Jeux de Liens

Je suis vraiment un sacré chanceux. Sam est un type super et il paraît qu'il organise des teufs d'enfer. Pour ce soir, il m'a demandé de passer plus tôt pour l'aider à tout préparer dans un bâtiment qu'il a loué pour l'occasion. C'est un ancien studio d'enregistrement. Je suppose qu'il l'a choisi pour l'insonorisation des murs pour ne pas déranger les voisins et se retrouver avec les flics sur le dos au bout d'une heure. Je frappe à la porte et attend quelques minutes. Tout à coup la porte s'ouvre et Sam m'ouvre tout content de lui apparemment. « Viens je vais te faire visiter, tu veux boire un truc ? ».
« un coca je veux bien stp ». Il me sers un verre et commence à me faire visiter les lieux. C'est vraiment immense et cela semble être l'endroit idéal pour … La tête me tourne tout à coup, alors il m'aide à m'assoir sur une chaise qui traîne par là. Je ne me sens pas du tout bien et finis par perdre connaissance.

Quand je me réveille, je suis groggy et j'ai l'impression que j'ai quelque chose dans la bouche. Je suis bâillonné!!! Je tente de retirer ce que j'ai dans la bouche mais mes mains sont attachés dans mon dos derrière les barreaux de la chaise sur laquelle je m'étais assis tout à l'heure. Mes chevilles sont attachées ensemble et reliées au barreau transversal des pieds de la chaise. Mes vêtements ont disparu et je ne porte plus que mon boxer. Je comprends alors que Sam m'a tendu un piège : il n'y a jamais eu de fête et je me retrouve à sa merci dans ce studio désaffecté. Je tente d'appeler à l'aide, de crier mais mon bâillon est très efficace : sans doute une balle de golf qu'il a roulé dans un foulard en soie et serré fortement derrière ma nuque. Mes liens sont solides mais les cordes en nylon qu'il a utilisé ne me font pas mal : mon kidnappeur est très attentionné ! C'est alors que la porte de la pièce s'ouvrir brusquement et je vis sam entrer avec un sourire encore plus grand que celui avec lequel il m'avait observé. Il porte des bottes et un pantalon en cuir, un tee-shirt plutôt moulant et un bandana autour du cou. Jamais je ne me serai douté qu'il était capable de cela.

Penser à surveiller son verre http://odieuxconnard.wordpress.com/about/
Ce Sam, c'est un ami du personnage principal ?

Oui tout à fait! Le sera-t-il encore à la fin de l'histoire...

« alors enfin réveillé, me lance t-il d'un air sarcastique et menaçant »
« mmmmph, mmmmph, mmmmmph » aucun son audible ne sort de ma bouche
« je savais que tu étais un bavard, alors je me suis dis qu'un bon bâillon te ferai le plus grand bien, enfin c'est aussi pour mon plaisir car il faut bien avouer qu'ici personne ne peut t'entendre »

Je vois dans ses yeux qu'il se délecte de ma terreur, alors je tente de garder mon sang froid.
« je sais que c'est un peu théâtral comme mise en scène mais ça fait si longtemps que je rêve de t'initier aux joies du bondage et peut-être même que cela va te plaire »
Puis il se retourna et appela quelqu'un : « Anna!»
Soudain, une magnifique jeune fille entra dans la pièce un sac à la main. Elle s'approche de Sam et l'embrasse langoureusement. Elle est habillée d'une combinaison en cuir très moulante, ce qui je dois dire m'excite énormément. Puis elle se dirige vers moi et palpe lentement mon entre-jambes :
« tu as raison, ça à l'air de beaucoup lui plaire » lança t - elle en me regardant droit dans les yeux.
« voyons ce que ça lui fais de te voir ainsi sans défense à ma merci » dit-elle dans un murmure à Sam.
Je vois alors cette dominatrice sortir des menottes et les agiter sous le nez de Sam qui en salive d'avance. Elle se place derrière lui et lui ramène les mains dans le dos : je peux entendre le cliquetis caractéristique qui scelle définitivement les bracelets sur les poignets de mon « ami ».

