Salut à tous, je suis ravi de voir que ça commence à vous plaire ! Et en parlant de ça nous somme lundi, ce qui signifie qu'il est temps pour moi de vous diffuser l'avant-dernier chapitre de Pulsions (et oui, déjà

) Bref, j'espère que cela va vous plaire et bonne lecture
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CHAPITRE IV
Depuis mon plus jeune âge j’ai ce problème, cette absence totale d’émotion et d’attachement envers les autres. Ce désir intense de leur faire du mal... Mais j’ai aussi rapidement compris qu’il fallait que je combattent cette envie, cette pulsion démoniaque qui sommeil en moi. Durant les récréations en primaire, j’allais m’asseoir sur le même banc tout les jours, je regardais les autres, en train de crier, rigoler… des choses que je ne comprenais pas. Des pulsions me prenait à ces moments là, du coup je posais mes mains sur mes genoux et je serrais le plus fort possible pour essayer de les contenir. Je devais les renfermer, les inhiber. Ces pulsions n’était pas bien, je pourrais faire du mal à des gens si je les laissais s’exprimer.
Mais un jour, Eve est venue me voir pour me demander si je voulais jouer avec elle et ces amis. Elle était si proche, si insouciante. Mais je ne pouvais pas aller avec elle, si je perdais le contrôle, si mes pulsions prenaient possession de mon corps ? Mais j’ai finalement accepté. Si j’essayais de noyer ces pulsions sous les jeux je pourrais peut-être m’en débarrasser. J’ai donc commencé à lui courir après, je la voyais rire et crier, comme les autres. Mais moi rien, toujours ce même vide, cette absence totale dans mon cœur. Puis j’ai finis par l’attraper, elle se débattait. Et c’est là que quelque chose c’est passé, mon cœur c’est soudain allumé, je venais de la capturer, je la tenais prisonnière, les mains dans le dos, et je sentais ce plaisir… enfin je ressentais une émotion, un courant électrique qui se propageait dans tout mon corps, pour la première fois je souriais. Et cela a valu qu’elle me proposa de jouer avec eux le lendemain, et le surlendemain.
A partir de ce jour j’ai décidé de m’intégrer dans la société, de rester proche d’Eve pour assouvir discrètement mes envies. Au collège j’ai rejoins la troupe de théâtre pour apprendre à simuler les sentiments et émotions que ressentent les autres. J’ai eu ma première copine mais dès que j’ai essayé de calmer mes pulsions avec elle, elle a pris peur et est partie. Seul Eve est resté près de moi tout ce temps. Mais plus le temps passait, plus elle s’éloignait, à cause de son travail et de toutes ces responsabilités. Et plus elle s’éloignait plus mes pulsions grandissaient. C’est pourquoi j’ai planifié cette soirée, pour pouvoir enfin calmer mon appétit, pour ne plus avoir à me cacher…
Après avoir ligoté mes pieds, Alex a ajouté une corde au dessus de mes genoux. Elles sont bien serré, le seul mouvement que j’arrive a faire c’est de battre mes pieds d’avant en arrière sur quelques centimètres. Et je commence à sentir le carrelage froid sur mes jambes et mes bras, la position devient vraiment inconfortable. Par moment, je sens la main d’Alex qui vient caresser mes bras, mes jambes. A cause de ce bandeau sur mes yeux je ne vois jamais rien venir, je suis toujours surprise de le sentir, car toute mon attention se tourne vers se contact sans que je puisse rien y faire. Que va-t-il toucher ensuite ? Mon cou ? Mes pieds ? Plus le temps passe plus ces caresses deviennent agréables.
Tout mon corps est en ébullition, j’entend Eve gémir par moment, souvent au contact de mes caresses. J’aime entendre ces petits bruits étouffés par ce tissu que je lui ai mis dans la bouche. Je suis allongé par terre, face à elle, et je la regarde. Je suis content qu’elle soit là, à moi, tout à moi. Je commence à regarder ces formes se dessiner entre les plis de son débardeur et de sa jupe. J’arrive a voir sa poitrine timidement cachée dans son soutien-gorge noir, sa fine taille et son ventre fin, ces hanches marquées en une belle courbe qui se prolonge jusqu’à ces jambes. Il est temps de passer à la suite.
« Tu sais Eve, je ne peux m’empêcher de regarder ta silhouette, tes belles courbes, l’harmonie de ton corps… »
Hein ?! L’harmonie de mon corps ? Mes courbes ? Qu’est ce que ça veut dire ? Qu’est ce qu’il va faire cette fois ? Je pensais qu’il en avait déjà fais assez, à quoi dois-je m’attendre ? Je recommence à avoir peur, comme si ça devenais une habitude lorsqu’il me parle…
« Je voudrais le voir, le voir mieux que maintenant. Le voir sans masque. Je voudrais voir ton corps à nu, qu’il se montre à moi, et qu’il ne puisse pas se cacher. »
Nan ! J’ai peur ! Je ne veux pas. J’ai beau vouloir me défendre, me faire comprendre ça ne change strictement rien à cause de ce fichu baillon, et de ces liens ! Alex, tu ne peux… Je le sens qui me saisi au niveau du bras et de la taille, et mon corps se soulève alors légèrement du sol pour passer sur le dos. Il me déplace, il me contrôle avec tant de facilité. J’ai l’impression de n’être qu’un objet, qu’un coussin qu’il tourne et retourne pour son petit confort. Et je sens alors ses mains. Elles se sont posées sur ma jupe. Non, elles agrippent ma jupe ! Et je les sens maintenant tirer vers le bas. J’ai beau gesticuler, essayer de me retourner, rien à faire. Tout est trop bien penser, il est trop bien préparer, je commence à me rendre compte que je ne pourrais jamais rien faire. Et la jupe est désormais entièrement enlevé…
Ha oui ! Je les vois, je les vois enfin ! L’entièreté des jambes d’Eve. Je n’ai plus qu’à la retourner pour admirer ces fesses, elles qui sont toujours si joliment dessiné au travers de son pantalon. Et sa culotte noir fais ressortir sa peau, dessine sa taille. Tu es si belle Eve, à te trémousser ainsi, à gesticuler inutilement pour mon grand plaisir. Toi que je désir depuis notre enfance. J’en veux plus.
