Attache-moi
Publié : 14 juin 2016, 17:58
Bonsoir petit one-shoot, qui m'a pris quelques temps de rédaction, avant d'espérer avoir du temps à nouveau pour écrire la suite des histoires que j'ai en cours. Bonne lecture
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Bonjour, Je me nomme Franck, je suis journaliste à la télévision où je présente le journal télévisé, à la radio où j’anime la matinale et pour un journal très populaire où je m’occupe de rédiger l’édito du jour. Je mesure 1 mètre 80, j’ai les cheveux courts coiffés en épi et j’ai les cheveux verts. Je vis avec ma compagne Camille, rencontrée au travail, voici près d’un an et demi. Elle est journaliste météo sur la chaîne où l’on travaille, c’est elle qui fait briller le soleil sur mes journées. Elle mesure 1 mètre 60, a des yeux bleus et une magnifique chevelure blonde dont la longueur ressemble à un champ de blé. Elle est d’une morphologie assez fine malgré une poitrine généreuse et elle est passionnée par le sport, la course à pied plus particulièrement, ce qui lui donne aussi un joli petit corps sans superficialité ….
Un jour, pendant nos congés d’été en Grèce, juste à la veille de notre retour en France, on a une légère dispute car, selon elle, je passe plus de temps au travail qu’à m’occuper d’elle en dehors des horaires de bureau … Elle me fait la tête tout le trajet du retour et je réfléchis de mon côté comment améliorer la situation. J’accepte de céder mon édito pour la presse, et de finir ma journée après mon dernier JT et après sa dernière météo du jour, c’est-à-dire aux alentours de 20h30. J’attends donc d’être à Paris pour aller signifier mes décisions au journal et à la chaîne et lui en parler, une semaine avant la reprise.
Le lundi matin en allant faire mes démarches, je trouve sur le buffet de l’entrée un message sur un bout de papier :
« Attache-moi,
Notre couple c’est comme la météo, on fait la pluie et le beau temps. Je suis ton soleil mais montre-moi un peu tes nuages, ton côté sombre… Laisse-moi m’abandonner à toi, ressentir en moi une éclipse, un orage …
Tissons de nouveaux liens, comme ceux dont on ne peut s’enfuir, réduisons au silence nos craintes, nos doutes et nos plaintes… Fais-moi voir la solidité de ton amour pour moi, fais-moi ressentir l’impuissance et ne me laisse pas d’autre choix que celui de t’aimer et de rester avec toi
Alors oui, attache-moi
Camille, ta dame météo »
Je souris à ce petit mot et je vais modifier mon planning professionnel. Camille est absente pour la journée, elle la passe avec une de ses amies et après va faire quelques courses. De mon côté, une fois mes rendez-vous terminés, je me rends dans un sex-shop et j’achète tout le matériel permettant d’accéder à la requête de ma petite dame météo adorée : cordes, tape, foulards, bâillon-boule … Ainsi qu’une petite nuisette sexy noire quasi-transparente avec des petits nœuds ainsi que quelques motifs rouges sur la poitrine, qui, j’en suis sûr, lui ira à ravir….
En fin d’après-midi, dès qu’elle revient à la maison, on a la conversation sur mes horaires de travail et je lui annonce alors qu’il n’y aura plus d’édito pour la presse et que je commence mon émission de radio à 8h30 au lieu de 6h30 et qu’ensuite, je quitte la radio à 10h30 j’ai un temps de répit et je ne vais à la TV qu’à 13h pour préparer mon JT de 20h. Elle semble heureuse de mon nouveau planning et elle me dit :
« Parfait avec ce nouveau planning, tu pourras t’occuper de moi plus facilement alors » dit-elle avec le sourire.
Le premier matin de la rentrée, mon nouvel horaire de 8h30 me permet de me lever avant elle et de lui préparer son petit déjeuner. Juste avant de partir, au moment où elle dort encore , Je lui laisse sur son plateau un petit mot où il est écrit :
« Aujourd’hui, pour la météo, il va faire beau toute la journée, soleil et sourires seront au rendez-vous. Profite de ta journée ma chérie, ce soir il y a de forts risques de perturbations et d’intempéries qui s’annoncent.
