Bizutage pour toutes
Publié : 23 oct. 2017, 05:16
Voilà enfin la première partie d'une histoire un peu plus ambitieuse. N'hésitez pas à donner votre avis
Mélanie espérait que la soirée mortelle prévue compenserait ce qu'elle pensait à ce moment être le pire du pire : faire la vaisselle à la main au beau milieu de nul part.
Cette belle jeune brune se doutait bien qu'être secrétaire à l'organisation de la Sororité étudiante nécessitait quelques petits travaux ingrats, mais elle ne se doutait pas que la majorité du bureau se soit défilée, la laissant seule elle avec Rachel et Lisa préparer la vieille bicoque prévue pour le bizutage... Les autres arriveraient comme des fleurs à 19 heures après avoir commencé la fête dans le bus qui les conduirait depuis leur ville universitaire de X... jusqu'à cette maison de campagne abandonnée, bien isolée du reste du monde.
La Sororité avait été fondée il y a quelques années, après que l'association étudiante mixte ait été obligée de se scinder en deux, par la faute d'un président un peu trop tactile avec les filles. Depuis les étudiants hommes, désormais réunis dans la Fraternité, n'avaient plus le droit de participer aux fêtes "d'initiation" des filles. Leur absence avait permis de débrider celles-ci. Mélanie se rappelait que l'an dernier, elle comme toutes les autres primo-entrantes, avait été obligée de rester nue pendant tout le séjour au week-end. Heureusement qu'à la mi-septembre l'été n'était pas encore parti!
Cette année le bureau de la Sororité avait prévu une autre thématique. La trésorière Tania avait loué des faux uniformes de police, des cagoules et acheté en ligne un paquet de liens : menottes, zips, ruban adhésif. Les 20 primo-entrantes deviendraient les prisonnières de la Sororité pour le week-end. Certaines filles comme Mélanie craignaient que ce soit un peu "extrême" pour les filles. La plus jeune de leurs futures "victimes", une blonde diaphane du nom de Diane, venait juste d'atteindre ses 18 ans, mais la président Elodie lui avait répondue qu'elles auraient quand même le choix entre rester prisonnières à l'intérieur, ou devoir faire de longues marches dans la forêt aux alentours...
Pour s'occuper Mélanie avait une radio à côté d'elle. Mais la chanson pop qu'elle aimait tant s'interrompit brutalement:
"Flash spécial : nous venons d'apprendre que 3 criminelles arrêtées récemment à X... se sont évadées au cours d'un transfert. La police fait des recherches dans la vallée de..."
Mélanie sursauta en entendant que cet événement se passait près de leur maison. Les policiers risquaient de venir, voir pire...
Instinctivement la jeune étudiante arrêta sa vaisselle. Après s'être séchée les mains, elle voulut prévenir Rachel et Lisa affairées à la cave. Mais en sortant de la cuisine, une main s'abattit sur sa bouche. Ses bras furent attrapés et placés derrière son dos.
"Gueule pas ma jolie" lui murmura une voix doucereuse à l'oreille...
Mélanie espérait que la soirée mortelle prévue compenserait ce qu'elle pensait à ce moment être le pire du pire : faire la vaisselle à la main au beau milieu de nul part.
Cette belle jeune brune se doutait bien qu'être secrétaire à l'organisation de la Sororité étudiante nécessitait quelques petits travaux ingrats, mais elle ne se doutait pas que la majorité du bureau se soit défilée, la laissant seule elle avec Rachel et Lisa préparer la vieille bicoque prévue pour le bizutage... Les autres arriveraient comme des fleurs à 19 heures après avoir commencé la fête dans le bus qui les conduirait depuis leur ville universitaire de X... jusqu'à cette maison de campagne abandonnée, bien isolée du reste du monde.
La Sororité avait été fondée il y a quelques années, après que l'association étudiante mixte ait été obligée de se scinder en deux, par la faute d'un président un peu trop tactile avec les filles. Depuis les étudiants hommes, désormais réunis dans la Fraternité, n'avaient plus le droit de participer aux fêtes "d'initiation" des filles. Leur absence avait permis de débrider celles-ci. Mélanie se rappelait que l'an dernier, elle comme toutes les autres primo-entrantes, avait été obligée de rester nue pendant tout le séjour au week-end. Heureusement qu'à la mi-septembre l'été n'était pas encore parti!
Cette année le bureau de la Sororité avait prévu une autre thématique. La trésorière Tania avait loué des faux uniformes de police, des cagoules et acheté en ligne un paquet de liens : menottes, zips, ruban adhésif. Les 20 primo-entrantes deviendraient les prisonnières de la Sororité pour le week-end. Certaines filles comme Mélanie craignaient que ce soit un peu "extrême" pour les filles. La plus jeune de leurs futures "victimes", une blonde diaphane du nom de Diane, venait juste d'atteindre ses 18 ans, mais la président Elodie lui avait répondue qu'elles auraient quand même le choix entre rester prisonnières à l'intérieur, ou devoir faire de longues marches dans la forêt aux alentours...
Pour s'occuper Mélanie avait une radio à côté d'elle. Mais la chanson pop qu'elle aimait tant s'interrompit brutalement:
"Flash spécial : nous venons d'apprendre que 3 criminelles arrêtées récemment à X... se sont évadées au cours d'un transfert. La police fait des recherches dans la vallée de..."
Mélanie sursauta en entendant que cet événement se passait près de leur maison. Les policiers risquaient de venir, voir pire...
Instinctivement la jeune étudiante arrêta sa vaisselle. Après s'être séchée les mains, elle voulut prévenir Rachel et Lisa affairées à la cave. Mais en sortant de la cuisine, une main s'abattit sur sa bouche. Ses bras furent attrapés et placés derrière son dos.
"Gueule pas ma jolie" lui murmura une voix doucereuse à l'oreille...