Bonjour à tous

!! Voici l'épisode suivant, bonne lecture à chacun!!!
Jour 3 : espionnage délicat
C'est jeudi, fin d'après midi au travail, toujours dans ma tenue habituelle. Je suis sur une grosse affaire: une assemblée mafieuse exploitant la prostitution dans une grande partie de la ville.
Ce gang aurait kidnappée des femmes, le plus souvent de jeunes touristes étrangères, et les forcerait à se prostituer pour leur compte. Depuis bientôt deux semaines, je suis arrivé à infiltrer cette organisation criminelle. J'ai adopté une tenue des plus sexys et provoquante possible, afin d'entrer plus facilement dans cette organisation. J’ai parvenu à entrer dans cette organisation et à me faire une place importante. Mon rôle consiste à servir le boss de
cette organisation, Yvan Soumarov, qui semble être un ancien mafieux russe. Je suis sa "servante" je m'occupe de tous ses caprices et doit être présent avec lui, je suis une jolie fille qui lui confère du prestige par ma présence. J'ai déjà réussi à dénicher une preuve contre lui, un enregistrement de cette personne en train de parler à ses hommes de son plan pour un de ses kidnappings en masse.
J'avais dissimulé un micro sur moi, personne n'y a remarqué quoi que ce soit. J'ai déjà remis cette preuve à la police, et je tiens bientôt le scoop de l'année. Il faut encore que je puisse
savoir depuis combien de temps ses actions ont été menées et combien de filles ils auraient pu enlever depuis. Il est déjà 17h00, je dois être dans leur repaire dans une heure...
"Bonjour Nina, ton affaire sur la prostitution semble être un véritable succès", m'annonce Clara, que je n'ai pas revu depuis qu'elle m'a enlevée.
"Oui Clara, je n'ai pas besoin de faire du chantage à mon patron, contrairement à toi" je réplique.
"Oh Nina, je ne voudrais pas que ce qui c'est passé nous empêche d'établir une bonne relation. Pour être honnête j'ai vraiment adoré...tu sais... ce beau baiser".
"S'il te plait, j'ai du travail Clara".
"Très bien, à une prochaine, fille sexy".
Dès que j'en aurais fini avec cette affaire de prostitution, je m'occuperai d'elle. Il est temps pour moi de mettre ma tenue d'infiltration. Je le fais dans les toilettes du bureau. Je commence par mettre cette courte jupe noire plissée. Je l'ai mise par dessus mes collant noir. Je serre cette jupe avec une ceinture en cuir noir cloutée. J'enfile ensuite un top à longue manche, très serré, qui moule parfaitement mon corps, en particulier ma poitrine, ce qui me confère un aspect très provoquant. J'enfile également quatre attaches cheveux à mon poignet gauche et huit bracelets en plastique noir d’un style emo/rock à mon poignet droite. Mes cheveux cette fois ne sont pas attaché, ils sont longs et très légèrement ondulés. Puis je mets deux grandes boucles d'oreilles créoles argentées. Puis je mets des talons à mes pieds, lesquels ont une bride à mes chevilles. Me voilà prête pour ce soir.
En partant je tombe sur Gwenne:
"Bonjour Nina. Ouah, tu feras rincer l’œil à beaucoup d'homme dans cette tenue. Fais attention à toi tout de même".
"C'est gentil Gwenne, mais ne t'en fais pas pour moi, ils ne se doutent pas que je les espionne. Tu te souviens de l’affaire Anastasia, cette femme très riche qui finançait secrètement une usine de fabrication de cocaïne. Je suis parvenue à prouver son implication sans être mise en danger. Cette femme n’a jamais su que j’étais derrière son arrestation, elle ne sait même pas qui je suis. Crois-moi, cette fois encore, tout va bien se passer"
"Je l’espère Nina, prends garde tout de même, tu courrais un grand danger si ils viennent à savoir que tu les espionnes! "
Je prends ma voiture et me rends au repaire. C'est un immeuble de quatre étages. La porte est gardée par deux hommes. L'organisation en emploi au moins une bonne dizaine. Dans ce rôle, je me fais appeler Natacha.
Je m’approche de l’entrée principale, un des hommes prévient Yvan par téléphone:
"Chef, votre poussin est arrivé. Tu connais le chemin Natacha"
"A tout à l'heure messieurs" je réplique.
J'aime jouer des rôles, c'est très excitant, de jouer sur ce terrain. Je monte au 4ème, devant la porte de son bureau se trouve également deux hommes devant la porte, lesquels me laissent entrer.
