flagrant délit

[Bouya2]

"On s'est fait avoir comme des bleues, poursuivit Anne-Lise, d'autant qu'il a raison. Personne ne remarquera notre absence a la brigade, Walter est en arrêt maladie. Il n'y a que notre famille qui peut s'inquiéter..."
"Juste la tienne" marmonna t'elle.
Il faut dire que nous n'étions que le matin et le temps serait surement très long avant que quelqu'un ne se préoccupe de quelque chose.

Ah ben voilà

Sinon, l'histoire est bien. Elle prend des détours plutôt inattendus, et je me demande ce que tu as encore réservé à tes lecteurs. Suite !

[tyler durden]

Chapter 2

Cela faisait bientôt une semaine que les faits s'etaient produit mais ils étaient encore très présent dans la tête d'Orlane.
Le regard de ses collègues ou les chuchotements dans son dos la mettait mal a l'aise. La blonde avait particulièrement mal vécu sa libération par de jeunes auxiliaires. Elle, la fille expérimentée, mise a nu comme une stagiaire.
Alors qu'elle déambulait dans la rue afin sans doute d'oublier ses récents malheurs, Orlane fouilla machinalement dans sa poche afin d'y chercher un mouchoir et en sortit une carte.
Il n'y avait rien sur ce petit bout de carton ou plutôt si, un numero de téléphone griffonné au stylo plume. Intrigant se dit l'officier Bacquere, depuis combien de temps cette carte était-elle dans ce blouson? Qui l'avait mise? Lui était-elle vraiment destinée?
Elle avisa un café quelques dizaines de mètres plus loin et s'y installa.
Tout en buvant un café serré, la jeune femme se décida a appeler le fameux numéro.
A l'autre bout du fil, un homme décrocha.
"Oui?"
"Bonjour je suis Orlane Bacquere et j'ai trouvé votre carte dans mes affaires, je voulais savoir a qui et surtout a quoi elle correspondait." Débita la blonde.
"Et bien, disons que nous avons lié connaissance il y a peu de temps" lui rétorqua l'homme.
"Comment cela?" dit l'officier sans comprendre.
"Vous êtes sur de ne vous rappeller de rien?" Continua l'inconnu.
la jolie blonde comprit soudainement.
"Espèce de salopard! Vous êtes une ordure! Comment avez vous osé?" Eructa Orlane se souvenant de l'humiliation subie.
"Calmez vous, lui répondit le quadragénaire, je me suis permis de glisser cette carte car ce jour la, ce n'est pas de la crainte que j'ai lu dans vos yeux mais du plaisir..."
L'officier Bacquere demeura silencieuse un petit moment avant de répondre avec une légère hésitation.
"Mais, euh, non enfin ca ne va pas?" Répondit la blonde sexy.
"Mais si voyons, je l'ai vu. Je l'ai senti, je sens ces choses la" ajouta l'homme.
Énervée et sans doute vexée d'avoir eté percée a jour, elle raccrocha son téléphone.
Orlane le tritura un long moment avant de se décider a rappeler l'homme.

[tyler durden]

Triturant longuement son portable, la belle se décida finalement a rappeler le fameux numero.
Elle hésita longuement avant de prononcer les premiers mots.
"Qu'est ce que vous attendez de moi? Pourquoi cette carte? Et pourquoi êtes vous parti sans rien nous faire" interrogea Orlane.
"D'abord, je ne vous ai pas rien fait et puis j'ai eu le sentiment que recherchiez quelque chose..." Lui répondit l'homme.
Elle se mordit les lèvres puis déglutit lentement.
"Et alors que voulez-vous?" Insista t'elle.
"Vous!" Répondit-il calmement.
"Vous croyez sincèrement que je puisse tomber amoureux de vous? Ricana t-elle. Vous m'avez agressée!"
Après un long moment de calme, il brisa le silence:
"Vous le vouliez, vous le désiriez! Je l'ai vu lorsque vous avez vu les photos!"
Elle ne répondit rien sur le moment. Il poursuiva donc:
" Je vous rapellerai pour vous donner les instructions!" Conclua t'il en raccrochant brutalement.
La brutalité de la fin de la conversation surprit Orlane qui reposa son telephone sur la table, songeuse...

