Le pari (histoire inédite d'Anne)

[Bouya2]

J'ai fini de poster toutes les histoires qu'Anne avaient écrit avant de se retirer des forums internet. A partir de maintenant, il n'y aurait plus que des histoires inédites, qui n'ont jamais été publiées auparavant !
On commence tout de suite avec Le pari. Bonne lecture !

Le pari – 2012/09/02

C'est vraiment un pari stupide où nous nous sommes laissées entraîner, Marianne et moi. Le terme de « traquenard » serait même plus adapté.
Marianne est une jolie brunette aux mêmes mensurations que moi. Elle est également danseuse et nous travaillons parfois ensemble, ce qui fait que son copain nous avait vues en activité et avait apparemment été séduit.
L'autre garçon, celui au pantalon de cuir serrant, est danseur et nous travaillons fréquemment pour le même groupe.

Mine de rien, les deux garçons avaient axé la conversation sur la danse et nous avaient insensiblement amenées à comparer notre souplesse. En jouant sur notre fierté, ils nous avaient habilement amenées dans une situation où il était devenu difficile de refuser un pari. De fil en aiguille, l'idée a été lancée à la rigolade de comparer notre capacité à nous libérer si nous étions attachées exactement de la même manière.
Dans le feu de l'action, nous avions stupidement répondu par une attitude de défi et la marche arrière devenait impossible.

Marianne portait un très sexy pantalon de cuir fin moulant au possible avec un tee shirt rouge bordeaux et un court blouson de cuir noir laissé ouvert. Pour ma part, j'étais vêtue d'une ultra courte mini robe noire à manches courtes et largement décolletée. Nous chaussions toutes deux de petits souliers noirs à talons aiguilles.
Ils nous ont donc invitées à passer dans un environnement plus adapté au pari, et nous les avons suivis dans l'escalier menant à l'étage.

Le garçon qui me précédait a poussé une porte qui s'est ouverte sur une chambre au sol couvert de tapis aménagée avec deux lits d'une personne.
Un des garçons est allé farfouiller dans une armoire de bois et est revenu une boîte de cordes à la main, qu'il déposa sur la table rustique qui se trouvait contre le mur.
Évidemment, pour être sûrs que cela soit équitable, les garçons nous ont demandé de nous déshabiller avant de nous ligoter. Ils nous ont uniquement laissé nos chaussures et nos sous-vêtements, et c'est dont en bikini que Marianne s'est faite attacher et moi topless vu que je ne porte que rarement de soutien. A la réflexion, je suis certaine que cela aussi était prémédité.

Pour corser le pari, l'un d'eux a lancé l'idée de n'utiliser que deux cordes pour attacher chacune d'entre nous. Je l'ai regardé en souriant car je sais d'expérience que c'est assez difficile à réaliser surtout si la fille se tortille sérieusement une fois ligotée.
Voyant mon expression, il s'est occupé de moi en premier lieu, me tirant les poignets derrière le dos. Seulement, il a ensuite fait remonter mes poignets jusqu'à amener mes poignets entre mes omoplates et les a attachés ensemble de deux tours de corde. La corde a alors été passée autour d'une épaule puis de l'autre pour faire une harnais serré et ensuite passée à deux reprises autour de mon buste, juste sous mes seins nus en coinçant fermement mes bras contre mon dos.

Le garçon reluquait mes seins dressés en passant devant moi et, profitant de l'occasion pour les effleurer à chaque passage. Il a vigoureusement serré la corde dans une succession de tractions avant de pratiquer le nœud final entre mes bras, mais nettement sous mes mains, rigoureusement hors d'atteinte. Je sentais mes bras très fermement plaqués contre mon dos.

Face à moi, je voyais le danseur en train d'attacher Marianne exactement de la même manière. Il regardait attentivement ce que faisait l'autre garçon et reproduisait le ligotage à l'identique.

Immédiatement après que cette corde ait été placée, nous avons eu droit à un rigoureux bâillon boule consolidé par plusieurs tours d'adhésif. La balle de latex était énorme et nous étions proprement muselées. Il est rare que je sois bâillonnée avec de l'adhésif, mais je reconnais l'efficacité même si je n'aime pas l'esthétique.

