
piègée ?
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- Squatteur(se) de JdL
- Messages : 523
- Inscription : 25 août 2013, 13:45
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: piègée ?
ENCORE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- Sayanel
- Passionné(e) de JdL
- Messages : 267
- Inscription : 15 nov. 2012, 11:14
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Utiliser les cordes comme une méditation, pour trouver une réponse , la femme idéale.
- Ce que je déteste : La vulgarité
Re: piègée ?
je plussoies ...encore
L'amour consiste à ouvrir des portes et des fenêtres, pas à bâtir des prisons.
Jylhano.kabook.fr
Jylhano.kabook.fr
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- Inscription : 13 juil. 2013, 10:10
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : ligoter des jeunes filles mais le tout avec douceur
- Ce que je déteste : que cela dure trop longtemps
Re: piègée ?
Allez vas-y Caro, tu sais si bien raconter des histoires, on te fait confiance, alors on attend la suite, je sens que ça va être un régal! 

- caroline
- Fana de JdL
- Messages : 312
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- Pratique : Oui
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- Ce que j'adore : raconter et lire des histoires
les jeux, les liens serrés, - Ce que je déteste : l'obscénité, la vulgarité, la minoration de la femme
- Localisation : bretagne
Re: piègée ?
en route pour la suite...et ce n'est pas fini!!!
Chapitre......je ne sais plus
La voix d’Anne So, son ton moqueur, méprisant et le rire en écho de Julie m’agacent et me stimulent. Je m’assieds en tailleur, les mains sur les genoux, le buste bien droit.
- En fait, je priais pour vous, mais votre cause n’est pas facile à défendre. Vous avez beaucoup de fautes à expier ! Alors, bien sûr, je dois vous punir ! Je n’ai pas le choix !
- Pfft ! Regarde la, dit Julie ! Elle fait pitié !
- Une vraie loque sentimentale !
Je me lève d’un bond, électrisée par leurs quolibets. Paf ! Paf ! En une fraction de seconde je les ai giflées, un aller-retour chacune
Le bruit de ma paume sur leurs joues résonne dans le silence du soir.
- Ah ! Vous voulez jouer ! Ca tombe bien, moi aussi !
- Oui mais pas comme ça. Garde ton sang froid ! Avec toi, on ne sait jamais... Tu es totalement imprévisible.
- Julie a raison. Tu dois te maitriser.
- Ok ! Je m’excuse, mais bon ! Ce n’est pas si méchant et puis vous n’arrêtez pas de vous moquer de moi. On dirait que vous voulez me pousser à bout. Et vous avez réussi mais ça ne se reproduira plus. Donc, c’est en pleine maitrise de moi…et de vous que je vais continuer notre jeu.
Un instant décontenancée par leurs réactions, vexée d’avoir été débordée par ma colère, et regrettant ces gifles, je reprends le contrôle de mes nerfs, bien décidée à jouer mon rôle, à prendre et à donner du plaisir.
Je passe derrière Anne So, saisis la corde qui pend derrière elle, l’attache à ses menottes puis commence à tirer dessus comme on hisse la voile d’un bateau.
Les poignets d’Anne So montent lentement . Elle résiste un moment mais ne peut rien contre les lois de la physique.
- Caroline! Non pas ça ! Arrête ! Tu vas me déboiter les bras !
Elle piétine sur ses talons hauts, fait des petits pas pour s’équilibrer à mesure que ses poignets s’élèvent et que son corps se plie. Quand ses bras dépassent l’horizontale, J’arrête de hisser et refixe la corde à l’anneau.
- Je t’en supplie, descends cette corde !
- Elle était bien faite pour ça non ?
- Non non, je te promets !
- Je ne te crois pas et de toutes façons, moi ça ma plait ! Tu n’as qu’à pas trop bouger !
- Salope !
- Eh grossière avec ça ! Tu aggraves ton cas Anne So.
Julie observe la scène avec un air amusé dépourvu de compassion.
Je m’approche d’elle, enlève la cravache de sa bouche, l’essuie sur sa tunique et la fait glisser le long de son cou, de ses seins, de son ventre et de ses fesses.
- Vous aviez prévu ça aussi pour moi non ?
- Non ! C’était juste pour te faire peur.
