Jeux de Liens

Bonjour, je suis nouveau sur le forum et je viens poster ici ma première histoire. Je n'ai pas encore réfléchi à une possible suite et pour l'instant c'est simplement destiné à un one-shoot ! J'espère que ça vous plaira ....

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Bonjour, je me présente, je me nomme Magali, j’ai 25 ans, J’ai les cheveux châtains et mi- longs. Je mesure un 1m80 et ma silhouette svelte permet de faire ressortir une poitrine avantageuse. Suite à cette rapide présentation de ma personne, voici mon histoire.

Tout d’abord, je suis une infirmière diplômée depuis quelques mois seulement… J’ai été affectée dans un service de psychiatrie très accueillant et une équipe qui m’a mise à l’aise de suite. Mes premiers mois n’ont été que des horaires soit du matin soit d’après-midi mais l’infirmière de nuit part à la retraite à la fin de la semaine et la cadre lui cherche une remplaçante mais lors des différents entretiens, aucune infirmière titulaire ne veut passer en horaires de nuit car elles ont toutes une vie de famille. Je me dévoue donc vu que je n’ai pas de compagnon ni d’enfant et que j’ai bien envie de travailler dans l’équipe de nuit avec le charmant aide-soignant, pour une fois que je travaille avec un aide-soignant masculin…. Dès la semaine suivante, j’entame donc mon travail dans l’équipe de nuit mais je me rappellerai toujours de cette première nuit….

Après la relève d’équipe et la fin de la première visite dans les chambres, je fais mes transmissions et, une fois tout cela fini, je file à la salle de repos pour boire un café car la nuit va être longue. Cependant, à ma grande surprise, La nuit est calme, les patients sont silencieux et dorment paisiblement … cela me paraît bien étrange pour un service de psychiatrie …. Tout à coup, vers 3 heures du matin, je n’ai plus de signe de mon aide-soignant alors qu’il était en train de ranger le matériel médical …. Je me dirige alors vers la réserve mais la porte se referme derrière moi et je sens que quelqu’un me bloque les bras et me plaque la main sur la bouche. J’essaie de me débattre mais il cet inconnu de l’ombre est plus fort que moi… Il me plaque un chiffon plein de chloroforme sous le nez, je continue ma vaine lutte, avant de tomber endormie, sous l’effet du produit.

Lorsque je me réveille, je ne vois plus rien, j’ai un bandeau sur les yeux. J’essaie de bouger mais plusieurs sensations se mélangent …. Je suis attachée aux poignets, aux coudes, le tour de ma poitrine mais aussi, lorsque je me débats dans mes liens, un frottement se fait sentir sur mon vagin comme si une corde était aussi liée autour de ma ceinture et passait sur mes lèvres nues et qu’à chaque lutte, ce nœud caressait mon intimité … J’essaie de me relever mais mes jambes, elles aussi, sont liées étroitement …. De plus lors de mon combat, je sens que mes chevilles sont liées à mes poignets et plus je tire sur les liens plus mes jambes sont ramenées vers mes mains…. Je suis prisonnière !!!!! J’essaie d’appeler au secours mais aucun son ne sort de ma bouche et je sens comme une boule qui m’empêche de parler ……

Me voici prisonnière, aveugle et silencieuse. Je suis en panique mais ce n’est pas tout, le mystérieux kidnappeur a pris soin de retirer mes sous-vêtements et a ouvert ma blouse pour faire ressortir ma poitrine ! Je suis impuissante mais pourtant remplie de plaisir à chaque frottement de la corde … Je suis restée comme cela pendant près de 2 heures, jusqu’au moment où la porte de la réserve s’ouvre à nouveau et que mon mystérieux kidnappeur me libère …. Il s’agissait de mon aide-soignant ! Je lui mets une claque mais l’embrasse longuement ensuite…. Il m’avoue qu’il m’a kidnappé ce soir pour obtenir un rendez-vous avec moi et qu’il espère qu’après cette nuit, j’accepterais son invitation. Voici le récit de ma drôle de nuit.

Pas mal

Pour un premier récit c'est vraiment pas mal Je vais revenir sur ce qui me semble à améliorer. Puis ensuite sur le positif.

Alors, les quelques petits problèmes :
Les phrases à rallonge sont dures à maîtriser, et donc à lire. Si tu sens que ta phrase devient trop longue, n'hésite pas à la remplacer par 2 phrases plus petites.
Le ratio/récit bondage. Ce que je vais dire n'est normalement pas un problème dans une histoire, suf quand c'est un one-shoot, parceque le one-shoot ne permet pas d'offrir une histoire assez longue pour compenser. Donc ce que je disais, c'est que tu as deux fois plus de récits que de bondage. Alors que bondage est sensé être le point d'orgue, et que le reste de l'histoire n'est pas assez développé pour compenser. En fait tu resfes dans un entre-deux, ni histoire avec jn peu de bondage, ni bondage englobant l'histoire. . J'insiste bien sur ce point car il me paraît être vraiment le seul défaut de ton texte.
Sinon, la fin est un peu télescopée et un peu trop attendue. Mais ça se comprend, c'est dur de trouver des fins originales.

