le tournage.
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Re: le tournage.
Ca sera la dernière partie avant qu'on se soit mis d'accord avec Caroline sur la façon de reprendre l'histoire côté Alisson je pense, et si on se met d'accord, dernière partie avant que tout ce qui a déjà été fait soit repris du point de vue du personnage féminin.
- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 2113
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: le tournage.



De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants
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Re: le tournage.
C'est un photographe et un ligoteur modèle. On serait peiné s'il n'avait pas le droit à sa suite 

Re: le tournage.
Bon en fait, j'ai envie d'écrire un petit peu ^^
J'ouvre la porte du studio pour sortir. Surprise! Il pleut à torrent. Du coup, changement de plan. Je libère Alisson de ses diverses entraves, et on rentre en courant à l'appartement. On a beau s'abriter sous les devantures des commerçants quand c'est possible, il faut bien avouer que l'on arrive chez moi trempé jusqu'aux os.
Une fois arrivés, je dis:
"Tu vas chopper la crève si tu te réchauffes pas. Va prendre une douche et mets tes vêtements à sécher sur le radiateur. Ce serait dommage que tu passes le restant de la journée à tousser et te moucher".
Je lui montre le chemin jusqu'à la salle de bain et lui prête une serviette. Pendant ce temps, je m'enroule dans un peignoir, attendant patiemment mon tour.
Une dizaine de minutes plus tard, elle ressort de la salle de bain, simplement enveloppée dans la serviette de bain qu'elle tient au niveau de sa poitrine.
"-A ton tour.
-Merci. Tu as des affaires de rechange ou tu veux que je te prête quelque chose le temps que les tiennes sèchent.
-J'ai ce qu'il faut dans le sac, merci.
- Ok dac."
Je rentre dans la salle de bains, me douche rapidement, enfile des vêtements secs et m'apprête à rejoindre Alisson en bas.
Je jette un coup d'œil par la mezzanine avant de descendre. Elle est assise dans le fauteuil. Faut croire qu'elle l'a adopté. Mais surtout, elle est encore en serviette.
Je la rejoins, la regarde un petit moment sans rien dire. Elle a juste arrangé ses cheveux en un espèce de chignon, laissant deux mèches libres lui encadrer le visage. Fini les lunettes, les habits stricts. Le changement est radical.
Sans un mot, elle se lève et me tend une paire de menottes.
"Tu es sure de pas vouloir t'habiller avant? Je veux dire, ça va être dur de tenir la serviette avec les mains attachées."
Pas de réponse, juste un regard. Un de ces regards calmes et plein d'assurance. Presque de l'arrogance. Je lui passe donc les menottes.
"Bon et maintenant on mange? C'est que j'ai faim moi!"
Clic. Un cran de plus. Devant son regard interrogateur, j'explique.
"Réclamer, c'est la même chose que l'insubordination. Et qui dit même chose, dit même punition."
Et sans attendre de réponse, je me dirige vers la cuisine pour nous préparer quelque chose à manger.
Alisson me suit. Elle ne sera pas d'une grande aide en serviette de bain et les mains attachées, mais c'est pas grave. J'aime sa compagnie.
Il est 13h45, et il est vraiment temps de manger.
J'ouvre la porte du studio pour sortir. Surprise! Il pleut à torrent. Du coup, changement de plan. Je libère Alisson de ses diverses entraves, et on rentre en courant à l'appartement. On a beau s'abriter sous les devantures des commerçants quand c'est possible, il faut bien avouer que l'on arrive chez moi trempé jusqu'aux os.
Une fois arrivés, je dis:
"Tu vas chopper la crève si tu te réchauffes pas. Va prendre une douche et mets tes vêtements à sécher sur le radiateur. Ce serait dommage que tu passes le restant de la journée à tousser et te moucher".
Je lui montre le chemin jusqu'à la salle de bain et lui prête une serviette. Pendant ce temps, je m'enroule dans un peignoir, attendant patiemment mon tour.
Une dizaine de minutes plus tard, elle ressort de la salle de bain, simplement enveloppée dans la serviette de bain qu'elle tient au niveau de sa poitrine.
"-A ton tour.
-Merci. Tu as des affaires de rechange ou tu veux que je te prête quelque chose le temps que les tiennes sèchent.
-J'ai ce qu'il faut dans le sac, merci.
- Ok dac."
Je rentre dans la salle de bains, me douche rapidement, enfile des vêtements secs et m'apprête à rejoindre Alisson en bas.
Je jette un coup d'œil par la mezzanine avant de descendre. Elle est assise dans le fauteuil. Faut croire qu'elle l'a adopté. Mais surtout, elle est encore en serviette.
Je la rejoins, la regarde un petit moment sans rien dire. Elle a juste arrangé ses cheveux en un espèce de chignon, laissant deux mèches libres lui encadrer le visage. Fini les lunettes, les habits stricts. Le changement est radical.
Sans un mot, elle se lève et me tend une paire de menottes.
"Tu es sure de pas vouloir t'habiller avant? Je veux dire, ça va être dur de tenir la serviette avec les mains attachées."
Pas de réponse, juste un regard. Un de ces regards calmes et plein d'assurance. Presque de l'arrogance. Je lui passe donc les menottes.
"Bon et maintenant on mange? C'est que j'ai faim moi!"
Clic. Un cran de plus. Devant son regard interrogateur, j'explique.
"Réclamer, c'est la même chose que l'insubordination. Et qui dit même chose, dit même punition."
Et sans attendre de réponse, je me dirige vers la cuisine pour nous préparer quelque chose à manger.
Alisson me suit. Elle ne sera pas d'une grande aide en serviette de bain et les mains attachées, mais c'est pas grave. J'aime sa compagnie.
Il est 13h45, et il est vraiment temps de manger.
- Mad Hatter
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- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: le tournage.

