Madame est servie
Publié : 27 sept. 2018, 18:33
Bonsoir à toutes et à tous,
cela fait des semaines que je lis et relis avec plaisir les histoires postées sur ce merveilleux site.
Elles bercent mes jours et mes nuits.
Il est plus que temps pour moi de renvoyer l'ascenseur.
Voici donc une histoire de mon cru.
Je n'ai pas changé. Je suis toujours aussi folle de blouses nylon et de soumission.
Si vous n'êtes pas intéressé(e) ou au moins que vous n'arrivez pas à faire abstraction de mon fantasme bien particulier, je ne peux que vous inviter à passer votre chemin.
Pour tous les autres je vous souhaite une bonne lecture de cette histoire à épisodes et de doux rêves.
Stéphanie, soumise en blouses nylon
1
Soudain Stéphanie arrêta de se tortiller sur sa chaise et se figea dans ses liens : il lui avait semblé entendre un bruit, en dessous, au rez-de-chaussée. Pendant quelques secondes elle crut avoir rêvé, puis elle entendit distinctement la porte de sa maison se refermer et quelques secondes plus tard la voix de Catherine se faire entendre : « Bonjour Madame, vous êtes là ? ».
Stéphanie sentit son sang se figer à l’intérieur de ses veines : Catherine, la bonne, ne pouvait tomber plus mal…
Une heure plus tôt, à 8H30 en ce vendredi matin, elle était rentrée de l’aéroport où elle avait amené très tôt son mari prendre un avion pour une mission d’une semaine à l’étranger. Et elle pensait bien avoir un grand week-end tranquille pour elle, où elle serait seule, seule et libre de se livrer à son fantasme : vivre en soubrette et pratiquer le self-bondage.
Ce fantasme lui était venu très récemment, depuis l’apparition quatre jours plus tôt, le lundi après-midi, d’une jeune femme, Catherine, embauchée à l’initiative de son mari comme femme de chambre et bonne à tout faire. Même si en tant que femme au foyer Stéphanie avait toutes ses journées pour s’occuper de la grande maison dans laquelle elle vivait avec Pierre, le peu d’empressement que Stéphanie mettait à la nettoyer avait décidé Pierre de recourir à une professionnelle.
Catherine était donc arrivée en ce lundi pluvieux, sanglée dans un long trench-coat en PVC noir qu’elle portait boutonné jusqu’en haut et qui ne laissait apparaître que le bas d’une jupe droite noire, de longues jambes gainées de nylon et de petits escarpins noirs également. Stéphanie eut un moment de surprise en ouvrant à cette jolie jeune femme qui lui tendit la main en se présentant avant d’entrer d’un pas décidé. Catherine avait des cheveux châtains rassemblés en une belle queue de cheval dont le bout glissait sur le haut de son trench. A peine la porte refermée, et à la surprise de Stéphanie, la jeune femme avait ôté son trench-coat pour révéler une blouse en nylon orange sans manche et boutonnée par devant, portée au dessus d’un chemisier blanc et de la jupe droite noire aperçue auparavant dont elle remarqua alors l’aspect satiné. Un tablier blanc ceint autour de sa taille complétait sa tenue. Remarquant la surprise de Stéphanie, la jeune femme avait expliqué que pour un premier déplacement chez un nouvel employeur, revêtir sa tenue de travail à la maison lui évitait de prendre un sac dans lequel sa blouse serait inévitablement froissée. Et en boutonnant et ceinturant son grand imperméable, personne dans le bus ne pouvait imaginer qu’elle portait une telle tenue. Bien sûr, si ses employeurs le lui permettaient, elle préférait ensuite laisser chez eux ses vêtements de travail. Stéphanie répondit qu’elle n’avait aucune objection à ce qu’elle laisse blouse et tablier à la maison mais ne put s’empêcher ensuite de jeter des coups d’œil à sa nouvelle bonne tandis qu’elle lui montrait les tâches qu’elle aurait à faire dans la maison notamment le nettoyage des pièces et le repassage. La vue de cette belle jeune femme du même âge qu’elle portant avec naturel et grâce une tenue de travail qui lui semblait appartenir à une autre époque l’intriguait. Catherine commença à exécuter ses tâches avec minutie et discrétion, de sorte que Stéphanie perçut assez tôt le léger bruissement produit par le frottement de la blouse sur la jupe en satin.
