rififi à l'école des filles

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sakura

rififi à l'école des filles

Message par sakura »

Une des histoires de ma petite collection

Bonne lecture tout le monde

Et voilà c’est la rentrée, qu’est-ce que je n’ai pas envie d’y retourner, mais bon je n’ai pas le choix mes parents ont payé une fortune pour que je l’intègre. Quand j’étais petite, j’adorais l’école, j’étais plutôt douée quelques soit la matière. Ils ont estimé qu’à mes 18 ans, je n’étais pas encore une jeune fille élégante, raffinée et distinguée et que je devais recevoir une éducation des plus stricte pour plaire dans la haute société et dans les relations de mes parents. Tu parles, quelle connerie, j’ai pas envie de ressembler à une petite bourgeoise écervelée qui n’a d’existence que de se pavaner dans des garden party. De toute manière, j’aime pas les garden party, j’aime pas les gens de mon âgé que mes parents me font rencontrer, j’aime pas mes parents, je n’aime pas leurs amis et je hais le jeune homme qu’ils m’ont choisi comme futur mari. Ce mec est une caricature, pas grand, gros, inculte, un footing et il faut l’intuber. Son seul point positif, c’est qu’il est riche, très riche, c’est l’héritier d’un couple de milliardaire, il est fils unique, comme moi je suis fille unique et quand ils seront morts, il récupère l’ensemble de la fortune.

J’ai 19 ans, j’ai encore du temps avant de choisir quelqu’un qui me plait et qui me fera rêver, m’en fiche, qu’il soit plein aux as ou totalement fauché. Je le veux grand, beau, fort, intelligent et avec un bon sens de l’humour. Durant l’été, j’ai rencontré quelqu’un qui pourrait correspondre, il est mignon, intelligent, il s’intéresse un peu à tout et à une bonne philosophie de la vie. Comme de passer l’été à travailler dans une crèche pour se faire un peu d’argent pour retaper un vieux voilier pour ensuite se lancer dans un tour du monde pour découvrir les merveilles que la terre nous réserve. Dès que je pouvais, je passais l’aider un peu à la crèche ou à bricoler sur le bateau. Bien sur, il ne plait pas à mes parents, il est pauvre et pas distingué, mais je m’en cogne, je l’aime et c’est pas les bâtons que mes parents vont mettre en travers de ma route qui m’empêcheront de faire ce que je veux de ma vie.
Du coup, une fois que j’ai eu mon diplôme de fin de lycée, ils m’ont inscrits dans cette école, en un an, je ne me suis faite absolument aucune copine, heureusement que les chambres sont individuelles, à ce prix là c’est le minimum. Les journées sont longues, chiantes et on n’a le droit à des sorties le week end que si notre nom apparait au tableau d’honneur. Il existe un autre tableau celui des filles qui ne sont pas faites pour cette école, le classement se fait selon les punitions que l’on reçoit. Je suis restée première durant toute l’année, j’ai battu le record de punition en une année scolaire alors que l’école a plus de 200 ans. J’ai aussi le record des tentatives de fugues, des périodes d’isolements, des heures de retenues, des corvées, des dégradations, etc, etc, etc.

Cette année, je compte faire bien mieux, je compte me faire renvoyer définitivement, seulement une élève a réussi avant moi et je veux suivre son exemple. Le seul point positif dans cette école, c’est que l’uniforme est très sexy et assez moulante, elle me plait bien. J’ai un peu de mal avec les talons aiguilles, je me suis déjà tordues plusieurs fois les chevilles.

J’ai déjà préparé ma valise depuis des heures, puis je descends au garage de la propriété, je récupère les clès de ma voiture de sport, c’est le seul truc sympa que mes parents ont fait depuis que je suis née, me laisser choisir une caisse d’enfer, je l’ai prise toute noire, avec les vitres satinées. Il me faut environ trois heures pour rejoindre l’école, je gare mon bolide, au sous sol, je remonte et laisse les clés au gardien, c’est la règle, on ne peut pas garder les clés avec nous, sauf si nous sommes au tableau d’honneur, ce qui ne sera jamais mon cas. Je passe devant l’accueil, sans dire un mot, j’ai pas en plus être polie, en plus je suis chargée avec tous mes bagages. Je monte directement dans les étages, j’arrive devant la concierge pour récupérer la clé de ma chambre. Je me contente juste de dire bonjour. Je constate d’entrée de jeu, que l’on a fait quelques travaux, maintenant, j’ai un simple lit en fer, des barreaux à la fenêtre, une table avec une chaise et un grand placard. Je range rapidement mes affaires et planque mes valises sous mon lit, je remarque qu’ils n’ont pas repéré mes petites cachettes, dans les murs, derrière le placard et je vais en faire des nouvelles pour planquer, mes petites affaires personnelles. Je mets mon uniforme, mais pas les talons aiguilles, je préfère les petites converses que je me suis achetée. Je descends dans le grand hall d’accueil, je retrouve les autres filles, je ne décroche pas un mot durant tout le beau discours de la directrice, quelle peau de vache celle là. Je remarque les petites nouvelles, une belle bande de chipie en puissance.