C'est alors qu'ils nous ont poussées chacune vers un lit. Nous avons été allongées sur le ventre et nous avons vu avec inquiétude approcher la seconde corde.
Le garçon a plié mes genoux et m'a attaché les chevilles croisées en tournant trois fois la corde autour, puis il a tourné le reste de corde par deux fois autour de mes cuisses et de mes chevilles attachées, poussant fermement les pieds contre mes fesses. Mes jambes se trouvaient totalement immobilisées par cette corde. Il utilisa le bout de corde restant pour consolider ce lien et il termina d'un nœud très étroitement serré entre ma cheville et ma cuisse.

Le moment est venu où nous nous sommes trouvées proprement immobilisées par les deux simples cordes soigneusement ajustées. Les garçons se sont redressés et ont contemplé leur œuvre.
J'ai tiré sur le lien de mes jambes avec un gloussement de surprise car rien ne bougeait du tout. J'ai levé la tête vers Marianne qui venait aussi de pousser un gloussement de surprise.
-Voilà. Je crois qu'elles sont prêtes.
-Oui. Allez-y mesdemoiselles ! Que la meilleure gagne !

Un peu incrédule, j'ai essayé de remuer un peu les bras dans l'espoir de faire jouer le lien, mais là encore je suis demeurée immobile. Si je n'avais pas été bâillonnée je pense que le gloussement en deux phases que j'ai poussé en tentant de ma cabrer aurait ressemblé à un petit « Gni-Hiii ».

Déconcertée par le ligotage, j'ai secoué la tête en essayant de rouler sur le lit, mais avec les genoux écartés et les jambes attachées de cette manière, je n'y suis pas parvenue.
A en juger par les bruit étouffés provenant de l'autre lit, je pense que Marianne était lancée dans une série d'efforts identiques aux miens et ne connaissait pas plus de succès. J'étais stupéfaite en constatant que je ne parvenais vraiment pas à remuer d'un pouce. J'enfonçais dans le matelas, ce qui me ramenait mollement exactement dans la même position à chacune de mes tentatives pour remuer.
-Ah oui, elle sont souples toutes les deux... il n'y a pas à dire.
-Oui, et quelles jolies fesses elles ont !
-Mais il me semble qu'elles ne remuent pas beaucoup. Allez les filles ! Du nerf !
-C'est juste dommage que Marianne porte ce petit soutien. L'égalité n'est malheureusement pas parfaite...
-Oh... on peut le lui enlever...
-Non, pas la peine... il est mignon et tellement sexy. Et puis il est minuscule et je ne pense pas que ce soit réellement décisif.
-Oui, et puis avec des bretelles aussi fines pour maintenir des seins pareils, il finira bien par se défaire tout seul si elle se débat bien. Comme cela, nous avons même du suspense.
-Et en la chatouillant ? Ça l'aiderait ?
-Ha, ha, ha !

Nous tirions sur nos liens pendant qu'ils se régalaient du spectacle.
-Allons mesdemoiselles, cela fait dix minutes et vous êtes encore à égalité.
Nos grognements et gloussements étouffés redoublaient.

Et bien nous ne sommes jamais parvenues, ni l'une ni l'autre, à atteindre le moindre nœud ni à remuer sur nos lits, malgré tous nos efforts !
Au bout d'une demi-heure, nous étions essoufflées, ébouriffées et écarlates, mais toujours en spectacle sexy au milieu de nos lits et sous le regard amusé des garçons.

[Yopo1]

Nous ne saurons jamais le temps qu'elles ont mis à se détacher... et quelle conséquence elle ont eut de ne pas avoir réussi...

Toujours agréable à lire.

[tibo]

très belle histoire comme d'habitude mais dis moi tu dit que tu as poster toutes les anciennes histoires de anne mais a moins que je me trompe mais y'avais pas une histoire ou elle devais aller chercher sa soeur dans un camp de scoot et attendant qu'elle arrive elle avais attacher et baillonner un jeune garçon qui arrêtais pas de la relooker et de la provoquer?

[Bouya2]

Toutes les histoires qu'Anne a jugé, elle-même, bon de compiler. Je n'ai donc pas 100% des histoires.
De plus, Anne ne voyait aucun problème à écrire des histoires avec des ligoteurs mineurs. Je me suis donc permis de ne par republier ces-dernières.
Mais, malgré les quelques pertes, et les quelques récits que je ne republie pas (ils sont seulement au nombre de 4), je pense que je suis en train de reposter facilement 90% de toutes les histoires d'Anne.

[tibo]

d'accord merci beaucoup de ton explication et aussi de ta gentillesse et disponibilité pour republier les histoire de anne vraiment merci

[rocame]

Très belle histoire, avec une position de ligotage assez originale pour le coup, j'adore !