Les vacances à l'Océan
Publié : 03 janv. 2022, 14:29
Bonsoir à tous
J'ai rédigé ce week-end une nouvelle histoire. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques !
Amandine et Mathilde profitaient paisiblement de la météo agréable sur l’une des plages d’Hossegor en ce mois de Septembre. Toutes deux jeunes femmes célibataires, elles exerçaient le métier d’infirmière dans un hôpital de Limoges. Elles s’y étaient d’ailleurs rencontrées il y a trois ans dans le service de cardiologie et, rapidement, une forte relation d’amitié s’était forgée. Depuis leur rencontre, elles partaient chaque année ensemble pour deux semaines de vacances lors de la première quinzaine de Septembre pour une destination située au bord de l’Océan. Elles avaient choisi cette année la ville d’Hossegor puis avaient réservé un emplacement pendant deux semaines dans l’un des campings de la ville.
Leurs visages étaient souriants. Non seulement leur lieu de villégiature était superbe mais, de plus, elles avaient rencontré la veille, en se promenant sur le port, deux charmants jeunes hommes, Martin et Jérôme, à peu près de leur âge. Affairés à réparer un beau voilier, ils avaient invité les deux femmes à prendre un verre, le soir-même, à l’un des bars situés sur le front de mer, invitation qu’elles avaient acceptée. La soirée se prolongea, à l’issue du bar, par une visite de l’atelier des deux garçons. Tous les deux étaient fils de marin, avaient passé le diplôme de skipper puis avaient racheté ensemble ce petit atelier de réparation de voilier. Ils parlaient avec passion de l’océan et étaient d’une grande gentillesse. A la fin de la soirée, Amandine avait succombé aux beaux yeux de Jérôme et, Mathilde, à la belle chevelure de Martin.
Ce matin, avant de laisser les garçons à leur travail, ils leur avaient proposé une séance de cinéma en plein air pour le soir-même. La séance était prévue sur la plage à vingt heures et l’unique film proposé était : « OSS 117, Le Caire nid d’espions ». Après une journée à la plage, elles retournèrent au camping pour se doucher et se préparer pour la soirée. Elles se revêtirent tous les deux d’une paire de sandales, d’un élégant pantalon d’été à fleurs et d’un crop top blanc à manches courtes qui laissait leurs nombrils à l’air. Une grande partie de la garde robe d’Amandine et de Mathilde était identique : les deux femmes avaient des goûts vestimentaires très proches et, lors des séances de shopping communes, lorsque l’une trouvait un beau vêtement et l’achetait, l’autre s’empressait de faire de même.
Elles retrouvèrent les deux garçons quinze minutes avant le début de la séance. Ils étaient habillés tous les deux d’un pantalon noir et d’un polo de marin blanc avec des raillures bleues. Tous affichèrent un grand sourire en constatant qu’ils étaient habillés de manière identique. Ils s’installèrent sur l’une des chaises longues mises à disposition par le cinéma puis le film commença à l’heure prévue. Une fois de plus, lors de la scène où Bérénice Bejo était ligotée et baillonnée en sous-vêtements, Amandine sentit une pointe d’excitation naître dans son corps. A la fin du film, les jeux femmes accompagnèrent les garçons dans leur atelier pour le deuxième soir consécutif.
Ils avaient aménagé un joli appartement à l’étage, au-dessus de l’atelier. Le style industriel avait été conservé : Plusieurs poutres métalliques traversaient l’appartement et soutenaient le toit. Dans la pièce à vivre, une grande baie vitrée donnait une vue splendide sur l’océan. Chaque garçon possédait sa chambre avec une belle vue également sur l’océan. L’accès à l’appartement nécessitait de traverser l’atelier. Amandine ne put s’empêcher de remarquer la grande quantité de cordes qui y étaient stockées et elle ressentit à nouveau une pointe d’excitation.
Le lendemain matin, alors qu’elle prenait le petit déjeuner dans le salon en compagnie de Jérôme, Mathilde et Martin n’étant pas encore réveillés, elle lui fit part de son étonnement quant à la grande quantité de cordes dans l’atelier :
- Quelle usage peux tu avoir d’une si grande quantité de cordes ?