- C’est ça ! Je vous crois !
- Petite peste ! crie Anne So d’une voix aigue
- Oh oui ! J’adore ! Moi qui hésitais, tu viens de me convaincre ! Mais patiente un peu, le temps que je m’occupe de ton amoureuse.
Je tourne autour de Julie. Ma main frôle ses hanches, ses côtes, ses fesses.
- Donnez moi des idées Julie. Les mains en l’air ? Ou comme Anne Sophie ?
Elle hausse les épaules. Je pose la cravache par terre.
- Que reste t’il dans ce sac ? Ah ! Encore des menottes ! Vous les voulez Julie ? Aux chevilles ? Aux poignets ? Et des cordes ! Tout çà rien que pour moi ? Eh bien les filles, si c’est le cas, j’aurais vraiment été saucissonnée ! Des bandeaux ! Pour m’aveugler ? Et çà ? C’est quoi cette boule rouge ? Ah je vois ! C’est un bâillon non ? Oh là là ! Je l’ai échappée belle ! Mais je ne sais pas quoi choisir. Vous ne voulez pas m’aider Julie ? Et toi Anne Sophie ? Bon ! Je crois que je vais devoir décider toute seule !
Je m’agenouille devant Julie et lui lie les cuisses au dessus des genoux avec une cordelette blanche que je serre autour et entre ses cuisses
- Aie !
- Oh ! Désolée de vous avoir griffée! Mais je vous attache comme vous me l’avez fait dans le coffre! Vous êtes douillette !
Puis je lie ses chevilles de la même façon et termine le travail en nouant le bout de la corde sur un anneau dans le sol.
Je me relève, enlève la laisse du collier, la jette sur le plancher et place mes mains autour de sa taille.
- Julie, je vais vous détacher les poignets et les coudes, et vous pourrez les masser quelques secondes, mais n’essayez pas de faire quoi que ce soit !
- Tu as si peur que ça ? Comment je pourrais faire avec mes jambes liées comme tu l’as fait et……qui te dit que j’en ai envie ?
Une lueur bizarre a éclairé son regard. (elle aime ça ! me dis je étonnée, amusée)
Elle étire ses bras, frotte ses poignets et ses coudes, puis me tend ses mains jointes
- Attache les bien Caroline ! Et tu peux me dire « tu » !
Les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, je balbutie :
- Eh bien ! Julie ! Alors là ! Euh….Eh bien !
- Cool Caro ! Reprends toi !
Elle se moque gentiment de moi. Je prends un air dur (enfin, j’essaye !)
- C’est çà ! Fous toi de moi ! Tu vas voir si je suis cool !
Je ligote ses poignets devant elle paume contre paume avec la corde qui tombe de la poulie et la hisse au maximum jusqu’à ce que son corps soit si tendu qu’elle est presque sur la pointe des pieds. Je relâche un peu la tension et fixe l’autre bout de la corde à l’anneau du sol.
Voilà ! Ma deuxième prisonnière est prête..enfin presque prête.
Je me recule et mes yeux passent de l’un à l’autre plusieurs fois.
Quel spectacle ! J’hallucine ! C’est surréaliste !
Devant moi, à ma gauche, la très bcbg Anne Sophie, pliée en deux , les bras liés dans le dos et remontés vers le plafond, le visage crispé. Son chemisier baille et laisse voir le haut de ses seins et son soutien gorge rouge.
A ma droite, l’exotique Julie, la fliquette, droite comme un I, les bras tirés vers le ciel, la tunique relevée très haut , un air de défi dans ses yeux.
Je n’y crois pas ! Qu’est ce qu’il m’arrive ?
Quelle folie suis je en train de vivre avec ces deux filles, sans compter la présence de Paul, caché, voyeur, à ma demande en plus !
Mais je ne vais pas reculer maintenant, car pour insolite qu’elle soit, la situation reste terriblement excitante !
Je fouille dans le sac .
- Il faut que ça serve tout çà, n’est ce pas Anne So ? Oh comme c’est dommage ! Il n’y a qu’une boule rouge. Qui la veut ?
Je l’agite en l’air comme si c’était un prix à gagner.
- Alors ? Pas d’amatrice ? Une fois, deux fois, …
- Pétasse !
