Camping Paradis.
Publié : 11 nov. 2014, 09:57
La prise en charge.
Oh le minou, il mange tout : ce que l’on peut être gaga devant un simple chat même derrière une vitre. Je me déplace pour le nourrir et monsieur attend que je parte pour avaler son repas 3 étoiles à base de croquette et d’eau. On dit souvent que les chats sont les plus heureux mais ils ont vraiment une bouffe de merde : du saumon voir du lapin compacté en croquettes. Les chats passent leur temps à chasser des lézards, des oiseaux, des souris et on leur file du saumon. Du pâté de rats ou de moineaux serait plus adapté mais cela ne serait pas très vendeur. Pas le temps d’établir un plan marketing pour Sheba, il est temps d’envoyer le petit SMS de réconfort à la propriétaire du matou tout en regagnant ma voiture : j’arrive à faire 2 choses en même temps aujourd’hui, je suis en veine. Par contre je ne tente pas le diable et je range mon portable dans une des poches de mon treillis pour la descente des escaliers menant directement au parking. C’est quand même plaisant la vie en montagne : toujours en plein air, des fontaines un peu partout, du calme,…et des petits parkings. Un peu trop petit celui-ci car une camionnette est garée vraiment proche de ma voiture. En m’approchant je me dis que je vais passer par le côté passager pour rentrer dedans, c’est pratique.
Il y a 2 vélos de courses posés sur le porte-vélos de cette camionnette blanche. Un porte-vélo sur une camionnette…ben voyons ! La porte latérale qui donne sur ma voiture est ouverte et j’aperçois 2 têtes : une tête blonde féminine et une tête brune masculine qui ont l’air de transpirer. Je vais quand même essayer de passer par là, au pire je vais me rincer l’œil sur le corps qui tient cette tête blonde. Et je ne suis pas déçu en arrivant : elle est en cuissarde de cycliste rouge avec un haut tout aussi moulant blanc qui laisse ressortir une petite poitrine. Béni soit le lycra. Petit plus elle est pieds nus et je bloque dessus comme un pervers. Ils sont plutôt grands et les veines sont vraiment saillantes. Elle se rend compte de mon bug et m’interpelle.
- Ca va bien ?
- Oui ca va mieux.
C’est bien de ne pas réfléchir avant de répondre.
- Vous voulez quelque chose ?
- Oui, juste rentrer dans ma voiture.
- C’est vrai que je me suis collé un peu trop.
La tête brune parle aussi. Le gars est en combi bleu et bizarrement le lycra ne me fait pas du tout le même effet. Sans doute à cause de la couleur, on va dire ça.
- Pas de problème je vais passer par le côté passager, changez-vous tranquillement.
- Vous ne voulez pas nous donner un coup de main avant ?
- Non Lise pas ici.
Lise…j’aime bien. Elle pourrait s’appelait Gertrude elle serait toujours aussi attirante. Et pourquoi pas ici ?
- Oui volontiers.
Elle se rapproche du gars en le poussant légèrement et me montre du doigt l’intérieur de la camionnette tout en posant son pied gauche sur le rebord.
- On a toujours du mal pour rabattre le coffre intérieur, à trois ce sera plus facile.
- Non je te dis, écoutes moi un peu !
- Si à 3 c’est plus simple alors…
Je l’entends parler mais je vais faire comme Lise : je ne vais pas l’écouter.
Elle me sourit et monte dans la camionnette. Je la suis comme un toutou qui vient de donner à manger au minou tout en me mettant dos à ma voiture. Depuis l’entrée de la camionnette j’aperçois un tapis de sol bleu avec une barre métallique fixée juste au-dessus et qui longe toute la longueur du sol. Je monte délicatement.
- Le coffre est là mais vous vous allez sur le tapis.
- Quoi ?
Le gars vient plaquer sa main sur ma bouche et repli mon bras droit dans mon dos. Je ne bouge plus. Je tente quelque grognement en vain. Mes yeux se tournent vers un petit coffre en fer au fond de la camionnette. Lise sourit toujours et ouvre celui-ci. Je gigote un peu et mon bras droit remonte dans mon dos.