Après le discours, c’est l’heure du repas, là aussi quand on n’est pas au tableau d’honneur, on mange en dernier et donc froid, cela ne me dérange pas. J’aime pas les mets pourtant délicat, que l’on nous propose, mais un petit pâté de saumon, nappé de caviar avec des petites légumes, cela ne va pas me nourrir. Pour me nourrir, il faudrait plus une marmite de spaghetti, ou un grand saut de fish and chip. Après le repas, je remonte dans ma chambre, je prends mes affaires pour aller à la douche, je passe là encore dernière et je n’ai que de l’eau froide. Ils ont oublié la petite blague que je leur ai faite l’année dernière, bon pas grave, je vais la refaire. Je dévisse les tuyaux d’arrivée d’eau et les inverse, elles vont avoir la douche froide demain matin. Je rentre dans ma chambre, je ferme la porte à clé. Je sors le repas que je me suis préparé, un bon gros handburger avec des frites et je mange chaud. J’ai pris soin d’embarquer avec moi, mon petit four micro onde . Il n’y a qu’une prise électrique dans la pièce alors, j’ai pris mes prises multiples, une rallonge électrique. Je mange tout, et sort l’une de mes petits friandises, ma bouteille de whisky et mes paquets de cigarettes.

Non je ne suis pas une alcoolique et une grosse fumeuse, mais le soir j’aime bien boire un verre et en fumer une sur le rebord de ma fenêtre. Je sais depuis longtemps, qu’il y a un détecteur de fumée dans ma chambre, qui ne marche pas, je l’ai débranché. Pendant que je bois et que je fume ma cigarette, je vérifie que les barreaux ne sont pas électrifiés, on ne sait jamais, la directrice est assez folle pour me mettre dans une cellule comme en prison. Dans le couloir, j’entends les surveillances qui passent pour vérifier que personne ne sort de sa chambre. Il doit être tard le couvre-feu doit être en place. On peut encore laisser la lumière, elles ne vérifient pas si on dort. Entre deux rondes, j’enlève ma jupette et ma petite culotte blanche. Je m’allonge sur mon lit, j’écarte les jambes et commence à me tripoter le vagin avec les doigts. Je ne le fais pas par plaisir mais pour retirer la capsule que j’ai entre les cuisses depuis de nombreuses heures. Elle contient les clés de ma voiture, j’en garde toujours un double sur moi. J’aurais pu les laisser dans mon sac à main, mais ils sont fouillés à l’entrée et puis si je suis prise en train de démarrer ma voiture, je risque de me les faire confisquer et ce sera vraiment la merde pour moi. Alors c’est dans le vagin quand je rentre et ensuite sous ma jupette, là où je planque d’autres objets. J’ai aussi pris avec moi mon ordinateur portable, mon téléphone pour avoir des nouvelles de mon chéri, dès que j’ai cinq minutes et que j’ai piraté le réseau de l’école.

Le lendemain, je me lève assez tôt, je m’habille avec mon uniforme, je mets aussi mes élastiques aux cuisses, ils me permettent de laisser les clés de ma voiture, mais aussi mon cran d’arrêt, un briquet, une petite lampe torche et deux cigarettes. C’est juste au cas où je suis envoyée en isolement et que je n’ai pas le temps de passer à ma chambre avant.

La journée commence par la salle de bain pour une petite toilette, pas de maquillage, j’en ai horreur, je préfère rester naturelle. Je descends au réfectoire pour prendre mon petit déjeuner, je suis comme souvent une des premières, c’est calme et je peux discuter quelques instants avec la seule personne qui m’apprécie, c’est l’une des employée, de la cantine, elle fait surtout les petits déjeuner. Une fois que j’étais de corvée vaisselle avec elle pour l’aider, des filles se sont permis de l’insulter comme si c’était une esclave, j’ai riposter et elles ont fini sous une belle couche de détritus de cuisine. Depuis, on se fait la bise, et elle me garde souvent de la nourriture en supplément du soir précédent et pour le petit déjeuner. Elle en profite pour prendre sa pause et venir boire le café avec moi. On papote comme de vieilles copines avant que le gros de la foule arrive. Je vais débarrasser mon plateau et elle me donne mon petit sac, je remonte le tout dans ma chambre pour le mettre dans mon placard.

