La clinique du bondage...
Publié : 07 janv. 2022, 08:18
En Sarthe dans la commune de St Liboire vient d’ouvrir une clinique très spéciale : en effet elle est à spécialité psychiatrique mais son directeur et les médecins souhaitent expérimenter des méthodes axées sur le bondage afin de faire jouir les patientes qui sont vierges et dépressives. Ainsi elles pourront connaître les joies du sexe et seront aptes à se trouver un compagnon qui si possible aime ce genre de jeux coquins. C’est le château de Tilleul d'Amour qui abrite cet établissement et qui héberge 15 patientes dans un premier temps.
Chapitre 2 :
Chaque patiente porte un uniforme afin de se conformer aux règles de la clinique. Le directeur adorant le cuir, il impose cette matière pour les habits de tous les jours. Ainsi, chaque malade porte une minijupe en agneau noir couvrant à peine le tiers de la cuisse, des bottes Buffalo à talon bobine de 12 cms de haut, des collants opaques noirs, un chemisier blanc en soie et un perfecto en agneau noir complètement ceinturé et fermé ainsi que des gants opéra assortis. Pour l’extérieur elles portent un trench en cuir noir Claudie Pierlot ¾ longueur.
La coiffure est identique pour toutes : cheveux longs tombant sur les épaules bruns, avec des frisous dedans, ou bien coiffés en chignon avec une mèche tombant sur l’œil gauche.
Seul bijou autorisé : des créoles sur les oreilles.
Chapitre 3 :
Chaque matin, la patiente est réveillée à 8h. Petit déjeuner copieux, habillage puis vient le temps des groupes de parole. Toutes n’ont aucune expérience sexuelle et sont là pour découvrir des jeux coquins. 3 sexologues font partie de la maison pour les motiver et leur expliquer les joies du bondage. Ensuite elles peuvent profiter d’un parc de 6 hectares pour discuter entre elles jusqu’à la fin de la matinée. Conditions expresses : pas d’alcool ni de tabac, sinon c’est la punition suprême que je décrirai en fin d’histoire.
Chapitre 4 :
L’après – midi, vient le temps des expériences bondagesques, par séance de 4 h à chaque fois pour bien faire profiter les patientes de leur condition d’esclave.
Préalablement à chaque bondage, la patiente est très sévèrement bâillonnée avec un foulard de satin noir fourré dans la bouche, 10 tours de tape de bondage, des yeux fermés avec des compresses et du sparadrap, puis la tête est complètement cachée par quatre foulards de soie noire, un au-dessus de la coiffure, un pour cacher les yeux aveugles de la patiente, un OTN gag pour masquer le tape et un foulard noué façon Grace Kelly.
La première séance est un hogtie : on lie les jambes de la patiente avec des cordes, les chevilles, les mains tendues derrière les jambes, puis on noue une corde partant du talon des bottes jusqu’à la tête de la victime. Ainsi elle ne peut plus bouger. On finalise la séance en ajoutant un vibromasseur à sa vitesse maximale qui fait mouiller les victimes au niveau de leur culotte.
Les résultats obtenus sont spectaculaires et les patientes en redemandent.
La seconde séance utilise une chaise : on assied la patiente sur une chaise de bois puis on lui lie les chevilles, les genoux, les jambes, les mains derrière le dossier et on met en valeur sa poitrine en l’entourant d’un chapelet de cordes. Pour exciter sexuellement la victime on lui caresse sa poitrine encuirée jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Une fois ceci fait on l’endort avec du chloroforme pour une sieste bien méritée !
La troisième séance se fait debout : on lie les chevilles des patientes, les mollets, les genoux, les mains derrière le dos, et on met en valeur la poitrine comme la séance pour la chaise. On ajoute un vibromasseur à sa vitesse maximale et on lui caresse les seins parés de cuir. Les résultats sont remarquables car les patientes couinent – heureusement qu’elles sont bâillonnées car toutes les vitres du château voleraient en éclat ! – ont des orgasmes spectaculaires et mouillent à tel point qu’elles tachent le sol de la salle de torture.
Ensuite, vient l’heure du dîner, puis viennent les préparatifs pour la nuit.
La patiente se déshabille intégralement et se retrouve toute nue. On la ligote comme pour la séance debout et on la glisse dans un sac de couchage. Celui – ci est intégralement fermé et la capuche de celui – ci est bien serré sur la tête de la victime. On lui met des bouchons d’oreille, un masque à gaz avec les vitres pour les yeux cachés par des obturateurs et on branche une bouteille contenant un cocktail lytique comprenant 200 mg de Nembutal, 1 comprimé de Nozinan, 1 comprimé de Phénergan et 0.1 mg de Diprivan / kg. Cela lui garantit un sommeil de qualité pendant 12h.
J’ai parlé d’une punition suprême si les règles sur le tabac et l’alcool n’étaient pas respectées : la voici.
La victime garde son uniforme de cuir, mais est intégralement momifiée avec du tape noir, de la pointe de ses bottes au sommet de son crâne, avec juste deux trous pour respirer. Elle est ensuite mise dans une caisse de transport, et renvoyée par FedEx soit chez sa personne de confiance, soit dans sa famille, avec interdiction définitive de retourner à Tilleul d'amour.