La question ne sembla pas surprendre le jeune homme :
- Les cordes sont tout simplement très présentes sur un voilier pour hisser la grand voile, le génois, maintenir la baume en position, amarrer le bateau, etc. J’ai constaté hier soir que ton regard s’est fixé sur la zone de stockage des cordages.
- C’est vrai que j’ai été intriguée.
- Etais-tu seulement intriguée ? Demanda le garçon d’un air malicieux.
Amandine se sentit rougir et finit par répondre, un peu gênée :
- Voir Bérénice Bejo ligotée et baillonnée hier soir m’a fait un certain effet,
- J’ai ressenti effectivement que la pression de ta main dans la mienne avait augmenté lors de ce passage du film.
Jérôme perçut le changement de couleur sur le visage de la jeune femme et s’empressa de la rassurer :
- Ne sois pas gênée. Il me semble que beaucoup de femmes apprécient les cordes. Une ancienne compagne à moi aimait particulièrement que je la ligote et que je la baillonne.
- Vraiment ?
- Oui, je t’assure. Elle était très heureuse lorsqu’elle était ligotée. Si tu souhaites essayer, je peux te proposer une séance. Comme tu l’as précisé si justement, je possède tout le matériel nécessaire. Tu n’es bien sûr pas obligée d’accepter.
Amandine prit un temps de réflexion de quelques secondes puis répondit :
- Après tout pourquoi pas ? Cela pourrait être une belle expérience !
- Je peux te proposer de te ligoter comme Bérénice Béjo, les mains au-dessus de la tête attachées à une poutre du salon.
- C’est une belle proposition que j’accepte volontiers ! Je pense que Mathilde pourrait être intéressée par cette expérience. Je tâcherai de la convaincre ce matin à la plage.
- Martin pourrait s’occuper d’elle : il a également quelques talents dans l’art de manier les cordes.
Amandine et Jérôme s’entendirent sur la suite : Amandine persuaderait ce matin Mathilde d’accepter cette expérience, Jérôme parlerait à Martin de ce projet ce matin également et la séance se déroulerait dans le salon l’après-midi après le repas.
Mathilde ne fut pas difficile à convaincre : après quelques réticences de principe, elle accepta la proposition de son amie. Lors de cette matinée à la plage, elle sentirent leur cœur battre plus fort qu’à l’accoutumé. A midi, elles rangèrent leurs affaires dans leurs sacs puis prirent la direction de l’atelier, toutes les deux habillées d’un simple bikini. Une fois de plus, elles portaient un vêtement identique trouvé dans une boutique du centre ville de Limoges : le soutien gorge et la culotte étaient élégamment taillés dans un beau tissu à fleurs. Les garçons attendaient les deux femmes avec un bon repas de poissons frais qu’ils avaient cuisiné eux-mêmes et les complimentèrent pour la beauté de leur bikini. Elles s’attablèrent ainsi habillées. Après avoir bu la dernière gorgée de thé, Amandine prit une grande inspiration puis annonça aux garçons :
- Mathilde et moi-même serions heureuses que vous nous ligotiez cet après-midi comme Bérénice Bejo hier soir dans le film.
Jérôme prit la parole à son tour :
- Martin et moi-même sommes heureux de satisfaire votre désir.
Sur cette phrase, Jérôme se leva, ouvrit un placard et prit des cordes qu’il posa sur la table.
Jérôme poursuivit :
- Nous avons préparé ce matin les cordes nécessaires à votre ligotage. Amandine, pourrais tu, je te prie, me tendre tes mains.
Martin prit la parole :
- Mathilde, pourrais tu, je te prie, faire de même ?
Les deux jeunes femmes s’exécutèrent puis leur ligotage commença simultanément : leurs mains furent croisés devant elles par les garçons au niveau des poignets puis ils les lièrent ensemble par une corde. Le geste des jeunes hommes étaient fermes mais doux. Amandine et Mathilde sentaient leur cœur battre à la chamade mais ne parlaient pas. Après quelques minutes, le ligotage des poignets fut terminé et les garçons invitèrent les jeunes femmes à se lever et à se déplacer sous la poutre la plus proche de la baie vitrée le visage face à l’océan. Jérôme et Martin se levèrent également, prirent chacun une longue corde et de déplacèrent devant Amandine et Mathilde. L’une des extrémités de la corde fut attachée, pour chaque femme, aux poignets puis l’autre extrémité fut jetée par-dessus la poutre. Les deux hommes mirent en traction les cordes soulevant ainsi les mains des deux jeunes femmes au-dessus de leur tête jusqu’à ce que leurs corps entiers soient en légère extension puis fixèrent les cordes à deux crochets situés chacun à hauteur d’homme sur deux autres poutres.
