
LOUISE
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- voldenuit
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- Ce que je déteste : la vulgarité
Re: LOUISE
mouaip ... après coup ... pas top ... 

Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...
- caroline
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les jeux, les liens serrés, - Ce que je déteste : l'obscénité, la vulgarité, la minoration de la femme
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Re: LOUISE
ça avait le mérite de l'originalité littéraire audacieuse...
continue ton histoire...c'est ça qui compte.

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- voldenuit
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Re: LOUISE
Mail de Louise à Angèle le 8 janvier à 20h00
Objet: MARC
chère Angèle comme je regrette maintenant de ne pas avoir suivi tes conseils cela fait près de 15 jour que je revois Marc pour jouer aux échecs et à chaque fois je le bats , mais hier , il m'a proposé de mettre un enjeu sur la partie en gage de bonne foi , et pour me montrer combien il avait changé . Il m'a proposé que celui qui perdrait la partie devrait organiser une soirée pour le vainqueur et suivre à la lettre toutes le recommandations de celui ci afin que la soirée se passe comme le gagnant l'exigerait . Nous avons décidé d'une partie en trois manches sans abandon possible . Et j'ai gagné la première , en revanche la seconde a été pour lui . Il a littéralement pulvérisé mon jeu , déjoué toutes mes attaques , et une fois ma reine prise , il n'a pas mis longtemps à dégoiser le MAT fatidique . Je peux te dire que pour la belle , j'étais remontée . Mais rien y fit , il a pris mes pièces les unes après les autres , joué comme un démon . J'avais beau faire dés le 15 ème coup , j'étais déjà sous sa coupe , mais ou a t-il bien pu apprendre à jouer comme ça ? Il ne m'a pas achevé tout de suite non , il a fait durer le plaisir autant qu'il put , il avait un petit rire aux commissures des lèvres , qui en disait très long sur le plaisir qu'il prenait à m'humilier de la sorte . Il me fit tourner en rond sans dissimuler son plaisir de m'avoir bernée de la sorte pendant si longtemps . Je suis restée prostrée un long moment . Mon cerveau était court-circuité , et tu pense bien qu'il en a profité.Il m'a obligé à lui donner ma parole d'honneur que je ne me dédierai pas , et que j'exécuterai toutes ses instructions à la lettre pour organiser la soirée à sa convenance , dont il a fixé la date à dans deux mois , c'est à dire le 7 mars précisément à 20h30. Je me demande pourquoi il a fixé une date si lointaine pour la soirée …. J'y ai repensé toute la nuit , je n'ai pas fermé l’œil , aujourd'hui je me suis faite porter pâle au travail , et ce soir enfin , pleine de honte , je me décide à t'écrire...
journal de Louise le 8 janvier
Comment être aussi naïve ? Comment ne pas avoir vu de suite que Marc simulait tous les coups qu'il jouait . Comment n'ais-je pas vu ça ? Je me sens complètement lessivée . Et là n'est pas le pire d'avoir perdu , le pire , c'est ce troupeau de mâles , hurlants et piétinants d'impatience devant ma dépouille annoncée . Comme ils éructaient à la seconde manche , comme leur honneur semblait être lavé , comme la virilité semblait rétablie . Comme cela leur a semblé bon de me voir agoniser dans la dernière manche . Comme ils en jouissaient , eux , comme je comprends alors la détresse du taureau les soirs de corrida , comme je vois la ferveur du public , assistant à la cérémonie , comme je me suis sentie salie, souillée , trahie par celui qui avait feint de ne pas savoir jouer mieux que cela . Ce soir une seule chose compte pour moi , dormir et oublier . Tout oublier , oublier ce marché de dupe auquel je me suis prêtée , et pourtant en souvenir et en rêve , me reviennent toujours les mêmes mains , la même voix celle qui berce , celle qui rend la défaite plus supportable , celle qui fait taire la vindicte , et qui montre généreusement le courage et l'esprit battant de son adversaire . Oui il a été élégant dans la victoire , mais a pris sur le ring un malin plaisir à m'humilier . Il a été faire play , et à la fois a enfoncé un peu plus le clou de ma défaite . Le pire , est notre arrangement , et lorsque je vois tout ce dont il a usé pour m’amener là ou il voulait, je me prépare au pire , mais je m'endors en pensant à ses mains .