L'appel tant attendu pris la forme d'un texto, un soir quelques jours après pour la jeune femme.
La blonde le reçut alors qu'elle était chez elle en repos. Comme si l'homme savait quand la contacter.
"Mettez vous dans une tenue sexy mais impudique. Merci."
Elle réfléchit longuement avant de prendre sa décision. Orlane secoua la tête se demandant si tout cela était bien raisonnable...
Après avoir longuement pesé le pour et le contre, l'officier Bacquere se mit en quête de vêtements provocants dans sa garde-robe. Elle opta pour une jupe très courte, un string, des bas noirs, des bottes a hauts talons et un soutien-gorge dissimulé par un blouson en cuir. La belle blonde se contempla dans le miroir et se montra satisfaite. Orlane ajouta tout de même une grande paire de boucles d'oreille rondes pour ajouter a son charme. Elle souria.
La jeune femme semblait avoir oublié la dangerosité d'un tel rendez-vous.

Alors qu'elle patientait assise devant sa télé, un nouveau texto fit sonner son téléphone.
"Rdv ruelle du lavoir devant le quatorzième poteau en béton."
La blonde fut surpris d'un tel choix. Cette ruelle était au coeur d'un quartier paumé et relativement désert.
Sans se poser plus de questions, elle prit son arme la glissa dans son sac a main et sortit de chez elle.
Orlane s'engouffra ensuite dans sa voiture pour démarrer rapidement afin d'etre au rendez-vous. Un autre texto fit crépiter son portable, elle lisa tout en conduisant.
"Venez seul surtout, je vous surveille! Vous êtes belle..."
L'officier Bacquere trembla un peu mais cela ne ralentit nullement ses hardeurs et elle arriva finalement au point de rencontre. La jeune femme se gara a quelques rues de la.
Au dernier moment, la blonde choisit de ne pas prendre son sac a main et le glissa sous le siège. Elle se mordit les lèvres une dernière fois en se demandant si elle devait se soumettre a cet inconnu.
Orlane balaya toute ses idées en refermant la portière et en se dirigeant vers la fameuse ruelle. Elle fit son entrée sur le pavé humide et froid, la nuit était particulièrement sombre et l'on entendait seulement le bruit des talons d'Orlane claquant sur la pierre mouillée.
Elle avanca prudemment jusqu'au 14eme poteau en béton et s'arrêta devant.
Son téléphone sonna de nouveau.
"Derrière le poteau en beton, un paquet pour toi"
La jeune femme tâta prudemment et décolla le paquet en question, elle l'ouvrit fébrilement et trouva un rouleau de scotch noir ainsi qu'une paire de menottes.
Nouveau crépitement.
"Mets le scotch sur ta bouche et enchaîne toi au panneau derrière toi."
Orlane fut estomaquée de ce texto et regarda autour d'elle pour obtenir un indice rassurant mais personne a part elle n'était dans cette ruelle.
Elle soupira, regardant les menottes et le scotch. La blonde décida finalement de répondre favorablement au texto.
L'officier Bacquere decoupa un large morceau d'adhésif et se l'apposa fermement sur les lèvres. Elle fit un ultime test pour savoir si le baillon laissait passer un son." Mmmmmhhhhhhh!" Fit elle les lèvres scellées.
Orlane se retourna alors et fixa l'anneau métallique a son poignet gauche, elle glissa ensuite la chAîne derrière le panneau et referma l'autre menotte sur son poignet droit.
Voilà, elle était prisonnière. Menottée et bâillonnée dans cette ruelle déserte a une heure avancée. Dans l'incapacité de bouger, de lutter. Elle attendait a présent son bourreau. Ou autre chose...

[nonobound]

hum quelle histoire vivement la suite

[tyler durden]

