Pigeon voyageur.
- Je te laisse t’occuper d’eux pendant que je m’occupe de leurs portables. Je veux juste qu’il soit nu et ligoté sur mon sac de couchage. Avec les cordes en chanvre s’il te plait, j’adore cette odeur. Combinée avec celle de son foutre ce sera parfait.
- Tes désirs sont des ordres. Une préférence pour le bâillon ?
- Oui le bâillon-boule rose, le petit. Sauf si tu le veux pour ta chienne.
- Non c’est bon je lui réserve le harnais inauguré par notre Paulo.
- Et puis non pour la boule rose. Regarde si la capuche d’Audrey s’enlève et tu t’en sers comme bâillon.
- Un coup chienne, un coup Audrey…t’es hésitante ce soir.
- Pourtant non.
J’aime regarder Marc ligoter nos victimes, bien assise dans un fauteuil. Aujourd’hui de camping vu que ce n’était pas prévu. Jusqu’à présent aucune proie ne s’est enfuit durant nos escapades. Mais ce Paulo a de la ressource, je me méfie.
- Commence par Paulo s’il te plait, il est combatif ce coquin.
- Ce n’est pas très galant mais bon, c’est ce que je comptais faire pour ensuite être tranquille avec ma belle. Je te le ligote au lit de camp aussi ?
- Oh oui, comme dans l’épisode de Tarzan. Paaaaarfait.
En tant que femme j’aime bien faire durer les voyelles quand je suis émoustillée. Et pouvoir jouer avec mon Paulo ça m’émoustille beaucoup. Marc a sorti le sac de cordes et sors celles en chanvre. Il va le ligoter comme je l’aime : 3 prises pour les jambes et le haut couvert de cordes avec les bras un sur l’autre dans le dos. Normalement il devra être incapable de bouger les poignets et les coudes. Il va lui faire aussi ressortir les tétons, j’aime ça chez un mec ligoté. Je le laisse faire on verra le résultat. Quand à Audrey…cela ne me regarde pas mais je lui mettrai bien un petit académique en lycra ou un maillot de bain brassards et shorty. Elle a une poitrine magnifique, Marc va se régaler. Du moins sa bite surtout vu qu’elle va passer longuement entre ses seins. Bon je le laisse faire faut que je regarde ces portables. Alors…parfait…bien aucun des 2 n’a de sécurité ou de code de déverrouillage. Et ils ont de la batterie. Tant mieux, pas besoin de sortir le chargeur. Je commence par celui de Paulo. Alors qu’a-t-il à me raconter…bien. Classique. Oh pas mal. J’en profite pour me caresser un peu mon entre-jambe, car j’ai bien mouillé en m’occupant de son sexe. C’est trop bon d’avoir 2 mains. Et libres.
- Bon mon petit Paulo soyons sérieux 5 min. Tu as nourrit le chat juste avant que je t’enlève, tu…
- Qu’on l’enlève !
- Ne me coupe pas la parole s’il te PLAIT. Et envoies moi son slip que tu viens de couper que je me frotte un peu avec. Merci.
Je ne vais pas me gêner.
- Donc je disais mon petit Paulo a bien donné à manger au chat, sa copine s’appelle Sophie, il y a beaucoup de sextos entre eux mais rien sur d’éventuels jeux de liens. Ce n’est pas encore dans ce portable que je vais trouver le mot bondage, merde.
- Tu vas encore perdre ton pari, c’est con ça.
- Je fais peut-être exprès de perdre vu que je ne te montre jamais les portables. Finalement ne lui mets pas de corde au-dessus des genoux, je veux pouvoir lui écarter un peu les cuisses. Et pour le bâillon je change encore d’avis : la boule rose s’il te plait. Si la capuche s’enlève tu lui emballe son service 3 pièces avec, bien serré.
- Oui madame.
- T’es un amour. Je continue : des sextos, de la guimauve, de la passion, pas de photos osées non plus. Aller hop, ce sera ta première !
Tout en parlant j’ai récupéré le slip que Marc m’a envoyé pour le fourrer directement dans mon cycliste, juste sur mon vagin. J’aime ça. Je me lève et me rapproche des 3 avec son portable en mode photo. « Je n’arrives pas à voir si tu souris. Ah Audrey s’incruste aussi sur la photo, t’es bien une femme. Reste derrière Paul mon chéri. Voilaaaaaa son sexe en érection et Audrey juste à côté. Souriez ! » J’aime bien cette blague et la photo est prise. « Tu peux continuer le ficelage ». Je ne vais pas envoyer cette photo à Sophie, non quand même pas. Je vais d’abord voir s’il y a moyen de la faire venir ici. Audrey assiste au spectacle du bondage de son ami. Elle doit être impatiente que mon chéri s’occupe d’elle. Enfin moi je le serai. J’entends les gémissements de Paul pendant que je fouille le portable d’Audrey. Elle a en plus les clefs du camping, intéressant tout cela. Nous ne sommes pas des voleurs mais s’il y a de quoi nous faciliter notre fuite demain ce sera utile. Bien sûr Audrey et Sophie sont amies, ça va donc me faciliter la tâche pour la faire venir. Mais je cherche autre chose…bingo.
- Audrey est amie avec Sophie ce sera donc notre troisième guest. Malheureusement Audrey n’a pas de copain…attitré.
- Continuuuuuuue !
Une partie du cerveau de Marc doit être féminin.
