Révélation ...
Publié : 07 avr. 2015, 04:25
Cette histoire a commencé il y a quelques mois, un samedi soir d’avril très précisément, dans une colocation que je partage avec 3 autres filles, étudiantes comme moi. Il y a Tatiana, une jolie et grande russe, qui suit des études de médecine, Alexandra et Eva, deux « pétasses » qui aspirent à devenir infirmières…
Ce soir-là, un weekend de pâques, seules Tatiana et moi, Sandra, partagions les lieux, une grande maison de 120 m², comptant 4 chambres, un grand séjour-salon, une cuisine américaine et, chose essentielle quand 4 filles partagent une colocation, deux salles de bain …
Cela ne faisait que quelques mois que nous avions aménagé toutes les quatre dans cette maison, grâce aux petites annonces du bon coin. Nous commencions seulement à nous connaître en fait, et je me découvrais plus d’atomes crochus avec Tatiana, avec qui j’aimais papoter de tout et de rien, qu’avec mes deux autres colocataires, plus superficielles et, pour être franche, un peu immatures.
Tatiana et moi, nous nous étions découvert des goûts communs en matière de lecture, de cinéma, de balades en pleine nature …
Elle vivait en France depuis quelques années, et y était restée après le retour de ses parents en Russie, pour suivre des études en fac de médecine. Elle était en troisième année. Moi-même, je suivais des études en deuxième année d’orthophonie.
Bien qu’il s’agisse d’un weekend à trois jours, j’avais décidé de rester à la colocation, la perspective de devoir passer une journée à voir ma famille éloignée, la grands parents et les oncles et tantes, ne m’enchantant guère. J’avais pu prétexter de devoir préparer des partiels. Tatiana, elle, passait la plupart de ses weekend dans notre maison, sauf les quelques fois où elle partait à la capitale avec je ne sais pas trop qui, des amis ou des personnes de sa famille.
La soirée avait bien débuté. Nous avions commandé des pizzas, sorti une bouteille de rosé du réfrigérateur, et confortablement installées sur le canapé, nous papotions tout en regardant d’un œil distrait une série policière à la télévision. J’avais retiré mes escarpins, et m’étais adossée contre un des bras du canapé, en faisant face à Tatiana, installée dans la même position à l’autre bout du canapé. Mon assiette posée sur mes cuisses, à demi allongée, je picorais ma pizza avec appétit, non sans loucher sur les longues jambes galbées de ma colocataire.
Tout en l’écoutant me parler de sa Russie natale, je la regardais, admirant sa beauté slave, ses grands yeux bleus, ses longs cheveux raides châtain, son sourire dévoilant une dentition parfaite … Sa haute taille (1 mètre 80 …), la finesse de ses traits, les courbes harmonieuses de son corps, la poitrine généreuse … autant de caractéristiques physiques qui me plaisaient. En fait, plus je la regardais, plus je la désirais …
Je connaissais mon penchant pour les filles, ma préférence même, dirais-je. Je m’en étais rendu compte au moment de l’adolescence, même si par la suite, mon physique étant des plus agréable, j’avais eu quelques petits copains, plus pour faire comme mes copines que par goût. C’est en terminale, au lycée, que j’eus la confirmation de mes attirances à la fois sexuelles et sentimentales. Je m’étais retrouvé placée en classe à côté d’une fille superbe, grande et brune, sûre d’elle même, dégageant une aura autour d’elle, auprès des garçons et filles de la classe… Elle avait une classe, comme si elle était au-dessus de la mêlée, dominatrice, que je trouvais craquante.
Il ne fallut pas plus d’un trimestre pour que se concrétise notre attirance réciproque … Nous prétextions de réviser nos cours, chez l’une ou chez l’autre, dans nos chambres, pour nous retrouver dans les bras l’une de l’autre. Nous nous précipitions sur le lit, retirions jupes, pantalons, collants et pull-over, et ne gardions que notre petite culotte et notre soutien-gorge, avant de nous glisser sous la couette pour des caresses de plus en plus sensuelles… J’aimais la laisser faire courir ses mains contre ma peau, ses doigts se refermer sur le globe de mes seins, titiller mes tétons pour les faire se dresser de plaisir.
Nous nous frottions l’une contre l’autre, mais je lui laissais le plus souvent l’initiative, les yeux fermés pour me concentrer sur les sensations agréables qui me traversaient le corps. Un jour, ses doigts franchirent la taille élastique de ma petite culotte, et se glissèrent contre mon intimité, la paume de sa main venant se caler contre le renflement de mon pubis. Les va et viens pressant de ses doigts m’amenèrent très vite à mon premier orgasme, d'autant que mes gémissements augmentant d'intensité, elle trouva utile de les étouffer en me glissant dans la bouche sa petite culotte et en plaquant sa main par dessus... Ce fut un choc violent, mon corps se cabrant de manière incontrôlée tandis qu’une décharge électrique me traversait les reins et les faisait vibrer de plaisir …
Depuis, je n’avais eu d’autres aventures qu’avec des filles, plus par désir physique qu’autre chose, mais c’était à chaque fois très agréable ….
Je repensais à tout cela, en admirant mon amie, allongée à l'autre bout du canapé. C'est à ce moment là que je remarquais, du coin de l’œil, que la télévision montrait une scène dans la série policière, dans laquelle une femme était en train de se faire kidnapper. L'un de ses ravisseurs commençait à lui attacher les mains dans le dos, tandis que l'autre la bâillonnait avec du tape ...