A peine je suis arrivée qu’Yvan me donne déjà des ordres:
"Natasha, prends la bouteille de champagne et sers moi un verre !!".
"Bien sûr chef", je réplique et donne suite à sa demande. Quel macho tout de même, il me traite comme une esclave.
"Natacha, cette police ose s'en prendre à moi. Les autorités me défient, moi Yvan Soumarov. Comment osent-ils, ils ne savent pas qui je suis!!"
"Ils commettent une grave erreur Soumarov!!", je réplique afin de le mettre en confiance.
"Ils ne savent pas à qui ils ont à faire. Je ferai détruire leur enquête, jamais ils ne m'arrêteront, ces ripoux. Enfin, heureusement, j'ai également de bonne nouvelles, nous avons plein de
recrues magnifiques. Ces petites princesses d’une vingtaine d’année, qui se déplacent en petit groupe de fille pour visiter un pays, ce sont des proies tellement faciles. Ce sont de vrais fontaines de pognons."
"Oh, quelle bonne nouvelle Yvan, les affaires marchent toujours bien", je réponds.
Yvan s'approche de moi, et pose sa main sur mon épaule:" Ce sera toi, ma compagne, qui les brieferas sur leur travail"
"Bien sûr Yvan, tes désirs sont des ordres".
"Je vais également devoir augmenter ma garde, ces flics vont tout de même tout faire pour m'arrêter, je ne dois pas prendre de risque".
"Je suis d'accord" je réponds. "Avec ce mandat d'arrêt, toutes les polices seront après toi, tu dois rester à l'abri".
Yvan me regarde étrangement. Mon cœur commence à battre, que lui arrive-t-il.
Il reprend la parole : " Que dis-tu Natacha? Je ne t'ai jamais dit qu'il s'agissait d'un mandat d'arrêt à mon encontre. Comment peux-tu le savoir?"
"Non, je... euh... je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça, je n'en savais rien, je, je..."mon dieu, je suis terrifiée, je réponds en bégayant.
"Comment le sais-tu, qui es-tu? Tu es une flic c'est ça? C'est pour ça que la police a eu des informations sur mes activités! Maintenant parles !!" me dit il en saisissant aux épaules.
Aussitôt je lui donne un coup de genoux dans les parties génitales, Yvan s'effondre en criant. Les 2 hommes qui étaient derrière la porte entre instantanément et accourent vers Yvan, ils n'ont pas compris qu'ils doivent être après moi, j'en profite pour m'échapper. Je suis sorti de la pièce, en courant dans le couloir, j'entends Yvan crier: "Rattrapez la bande d'imbéciles, elle nous espionne depuis le début, donnez l'alerte aux autres".
Désormais je ne peux plus me retrouver face à un de ses hommes. Mon cœur bat si fort. Quelle gourde, j’étais trop sûr de moi et j'ai commis une grave erreur. Si je parviens à m'échapper, la police pourra s'occuper de lui avec ma preuve. Je suis déjà au 1er étage, mais j'entends les hommes près de la porte de sortie tout en bas. Cette sortie est bloquée. D'abord il faut que je me cache, mais où? Vite, ses sbires sont en train d'arriver. J'entre dans la première pièce que je vois. Horreur, pas de fenêtre, je ne peux pas m'enfuir. Où me cacher? Sous le lit. Non trop classique ils me trouveront. Ou bien... oui l'armoire, je peux toujours me dissimuler parmi les manteaux, je n'aurai qu'à m'accrocher et me suspendre à la barre pour qu'ils ne voient pas mes pieds au sol. Je me mets dans ma cachette. Deux hommes arrivent. Je ne les vois pas, ils font simplement du bruit. Puis ils ouvrent l'armoire. J'ai tellement peur. Seules quelques secondes passent, mais celles-ci semblent durer une éternité. Puis ils referment la porte. Ouf. Ils repartent, la voix est libre. Je parviens à descendre au rez-de-chaussée, mais les gardes de la porte sont toujours là. J'entre dans une pièce où je crois qu'il y a une fenêtre à l'arrière. J’entre dans la pièce, mon cœur bat tellement fort que je crains une crise cardiaque. Ouf, mes souvenirs sont bons, il y a bien une fenêtre!! J'ai enfin une échappatoire. Je suis dehors. Soudain, j'entends:
"Elle s'est échappée, juste là en bas, attrapez-la!!!"
