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La suite au prochain épisode :p Les rebondissements ne manqueront pas
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
La suite de cette histoire et des autres arriveront dès que je pourrai me remettre à écrire... Pour l'instant, je manque de temps pour le faire
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
Le lendemain, au réveil, la styliste demeure prisonnière des liens et elle observe sa geôlière se préparer. Natacha s’approche soudain d’elle et elle lui dit avec un ton grave et autoritaire :
« Ma chère Maryline, ne te fais pas de fausses illusions, notre amitié a cessé d’exister le jour où tu as fait passer ta réussite avant ce lien qui nous unissait … Il est désormais derrière nous et, si d’aventure, j’en arrive à t’ôter le bâillon, tu dois désormais m’appeler Maîtresse … Si tu refuses, cette cravache te ramènera à ta place … »
A la vue de la cravache, Maryline commence à prendre peur et à réaliser que désormais elle n’a plus le choix, elle doit se résoudre à obéir à quelqu’un d’autre qu’à elle-même … Elle qui est si habituée à commander les autres, la voici désormais à la merci de cette ancienne amie de classe qui est d’un charme fou mais aussi d’un sadisme effrayant … Natacha sort la styliste de sa cage, l’amène par une laisse dans une salle qu’elle nomme « salle de soumission », elle met la créatrice à genoux en face d’elle, lui ôte le bâillon et lui demande :
« Mary, chère soubrette, accepte-tu de devenir ma soumise à vie ? Ton destin sera lié au mien et ce sera moi qui déciderai de ton avenir … Tu ne resteras pas simple soubrette, mais pour ton initiation ça sera la tenue la mieux adaptée … Alors quelle est ta réponse ?
-Oui sal…, euh pardon Maîtresse … Ma langue a fourchée … » répond la styliste
Maryline ne regrette qu'en façade ses propos et aimerait bien se sortir de cette situation mais tout cela lui est désormais impossible, elle est à la merci de celle qui fût autrefois sa meilleure amie mais qui n'est désormais que l'ombre de cette amitié. Natacha, quant à elle, regarde sa soumise d’un œil noir s’approche d’elle et lui dit :
« Tu m’as insulté petite impertinente … Finissons cette intronisation officielle et ensuite tu seras sévèrement punie … »
Elle s’approche ensuite de la styliste et lui remet le bâillon boule en place, qu’elle sangle au cran maximum. Natacha fait lever sa soumise et lui met un autre collier, en plus de celui de chienne qu’elle porte déjà, metallique celui-ci avec le nom de Maryline gravé dessus, et elle le verrouille avec un cadenas, elle amène ensuite la pauvre dans une autre pièce appelée le donjon et pleine d’accessoires de torture.
Natacha penche alors Maryline sur une table, les bras attachés dans le dos et suspendus au plafond. Elle ôte la culotte de latex de la soubrette et lui bande les yeux. Elle lui dit :
« Maintenant, tu vas apprendre à m’obéir et à contrôler tes paroles, petite sotte … »
A ces mots, elle attrape une batte et lui donne plusieurs coups (une vingtaine environ) sur les fesses nues de sa soumise et ensuite elle finit la punition par une série de gifles, une bonne dizaine … Au moment de mettre un terme à la punition, elle dit à Maryline :
« Ta punition est presque finie, tu vas juste demeurer quelques heures, exposée au milieu de mon salon, nue et restreinte … »
Elle lui donne une tape sur les fesses, détache la styliste prisonnière et l’oblige à se déshabiller… Là, Natacha emmène sa soumise dans le salon et l’attache, nue au milieu de la pièce, sur une estrade où demeure une pancarte sur laquelle il est écrit: "Je suis une soumise rebelle, fessez moi à chaque passage s'il vous plait". La styliste est positionnée dans un hogtie des plus stricts avec, comme bâillon un penis gag pour remplacer la boule qui lui obstrue les lèvres depuis son enlèvement, lui faisant ainsi subir une humiliation terrible pour une aprés-midi entière....
Dernière modification par Mars34230 le 26 juil. 2016, 10:04, modifié 1 fois.
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
Une suite interressante mais je trouve juste qu'il y a un manque de rebellion de la part de Maryline qui accepte sa situation d'une manière un peu trop convenue...
Merci de vos commentaires, la suite sera écrite quand j'aurai du temps à nouveau. Pour le manque de rébellion de Maryline, j'étais à court d'idées pour le développer et je ne peux pas non plus trop détailler certains moments ... Elle est cependant loin de s'être résignée ... La suite réserve bien des surprises
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
Maryline, désormais exposée nue, réduite au silence, privée de la vue et prisonnière de liens qui l’immobilisent à la vue de tous sur cette estrade placée au beau milieu du grand salon de cet immense manoir, peste derrière son bâillon pour sa nouvelle rébellion ratée et commence à envisager la fatalité qu’elle ne sortira jamais de ce manoir libre… Elle sera désormais soumise à vie à Natacha … Mais son humiliation ne s’arrête pas là.