Ils revinrent devant les jeunes femmes puis s’assurèrent que le ligotage ne leur générait pas de douleur. Martin prit la parole :
- Comment vous sentez vous ? N’hésitez pas à nous faire part de la moindre douleur.
- Je me sens bien, répondit Mathilde, et je n’ai pas la moindre douleur,
- Moi non plus, compléta Amandine.
- Dans cas, nous vous laisserons ainsi dans le salon jusqu’à ce que vous souhaitiez terminer la séance, affirma Martin. Nous serons dans l’atelier cet après-midi et nous laisserons la porte d’entrée de l’appartement ouverte. Lorsque vous souhaiterez arrêter la séance, il vous suffira de nous appeler. N’hésitez pas non plus à nous appeler si une quelconque douleur venait à apparaître.
- Entendu répondirent simultanément Amandine et Mathilde.
Sur ces paroles, Jérôme embrassa fougueusement Amandine, Martin fit de même pour Mathilde puis les deux garçons quittèrent l’appartement en laissant les deux femmes ainsi ligotées en bikini. Lors des trente premières minutes seules dans l’appartement, les deux amies ne prononcèrent pas un mot. Amandine ressentait une grande excitation mêlée à de l’inquiétude : voilà qu’elle et sa meilleure amie se retrouvaient en bikini ligotées dans l’appartement de deux hommes qu’elles ne connaissaient que depuis deux jours ! A y réfléchir de manière rationnelle, c’était très imprudent. Pourtant elle était convaincue que les deux garçons étaient bienveillants et qu’ils ne leur feraient aucun mal. Amandine finit par prendre la parole pour faire part des ses réflexions à son amie :
- Je n’en reviens toujours pas que nous sommes ligotées en bikini dans l’appartement de deux hommes que nous ne connaissons que depuis deux jours et, cela, de notre plein gré ! Je ne suis néanmoins pas inquiète mais très excitée par cette situation.
Amandine ne souhaitait pas faire part à Mathilde de son inquiétude : cela serait contre-productif et, de toute manière, cette inquiétude laissait progressivement place à de la sérénité.
Mathilde confirma qu’elle partageait des sentiments identiques :
- Moi non plus, je n’en reviens pas, je suis excitée mais je ne suis pas inquiète.
Les deux jeunes femmes se turent.
L’excitation continua à traverser le corps d’Amandine. Elle pensa qu’elle devait être très attirante vêtue d’un simple bikini et ligotée avec l’océan en arrière plan. L’inquiétude avait fini par totalement disparaître et elle se sentait dans un état proche de l’extase. Après une heure ainsi ligotée, elle n’avait aucune envie de mettre un terme à la séance tant le sentiment de bien-être perdurait. Elle s’enquit de l’état de Mathilde qui lui confirma qu’elle était traversée par les mêmes sentiments. Les garçons remontèrent au cours de l’après-midi et demandèrent aux deux jeunes femmes si elles souhaitaient être délivrées, chose qu’elles refusèrent. Elles acceptèrent néanmoins un verre d’eau suivi d’un fougueux baiser.
Au bout d’une durée qui lui sembla courte, les garçons remontèrent à nouveau puis délivrèrent les deux jeunes femmes puis massèrent leurs poignets pour faire disparaître les marques des cordes.
Amandine fit part de sa surprise à Jérôme quant à la durée très courte de la séance :
- Pourquoi nous avoir délivrées si tôt ?
- Tout simplement parce que l’après midi se termine et qu’il est temps de se préparer pour le restaurant que nous avons réservé pour ce soir ! Voilà quatre heures que vous êtes ligotées !
- Autant ! Je n’ai pas vu le temps passer !
- On dirait que vous êtes toutes les deux grandes amatrices de ligotage !
- Je crois que c’est bien le cas.
La conversation prit fin et les deux femmes prirent une douche puis enfilèrent leur vêtement pour se joindre aux garçons. Une fois de plus, la soirée et la nuit fut délicieuse.