J'étais loin de me douter ce qui allait ensuite m'arriver ....
Ce soir-là, un weekend de pâques, seules Tatiana et moi, Sandra, partagions les lieux, une grande maison de 120 m², comptant 4 chambres, un grand séjour-salon, une cuisine américaine et, chose essentielle quand 4 filles partagent une colocation, deux salles de bain …
Cela ne faisait que quelques mois que nous avions aménagé toutes les quatre dans cette maison, grâce aux petites annonces du bon coin. Nous commencions seulement à nous connaître en fait, et je me découvrais plus d’atomes crochus avec Tatiana, avec qui j’aimais papoter de tout et de rien, qu’avec mes deux autres colocataires, plus superficielles et, pour être franche, un peu immatures.
Tatiana et moi, nous nous étions découvert des goûts communs en matière de lecture, de cinéma, de balades en pleine nature …
Elle vivait en France depuis quelques années, et y était restée après le retour de ses parents en Russie, pour suivre des études en fac de médecine. Elle était en troisième année. Moi-même, je suivais des études en deuxième année d’orthophonie.
Bien qu’il s’agisse d’un weekend à trois jours, j’avais décidé de rester à la colocation, la perspective de devoir passer une journée à voir ma famille éloignée, la grands parents et les oncles et tantes, ne m’enchantant guère. J’avais pu prétexter de devoir préparer des partiels. Tatiana, elle, passait la plupart de ses weekend dans notre maison, sauf les quelques fois où elle partait à la capitale avec je ne sais pas trop qui, des amis ou des personnes de sa famille.
La soirée avait bien débuté. Nous avions commandé des pizzas, sorti une bouteille de rosé du réfrigérateur, et confortablement installées sur le canapé, nous papotions tout en regardant d’un œil distrait une série policière à la télévision. J’avais retiré mes escarpins, et m’étais adossée contre un des bras du canapé, en faisant face à Tatiana, installée dans la même position à l’autre bout du canapé. Mon assiette posée sur mes cuisses, à demi allongée, je picorais ma pizza avec appétit, non sans loucher sur les longues jambes galbées de ma colocataire.
Tout en l’écoutant me parler de sa Russie natale, je la regardais, admirant sa beauté slave, ses grands yeux bleus, ses longs cheveux raides châtain, son sourire dévoilant une dentition parfaite … Sa haute taille (1 mètre 80 …), la finesse de ses traits, les courbes harmonieuses de son corps, la poitrine généreuse … autant de caractéristiques physiques qui me plaisaient. En fait, plus je la regardais, plus je la désirais …
Je connaissais mon penchant pour les filles, ma préférence même, dirais-je. Je m’en étais rendu compte au moment de l’adolescence, même si par la suite, mon physique étant des plus agréable, j’avais eu quelques petits copains, plus pour faire comme mes copines que par goût. C’est en terminale, au lycée, que j’eus la confirmation de mes attirances à la fois sexuelles et sentimentales. Je m’étais retrouvé placée en classe à côté d’une fille superbe, grande et brune, sûre d’elle même, dégageant une aura autour d’elle, auprès des garçons et filles de la classe… Elle avait une classe, comme si elle était au-dessus de la mêlée, dominatrice, que je trouvais craquante.
Il ne fallut pas plus d’un trimestre pour que se concrétise notre attirance réciproque … Nous prétextions de réviser nos cours, chez l’une ou chez l’autre, dans nos chambres, pour nous retrouver dans les bras l’une de l’autre. Nous nous précipitions sur le lit, retirions jupes, pantalons, collants et pull-over, et ne gardions que notre petite culotte et notre soutien-gorge, avant de nous glisser sous la couette pour des caresses de plus en plus sensuelles… J’aimais la laisser faire courir ses mains contre ma peau, ses doigts se refermer sur le globe de mes seins, titiller mes tétons pour les faire se dresser de plaisir.
Nous nous frottions l’une contre l’autre, mais je lui laissais le plus souvent l’initiative, les yeux fermés pour me concentrer sur les sensations agréables qui me traversaient le corps. Un jour, ses doigts franchirent la taille élastique de ma petite culotte, et se glissèrent contre mon intimité, la paume de sa main venant se caler contre le renflement de mon pubis. Les va et viens pressant de ses doigts m’amenèrent très vite à mon premier orgasme, d'autant que mes gémissements augmentant d'intensité, elle trouva utile de les étouffer en me glissant dans la bouche sa petite culotte et en plaquant sa main par dessus... Ce fut un choc violent, mon corps se cabrant de manière incontrôlée tandis qu’une décharge électrique me traversait les reins et les faisait vibrer de plaisir …
Depuis, je n’avais eu d’autres aventures qu’avec des filles, plus par désir physique qu’autre chose, mais c’était à chaque fois très agréable ….
Je repensais à tout cela, en admirant mon amie, allongée à l'autre bout du canapé. C'est à ce moment là que je remarquais, du coin de l’œil, que la télévision montrait une scène dans la série policière, dans laquelle une femme était en train de se faire kidnapper. L'un de ses ravisseurs commençait à lui attacher les mains dans le dos, tandis que l'autre la bâillonnait avec du tape ...
J'étais loin de me douter ce qui allait ensuite m'arriver ....