- MMMMMMM….mmmmmmmppphhh
- Calmes toi l’ami. Mais putain Lise tu ne m’écouteras donc jamais ? Bouges toi de sortir le matos qu’on dégage d’ici !
- T’aimes pas l’imprévu et pourtant c’est là que l’on s’amuse le plus.
Elle ouvre le coffre et elle en sort 2 paires de menottes ainsi qu’une espèce de harnais en cuir avec une boule rouge. J’essaie de mettre des coups de pieds mais le gars me fait chuter sur le tapis de sol. Sa main se retire de ma bouche et je lâche un « Oh » de surprise assez ridicule vu le contexte avant qu’il ne repasse à l’action sur mon bras droit.
- Ferme là ou je te pète le bras, compris ?
Je ne réponds même pas, la pression sur mon bras suffit. Les pieds de Lise sont en face de moi, à quelques centimètres.
- Alors ils te plaisent mes pieds ? Tiens sens les un peu.
Elle me passe ses pieds l’un après l’autre sous le nez et me caresse le visage avec. Je me laisse faire.
- Tu apprécies ?
- Bouges toi bordel, tu joueras avec plus tard !
- T’es plus comme avant Marc, vraiment. Ca va je me dépêche.
Elle s’agenouille et m’enfonce la boule dans la bouche en premier avant de fixer les lanières du harnais sous mon menton et derrière ma tête. Elle s’attarde sur les 2 sangles qui passent chacune d’un côté de mon nez et qui viennent un peu m’obstruer la vue.
- Tu vas y voir plus clair au moins. On se tutoie maintenant, d’accord ?
Merci c’est gentil, garce. Avec mon bras dans le dos je me laisse faire, je n’ai pas le choix. Et puis j’ai une vue sur l’entrejambe bien trempée de Lise, le rouge du cuissard est un peu plus foncé. La sueur après des efforts sur une selle, ou autre chose.
- mmmmmmmpphhhh gggrrrmmmpppfffoooooo
- C’est trop serré ? Pas assez ? Je ne comprends pas désolé !
- Mmmmmooooppppppfffff
- Bouges toi !
- Tiens fini le travail puisque tu es si pressé.
Elle lui donne les menottes et il s’empresse de m’attacher les poignets autour de cette barre. Pareil pour les pieds sauf qu’il serre un peu plus sur les chaussettes. Je tire directement sur mes poignets et mes pieds pour tester cette barre de fer. Je m’excite comme un damné tout en grognant à travers la boule. A part baver il ne se passe rien d’autre : la barre est vraiment bien fixée. Et niveau confort ce n’est pas top avec ce tapis de sol un peu trop fin. Lise et Marc me regardent me dandiner le long de la barre. Je les regarde de temps en temps durant mes phases de gigotage.
- Le poulet est sur la broche lança Marc.
- Mmmmmmmmoooooooopppppppaaaaaa
- Il est vaillant quand même pour sa petite carrure. Récupère les clefs de sa voiture Lise pendant que je fini de rentrer le matos de la balade.
- Avec plaisir.
Marc descend et Lise s’agenouille sur un petit bout de tapis. Ses cuisses ressortent vraiment de ce cuissard. Je bouge 2 fois plus, le bruit des chaines des menottes résonant plus fortement.
- Tu te fatigues pour rien, gardes tes forces pour plus tard. Il y a un tas de babioles amusantes dans le coffre tu sais.
Et elle me lance un clin d’œil tout en fouillant ma première poche…et c’est la bonne mes clefs sont dans celle-ci. Elle les retire et remet sa main dedans. Elle caresse doucement mon sexe à travers mon treillis et mon slip. Oui je mets des slips.
- Ca gonfle bien dis donc !
- Mmmmmmmpffffffffff
J’essaie de pousser la boule avec ma langue mais rien à faire, elle est bien plaquée avec ce maudit harnais et ses multiples sangles. Marc revient, jette un sac encore ouvert. Lise retire sa main de ma poche.