Objet: MARC
chère Angèle comme je regrette maintenant de ne pas avoir suivi tes conseils cela fait près de 15 jour que je revois Marc pour jouer aux échecs et à chaque fois je le bats , mais hier , il m'a proposé de mettre un enjeu sur la partie en gage de bonne foi , et pour me montrer combien il avait changé . Il m'a proposé que celui qui perdrait la partie devrait organiser une soirée pour le vainqueur et suivre à la lettre toutes le recommandations de celui ci afin que la soirée se passe comme le gagnant l'exigerait . Nous avons décidé d'une partie en trois manches sans abandon possible . Et j'ai gagné la première , en revanche la seconde a été pour lui . Il a littéralement pulvérisé mon jeu , déjoué toutes mes attaques , et une fois ma reine prise , il n'a pas mis longtemps à dégoiser le MAT fatidique . Je peux te dire que pour la belle , j'étais remontée . Mais rien y fit , il a pris mes pièces les unes après les autres , joué comme un démon . J'avais beau faire dés le 15 ème coup , j'étais déjà sous sa coupe , mais ou a t-il bien pu apprendre à jouer comme ça ? Il ne m'a pas achevé tout de suite non , il a fait durer le plaisir autant qu'il put , il avait un petit rire aux commissures des lèvres , qui en disait très long sur le plaisir qu'il prenait à m'humilier de la sorte . Il me fit tourner en rond sans dissimuler son plaisir de m'avoir bernée de la sorte pendant si longtemps . Je suis restée prostrée un long moment . Mon cerveau était court-circuité , et tu pense bien qu'il en a profité.Il m'a obligé à lui donner ma parole d'honneur que je ne me dédierai pas , et que j'exécuterai toutes ses instructions à la lettre pour organiser la soirée à sa convenance , dont il a fixé la date à dans deux mois , c'est à dire le 7 mars précisément à 20h30. Je me demande pourquoi il a fixé une date si lointaine pour la soirée …. J'y ai repensé toute la nuit , je n'ai pas fermé l’œil , aujourd'hui je me suis faite porter pâle au travail , et ce soir enfin , pleine de honte , je me décide à t'écrire...
journal de Louise le 8 janvier
Comment être aussi naïve ? Comment ne pas avoir vu de suite que Marc simulait tous les coups qu'il jouait . Comment n'ais-je pas vu ça ? Je me sens complètement lessivée . Et là n'est pas le pire d'avoir perdu , le pire , c'est ce troupeau de mâles , hurlants et piétinants d'impatience devant ma dépouille annoncée . Comme ils éructaient à la seconde manche , comme leur honneur semblait être lavé , comme la virilité semblait rétablie . Comme cela leur a semblé bon de me voir agoniser dans la dernière manche . Comme ils en jouissaient , eux , comme je comprends alors la détresse du taureau les soirs de corrida , comme je vois la ferveur du public , assistant à la cérémonie , comme je me suis sentie salie, souillée , trahie par celui qui avait feint de ne pas savoir jouer mieux que cela . Ce soir une seule chose compte pour moi , dormir et oublier . Tout oublier , oublier ce marché de dupe auquel je me suis prêtée , et pourtant en souvenir et en rêve , me reviennent toujours les mêmes mains , la même voix celle qui berce , celle qui rend la défaite plus supportable , celle qui fait taire la vindicte , et qui montre généreusement le courage et l'esprit battant de son adversaire . Oui il a été élégant dans la victoire , mais a pris sur le ring un malin plaisir à m'humilier . Il a été faire play , et à la fois a enfoncé un peu plus le clou de ma défaite . Le pire , est notre arrangement , et lorsque je vois tout ce dont il a usé pour m’amener là ou il voulait, je me prépare au pire , mais je m'endors en pensant à ses mains .
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Re: LOUISE
Mail d'Angèle à Louise le 9 janvier à 8h00
Objet : re Marc
Louise , par moments , je me demande , comment il se fait qu'une personne aussi intelligente que toi dans la vie de tous les jours , parvienne à un degré de sottise telle quand il s'agit de garder tout son bon sens face à un homme « reconnu comme dangereux ». Je t'en prie , une parole , n'a en définitive que bien peu de valeur , et étant donné le sale tour qu'il t'a joué tu es en droit , de refuser le marché pour tromperie . Aussi je t'en conjure , renonce immédiatement à entrer dans ce jeu . Il est encore temps . je ne vais pas te dire que je t'avais prévenue car cela n'arrangera pas ta situation , sache que je suis auprès de toi . Et qu'il n'osera rien contre nous deux réunies. En plus ne fais pas l'idiote de service , à ton avis pourquoi a t-il fixé une date aussi lointaine ? Hé bien la réponse est très claire dans ma tête , c'est pour pouvoir se servir de toi à sa guise , pendant cette période sous le prétexte d'organiser cette soirée .