Bises à tout à l’heure, je t’aime.
Ton homme, Franck »
Je reviens à 10h30 à la maison, et elle m’attend là sur le canapé, malicieuse et avec un sourire coquin … Elle me demande avec audace et en se mordant la lèvre :
« Alors comme ça, il y a un risque d’intempéries ce soir ? J’aimerais bien en savoir plus … »
Je lui réponds alors avec un sourire mais aussi avec une voix qui laisse paraître un mystère :
« Patience Madame Météo, vous allez être surprise, ce soir, vous découvrirez tout au fur et à mesure … »
Elle s’approche de moi, me saute au cou et me murmure à l’oreille :
« J’ai hâte d’être à ce soir et d’avoir fini notre journée de travail … »
Elle m’embrasse ensuite un long instant et notre étreinte dure quelques instants, on n’avait pas eu d’étreinte aussi longue depuis près de trois mois, travail oblige …
Après le repas vers 11h30, on se dirige tous les deux vers les locaux de la chaîne, elle doit être prête pour ses météos d’avant et d’après le JT de 13h. Moi je vais dans mon bureau, me tenir au courant des évènements en regardant mon collègue du 13h et je commence, avec les informations que j’ai à préparer mon journal de 20h. J’en profite aussi pour regarder les bulletins météos de Camille et de la voir, la tentation de l’attacher ce soir devient plus intense …
Durant l’après-midi, elle prépare ses bulletins météos du soir dans mon bureau et face à moi, on se voit pour les pauses café mais aussi surtout dès qu’un moment de calme, entre les actualités fraîches qui rentrent pour mon JT, on en profite aussi pour se retrouver un peu tous les deux seuls dans l’intimité.
Le soir, elle inaugure mon JT par son bulletin météo et moi, je présente mes informations. A la fin du JT, je la regarde présenter sa dernière météo de la journée et je l’attends pour rentrer à la maison … Une fois rentrés, le temps qu’elle prépare avec ses talents de cordon bleus, un repas simple, moi je mets en place un petit jeu de piste pour l’amener vers la chambre et où le parcours sera parsemé de différents indices …
Durant le repas, juste au dessert, je lui offre sur la table le point de départ du jeu de piste, le premier paquet placé sur le parcours. Elle l’ouvre et découvre la nuisette, bien sûr, à son regard, je la sens heureuse et je la vois impatiente … Elle me dit :
« Elle est trop belle cette nuisette, c’est quoi la suite du programme ? »
Je débarrasse la table, et reviens vers elle. Là, je lui passe le bout d’un fil et je lui dit :
« La suite, ma chérie, c’est un parcours jusqu’à la chambre, suis ce fil et tu trouveras plusieurs indices pour découvrir ce qui t’attend… »
Elle se lève de table et va s’enfiler la nuisette avant de suivre le parcours, pendant ce temps, je lance le lave-vaisselle et je l’observe à distance … Elle revient vers moi dans sa nouvelle tenue, les cheveux tirés en arrière et avec une magnifique queue de cheval. Elle débute dès lors son parcours de la salle à manger vers la chambre, en suivant le fil, à hauteur de la table basse du couloir, elle trouve un second paquet : un masque en dentelle noir qu’elle s’empresse de rajouter par-dessus ses yeux bleus …
Elle continue son périple au travers de la maison et arrive dans le salon. Là, sur le canapé, elle trouve un troisième cadeau qu’elle ouvre : une paire de menottes. Je lui menotte donc ses poignets devant elle mais de part et d’autre du fil qui constitue son parcours … Elle ne pose aucune question mais je décèle sur son visage un sourire et la fierté d’être prisonnière partiellement … Elle arrive à la porte de la chambre où, sur la poignée de porte, est posé un foulard en soie rouge… Elle comprend que ceci constitue la fin du parcours … J’attrape le foulard et, après avoir fait un nœud au milieu, je lui insère dans la bouche et je bâillonne l’intrépide Miss Météo ….