Un des hommes m'a vue par une fenêtre au dessus. La fenêtre débouche sur une ruelle que je ne connais pas, mais je courre au plus vite. Puis deux hommes sont déjà derrière moi. Je coure le plus vite possible. Mais c'est difficile avec talons, ils vont me rattraper. Plus loin j'aperçois une petite ruelle qui débouche sur la gauche. Il faut que je l'emprunte, avec un peu de chance les hommes iront tout droit, ils sont trop loin pour me voire. Je coure sur la gauche. Cette ruelle est très étroite. Elle tourne encore sur la droite, je poursuis cette ruelle. Oh non !! Un grillage bloque la ruelle, je ne peux pas aller plus loin.
Puis si je retourne dans la rue principale, les hommes me trouveront. Mais je les entends déjà venir. Je pourrais me cacher? Impossible il n'y a rien ici. Quelques secondes passent, et ils m'ont déjà trouvée !! Horreur les deux hommes sont justes devant moi. L'un deux prends son téléphone:
"C'est bon chef, on la tient!! On vous l'amène tout de suite à votre bureau".
Aussitôt, l'autre homme sort un rouleau de scotch gris en disant à l'autre "attache la bien !!", puis l'homme au téléphone saisit mes poignets et les ramène à l'arrière de mon dos.
Le bruit du déroulement de ce scotch me fait frissonner. Puis ils viennent d’attacher mes mains derrière le dos. Puis avant que j’aie le temps de prononcer un mot, ils m'en mettent un autre morceau sur la bouche. Me voilà bâillonnée.
Puis ils me tiennent chacun par un bras et m'emmène de force:
"Allez, assez jouer maintenant!! Suis-nous poulette." me dit le même homme.
Quelle conne. Me voilà dans de très sale drap maintenant, tout ça à cause de cette boulette.
J'essaie de crier: "MMMHHH...." mais aussitôt un des hommes me menace:"N'essaie pas de crier, ou on te coupera la langue, salope". Alors je cesse de couiner, pendant qu’ils m’emmènent.
Nous arrivons devant la porte, les deux gardes leurs disent : "Bon boulot les gars, cette garce ne nous aura pas échappée!!".
Puis nous montons au bureau d’Yvan. Mon dieu, qu'est ce que j'ai peur. Les deux hommes me mettent sur une chaise, et Yvan est juste devant moi, et les deux hommes restent à côté. Yvan m'adresse la parole: "Traitresse, comment as-tu pu me faire ça à moi. Jamais une pute n’a réussi à me mettre autant de bâtons dans les roues!! Mais maintenant, je te tiens, ma jolie, et tu vas tout me dire !!"
Il enlève le scotch sur ma bouche, aussitôt je dis: "je...je ne sais rien, je vous jure".
Aussitôt, un des hommes met tiens pendant que l'autre sort un couteau, approchant la lame vers mon torse en me disant : "On va te faire parler, salope de fliquette, à toi de décider si tu veux souffrir ou non !!"
Aussitôt je m'explique :" Non d'accord, d'accord je vais tout vous dire!! Je ne suis pas de la police, je suis reporter, j'ai infiltré votre organisation pour un scoop, j'ai recueilli une preuve,
un enregistrement sur vos opérations, je l’ai remis à la police c'est pour ça que je suis au courant pour le mandat d'arrêt!"
"Quel est ton vrai nom?" me demande Yvan.
"Nina, Nina Averine" je réplique immédiatement.
"Où est cette preuve Nina, dis le moi!"
"Je l'ai remise à la police, je vous dit, elle est au poste actuellement" je répond, terrorisée.
Yvan me remet le scotch sur ma bouche, puis dit à ses hommes:"Ligotez-la solidement, et surveillez la, je reviens".
L'homme avec le couteau range son arme, et ressort son rouleau de scotch. Ils commencent par mes pieds. Le bruit de ce scotch augmente mon rythme cardiaque, c'est si serré. Puis ils m'attachent également juste au dessous des genoux. Puis maintenant au dessus des genoux, au niveau des cuisses. Je suis si vite attachée avec ce scotch, quelques tours et je suis immobilisée. Puis ils passent au haut, m'attachant au torse passant le scotch autour de mes bras, au dessous de mes seins... puis au dessus de mes seins également. Me voilà complètement saucissonnée, une fois de plus ligotée et bâillonnée. Cette fois je suis vraiment
terrorisée. Impossible de me libérer, les deux hommes restent avec moi.
"Dommage qu'on ne puisse pas la mettre sur le trottoir celle-là, elle en ferait des clients heureux celle-là" dit un des hommes.
"Ouais, c'est une sacrée source de pognons cette beauté".