Et maintenant, TOUT LE POSITIF !
Déjà l'orthographe et la syntaxe, très bon
Le cadre. tu ne l'as pas vraiment exploité mais pour une première histoire c'est normal. en tout cas, il est osé. Il aurait pu être glauque, mais tu as su brillament l'éviter. Et sans être d'une originalité absolie, il est rare. Donc un gros bon point pour l'utilisation de l'hôpital.
Les détails. Il ne faut pas hésiter à les utiliser pour étoffer, à l'avenir. Mais là, pour un premier récit, leur niveau est bien dosé, et ils sont bien dispersés.

Donc, en résumé, ton histoire est loin d'être parfaite. Mais en tenant en compte le fait que tu débutes, tu as déjà un très bon niveau !

Rahlala, le mythe de l'infirmière que l'on kidnappe continue de faire des dégats.

Belle histoire, un peu courte quand même, bon style d'écriture et à la différence de moi, visiblement tu ne fais pas de fautes d'orthographes, n'est ce pas boubou.

Jolie première histoire, bravo! Moi, j'ajouterai le conseil d'aérer un peu plus ton texte, ne pas hésitez à faire des paragraphes, c'est plus agréable pour tes lecteurs!

Merci de vos encouragements Pour un début j'ai vraiment voulu faire simple mais aussi j'en ai oublié de faire un texte plus aéré et donc plus agréable à lire J'ai aussi pris le temps de réfléchir à l'avenir de cette histoire .....

Je vais sûrement chercher à faire une suite, j'ai quelques éléments en tête Je vais continuer à approfondir la piste de la suite mais ça risque de réserver des surprises

A très vite tout le monde

Voici la suite de cette petite histoire ... Ce n'est pas le dernier chapitre, il en restera un dernier après celui-ci, Bonne lecture à vous :

"Après mon premier soir au travail où j’ai finie ligotée et bâillonnée dans la réserve, victime de Johan, mon aide-soignant. J’ai finalement acceptée son invitation pour un rendez-vous trois jours après cette nuit. Durant notre moment ensemble, je repensais aux sensations d’impuissance mais aussi de plaisir que j’avais ressenties lorsque j’étais prisonnière de ses liens…. J’aimerais bien revivre ça un soir, pendant le service, mais seulement après avoir eu ma revanche, en dehors des heures de travail.

J’ai attendu quelques semaines, lors de nos congés, pour me préparer à lui faire subir une froide vengeance. En effet, après plusieurs rendez-vous, je commençais à tomber amoureuse de lui et il fallait qu’il paie cette soirée où il m’a ligotée, avant que mes sentiments pour lui m’empêchent de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je l’ai invité le mercredi soir de notre semaine de congés pour dîner et dormir à la maison, pensant mettre mon plan à exécution et enfin me venger de ce kidnapping forcé.

A 20 heures piles, il sonna à la porte et je le fis entrer dans mon appartement. On dîne en tête à tête et, à la fin du repas, je lui dis de m’attendre sur le canapé sagement et que je vais juste changer ma tenue. Ma robe de soirée rouge à paillettes ne me servira pas à grand-chose pour mon projet de revanche.
Arrivée dans ma chambre, j’enlève ma robe cocktail et enfile une robe en cuir moulante. Je quitte mes talons pour enfiler des bottes en cuir, noires aussi. Je prends un foulard noir et un mouchoir qui me serviront quelques instants plus tard …

Je redescends et bande les yeux de Johan avec le foulard, il ne pose aucune question et se laisse faire. Je me dirige alors vers ma commode dans le salon et attrape une paire de menottes. Je lui passe le premier bracelet autour du poignet gauche et, ensuite, lui ramène le poignet droit dans le dos avant de verrouiller l’autre bracelet. Une fois les menottes verrouillées, je cache la clé dans mon soutien-gorge.

Je prends alors le mouchoir, l’imbibe de chloroforme et le plaque sous le nez de ma victime, il a beau se débattre, il ne résiste pas 5 minutes sous l’effet du produit. Une fois endormi, j’amène mon prisonnier dans ma chambre pour le préparer pour la nuit qu’il va passer …..

