NEWS DU JOUR

[Emma]

C'était trop tentant !

[Sayanel]

A lire et relire sans modérations

[Karamel]

En lisant un autre post je me suis rappelé d'un film qui m'a assez retourné, l'histoire de la vie de 2 enfants qui grandissent et se font leur vie chacun de leur coté mais en continuant au fil des années un jeu du genre cap' ou pas cap'.

Les deux personnages font sauter tous les codes, toutes les limites pour vivre leur petit univers à deux. Ça va très, très loin, leur petit monde à eux en devient horrible mais tellement plus intéressant et excitant que la « vraie vie », plate, ennuyeuse.

Un petit extrait d'un des moments les plus fort. Après 10 ans d'absence ils se retrouvent, lui vient chez elle, elle a appelé les flics en le faisant passer pour un pervers qui la harcèle (oh que oui c'est vache, mais c'est pas ce qu'il y a de pire dans le film). En rapport avec la scène qui va suivre, pour l'histoire de la voiture il y a précédemment le parallèle avec la vie normale, bridée et fade, comme avoir une voiture capable d'aller à 210, et jamais dépasser les 50.

https://www.youtube.com/watch?v=VSDPnErAwMs

Et pour pas flinguer le suspens non ça n'est pas la fin du film, ça continue encore après je ne vois dit pas comment, et il y a beaucoup avant pour construire toute cette relation bien particulière.

Pour moi c'est un excellent hommage au lâcher prise, à l'incitation à vivre SA vie plutôt que celle qu'on veut nous faire vivre, à dépasser une pseudo morale pour vivre heureux. Bon bien sûr faut pas déconner non plus, il y a des limites à ne pas franchir

Ah oui le nom du film : jeux d'enfants. (en plus il y a une scène avec un joli )

[voldenuit]

juste un petit coucou du capitaine Poulain , de Milka , de Mademoiselle Beaurivage de Misteur B et des autres et en leur nom , une bonne et heureuse année 2014 à tous et toutes et particulièrement à tous ceux qui font vivre ce forum et lui offrent cette âme si particulière qui fait qu'à chaque fois que j'y passe je m'y sens comme chez moi .

et une réflexion personnelle :
Le travail est en définitive une occupation aliénante qui tue l'imaginaire

ces personnages continuent leur petite vie tranquille , loin des préoccupations de notre monde , mais sans doute referont ils parler d'eux sur le forum , enfin c'est l'espoir qui me tient pour 2014...

[Bouya2]

Ah oui, faut refaire parler d'eux. Il y a toujours un mystérieux "TOBLERONE" dans l'espace, dont on ne sait rien

[Karamel]

Il y a pas que des Toblerones dans l'espace…


https://www.youtube.com/watch?v=rCoNkTwWw_M

Ça a l'air con comme ça (et ça l'est), mais faut quand même s'accrocher pour avancer, même en facile. Je vous raconte pas le scénario, je sais même pas si c'est possible.

En tout cas en attente de savoir ce qui a bien pu arriver au capitaine

[Lightmoon]

Purée Kara oui je l'ai vu le film il y a 2 ou 3 ans (à peu près ^^) il ma aussi retourné ... trop trop TROP bizarre, mais tellement qu'on veut toujours savoir la suite jusqu'à qui "gagne" à la fin
Fin que je vais éviter de raconter pour ceux qui l'ont pas vu mais ... mais ...

[The Wraith]

Et bien moi je n'ai absolument pas accroché.
Et je trouve la fin surprenante de crétinerie.
Mais je ne suis qu'un vieux spectre râleur et imperméable à la délicate subtilité des rapports humains (ceux qui excluent l’usage d'une tronçonneuse ou d'une masse d'arme tout du moins...)

[Ishtar]

Mais je ne suis qu'un vieux spectre râleur et imperméable à la délicate subtilité des rapports humains (ceux qui excluent l’usage d'une tronçonneuse ou d'une masse d'arme tout du moins...)

Mais non!!!

[Bouya2]

Tu n'es pas un vieux râleur,Wraith, tu es un vieux rouspéteur. C'est totalement différent

Bon, sinon, vous vous souvenez quand j'avais posté des vers de poésie latine, qui faisait référence à du ligotage ? C'était du ligotage, mais dans le sens "capture d'esclaves lors d'une guerre".
Eh bien, j'ai trouvé d'autres vers, qui eux, font référence au bondage en tant que tel. Cash ! Ils viennent des Elégies, de Tibulle.

Te bellare decet terra, Messalla, marique,
ut domus hostiles praeferat exuuias :
me retinent uinctum formosae uincla puellae,
et sedeo duras ianitor ante fores.

C'est à toi qu'il convient, Messalla, de faire la guerre sur terre sur terre et sur mer, pour que ta demeure expose les dépouilles ennemies : moi les chaînes d'une belle amie m'enchaînent, et je reste assis devant une porte dure.

D'ailleurs, j'en profite pour ajouter que Tibulle était un poète élégiaque. Or, les poète élégiaque sont ceux qui ont inventé le mot... domina ! Et domina signifie maîtresse, mais uniquement au sens du rapport maîtresse/esclave. (Avant, il n'existait que le masculin dominus, qui signifiait maître, dans le sens maître/esclave, mais aussi "maître de maison" ou "maître de guerre".)