C’est déjà le début de cours, comme d’habitude, je n’écoute absolument rien, je me contente de dessiner sur une feuille. A midi, je mange vite fait, dans un coin pas la peine d’entendre le commentaire des autres, puis je me dirige dans le parc de l’école, c’est pas encore blindé alors, je peux faire ma gym, même si je suis en uniforme, je fais mon footing, mes abdos, etc etc etc. Cela me prend une bonne heure, puis je retourne en cours et je me fais une nouvelle fois bien chier. L’étude du soir, je la passe à lire un magazine, je ferais mon travail quand j’aurais 5 minutes. C’est enfin le quartier libre du soir, je descends au sous-sol, je vais au garage, je demande les clés de ma voiture en prétextant que j’ai oublié l’un de mes bagages. Je me fais accompagner et je récupéré le sac sur la place passager et dans un faux mouvement, j’active le gps de ma voiture. De retour dans ma chambre, je pose le sac et j’allume mon ordinateur, j’insère la clé de ma voiture dans l’un des ports usb de mon ordinateur et grâce au GPS de ma voiture, je peux me connecter à internet, il fait office de relais.

Pas le temps de regarder quoi que ce soit, qu’il faut que je redescend pour le repas du soir, j’arrive la dernière et je fais un passage exprès, j’aime pas le menu et je remonte prendre ma douche et pour une fois j’ai de l’eau chaude, elles ont du bien se les geler sous l’eau et comme elles sont idiotes, elles n’ont pas pensé à tourner le mitigeur dans l’autre sens. Je m’enferme dans ma chambre, je ne fais pas trop de bruit pour ne pas me faire repérer. Je parviens à envoyer un message à mon chéri, une belle lettre d’amour, en lui disant que l’on se verra bientôt. Une petite larme coule au coin de mon œil, depuis que je l’ai rencontré c’est la première fois que l’on est aussi loin et malgré ma carapace, je suis triste de ne pas l’avoir près de moi. J’aimerais qu’il me fasse un gros câlin. Je sors ensuite le sac que j’ai récupéré tout à l’heure, c’est ma caisse à outil, je prends mon chalumeau, et commence à découper les barreaux, c’est la méthode la plus discrète que je connaisse pour le moment. Il me faut plusieurs bonbonnes pour les découper. Dès que cela est fait, je retire le bloc, pour le remettre ensuite en place et appliquer du cirage pour cacher les traces des découpes. Comme cela je pourrais faire quelques petits sorties nocturnes.

La semaine entière passe, je me fais punir à plusieurs reprise, je prends des heures de retenues, des coups de règle sur les doigts et sur les fesses. J’ai fais un petit séjour d’une nuit en chambre d’isolement, rien de nouveau pour moi, je suis déjà en haut du tableau des mauvaises élèves. Le week end, il n’y a pas de cours, alors on peut vaquer à nos occupations, bien sur je n’ai pas le droit sortir de l’école et encore moins de faire une virée en ville, mais je ne suis pas obligée de porter l’uniforme et je mets une tenue qui me correspond d’avantage, un top blanc, un pantalon de sport kaki et des baskets. Je passe la journée à faire du sport dans le parc, le soir, je lis un bouquin, je regarde un film, je profite d’un peu d’intimité pour appeler mon chéri.

Dimanche soir, les quelques 500 étudiantes regagnent l’internat puis le réfectoire, j’arrive la dernière. J’ai à peine le temps de poser mon plateau à ma place habituelle qui est toujours vide, que des hommes une bonne dizaine font irruption dans le réfectoire, ils tirent avec une arme de poing dans le plafond, c’est la panique générale. Tout le monde se précipite sous les tables, alors que l’un des hommes crient « FERMER LA ET PERSONNE NE BOUGE », pour ne pas me faire remarquer, je fais comme les autres, je me glisse sous la table. Je pense pas que l’on va passer une soirée tranquille.
Ils se disposent dans toute la salle, ils sont très lourdement armés. Ils font lever un petit groupe d’une rangée de table, je les vois se lever, elles ont les mains sur la tête, l’un des hommes approche des filles des colliers en plastique en main, il attache les poignets des filles dans leur dos, puis ils les font avancer et quitte le réfectoire. J’attends que ce soit mon tour, je ne pense pas qu’ils vont pouvoir nous embarquer en tout, il a peut etre 600 personnes si on compte le personnel et les professeurs en plus des étudiantes. C’est la plus grande salle que l’école dispose, donc s’ils nous bougent c’est pour nous séparer. Ah c’est mon tour, je me lève en faisant semblant d’être totalement apeuré, je reçois le collier autour de mes poignets, il serre bien comme il faut.

