L'amante cachée
Publié : 31 août 2017, 03:44
Bonjour a tous !
Je vous propose une histoire de ma collection. A l'origine c'est une histoire en Anglais postée sur DeviantArt que j'ai retraduite pour vous. Pour moi c'est plus simple d'écrire directement en Anglais et de retraduire en Français que l'inverse.
Il s'agit de la première partie publiée sur DeviantArt seulement. J'en ai fait une version étendue pour un webmagazine anglophone que j'ai créé, Damsels in Distress Tales, et qui sortira bientôt. Les prochaines parties seront bientôt traduites, mais il y aura un trou entre la fin de celle-ci et la suivante, n'étant pas à l'aise avec certaines scènes.
N'hésitez pas à donner votre avis bien entendu. Bonne lecture
Marie et Amélie n'étaient censées ne devoir passer qu'une heure dans cette maison isolée au milieu des bois...
Les deux belles étudiantes avaient dû utiliser leurs vélos pour faire les 7-8 kilomètres séparant entre leur ville et le petit cottage dans la forêt où vivait Madame Martin.
Cette veuve entre deux âges, grande amie de la mère de Marie, avait accepté l'idée d'une interview par les deux filles. C'était pour un dossier universitaire : l'évolution de leur ville à travers les années. Marie avait proposé ingénument à son amie de la choisir puisqu'elle ne connaissait pas de personne plus vieille dans le coin.
Marie était une grande et maigre blonde. Son amie Amélie était brune, plus petite et plus ronde mais elle attirait autant l'attention que son amie.
Noémie Martin était encore bien conservée pour ses 45 ans. Elle était encore fine mais musclée, et conservait les traits de sa jeunesse malgré quelques rides prononcées. Mais elle se comportait désormais comme une vieille femme, donnant des gâteaux et du thé à chaque personne venant briser sa solitude pour un moment. Marie pensait qu'elle avait un peu "perdu la boule" depuis la mort de son mari dans un accident de voiture.
Fatiguées par leur parcours en vélo, les deux filles acceptèrent poliment la nourriture et la boisson avant seulement de commencer l'interview. Après avoir bu la moitié de sa tasse de thé Marie attaqua:
- OK Madame Martin
- Oh, ma chère Marie, vous pouvez m'appeler Noémie, dit d'un beau sourire la veuve.
- D'accord Noémie, pouvez-vous nous dire comment était notre cité durant votre propre enfance?
- Bien, je me souviens que...
Marie vit qu'Amélie notait les réponses sur son propre cahier. Heureusement parce qu'elle ne se sentait pas capable, la fatigue devenait trop importante. Elle n'était même plus capable de suivre seulement l'interview. A ce moment elle craignit d'être remarquée par les deux autres femmes. Madame Martin pourrait mal le prendre.
- Marie, que se passe-t-il? demanda celle-ci.
- Je ne sais pas, répondit Marie d'une voix pâteuse.
Elle eût encore le temps de voir Amélie boire une grosse gorgée de son thé durant cette petite interruption mais ensuite ses paupières devinrent trop lourdes pour elles. La dernière image qu'elle put voir avant de sombrer était celle d'Amélie dormant aussi, et à côté Madame Martin qui avait un sourire étrange.
Marie se réveille plus tard, douloureusement. On l'avait allongée entre temps sur un lit. Elle aurait voulu pouvoir se lever, mais elle en était incapable.
Des liens de cuir la retenaient par les bras et les jambes au meuble, la ligotant solidement. Effrayée, l'étudiante voulut crier mais quelque chose avait été placée dans sa bouche, une sorte de chiffon maintenu par du ruban adhésif gris enroûlé tout autour de sa bouche.
Elle se rendit compte seulement alors qu'on l'avait encore déshabillée, puis identifia ce qu'était le chiffon dans sa bouche. Elle se mit à secouer la tête et à essayer de cracher sa propre culotte mais le bâillon était trop bien installé.
Amélie était séquestrée dans la même situation sur un autre lit, voisin de celui de Marie. Elle se débattait aussi et plairait. Les deux étudiantes se demandaient ce qui leur était arrivé. Elles étaient retenues dans une sorte de cave, sans la moindre fenêtre aux murs.
La porte de leur cellule fut déverouillée par Madame Martin. La "vieille lady" semblait avoir bien rajeuni de par son attitude plus souriante et excitée. Elle avait ramené avec elle un sac de sport.
"Est-ce que vos lits son confortables, jeunes filles?" elle demanda sur le ton le plus ironique possible.
Les deux jeunes femmes ne pouvaient répondre qu'avec des gémissements. Marie espérait qu'il ne s'agisse que d'une mauvaise blague, une très mauvaise. Elle aurait voulu lui demander ce dont il s'agissait et qu'est-ce que la veuve allait faire d'elles. Elle était d'autant plus surprise qu'elle pensait connaître Madame Martin. Il y a 15 ans elles jouaient ensemble et maintenant celle-ci lui tripotait les seins.