A suivre
J'ai rédigé ce week-end une nouvelle histoire. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques !
Amandine et Mathilde profitaient paisiblement de la météo agréable sur l’une des plages d’Hossegor en ce mois de Septembre. Toutes deux jeunes femmes célibataires, elles exerçaient le métier d’infirmière dans un hôpital de Limoges. Elles s’y étaient d’ailleurs rencontrées il y a trois ans dans le service de cardiologie et, rapidement, une forte relation d’amitié s’était forgée. Depuis leur rencontre, elles partaient chaque année ensemble pour deux semaines de vacances lors de la première quinzaine de Septembre pour une destination située au bord de l’Océan. Elles avaient choisi cette année la ville d’Hossegor puis avaient réservé un emplacement pendant deux semaines dans l’un des campings de la ville.
Leurs visages étaient souriants. Non seulement leur lieu de villégiature était superbe mais, de plus, elles avaient rencontré la veille, en se promenant sur le port, deux charmants jeunes hommes, Martin et Jérôme, à peu près de leur âge. Affairés à réparer un beau voilier, ils avaient invité les deux femmes à prendre un verre, le soir-même, à l’un des bars situés sur le front de mer, invitation qu’elles avaient acceptée. La soirée se prolongea, à l’issue du bar, par une visite de l’atelier des deux garçons. Tous les deux étaient fils de marin, avaient passé le diplôme de skipper puis avaient racheté ensemble ce petit atelier de réparation de voilier. Ils parlaient avec passion de l’océan et étaient d’une grande gentillesse. A la fin de la soirée, Amandine avait succombé aux beaux yeux de Jérôme et, Mathilde, à la belle chevelure de Martin.
Ce matin, avant de laisser les garçons à leur travail, ils leur avaient proposé une séance de cinéma en plein air pour le soir-même. La séance était prévue sur la plage à vingt heures et l’unique film proposé était : « OSS 117, Le Caire nid d’espions ». Après une journée à la plage, elles retournèrent au camping pour se doucher et se préparer pour la soirée. Elles se revêtirent tous les deux d’une paire de sandales, d’un élégant pantalon d’été à fleurs et d’un crop top blanc à manches courtes qui laissait leurs nombrils à l’air. Une grande partie de la garde robe d’Amandine et de Mathilde était identique : les deux femmes avaient des goûts vestimentaires très proches et, lors des séances de shopping communes, lorsque l’une trouvait un beau vêtement et l’achetait, l’autre s’empressait de faire de même.
Elles retrouvèrent les deux garçons quinze minutes avant le début de la séance. Ils étaient habillés tous les deux d’un pantalon noir et d’un polo de marin blanc avec des raillures bleues. Tous affichèrent un grand sourire en constatant qu’ils étaient habillés de manière identique. Ils s’installèrent sur l’une des chaises longues mises à disposition par le cinéma puis le film commença à l’heure prévue. Une fois de plus, lors de la scène où Bérénice Bejo était ligotée et baillonnée en sous-vêtements, Amandine sentit une pointe d’excitation naître dans son corps. A la fin du film, les jeux femmes accompagnèrent les garçons dans leur atelier pour le deuxième soir consécutif.
Ils avaient aménagé un joli appartement à l’étage, au-dessus de l’atelier. Le style industriel avait été conservé : Plusieurs poutres métalliques traversaient l’appartement et soutenaient le toit. Dans la pièce à vivre, une grande baie vitrée donnait une vue splendide sur l’océan. Chaque garçon possédait sa chambre avec une belle vue également sur l’océan. L’accès à l’appartement nécessitait de traverser l’atelier. Amandine ne put s’empêcher de remarquer la grande quantité de cordes qui y étaient stockées et elle ressentit à nouveau une pointe d’excitation.
Le lendemain matin, alors qu’elle prenait le petit déjeuner dans le salon en compagnie de Jérôme, Mathilde et Martin n’étant pas encore réveillés, elle lui fit part de son étonnement quant à la grande quantité de cordes dans l’atelier :
- Quelle usage peux tu avoir d’une si grande quantité de cordes ?
