Re: Une Feria attachante
Publié : 26 déc. 2022, 12:47
Voici le cinquième et dernier chapitre. Il y aura un épilogue avec la fameuse fête de Noël
annoncée
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Chapitre 5 : Au 15 Août, victoire, promesses et nouveaux liens
En ce matin du 15 Août, Maëva se réveille, libre de tout lien, sans bâillon ni bandeau sur les yeux… Vêtue d’une nuisette de soie dorée, elle observe autour d’elle, voit Sylvie toujours prisonnière de ses liens et toujours en soubrette. Elle lit sur la table de chevet un mot de Dylan qui dit :
« Ma belle Maëva,
Ce jour, je t’offre un cadeau, je te laisse savourer ta victoire avec la jolie soubrette qui demeure au pied de notre lit, tes trois autres amies sont toujours dans la même position qu’hier soir au moment de se coucher, je te laisse le soin de décider de leur sort et de leur punition…Pour ce jour, je te laisse la liberté mais les liens, bâillons et autres restrictions ne sont jamais loin et je n’hésiterai pas à te rappeler ta place, jolie Menotte ! Profite de ta journée, je te laisse seule avec les filles, je t’aime ! »
Elle se lève, s’approche de Sylvie, lui caresse le menton, descend le long de son corps comme pour observer chaque partie de la soubrette : tenue, liens, bâillon, bandeau… Tout est si parfait et la Teigne, éveillée, se débat furieusement pour inviter son amie à la libérer mais rien n’attendrit Maëva, bien au contraire, elle dit avec confiance et autorité :
« Regarde-toi ma chère Sylvie,
Si j’avais échoué à notre pari, je serais proche après ce dernier soir de Féria d’être à ta place et soumise à tes désirs… Mais voilà, avec Dylan il y a eu une connexion, une attirance et aussi cette curiosité de vouloir m’abandonner à lui … J’ai non seulement, sans calcul aucun gagné mon pari, mais aussi trouvé le bonheur… Je te devais un gage et quoi de plus excitant que de te rendre la monnaie de ta pièce ? Te voici donc prisonnière, habillée en soubrette et presque, grâce au bâillon, sage comme une image et je dois t’avouer que ça m’évitera quelques insultes ma chérie… Tu m’appartiens donc pour jusqu’à demain 16 Août midi et tu vas me servir comme une gentille petite salope ! »
Un baiser déposé sur le bâillon et un ricanement montrent que cette fois-ci, la Menotte va s’en donner à cœur joie et, juste avant d’aller dans la salle de bain, elle baisse lentement la culotte et claque les fesses de sa victime d’un coup sec ! Elle s’habille dans sa tenue flamenca, coiffée et maquillée à l’espagnole … Elle revient dans la chambre, ôte le bandeau de Sylvie, l’amène en laisse dans le salon … Une fois dans la pièce, elle relie par une chaîne au collier et à l’armbinder un plateau d’argent, elle dispose une cafetière, quatre tasses et un panier de viennoiseries dessus… Après voir donné la consigne à Sylvie d’attendre que Maëva l’appelle, la maîtresse de maison désormais s’approche dans le salon de ses autres prisonnières.
Elle libère d’abord la bouche et le nez de Sophie, belle momie sur le tapis. La grande fille dit :
« Maëva,
Pourquoi je suis momifiée ? Je comprends que nos moqueries aient pu te vexer mais je t’en prie libère moi… !! »
D’un doigt sur la bouche, elle réussit à faire taire Sophie… Elle s’adresse donc à Sophie et à Coralie et leur dit :
« Les filles, j’ai eu envie de vous faire un peu payer les moqueries de ce début de Féria, je vais vous libérer mais patientez encore un instant, je dois m’occuper de Pénélope d’abord ! »
Elle s’approche de la pauvre espagnole suspendue, une claque violente sur les fesses et elle se pavane devant elle en tenue flamenca. Elle fixe la prisonnière dans les yeux et elle lui dit :
« Bien Señorita,
Je vois que ma tenue te fait envie, j’ai vu de la jalousie l’autre soir dans tes yeux quand j’ai mis cette tenue … Tu voudrais la même n’est-ce pas ? Si tu es sage je t’en offrirai une … Comme les filles, je vais te libérer, je vous réserve la surprise du sort réservé à la Teigne, elle va payer la plus lourde facture de ce pari perdu… »
Elle libère ses amies, l’une après l’autre, leur raconte comment est né ce projet de les punir toutes les quatre pour le pari perdu… Elle apppelle donc Sylvie, qui arrive à pas lents avec ses ballets boots, reliés par une courte chaine, bâillonnée avec un bâillon-boule noir, harnachée avec le plateau et l’armbinder dans son dos … Maëva lui ordonne d’accélérer le pas, la captive tente tant bien que mal d’obéir pendant que Maëva jubile de sa victoire et dit aux autres filles :