De l'Ordre nait le Chaos.
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Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

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Re: le tournage.
Merci Mad 
Je vais peut être continuer rapidement malgré le fait que mon petit projet de reprise de l'histoire du point de vue féminin soit au point mort.
On verra

Je vais peut être continuer rapidement malgré le fait que mon petit projet de reprise de l'histoire du point de vue féminin soit au point mort.
On verra
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- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : fan de toutes les immobilisations possibles, du Shibari au vacuum bed. j'aime la contrainte des liens, le sentiment de liberté qu'ils confèrent et l'abandon que l'on ressent au fur et à mesure de l'immobilisation.
- Ce que je déteste : je n'aime pas trop les suspensions compliquées, ni les positions où l'esthétique prime sur la simplicité et l'efficacité.
Je n'aime pas non plus ceux qui se prennent au sérieux, dans le bondage comme ailleurs. - Localisation : Entre Sud Bretagne et Nord vendée
Re: le tournage.
En ce qui me concerne, tu peux continuer come ça, j'aime la tournure que prennent les évènements. félicitation. 

Les liens qui libèrent...
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les jeux, les liens serrés, - Ce que je déteste : l'obscénité, la vulgarité, la minoration de la femme
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Re: le tournage.
je vais avoir des dispos pour allison..alias a écrit :Merci Mad
Je vais peut être continuer rapidement malgré le fait que mon petit projet de reprise de l'histoire du point de vue féminin soit au point mort.
On verra