On me fait mettre en rang avec les autres, on avance doucement, on monte vers les salles de cours, on nous fait entrer dans l’une des salles. Il y a quatre hommes avec nous, on nous fait asseoir sur les chaises, je passe mes bras par-dessus le dossier de la mienne. L’un des hommes passe dans les rangs, un gros rouleau de tape à la main, il attache nos pieds à chaque pied de la chaise, il en dépose une belle couche sur nos poignets et bien sur quelques bandes pour nous bâillonner. Ils nous regardent une dernière fois et ils quittent la salle, sans même la fermer à clé. Je jette un coup d’œil autour de moi, pour constater que cela chiale bien, j’en rigole, les pauvres filles qui se pavanaient dans l’école, à se moquer de quelqu’un dès qu’elles pouvaient, sont maintenant de vulgaires otages.

De mon côté, je bouge sur ma chaise, pas le temps de pleurer, c’est pas la première fois que l’on m’attache comme prisonnière, j’ai déjà été kidnappé à deux reprises et à chaque fois tout c‘est bien fini. Je cherche à me cambrer sur ma chaise pour toucher mon cul avec mes mains. Je soulève ma jupette, puis je fais tourner l’élastique que j’ai autour de la cuisse pour prendre mon couteau. Ce n’est pas évident, mais je suis très souple et je prends le couteau entre mes doigts. Je déplie la lame et coupe le tape qui cède rapidement avant de m’attaquer au collier qui casse aussi net. Je coupe le tape qui retient mes pieds et mon bâillon, je remets mon couteau sous ma jupette. Je récupère les résidus de mes liens pour les planquer dans le tiroir du bureau réservé au professeur. Je repousse délicatement la chaise pour faire comme si je n’avais jamais été à cette place. Autour de moi c’est un véritable vacarme de cri étouffé à travers les bâillons, si cela ne tenait qu’à moi, je leur en mettrais des plus épais. J’entends des pas dans le couloir, ce n’est pas une bonne idée que de sortir par là. Je vais à la baie vitrée, je l’ouvre et me met en équilibre sur la balustrade et la referme. Je suis au premier étage, j’ai deux solutions, descendre au sol et tenter de fuir comme je peux, ou alors monter jusqu’à ma chambre qui 3 étages plus haut et tenter de jouer les ninjas pour mettre hors de danger tout le monde.

Je me mets en route vers ma chambre, le mur est très rugueux avec pas mal de prise, je monte facilement jusqu’à ma chambre. Je retire les barreaux de ma fenêtre et entre dans ma chambre. Je commence par manger car mon estomac gargouille, puis je récupère une grande corde qui me sert normalement pour mes fugues nocturnes. Je l’accroche solidement au radiateur, puis je la déroule et je continue ma petite varappe vers le dernier étage, je remarque que les appartements personnels de la directrice sont allumés. Je monte pour voir ce qu’il se passe là haut, je remarque qu’ils se sont bien acharnés sur elle, la pauvre, elle est très solidement ligotée à sa chaise de bureau. J’ouvre la fenêtre de son bureau pour entrer, je constate qu’ils l’ont momifié dans du tape, ils ont aussi fait quelques tour avec le tape sur le bas de son visage. Quand elle me voit, elle s’agite sur sa chaise pour que je la détache et ce sera niet pas question de la détacher. Je lui mets ma main sur la bouche « Taisez vous, sinon on va toutes finir découper en rondelle. Je dois vous laisser comme cela si vous voulez une chance que cela ne se finisse pas en bain de sang ».

Bon elle continue de s’agiter, je lui tourne une bonne gifle, j’en mourrais d’envie depuis des mois. Cette fois, elle est calmée, j’ouvre le placard pour trouver les objets confisqués et une bonne partie m’appartienne, il y a mon 9 mm, deux autres couteaux, un taser, mon mp3 qu’elle m’a pris cette semaine pour m’en être servi pendant les cours. « Je reviens dans quelques heures enfin si vous êtes encore en vie. Je sors par la fenêtre et après avoir passé ma corde autour d’un radiateur pour descendre en rappel. J’atterris sur la terre ferme, je commence par faire le tour du bâtiment principal de l’école pour rentrer par une porte qui donne sur l’atelier de maintenance. Une fois à l’intérieur, je commence par jeter un coup d’œil dans le couloir, je m’avance doucement, si je suis découverte tout est foutu. J’entends toujours des bruits de pas au-dessus de moi. Il doit y avoir du mouvement, je monte le petit escalier et arrive derrière une porte coupe-feu, je vois à travers le jour en bas de la porte, qu’il y a 2 hommes devant la porte. Je dois les attirer dans la cage d’escalier, je fais marche arrière et retourne à l’atelier prendre une ampoule électrique. Je remonte dans la cage escalier jusqu’au deuxième étage, je vérifie qu’il n’y a personne contre la porte coupe-feu et je lance l’ampoule en contre bas. Cela ne loupe, ils se précipitent dans la cage, je n’ai plus le choix, je saute par-dessus la rambarde, je tombe sur les deux à la fois, l’un des deux tombe au sol totalement sonné.