Elle le fait s'asseoir sur une chaise en lui passant les mains derrière le dossier. Une corde vient alors le ceinturer et le plaque contre le dossier de la chaise. Je gémis à la fois de peur et d'excitation tant les gestes d'Anna sont doux et dominateurs en même temps. Sam aussi semble prendre du plaisir et ses gémissements se font de plus en plus intense.
« il est temps de te bâillonner mon chéri » lui lance-t-elle en fouillant dans son sac dont elle sortit une grande balle en caoutchouc de laquelle pendaient deux lanières en cuir.
Elle lui enfonce cette balle dans la bouche et attache les sangles ensemble derrière sa nuque.

S'il ne réussit pas à lui ravir le cœur de la belle ça sera l'ami qui ne voudra plus l'être

Au tour de ses jambes : Anna saisit deux cordes et lia séparément les chevilles de Sam aux deux pieds avant de la chaise. Elle teste les liens et me lance un regard très évocateur de la suite en passant lentement sa langue sur ses lèvres pulpeuses. Je ne tiens plus et c'est sans doute cela l'ultime torture. Avoir cette magnifique créature à portée de main et ne pas pouvoir en profiter, ne pas pouvoir la toucher. Soudain, elle se met à genou devant Sam et commence à caresser son entre-jambes à travers son pantalon en cuir et vu le bombement que cela lui procure, il ne porte pas de caleçon. Lui aussi semble au supplice de ne pouvoir toucher Anna mais il devait s'en douter en acceptant ce petit jeu avec elle.

Elle prend son temps et alterne entre caresser l'entre-jambes de Sam et le mien. Puis, elle commença à descendre le pantalon de Sam jusqu'à ses genou libérant ainsi son membre turgescent. Elle le caresse délicatement sans doute car elle ne veut pas qu'il jouisse trop vite, cela gâcherai son plaisir. Elle décide alors de se tourner vers moi : enfin, je n'en peux plus d'attendre, bien que je ne lâche pas ce qu'elle va me faire subir, ce que je viens de voir me met l'eau à la bouche. Elle saisit une paire de ciseaux qui traînait là et découpa mon boxer. En un instant, je me retrouva nu sous les yeux de ces deux personnes, ce qui, à mon grand étonnement m'excite plus qu'autre chose.

Anna passe derrière moi et soudain, le noir complet : elle est en train de me nouer quelque chose sur les yeux, elle fait ça bien et c'est plutôt agréable, sans doute un foulard en soie. Ses mains se déplacèrent sur mon torse, mes sens sont en éveil, elle sait s'y prendre. Elle passe devant moi et s'assit sur mes cuisses. Je sens le cuir se frotter sur mon sexe en érection et ses gants en cuir le parcourir en des mouvements délicats de va-et-vient très agréable. J'ai envie de lui dire de continuer, de ne surtout pas arrêter mais seuls des gémissements de plaisir sortent de ma bouche, ce qui l'amuse et l'excite en même temps.

Sensuel, sensuel... ça me plait

Ses mouvements sont de plus en plus rapides et je sens le désir monter, monter de plus en plus jusqu'à ce qu'une explosion de sensations ébranle tout mon être. Alors que je profitais de la sensation de ce moment, elle se lève et me fait un baiser sur le front tout en me retirant mon bandeau. Elle s'approche de sam et commence à lui caresser sensuellement le cou tout en tournant autour de lui. Il semble près à arracher ses liens et à se jeter sur elle mais ceux-ci tiennent bons. Elle attrape la fermeture éclair de sa combinaison en cuir et l'ouvrir juste pour laisser entrevoir un décolleté plongeant qui rend mon ami encore plus excité. Elle se baisse devant lui et plonge sa main dans son pantalon pour en sortir son sexe. Elle prend plaisir à le torturer par l'attente d'un orgasme délicieux.