- J'ai attendu ce moment depuis tellement d'années, expliqua soudainement la kidnappeuse. Au lycée j'étais amoureuse de ta mère mais cette petite égoïste n'a jamais remarqué mon attirance. Malheureusement nous avons vite trouvé des hommes à épouser et sa beauté à elle s'est ternie rapidement quand tu es née. Alors j'ai attendu toutes ces années que tu grandisses jusqu'à devenir une belle jeune femme, le portrait craché de ta mère à l'époque. Et heureusement mon mari est mort dans cette accident avant que je n'ai eu à m'en débarrasser. J'étais de nouveau célibataire mais tu ne m'as pas remarqué, encore une fois comme ta mère. Alors quand j'ai découvert que toi et Amélie aviez une liaison..."
A ce moment du récit, Amélie grogna davantage et secoua se tâte pour nier ça. Elle se demandait surtout comment pouvait-elle avoir deviné.
- Ferme-la sale petite traînée. Tu pensais pouvoir voler le second amour de ma vie, mais ce ne sera pas le cas, lui cria Noémie Martin.
Elle ouvrit son sac pour en sortir un appereil photo. Elle l'utilisa pour prendre plusieurs photos de la pauvre Amélie pour l'humilier. Celle-ci rageait et se tordait sur son lit mais impuissante. De son côté Marie voulait supplier leur kidnappeuse d'arrêter ça.
- Bien j'ai pris assez de photos pour ton nouveau Maître. Il viendra demain pour toi, me laissant seule avec Marie enfin.
Les deux étudiante se débattèrent plus violement encore en entendant cette annonce. Amélie en particulier était frissonnante. Elle était effrayée d'être séparée de son amante, par un homme inconnu.
- Et maintenant ferme-la, ordonna Madame Martin.
Elle sortit de sa poche un vieux chiffon puant qu'elle appliqua sur le visage de sa rivale. Amélie ne pouvait contenir sa respiration trop longtemps et finit par respirer le chloroforme, pour s'évanouir pour la seconde fois de la journée.
- Maintenant nous sommes seules, ma chère Marie, annonça la kidnappeuse.
La pauvre blonde recommença à la supplier à travers son bâillon, espérant toujours qu'il ne s'agisse que d'un cauchemar. Mais madame Martin sortit de son sac sa collection de jouets...
A suivre...
Je vous propose une histoire de ma collection. A l'origine c'est une histoire en Anglais postée sur DeviantArt que j'ai retraduite pour vous. Pour moi c'est plus simple d'écrire directement en Anglais et de retraduire en Français que l'inverse.
Il s'agit de la première partie publiée sur DeviantArt seulement. J'en ai fait une version étendue pour un webmagazine anglophone que j'ai créé, Damsels in Distress Tales, et qui sortira bientôt. Les prochaines parties seront bientôt traduites, mais il y aura un trou entre la fin de celle-ci et la suivante, n'étant pas à l'aise avec certaines scènes.
N'hésitez pas à donner votre avis bien entendu. Bonne lecture
Marie et Amélie n'étaient censées ne devoir passer qu'une heure dans cette maison isolée au milieu des bois...
Les deux belles étudiantes avaient dû utiliser leurs vélos pour faire les 7-8 kilomètres séparant entre leur ville et le petit cottage dans la forêt où vivait Madame Martin.
Cette veuve entre deux âges, grande amie de la mère de Marie, avait accepté l'idée d'une interview par les deux filles. C'était pour un dossier universitaire : l'évolution de leur ville à travers les années. Marie avait proposé ingénument à son amie de la choisir puisqu'elle ne connaissait pas de personne plus vieille dans le coin.
Marie était une grande et maigre blonde. Son amie Amélie était brune, plus petite et plus ronde mais elle attirait autant l'attention que son amie.
Noémie Martin était encore bien conservée pour ses 45 ans. Elle était encore fine mais musclée, et conservait les traits de sa jeunesse malgré quelques rides prononcées. Mais elle se comportait désormais comme une vieille femme, donnant des gâteaux et du thé à chaque personne venant briser sa solitude pour un moment. Marie pensait qu'elle avait un peu "perdu la boule" depuis la mort de son mari dans un accident de voiture.
Fatiguées par leur parcours en vélo, les deux filles acceptèrent poliment la nourriture et la boisson avant seulement de commencer l'interview. Après avoir bu la moitié de sa tasse de thé Marie attaqua:
- OK Madame Martin
- Oh, ma chère Marie, vous pouvez m'appeler Noémie, dit d'un beau sourire la veuve.
- D'accord Noémie, pouvez-vous nous dire comment était notre cité durant votre propre enfance?
- Bien, je me souviens que...