Le deuxième tente de m’attaquer, je me retourne et lui envoie mon pied dans la gorge, il retombe en arrière K.O, l’autre bouge au sol, je m’approche de lui pour l’assommer avec la crosse de mon pistolet. Je les tripote pour récupérer quelques colliers en plastique, je leur attache les mains et les pieds, puis je les descends à bout de bras à l’atelier, je récupère un rouleau de tape qui traine pour les bâillonner en faisant plusieurs fois le tour du bas de leur visage. Pour éviter qu’ils aient envie de se détacher, je les positionne en hogtie à chaque bout de la petite pièce. Cela en fait deux de moins à s’occuper, je débranche leur talkie-walkie et j’en récupère un pour voir si je peux capter une information sur le pourquoi de l’attaque. Je remonte au premier étage, cette fois je pénètre dans le couloir, je fais attention à ne pas faire de bruit, à l’angle du couloir principal, je remarque qu’il y a 3 hommes en face proche d’un petit couloir qui donne sur plusieurs salles de cours. Il y a du bruit derrière moi, j’entre dans une petite réserve, c’est celle de la couture. Il y a des hommes qui passent dans le couloir, j’essaye d’entendre une conversation mais ils ne parlent pas. Je fouille dans les différents tiroirs car il me vient une idée, je trouve une bobine de fil de nylon, c’est parfait. Je sors de ma cachette pour aller ouvrir la salle en face qui est également une réserve, il n’y a pas de prisonnière à l’intérieur, j’ouvre la porte et accroche un bout du fil, je retourne dans ma cachette, je fais passer le fil à travers la porte près de la poignet.

Je commence à tendre le fil doucement dès qu’il résiste un peu, je tire un grand coup sec pour claquer la porte en face. Je coupe dans la foulée le fil pour qu’il reste hors de ma cachette. Je regarde par le trou de la serrure trois hommes entre dans la petite pièce, les alentours semblent déserts. Je sors de ma cachette me précipite dans la pièce en face et c’est parti BANZAI. Un premier homme se retourne vers moi, il reçoit un coup de pied dans les couilles, il tombe à genou et il se prend un deuxième coup de pied en pleine tête. Les deux autres réagissent, je prends une impulsion au sol pour sauter en direction de l’un des deux et je lui envoie une manchette dans la nuque. Je bascule par-dessus lui pour enchaîner par deux coups de pieds à l’arrière des genoux, une fois qu’ils sont à genoux, je les achève par deux coups de pieds à l’arrière de la tête pour qu’ils fassent un gros dodo. Je prends des colliers en plastique pour leur attacher les mains et les pieds, je les positionne en hogtie, il n’y a pas de tape dans la pièce mais du tissu, j’en coupe plusieurs bandes, je leur bourre la bouche avec une bande, puis une autre bande entre les dents pour qu’ils ne puissent pas la recracher.

Cela en fait trois de plus qui sont en train de faire un gros dodo. Je continue dans le couloir, je l’inspecte dans tous les coins, il n’y a plus personne à part des prisonnières, j’entends des mmmfff un peu partout. Chaque chose dans son temps, je ne peux pas tout faire à la fois et puis cela leur fait les pieds un peu. Je monte au deuxième étage par l’une des cages à escalier, là encore il y a des hommes devant la porte coupe-feu. Je ne peux pas leur refaire le coup de l’ampoule ou de la ficèle. Je décide alors de tenter le tout pour le tout en espérant que se passe bien, je prends de l’élan et saute les deux pieds en avant contre la porte et je fais un beau strike. Il n’y a que deux hommes, ils se tiennent la tête après le coup qu’ils viennent de recevoir. Je les achève avec deux bons coups de genou dans les mâchoires, ils sont eux aussi en plein dodo. Je les tire dans la cage à escalier, je les attache et les bâillonne comme les autres. J’ai à peine le temps de finir le travail, que j’entends des bruits de pas.