Mail de Louise à Marc le 12 janvier à 20h30
Objet: le magasin de meubles
Marc , je suis allée comme tu me l'as demandé au magasin de meubles , qui figure toi , n'est pas du tout un magasin de meubles mais plutôt un atelier de menuiserie . Espèce de … je ne trouve même pas les mot ...Monsieur Jean, l'ébéniste comme tu le lui as demandé a pris tout un tas de mesure sur moi , et étant donné que je m'étais plutôt habillée pour aller dans un magasin , c'est dire en jupe et chaussures vernies , je ne suis pas bien certaine que tu comprennes la honte que j'ai pu ressentir lorsqu'il ma fait mettre à plat ventre sur une table à hauteur réglable pour qu'il ajuste selon , ses propres termes la hauteur de la future réalisation . je crois que je ne te pardonnerai jamais de m'avoir conduit dans un tel endroit , je me suis sentie tellement honteuse….
Journal de Louise le 12 janvier
Ce matin je me suis rendue à ce que je croyais être un magasin de meuble , j'avais mis une tenue adaptée à la circonstance , une jupe un tailleur et une paire d'escarpins , mais en arrivant devant l'adresse , je ne vis qu'un chemin boueux conduisant à une sorte de hangar sur lequel était inscrit , Jean ébénisterie .
Je suis entrée dans le hangar glacial et là un monsieur d'une cinquantaine d'années , en blouse bleue , avec une moustache très soignée , est venu vers moi , et avec sa voix fluette m'a demandé si j'étais bien mademoiselle Louise . Ce qui est amusant avec ce petit monsieur , c'est que lorsqu'il parle , seule sa moustache semble remuer un peu , à la manière d'un ventriloque . Et derrière ses lunettes rondes ses yeux ressemblent à deux petites pierres de tourmaline qui semblent tout observer et enregistrer , sans pour autant exprimer quoi que ce soit . Mes escarpins étaient déjà tout crottés , et je n'étais pas au bout de mes peines , cher journal comment te confier à toi seul ce que je n'ose même pas raconter à Angèle . Il a sorti une sorte de mètre de tailleur , et a pris des mesures dans tous les sens sur mon corps . Cet étrange personnage m'a touché , en me prenant le tour de taille , de cou , de chevilles de cuisses , de poignets , même mon tour de crâne. Et moi comme une gourde je me suis laissée entraînée sans réagir , alors que d'habitude j'ai plutôt tendance à fuir le contact physique . Je crois que c'est l'étrangeté de la situation qui m'a sidérée à tel point que je n'ai même pas pris le temps de réagir . le mètre ruban serpentait sur mon corps comme une cordelette sans l'étreindre , sans le serrer plus qu'il ne fallait pour prendre la mesure juste . Mais cela ne semblait visiblement pas lui suffire , il m'a demandé de me tenir à croupi au milieu de l'atelier et d'enlever mes chaussures . Pour le coup , là j'ai réagi . Mais sa voix aiguë est revenue à la charge sans prononcer plus de mots qu'il n'en fallait , et je me suis bêtement exécutée , telle une proie prise dans un filet . J'ai senti le sol bétonné et glacé me pénétrer jusqu'au cœur , et je me suis laissé mesurer encore une fois dans tous les sens . j'ai bien cru que le nylon de mes collants resteraient collés à la dalle en béton . Ensuite il m'a demandé de me vautrer sur une lourde table en fonte . À ce stade , il me fit remarquer que je n'étais pas assez cambrée et m'a demandé de me cambrer d'avantage . Ses propos sortaient de sa bouche en flots mesurés , jamais un mot de trop si ce n'est « parfait » , ou « très bien » , à la fin d'une série de mesure . . Je fus prise d'un désir irrépressible . Et malgré moi sentis mon bassin , s'agiter c'est alors que la petite vois me demanda de ne pas bouger . Frustration insensée, alors même que je désirais être prise ici même par le premier venu , celui ci se comportait gougeât , comme un simple exécutant d'une tâche qu'il était payé pour mener à bien . N'éprouvait il aucuns désirs pour moi ? Se pouvait il qu'une femme comme moi , offerte ainsi , à son bon vouloir ne puisse susciter chez cet homme aucun désirs ? Une sueur froide s’empara de moi , je luttais contre un désir de me faire prendre et contre le désir brûlant qui montait de mon bas ventre Je regrettais mon choix vestimentaire déjà , et surtout le string que j'avais choisi , dont la ficelle tendue par ma cambrure , appuyait sur mes parties intimes en feu . Dans mes reins , un torrent de feux débutait , et semblait vouloir jaillir comme un volcan endormi trop longtemps . Le fait est que la table sur laquelle ma poitrine reposait bien à plat semblait réglable en hauteur , et que c'est sans doute à cet insu qu'il chercha un réglage , pour lequel je devais tenir une position , jambes écartées ,puis pour lequel je devais tenir la même position jambes serrées l'une contre l'autre . Il posa des cales en bois afin de me faire tenir es jambes aussi écartées qu'il lui convint ; tout ceci peut sembler sur réaliste , comment ais je pu me prêter à ce jeu au beau milieu d'un atelier avec un inconnu , en fait j'y vois deux raison , la première était que je ne m'attendais pas à cela , et que les directives de ce monsieur semblaient toutes très professionnelles , sa voix tonnait comme un reflet de douce autorité , de quelqu'un qui avait une mission et qui savait ce qu'il faisait , la seconde , est qu'en fait le fait de me retrouver dans cette situation m'avait rendu , à la fois rouge de colère et terriblement excitée . Comment imaginer que je me sois laissée entraîner dans une pareille histoire . Pas simple fait d'avoir perdu un pari et donné ma parole . Quel était le but de Marc en me conduisant ici , si ce n'est de d'avantage m’humilier auprès d'un inconnu qui ne semblait absolument en tirer aucun bénéfice personnel . Une fois ses mesures prises , il me dit que je pouvais remettre mes chaussures , et nous avons bavardé . Me demandant quelle essence de bois je souhaitais pour le mobilier . J'ai choisi , pour la table une marqueterie en bois de rose , du plus bel effet , j'ai vu des échantillons , une fois vernis , c'est magnifique , et c'est également très cher , voilà qui devrait lancer un message à marc , sa soirée va lui coûter très cher . Il m'a demandé si le style empire me convenait , et je lui ai répondu que oui , sur ce il m'a proposé plusieurs modèles de commode et de table dont il pouvait s'inspirer , et m'a également demandé de prendre rendez vous avec le tapissier dont il m'a confié l'adresse pour le matelassage . J'avoue ne pas très bien comprendre en quoi consiste exactement ce mobilier , mais j'entrevois pour moi , quelque chose de peu réjouissant . Peu réjouissant peut être mais une chose est certaine , c'est que ce sera très cher . Nous nous sommes ensuite serré la main . Dont je garde un souvenir de fragiles et calleuses , puis nous nous sommes séparés . Voilà cher journal , en quoi je fus la proie aujourd'hui , et pourquoi mon désir brûlant réapparaît au moment même ou j'ai écrit ces quelques mots , me reste alors , la langueur d'un plaisir solitaire , en pensant à la voix , aux mains et au souffle de Marc que je déteste tant , et pour qui tout mon corps semble vouloir vibrer .
Objet : re Marc
Louise , par moments , je me demande , comment il se fait qu'une personne aussi intelligente que toi dans la vie de tous les jours , parvienne à un degré de sottise telle quand il s'agit de garder tout son bon sens face à un homme « reconnu comme dangereux ». Je t'en prie , une parole , n'a en définitive que bien peu de valeur , et étant donné le sale tour qu'il t'a joué tu es en droit , de refuser le marché pour tromperie . Aussi je t'en conjure , renonce immédiatement à entrer dans ce jeu . Il est encore temps . je ne vais pas te dire que je t'avais prévenue car cela n'arrangera pas ta situation , sache que je suis auprès de toi . Et qu'il n'osera rien contre nous deux réunies. En plus ne fais pas l'idiote de service , à ton avis pourquoi a t-il fixé une date aussi lointaine ? Hé bien la réponse est très claire dans ma tête , c'est pour pouvoir se servir de toi à sa guise , pendant cette période sous le prétexte d'organiser cette soirée .
Mail de Louise à Marc le 12 janvier à 20h30
Objet: le magasin de meubles
Marc , je suis allée comme tu me l'as demandé au magasin de meubles , qui figure toi , n'est pas du tout un magasin de meubles mais plutôt un atelier de menuiserie . Espèce de … je ne trouve même pas les mot ...Monsieur Jean, l'ébéniste comme tu le lui as demandé a pris tout un tas de mesure sur moi , et étant donné que je m'étais plutôt habillée pour aller dans un magasin , c'est dire en jupe et chaussures vernies , je ne suis pas bien certaine que tu comprennes la honte que j'ai pu ressentir lorsqu'il ma fait mettre à plat ventre sur une table à hauteur réglable pour qu'il ajuste selon , ses propres termes la hauteur de la future réalisation . je crois que je ne te pardonnerai jamais de m'avoir conduit dans un tel endroit , je me suis sentie tellement honteuse….
Journal de Louise le 12 janvier
Ce matin je me suis rendue à ce que je croyais être un magasin de meuble , j'avais mis une tenue adaptée à la circonstance , une jupe un tailleur et une paire d'escarpins , mais en arrivant devant l'adresse , je ne vis qu'un chemin boueux conduisant à une sorte de hangar sur lequel était inscrit , Jean ébénisterie .