- Allez on rentre au camping. Tu prends sa voiture ou le van ?
Oh le minou, il mange tout : ce que l’on peut être gaga devant un simple chat même derrière une vitre. Je me déplace pour le nourrir et monsieur attend que je parte pour avaler son repas 3 étoiles à base de croquette et d’eau. On dit souvent que les chats sont les plus heureux mais ils ont vraiment une bouffe de merde : du saumon voir du lapin compacté en croquettes. Les chats passent leur temps à chasser des lézards, des oiseaux, des souris et on leur file du saumon. Du pâté de rats ou de moineaux serait plus adapté mais cela ne serait pas très vendeur. Pas le temps d’établir un plan marketing pour Sheba, il est temps d’envoyer le petit SMS de réconfort à la propriétaire du matou tout en regagnant ma voiture : j’arrive à faire 2 choses en même temps aujourd’hui, je suis en veine. Par contre je ne tente pas le diable et je range mon portable dans une des poches de mon treillis pour la descente des escaliers menant directement au parking. C’est quand même plaisant la vie en montagne : toujours en plein air, des fontaines un peu partout, du calme,…et des petits parkings. Un peu trop petit celui-ci car une camionnette est garée vraiment proche de ma voiture. En m’approchant je me dis que je vais passer par le côté passager pour rentrer dedans, c’est pratique.
Il y a 2 vélos de courses posés sur le porte-vélos de cette camionnette blanche. Un porte-vélo sur une camionnette…ben voyons ! La porte latérale qui donne sur ma voiture est ouverte et j’aperçois 2 têtes : une tête blonde féminine et une tête brune masculine qui ont l’air de transpirer. Je vais quand même essayer de passer par là, au pire je vais me rincer l’œil sur le corps qui tient cette tête blonde. Et je ne suis pas déçu en arrivant : elle est en cuissarde de cycliste rouge avec un haut tout aussi moulant blanc qui laisse ressortir une petite poitrine. Béni soit le lycra. Petit plus elle est pieds nus et je bloque dessus comme un pervers. Ils sont plutôt grands et les veines sont vraiment saillantes. Elle se rend compte de mon bug et m’interpelle.
- Ca va bien ?
- Oui ca va mieux.
C’est bien de ne pas réfléchir avant de répondre.
- Vous voulez quelque chose ?
- Oui, juste rentrer dans ma voiture.
- C’est vrai que je me suis collé un peu trop.
La tête brune parle aussi. Le gars est en combi bleu et bizarrement le lycra ne me fait pas du tout le même effet. Sans doute à cause de la couleur, on va dire ça.
- Pas de problème je vais passer par le côté passager, changez-vous tranquillement.
- Vous ne voulez pas nous donner un coup de main avant ?
- Non Lise pas ici.
Lise…j’aime bien. Elle pourrait s’appelait Gertrude elle serait toujours aussi attirante. Et pourquoi pas ici ?
- Oui volontiers.
Elle se rapproche du gars en le poussant légèrement et me montre du doigt l’intérieur de la camionnette tout en posant son pied gauche sur le rebord.
- On a toujours du mal pour rabattre le coffre intérieur, à trois ce sera plus facile.
- Non je te dis, écoutes moi un peu !
- Si à 3 c’est plus simple alors…
Je l’entends parler mais je vais faire comme Lise : je ne vais pas l’écouter.
Elle me sourit et monte dans la camionnette. Je la suis comme un toutou qui vient de donner à manger au minou tout en me mettant dos à ma voiture. Depuis l’entrée de la camionnette j’aperçois un tapis de sol bleu avec une barre métallique fixée juste au-dessus et qui longe toute la longueur du sol. Je monte délicatement.
- Le coffre est là mais vous vous allez sur le tapis.
- Quoi ?
Le gars vient plaquer sa main sur ma bouche et repli mon bras droit dans mon dos. Je ne bouge plus. Je tente quelque grognement en vain. Mes yeux se tournent vers un petit coffre en fer au fond de la camionnette. Lise sourit toujours et ouvre celui-ci. Je gigote un peu et mon bras droit remonte dans mon dos.