- Adjugé ! Anne So a gagné ! Bravo ! Ah ! C’est vrai, vous ne pouvez pas applaudir…mais le cœur y est, n’est ce pas Julie ?
- Pfft !
Je m’approche d’Anne So, caresse ses cheveux qui tombent en mèches folles le long de son visage.
- Ouvre la bouche ! Et ne m’oblige pas à te pincer le nez !
Quelques minutes et quelques grognements plus tard, la boule rouge obstrue sa bouche, solidement tenue par les lanières fixées derrière sa nuque et des cordes lui lient les chevilles et les cuisses comme celles de Julie.
(dois je avouer que j’en ai profité pour faire courir mes mains le long de ses jambes ?)
Elle émet des sons aigus en équilibre instable sur ses talons aiguille.
Je tourne autour d’elle pour la contempler.
Vue de face : l’aperçu de ses seins moulés dans leurs bonnets rouges est un délice et une tentation ! Je déboutonne son chemisier et le roule sur son dos jusqu’aux menottes
Vue de dos : le spectacle est tout aussi charmant. Sa minijupe en soie retroussée expose une étroite bande de dentelle rouge sur le haut de ses fesses et la peau blanche de ses cuisses au dessus des bas noirs. J’avance ma main droite prudemment comme si j’avais peur de me brûler et du bout des doigts j’effleure sa peau nue entre la dentelle et les bas.
Des vagues de frissons ondulent en moi, montent et descendent en roulant du bas de mon ventre à ma poitrine. Elles ramènent à la surface des émotions et des images de mon enfance.
Je nous revois l’été, mes deux cousines et moi dans la candeur et la fraicheur de nos 10 -12 ans quand nous jouions avec des ficelles et nos mains chatouilleuses.
Que sont elles devenues ces jumelles que j’adorais et dont j’enviais la blondeur et les yeux bleus, ces cousines audacieuses et rieuses qui m’avaient entrainée dans des jeux excitants que je croyais innocents.
Que diraient elles, que feraient elles si elles me voyaient aujourd’hui ?
Joueraient elles encore ou se moqueraient elles ?
Hélas (ou tant mieux) je ne sais pas.
Nos routes se sont séparées l’été de mes 13 ans, quand elles sont parties vivre en Australie emmenant avec elles les souvenirs troublants de mes premiers émois.
Ce passé que mon chagrin d’alors avait enfoui au fond de ma mémoire a resurgi avec une violence et une netteté telles que j’ai été coupée pendant quelques secondes du monde réel et du temps présent.
Je secoue la tête pour reprendre pied dans la vraie vie.
Pas facile d’atterrir après ce voyage!
Je ne sais plus trop où j’en suis et çà devient stressant de passer d’un état à son contraire, de l’envie de jouer avec elles ou d’être leur jouet, de les dominer ou de les cajoler, de rester ou de partir.
- Oh ! Oh ! Caroline !
La voix de Julie me fait sursauter. Elle a le regard inquiet et déçu d’un enfant qui découvre que le manège est en train de fermer.
- Oui ! Oui ! Je réfléchissais au sort que je vous réservais. Il y a tellement de possibilités ! Et vous allez devoir patienter un peu, car j’ai un petit besoin à satisfaire, mais avant, je vais vous mettre en condition, euh….vous préparer pour la suite.
Ma voix tremble légèrement, mais j’ai sauvé les meubles comme je pouvais car j’ai vraiment besoin de me décider.
Comme je suis derrière elle, je relève l’ourlet de la jupe d’Anne So sur ses reins sous ses mains menottées et son chemisier.
- Et ne la baisse pas ! Sinon….
Ma voix s’est raffermie. Je m’approche de Julie et défais les boutons qui tiennent les bretelles de sa tunique dénudant ses jolis petits seins et son ventre plat. Presque collée contre elle, les mains sur ses épaules nues, je luis fais un doux baiser sur ses lèvres. Elle a ouvert la bouche avec un petit gémissement.
- Patience Julie ! Chaque chose en son temps !
Je prends un bandeau noir dans le sac et le lui applique sur les yeux. Elle remue la tête et la frotte contre ses bras tendus pour le faire glisser.