Je suis entrée dans le hangar glacial et là un monsieur d'une cinquantaine d'années , en blouse bleue , avec une moustache très soignée , est venu vers moi , et avec sa voix fluette m'a demandé si j'étais bien mademoiselle Louise . Ce qui est amusant avec ce petit monsieur , c'est que lorsqu'il parle , seule sa moustache semble remuer un peu , à la manière d'un ventriloque . Et derrière ses lunettes rondes ses yeux ressemblent à deux petites pierres de tourmaline qui semblent tout observer et enregistrer , sans pour autant exprimer quoi que ce soit . Mes escarpins étaient déjà tout crottés , et je n'étais pas au bout de mes peines , cher journal comment te confier à toi seul ce que je n'ose même pas raconter à Angèle . Il a sorti une sorte de mètre de tailleur , et a pris des mesures dans tous les sens sur mon corps . Cet étrange personnage m'a touché , en me prenant le tour de taille , de cou , de chevilles de cuisses , de poignets , même mon tour de crâne. Et moi comme une gourde je me suis laissée entraînée sans réagir , alors que d'habitude j'ai plutôt tendance à fuir le contact physique . Je crois que c'est l'étrangeté de la situation qui m'a sidérée à tel point que je n'ai même pas pris le temps de réagir . le mètre ruban serpentait sur mon corps comme une cordelette sans l'étreindre , sans le serrer plus qu'il ne fallait pour prendre la mesure juste . Mais cela ne semblait visiblement pas lui suffire , il m'a demandé de me tenir à croupi au milieu de l'atelier et d'enlever mes chaussures . Pour le coup , là j'ai réagi . Mais sa voix aiguë est revenue à la charge sans prononcer plus de mots qu'il n'en fallait , et je me suis bêtement exécutée , telle une proie prise dans un filet . J'ai senti le sol bétonné et glacé me pénétrer jusqu'au cœur , et je me suis laissé mesurer encore une fois dans tous les sens . j'ai bien cru que le nylon de mes collants resteraient collés à la dalle en béton . Ensuite il m'a demandé de me vautrer sur une lourde table en fonte . À ce stade , il me fit remarquer que je n'étais pas assez cambrée et m'a demandé de me cambrer d'avantage . Ses propos sortaient de sa bouche en flots mesurés , jamais un mot de trop si ce n'est « parfait » , ou « très bien » , à la fin d'une série de mesure . . Je fus prise d'un désir irrépressible . Et malgré moi sentis mon bassin , s'agiter c'est alors que la petite vois me demanda de ne pas bouger . Frustration insensée, alors même que je désirais être prise ici même par le premier venu , celui ci se comportait gougeât , comme un simple exécutant d'une tâche qu'il était payé pour mener à bien . N'éprouvait il aucuns désirs pour moi ? Se pouvait il qu'une femme comme moi , offerte ainsi , à son bon vouloir ne puisse susciter chez cet homme aucun désirs ? Une sueur froide s’empara de moi , je luttais contre un désir de me faire prendre et contre le désir brûlant qui montait de mon bas ventre Je regrettais mon choix vestimentaire déjà , et surtout le string que j'avais choisi , dont la ficelle tendue par ma cambrure , appuyait sur mes parties intimes en feu . Dans mes reins , un torrent de feux débutait , et semblait vouloir jaillir comme un volcan endormi trop longtemps . Le fait est que la table sur laquelle ma poitrine reposait bien à plat semblait réglable en hauteur , et que c'est sans doute à cet insu qu'il chercha un réglage , pour lequel je devais tenir une position , jambes écartées ,puis pour lequel je devais tenir la même position jambes serrées l'une contre l'autre . Il posa des cales en bois afin de me faire tenir es jambes aussi écartées qu'il lui convint ; tout ceci peut sembler sur réaliste , comment ais je pu me prêter à ce jeu au beau milieu d'un atelier avec un inconnu , en fait j'y vois deux raison , la première était que je ne m'attendais pas à cela , et que les directives de ce monsieur semblaient toutes très professionnelles , sa voix tonnait comme un reflet de douce autorité , de quelqu'un qui avait une mission et qui savait ce qu'il faisait , la seconde , est qu'en fait le fait de me retrouver dans cette situation m'avait rendu , à la fois rouge de colère et terriblement excitée . Comment imaginer que je me sois laissée entraîner dans une pareille histoire . Pas simple fait d'avoir perdu un pari et donné ma parole . Quel était le but de Marc en me conduisant ici , si ce n'est de d'avantage m’humilier auprès d'un inconnu qui ne semblait absolument en tirer aucun bénéfice personnel . Une fois ses mesures prises , il me dit que je pouvais remettre mes chaussures , et nous avons bavardé . Me demandant quelle essence de bois je souhaitais pour le mobilier . J'ai choisi , pour la table une marqueterie en bois de rose , du plus bel effet , j'ai vu des échantillons , une fois vernis , c'est magnifique , et