Je l’entend qui s’éloigne, où va-t-il ? Il va encore chercher une corde ? C’est si humiliant… je suis maintenant allongé à même le sol en petite culotte, sans pouvoir rien y faire… par chance il ne pourra pas m’enlever mon haut, ni rien d’autre d’ailleurs. En m’aillant attacher les mains et les pieds ensemble, cela rend totalement impossible d’enlever mes autres vêtement car ils sont enfilé, il faudrait donc qu’il me détache pour m’en défaire. Et si c’est vraiment ce qu’il souhaite faire, ce sera ma chance. Je n’ai pas besoin de me détacher entièrement. J’aurais juste besoin de quelques secondes pour pouvoir enlever le bâillon et crier. J’ai juste besoin d’une ouverture, d’une toute petite ouverture. Je l’entend qui revient, je dois rester calme, je peux le faire. Mais c’est alors que j’entends un bruit métallique, comme deux lames de frottant l’une contre l’autre. Quoi ? Nan ? C’est pas vrai !? On dirait.. Des ciseaux.
Si je veux pouvoir enlever ton haut ma chère amie, le plus simple et le plus sûr est encore de le découper. Je la vois qui réagis au bruit des ciseaux que je viens d’actionner. Je vais enfin pouvoir te voir comme j’ai toujours rêvé de te voir ma vieille amie. Toi qui a toujours été là.. je vais le faire. Je dois le faire, j’ai tout prévu pour pouvoir en arriver là. Et toi tu m’as fais confiance, tu as été là, présente lorsque j’étais seul, contraint de m’isoler pour me contenir. Tu es venu vers moi… et moi je vais t’imposer ça… Nan, je ne peux pas te faire ça. Toi qui avais confiance en moi, qui t’es préoccupé de moi. Je vais vraiment te faire ca ? Mais j’en ai besoin, dès le premier jour si j’ai décidé de jouer avec toi ,c’est pour ça, pour combler mes pulsions une bonne fois pour toute. Il faut que je le fasse, il faut que tu le fasses Alex ! Regarde là, n’est-elle pas responsable de ce qui lui arrive ? Elle est resté tout ce temps près de toi sans jamais se rendre compte de qui tu étais, elle n’a jamais fais attention à toi, elle n’a jamais essayé de savoir qui tu étais vraiment ! Mais voilà qui tu es, tu es celui qui aime la voir ainsi tienne, celui qui dans la cours de récré à ressenti un plaisir fou à la faire prisonnière et qui aujourd’hui cherche encore désespérément cette même émotion. Alors vas-y, assouvi tes pulsions...
Je l’entend s’approcher. Le son des pas est de plus en plus fort. Puis je sens une main se poser sur ma cuisse. Elle remonte lentement jusque sous mon débardeur et le saisi. Je sens alors le métal froid du dos des ciseaux glisser sur ma peau, au plus bas de mon ventre. Je n’ose plus bouger, je ne peux rien faire. Moi qui habituellement ai toujours le contrôle sur tout, moi qui me dois de tout diriger, c’est moi qui n’as plus aucun pouvoir. J’entends le bruit des ciseaux commencer à couper le tissu. Je peux me visualiser chaque fibre du vêtement se détacher les unes après les autres. Le débardeur retombe sur ma peau, et je le sens glisser jusqu’au sol au fur et à mesure que les ciseaux montent. Maintenant mon ventre est entièrement découvert, et les ciseaux arrivent sous mon bras. La coupure est finie. Je sens qu’on saisi maintenant ma première bretelle. Je sens à nouveau le métal glacé posé sur ma peau, juste entre mon épaule et mon coup. Et en un sifflement rapide je sens la bretelle céder et le débardeur tomber encore plus bas. Un frisson parcours mon corps lorsque l’aire froid vient frôler le haut de ma poitrine. La deuxième bretelle cède tout aussi facilement. Le tissu meurtri est délicatement tiré, puis entièrement enlevé. Je suis maintenant en sous vêtements, ligotée, bâillonnée, les yeux bandés.
La main d’Alex se pose sur mon ventre, et vient se glisser dans mon dos tout en frottant intensément ma peau. Je ne peux m’empêcher de cambré le dos. Je prend une grande inspiration. La main descend maintenant, passant sur ma fesse et s’arrêtant juste dessous, au début de la cuisse. Je la sens soudain serrer ma peau, progressivement mais de plus en plus. Je sens alors une nouvelle main, celle-ci se pose sur ma joue, pour descendre jusqu’à mon cou. Je ne saurais expliquer pourquoi mais je lève alors le menton, découvrant ainsi mon cou. Et le bout des doigts continue à descendre, jusqu’à arrivé vers ma poitrine. La main tourne autour d’un de mes seins avant de commencer à y monter. Je sens alors la paume s’aplatir en haut et cette mains sert alors ma poitrine comme l’autre a serré ma cuisse. Quelque chose se passe alors en moi, une sorte de petite boule de chaleur agréable au niveau de mon ventre, un petite boule commençant à grossir… Puis, sortant de je ne sais où, je sens sur mon torse tomber une goutte d’eau, qui vient ensuite glisser entre mes seins. Qu’est ce que cela peut-il bien être ? Une larme ?