- Ttttt ! Julie ! Si tu l’enlèves, je te rebande les yeux mais avec du collant cette fois !
- Ok ! répond elle avec un petit sourire.
- A ton tour Anne So ! Et ça sera plus difficile d’essayer de l’enlever ! Comme je suis très gentille, je vais détendre la corde pendant que je m’absente. Mais tu gardes ta jupe et ton chemisier sous tes poignets ok ?
Elle fait des mouvements circulaires avec sa tête, remue ses bras et bouge ses épaules dans tous les sens en respirant lentement pour se décontracter.
Toute droite maintenant , perchée sur ses talons, ses poignets collés sur ses reins, les seins en avant dans le petit soutien gorge rouge, les jambes attachées sous sa jupe relevée au dessus de ses bas, Anne Sophie attend. En silence, je m’avance vers elle et lui fais des petits baisers avec le bout de ma langue sur le coin de ses lèvres de chaque côté de la boule rouge qui remplit sa bouche.
- Mmumum !
- Oui je sais dis je en lui caressant la joue. A tout de suite les filles !
Je jette un dernier regard à mes prisonnières et descends les marches. D’un signe du doigt j’invite Paul à me suivre silencieusement. Nous entrons dans la cellule dont je referme la porte.
- Paul ! Je suis perdue. Aide moi je t’en prie. Je ne sais plus ce dont j’ai envie. Je n’arrive pas à imaginer leur faire du mal. En même temps, j’ai aimé les attacher. Et j’ai l’impression qu’elles attendent çà. Oh là là ! Que dois je faire ?
Je parle à voix basse, serrée contre lui, les bras autour de son torse.
Il me caresse gentiment les cheveux et le haut du dos
- Calme toi Caro! Qu’attends tu de moi ?
C'est vrai ça..qu'est ce qu'elle veut caro?
Ca vous intéresse de le savoir?

Chapitre......je ne sais plus

La voix d’Anne So, son ton moqueur, méprisant et le rire en écho de Julie m’agacent et me stimulent. Je m’assieds en tailleur, les mains sur les genoux, le buste bien droit.
- En fait, je priais pour vous, mais votre cause n’est pas facile à défendre. Vous avez beaucoup de fautes à expier ! Alors, bien sûr, je dois vous punir ! Je n’ai pas le choix !
- Pfft ! Regarde la, dit Julie ! Elle fait pitié !
- Une vraie loque sentimentale !
Je me lève d’un bond, électrisée par leurs quolibets. Paf ! Paf ! En une fraction de seconde je les ai giflées, un aller-retour chacune
Le bruit de ma paume sur leurs joues résonne dans le silence du soir.
- Ah ! Vous voulez jouer ! Ca tombe bien, moi aussi !
- Oui mais pas comme ça. Garde ton sang froid ! Avec toi, on ne sait jamais... Tu es totalement imprévisible.
- Julie a raison. Tu dois te maitriser.
- Ok ! Je m’excuse, mais bon ! Ce n’est pas si méchant et puis vous n’arrêtez pas de vous moquer de moi. On dirait que vous voulez me pousser à bout. Et vous avez réussi mais ça ne se reproduira plus. Donc, c’est en pleine maitrise de moi…et de vous que je vais continuer notre jeu.
Un instant décontenancée par leurs réactions, vexée d’avoir été débordée par ma colère, et regrettant ces gifles, je reprends le contrôle de mes nerfs, bien décidée à jouer mon rôle, à prendre et à donner du plaisir.
Je passe derrière Anne So, saisis la corde qui pend derrière elle, l’attache à ses menottes puis commence à tirer dessus comme on hisse la voile d’un bateau.
Les poignets d’Anne So montent lentement . Elle résiste un moment mais ne peut rien contre les lois de la physique.
- Caroline! Non pas ça ! Arrête ! Tu vas me déboiter les bras !
Elle piétine sur ses talons hauts, fait des petits pas pour s’équilibrer à mesure que ses poignets s’élèvent et que son corps se plie. Quand ses bras dépassent l’horizontale, J’arrête de hisser et refixe la corde à l’anneau.
- Je t’en supplie, descends cette corde !
- Elle était bien faite pour ça non ?
- Non non, je te promets !
