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Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 17 janv. 2013, 16:03
par Emma
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans...
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 17 janv. 2013, 17:21
par voldenuit
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que cette la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyais , plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite . ...
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 19 janv. 2013, 09:56
par Emma
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête... (

)
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 21 janv. 2013, 02:12
par voldenuit
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l'oeil coincé dans le juda de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires.
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 23 janv. 2013, 17:13
par Emma
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur...
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 24 janv. 2013, 00:16
par voldenuit
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur, une de ces vieilles cage en fer trop petite pour deux personnes , et la malle trop large refusa de s'y glisser , il fallait faire vite , et la perspective de monter 5 étages avec la malle sur la tête et sa captive à l'intérieur ne l'enchanta guerre , haletant grognant et soufflant tout l'air de ses poumons , il chargea cependant la lourde malle sur son dos , avant d'entreprendre la dernière longue ascension jusqu'à sa tanière .
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 24 janv. 2013, 16:39
par Emma
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur, une de ces vieilles cage en fer trop petite pour deux personnes , et la malle trop large refusa de s'y glisser , il fallait faire vite , et la perspective de monter 5 étages avec la malle sur la tête et sa captive à l'intérieur ne l'enchanta guerre , haletant grognant et soufflant tout l'air de ses poumons , il chargea cependant la lourde malle sur son dos , avant d'entreprendre la dernière longue ascension jusqu'à sa tanière mais arrivé à quelques marches de son étage, voilà qu'il fatigue et se laisse surprendre à laisser tomber celle-ci tout en essayant de la retenir par une poignée, quand soudain, un mummmph lui parvint aux oreilles...
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 25 janv. 2013, 07:54
par voldenuit
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur, une de ces vieilles cage en fer trop petite pour deux personnes , et la malle trop large refusa de s'y glisser , il fallait faire vite , et la perspective de monter 5 étages avec la malle sur la tête et sa captive à l'intérieur ne l'enchanta guerre , haletant grognant et soufflant tout l'air de ses poumons , il chargea cependant la lourde malle sur son dos , avant d'entreprendre la dernière longue ascension jusqu'à sa tanière mais arrivé à quelques marches de son étage, voilà qu'il fatigue et se laisse surprendre à laisser tomber celle-ci tout en essayant de la retenir par une poignée, quand soudain, un mummmph lui parvint aux oreilles,; ça ne suffisait pas d'avoir quelques difficultés à retenir la malle contre son désir de descendre une pente abrupte de 5 étages en colimaçon, il fallait en plus que la captive s'impatiente et joue de la voix dans son enveloppe d'osier, ce cocktail bruyant aurait certainement de quoi éveiller l'oreille soupçonneuse et la curiosité malsaine de Melle Pichard , sa logeuse; récupérer la malle du bout des doigts , la faire basculer sur soi , et se terrer au plus vite dans ses appartements.....facile à dire , comme ça , mais .....
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 26 janv. 2013, 14:07
par Emma
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur, une de ces vieilles cage en fer trop petite pour deux personnes , et la malle trop large refusa de s'y glisser , il fallait faire vite , et la perspective de monter 5 étages avec la malle sur la tête et sa captive à l'intérieur ne l'enchanta guerre , haletant grognant et soufflant tout l'air de ses poumons , il chargea cependant la lourde malle sur son dos , avant d'entreprendre la dernière longue ascension jusqu'à sa tanière mais arrivé à quelques marches de son étage, voilà qu'il fatigue et se laisse surprendre à laisser tomber celle-ci tout en essayant de la retenir par une poignée, quand soudain, un mummmph lui parvint aux oreilles,; ça ne suffisait pas d'avoir quelques difficultés à retenir la malle contre son désir de descendre une pente abrupte de 5 étages en colimaçon, il fallait en plus que la captive s'impatiente et joue de la voix dans son enveloppe d'osier, ce cocktail bruyant aurait certainement de quoi éveiller l'oreille soupçonneuse et la curiosité malsaine de Melle Pichard , sa logeuse; récupérer la malle du bout des doigts , la faire basculer sur soi , et se terrer au plus vite dans ses appartements.....facile à dire , comme ça , mais c’était plus fort qu’elle il devait la faire taire, et quoi de plus efficace que de la menacer avec quelques mots cinglants susurrés dans le creux de son oreille, l’effet fut immédiat et il put enfin ouvrir la lourde porte de son appartement...