Une fois dans la chambre, elle aperçoit sur le lit plusieurs longueurs de cordes … Elle est surprise et ne s’attend pas à la suite des évènements … J’ôte d’abord le bâillon et les menottes pour voir sa réaction et là, elle me dit :
« J’ai bien aimé ce petit parcours … Je vois aussi que tu n’as pas fait semblant … Passons alors aux choses sérieuses …. »
Elle n’a pas besoin de se faire prier et je commence alors mon ouvrage, moi le néophyte, par attacher ses poignets dans le dos avec une grande application et surtout je fais en sorte que les nœuds soient à la fois inaccessibles et solides …. Je renouvelle l’opération avec ses coudes, toujours avec la même minutie et la même intensité de liens … j’achève en passant plusieurs tours de cordes autour de sa poitrine et en serrant aussi pour que son corps ne fasse qu’un colis solide …. Je rajoute, par fantaisie, un lien faisant le tour de son bassin, qui passe sur son sexe et que je fixe à ses poignets, chose qui la stimule dès qu’elle se débat ….
Je renouvelle les liens ensuite avec la même application et la même tension sur ses chevilles puis autour de ses genoux. Camille demeure là, assise, attachée sur le lit attendant la fin de ses tourments … Je l’allonge alors sur le ventre et je relie, avec un autre lien ses chevilles à ses coudes dans une tension la plus extrême possible …. Elle tente en vain de se débattre mais aucun lien ne bouge et la voici impuissante … au moment où elle va pour dire un mot, je lui insère le bâillon boule rouge avec une lanière noire que je lui serre au cran maximum et ma chérie ne peut désormais que gémir … Je luis dit donc avant de la laisser seule dans notre lit, attachée et bâillonnée en nuisette et masque en dentelle :
« Je t’avais annoncé des intempéries et quelques orages, j’espère que le désir d’averses ne sera pas trop grand … Tu as voulu être attachée et prisonnière, désormais, tu m’appartiens corps et âme …. Et surtout, ces liens sur toi sont la promesse d’un nouveau départ entre nous … Bonne nuit mon amour, je te laisse à ta lutte …. »
Je disparais alors de la chambre quelques instants,en la laissant se débattre pour la nuit, je la rejoins et m'allonge à côté de ma jolie prisonnière, je l'embrasse pour une légère éclaircie dans sa nuit d'orages ...
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Bonjour, Je me nomme Franck, je suis journaliste à la télévision où je présente le journal télévisé, à la radio où j’anime la matinale et pour un journal très populaire où je m’occupe de rédiger l’édito du jour. Je mesure 1 mètre 80, j’ai les cheveux courts coiffés en épi et j’ai les cheveux verts. Je vis avec ma compagne Camille, rencontrée au travail, voici près d’un an et demi. Elle est journaliste météo sur la chaîne où l’on travaille, c’est elle qui fait briller le soleil sur mes journées. Elle mesure 1 mètre 60, a des yeux bleus et une magnifique chevelure blonde dont la longueur ressemble à un champ de blé. Elle est d’une morphologie assez fine malgré une poitrine généreuse et elle est passionnée par le sport, la course à pied plus particulièrement, ce qui lui donne aussi un joli petit corps sans superficialité ….
Un jour, pendant nos congés d’été en Grèce, juste à la veille de notre retour en France, on a une légère dispute car, selon elle, je passe plus de temps au travail qu’à m’occuper d’elle en dehors des horaires de bureau … Elle me fait la tête tout le trajet du retour et je réfléchis de mon côté comment améliorer la situation. J’accepte de céder mon édito pour la presse, et de finir ma journée après mon dernier JT et après sa dernière météo du jour, c’est-à-dire aux alentours de 20h30. J’attends donc d’être à Paris pour aller signifier mes décisions au journal et à la chaîne et lui en parler, une semaine avant la reprise.