c'est également très cher , voilà qui devrait lancer un message à marc , sa soirée va lui coûter très cher . Il m'a demandé si le style empire me convenait , et je lui ai répondu que oui , sur ce il m'a proposé plusieurs modèles de commode et de table dont il pouvait s'inspirer , et m'a également demandé de prendre rendez vous avec le tapissier dont il m'a confié l'adresse pour le matelassage . J'avoue ne pas très bien comprendre en quoi consiste exactement ce mobilier , mais j'entrevois pour moi , quelque chose de peu réjouissant . Peu réjouissant peut être mais une chose est certaine , c'est que ce sera très cher . Nous nous sommes ensuite serré la main . Dont je garde un souvenir de fragiles et calleuses , puis nous nous sommes séparés . Voilà cher journal , en quoi je fus la proie aujourd'hui , et pourquoi mon désir brûlant réapparaît au moment même ou j'ai écrit ces quelques mots , me reste alors , la langueur d'un plaisir solitaire , en pensant à la voix , aux mains et au souffle de Marc que je déteste tant , et pour qui tout mon corps semble vouloir vibrer .
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comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: LOUISE
c'est vraiment toujours trop court tes suites décidément



- voldenuit
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Re: LOUISE
je sais , c'est mon côté sadique qui ressort 

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- voldenuit
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Re: LOUISE
Mail d'Angèle à Louise le 9 janvier à 8h00
Objet : re : l'atelier d'ébénisterie
Comme je peux comprendre ce que tu as ressenti ma chère Louise , pourquoi crois tu que je te demande d'abandonner ce projet grotesque ? Figure toi que Marc en son temps m'a joué à peu près le même tour , mais il m'avait envoyé dans un atelier de métallerie , qui a réalisé de jolis bracelets , en acier inoxydable , avec des ciselures , très finement réalisées , un vrai travail d'orfèvre .... j'ai du me rendre sur place un nombre fois incalculable , afin qu'ils vérifient que tous les bracelets soient bien ajustés , et comme tu peux le deviner tous fermaient avec une clé , que bien évidemment je ne possédais pas . Je pense que si marc t'a conduit dans cet atelier , c'est qu'il savait, cerise sur le gâteau, que tu m'en parlerais , et j'imagine son plaisir de savoir dans quoi j'allais forcément me replonger au récit de ton histoire . Alors renonce , Louise renonce . Je n'ai que ce mot à la bouche pour toi .
Avec tous mes sentiments
Mail de Marc à Louise le 12 janvier à 22h30
Objet : Mr jean
chère Louise , il ne me semble pas que Mr jean que je connais depuis de nombreuses années ait été soit violent soit inconvenant envers , toi , il a fait son travail tout simplement alors cesse de geindre ainsi , et sois à l'heure pour le rendez vous que je t'ai pris jeudi soir prochain chez mademoiselle Marthe qui est un peu pointilleuse sur les horaires , mais a une personnalité très attachante comme tu pourras le constater
Mail de Louise à Angèle le 12 janvier à 22h30
Objet :ma confidente
dois je ne plus te raconter tout ce qui m'arrive ? Angèle , tu sais ce que je peux ressentir , et même si je souhaite pour des raisons personnelles liées à l'honneur aller au bout de cette expérience , j'ai besoin de ton soutien , mais je comprendrais que tu ne souhaites plus que je me confie à toi
avec tous mes meilleurs sentiments
Journal de Louise le 12 janvier
Cher journal ,je ne reviens pas du toupet de marc , il réussit toujours à me faire passer des vessies pour des lanternes . Non mais , quel mufle , il me promène d'un atelier de menuiserie à un atelier de tapisserie , en laissant des inconnus prendre des mesures sur mon corps , et en plus il trouve que je ne suis pas assez reconnaissante à ses yeux , nous ne sommes même pas à la moitié du mois de janvier , et je me demande encore ce qu'il me réserve pour le restant de la période à courir . En tout cas , si cette prochaine visite ressemble à la précédente ce sera sans moi . Ses mains me manquent , mais je n'ose même plus remettre les pieds au club d'échec , j'ai trop honte . Je vais devoir trouver un autre club , voir même changer de ville si je veux continuer à jouer sans être la risée de toute la ville . Et puis ce serait le risque de me retrouver nez à nez avec lui , car depuis sa victoire il est devenu un vrai chef , à la bas , sans compter que maintenant tout le monde s'arrache ses conseils , et qu'il est même prévu qu'il participe au grand tournoi régional , pour ce club . Non mais , vraiment . Il est en train de détruire toute ma vie , et je ne pense qu'à ses mains , à son regard à sa voix , qui entraînement là ou il veut que je sois , toute entière à lui pour une seule et unique soirée .
