Jeux de Liens

on ne dit jamais stop nous

plus y en a plus on est content

On sonne à la porte. Je me lève pour aller ouvrir, mais Alisson s'écrie:

"Hé, tu vas pas ouvrir alors que je suis dans cette tenue! Je veux bien que tu me vois comme ça, mais je vais pas en faire profiter tes copains jte préviens!". Le tout en se trémoussant pour se retourner et me regarder. Tentative qui échoue lamentablement, et dont le seul résultat est de la dénuder un peu plus. Ah, la position hogtie ne laisse pas beaucoup de liberté de mouvement...

C'est vrai que comme je vis dans un loft, la porte d'entrée donne directement sur la pièce principale, et offre une vue "imprenable" sur le canapé...et ce qu'il s'y trouve.
On sonne une nouvelle fois. Alisson me supplie du regard.
Je lui détache rapidement les chevilles et l'entraine à l'étage. Arrivé dans la salle de bains, je lui détache les mains et la plaque contre le chauffe serviette. Petite merveille de la technologie qui permet de sécher les serviettes de bain et les garder chaudes. Un espèce de radiateur en fait. Je lui place rapidement les mains au dessus de la tête et lui repasse les menottes aux poignets, prenant soin de passer les menottes entre les barreaux du radiateur.

"Tu bouges pas."

Je redescends ensuite rapidement ouvrir à celui ou celle qui s'impatiente derrière la porte.

Stop ou encore?

moi j'en veux encore plein

la version du point de vue féminin arrive bientôt. Avis aux amateurs! Ils ne vous restent plus qu'à guetter le nouveau topic ouvert par caro...

Stop ou encore?

"Encore" évidemment !

ben oui
encore, bien sur

Encore, encore, encore,

En attendant la suite, je vous invite à lire le début de la version d'Alisson écrite par Caroline
Merci en tout cas, ça donne envie de continuer

on veut quand meme ta suite a toi.

C'est fou, ce que l'on peut faire avec une simple paire de menotte.

Bien que cela ne soit absolument pas dans le style de celles que j'écris, j'adore, la sensualité, le rôle des deux personnages principaux et particulièrement celui de la demoiselle, de peureux à accro à ses chères menottes.

Vivement la suite.