« Regardez les filles, je peux officiellement dire que j’ai gagné notre pari. Voir notre chère Teigne si docile et silencieuse vous étonne mais c’est son gage, jusqu’à demain midi, elle m’est soumise, comme moi je suis prisonnière de différents liens et amoureuse de celui qui me retient captive sentimentalement et physiquement aussi bien entendu, jusqu’à demain midi ensuite elle sera libre et on se retrouvera toutes pour d’autres soirées mais je vous fais la promesse que je ne serai plus la seule attachée ! »
La journée se passe, Maëva, Sophie, Pénélope et Coralie profitent du gage de Sylvie pour lui donner des tâches domestiques à faire : lessive, ménage, vaisselle … Evidemment en laissant quelques pauses toilettes et aussi pour manger et boire à leur victime…Au moment de se préparer pour le dernier soir de fête, Maëva ôte le bâillon de Sylvie qui profite de l’occasion pour enfin se faire entendre :
« Espèce de petite salope ! Détache-moi maintenant la plaisanterie a assez durée ! Tu as gagné, d’accord, tu me l’as fait payer OK mais tu ne peux pas me garder ainsi jusqu’à demain midi, c’est de la triche ! »
Maëva remet le bâillon à Sylvie et lui répond :
« Ah ça m’avait manqué tes aboiements … Tu as accepté les règles d’un gage, si c’est trop strict pour toi, tu peux abandonner mais tu passeras de la Teigne à la Lâche … Vu ton caractère je te vois mal abandonner… Je t’ai dit ce matin que sans l’heureux hasard de rencontrer Dylan, dès demain matin j’aurais été ta soumise et je sais que tu ne m’aurais plus jamais laissée partir… Il te reste 16heures à supporter mes caprices, ma vengeance mais tu restes tout de même ma meilleure amie, on se connaît depuis l’enfance… Tiens bon, je ne serai pas trop sévère.. Seule contrainte c’est que, même sans liens, tu seras menottée, bâillonnée avec du tape transparent ce soir et tu restes habillée en soubrette ….Mais après demain, je te fais la promesse que l’on aura d’autres jeux où, quand Dylan me laissera libre, je m’abandonnerai à toi quelques heures… »
Une étreinte entre les deux amies fixe la règle du jeu une dernière fois pour ce défi et leur amitié se retrouve renforcée par un nouveau lien qui ne se brisera plus jamais. Sylvie se laisse donc apprêter pour la soirée, tenue en laisse, menottée et donc bâillonnée avec du tape ….
La soirée dans le centre-ville de Béziers se passe, calmement, un soir de Féria plus tranquille que les quatre précédents… Pour sceller cette Féria, Maëva et ses drôles de dames (désormais elle est la leader du petit groupe), avec Sylvie toujours promenée en laisse et restreinte ainsi que Dylan et les Quatre Fantastiques se dirigent tous dix vers les Neuf Ecluses de Fonséranes pour faire le selfie souvenir de nouvelles amitiés naissantes, d’une romance qui n’est pas prête de cesser et d’une amitié consolidée après des épreuves …
Chacun rentre donc chez soi aux alentours de 6 heures du matin, Coralie, Pénélope et Sophie repensent à leur nuit précédente dans les liens et un frisson, un désir de goûter à nouveau à l’impuissance s’éveille en elles, les quatre garçons rentrent chez eux et de leur côté, Dylan, Maëva et Sylvie retournent chez le jeune homme… Dylan déshabille sa compagne, la lie en hogtie dans un ensemble de lingerie noir, un bâillon-boule aussi rouge que le rouge à lèvres de Maëva et un bandeau noir sur les yeux, aux côtés de Sylvie, dans la même position que son amie, toujours en soubrette, face à Maëva … La double boule du bâillon laisse les deux amies impuissantes comme liées par un baiser …
Le lendemain, après une courte nuit, il est près de midi quand Sylvie retrouve sa liberté. En remettant la tenue de soubrette à Maëva elle lui murmure à l’oreille :
« Cette tenue te vas beaucoup mieux qu’à moi… Sois heureuse ma chérie ! »
Maëva étreint son amie, embrasse son homme et elle dit :
« Entre vous deux, je n’ai besoin de rien d’autre que ma meilleure amie et mon chéri, je vous aime ! »
Une fois seule avec celui qu’elle aime, elle s’abandonne dans les bras de Dylan, sans liens en attendant le soir et retrace le fil de cette Féria… Elle ferme les yeux, soupire et, apaisée, dit à Dylan :
« Et si on proposait aux filles et aux garçons de faire les réveillons de fin d’année dans notre future maison ? J’aimerais tant que tout le monde soit à nouveau réuni …»
Elle s’endort sur Dylan et s’abandonne corps et âme, désormais chaque lien est pour elle un signe de bonheur.