Cette première rencontre fut une révélation et dès sa bonne partie, Stéphanie ouvrit le placard de la cuisine dans lequel Catherine avait rangé sa blouse, testa le soyeux de son toucher en faisant glisser sa main sur le tissu puis, après quelques hésitations, l’enfila et en boutonna les six boutons, légèrement troublée. Elle alla ensuite dans l’entrée pour voir l’image renvoyée par le grand miroir qui s’y trouvait et fut un peu déçue. Tombant droite après la poitrine, la blouse cachait ses belles courbes et ne laissait deviner que ses seins. Stéphanie se rappela alors que sa bonne portait sa blouse avec un tablier et alla chercher ce dernier. Bien serré autour de la taille, il révélait cette dernière et le tissu tiré moulait beaucoup mieux les courbes de Stéphanie. Satisfaite, cette dernière s’admira sous toutes les coutures, fit quelques pas, posant ses mains sur ses hanches, caressa le tissu de la blouse. C’était une révélation : elle adorait ce nouveau look, les sensations procurées par le port de cette nouvelle tenue. Il lui sembla qu’ainsi vêtue accomplir les tâches ménagères qui ne lui plaisaient guère deviendrait plus faciles, plus naturelles. Il lui fallait trouver une blouse et un tablier similaires comme nouvelle tenue d’intérieure. Mais où les trouver ?
En allant sur internet elle découvrit que contrairement à ce qu’elle imaginait, les blouses nylon n’avaient pas disparu avec les années 70 : plusieurs sites en proposaient encore à la vente, neuves ou d’occasion. Elle reconnut vite sur l’un de ses sites, le mieux achalandé, la blouse de Catherine que cette dernière portait avec tant de naturel. Il ne fallut pas longtemps à Stéphanie pour qu’elle en commande plusieurs : une identique à celle de Catherine, une autre de coupe identique mais de couleur rose, une noire avec un col rond et des manches longues boutonnées au poignet et une longue blouse d’un vert intense boutonnée sur le côté et avec un col officier. Elle commanda aussi deux jolis tabliers blancs, un tablier taille en nylon et un tablier à bretelles en satin. Continuant ses recherches, Stéphanie tomba aussi sur quelques sites internet consacrés au port des blouses nylon sur lesquels des passionnées partageaient leurs expériences. Elle découvrit aussi que certaines des photos postées montraient des femmes bâillonnées et saucissonnées dans leurs blouses nylon, certaines souriantes et semblant retirer un grand plaisir de leur situation, d’autres résignées dans la position que leur imposait des cordes dont elles étaient incapables de se défaire. Stéphanie entrevit ainsi avec stupeur et curiosité un nouveau monde dont elle ignorait jusqu’ici l’existence, surfant de photos en histoires de ligotage et de soumission, sans pouvoir s’en détacher.
Elle fut surprise en entendant la sonnette de la porte retentir : c’était son mari qui rentrait de son travail. Elle n’eut que le temps d’ôter blouse et tablier et de les fourrer dans le premier placard venu : terriblement attirée par tout ce qu’elle avait vu, elle n’avait pas vu le temps passer.
Interrogée par son mari, Stéphanie ne tarit pas d’éloge sur Catherine et le félicita de son choix.
A la fin du repas, elle brûla d’envie d’aller chercher la blouse et de la passer pour débarrasser la table et faire la vaisselle : mais il lui faudrait expliquer à son mari qu’elle mettait ainsi la blouse de la bonne embauchée le jour même. Mieux valait attendre l’arrivée des blouses commandées.
Frustrée, Stéphanie décida dès la vaisselle terminée d’aller mettre son pyjama en satin dont le tissu lui rappelait le nylon des blouses. Elle alla ensuite ranger la blouse où Catherine l’avait laissée et s’endormit en se rêvant soubrette en blouse nylon, assaillie par un cambrioleur qui la ficelait de la tête au pied et la bâillonnait pour mieux cambrioler la maison de son employeur.
cela fait des semaines que je lis et relis avec plaisir les histoires postées sur ce merveilleux site.