Cette après-midi là, deux dominatrices amies de Natacha viennent lui rendre une petite visite et prendre le café avec elle. Cependant, à la vue de cette esclave exposée au milieu du salon elles demandent à leur amie pourquoi cette soumise est ainsi exposée et, après les explications de Natacha, elles proposent à leur hôte de punir la petite impertinente… La jolie blonde accepte volontiers. C’est alors que les deux maîtresses infligent près d’une demi-heure de coups de martinet sur les fesses et sur les seins de Maryline, qui hurle de douleur tant les coups sont forts et violents … Ce n’est qu’en début de soirée que les deux femmes invitées s’en vont du manoir et c’est aussi à ce moment que Natacha libère sa soumise de ses liens. Une fois la styliste libérée, elle dit :
« Ma petite Mary chérie, je suis désolée, la visite de mes amies n’était pas prévue et la punition qu’elles t’ont infligée non plus … Elles sont plus strictes que moi sur la discipline, mais à l’avenir avise toi juste d’obéir … Bon, je pense que tu as assez été sanctionnée pour ta résistance aujourd’hui… Je t’accorde demain une journée de congés, esclave, que ça soit clair, pas plus d’une journée. Par contre, une seule règle : je t’interdis de quitter le manoir, je ne te veux pas hors de ces murs … »
Maryline rougit, honteuse et répond :
« Maîtresse, je vous promets d’obéir … je ne veux plus d’une telle punition… »
La soirée se passe où Natacha et sa soumise dînent ensemble et elles regardent un film ensemble sur le grand écran dans la chambre de la jolie blonde avec la styliste, seulement menottée aux poignets et aux chevilles et bâillonnée avec un bâillon boule, allongée sur sa maîtresse et les deux se câlinant tendrement …
Maryline est libérée pour la nuit et peut dormir avec Natacha dans le même lit pour une fois. Cependant, la styliste ne dort pas et, au moment où sa maîtresse dort à poings fermés, elle se lève sans faire de bruit, attrape un armbinder, un bâillon-boule et quelques sangles. En douceur, sans réveiller Natacha, elle glisse les bras de sa maîtresse dans l’armbinder, le fixe solidement dans le dos de la blonde et ensuite elle met une sangle aux genoux, une autre aux chevilles et la troisième pour relier l’armbinder et les chevilles dans un hogtie strict. Elle finit son ouvrage avec le bâillon et contemple la nuit durant sa maîtresse, prisonnière par ses soins …
Au réveil, Natacha fulmine de rage quand elle se rend compte qu’elle est attachée et bâillonnée…Maryline arrive à ce moment et dit :
« Bonjour maîtresse, j’espère que vous avez bien dormi… (changeant de ton, plus provocateur) Alors, ça fait quoi, blondasse d’être prisonnière par sa soumise ? Je n’ai jamais abandonné pour pouvoir me rebeller mais je t’avoue, ma Natacha chérie que t’être soumise n’est pas désagréable, je peux enfin abandonner le contrôle à quelqu’un d’autre … Je vais poser mes conditions pour demeurer ta soumise à vie et tu as tout à y gagner si tu les acceptes … »
A ces mots, la styliste abaisse la boule du bâillon de la blonde et la laisse répondre :
« Petite salope ! Tu ne paies rien pour a…. »
Elle ne peut pas finir sa phrase que Maryline lui a remis le bâillon et reprend la parole :
« Alors, voici ce que je propose : Je me soumets à toi à condition que je puisse avoir un atelier et un peu de temps pour pouvoir travailler sur mes collections et sur mes créations quelque part dans le manoir et aussi que l’on se marie, car je t’avoue ma jolie maîtresse, que je suis tombée amoureuse de toi et que cela dure depuis le jour de notre examen, la soumission n’a fait que renforcer mon amour pour toi… En contrepartie, tu auras le droit de me restreindre, me punir et aussi m’utiliser à ta guise comme une servante … Si tu acceptes, hoche la tête, sinon, je te laisse comme ça jusqu’à la fin de ma journée de congés … »
Natacha hoche la tête et la styliste s’approche d’elle, lui ôte le bâillon et à cet instant les deux femmes s’embrassent quelques instants. La Maîtresse est donc libérée et ce jour de congés pour la soumise, se transforme en journée de couple pour la styliste et sa maîtresse avec au menus câlins et baisers pour signer, entre les deux jeunes femmes, un nouvel accord, un contrat à vie ….
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”