Me voilà bien arrangée: attachée dans une tenue très provoquant avec deux hommes dans la même pièce qui ne semble pas avoir beaucoup de retenue. L'autre homme lui répond.
"Ah ça ouais. Quelle bombe tout de même. Je les adore les comme ça, brune avec un corps parfait et habillée comme une salope...mmmm, rien que de la voir ça m'excitait déjà. Imagine, si Yvan nous la laisse une ou deux heures, il y aura de quoi se rassasier...ouais, pile comme je les aime!!"
Mon dieu, tous ces hommes vont profiter de moi, si seulement je pouvais m'enfuir. Mais je suis complètement prisonnière.
Yvan est loin depuis plus d'une heure, pendant que ses deux sbires sont en train de baver sur moi. Puis ils continuent:
"Non mais sérieusement, ce regards, c'est tellement excitant. J'en ai rarement vu des aussi bonnes. Tu penses qu'elle a un amant."
"Je sais pas, mais cet enfoiré doit pas de faire chier en tout cas si c'est le cas. Coucher avec une gonzesse comme ça, je serais prêt à payer des millions".
Puis soudain, la porte s'ouvre, c'est Yvan qui entre:
"Laissez-nous seuls" dit-il.
Aussitôt les deux hommes quittent la pièce. Yvan se met face à moi:
"Tu vas tout de même me servir, ma poupée. Vois-tu je viens de passer un accord avec la police. Si je te rends indemne, ils me rendront ta preuve et abandonneront les charges qui pèsent contre moi.
Je quitterai le pays. C'est tout de même dommage, j'aurais tellement voulu te remettre à mes hommes, ils sont tous fou de toi, je le voyais déjà quant tu me servais de courtisane. L'échange aura lieu dans une demi-heure. Je n'ai pas pu faire plus long, c'est dommage, on aurait pu prendre du bon temps ensemble, mais bon c'est la vie. A tout à l'heure ma beauté".
Il me laisse seul dans la pièce. Je suis rassurée. Inutile de chercher à me libérer, ce ne serait que prendre des risques, je ne fait qu'attendre. Au fond, je trouve même … j’aime quelque peu cette sensation sur le moment… d'être cette prisonnière en détresse. A force je dois commencer à m'y habituer. Puis d'ailleurs, ce scotch est tellement serré, que je n'aurais jamais pu m'en débarrasser.
Les deux hommes de tout à l'heure reviennent, l'un deux ressort son couteaux, je suis effrayée:
"MMMMMHHHHHH", je fais toujours bâillonnée.
"Ne t'inquiète pas poulette, c'est pour défaire tes liens" répond-il.
Ils détachent mes pieds et mes jambes, ainsi que mes bras. Seules mes mains sont encore attachées, puis je suis toujours bâillonnée. Ils m’emmènent dans une voiture et démarre. Il y a trois autres voitures qui roulent. Je suis toujours captive entre les deux hommes.
Nous arrivons au rendez-vous, il y a des policiers et leurs voitures partout. Yuri est ici également, c’est lui qui semble commander. Mes deux ravisseurs sortent chacun un pistolet, dont un pointe sur ma tête, puis ils me sortent de la voiture. Yvan est
venu avec une dizaine de ses sbires. Il crie "comme prévu, nous échangeons la preuve contre la fille".
Yuri leur répond: "la voici, je vous la lance. Vous avez du recevoir notre accord signé par le tribunal fédéral, vous autorisant à quitter le pays. Maintenant rendez- nous la fille, et tout se passera bien".
"Avance salope", me dit un des hommes.
Je marche doucement, il n'y a pas un bruit ci ce n'est seulement celui de mes talons. Je sens toujours mes mains, entourés de mes bracelets de cuirs et de mes attaches cheveux, toujours attachées. Je sens encore ce scotch qui est sur ma bouche me bâillonnant. J'avance tout doucement. Dès que j'ai rejoint les forces de police, Yvan et ses sbires repartent immédiatement.
Yuri ôte immédiatement le scotch sur ma bouche:
"Aaahh, merci, je suis tellement heureuse de te voir Yuri !!"
Puis il détache mes mains en me demandant:" Tout va bien Nina? J’ai eu tellement peur pour toi".
Je réponds heureuse: " Oui, tout va bien maintenant, surtout avec toi" !!
Je passe au commissariat pour être interrogée, puis je rentre chez moi, raccompagnée par l’inspecteur Yuri. Une fois de plus kidnappée, mais heureusement toujours indemne.