- Je ne te crois pas et de toutes façons, moi ça ma plait ! Tu n’as qu’à pas trop bouger !
- Salope !
- Eh grossière avec ça ! Tu aggraves ton cas Anne So.
Julie observe la scène avec un air amusé dépourvu de compassion.
Je m’approche d’elle, enlève la cravache de sa bouche, l’essuie sur sa tunique et la fait glisser le long de son cou, de ses seins, de son ventre et de ses fesses.
- Vous aviez prévu ça aussi pour moi non ?
- Non ! C’était juste pour te faire peur.
- C’est ça ! Je vous crois !
- Petite peste ! crie Anne So d’une voix aigue
- Oh oui ! J’adore ! Moi qui hésitais, tu viens de me convaincre ! Mais patiente un peu, le temps que je m’occupe de ton amoureuse.
Je tourne autour de Julie. Ma main frôle ses hanches, ses côtes, ses fesses.
- Donnez moi des idées Julie. Les mains en l’air ? Ou comme Anne Sophie ?
Elle hausse les épaules. Je pose la cravache par terre.
- Que reste t’il dans ce sac ? Ah ! Encore des menottes ! Vous les voulez Julie ? Aux chevilles ? Aux poignets ? Et des cordes ! Tout çà rien que pour moi ? Eh bien les filles, si c’est le cas, j’aurais vraiment été saucissonnée ! Des bandeaux ! Pour m’aveugler ? Et çà ? C’est quoi cette boule rouge ? Ah je vois ! C’est un bâillon non ? Oh là là ! Je l’ai échappée belle ! Mais je ne sais pas quoi choisir. Vous ne voulez pas m’aider Julie ? Et toi Anne Sophie ? Bon ! Je crois que je vais devoir décider toute seule !
Je m’agenouille devant Julie et lui lie les cuisses au dessus des genoux avec une cordelette blanche que je serre autour et entre ses cuisses
- Aie !
- Oh ! Désolée de vous avoir griffée! Mais je vous attache comme vous me l’avez fait dans le coffre! Vous êtes douillette !
Puis je lie ses chevilles de la même façon et termine le travail en nouant le bout de la corde sur un anneau dans le sol.
Je me relève, enlève la laisse du collier, la jette sur le plancher et place mes mains autour de sa taille.
- Julie, je vais vous détacher les poignets et les coudes, et vous pourrez les masser quelques secondes, mais n’essayez pas de faire quoi que ce soit !
- Tu as si peur que ça ? Comment je pourrais faire avec mes jambes liées comme tu l’as fait et……qui te dit que j’en ai envie ?
Une lueur bizarre a éclairé son regard. (elle aime ça ! me dis je étonnée, amusée)
Elle étire ses bras, frotte ses poignets et ses coudes, puis me tend ses mains jointes
- Attache les bien Caroline ! Et tu peux me dire « tu » !
Les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, je balbutie :
- Eh bien ! Julie ! Alors là ! Euh….Eh bien !
- Cool Caro ! Reprends toi !
Elle se moque gentiment de moi. Je prends un air dur (enfin, j’essaye !)
- C’est çà ! Fous toi de moi ! Tu vas voir si je suis cool !
Je ligote ses poignets devant elle paume contre paume avec la corde qui tombe de la poulie et la hisse au maximum jusqu’à ce que son corps soit si tendu qu’elle est presque sur la pointe des pieds. Je relâche un peu la tension et fixe l’autre bout de la corde à l’anneau du sol.
Voilà ! Ma deuxième prisonnière est prête..enfin presque prête.
Je me recule et mes yeux passent de l’un à l’autre plusieurs fois.
Quel spectacle ! J’hallucine ! C’est surréaliste !
Devant moi, à ma gauche, la très bcbg Anne Sophie, pliée en deux , les bras liés dans le dos et remontés vers le plafond, le visage crispé. Son chemisier baille et laisse voir le haut de ses seins et son soutien gorge rouge.
A ma droite, l’exotique Julie, la fliquette, droite comme un I, les bras tirés vers le ciel, la tunique relevée très haut , un air de défi dans ses yeux.
Je n’y crois pas ! Qu’est ce qu’il m’arrive ?