Re: le tournage.
On se met à table. Avant, j'ai un petit cadeau pour Alisson.
Je branche mon ordinateur sur la télé, et lance un diapo. Un diapo de toutes les photos prises ce matin.
Alisson à l'air ravi.
Pendant qu'on mange (pâtes carbonara, je suis pas un grand cuisinier, et j'avais plus grand chose dans le frigo), on discute calmement, de choses et d'autres. Je lui dit que je suis éclairagiste un peu par hasard, que j'ai décroché mon premier job par l'ami d'un ami, que j'ai bien aimé et que je me suis lancé. Elle m'apprend qu'elle n'était qu'en stage sur le tournage, qu'elle fait des études de communication à côté.
Elle galère avec les pâtes à cause des menottes, ce qui déclenche plusieurs éclats de rire, de sa part et de la mienne.
Une fois fini, on s'installe confortablement sur le canapé pour regarder le reste des photos.
"-J'aime bien celle là, j'ai vraiment l'air d'une demoiselle en détresse. Je joue bien la comédie tu trouves pas?
- C'est pas faux. A croire que tu es faites pour bosser dans l'industrie du cinéma! Mais bon, tout le crédit en revient au photographe au final, pas au modèle.
- Ca va les chevilles? Elle gonflent pas trop?
- Jamais. Je ne dis que la vérité après tout. L'éclairage est nikel, grâce à moi, l'angle parfait, grâce à moi, la pose, c'est moi qui t'ai dit de la faire, donc c'est grâce à moi, et les menottes mises en valeur à la perfection, grâce à moi!
- Mouais..."
Je ne lui laisse pas le temps d'argumenter plus. Je la prend par le bras, détache rapidement son poignet avant de la faire basculer sur le ventre et de l'allonger sur le canapé. Puis, je l'attache à nouveau, mains dans le dos.
Pas une protestation. Plutôt un gémissement de contentement.
Arrive les dernières photos.
"Ah! Les meilleures!"
Sans un mot, je récupère les menottes de chevilles ramenées du studio et l'attache en hogtie. Les jambes ainsi ramenées sur ses cuisses, la longue chaine des menottes de chevilles fait bouger la serviette dans laquelle elle est encore enveloppée au moindre mouvement. Dévoilant ainsi chaque fois un peu plus ces petites fesses bien fermes. Je suis plus intéressé par ça que par les photos qui défile, il faut bien l'avouer.
"Je suis jolie comme ça hein? Attachée, avec une simple serviette de bain protégeant ma nudité..."
Bien sur qu'elle est belle. Elle n'a pas besoin que je lui dise.
Le diapo est terminé. Reste à savoir ce que je vais faire d'Alisson maintenant.
Stop ou encore?
Je branche mon ordinateur sur la télé, et lance un diapo. Un diapo de toutes les photos prises ce matin.
Alisson à l'air ravi.
Pendant qu'on mange (pâtes carbonara, je suis pas un grand cuisinier, et j'avais plus grand chose dans le frigo), on discute calmement, de choses et d'autres. Je lui dit que je suis éclairagiste un peu par hasard, que j'ai décroché mon premier job par l'ami d'un ami, que j'ai bien aimé et que je me suis lancé. Elle m'apprend qu'elle n'était qu'en stage sur le tournage, qu'elle fait des études de communication à côté.
Elle galère avec les pâtes à cause des menottes, ce qui déclenche plusieurs éclats de rire, de sa part et de la mienne.
Une fois fini, on s'installe confortablement sur le canapé pour regarder le reste des photos.
"-J'aime bien celle là, j'ai vraiment l'air d'une demoiselle en détresse. Je joue bien la comédie tu trouves pas?
- C'est pas faux. A croire que tu es faites pour bosser dans l'industrie du cinéma! Mais bon, tout le crédit en revient au photographe au final, pas au modèle.
- Ca va les chevilles? Elle gonflent pas trop?
- Jamais. Je ne dis que la vérité après tout. L'éclairage est nikel, grâce à moi, l'angle parfait, grâce à moi, la pose, c'est moi qui t'ai dit de la faire, donc c'est grâce à moi, et les menottes mises en valeur à la perfection, grâce à moi!
- Mouais..."
Je ne lui laisse pas le temps d'argumenter plus. Je la prend par le bras, détache rapidement son poignet avant de la faire basculer sur le ventre et de l'allonger sur le canapé. Puis, je l'attache à nouveau, mains dans le dos.
Pas une protestation. Plutôt un gémissement de contentement.
Arrive les dernières photos.
"Ah! Les meilleures!"
Sans un mot, je récupère les menottes de chevilles ramenées du studio et l'attache en hogtie. Les jambes ainsi ramenées sur ses cuisses, la longue chaine des menottes de chevilles fait bouger la serviette dans laquelle elle est encore enveloppée au moindre mouvement. Dévoilant ainsi chaque fois un peu plus ces petites fesses bien fermes. Je suis plus intéressé par ça que par les photos qui défile, il faut bien l'avouer.
"Je suis jolie comme ça hein? Attachée, avec une simple serviette de bain protégeant ma nudité..."
Bien sur qu'elle est belle. Elle n'a pas besoin que je lui dise.
Le diapo est terminé. Reste à savoir ce que je vais faire d'Alisson maintenant.
Stop ou encore?