Service d'étage
Publié : 14 oct. 2019, 15:52
Chers tous,
après une (trop) longue absence, me voici de retour avec une histoire vécue lors d'un de mes derniers séjours professionnels à Paris. Je prends toujours de grandes valises mais là j'avais pu ajouter une bonne partie de mon matériel de bondagette. La scène se déroule, vous allez le découvrir, dans un hôtel. Bonne lecture à tous.
Stéphanie
Le premier soir, dès mon dîner expédié, j’ai rejoint ma chambre rapidement. J'ai mis toute une série de clés de cadenas dans ma pochette d'ordinateur fermant par une double fermeture éclair dont les deux boucles peuvent recevoir un cadenas et j'ai effectivement fermé la pochette avec un cadenas. Je suis sortie de ma chambre pour placer la clé de ce cadenas à un endroit que j’avais repéré, sur le rebord de la fenêtre du palier, au 4° étage de l'hôtel où j'étais logée. Une fois la fenêtre du palier refermée, la clé était invisible. Ce palier donnait sur un couloir qui desservait les chambres de l’étage, dont la mienne située à environ une dizaine de mètres. Je suis retournée dans ma chambre et ai vite préparé tout le matériel nécessaire pour ma session, toute émoustillée. Je me suis déshabillée en ne gardant que ma petite culotte un collant et mon soutien gorge. J’ai d’abord enfilé mon pantalon de pyjama en satin puis trois blouses nylon successivement ; d’abord ma grande mauve à longues manches, boutonnée sur le côté jusqu’au cou. Ensuite une blouse droite classique boutonnée sur le devant puis ma blouse orange sans manche et avec col en V. C’est elle qui a le nylon le plus fin que je ne me lasse pas de caresser. Je suis en suite passée aux choses sérieuses en commençant par cadenasser autour de ma taille une chaîne en guise de ceinture. Les clés de ce cadenas et des suivants étant donc dans ma pochette d’ordinateur. Puis je me suis attachée à l’aide d’une longue corde les jambes, des chevilles jusqu'aux cuisses, le tout bien serrées et j’ai enfilé par dessus une grande jupe couleur chocolat à la texture soyeuse, satinée. Cette jupe très large qui va jusqu’aux chevilles est l’une des pièce de ma tenue islamique (un jilbab crystal deux pièces pour ceux qui connaissent). J'ai relié le lien intérieur de serrage de la taille de la jupe à la chaîne qui faisait le tour de ma taille, pour être sûr de ne pas la perdre. Je me suis bâillonnée (adhésif), j’ai noué mon niqab sur ma tête, me suis attachée les bras justes au-dessus des coudes (et juste en dessous des seins), en prenant soin de ne pas bloquer avec les cordes les voiles de mon niqab ou les pans d’une autre blouse, d’un beau vert émeraude, que je n’avais enfilé qu’au niveau du cou. Une fois mes bras bien attachés, et dans la limite de ce que me permettaient mes liens, j'ai fait glisser le long de mon buste la grande blouse verte émeraude boutonnée dans le dos. Je l’ai tiré jusqu’à ce que le haut de la blouse épouse bien mon buste en m’emprisonnant bras et épaules. Ainsi tirée, la blouse ne pouvait plus tourner et il aurait fallu que je puisse atteindre ses boutons et les défaire pour me donner plus de marges de mouvements. Mais les boutons étaient dans le dos et moi je me suis menottée les mains par devant, les menottes étant cadenassées à cette chaîne me servant de ceinture. Une fois mes menottes en cuir bien serrées, je les ai cadenassé à leur tour, les clés nécessaires pour ouvrir les cadenas étant elles aussi dans mon sac d'ordinateur lui-même cadenassé. J’étais donc saucissonnée, les bras soudés au corps, les mains enchainées par devant, le corps enfermé dans une blouse dont je ne pouvais que soulever le bas pour en faire sortir mes mains dans la mesure permise par les menottes. Mes jambes également étaient étroitement liées par des cordes mais ces cordes étaient cachées par ma jupe ample. Mon niqab, la blouse et la jupe enfilées cachaient donc bâillon et liens. J’étais une vraie niqabi. Pour me libérer, il fallait donc que je me rende en niqabi bâillonnée et ligotée sur le palier de ce 4°, étage de l'hôtel, que je récupère la clé et revienne dans ma chambre pour ouvrir la pochette de l’ordinateur, récupérer les clés mises à l’intérieur pour me délivrer. J’étais au septième ciel et pour récupérer de mon effort, mais aussi pour profiter du moment, je me suis allongée sur mon lit après avoir éteint -avec l’interrupteur situé en tête de lit- toutes les lumières de la chambre. (à suivre)
après une (trop) longue absence, me voici de retour avec une histoire vécue lors d'un de mes derniers séjours professionnels à Paris. Je prends toujours de grandes valises mais là j'avais pu ajouter une bonne partie de mon matériel de bondagette. La scène se déroule, vous allez le découvrir, dans un hôtel. Bonne lecture à tous.