La question ne sembla pas surprendre le jeune homme :
- Les cordes sont tout simplement très présentes sur un voilier pour hisser la grand voile, le génois, maintenir la baume en position, amarrer le bateau, etc. J’ai constaté hier soir que ton regard s’est fixé sur la zone de stockage des cordages.
- C’est vrai que j’ai été intriguée.
- Etais-tu seulement intriguée ? Demanda le garçon d’un air malicieux.
Amandine se sentit rougir et finit par répondre, un peu gênée :
- Voir Bérénice Bejo ligotée et baillonnée hier soir m’a fait un certain effet,
- J’ai ressenti effectivement que la pression de ta main dans la mienne avait augmenté lors de ce passage du film.
Jérôme perçut le changement de couleur sur le visage de la jeune femme et s’empressa de la rassurer :
- Ne sois pas gênée. Il me semble que beaucoup de femmes apprécient les cordes. Une ancienne compagne à moi aimait particulièrement que je la ligote et que je la baillonne.
- Vraiment ?
- Oui, je t’assure. Elle était très heureuse lorsqu’elle était ligotée. Si tu souhaites essayer, je peux te proposer une séance. Comme tu l’as précisé si justement, je possède tout le matériel nécessaire. Tu n’es bien sûr pas obligée d’accepter.
Amandine prit un temps de réflexion de quelques secondes puis répondit :
- Après tout pourquoi pas ? Cela pourrait être une belle expérience !
- Je peux te proposer de te ligoter comme Bérénice Béjo, les mains au-dessus de la tête attachées à une poutre du salon.
- C’est une belle proposition que j’accepte volontiers ! Je pense que Mathilde pourrait être intéressée par cette expérience. Je tâcherai de la convaincre ce matin à la plage.
- Martin pourrait s’occuper d’elle : il a également quelques talents dans l’art de manier les cordes.
Amandine et Jérôme s’entendirent sur la suite : Amandine persuaderait ce matin Mathilde d’accepter cette expérience, Jérôme parlerait à Martin de ce projet ce matin également et la séance se déroulerait dans le salon l’après-midi après le repas.
Mathilde ne fut pas difficile à convaincre : après quelques réticences de principe, elle accepta la proposition de son amie. Lors de cette matinée à la plage, elle sentirent leur cœur battre plus fort qu’à l’accoutumé. A midi, elles rangèrent leurs affaires dans leurs sacs puis prirent la direction de l’atelier, toutes les deux habillées d’un simple bikini. Une fois de plus, elles portaient un vêtement identique trouvé dans une boutique du centre ville de Limoges : le soutien gorge et la culotte étaient élégamment taillés dans un beau tissu à fleurs. Les garçons attendaient les deux femmes avec un bon repas de poissons frais qu’ils avaient cuisiné eux-mêmes et les complimentèrent pour la beauté de leur bikini. Elles s’attablèrent ainsi habillées. Après avoir bu la dernière gorgée de thé, Amandine prit une grande inspiration puis annonça aux garçons :
- Mathilde et moi-même serions heureuses que vous nous ligotiez cet après-midi comme Bérénice Bejo hier soir dans le film.
Jérôme prit la parole à son tour :
- Martin et moi-même sommes heureux de satisfaire votre désir.
Sur cette phrase, Jérôme se leva, ouvrit un placard et prit des cordes qu’il posa sur la table.
Jérôme poursuivit :
- Nous avons préparé ce matin les cordes nécessaires à votre ligotage. Amandine, pourrais tu, je te prie, me tendre tes mains.
Martin prit la parole :
- Mathilde, pourrais tu, je te prie, faire de même ?
Les deux jeunes femmes s’exécutèrent puis leur ligotage commença simultanément : leurs mains furent croisés devant elles par les garçons au niveau des poignets puis ils les lièrent ensemble par une corde. Le geste des jeunes hommes étaient fermes mais doux. Amandine et Mathilde sentaient leur cœur battre à la chamade mais ne parlaient pas. Après quelques minutes, le ligotage des poignets fut terminé et les garçons invitèrent les jeunes femmes à se lever et à se déplacer sous la poutre la plus proche de la baie vitrée le visage face à l’océan. Jérôme et Martin se levèrent également, prirent chacun une longue corde et de déplacèrent devant Amandine et Mathilde. L’une des extrémités de la corde fut attachée, pour chaque femme, aux poignets puis l’autre extrémité fut jetée par-dessus la poutre. Les deux hommes mirent en traction les cordes soulevant ainsi les mains des deux jeunes femmes au-dessus de leur tête jusqu’à ce que leurs corps entiers soient en légère extension puis fixèrent les cordes à deux crochets situés chacun à hauteur d’homme sur deux autres poutres.