C’est sur que ce n’est pas l’attaque la plus silencieuse, je me cache derrière la porte. Un homme l’ouvre, il fait un pas et se prend la crosse de mon flingue dans la figure, il tombe au sol, je l’attache comme les autres. Pendant que je suis occupée la radio fonctionne. Je m’arrête et j’écoute, cela doit être leur chef, visiblement mes petits exploits commencent à se faire connaître, il n’est pas content car il lui manque plusieurs membres de son équipe. Il demande à tout le monde de le rejoindre au rez de chaussée dans le hall d’accueil. Je finis de serrer le dernier collier que j’entends des pas mais cette fois, ils s’éloignent de moi, je suis soulagée. Je descends au rez de chaussée, je repasse par l’atelier, je constate que les deux premiers hommes que j’ai assommé, sont réveillés, je les endors à grand coup de poing. Je me dirige discrètement vers le hall d’accueil, si je peux avoir tous ceux qui sont encore libres en une seule attaque ce sera super. Il serait suicidaire que de rentrer dans le hall, grand sourire et de canarder tout le monde. Je marche dans le couloir, puis j’entre dans l’un des bureaux de l’administration, je monte sur le bureau, je défonce une plaque du faux plafond. Je monte dans le faux plafond, je remets la plaque en place. J’avance en rampant en quelques minutes, je suis au dessus du hall. Je m’allonge discrètement pour écouter, ils ont l’air furieux. J’entends que cela parle de rançon, 10 millions par tête et qui cela est nécessaire, on pouvait se débarrasser de plusieurs otages.

Mon sang se glace, ils sont prêts à tuer les récalcitrantes pour éviter une mutinerie générale. Je regarde autour de moi et je découvre un détecteur de fumée, s’il fonctionne, il devrait déclencher les jets d’eau anti incendie. Je m’approche et je sors une cigarette, je l’allume avec mon briquet, j’expulse la fumée sur le détecteur et cela ne loupe pas. Quelques secondes plus tard, l’alarme se déclenche et il se met à pleuvoir dans le hall. En dessous cela hurle, je défonce, l’une des plaques et saute sur un premier homme, je sors mon taser et lui balance une bonne décharge, alors qu’un autre se jette sur moi, il se prend mon talon dans la gorge, deux déjà de toucher. Les autres se jettent sur moi, je bondis sur une chaise, d’un coup de taser, j’en élimine un autre et je le balance en pleine tête d’un autre, qui se le prend en plein dans le nez. Je vois que les autres dégainent leurs armes. Je bascule, l’un des canapés pour me mettre à couvert.
« Sort de là salope. »

C’est pas comme çà qui vont me pousser à me rendre. Je dégaine la mienne et je tire dans les lumières rapidement, on se retrouve dans le noir. Ils ne peuvent plus tirer dessus. Je sors de ma cachette, j’arrive à deviner leurs ombres et je recommence à taper tout ce qui bouge, je dois en mettre 4 ou 5 au sol. J’entends une voix puissante et très lourde juste dans mon dos. J’envoie ma jambe par-dessus ma tête. Je le touche dans le visage, un coup de coude dans le ventre et un autre coup de genou l’envoie au sol. Les autres prennent la fuite, avant de me lancer à leur poursuite, je commence par ligoter mes prises et je prends soin de les bâillonner pour ne plus les entendre. Le générateur de secours c’est mis en route et je constate que celui qui m’a sauté dessus en dernier et le chef. Je mets les autre en hogtie sauf le chef. Je le fais lever avec des arguments percutants, je le fais asseoir sur une chaise, je récupère le tape des kidnappeurs pour saucissonner le chef sur une chaise, je le recouvre d’une épaisse couche de tape. Je ne le bâillonne pas, car je vais me servir de lui comme otage.

« Je ne sais pas pourquoi vous nous avez attaqués, c’était une bonne idée mais pour le moment ce n’est pas terrible. »
« Mes hommes vont te tailler en rondelle, pétasse. »
Je lui donne un bon coup de poing.
« Un peu de politesse, je vous prie, vous êtes en présence d’une jeune fille et si vous y tenez vraiment, je vous en prie appeler vos hommes. »
Je lui tends le talkie-walkie, il les appelle et leur demande de rappliquer sur le champ. En attendant, je me place derrière mon otage, je pointe mon flingue en direction de sa poitrine. Ses hommes arrivent, ils me pointent tous avec leurs flingues.
« Je vous conseille de les poser au sol, si vous tenez à votre chef. »
« Qu’est ce que vous attendez buter la. »
« Si vous me butez comme il dit, vous perdez dix millions, votre chef et vous gagnez une condamnation pour meurtre en plus du reste. »