Mail de Louise à Marc le 15 janvier à 19H53
Objet : Mme Marthe
Marc , non mais tu te fiches vraiment de moi , je ne vais pas perdre mon temps à apprendre à me dandiner à la façon d'une P... avec une ancienne strip-teaseuse , qui de surcroît , m'a dit que j'avais l'élégance d'un merlan sur un étal de poissonnier , et que je me déplaçais dans l'espace comme un hippopotame sait voler . Je ne remettrai pas les pieds là bas .
Mail d'Angèle à Louise le 15 janvier à 21H12
Objet : re : l'atelier d'ébénisterie
ma chère Louise , je suis là pour toi , malgré toutes les difficultés que tes confidences représentent pour moi , la douleur , est toujours présente , mais , je sais ce que tu endures , et je tiens à être présente auprès de toi , car auprès de moi à l'époque , il n'y avait personne , et j'ai failli m'y perdre
prends soin de toi
Mail de Marc à Louise le 15 janvier à 22h24
Objet :Re : Mme Marthe
Louise , je reconnais que Mademoiselle Marthe ne mâche pas ses mots , mais tu aurais tort de vouloir sous estimer cette femme , c'est une danseuse hors pair , et je dois t'avouer que te voir danser pour moi lors de la soirée serait assez satisfaisant aussi j'ai cru bon , de demander à une amie de longue date qu'elle accepte de s'occuper de toi , et crois moi ça n'a pas été simple d'obtenir son consentement alors fais un petit effort , sans que j’ai besoin de te rappeler sans cesse à ta parole d'honneur
journal de louise le 15 janvier
j'aurais du m'en douter encore un de ces pièges honteux dans lequel je me laisse emporter . Il faut voir , cette ukrainienne me parler , j'ai l'impression que rien de ce que je fais lui convient , elle prend un malin plaisir à me brailler dessus , s'en prend à mon physique , et à ma démarche . Quand je pense qu'il faudrait que je perde mon temps là bas deux fois par semaine ... je ne dis pas qu'un peu de sport n'est pas stimulant pour l'organisme , mais à condition qu'il s'exerce dans une atmosphère ou règle la sérénité propre à cette discipline . Non , je ne remettrai pas les pieds là bas . Mais lorsque je pense à marc , il me manque , je me languis de son souffle , de sa voix , comme j'aurais aimé passer juste une main dans ses cheveux , mais non , c'eut été un geste de faiblesse de ma part , et il en est hors de question . Reste à prendre un objet vibrant l'enfoncer profondément au creux de mes reins , et ne plus penser oublier tout , sauf l'agilité de ses doigts
Objet : re : l'atelier d'ébénisterie
Comme je peux comprendre ce que tu as ressenti ma chère Louise , pourquoi crois tu que je te demande d'abandonner ce projet grotesque ? Figure toi que Marc en son temps m'a joué à peu près le même tour , mais il m'avait envoyé dans un atelier de métallerie , qui a réalisé de jolis bracelets , en acier inoxydable , avec des ciselures , très finement réalisées , un vrai travail d'orfèvre .... j'ai du me rendre sur place un nombre fois incalculable , afin qu'ils vérifient que tous les bracelets soient bien ajustés , et comme tu peux le deviner tous fermaient avec une clé , que bien évidemment je ne possédais pas . Je pense que si marc t'a conduit dans cet atelier , c'est qu'il savait, cerise sur le gâteau, que tu m'en parlerais , et j'imagine son plaisir de savoir dans quoi j'allais forcément me replonger au récit de ton histoire . Alors renonce , Louise renonce . Je n'ai que ce mot à la bouche pour toi .