L'angoisse monta peu a peu chez la jeune femme car le temps défila.
Bientôt 10 minutes qu'Orlane patientait entravée a son poteau. Elle avait beau jeter plusieurs coups d'oeil a gauche comme a droite, il n'y avait pas âme qui vive.
La blonde commença alors a paniquer un peu. Et si il ne venait pas? Ou était la clé de ses menottes?
"Mmmmhhh, mmmhhhh" ne put s'empêcher de gémir Orlane.
Elle s'agita de plus en plus testant inutilement la solidité des menottes.
20 minutes passèrent avant que l'officier Bacquere ne percoive un bruit lointain sur sa gauche. Quelque chose d'infime mais présent. Pour l'instant indéfinissable mais au fil des secondes, cela devint plus précis.
C'était des bruits de pas! Et il se rapprochaient.
"Mmmhhhh" fit doucement Orlane qui s'interrogeait.
Bientôt une silhouette fut perceptible au loin et la jeune femme crut reconnaitre celle d'un homme. Elle ne s'affola donc pas, croyant même reconnaitre l'allure de son bourreau.
Ses yeux se plissérent et on crut même détecter un sourire sous son bâillon. Mais c'était avant qu'Orlane s'aperçoive que l'homme en question était un inconnu.
La blonde sexy recula alors et collée a son poteau, elle pria pour qu'il passa son chemin sans faire attention a elle.
Mais voilà, arrivée a sa hauteur, l'inconnu stoppa net sa progression un large sourire aux lèvres.
Il était très jeune, une vingtaine d'années, jean, baskets. Les mains dans les poches, il s'adressa a Orlane.
"T'es qui toi? Qu'est ce que tu fais la?"
"Mmmmpppphhhhhh!" Lui répondit la blonde qui tentait désespérement de cacher ses jambes et cette jupe soudainement trop courte.
"Tu es mignonne, tu sais! Qui t'a attachée? Et pourquoi?" Questionna l'homme.
"Mmmmmppphhhhh" gémit orlane gigotant dans tous les sens.
Il se décida a avancer en direction de la jolie blonde, elle prit très mal l'initiative de l'homme et s'agita, faisant non de la tête.
"Mmmmmpppphhhhh!mmmmppphhhhh!"
Arrivé a la hauteur de la jeune femme, l'homme scruta minutieusement la plastique de l'officier avant de se décider de toucher a la belle...
Un courant électrique parcourut tout le corps d'Orlane au contact de l'homme qui avait posé la main sur sa cuisse.
Il repoussa doucement sa jupe pour caresser le haut de sa cuisse montrant le haut de ses Dim-up.
"Mmmmppphhh!mmmmppphhhhhh!" Fit Orlane dodelinant de la tête, refusant cet abus.
Une voix vint briser l'echange entre la blonde et le jeune homme.
"Sois gentil petit, laisse nous, merci" dit la voix encore dans l'ombre.
Il se retourna, surpris, pour faire face a l'homme qui l'avait interpellé.
"Ouais, je vois ce que c'est, c'est le genre pervers c'est ca hein?" Répondit le jeune.
"Si tu veux c'est ca oui" affirma la voix.
"Ok, éclatez vous bien les pervers!" Dit il en s'éloignant dans la ruelle.
L'homme put alors s'avancer et se montrer a Orlane encore sous le choc de cette agression.
"Tu as eu peur Orlane?" Interrogea l'homme.
"Mmmhhhhhhhh" fit elle pour dire oui en hochant la tête.
Il se rapprocha encore plus de la blonde sexy et ouvrit subitement son blouson de cuir pour laisser apparaître sa poitrine encore dans son ecrin de dentelle. Il sortit les deux seins de leur logement et les pétrit doucement.
"Tu préfère que ce soit moi qui le fasse? Pas vrai hein?" Interrogea t'il
"Mmmmhhhhhh" gémit Orlane, les yeux fermés visiblement conquise.
"Sale pute, tu as fait tout cela pour moi?" Dit il en regardant la tenue d'Orlane.
"Mmmmhhhhhhhh" repondit Orlane, la potrine toujours malaxée par l'homme.
Le blouson largement ouvert sur sa poitrine , la jeune femme prenait son pied.

[nonobound]

allez la suite hop hop hop ^^

[tyler durden]