- MMMMMMM….mmmmmmmppphhh
- Calmes toi l’ami. Mais putain Lise tu ne m’écouteras donc jamais ? Bouges toi de sortir le matos qu’on dégage d’ici !
- T’aimes pas l’imprévu et pourtant c’est là que l’on s’amuse le plus.
Elle ouvre le coffre et elle en sort 2 paires de menottes ainsi qu’une espèce de harnais en cuir avec une boule rouge. J’essaie de mettre des coups de pieds mais le gars me fait chuter sur le tapis de sol. Sa main se retire de ma bouche et je lâche un « Oh » de surprise assez ridicule vu le contexte avant qu’il ne repasse à l’action sur mon bras droit.
- Ferme là ou je te pète le bras, compris ?
Je ne réponds même pas, la pression sur mon bras suffit. Les pieds de Lise sont en face de moi, à quelques centimètres.
- Alors ils te plaisent mes pieds ? Tiens sens les un peu.
Elle me passe ses pieds l’un après l’autre sous le nez et me caresse le visage avec. Je me laisse faire.
- Tu apprécies ?
- Bouges toi bordel, tu joueras avec plus tard !
- T’es plus comme avant Marc, vraiment. Ca va je me dépêche.
Elle s’agenouille et m’enfonce la boule dans la bouche en premier avant de fixer les lanières du harnais sous mon menton et derrière ma tête. Elle s’attarde sur les 2 sangles qui passent chacune d’un côté de mon nez et qui viennent un peu m’obstruer la vue.
- Tu vas y voir plus clair au moins. On se tutoie maintenant, d’accord ?
Merci c’est gentil, garce. Avec mon bras dans le dos je me laisse faire, je n’ai pas le choix. Et puis j’ai une vue sur l’entrejambe bien trempée de Lise, le rouge du cuissard est un peu plus foncé. La sueur après des efforts sur une selle, ou autre chose.
- mmmmmmmpphhhh gggrrrmmmpppfffoooooo
- C’est trop serré ? Pas assez ? Je ne comprends pas désolé !
- Mmmmmooooppppppfffff
- Bouges toi !
- Tiens fini le travail puisque tu es si pressé.
Elle lui donne les menottes et il s’empresse de m’attacher les poignets autour de cette barre. Pareil pour les pieds sauf qu’il serre un peu plus sur les chaussettes. Je tire directement sur mes poignets et mes pieds pour tester cette barre de fer. Je m’excite comme un damné tout en grognant à travers la boule. A part baver il ne se passe rien d’autre : la barre est vraiment bien fixée. Et niveau confort ce n’est pas top avec ce tapis de sol un peu trop fin. Lise et Marc me regardent me dandiner le long de la barre. Je les regarde de temps en temps durant mes phases de gigotage.
- Le poulet est sur la broche lança Marc.
- Mmmmmmmmoooooooopppppppaaaaaa
- Il est vaillant quand même pour sa petite carrure. Récupère les clefs de sa voiture Lise pendant que je fini de rentrer le matos de la balade.
- Avec plaisir.
Marc descend et Lise s’agenouille sur un petit bout de tapis. Ses cuisses ressortent vraiment de ce cuissard. Je bouge 2 fois plus, le bruit des chaines des menottes résonant plus fortement.
- Tu te fatigues pour rien, gardes tes forces pour plus tard. Il y a un tas de babioles amusantes dans le coffre tu sais.
Et elle me lance un clin d’œil tout en fouillant ma première poche…et c’est la bonne mes clefs sont dans celle-ci. Elle les retire et remet sa main dedans. Elle caresse doucement mon sexe à travers mon treillis et mon slip. Oui je mets des slips.
- Ca gonfle bien dis donc !
- Mmmmmmmpffffffffff
J’essaie de pousser la boule avec ma langue mais rien à faire, elle est bien plaquée avec ce maudit harnais et ses multiples sangles. Marc revient, jette un sac encore ouvert. Lise retire sa main de ma poche.
- Allez on rentre au camping. Tu prends sa voiture ou le van ?