Le lundi matin en allant faire mes démarches, je trouve sur le buffet de l’entrée un message sur un bout de papier :
« Attache-moi,
Notre couple c’est comme la météo, on fait la pluie et le beau temps. Je suis ton soleil mais montre-moi un peu tes nuages, ton côté sombre… Laisse-moi m’abandonner à toi, ressentir en moi une éclipse, un orage …
Tissons de nouveaux liens, comme ceux dont on ne peut s’enfuir, réduisons au silence nos craintes, nos doutes et nos plaintes… Fais-moi voir la solidité de ton amour pour moi, fais-moi ressentir l’impuissance et ne me laisse pas d’autre choix que celui de t’aimer et de rester avec toi
Alors oui, attache-moi
Camille, ta dame météo »
Je souris à ce petit mot et je vais modifier mon planning professionnel. Camille est absente pour la journée, elle la passe avec une de ses amies et après va faire quelques courses. De mon côté, une fois mes rendez-vous terminés, je me rends dans un sex-shop et j’achète tout le matériel permettant d’accéder à la requête de ma petite dame météo adorée : cordes, tape, foulards, bâillon-boule … Ainsi qu’une petite nuisette sexy noire quasi-transparente avec des petits nœuds ainsi que quelques motifs rouges sur la poitrine, qui, j’en suis sûr, lui ira à ravir….
En fin d’après-midi, dès qu’elle revient à la maison, on a la conversation sur mes horaires de travail et je lui annonce alors qu’il n’y aura plus d’édito pour la presse et que je commence mon émission de radio à 8h30 au lieu de 6h30 et qu’ensuite, je quitte la radio à 10h30 j’ai un temps de répit et je ne vais à la TV qu’à 13h pour préparer mon JT de 20h. Elle semble heureuse de mon nouveau planning et elle me dit :
« Parfait avec ce nouveau planning, tu pourras t’occuper de moi plus facilement alors » dit-elle avec le sourire.
Le premier matin de la rentrée, mon nouvel horaire de 8h30 me permet de me lever avant elle et de lui préparer son petit déjeuner. Juste avant de partir, au moment où elle dort encore , Je lui laisse sur son plateau un petit mot où il est écrit :
« Aujourd’hui, pour la météo, il va faire beau toute la journée, soleil et sourires seront au rendez-vous. Profite de ta journée ma chérie, ce soir il y a de forts risques de perturbations et d’intempéries qui s’annoncent.
Bises à tout à l’heure, je t’aime.
Ton homme, Franck »
Je reviens à 10h30 à la maison, et elle m’attend là sur le canapé, malicieuse et avec un sourire coquin … Elle me demande avec audace et en se mordant la lèvre :
« Alors comme ça, il y a un risque d’intempéries ce soir ? J’aimerais bien en savoir plus … »
Je lui réponds alors avec un sourire mais aussi avec une voix qui laisse paraître un mystère :
« Patience Madame Météo, vous allez être surprise, ce soir, vous découvrirez tout au fur et à mesure … »
Elle s’approche de moi, me saute au cou et me murmure à l’oreille :
« J’ai hâte d’être à ce soir et d’avoir fini notre journée de travail … »
Elle m’embrasse ensuite un long instant et notre étreinte dure quelques instants, on n’avait pas eu d’étreinte aussi longue depuis près de trois mois, travail oblige …
Après le repas vers 11h30, on se dirige tous les deux vers les locaux de la chaîne, elle doit être prête pour ses météos d’avant et d’après le JT de 13h. Moi je vais dans mon bureau, me tenir au courant des évènements en regardant mon collègue du 13h et je commence, avec les informations que j’ai à préparer mon journal de 20h. J’en profite aussi pour regarder les bulletins météos de Camille et de la voir, la tentation de l’attacher ce soir devient plus intense …
Durant l’après-midi, elle prépare ses bulletins météos du soir dans mon bureau et face à moi, on se voit pour les pauses café mais aussi surtout dès qu’un moment de calme, entre les actualités fraîches qui rentrent pour mon JT, on en profite aussi pour se retrouver un peu tous les deux seuls dans l’intimité.