Elles bercent mes jours et mes nuits.
Il est plus que temps pour moi de renvoyer l'ascenseur.
Voici donc une histoire de mon cru.
Je n'ai pas changé. Je suis toujours aussi folle de blouses nylon et de soumission.
Si vous n'êtes pas intéressé(e) ou au moins que vous n'arrivez pas à faire abstraction de mon fantasme bien particulier, je ne peux que vous inviter à passer votre chemin.
Pour tous les autres je vous souhaite une bonne lecture de cette histoire à épisodes et de doux rêves.
Stéphanie, soumise en blouses nylon
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Soudain Stéphanie arrêta de se tortiller sur sa chaise et se figea dans ses liens : il lui avait semblé entendre un bruit, en dessous, au rez-de-chaussée. Pendant quelques secondes elle crut avoir rêvé, puis elle entendit distinctement la porte de sa maison se refermer et quelques secondes plus tard la voix de Catherine se faire entendre : « Bonjour Madame, vous êtes là ? ».
Stéphanie sentit son sang se figer à l’intérieur de ses veines : Catherine, la bonne, ne pouvait tomber plus mal…
Une heure plus tôt, à 8H30 en ce vendredi matin, elle était rentrée de l’aéroport où elle avait amené très tôt son mari prendre un avion pour une mission d’une semaine à l’étranger. Et elle pensait bien avoir un grand week-end tranquille pour elle, où elle serait seule, seule et libre de se livrer à son fantasme : vivre en soubrette et pratiquer le self-bondage.
Ce fantasme lui était venu très récemment, depuis l’apparition quatre jours plus tôt, le lundi après-midi, d’une jeune femme, Catherine, embauchée à l’initiative de son mari comme femme de chambre et bonne à tout faire. Même si en tant que femme au foyer Stéphanie avait toutes ses journées pour s’occuper de la grande maison dans laquelle elle vivait avec Pierre, le peu d’empressement que Stéphanie mettait à la nettoyer avait décidé Pierre de recourir à une professionnelle.
Catherine était donc arrivée en ce lundi pluvieux, sanglée dans un long trench-coat en PVC noir qu’elle portait boutonné jusqu’en haut et qui ne laissait apparaître que le bas d’une jupe droite noire, de longues jambes gainées de nylon et de petits escarpins noirs également. Stéphanie eut un moment de surprise en ouvrant à cette jolie jeune femme qui lui tendit la main en se présentant avant d’entrer d’un pas décidé. Catherine avait des cheveux châtains rassemblés en une belle queue de cheval dont le bout glissait sur le haut de son trench. A peine la porte refermée, et à la surprise de Stéphanie, la jeune femme avait ôté son trench-coat pour révéler une blouse en nylon orange sans manche et boutonnée par devant, portée au dessus d’un chemisier blanc et de la jupe droite noire aperçue auparavant dont elle remarqua alors l’aspect satiné. Un tablier blanc ceint autour de sa taille complétait sa tenue. Remarquant la surprise de Stéphanie, la jeune femme avait expliqué que pour un premier déplacement chez un nouvel employeur, revêtir sa tenue de travail à la maison lui évitait de prendre un sac dans lequel sa blouse serait inévitablement froissée. Et en boutonnant et ceinturant son grand imperméable, personne dans le bus ne pouvait imaginer qu’elle portait une telle tenue. Bien sûr, si ses employeurs le lui permettaient, elle préférait ensuite laisser chez eux ses vêtements de travail. Stéphanie répondit qu’elle n’avait aucune objection à ce qu’elle laisse blouse et tablier à la maison mais ne put s’empêcher ensuite de jeter des coups d’œil à sa nouvelle bonne tandis qu’elle lui montrait les tâches qu’elle aurait à faire dans la maison notamment le nettoyage des pièces et le repassage. La vue de cette belle jeune femme du même âge qu’elle portant avec naturel et grâce une tenue de travail qui lui semblait appartenir à une autre époque l’intriguait. Catherine commença à exécuter ses tâches avec minutie et discrétion, de sorte que Stéphanie perçut assez tôt le léger bruissement produit par le frottement de la blouse sur la jupe en satin.