FIN
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Chapitre 5 : Au 15 Août, victoire, promesses et nouveaux liens
En ce matin du 15 Août, Maëva se réveille, libre de tout lien, sans bâillon ni bandeau sur les yeux… Vêtue d’une nuisette de soie dorée, elle observe autour d’elle, voit Sylvie toujours prisonnière de ses liens et toujours en soubrette. Elle lit sur la table de chevet un mot de Dylan qui dit :
« Ma belle Maëva,
Ce jour, je t’offre un cadeau, je te laisse savourer ta victoire avec la jolie soubrette qui demeure au pied de notre lit, tes trois autres amies sont toujours dans la même position qu’hier soir au moment de se coucher, je te laisse le soin de décider de leur sort et de leur punition…Pour ce jour, je te laisse la liberté mais les liens, bâillons et autres restrictions ne sont jamais loin et je n’hésiterai pas à te rappeler ta place, jolie Menotte ! Profite de ta journée, je te laisse seule avec les filles, je t’aime ! »
Elle se lève, s’approche de Sylvie, lui caresse le menton, descend le long de son corps comme pour observer chaque partie de la soubrette : tenue, liens, bâillon, bandeau… Tout est si parfait et la Teigne, éveillée, se débat furieusement pour inviter son amie à la libérer mais rien n’attendrit Maëva, bien au contraire, elle dit avec confiance et autorité :
« Regarde-toi ma chère Sylvie,
Si j’avais échoué à notre pari, je serais proche après ce dernier soir de Féria d’être à ta place et soumise à tes désirs… Mais voilà, avec Dylan il y a eu une connexion, une attirance et aussi cette curiosité de vouloir m’abandonner à lui … J’ai non seulement, sans calcul aucun gagné mon pari, mais aussi trouvé le bonheur… Je te devais un gage et quoi de plus excitant que de te rendre la monnaie de ta pièce ? Te voici donc prisonnière, habillée en soubrette et presque, grâce au bâillon, sage comme une image et je dois t’avouer que ça m’évitera quelques insultes ma chérie… Tu m’appartiens donc pour jusqu’à demain 16 Août midi et tu vas me servir comme une gentille petite salope ! »
Un baiser déposé sur le bâillon et un ricanement montrent que cette fois-ci, la Menotte va s’en donner à cœur joie et, juste avant d’aller dans la salle de bain, elle baisse lentement la culotte et claque les fesses de sa victime d’un coup sec ! Elle s’habille dans sa tenue flamenca, coiffée et maquillée à l’espagnole … Elle revient dans la chambre, ôte le bandeau de Sylvie, l’amène en laisse dans le salon … Une fois dans la pièce, elle relie par une chaîne au collier et à l’armbinder un plateau d’argent, elle dispose une cafetière, quatre tasses et un panier de viennoiseries dessus… Après voir donné la consigne à Sylvie d’attendre que Maëva l’appelle, la maîtresse de maison désormais s’approche dans le salon de ses autres prisonnières.
Elle libère d’abord la bouche et le nez de Sophie, belle momie sur le tapis. La grande fille dit :
« Maëva,
Pourquoi je suis momifiée ? Je comprends que nos moqueries aient pu te vexer mais je t’en prie libère moi… !! »
D’un doigt sur la bouche, elle réussit à faire taire Sophie… Elle s’adresse donc à Sophie et à Coralie et leur dit :
« Les filles, j’ai eu envie de vous faire un peu payer les moqueries de ce début de Féria, je vais vous libérer mais patientez encore un instant, je dois m’occuper de Pénélope d’abord ! »
Elle s’approche de la pauvre espagnole suspendue, une claque violente sur les fesses et elle se pavane devant elle en tenue flamenca. Elle fixe la prisonnière dans les yeux et elle lui dit :
« Bien Señorita,
Je vois que ma tenue te fait envie, j’ai vu de la jalousie l’autre soir dans tes yeux quand j’ai mis cette tenue … Tu voudrais la même n’est-ce pas ? Si tu es sage je t’en offrirai une … Comme les filles, je vais te libérer, je vous réserve la surprise du sort réservé à la Teigne, elle va payer la plus lourde facture de ce pari perdu… »
Elle libère ses amies, l’une après l’autre, leur raconte comment est né ce projet de les punir toutes les quatre pour le pari perdu… Elle apppelle donc Sylvie, qui arrive à pas lents avec ses ballets boots, reliés par une courte chaine, bâillonnée avec un bâillon-boule noir, harnachée avec le plateau et l’armbinder dans son dos … Maëva lui ordonne d’accélérer le pas, la captive tente tant bien que mal d’obéir pendant que Maëva jubile de sa victoire et dit aux autres filles :