Le soir, elle inaugure mon JT par son bulletin météo et moi, je présente mes informations. A la fin du JT, je la regarde présenter sa dernière météo de la journée et je l’attends pour rentrer à la maison … Une fois rentrés, le temps qu’elle prépare avec ses talents de cordon bleus, un repas simple, moi je mets en place un petit jeu de piste pour l’amener vers la chambre et où le parcours sera parsemé de différents indices …
Durant le repas, juste au dessert, je lui offre sur la table le point de départ du jeu de piste, le premier paquet placé sur le parcours. Elle l’ouvre et découvre la nuisette, bien sûr, à son regard, je la sens heureuse et je la vois impatiente … Elle me dit :
« Elle est trop belle cette nuisette, c’est quoi la suite du programme ? »
Je débarrasse la table, et reviens vers elle. Là, je lui passe le bout d’un fil et je lui dit :
« La suite, ma chérie, c’est un parcours jusqu’à la chambre, suis ce fil et tu trouveras plusieurs indices pour découvrir ce qui t’attend… »
Elle se lève de table et va s’enfiler la nuisette avant de suivre le parcours, pendant ce temps, je lance le lave-vaisselle et je l’observe à distance … Elle revient vers moi dans sa nouvelle tenue, les cheveux tirés en arrière et avec une magnifique queue de cheval. Elle débute dès lors son parcours de la salle à manger vers la chambre, en suivant le fil, à hauteur de la table basse du couloir, elle trouve un second paquet : un masque en dentelle noir qu’elle s’empresse de rajouter par-dessus ses yeux bleus …
Elle continue son périple au travers de la maison et arrive dans le salon. Là, sur le canapé, elle trouve un troisième cadeau qu’elle ouvre : une paire de menottes. Je lui menotte donc ses poignets devant elle mais de part et d’autre du fil qui constitue son parcours … Elle ne pose aucune question mais je décèle sur son visage un sourire et la fierté d’être prisonnière partiellement … Elle arrive à la porte de la chambre où, sur la poignée de porte, est posé un foulard en soie rouge… Elle comprend que ceci constitue la fin du parcours … J’attrape le foulard et, après avoir fait un nœud au milieu, je lui insère dans la bouche et je bâillonne l’intrépide Miss Météo ….
Une fois dans la chambre, elle aperçoit sur le lit plusieurs longueurs de cordes … Elle est surprise et ne s’attend pas à la suite des évènements … J’ôte d’abord le bâillon et les menottes pour voir sa réaction et là, elle me dit :
« J’ai bien aimé ce petit parcours … Je vois aussi que tu n’as pas fait semblant … Passons alors aux choses sérieuses …. »
Elle n’a pas besoin de se faire prier et je commence alors mon ouvrage, moi le néophyte, par attacher ses poignets dans le dos avec une grande application et surtout je fais en sorte que les nœuds soient à la fois inaccessibles et solides …. Je renouvelle l’opération avec ses coudes, toujours avec la même minutie et la même intensité de liens … j’achève en passant plusieurs tours de cordes autour de sa poitrine et en serrant aussi pour que son corps ne fasse qu’un colis solide …. Je rajoute, par fantaisie, un lien faisant le tour de son bassin, qui passe sur son sexe et que je fixe à ses poignets, chose qui la stimule dès qu’elle se débat ….
Je renouvelle les liens ensuite avec la même application et la même tension sur ses chevilles puis autour de ses genoux. Camille demeure là, assise, attachée sur le lit attendant la fin de ses tourments … Je l’allonge alors sur le ventre et je relie, avec un autre lien ses chevilles à ses coudes dans une tension la plus extrême possible …. Elle tente en vain de se débattre mais aucun lien ne bouge et la voici impuissante … au moment où elle va pour dire un mot, je lui insère le bâillon boule rouge avec une lanière noire que je lui serre au cran maximum et ma chérie ne peut désormais que gémir … Je luis dit donc avant de la laisser seule dans notre lit, attachée et bâillonnée en nuisette et masque en dentelle :
« Je t’avais annoncé des intempéries et quelques orages, j’espère que le désir d’averses ne sera pas trop grand … Tu as voulu être attachée et prisonnière, désormais, tu m’appartiens corps et âme …. Et surtout, ces liens sur toi sont la promesse d’un nouveau départ entre nous … Bonne nuit mon amour, je te laisse à ta lutte …. »
Je disparais alors de la chambre quelques instants,en la laissant se débattre pour la nuit, je la rejoins et m'allonge à côté de ma jolie prisonnière, je l'embrasse pour une légère éclaircie dans sa nuit d'orages ...