Orlane était au comble de l'excitation, subjuguée par cet homme qui la possédait totalement. Après lui avoir copieusement tripoté les seins, il s'affairait a lui baisser son string après avoir relevé sa jupe.
"Mais dis donc tu apprécies cela ma jolie, on dirait..." Dit il en constatant que l'étoffe était trempée.
Il détacha ensuite la jeune femme de son poteau qui se frotta aussitôt les poignets.
"Alors? Tu aimes?" Lui demanda t'il.
Elle hocha la tête.
"Mmmhhhhhhh".
Comme signe de soumission, elle ne songea pas a enlever son bâillon.
"Je t'emmène?" Dit il
L'homme retira sèchement l'adhésif de la bouche d'Orlane.
"Pfffiou merci" dit elle.
"Alors?" répéta t'il.
"Qu'est ce que vous allez me faire?" Demanda t'elle pour la forme.
"A ton avis? Tu dois savoir ce qui t'attend?" Poursuiva t'il.
"Un petit peu oui" répondit timidement la blonde.
Il lui aggrippa alors le poignet et attrapa le rouleau de scotch avec lequel Orlane s'était bâillonnée. La jeune femme eut les mains solidement attachees dans le dos.
"Vous avez vraiment une très jolie bouche, très excitante mais je ne resiste pas a l'envie de vous réduire au silence. Et puis ce scotch sur vos lèvres vous rend tellement sexy." lui annonca l'homme.
Elle souria.
"Qu'attendez vous alors? Dit elle présentant sa bouche.
L'homme etouffa alors sa jolie voix en apposant un énorme morceau d'adhésif sur ses lèvres.
"Allez suis moi" dit il en lui prenant le bras.
Elle le suiva docilement avant de protester.
"Mmmmmmmppppphhhhhh, mmmmppphhhhh" fit Orlane.
"Qu'est ce que tu veux?" Interrogea t'il.
Mmmppphhh, mmmppphhhh" gémit elle en montrant sa poche.
Il regarda alors dans la poche indiquée pour y trouver les clefs de la voiture de la blonde.
"Tu veux qu'on prenne ta voiture? C'est ca?" Questionna le quadragénaire.
Elle fit oui de la tête.
"Ok" lui répondit il en prenant le chemin du parking. L'homme la trouva sans problèmes puisqu'il avait surveillé l'officier depuis le début. Il poussa Orlane sans ménagement sur le siège arrière.
"Ne t'inquiète pas, on ne va pas loin."
Telle qu'était allongée, Orlane ne voyait pas grand chose. Ses poignets scotchés dans le dos, la blonde avait beau se remuer dans tous les sens, rien ne changeait.
Tandis qu'elle luttait, le moteur s'arrêta, la voiture avait pilé a l'endroit des bureaux du chef d'entreprise.
"Tu as vu? C'est l'endroit ou on s'est rencontré!"Ricana t'il.
"Mmmhhhhh!" Fit elle.
Il descendit en compagnie d'Orlane après l'avoir extirpée du siège arrière. L'homme la poussa en direction de son bureau.
Arrivés devant la porte, il déchira les scellés et entra.
Il libéra la jeune femme en lui enlevant l'adhésif recouvrant ses poignets ainsi que celui sur sa bouche.
Elle était radieuse Orlane, comme si cette reprise en main lui avait fait le plus grand bien.
La blonde ne protesta d'ailleurs pas lorsque l'homme lui demanda de se mettre nue. En un instant, elle était dans le plus simple appareil simplement vêtue de bas et bottes aux pieds. La jeune femme ne semblait plus être gênée et était plutôt fière d'elle.
Il ouvrit un tiroir et en sortit plusieurs cordages. Elle parut séduite par ce programme.
"Allonge toi sur cette table!" Lui ordonna le chef d'entreprise.
Orlane s'exécuta et s'allongea sur la grande table en bois. Son regard en direction de l'homme était évocateur, provocateur. L'homme le comprit et saisit un cordage. Il attacha les poignets de la jeune femme devant elle fermement. Ses bras furent ensuite ficelés ensemble reliés aux poignets ainsi qu'a une corde fixée au large bassin d'Orlane.
Ses membres inférieurs subirent le même sort puisque les cuisses et chevilles furent attachés ensemble. Une autre corde reliait le bassin aux cuisses.
"Quel méli-mélo" s'ecria la blonde surprise d'être ainsi saucissonnée.
"Et encore, tu n'a pas tout vu!" Lui rétorqua l'homme."Cambre toi! Appuie toi sur tes genoux et tes coudes." Lui demanda t'il.
Ce qu'elle fit sans discuter. Ainsi installée, le quadragénaire en profita pour resserrer les liens de la jeune femme qui grimaça.
Il prit le morceau de ficelle qui depassait du lien des poignets pour le lier a l'extrémité de la table ou se trouvait un crochet dissimulé en dessous. Il serra de façon a ce que ses mains soient bien tendues.
Pareil de l'autre côté avec les chevilles reliées a un second crochet. Orlane était immobilisée sur ce bureau appuyée sur ses coudes et genoux en equilibre instable.
"Il ne reste plus qu'a te bâillonner a présent!"
"Hum oui!" Fit elle complètement désorientée par ce ligotage.
Le quadragénaire ouvrit un second tiroir et en sortit un bâillon boule noir presque luisant. Il l'exhiba devant le nez d'Orlane, prête a accueillir dans sa bouche cette sphère paraissant immense.
La boule a présent entre ses dents, Orlane était bâillonnée ouvrant grand les yeux après avoir constaté que l'homme s'était emparé d'une cravache...