En conclusion, je dirai que cette méthode marche puisque nous allons ouvrir deux établissements, à Ligny dans le Loiret et à St Jean de Cheire dans le Puy de Dôme. Preuve que des ingénues peuvent devenir des nymphomanes en puissance en quelques jours !
Chapitre 2 :
Chaque patiente porte un uniforme afin de se conformer aux règles de la clinique. Le directeur adorant le cuir, il impose cette matière pour les habits de tous les jours. Ainsi, chaque malade porte une minijupe en agneau noir couvrant à peine le tiers de la cuisse, des bottes Buffalo à talon bobine de 12 cms de haut, des collants opaques noirs, un chemisier blanc en soie et un perfecto en agneau noir complètement ceinturé et fermé ainsi que des gants opéra assortis. Pour l’extérieur elles portent un trench en cuir noir Claudie Pierlot ¾ longueur.
La coiffure est identique pour toutes : cheveux longs tombant sur les épaules bruns, avec des frisous dedans, ou bien coiffés en chignon avec une mèche tombant sur l’œil gauche.
Seul bijou autorisé : des créoles sur les oreilles.
Chapitre 3 :
Chaque matin, la patiente est réveillée à 8h. Petit déjeuner copieux, habillage puis vient le temps des groupes de parole. Toutes n’ont aucune expérience sexuelle et sont là pour découvrir des jeux coquins. 3 sexologues font partie de la maison pour les motiver et leur expliquer les joies du bondage. Ensuite elles peuvent profiter d’un parc de 6 hectares pour discuter entre elles jusqu’à la fin de la matinée. Conditions expresses : pas d’alcool ni de tabac, sinon c’est la punition suprême que je décrirai en fin d’histoire.
Chapitre 4 :
L’après – midi, vient le temps des expériences bondagesques, par séance de 4 h à chaque fois pour bien faire profiter les patientes de leur condition d’esclave.
Préalablement à chaque bondage, la patiente est très sévèrement bâillonnée avec un foulard de satin noir fourré dans la bouche, 10 tours de tape de bondage, des yeux fermés avec des compresses et du sparadrap, puis la tête est complètement cachée par quatre foulards de soie noire, un au-dessus de la coiffure, un pour cacher les yeux aveugles de la patiente, un OTN gag pour masquer le tape et un foulard noué façon Grace Kelly.
La première séance est un hogtie : on lie les jambes de la patiente avec des cordes, les chevilles, les mains tendues derrière les jambes, puis on noue une corde partant du talon des bottes jusqu’à la tête de la victime. Ainsi elle ne peut plus bouger. On finalise la séance en ajoutant un vibromasseur à sa vitesse maximale qui fait mouiller les victimes au niveau de leur culotte.
Les résultats obtenus sont spectaculaires et les patientes en redemandent.
La seconde séance utilise une chaise : on assied la patiente sur une chaise de bois puis on lui lie les chevilles, les genoux, les jambes, les mains derrière le dossier et on met en valeur sa poitrine en l’entourant d’un chapelet de cordes. Pour exciter sexuellement la victime on lui caresse sa poitrine encuirée jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Une fois ceci fait on l’endort avec du chloroforme pour une sieste bien méritée !
La troisième séance se fait debout : on lie les chevilles des patientes, les mollets, les genoux, les mains derrière le dos, et on met en valeur la poitrine comme la séance pour la chaise. On ajoute un vibromasseur à sa vitesse maximale et on lui caresse les seins parés de cuir. Les résultats sont remarquables car les patientes couinent – heureusement qu’elles sont bâillonnées car toutes les vitres du château voleraient en éclat ! – ont des orgasmes spectaculaires et mouillent à tel point qu’elles tachent le sol de la salle de torture.
Ensuite, vient l’heure du dîner, puis viennent les préparatifs pour la nuit.
La patiente se déshabille intégralement et se retrouve toute nue. On la ligote comme pour la séance debout et on la glisse dans un sac de couchage. Celui – ci est intégralement fermé et la capuche de celui – ci est bien serré sur la tête de la victime. On lui met des bouchons d’oreille, un masque à gaz avec les vitres pour les yeux cachés par des obturateurs et on branche une bouteille contenant un cocktail lytique comprenant 200 mg de Nembutal, 1 comprimé de Nozinan, 1 comprimé de Phénergan et 0.1 mg de Diprivan / kg. Cela lui garantit un sommeil de qualité pendant 12h.
J’ai parlé d’une punition suprême si les règles sur le tabac et l’alcool n’étaient pas respectées : la voici.
La victime garde son uniforme de cuir, mais est intégralement momifiée avec du tape noir, de la pointe de ses bottes au sommet de son crâne, avec juste deux trous pour respirer. Elle est ensuite mise dans une caisse de transport, et renvoyée par FedEx soit chez sa personne de confiance, soit dans sa famille, avec interdiction définitive de retourner à Tilleul d'amour.
En conclusion, je dirai que cette méthode marche puisque nous allons ouvrir deux établissements, à Ligny dans le Loiret et à St Jean de Cheire dans le Puy de Dôme. Preuve que des ingénues peuvent devenir des nymphomanes en puissance en quelques jours !