Je le détache, le déshabille et le mets sur mon lit. Là, je sors un sac de sport dans lequel j’ai ramené, une perruque blonde, une de mes tenues d’infirmière, des sous-vêtements féminins et des chaussures à talons en 43, sa taille de pied. Je lui enfile la perruque en premier, ensuite les sous-vêtements. Je l’habille dans ma tenue d’infirmière, en lui ajoutant une fausse poitrine, le chausse avec les talons et le maquille avec rouge à lèvres, fard à paupières, fond de teint etc…. Il semble tout à coup si sexy en fille, j’en serais presque jalouse, si je ne savais pas que c’est un homme….

J’attrape alors un autre sac rempli de cordes et de bâillons en tout genre : boule, foulards, scotch. Je commence à lui lier les poignets solidement dans son dos. Ensuite, je lui attache les coudes et je prends soin de passer bien devant son buste, pour faire ressortir ses faux seins. Le haut du corps est lié solidement, les liens si serrés que il ne devrait pas pouvoir se libérer….

J’attaque ensuite la suite de mon ligotage avec les jambes : je débute d’abord par les chevilles et je l’attache aussi de chaque côté des genoux pour éviter qu’il puisse bouger… Je choisis de ne pas l’attacher en hogtie, comme lui avait fait lors de cette fameuse nuit, mais bien de le suspendre au plafond par les bras, en enlevant la culotte, qui, après la pose des cordes, me semble de trop.

Avant qu’il ne se réveille, je le bâillonne avec une boule rose, pour pousser un peu plus loin sa féminisation, que je serre au maximum. Une fois réveillé, Johan constate sa situation et commence à se débattre et à gémir derrière son bâillon…. Il semble en colère mais je ne me laisse pas amadouer, j’en profite même pour lui mettre 10 coups de cravache sur les fesses… Je le laisse attaché au plafond près de 2 heures….

Au moment de me coucher, je le détache du plafond mais l’attache en hogtie, à côté de moi dans le lit et lui bande les yeux pour la nuit. Mon infirmière prisonnière gémit et se débat encore mais finit par tomber de fatigue vers minuit.

Le lendemain matin, Je libère mon pauvre aide-soignant pendant qu’il dort encore. A son réveil, il semble encore vexé et me fusille du regard, comme pour me dire qu’il y aura une prochaine nuit, et que cette fois-ci, c’est moi qui serais sa prisonnière. Je l’embrasse pour apaiser son courroux mais j’ai obtenu dans cette nuit à la maison ce que je recherchais : une vengeance, des sentiments plus forts pour mon aide-soignant et la promesse de nouveaux liens entre nous …."

Voici enfin le dernier chapitre de cette histoire que j'avais en réserve depuis quelque temps ... Désolé encore pour la qualité, ce n'était que mon premier écrit ....

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Depuis le soir de ma vengeance, notre relation avec Johan dépasse l’environnement professionnel. En effet, nous formons désormais un couple et les liens sont omniprésents dans notre vie sentimentale. La passion et l’affectif bien sûr sont notre base solide mais quelques soirs d’autres liens, plus étroits, plus restrictifs et source de plaisir, viennent compléter notre amour …..

Pour donner un nouvel élan à nos projets de famille, il était temps de déménager et d’envisager une nouvelle carrière dans une ville plus grande et surtout dans un hôpital plus réputé et dans un autre service qui nécessite plus d’action que la psychiatrie. On a eu droit à un pot de départ juste avant notre dernier service de nuit ensemble avec Johan avant qu’il ne fasse aide-soignant en orthopédie et moi d’intégrer un service de cancérologie… Cette dernière nuit restera gravée dans ma mémoire :

Près de deux heures après le début du service, les soins étaient faits et le prochain tour n’était pas nécessaire avant 2 heures du matin car tous les patients dormaient … Je ne vis plus Johan aux alentours de minuit et j’allais effectuer une saisie de mes transmission quand une main gantée se plaqua sur ma bouche et que l’autre main me saisit les bras en serrant fort …

L’individu cagoulé m’entraina dans la cellule de confinement et m’inséra les bras dans un armbinder rouge qui faisait pointer mes seins…. Il se mit devant moi et me dit d’un signe sur sa bouche de garder le silence pendant qu’il attachait mes jambes avec des lanières de cuir rouges elles aussi. Il approcha un ball-gag, rouge évidemment, de ma bouche et me l’inséra en le verrouillant au maximum. Il ajouta ensuite une cagoule, rouge aussi, qui ne laissait paraître que mes yeux.

Il finalisa son œuvre en me couvrant de tape rouge de la pointe du talon jusqu’à la base de la cagoule… J’étais momifiée toute en rouge et allongée sur le sol pour ma dernière nuit en psychiatrie !! J’ai passée près de 3 longues heures ainsi avant que Johan vint, avec un grand sourire de vainqueur, me libérer sans dire un mot …

Entre nous, je savais bien que le mystérieux kidnappeur était en fait mon amour d’aide-soignant, ce n’était hélas plus une surprise en soi.

FIN