[caroline]

Quelle énergie et quelle imagination!
C'est quoi ton secret?
Et où trouves tu le temps...

[tyler durden]

Je trouve le temps en fonction de mon imagination.
Quand elle vient, j'ecris d'une traite. C'est d'ailleurs un defaut car je peux ecrire beaucoup mieux que cela.

[tyler durden]

Elle en était certaine, la cravache ne servirait surement de décoration mais ce n'était pas pour lui déplaire.
Le seul ennui provenait de la posture qui lui était infligée sur cette table. Après quelques minutes seulement, Orlane avait les genoux et les coudes plutôt douloureux et on ne parlait même pas des multiples cordes qui l'enserrait.
L'homme se rapprocha petit a petit de la belle blonde livrée a sa merci. Il leva doucement sa cravache qui s'abattit sur les fesses de la jeune femme. Cela lui arracha un cri étouffé.
"Mpphhhhh"
Il recommenca aussitôt, ce qui la fit gémir une nouvelle fois. Le quadragénaire se pencha alors pour embrasser ce postérieur qu'il venait de martyriser. Orlane gémit et se sentit obligée de tirer sur ses liens, ce qui eut pour effet de tendre les nombreuses cordes reliées entre elles.
"Mmmmmmmhhhhhhhhh" fit elle la bouche encore obstruée par ce bâillon boule décidément très encombrant.
L'homme reprit son manège adressant de petits coups sur le fessier de la blonde désormais en sueurs.
Il s'arrêta soudainement pour se saisir d'un objet particulièrement long a la forme d'un gode mais électrique puisque muni d'une prise.
L'homme retourna Orlane sur le flanc et s'ingénia a lui scotcher cet appareil sur la cuisse gauche. L'extrémité paraissant souple touchant le sexe de la jeune femme.
Elle ne protesta pas d'autant plus qu'il la retourna pour la remettre sur le ventre.
"Uuuuuuuuummmmmpppphhhh" laissa elle échapper sous son bâillon.
Ce n'était rien comparé a ce qui l'attendait dans quelques minutes car au moment ou il déclencha l'appareil, l'entrejambe d'Orlane s'embrasa littéralement.
"Uuummpphhhh ummmmppphhhhh" hurla t'elle. Le vibrateur faisait son effet, la blonde avait beau se déhancher, elle était foudroyée par cette jouissance qui l'envahissait.
Et pendant qu'elle se débattait sans succès, l'homme s'adressa a l'officier.
"Voilà Orlane, je dois te laisser. J'espère que tu t'es bien amusée en ma compagnie mais malheureusement je suis recherché par la police. Je dois te laisser, j'ai beaucoup aimé."
Il saisit un ciseau et le posa a coté des poignets de la blonde.
Mmmpphhhhh, mmmppphhhh" sembla regretter la jeune femme.
L'homme quitta la pièce en laissant sa captive entre 2 orgasmes.
Orlane se débrouilla a attraper les ciseaux malgré le vibrateur lui arrachant quelques cris de temps a autre.
Elle decoupa tant bien que mal la corde qui ficelait ses poignets ainsi que ses avants bras. La blonde se mit assise sur la table, songeuse, stoppant l'appareil de malheur qui lui avait arraché tant de jouissance.
Orlane défit consciencieusement ses liens entravant ses membres inférieurs, elle frotta longuement les endroits ou la corde était imprimée.
Puis enfin elle ôta cet énorme bâillon-boule de sa bouche, la jeune femme souffla, soulagée, et se passa le doigt sur les lèvres.
Un instant, elle repensa a tous ses moments d'excitation qui lui avait fait faire n'importe quoi.
Une envie montait en elle, celle de recommencer bientôt...