Re: La phrase sans fin des liens
Publié : 27 janv. 2013, 05:22
par voldenuit
Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle,...comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe,...il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liés, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes,... caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids,...sa respiration augmentait son esprit s'affolait, tous ses sens en alerte, il mit nerveusement la main dans sa poche pour toucher la corde qui y était cachée , ce geste eut pour effet immédiat de l'apaiser mais sans pour autant détourner son regard sombre de celui de cette femme qui avait l'audace de le défier ainsi,...alors qu'il pouvait la toucher , elle sourit , détourna la tête , et s'enfuit , n'oubliant pas de jeter un dernier regard derrière elle comme pour le convier à la rejoindre, son cœur battait la chamade, elle savait qu’ellle ne pouvait plus lui résister, ...marquant l'arrêt, une vague d'adrénaline déferla dans son corps blême ,... il se rua à sa poursuite avant que sa silhouette se perde dans la foule, il repérait son parfum qu'il avait eu le temps de découvrir en quelques secondes, une odeur de jasmin...elle avait trouvé refuge sous l'ombre d'un porche à l'angle d'une rue , haletante , elle savourait son répit , incapable de résister au rire nerveux qui s'emparait d'elle et en même temps inquiète de l'avoir perdu pour de bon, sa robe lui collait à la peau tant l'excitation de ce cache cache l'émoustillait , lui , de rage et de fureur , pestait et bavait , cherchant dans l'air lourd du soir , au milieu de la foule , les réminiscences du parfum doré , comment avait il pu perdre sa trace ? faire confiance à son instinct et ne se laisser guider que par lui . le fauve se remit en chasse... prêt à tout pour que ce soir-là, elle se livre à lui et s'abandonne à tous ces plaisirs des jeux que déjà il lui concoctait secrètement; chercher fouiller chaque recoin , un indice un tout petit indice suffirait à le remettre sur le chemin quand un rire cristallin transperça son corps de doux picotements, un rire lointain mais qui semblait nerveux, c'était elle... s'approcher silencieusement ,et par une porte dérobée , la surprendre, la plaquer contre le mur, la main sur la bouche, l’entendre gémir au contact du coton d’un foulard entre ses lèvres, ce qu'il entreprit aussitôt; un soupir aigu sortit de sa bouche , mais n'eut pas le temps de trouver un écho, elle avait beau essayé de se débattre, elle en conclut qu'il avait bel et bien décidé d'en faire sa captive, la robe encore mouillée, lui donnait l'impression de toucher son corps nu ,et cette douce odeur de jasmin , quelle félicité pour lui qui lorsqu'il enserra ses mains dans son dos et lui attacha les poignets; quelle émotion intense de contempler sa nuque dénudée rouler sur ses épaules , on aurait dit un vase fragile en équilibre , prêt à se rompre sur le sol , il en avait les jambes qui tremblaient et lorsqu'il lui susurra à l'oreille de le suivre sans essayer de s'échapper sous peine de brutales représailles , elle perdit l'équilibre incapable de maîtriser l'enivrement que lui procurait le plaisir d'être devenue sa captive, l'enlaçant fermement, il ne pouvait se retenir d'approcher sa bouche de sa nuque dégagée de ses cheveux, et de respirer son odeur, et sentir ses tremblements d'excitation, mais l'heure n'était plus à la rêvasserie , et il ébranla sa victime , la tirant avec lui , dans la direction qu'il avait choisi pour déguster sa victoire, tel un sac de pomme de terre, elle se sentit soulevée et emportée, sans autre choix que de savourer ce sublime supplice , il fallait maintenant qu'ils rejoignent sa tanière qui n'était qu'à quelques pâtés d'immeubles , mais comment allaient -ils traverser la foule ainsi harnachés quand il aperçut un drap accroché au bord d'une fenêtre, s'empressant de rouler son colis agité dedans mais en y réfléchissant , il s'aperçut qu'il avait déjà fait le coup du colis enveloppé à sa logeuse , et il y eut fort à parier que la personnalité soupçonneuse de cette fouineuse se douterait de quelque chose de pas clair dans son comportement s'il recommençait , et alors qu'il n'y croyait plus la gardienne de l'immeuble d'en face sortait providentiellement sur le trottoir , une grande malle en osier certainement dans le but de s'en débarrasser au plus vite, il ne se fit pas prier pour la récupérer et déposer doucement sa captive pour enfin jouer des mécaniques en soulevant à bout de bras la malle et l installant sur sa tête; qu'elle était lourde, la jouvencelle , la progression s'effectua lentement , et pas après pas , le refuge annonçait la fin de l'étape . Restait à franchir le palier de la logeuse, dont l''oeil coincé dans le judas de sa porte d'entrée,scrutait sans cesse le va et vient de ses locataires, mais il entendit le téléphone sonner chez elle, quelle chance, l'entendant s'éloigner de sa porte et décrocher le conbiné, il se faufila jusqu'à la cage d’ascenseur, une de ces vieilles cage en fer trop petite pour deux personnes , et la malle trop large refusa de s'y glisser , il fallait faire vite , et la perspective de monter 5 étages avec la malle sur la tête et sa captive à l'intérieur ne l'enchanta guerre , haletant grognant et soufflant tout l'air de ses poumons , il chargea cependant la lourde malle sur son dos , avant d'entreprendre la dernière longue ascension jusqu'à sa tanière mais arrivé à quelques marches de son étage, voilà qu'il fatigue et se laisse surprendre à laisser tomber celle-ci tout en essayant de la retenir par une poignée, quand soudain, un mummmph lui parvint aux oreilles,; ça ne suffisait pas d'avoir quelques difficultés à retenir la malle contre son désir de descendre une pente abrupte de 5 étages en colimaçon, il fallait en plus que la captive s'impatiente et joue de la voix dans son enveloppe d'osier, ce cocktail bruyant aurait certainement de quoi éveiller l'oreille soupçonneuse et la curiosité malsaine de Melle Pichard , sa logeuse; récupérer la malle du bout des doigts , la faire basculer sur soi , et se terrer au plus vite dans ses appartements.....facile à dire , comme ça , mais c’était plus fort qu’elle il devait la faire taire, et quoi de plus efficace que de la menacer avec quelques mots cinglants susurrés dans le creux de son oreille, l’effet fut immédiat et il put enfin ouvrir la lourde porte de son appartement , lorsque derrière lui la voix nasillarde et stridente qu'il aurait reconnu en pleine foule s'adressa à lui : " mais qu'est ce que vous fichez encore , mon pauvre garçon ? " c'était Melle Pichard ...