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mmmmm, je me réveille gentiment, mais je me sens épuisée. Mon kidnaping, était-ce un rêve? Je reviens à moi et ressens le scotch sur mes mains, mes bras mes jambes mes pieds et ma bouche. Non je n'ai pas rêvée, et je suis toujours captive. Je suis à nouveau sur la banquette arrière, ils ont du passer la frontière. J'ignore combien de temps je suis restée endormie.
"Ah, tu te réveilles" me lance Alicia, elle reprend:
"Ne t'en fais, pas, nous sommes bientôt arrivé chez nous, plus qu'une petite heure".
Mon dieu, nous sommes déjà en Roumanie. Je reste là à l'arrière à attendre, je ne peux rien faire d'autre de toute façon.
Voilà presque une heure de plus que nous roulons la voiture semble se garer vers une maison, nous sommes arrivés.
"Enfin, on est arrivé, je vais manger un truc et dormir, on la livrera demain" dit Alicia.
"Il faudra aussi la nourrir, elle risque de s'évanouir autrement" réplique Tad.
Mes deux ravisseurs sortent de la voiture, Tad me porte au dos et Alicia me porte les jambes. Ils m’emmènent dans leur maison, et me dépose dans une petite pièce sur un matelas. Me voilà toute seule dans cette pièce. Je pourrais tenter de trouver quelque chose de coupant ici et de me détacher. Alicia revient avec de la nourriture et une bouteille d'eau. Elle me dit:
"N'essaie pas de crier, personne ne vas te sauver ici, c'est compris?" j'acquisse de la tête, et elle m'enlève aussitôt mon bâillon.
"-Alicia, s'il te plait, je te paierait tout ce que tu veux mais laisse moi partir, je t'en supplie" lui dis-je pendant qu'elle me nourrit.
"-Ne perd pas ton temps, ma jolie, je t'avais prévenue, tu ne peux t'en prendre qu'à toi même. Et vu la beauté que tu es, tu ne trouveras jamais autant d'argent que ce que tu vas nous rapporter."
Aussitôt que j'ai finie, Alicia me re bâillonne avec son scotch. Puis elle m'amène vers un pilier de la pièce et m'y attache, passant le scotch à ma taille. Je suis toujours sur le matelas, elle me met un coussin derrière le dos.
"-Bonne nuit ma jolie" me lance-t-elle. Puis elle referme la porte en fermant à clé. Décidément ils prennent vraiment leurs précautions. Aussitôt je tente de me dégager de mes liens. J'y mets toute mes forces... je tire... mais rien à faire, je suis trop bien attachée. Impossible de me déplacer et de me saisir d'un objet, étant attachée à ce pilier. Décidément je suis vraiment mal. Quand je pense à la vitesse à laquelle tout s'est passé. Tout est allé tellement vite depuis que Tad à débarquer. Puis plus le temps avançait, plus mes chances de m'en tirer s’affaiblissaient. Lors de ce barrage, j’ai pourtant vraiment crue que j’allai être sauvée, comme à chaque fois. Hélas, c’était un faux espoir. Je ne peux pas partir, impossible de me libérée, je suis victime et contrainte à mon triste sort. Je ne peux que m'endormir.
Nous sommes déjà le lendemain, il déjà 13h00 de l'après midi, nous sommes rentré tellement tard que nous avons tous dormis toute la matinée. Alicia ouvre la porte et me fait:
"Et voilà ma jolie, on va y aller".
Elle a une paire de ciseaux avec elle. Elle me détache mes pieds, mes jambes, mes bras, et me détache du pilier, mais mes mains restent toujours attachées et je suis toujours bâillonnée.
Elle me fait marcher jusqu'à la voiture, et me remet sur la banquette arrière. Tad prend le volant, nous repartons.
La voiture arrive dans un complexe, il y a un homme armé d'une kalachnikov qui garde la grille d'entrée. Il ouvre la grille, nous entrons. Mon dieux, mais c'est une véritable forteresse ou ils m’emmènent. Ils garent la voiture et me refont sortir. Alicia me tiens au bras et me fait marcher dans le bâtiment. Nous entrons dans une pièce, elle semble être tenue par un mac et un garde.
-"Bonjour Iglow" fait Alicia. "Voici notre fille, qu'est ce que tu en dit."
-"Ohoh. C'est une vraie beauté, elle va me rapporter beaucoup d'argent. Très bon travail les jeunes, nous allons dans mon bureau pour discuter affaire, mais je peux vous dire que je suis prêt à vous payer une très belle sommes pour ce canon."
-"J'arrive Iglow, allez y déjà, je veux dire un petit au revoir à ma marchandise.
Seul le garde reste avec nous, Alicia me fait:
"- Et voilà Nina, c'est ici que nos chemins se sépare. Merci encore tu viens de me faire gagner beaucoup d'argent, ma mignonne. Bien plus que les 15'000.- que je comptais te voler à la base. " Puis elle s'approche de moi et m'embrasse sur la joue. Elle me fait encore:
-"Bye bye ma jolie, éclate toi bien!" et s'en vas.
J'attends avec le garde, je peux ne pas m'enfuir. Il se passe environ 1 heure, puis le mac de toute à l'heure viens vers moi avec un autre homme, un vieux dans un costard blanc. Le mac me fait:
-" Allez ma jolie, tu vas commencer à payer ton loyer ! qu'est ce que t'en dis alors?" l'autre homme réplique:
-"Un vrai canon, cette nouvelle est vraiment sexy comme une chienne!! Met là dans la chambre 35, je te paie et je m'y rends tout de suite".
