement des tétons de la blonde. Le regard d'Orlane changea alors, ses yeux brillerent soudainement et il s'en aperçut.
Le chef d'entreprise fut franchement déstabilisé mais il apposa tout de même la pince sur le sein gauche de l'officier Bacquere.
"Mmmmmmmphhhhhhh" fit Orlane qui se contorsionna au contact de l'acier sur son mamelon.
Le hogtied était au point et evidemment la blonde ne pouvait pas se libérer, heureusement car elle tirait sur ses liens comme une damnée.
L'homme avait toutefois eté troublé par cet echange avec Orlane, comme si l'espace d'un instant il avait décelé quelque chose chez elle.
Aussi, la décision qu'il prit quelques instants plus tard avait de quoi surprendre tous les protagonistes de cette affaire.
"Finalement mesdemoiselles, je vous laisse car j'ai trop a faire. N'ayez crainte, je préviens les autorités. Il est certain en revanche que votre fierté en prenne un coup." Dit l'homme calmement.
"Mmmmmmmmppphhhhhhh" fit Orlane tentant vainement de s'expliquer alors qu'Anne-Lise bavant abondamment y avait renoncé depuis longtemps.
Avant de partir, l'homme glissa discrètement une carte dans le blouson de la blonde, il lança ensuite a la cantonade: "Au plaisir de vous revoir mesdemoiselles!"
"Mmmmmppphhhhhh" lui répondit Orlane dont le sein était toujours mordu par cette fichue pince.
Heureusement encore quelques heures et elles seraient retrouvées saines et sauves mais avec un peu de dignité en moins...
A suivre...