Finalement, ils sont moins cons que je le pensais, ils posent leurs flingues au sol. Je leur demande de les faire glisser jusqu’à moi.
« Bien c’est un bon début, toi là prend des colliers et attache tes copains et sert bien sinon je te butte. »

Je m’adresse à l’un des hommes et il s’exécute, pendant ce temps, je bâillonne le chef en vidant un rouleau de tape sur ses lèvres. Il passe des colliers aux poignets et aux pieds de ses copains.
« Bien maintenant, tu t’en places un aux pieds, tu te mets à genou, les mains sur la tête dos à moi. »
Je m’avance vers lui, je ne prends pas de risque et je l’assomme du revers de mon flingue. Je lui attache les mains dans le dos. Je bâillonne tout ce joli petit monde. Je retourne vers le chef avec un large sourire.

« Maintenant vous êtes mes prisonniers et vous allez souffrir, toi si l’un de tes hommes est encore libre, je te butte, c’est clair et je butte ensuite tous les autres. »
Il me fait un oui de la tête, je n’en reviens d’avoir mis en pièce un gang aussi nombreux.
Je m’installe dans un fauteuil, je prends l’un de leur flingue et m’installe pour savourer une bonne cigarette en tenant les autres du bout de mon canon. Cela fait du bien de souffler un peu, je la savoure, je n’appelle pas encore les flics, je vais leur faire un paquet cadeau avant. Je traine la chaise du chef vers la salle d’étude qui se trouve au bout du couloir, une fois à l’intérieur, je vais dans l’atelier de maintenance, je récupère de vieilles cordes, du tape et deux prisonniers, je leur détache les pieds, ils sont sur leurs pattes et je les guide vers la salle d’étude. Je les fais asseoir sur des chaises, je les attache solidement avec du tape. Je fais plusieurs aller-retours pour mettre tous les kidnappeurs dans la pièce. Certains n’en ont pas encore eu assez et décide de me semer ou de me sauter dessus, je tire juste devant leur pied ou à coté de leur tête pour qu’ils se tiennent tranquilles. Je sors mon téléphone portable pour faire une petite photo de famille.

Je me décide enfin à appeler les flics, je leur explique ce qu’il vient de se passer. La première personne que j’ai au bout du fil, croit à un canular quand je lui dis que j’ai mis en pièce une vingtaine d’homme armés jusqu’aux dents. Je lui demande un numéro de portable pour leur envoyer la photo comme preuve. Il me donne son numéro personnel et je lui envoie la photo, il a du faire un bon sur sa chaise, quand il a vu la photo. Je n’ai pas eu besoin de plus pour faire arriver plusieurs unités de police à l’école. Tous les otages sont libérés, on embarque les kidnappeurs et je suis félicitée par les autorités pour mon courage, mon sang froid et le fait qu’il n’y est pas de blessés. Enfin à part les kidnappeurs qui ont pas mal de contusions, mais ce n’est rien du tout. Moi aussi je constate que je me suis bien égratignée. On me conseille d’aller faire un tour aux urgences pour que l’on vérifie mes plaies. Je le fais en prenant ma belle voiture, je suis escortée par une voiture de police, une fois aux urgences, je suis prise en charge dans la seconde. Il n’y a rien de grave, à part que je me suis faite une foulure à une cheville et que j’ai une côte de fêlée.

Dans les jours qui ont suivi, je suis reçue dans différents journaux et aussi à la télé, bonjour la discrétion, moi qui ne voulait pas m’afficher. Le plus lamentable, c’est que mes parents sont aussi conviés par la presse et là je suis présentée comme la fille modèle et on présente mon soit disant futur mari. J’accepte une interview avec eux et au moment d’aborder ma vie privée, mes parents font leur cinéma et en réponse, mon futur mari se reçoit une bonne claque quand il touche ma cuisse. "« Non, je ne suis pas fiancée à ce tas de graisse, j’aime un jeune homme séduisant et non je ne vous le présenterais pas, je veux garder mon jardin secret pour moi. »
Le meilleur moment c’est quand je suis reçue par la directrice de l’école, pour une fois elle est heureuse de me voir.