Quelle folie suis je en train de vivre avec ces deux filles, sans compter la présence de Paul, caché, voyeur, à ma demande en plus !
Mais je ne vais pas reculer maintenant, car pour insolite qu’elle soit, la situation reste terriblement excitante !
Je fouille dans le sac .
- Il faut que ça serve tout çà, n’est ce pas Anne So ? Oh comme c’est dommage ! Il n’y a qu’une boule rouge. Qui la veut ?
Je l’agite en l’air comme si c’était un prix à gagner.
- Alors ? Pas d’amatrice ? Une fois, deux fois, …
- Pétasse !
- Adjugé ! Anne So a gagné ! Bravo ! Ah ! C’est vrai, vous ne pouvez pas applaudir…mais le cœur y est, n’est ce pas Julie ?
- Pfft !
Je m’approche d’Anne So, caresse ses cheveux qui tombent en mèches folles le long de son visage.
- Ouvre la bouche ! Et ne m’oblige pas à te pincer le nez !
Quelques minutes et quelques grognements plus tard, la boule rouge obstrue sa bouche, solidement tenue par les lanières fixées derrière sa nuque et des cordes lui lient les chevilles et les cuisses comme celles de Julie.
(dois je avouer que j’en ai profité pour faire courir mes mains le long de ses jambes ?)
Elle émet des sons aigus en équilibre instable sur ses talons aiguille.
Je tourne autour d’elle pour la contempler.
Vue de face : l’aperçu de ses seins moulés dans leurs bonnets rouges est un délice et une tentation ! Je déboutonne son chemisier et le roule sur son dos jusqu’aux menottes
Vue de dos : le spectacle est tout aussi charmant. Sa minijupe en soie retroussée expose une étroite bande de dentelle rouge sur le haut de ses fesses et la peau blanche de ses cuisses au dessus des bas noirs. J’avance ma main droite prudemment comme si j’avais peur de me brûler et du bout des doigts j’effleure sa peau nue entre la dentelle et les bas.
Des vagues de frissons ondulent en moi, montent et descendent en roulant du bas de mon ventre à ma poitrine. Elles ramènent à la surface des émotions et des images de mon enfance.
Je nous revois l’été, mes deux cousines et moi dans la candeur et la fraicheur de nos 10 -12 ans quand nous jouions avec des ficelles et nos mains chatouilleuses.
Que sont elles devenues ces jumelles que j’adorais et dont j’enviais la blondeur et les yeux bleus, ces cousines audacieuses et rieuses qui m’avaient entrainée dans des jeux excitants que je croyais innocents.
Que diraient elles, que feraient elles si elles me voyaient aujourd’hui ?
Joueraient elles encore ou se moqueraient elles ?
Hélas (ou tant mieux) je ne sais pas.
Nos routes se sont séparées l’été de mes 13 ans, quand elles sont parties vivre en Australie emmenant avec elles les souvenirs troublants de mes premiers émois.
Ce passé que mon chagrin d’alors avait enfoui au fond de ma mémoire a resurgi avec une violence et une netteté telles que j’ai été coupée pendant quelques secondes du monde réel et du temps présent.
Je secoue la tête pour reprendre pied dans la vraie vie.
Pas facile d’atterrir après ce voyage!
Je ne sais plus trop où j’en suis et çà devient stressant de passer d’un état à son contraire, de l’envie de jouer avec elles ou d’être leur jouet, de les dominer ou de les cajoler, de rester ou de partir.
- Oh ! Oh ! Caroline !
La voix de Julie me fait sursauter. Elle a le regard inquiet et déçu d’un enfant qui découvre que le manège est en train de fermer.
- Oui ! Oui ! Je réfléchissais au sort que je vous réservais. Il y a tellement de possibilités ! Et vous allez devoir patienter un peu, car j’ai un petit besoin à satisfaire, mais avant, je vais vous mettre en condition, euh….vous préparer pour la suite.
Ma voix tremble légèrement, mais j’ai sauvé les meubles comme je pouvais car j’ai vraiment besoin de me décider.
Comme je suis derrière elle, je relève l’ourlet de la jupe d’Anne So sur ses reins sous ses mains menottées et son chemisier.
- Et ne la baisse pas ! Sinon….
