Captive ?
Publié : 12 mars 2017, 18:15
Le grincement des cordes. Lise s'amusait du bruit que faisait ses liens lorsqu'elle tirait dessus. Elle ne pouvait pas les voir, mais avec ses mains elle parvenait a remonter lentement ses entraves. Elle était sur le dos. Chacune de ses mains était liée différemment. A droite, son bras était tendu. Une corde filait de son poignet, jusqu’à ce qui lui semblait être le montant du lit. A chaque fois qu'elle tirait dessus, le lit bougeait un peu, sur lui même, comme un petit balancier. Son autre bras était plié. Un second lien maintenait son avant bras contre son biceps. Cela avait été un peu douloureux au début, mais elle s'était habitué. C'était extrêmement frustrant. Elle pouvait bouger son bras, mais sa main de lui servait à rien. Elle pouvait à peine effleurer son bâillon.
Son bâillon... Peut être ce qu'elle préférait. Elle avait dans la bouche un morceau de tissus. Une culotte surement, mais pas sur, elle portait toujours la sienne. En tout cas c'était doux. Mais elle ne parvenait pas a identifier si elle sentait bien de la dentelle. De toute façon, elle en avait un tiroir plein. Il suffisait de se servir. Par dessus, il y avait quelque chose de collant, qui lui scellait les lèvres. Ce n'était pas du tape. Ça n'avait pas la même odeur. Et s'était plus souple. Mais surtout, c'était inconnu. Ça la préoccupait, et ça l'excitait, il fallait l'avouer. C'était mystérieux. Elle n'en était pas muette pour autant. Elle pouvait emmètre quelques sons. Mais a quoi bon appeler à l'aide si l'on ne veut pas être libérée. De temps en temps elle poussait un petit gémissement plaintif. Et sexy tant qu'a faire. Mêler l'utile à l’agréable. Captive certes, mais un peu d'attention s'il vous plait.
Sa main lui frôla alors la cuisse. Hummmm. Elle frémit. Elle savait qu'un gémissement provoquerait une réaction, mais elle n'avait pas senti sa présence. Elle sentit à nouveau sa main frôler cette fois son autre cuisse, puis glisser vers l’intérieur et... Extase. Le nœud bougea, très légèrement entre ses cuisses. Alors la réaction en chaîne ne se fit pas attendre. La vague de chaleur monta, elle se cambra légèrement, et sentit sa poitrine retenue par les liens qui l'enserrait. La corde glissait sur, sous, et entre ses seins. A chaque mouvement elle sentait le liens retenus solidement quelque par se tendre et la corde glisser contre sa peau. De nouveau sa main fit bouger le nœud et une nouvelle fois elle se tordit comme elle put sur le lit dans un gémissement plaintif. "C'est un supplice mais par pitié continu !" Mais sa main la quitta, et elle sentit sa présence s'éloigner d'elle.
Elle laissa a son corps et son souffle le temps de se calmer. Elle attendit. Cinq, peut être dix minutes. Il n'y avait pas un bruit autour d'elle. Comment pouvait on être si silencieux ? Elle n’entendait pas même ses pieds frôler le sol. Elle tira sur les siens, mais comme toujours les cordes ne lui laissait que peu de mouvements. Ses pieds était séparés. Chacune de ses jambes tendue vers un pied du lit.
Un bruit. Son retour. Lise sentit délicatement son bâillon se décoller de ses lèvres. Puis le tissus sortir doucement de sa bouche. Elle prit une grande inspiration. Puis une seconde. Puis ses lèvres se posèrent avec milles douceurs sur les siennes en un doux baiser aux arômes de fraise.
-"Encore ?"
-"Oui." Soupira t'elle.
Son bâillon... Peut être ce qu'elle préférait. Elle avait dans la bouche un morceau de tissus. Une culotte surement, mais pas sur, elle portait toujours la sienne. En tout cas c'était doux. Mais elle ne parvenait pas a identifier si elle sentait bien de la dentelle. De toute façon, elle en avait un tiroir plein. Il suffisait de se servir. Par dessus, il y avait quelque chose de collant, qui lui scellait les lèvres. Ce n'était pas du tape. Ça n'avait pas la même odeur. Et s'était plus souple. Mais surtout, c'était inconnu. Ça la préoccupait, et ça l'excitait, il fallait l'avouer. C'était mystérieux. Elle n'en était pas muette pour autant. Elle pouvait emmètre quelques sons. Mais a quoi bon appeler à l'aide si l'on ne veut pas être libérée. De temps en temps elle poussait un petit gémissement plaintif. Et sexy tant qu'a faire. Mêler l'utile à l’agréable. Captive certes, mais un peu d'attention s'il vous plait.
Sa main lui frôla alors la cuisse. Hummmm. Elle frémit. Elle savait qu'un gémissement provoquerait une réaction, mais elle n'avait pas senti sa présence. Elle sentit à nouveau sa main frôler cette fois son autre cuisse, puis glisser vers l’intérieur et... Extase. Le nœud bougea, très légèrement entre ses cuisses. Alors la réaction en chaîne ne se fit pas attendre. La vague de chaleur monta, elle se cambra légèrement, et sentit sa poitrine retenue par les liens qui l'enserrait. La corde glissait sur, sous, et entre ses seins. A chaque mouvement elle sentait le liens retenus solidement quelque par se tendre et la corde glisser contre sa peau. De nouveau sa main fit bouger le nœud et une nouvelle fois elle se tordit comme elle put sur le lit dans un gémissement plaintif. "C'est un supplice mais par pitié continu !" Mais sa main la quitta, et elle sentit sa présence s'éloigner d'elle.
Elle laissa a son corps et son souffle le temps de se calmer. Elle attendit. Cinq, peut être dix minutes. Il n'y avait pas un bruit autour d'elle. Comment pouvait on être si silencieux ? Elle n’entendait pas même ses pieds frôler le sol. Elle tira sur les siens, mais comme toujours les cordes ne lui laissait que peu de mouvements. Ses pieds était séparés. Chacune de ses jambes tendue vers un pied du lit.
Un bruit. Son retour. Lise sentit délicatement son bâillon se décoller de ses lèvres. Puis le tissus sortir doucement de sa bouche. Elle prit une grande inspiration. Puis une seconde. Puis ses lèvres se posèrent avec milles douceurs sur les siennes en un doux baiser aux arômes de fraise.
-"Encore ?"
-"Oui." Soupira t'elle.
Tant de sensualité rien qu'avec le toucher. 