Marie vit qu'Amélie notait les réponses sur son propre cahier. Heureusement parce qu'elle ne se sentait pas capable, la fatigue devenait trop importante. Elle n'était même plus capable de suivre seulement l'interview. A ce moment elle craignit d'être remarquée par les deux autres femmes. Madame Martin pourrait mal le prendre.
- Marie, que se passe-t-il? demanda celle-ci.
- Je ne sais pas, répondit Marie d'une voix pâteuse.
Elle eût encore le temps de voir Amélie boire une grosse gorgée de son thé durant cette petite interruption mais ensuite ses paupières devinrent trop lourdes pour elles. La dernière image qu'elle put voir avant de sombrer était celle d'Amélie dormant aussi, et à côté Madame Martin qui avait un sourire étrange.
Marie se réveille plus tard, douloureusement. On l'avait allongée entre temps sur un lit. Elle aurait voulu pouvoir se lever, mais elle en était incapable.
Des liens de cuir la retenaient par les bras et les jambes au meuble, la ligotant solidement. Effrayée, l'étudiante voulut crier mais quelque chose avait été placée dans sa bouche, une sorte de chiffon maintenu par du ruban adhésif gris enroûlé tout autour de sa bouche.
Elle se rendit compte seulement alors qu'on l'avait encore déshabillée, puis identifia ce qu'était le chiffon dans sa bouche. Elle se mit à secouer la tête et à essayer de cracher sa propre culotte mais le bâillon était trop bien installé.
Amélie était séquestrée dans la même situation sur un autre lit, voisin de celui de Marie. Elle se débattait aussi et plairait. Les deux étudiantes se demandaient ce qui leur était arrivé. Elles étaient retenues dans une sorte de cave, sans la moindre fenêtre aux murs.
La porte de leur cellule fut déverouillée par Madame Martin. La "vieille lady" semblait avoir bien rajeuni de par son attitude plus souriante et excitée. Elle avait ramené avec elle un sac de sport.
"Est-ce que vos lits son confortables, jeunes filles?" elle demanda sur le ton le plus ironique possible.
Les deux jeunes femmes ne pouvaient répondre qu'avec des gémissements. Marie espérait qu'il ne s'agisse que d'une mauvaise blague, une très mauvaise. Elle aurait voulu lui demander ce dont il s'agissait et qu'est-ce que la veuve allait faire d'elles. Elle était d'autant plus surprise qu'elle pensait connaître Madame Martin. Il y a 15 ans elles jouaient ensemble et maintenant celle-ci lui tripotait les seins.
- J'ai attendu ce moment depuis tellement d'années, expliqua soudainement la kidnappeuse. Au lycée j'étais amoureuse de ta mère mais cette petite égoïste n'a jamais remarqué mon attirance. Malheureusement nous avons vite trouvé des hommes à épouser et sa beauté à elle s'est ternie rapidement quand tu es née. Alors j'ai attendu toutes ces années que tu grandisses jusqu'à devenir une belle jeune femme, le portrait craché de ta mère à l'époque. Et heureusement mon mari est mort dans cette accident avant que je n'ai eu à m'en débarrasser. J'étais de nouveau célibataire mais tu ne m'as pas remarqué, encore une fois comme ta mère. Alors quand j'ai découvert que toi et Amélie aviez une liaison..."
A ce moment du récit, Amélie grogna davantage et secoua se tâte pour nier ça. Elle se demandait surtout comment pouvait-elle avoir deviné.
- Ferme-la sale petite traînée. Tu pensais pouvoir voler le second amour de ma vie, mais ce ne sera pas le cas, lui cria Noémie Martin.
Elle ouvrit son sac pour en sortir un appereil photo. Elle l'utilisa pour prendre plusieurs photos de la pauvre Amélie pour l'humilier. Celle-ci rageait et se tordait sur son lit mais impuissante. De son côté Marie voulait supplier leur kidnappeuse d'arrêter ça.
- Bien j'ai pris assez de photos pour ton nouveau Maître. Il viendra demain pour toi, me laissant seule avec Marie enfin.
Les deux étudiante se débattèrent plus violement encore en entendant cette annonce. Amélie en particulier était frissonnante. Elle était effrayée d'être séparée de son amante, par un homme inconnu.
- Et maintenant ferme-la, ordonna Madame Martin.
Elle sortit de sa poche un vieux chiffon puant qu'elle appliqua sur le visage de sa rivale. Amélie ne pouvait contenir sa respiration trop longtemps et finit par respirer le chloroforme, pour s'évanouir pour la seconde fois de la journée.
- Maintenant nous sommes seules, ma chère Marie, annonça la kidnappeuse.
La pauvre blonde recommença à la supplier à travers son bâillon, espérant toujours qu'il ne s'agisse que d'un cauchemar. Mais madame Martin sortit de son sac sa collection de jouets...
A suivre...