Ils revinrent devant les jeunes femmes puis s’assurèrent que le ligotage ne leur générait pas de douleur. Martin prit la parole :
- Comment vous sentez vous ? N’hésitez pas à nous faire part de la moindre douleur.
- Je me sens bien, répondit Mathilde, et je n’ai pas la moindre douleur,
- Moi non plus, compléta Amandine.
- Dans cas, nous vous laisserons ainsi dans le salon jusqu’à ce que vous souhaitiez terminer la séance, affirma Martin. Nous serons dans l’atelier cet après-midi et nous laisserons la porte d’entrée de l’appartement ouverte. Lorsque vous souhaiterez arrêter la séance, il vous suffira de nous appeler. N’hésitez pas non plus à nous appeler si une quelconque douleur venait à apparaître.
- Entendu répondirent simultanément Amandine et Mathilde.
Sur ces paroles, Jérôme embrassa fougueusement Amandine, Martin fit de même pour Mathilde puis les deux garçons quittèrent l’appartement en laissant les deux femmes ainsi ligotées en bikini. Lors des trente premières minutes seules dans l’appartement, les deux amies ne prononcèrent pas un mot. Amandine ressentait une grande excitation mêlée à de l’inquiétude : voilà qu’elle et sa meilleure amie se retrouvaient en bikini ligotées dans l’appartement de deux hommes qu’elles ne connaissaient que depuis deux jours ! A y réfléchir de manière rationnelle, c’était très imprudent. Pourtant elle était convaincue que les deux garçons étaient bienveillants et qu’ils ne leur feraient aucun mal. Amandine finit par prendre la parole pour faire part des ses réflexions à son amie :
- Je n’en reviens toujours pas que nous sommes ligotées en bikini dans l’appartement de deux hommes que nous ne connaissons que depuis deux jours et, cela, de notre plein gré ! Je ne suis néanmoins pas inquiète mais très excitée par cette situation.
Amandine ne souhaitait pas faire part à Mathilde de son inquiétude : cela serait contre-productif et, de toute manière, cette inquiétude laissait progressivement place à de la sérénité.
Mathilde confirma qu’elle partageait des sentiments identiques :
- Moi non plus, je n’en reviens pas, je suis excitée mais je ne suis pas inquiète.
Les deux jeunes femmes se turent.
L’excitation continua à traverser le corps d’Amandine. Elle pensa qu’elle devait être très attirante vêtue d’un simple bikini et ligotée avec l’océan en arrière plan. L’inquiétude avait fini par totalement disparaître et elle se sentait dans un état proche de l’extase. Après une heure ainsi ligotée, elle n’avait aucune envie de mettre un terme à la séance tant le sentiment de bien-être perdurait. Elle s’enquit de l’état de Mathilde qui lui confirma qu’elle était traversée par les mêmes sentiments. Les garçons remontèrent au cours de l’après-midi et demandèrent aux deux jeunes femmes si elles souhaitaient être délivrées, chose qu’elles refusèrent. Elles acceptèrent néanmoins un verre d’eau suivi d’un fougueux baiser.
Au bout d’une durée qui lui sembla courte, les garçons remontèrent à nouveau puis délivrèrent les deux jeunes femmes puis massèrent leurs poignets pour faire disparaître les marques des cordes.
Amandine fit part de sa surprise à Jérôme quant à la durée très courte de la séance :
- Pourquoi nous avoir délivrées si tôt ?
- Tout simplement parce que l’après midi se termine et qu’il est temps de se préparer pour le restaurant que nous avons réservé pour ce soir ! Voilà quatre heures que vous êtes ligotées !
- Autant ! Je n’ai pas vu le temps passer !
- On dirait que vous êtes toutes les deux grandes amatrices de ligotage !
- Je crois que c’est bien le cas.
La conversation prit fin et les deux femmes prirent une douche puis enfilèrent leur vêtement pour se joindre aux garçons. Une fois de plus, la soirée et la nuit fut délicieuse.
A suivre