Le garde me prend par le bras et m'emmène. Dans le couloir, j'entends d’autres femmes se faire violer dans d'autre pièce. Je suis vraiment en enfer. Le garde me fait entrer dans une petite pièce avec un lit et des menottes partout. Il me pose sur le lit, détache mes liens et attache aussitôt mes poignets à l'avant en haut avec des menottes, passant les chainettes entre des barres du lit. Puis il attache également mes chevilles avec une autre paire de menottes, passant la chaine sur une barre du lit en bas. Je suis attachée, forcée d’être allongée sur ce lit. Puis il remplace mon scotch par bâillon boule rouge. Puis il me laisse seule.
Par pour si longtemps, à peine 10 minutes plus tard, l'homme en costard blanc arrive dans la pièce. Il a une arme avec lui. Et ce pervers commence:
"Aha, toi tu es vraiment une bombe" aussitôt il s'étale sur moi, commençant par me ploter les seins comme un obsédé. Je crie:
"MMMMHHHHHHHH!!!"
"Hahahahaha!!! Ma mignonne, inutile de crier, personne ne va t'entendre ici. Je vais t'apprendre dès maintenant ta nouvelle vie!!" Puis je sens qui plote maintenant mes fesses!
Il pose son arme sur une table de nuit juste à côté de moi et me dit: "Tu sais j'ai pu voir que tu avais un très joli cul, ma jolie, on va commencer par ça. Tu vas voir quand mon gros engin sera dans ton petit cul sexy, tu seras totalement soumise. Puis il baisse mon pantalon.
"Montre-moi ton joli cul maintenant salope!" Puis il détache mes menottes dans le but de me retourner. Aussitôt qu’il ôte mon poignet droit, j'attrape ses parties génitales, en serrant et tirant de toutes mes forces, l'homme hurle de douleur.
"OUAAAAAAAHHH!!" Puis tombe du lit. Aussitôt je sais le pistolet sur la table et enlève mon bâillon. Je lui dis tout de suite.
"Fermes la gros porc, je sais tirer, pas un mot ou je te met une balle dans la tête!!".
"Non, me tue pas, c'est bon, je vais me calmer, me fait pas de mal!!", réplique ce pervers.
"Lance-moi les clé de toutes mes menottes, tout de suite" je réplique.
"Les voilà, t'énerve pas" me dit il en me les donnant.
"Éloigne toi, met toi dans le coin maintenant" lui dis-je, lui m'obéissant.
Je détache aussitôt mes chevilles. Me voilà enfin libre. Je reprends:
"Tu vas me sortir d'ici enfoiré, ou je te jure que je te tue".
"D'accord, d'accord, écoute, on peut passer, les gardes sont tous au bureau, il y a personne dans les couloirs"
"Très bien, on y va, si tu essaie de me doubler, je te tue immédiatement" je réplique.
Nous sortons de la pièce et traversons le couloir, moi braquant son arme sur lui. Nous sortons et prenons la voiture, il conduit, alors que je le tiens en joue sur siège passager. Nous arrivons
à la grille, je me baisse en disant:
-"Mon arme est pointé sur toi, si tu préviens le garde, je te tire droit dans les poumons, j'espère que c'est claire".
-"C'est clair, ne tirer pas, s'il vous plait". me répond-il.
Il arrive, le garde lui demande d'ouvrir la vitre et lui dit:
-"Déjà fini, héhé, tu tiens pas longtemps mon vieux".
-"Oui, je ne suis pas très en forme aujourd'hui, je dois vraiment y aller". lui répond mon violeur.
-"Haha, t'es barges toi! je t'ouvre".
Puis nous quittons le complexe, je me redresse et lui dit:
"Maintenant emmène moi à l'aéroport tout de suite"
"Très bien, on y va, ne t'énerve pas." me répond-t-il.
Une chance qu'Alicia leur ai remis mon portefeuille, j’ai pu le ramasser sur la table avant de partir.Après une demi heure de route nous arrivons devant l'aéroport.
"Range-toi vers la station service ici" elle dispose d'un immense parking, je le fait aller tout au fond.
"Très bien, maintenant tu vas poser ta tête contre le siège, fermer les yeux et compter jusqu'à 100, si tu fais ce que je te dis, je te laisse la vie sauve, et tu ne me verras plus.
"D'accord, merci, merci, je vais le faire" Il exécute ma demande et commence à compter:
"un..deux...trois...quatre" Puis je lui tire dans la tête. J'ai utilisé un coussin du siège pour étouffer le coup de feu, personne ne l'as entendu, je laisse l'arme et le cadavre dans la voiture et je m'enfuis aussitôt.
Je parviens à l'aéroport, je prends immédiatement un vol pour la France. J'appelle Yuri, lui explique la situation et lui demande de me prendre à l'aéroport de Lyon.
Je suis déjà dans l'avion, à la fois sous le choc et soulagée. Je ne pensais vraiment pas que je m'en sortirais cette fois, j'ai vraiment cru que j’allais pourrir, enfermée pour toujours
chez ces proxénètes. Le voyage dure deux heures. Mon dieu, mais qu’est ce que c’était que cet enfer. Et dire que d’autres filles pourrissent encore là-dedans !!
Je suis déjà à Lyon, j'ai retrouvé Yuri, nous sommes en route pour chez moi. Malgré une de mes pires histoire, je m'en suis tirée, je suis à nouveau libérée et libre!!!