Avec tous mes sentiments
Mail de Marc à Louise le 12 janvier à 22h30
Objet : Mr jean
chère Louise , il ne me semble pas que Mr jean que je connais depuis de nombreuses années ait été soit violent soit inconvenant envers , toi , il a fait son travail tout simplement alors cesse de geindre ainsi , et sois à l'heure pour le rendez vous que je t'ai pris jeudi soir prochain chez mademoiselle Marthe qui est un peu pointilleuse sur les horaires , mais a une personnalité très attachante comme tu pourras le constater
Mail de Louise à Angèle le 12 janvier à 22h30
Objet :ma confidente
dois je ne plus te raconter tout ce qui m'arrive ? Angèle , tu sais ce que je peux ressentir , et même si je souhaite pour des raisons personnelles liées à l'honneur aller au bout de cette expérience , j'ai besoin de ton soutien , mais je comprendrais que tu ne souhaites plus que je me confie à toi
avec tous mes meilleurs sentiments
Journal de Louise le 12 janvier
Cher journal ,je ne reviens pas du toupet de marc , il réussit toujours à me faire passer des vessies pour des lanternes . Non mais , quel mufle , il me promène d'un atelier de menuiserie à un atelier de tapisserie , en laissant des inconnus prendre des mesures sur mon corps , et en plus il trouve que je ne suis pas assez reconnaissante à ses yeux , nous ne sommes même pas à la moitié du mois de janvier , et je me demande encore ce qu'il me réserve pour le restant de la période à courir . En tout cas , si cette prochaine visite ressemble à la précédente ce sera sans moi . Ses mains me manquent , mais je n'ose même plus remettre les pieds au club d'échec , j'ai trop honte . Je vais devoir trouver un autre club , voir même changer de ville si je veux continuer à jouer sans être la risée de toute la ville . Et puis ce serait le risque de me retrouver nez à nez avec lui , car depuis sa victoire il est devenu un vrai chef , à la bas , sans compter que maintenant tout le monde s'arrache ses conseils , et qu'il est même prévu qu'il participe au grand tournoi régional , pour ce club . Non mais , vraiment . Il est en train de détruire toute ma vie , et je ne pense qu'à ses mains , à son regard à sa voix , qui entraînement là ou il veut que je sois , toute entière à lui pour une seule et unique soirée .
Mail de Louise à Marc le 15 janvier à 19H53
Objet : Mme Marthe
Marc , non mais tu te fiches vraiment de moi , je ne vais pas perdre mon temps à apprendre à me dandiner à la façon d'une P... avec une ancienne strip-teaseuse , qui de surcroît , m'a dit que j'avais l'élégance d'un merlan sur un étal de poissonnier , et que je me déplaçais dans l'espace comme un hippopotame sait voler . Je ne remettrai pas les pieds là bas .
Mail d'Angèle à Louise le 15 janvier à 21H12
Objet : re : l'atelier d'ébénisterie
ma chère Louise , je suis là pour toi , malgré toutes les difficultés que tes confidences représentent pour moi , la douleur , est toujours présente , mais , je sais ce que tu endures , et je tiens à être présente auprès de toi , car auprès de moi à l'époque , il n'y avait personne , et j'ai failli m'y perdre
prends soin de toi
Mail de Marc à Louise le 15 janvier à 22h24
Objet :Re : Mme Marthe
Louise , je reconnais que Mademoiselle Marthe ne mâche pas ses mots , mais tu aurais tort de vouloir sous estimer cette femme , c'est une danseuse hors pair , et je dois t'avouer que te voir danser pour moi lors de la soirée serait assez satisfaisant aussi j'ai cru bon , de demander à une amie de longue date qu'elle accepte de s'occuper de toi , et crois moi ça n'a pas été simple d'obtenir son consentement alors fais un petit effort , sans que j’ai besoin de te rappeler sans cesse à ta parole d'honneur
journal de louise le 15 janvier
j'aurais du m'en douter encore un de ces pièges honteux dans lequel je me laisse emporter . Il faut voir , cette ukrainienne me parler , j'ai l'impression que rien de ce que je fais lui convient , elle prend un malin plaisir à me brailler dessus , s'en prend à mon physique , et à ma démarche . Quand je pense qu'il faudrait que je perde mon temps là bas deux fois par semaine ... je ne dis pas qu'un peu de sport n'est pas stimulant pour l'organisme , mais à condition qu'il s'exerce dans une atmosphère ou règle la sérénité propre à cette discipline . Non , je ne remettrai pas les pieds là bas . Mais lorsque je pense à marc , il me manque , je me languis de son souffle , de sa voix , comme j'aurais aimé passer juste une main dans ses cheveux , mais non , c'eut été un geste de faiblesse de ma part , et il en est hors de question . Reste à prendre un objet vibrant l'enfoncer profondément au creux de mes reins , et ne plus penser oublier tout , sauf l'agilité de ses doigts
Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...
- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 2113
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: LOUISE
Le piège s'est refermé,
maintenant il ne reste plus qu'à attendre.

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Re: LOUISE
attendre et savourer ....
mais deux mois , c'est long, ça peut valoir une éternité ...

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Re: LOUISE
Si simple mais si difficile de se libérer de ses engagements.
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