Stéphanie
Le premier soir, dès mon dîner expédié, j’ai rejoint ma chambre rapidement. J'ai mis toute une série de clés de cadenas dans ma pochette d'ordinateur fermant par une double fermeture éclair dont les deux boucles peuvent recevoir un cadenas et j'ai effectivement fermé la pochette avec un cadenas. Je suis sortie de ma chambre pour placer la clé de ce cadenas à un endroit que j’avais repéré, sur le rebord de la fenêtre du palier, au 4° étage de l'hôtel où j'étais logée. Une fois la fenêtre du palier refermée, la clé était invisible. Ce palier donnait sur un couloir qui desservait les chambres de l’étage, dont la mienne située à environ une dizaine de mètres. Je suis retournée dans ma chambre et ai vite préparé tout le matériel nécessaire pour ma session, toute émoustillée. Je me suis déshabillée en ne gardant que ma petite culotte un collant et mon soutien gorge. J’ai d’abord enfilé mon pantalon de pyjama en satin puis trois blouses nylon successivement ; d’abord ma grande mauve à longues manches, boutonnée sur le côté jusqu’au cou. Ensuite une blouse droite classique boutonnée sur le devant puis ma blouse orange sans manche et avec col en V. C’est elle qui a le nylon le plus fin que je ne me lasse pas de caresser. Je suis en suite passée aux choses sérieuses en commençant par cadenasser autour de ma taille une chaîne en guise de ceinture. Les clés de ce cadenas et des suivants étant donc dans ma pochette d’ordinateur. Puis je me suis attachée à l’aide d’une longue corde les jambes, des chevilles jusqu'aux cuisses, le tout bien serrées et j’ai enfilé par dessus une grande jupe couleur chocolat à la texture soyeuse, satinée. Cette jupe très large qui va jusqu’aux chevilles est l’une des pièce de ma tenue islamique (un jilbab crystal deux pièces pour ceux qui connaissent). J'ai relié le lien intérieur de serrage de la taille de la jupe à la chaîne qui faisait le tour de ma taille, pour être sûr de ne pas la perdre. Je me suis bâillonnée (adhésif), j’ai noué mon niqab sur ma tête, me suis attachée les bras justes au-dessus des coudes (et juste en dessous des seins), en prenant soin de ne pas bloquer avec les cordes les voiles de mon niqab ou les pans d’une autre blouse, d’un beau vert émeraude, que je n’avais enfilé qu’au niveau du cou. Une fois mes bras bien attachés, et dans la limite de ce que me permettaient mes liens, j'ai fait glisser le long de mon buste la grande blouse verte émeraude boutonnée dans le dos. Je l’ai tiré jusqu’à ce que le haut de la blouse épouse bien mon buste en m’emprisonnant bras et épaules. Ainsi tirée, la blouse ne pouvait plus tourner et il aurait fallu que je puisse atteindre ses boutons et les défaire pour me donner plus de marges de mouvements. Mais les boutons étaient dans le dos et moi je me suis menottée les mains par devant, les menottes étant cadenassées à cette chaîne me servant de ceinture. Une fois mes menottes en cuir bien serrées, je les ai cadenassé à leur tour, les clés nécessaires pour ouvrir les cadenas étant elles aussi dans mon sac d'ordinateur lui-même cadenassé. J’étais donc saucissonnée, les bras soudés au corps, les mains enchainées par devant, le corps enfermé dans une blouse dont je ne pouvais que soulever le bas pour en faire sortir mes mains dans la mesure permise par les menottes. Mes jambes également étaient étroitement liées par des cordes mais ces cordes étaient cachées par ma jupe ample. Mon niqab, la blouse et la jupe enfilées cachaient donc bâillon et liens. J’étais une vraie niqabi. Pour me libérer, il fallait donc que je me rende en niqabi bâillonnée et ligotée sur le palier de ce 4°, étage de l'hôtel, que je récupère la clé et revienne dans ma chambre pour ouvrir la pochette de l’ordinateur, récupérer les clés mises à l’intérieur pour me délivrer. J’étais au septième ciel et pour récupérer de mon effort, mais aussi pour profiter du moment, je me suis allongée sur mon lit après avoir éteint -avec l’interrupteur situé en tête de lit- toutes les lumières de la chambre. (à suivre)