Ma voix s’est raffermie. Je m’approche de Julie et défais les boutons qui tiennent les bretelles de sa tunique dénudant ses jolis petits seins et son ventre plat. Presque collée contre elle, les mains sur ses épaules nues, je luis fais un doux baiser sur ses lèvres. Elle a ouvert la bouche avec un petit gémissement.
- Patience Julie ! Chaque chose en son temps !
Je prends un bandeau noir dans le sac et le lui applique sur les yeux. Elle remue la tête et la frotte contre ses bras tendus pour le faire glisser.
- Ttttt ! Julie ! Si tu l’enlèves, je te rebande les yeux mais avec du collant cette fois !
- Ok ! répond elle avec un petit sourire.
- A ton tour Anne So ! Et ça sera plus difficile d’essayer de l’enlever ! Comme je suis très gentille, je vais détendre la corde pendant que je m’absente. Mais tu gardes ta jupe et ton chemisier sous tes poignets ok ?
Elle fait des mouvements circulaires avec sa tête, remue ses bras et bouge ses épaules dans tous les sens en respirant lentement pour se décontracter.
Toute droite maintenant , perchée sur ses talons, ses poignets collés sur ses reins, les seins en avant dans le petit soutien gorge rouge, les jambes attachées sous sa jupe relevée au dessus de ses bas, Anne Sophie attend. En silence, je m’avance vers elle et lui fais des petits baisers avec le bout de ma langue sur le coin de ses lèvres de chaque côté de la boule rouge qui remplit sa bouche.
- Mmumum !
- Oui je sais dis je en lui caressant la joue. A tout de suite les filles !
Je jette un dernier regard à mes prisonnières et descends les marches. D’un signe du doigt j’invite Paul à me suivre silencieusement. Nous entrons dans la cellule dont je referme la porte.
- Paul ! Je suis perdue. Aide moi je t’en prie. Je ne sais plus ce dont j’ai envie. Je n’arrive pas à imaginer leur faire du mal. En même temps, j’ai aimé les attacher. Et j’ai l’impression qu’elles attendent çà. Oh là là ! Que dois je faire ?
Je parle à voix basse, serrée contre lui, les bras autour de son torse.
Il me caresse gentiment les cheveux et le haut du dos
- Calme toi Caro! Qu’attends tu de moi ?
C'est vrai ça..qu'est ce qu'elle veut caro?
Ca vous intéresse de le savoir?
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- Squatteur(se) de JdL
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comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: piègée ?
hum pas sur sinon elle aurait rompu sa promesse envers les 2 autres.
on verra bien
en tout cas vivement la suite
on verra bien
en tout cas vivement la suite
- Grognar
- Amateur(trice) de JdL
- Messages : 191
- Inscription : 12 août 2013, 06:26
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- Ce que j'adore : Le bondage , le bondage et bien sur le bondage :)
Re: piègée ?
Mais mais , ou quel est la suite ?? OUIN OUIN JE VEUX LA SUITE !!
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- Amateur(trice) de JdL
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- Inscription : 13 juil. 2013, 10:10
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- Ce que j'adore : ligoter des jeunes filles mais le tout avec douceur
- Ce que je déteste : que cela dure trop longtemps
Re: piègée ?
Continue ma belle, au fait, si j'ai bien compté tu dois en être au 11eme ou 12eme chapitre, si ça se trouve, lorsque tu en arriveras au 20eme on sera peut être toujours aussi accros à cette histoire! 

- Karamel
- Admin
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- Inscription : 13 juin 2009, 14:28
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- Ce que j'adore : Les madeleines, certaines spécialités belges ou picardes…
Le bondage comme ou autour d'un jeu
Le *-metal (gothic, geek, harmonic, electro, punk…)
Découvrir des choses
Faire les choses correctement - Ce que je déteste : Le drague'n drop, les relations creuses, l'étroitesse d'esprit, la compétition pour gagner, le m'a-tu-vu…
La voiture et plus généralement la mobilité en ville (voir en France)
Les DRM, les logiciels non-libres, l'enfermement volontaire et parfois inconscient…
Les trucs qui marchent pas, trop réfléchir sans agir…
Re: piègée ?
La suite est partie en vacances, comme tout le monde
(ou pas)