« Je ne sais pas comment vous remerciez, vous avez tellement fait pour nous, je vais vous mettre au tableau d’honneur pour le reste de votre formation. »
« Je me cogne du tableau d’honneur, ce n’est pas ce que je veux. »
« Vous voulez quoi alors ? »
« Je veux une grande chambre sans barreaux aux fenêtres. J’arrive en cours quand, je veux et si j’ai envie et je ne veux aucune réflexion. Comme pouvoir sortir quand je veux et aussi longtemps que je veux, les clés de ma voiture en permanence. »
Elle tire une de ces têtes.
« Et puis quoi encore, l’école a une réputation à tenir, c’est hors de question. »
« Très bien alors, je démissionne de l’école et je vais dire à la presse vos méthodes d’enseignement et l’école fermera dans la foulée. »
« Vous n’oseriez pas faire une telle bêtise. »
« Je veux faire ce que j’ai envie, vous êtes un obstacle pour moi alors autant que je vous élimine, vous ainsi que votre école. »

Elle devient pâle d’un coup, elle réfléchit pendant de longues secondes, je sais que je suis en position de force. Cela me fait très plaisir et m’apporte une petite vengeance.
« Vous êtes vraiment la plus capricieuse de cette institution, mais je ne peux pas la mettre en péril, je vous accorde tout ce que vous voulez mais pas un mot à la presse. »
Et ben voilà, elle devient raisonnable, je quitte son bureau l’esprit léger. Dans les jours qui suivent, c’est bizarre mais pleins de filles viennent de voir pour que je devienne leur copine. Tu parles avoir une Warrior dans ses relations c’est toujours bon. Je joue à mon tour les chipies et je les envoie une à une bouler dans un coin.

J’emménage dans ma nouvelle chambre bien plus spacieuse, et je reprends mes bonnes vieilles habitudes, je fais des petites farces à tout le monde, comme lâcher des souris dans les douches. C’est un grand classique mais c’est toujours aussi drôle. Je remplace leurs gel douches par de l’encre de chine, elles ressortent totalement rouge, verte, bleue jaune. La nuit, je me ballade dans les couloirs, je ne manque de faire exploser des feux d’artifices dans les couloirs à trois heures du matin. J’ai même un matin très tôt pris un gros gong et donner un bon coup de maillet dedans pour réveiller tout le monde.

Enfin, je m’amuse comme une petite folle, je ne manque pas de simuler des kidnappings, il n’est pas rare de retrouver le matin, une pauvre fille ligotée et bâillonnée dans sa chambre. Dès fois, je pars une journée ou deux retrouver mon chéri pour une week end en amoureux. Les travaux sur la bateau avancent bien et avec ce que j’ai gagné grâce aux médias, on a largement assez pour partir faire un tour du monde. On devrait partir l’été prochain pour le brésil et la forêt tropicale et après le monde sera à nous.

The Man

Re: rififi à l'école des filles

Message par The Man »

BIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN. J'adore ;)

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Mad Hatter
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Re: rififi à l'école des filles

Message par Mad Hatter »

Je suis assez réservé Sakura, le ligotage de masse/industrialisé non consensuel n'est pas déjà ma tasse de thé, le personnage principal me fait un peu l'effet d'un mix entre Rorschach et Rambo donc je n'arrive pas à le lire sérieusement http://avent.netophonix.com/mono/1 de mémoire " cet Homme a commandé un steak et le steak a obéis, comme vous le voyez il est déjà trop tard : Chuc Willis "
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
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les synonymes de fou sont intéressants Image

sakura

Re: rififi à l'école des filles

Message par sakura »

Ah ben oui, je ne fais jamais comme tout le monde quand j'écris une histoire, c'est bien connu.

En fait pour cette histoire, je suis partie du problème des écoles de bonnes conduites comme il y en a aux Etats Unis. J'ai juste voulu pimenter le tout, en prenant un personnage warior qui n'a peur de rien et qui aime mettre les hommes à terre.

C'est bien pour cela que la moitié des histoires que j'écris, je ne peux pas les publier, sinon on me met des bracelets et hop dans le panier à salade, la Sakura. :boufon:

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Re: rififi à l'école des filles

Message par voldenuit »

évidemment , cela va à la vitesse d'un James bond . cela peut sembler un peu déroutant , mais imaginer un pensionnat ou toutes ces petites bourgeoises avec le corps enseignant se retrouve en position de faiblesse , réjouit mon imaginaire de gauchiste frustré ... , Il aurait été sans doute plus convenable que la scène se passe dans un Club House , ou dans un Lion's Club mais merci quand même Saku ;)
Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...

sakura

Re: rififi à l'école des filles

Message par sakura »

Dans un autre délire, on aurait pu le faire dans une école d'équitation, avec de belles culottes de toutes les couleurs et des bombes. :langue:

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voldenuit
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Re: rififi à l'école des filles

Message par voldenuit »

ha l'odeur du cuir , du fumier de cheval , des peaux de bêtes :) . et les beaux uniformes :twisted: , les bottes , les cravaches :bave: , les mors :twisted: :twisted: :twisted: !!!
Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...

sakura

Re: rififi à l'école des filles

Message par sakura »

Pourquoi pas dans une autre histoire alors.

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