Anna se penche sur son sexe et commence à faire le tour de son gland avec sa langue, puis, elle non-plus n'en pouvant plus d'attendre, elle le prend en bouche. Je peux jouir de toute la scène et j'en suis très jaloux je dois dire. Elle sait si bien y faire pour que les 2 partenaires y prennent le plus de plaisir possible. Tandis qu'Anna joue avec Sam, je remarque que les liens de mes poignets deviennent un peu lâches : il me semble que je pourrais me détacher mais ce n'est pas le moment, j'attendrais qu'elle soit partie... Quelques minutes après cet excitant spectacle, Anna nous dit qu'elle va prendre une douche et que nous s ferions d'être bien sages : elle n'eut pour réponse que quelques gémissements. Lorsqu'elle sortit de la pièce, je décide de mettre mon plan à exécution. Je me débat dans mes liens avec force pour finir par libérer mes mains : et miracle, j'y parviens ! Ma première tâche est de me dénouer mon bâillon qui était imprégné de salive. Ma mâchoire est toute engourdie et pendant que je me détache les chevilles, je m'adresse à Sam :

« vous avez voulez jouer avec moi, ça va être votre tour mes amis ! »

Sam voulut prévenir Anna mais décidément les bâillon-boules sont d'une redoutable efficacité. Une fois complétement libre, je pars à la recherche de matériel : je mis alors la main sur une bouteille de chloroforme. Je ramasse alors quelques cordes et foulards qui servaient à me ligoter. Me plaçant à côté de la porte par laquelle Anna était sorti, j'imbibe un des foulards de chloroforme. Si elle aime ligoter, je me demande si elle aime être ligotée...
L'attente de son retour me paraît interminable tant je suis excité par ce que je vais faire. Sam me regarde avec un air effrayé et en même temps, il doit se dire que je me prends à mon tour au jeu : peut-être que ma libération n'est pas un hasard …

L'attente de son retour me paraît interminable tant je suis excité par ce que je vais faire. Sam me regarde avec un air effrayé et en même temps, il doit se dire que je me prends à mon tour au jeu : peut-être que ma libération n'est pas un hasard …

Mais si, un hasard mais un hasard voulu

Soudain, alors que j'étais perdu dans mes pensées, je vois la porte s'ouvrir rapidement et anna pénétrer dans la pièce. Quand elle passe à côté de moi sans me voir, je sens une odeur très agréable : elle s'est parfumée pour moi, délicate attention. Je décide alors de passer à l'action ! Je me jette sur elle et la ceinture de mon bras gauche. Cette combinaison est décidément très agréable au toucher. Visiblement très surprise, elle commence à crier mais c'est sans compter sur le foulard imbibé de chloroforme qui vient s'appliquer sur son visage. Elle essaye de se dégager mais rien n'y fait, elle perd connaissance dans mes bras.

Je la porte jusqu'à un lit que j'avais remarqué lors de ma visite dans le bâtiment dans une pièce voisine. Contrairement à eux, je préfère l'intimité. Je décide de la ligoter solidement aux quatre pieds du lit avec la corde que j'ai trouvé dans son sac, et je ne risque pas d'en manquer. Je saisis une des cordes et teste sa solidité : avec moi, elle ne s'échappera pas, cette petite vicieuse. J'attrape sa main droite, fais un nœud hors de portée et relie la corde au pied supérieur du lit de façon à ce qu'elle soit face à moi. Je répète l'opération à trois reprises pour son autre main et ses chevilles en prenant soin qu'elle soit bien au centre du lit et qu'elle ne puisse même pas se débattre : je tiens à avoir les mains libres …

Elle m'avait si bien bâillonné tout à l'heure, je ne peux que lui rendre l'appareil et le bâillon-boule en latex que j'ai trouvé au fond du sac fera très bien l'affaire : je le teste d'ailleurs sur moi pour m'en assurer. Un bandana noir en guise de bandeau vient recouvrir ses yeux : la privation sensorielle m'ayant beaucoup plu, elle y aura droit elle aussi. Je descends la fermeture éclair de sa combinaison bien en dessous de sa poitrine pour en profiter et ne peut m'empêcher de caresser ses seins avec un immense plaisir. Alors que j'examine ma prisonnière, je remarque une deuxième fermeture éclair stratégiquement placée au niveau de son entre-jambes. Je ne risque pas de m'ennuyer avec cette coquine …