« Regardez les filles, je peux officiellement dire que j’ai gagné notre pari. Voir notre chère Teigne si docile et silencieuse vous étonne mais c’est son gage, jusqu’à demain midi, elle m’est soumise, comme moi je suis prisonnière de différents liens et amoureuse de celui qui me retient captive sentimentalement et physiquement aussi bien entendu, jusqu’à demain midi ensuite elle sera libre et on se retrouvera toutes pour d’autres soirées mais je vous fais la promesse que je ne serai plus la seule attachée ! »
La journée se passe, Maëva, Sophie, Pénélope et Coralie profitent du gage de Sylvie pour lui donner des tâches domestiques à faire : lessive, ménage, vaisselle … Evidemment en laissant quelques pauses toilettes et aussi pour manger et boire à leur victime…Au moment de se préparer pour le dernier soir de fête, Maëva ôte le bâillon de Sylvie qui profite de l’occasion pour enfin se faire entendre :
« Espèce de petite salope ! Détache-moi maintenant la plaisanterie a assez durée ! Tu as gagné, d’accord, tu me l’as fait payer OK mais tu ne peux pas me garder ainsi jusqu’à demain midi, c’est de la triche ! »
Maëva remet le bâillon à Sylvie et lui répond :
« Ah ça m’avait manqué tes aboiements … Tu as accepté les règles d’un gage, si c’est trop strict pour toi, tu peux abandonner mais tu passeras de la Teigne à la Lâche … Vu ton caractère je te vois mal abandonner… Je t’ai dit ce matin que sans l’heureux hasard de rencontrer Dylan, dès demain matin j’aurais été ta soumise et je sais que tu ne m’aurais plus jamais laissée partir… Il te reste 16heures à supporter mes caprices, ma vengeance mais tu restes tout de même ma meilleure amie, on se connaît depuis l’enfance… Tiens bon, je ne serai pas trop sévère.. Seule contrainte c’est que, même sans liens, tu seras menottée, bâillonnée avec du tape transparent ce soir et tu restes habillée en soubrette ….Mais après demain, je te fais la promesse que l’on aura d’autres jeux où, quand Dylan me laissera libre, je m’abandonnerai à toi quelques heures… »
Une étreinte entre les deux amies fixe la règle du jeu une dernière fois pour ce défi et leur amitié se retrouve renforcée par un nouveau lien qui ne se brisera plus jamais. Sylvie se laisse donc apprêter pour la soirée, tenue en laisse, menottée et donc bâillonnée avec du tape ….
La soirée dans le centre-ville de Béziers se passe, calmement, un soir de Féria plus tranquille que les quatre précédents… Pour sceller cette Féria, Maëva et ses drôles de dames (désormais elle est la leader du petit groupe), avec Sylvie toujours promenée en laisse et restreinte ainsi que Dylan et les Quatre Fantastiques se dirigent tous dix vers les Neuf Ecluses de Fonséranes pour faire le selfie souvenir de nouvelles amitiés naissantes, d’une romance qui n’est pas prête de cesser et d’une amitié consolidée après des épreuves …
Chacun rentre donc chez soi aux alentours de 6 heures du matin, Coralie, Pénélope et Sophie repensent à leur nuit précédente dans les liens et un frisson, un désir de goûter à nouveau à l’impuissance s’éveille en elles, les quatre garçons rentrent chez eux et de leur côté, Dylan, Maëva et Sylvie retournent chez le jeune homme… Dylan déshabille sa compagne, la lie en hogtie dans un ensemble de lingerie noir, un bâillon-boule aussi rouge que le rouge à lèvres de Maëva et un bandeau noir sur les yeux, aux côtés de Sylvie, dans la même position que son amie, toujours en soubrette, face à Maëva … La double boule du bâillon laisse les deux amies impuissantes comme liées par un baiser …
Le lendemain, après une courte nuit, il est près de midi quand Sylvie retrouve sa liberté. En remettant la tenue de soubrette à Maëva elle lui murmure à l’oreille :
« Cette tenue te vas beaucoup mieux qu’à moi… Sois heureuse ma chérie ! »
Maëva étreint son amie, embrasse son homme et elle dit :
« Entre vous deux, je n’ai besoin de rien d’autre que ma meilleure amie et mon chéri, je vous aime ! »
Une fois seule avec celui qu’elle aime, elle s’abandonne dans les bras de Dylan, sans liens en attendant le soir et retrace le fil de cette Féria… Elle ferme les yeux, soupire et, apaisée, dit à Dylan :
« Et si on proposait aux filles et aux garçons de faire les réveillons de fin d’année dans notre future maison ? J’aimerais tant que tout le monde soit à nouveau réuni …»
Elle s’endort sur Dylan et s’abandonne corps et âme, désormais chaque lien est pour elle un signe de bonheur.
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