Cette première rencontre fut une révélation et dès sa bonne partie, Stéphanie ouvrit le placard de la cuisine dans lequel Catherine avait rangé sa blouse, testa le soyeux de son toucher en faisant glisser sa main sur le tissu puis, après quelques hésitations, l’enfila et en boutonna les six boutons, légèrement troublée. Elle alla ensuite dans l’entrée pour voir l’image renvoyée par le grand miroir qui s’y trouvait et fut un peu déçue. Tombant droite après la poitrine, la blouse cachait ses belles courbes et ne laissait deviner que ses seins. Stéphanie se rappela alors que sa bonne portait sa blouse avec un tablier et alla chercher ce dernier. Bien serré autour de la taille, il révélait cette dernière et le tissu tiré moulait beaucoup mieux les courbes de Stéphanie. Satisfaite, cette dernière s’admira sous toutes les coutures, fit quelques pas, posant ses mains sur ses hanches, caressa le tissu de la blouse. C’était une révélation : elle adorait ce nouveau look, les sensations procurées par le port de cette nouvelle tenue. Il lui sembla qu’ainsi vêtue accomplir les tâches ménagères qui ne lui plaisaient guère deviendrait plus faciles, plus naturelles. Il lui fallait trouver une blouse et un tablier similaires comme nouvelle tenue d’intérieure. Mais où les trouver ?
En allant sur internet elle découvrit que contrairement à ce qu’elle imaginait, les blouses nylon n’avaient pas disparu avec les années 70 : plusieurs sites en proposaient encore à la vente, neuves ou d’occasion. Elle reconnut vite sur l’un de ses sites, le mieux achalandé, la blouse de Catherine que cette dernière portait avec tant de naturel. Il ne fallut pas longtemps à Stéphanie pour qu’elle en commande plusieurs : une identique à celle de Catherine, une autre de coupe identique mais de couleur rose, une noire avec un col rond et des manches longues boutonnées au poignet et une longue blouse d’un vert intense boutonnée sur le côté et avec un col officier. Elle commanda aussi deux jolis tabliers blancs, un tablier taille en nylon et un tablier à bretelles en satin. Continuant ses recherches, Stéphanie tomba aussi sur quelques sites internet consacrés au port des blouses nylon sur lesquels des passionnées partageaient leurs expériences. Elle découvrit aussi que certaines des photos postées montraient des femmes bâillonnées et saucissonnées dans leurs blouses nylon, certaines souriantes et semblant retirer un grand plaisir de leur situation, d’autres résignées dans la position que leur imposait des cordes dont elles étaient incapables de se défaire. Stéphanie entrevit ainsi avec stupeur et curiosité un nouveau monde dont elle ignorait jusqu’ici l’existence, surfant de photos en histoires de ligotage et de soumission, sans pouvoir s’en détacher.
Elle fut surprise en entendant la sonnette de la porte retentir : c’était son mari qui rentrait de son travail. Elle n’eut que le temps d’ôter blouse et tablier et de les fourrer dans le premier placard venu : terriblement attirée par tout ce qu’elle avait vu, elle n’avait pas vu le temps passer.
Interrogée par son mari, Stéphanie ne tarit pas d’éloge sur Catherine et le félicita de son choix.
A la fin du repas, elle brûla d’envie d’aller chercher la blouse et de la passer pour débarrasser la table et faire la vaisselle : mais il lui faudrait expliquer à son mari qu’elle mettait ainsi la blouse de la bonne embauchée le jour même. Mieux valait attendre l’arrivée des blouses commandées.
Frustrée, Stéphanie décida dès la vaisselle terminée d’aller mettre son pyjama en satin dont le tissu lui rappelait le nylon des blouses. Elle alla ensuite ranger la blouse où Catherine l’avait laissée et s’endormit en se rêvant soubrette en blouse nylon, assaillie par un cambrioleur qui la ficelait de la tête au pied et la bâillonnait pour mieux cambrioler la maison de son employeur.