- Elle a de jolies photos d’elle avec plusieurs mecs.
- Sur une seule photo ? Laisse toi faire ça sera plus rapide et sans douleur.
- Non un seul mec à la fois. Mais elle est coquine notre Audrey ! Coquine mais soft : pas de cordes.
- Peut-être pas en photos…
- Elle ne montre que ses seins. C’est déjà pas mal !
Marc en a presque terminé avec mon jouet : il est en un magnifique hogtie. Marc lui a fait un joli harnais de poitrine, pour un mec je trouve cela toujours sympa. Le chanvre lui rentre dans la peau, j’adore les traces que cela laisse par la suite. J’en profiterai un peu demain matin. Je continue mes enquêtes de portables alors que Marc s’apprête à changer le bâillon d’Audrey. Je croise les doigts pour que la capuche soit amovible. Je jette des coups d’œil entre les écrans et Marc. Il lui retire les couches successives de ruban adhésif jusqu’à ce que la chaussette soit visible. Audrey ne dit rien. Elle recrache la chaussette sans hurler en bavant. Et elle se met à cracher.
- Hé oh, ce n’est pas toi qui va faire le ménage alors évite de cracher.
- Détachez-nous on ne dira rien.
- Effectivement vous ne direz rien.
- Et c’est moi qui suis lourde !
Marc a un peu d’humour des fois. Il lui dit cela tout en lui installant le bâillon-boule harnais. Et la capuche est bien amovible. « Essuie lui la salive et la bouche avec la capuche avant de faire le joli paquet de mon Paul. ». Marc s’exécute. Le brillant de la capuche devient encore plus brillant. Audrey repousse un peu son visage au passage de la capuche sur sa bouche et sur la boule. Puis Marc enveloppe la totalité du sexe de Paul toujours en érection. Il a bien de la ressource cet homme. Puis il prend les 2 grands lacets noirs et maintient la capuche molletonnée bien gonflé en effectuant un ligotage stricte de son sexe. Un mec lui ligote le sexe et il bande encore. Je vais me régaler à le faire jouir. Le paquet ainsi emballé dans cette capuche noire me fait des frétillements dans mon vagin. Du coup je m’enfonce généreusement son slip bien plus profondément. J’aime être dans de bonnes conditions pour réfléchir à la suite. Mais je ne peux pas m’empêcher d’aller jouer un peu avec ce joli paquet. Paulo est sur le côté, la capuche joue bien son rôle de protection. Je passe lentement ma main sur l’ensemble. Les cordes laissent passer des morceaux de tissus bien gonflés. Je le masturbe délicatement. Je sens un peu du mouillé à travers, ce doit être la salive qui commence à être absorbée. Il me regarde droit dans les yeux. Je le masturbe plus vivement. Ses yeux se ferment…il aime c’est sûr. Je m’arrête net car ce n’est pas le moment et j’ai autre chose à faire. Comme faire venir Sophie.
Pendant que Marc installe mon jouet sur mon lit de camp avec mon sac de couchage, je commence la conversation avec Sophie. Je cesse d’écrire le message car le portable d’Audrey vient d’en recevoir un.
Patron : Tu fais quoi ?
Je lui dirais bien comment elle est mais bon…Restons simple. Patron, elle s’est pas foulée.
Audrey : Je suis à l’emplacement H7, je règle un souci électrique. Paul est là aussi.
Patron : OK. On se voit ce soir ?
Et ben putain, le mystère d’un des mecs est résolu. Soit il se fout de Paul soit il ne veut que sa partie de jambes en l’air.
Audrey : Non pas possible. Demain oui. Je rentre directement avec Paul quand j’ai fini.
Patron : OK.
Il ne veut que sa partie de jambes en l’air.
Audrey : Partie remise. Demain double dose.
Patron :
Quel homme, même pas une bonne nuit ou une bonne soirée. « Ma petite Audrey ton patron ne pense qu’à ton cul. Mais ça tu dois le savoir. » Elle ne gémit même pas, elle a du tout faire pour le mener par la bite. Trop facile.
Mon jouet est enfin ligoté sur mon sac de couchage bleu et rouge des années 80. En hogtie. Des cordes supplémentaires ont été rajoutées pour un excellent maintien sur le lit de camp. J’ai hâte de jouer avec la capuche. Il s’occupe d’Audrey maintenant, il va mieux s’en occuper que son patron. Je préviens Sophie en attendant.
Paul : J’ai fait un détour au camping pour aider Audrey. On se fait des pizzas ce soir ?
Au vu de l’historique elle répond vite à son chéri. Et hop.
Sophie : A la maison ?
Paul : Non au camping.
Sophie : Tu l’aides à faire quoi ?
Bon on va jouer un peu.
Paul : je l’aide à l’emplacement…
Audrey : …H7 pour un problème électrique !
Message commun de Sophie : Vous êtes trop cons !
Et toi très conne mais tu ne le sais pas encore.
Sophie : Je viens à pieds du coup.
Paul : Oui comme ça ton petit cul sera encore plus ferme.
Sophie : J’aime quand tu me parles comme ça.
Paul : Ben bouge ton cul de rappliquer ici

Sophie : A tout à l’heure.
Paul : Je t’aime.
Sophie : Je t’aime.
Audrey : Je t’aime aussi.
Sophie : On s’aime tous. J’arrive !
Quelle belle invention le texto. On t’attend Sophie, tu sais où nous trouver.