Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

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moimoi2
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Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Bonjour à tous ! Voila une des histoires que j'ai "créée" avec chat GPT. Je la trouve réussie donc je la partage. Je trouve que chat gpt est un outil très impressionnant. Le premier message sera dédié à la présentation des deux personnages. J'essaierai de finir mes autres histoires un jour si j'y arrive haha. Il faut savoir que je modifie que très peu de chose pour montrer ce que cette IA peut faire. On va dire que c'est le résultat brut, tel qu'il me le ressort.

Bonne lecture !

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Sophie
Taille et Silhouette : Sophie mesure environ 1m70, ce qui lui confère une stature élégante et équilibrée. Sa silhouette est svelte mais athlétique, suggérant qu'elle prend soin de son corps tout en conservant une allure naturelle et gracieuse.

Cheveux : Elle possède de longs cheveux lisses d'un châtain riche qui tombent en cascade jusqu'au bas de son dos. Les reflets subtils de ses cheveux captent la lumière, ajoutant de la profondeur et de la vitalité à sa chevelure. Sophie aime parfois les attacher en une queue de cheval basse ou les laisser libres, ce qui accentue son allure sophistiquée.

Visage : Sophie a un visage élancé avec des traits doux et harmonieux. Ses yeux sont d'un vert émeraude profond, expressifs et captivants, souvent soulignés par un léger trait de mascara qui accentue leur éclat. Ses sourcils bien dessinés encadrent parfaitement son regard, ajoutant une touche de détermination à son expression.

Peau : Sa peau est claire et lumineuse, avec une légère touche de bronzage qui met en valeur ses pommettes saillantes et son sourire chaleureux. Elle a un teint uniforme, sans imperfections, ce qui donne à son visage une apparence saine et radieuse.

Vêtements et Style : Sophie adopte un style à la fois élégant et décontracté. Sa mini-jupe noire s'harmonise parfaitement avec ses collants fins, mettant en valeur ses jambes longues et bien dessinées. Le chemisier blanc qu'elle porte est toujours impeccablement repassé, ajoutant une touche de sophistication à son ensemble. Elle complète souvent sa tenue avec une ceinture en cuir noir, qui souligne sa taille et ajoute une note audacieuse à son look.

Accessoires : Elle préfère des accessoires minimalistes mais chics. Par exemple, une montre en argent discrète ou un bracelet fin peuvent agrémenter son poignet sans surcharger son apparence. Parfois, elle porte de petites boucles d'oreilles qui scintillent subtilement lorsqu'elle bouge.

Personnalité : Sophie est confiante et assurée, avec une présence qui capte naturellement l'attention sans effort. Elle est également intelligente et perspicace, capable de lire les situations avec aisance et de réagir de manière appropriée. Sa douceur et sa gentillesse se reflètent dans son sourire et ses interactions, rendant les autres à l'aise en sa présence.

Mouvements et Comportement : Lorsqu'elle est dans une situation où elle est légèrement contrainte, comme dans la scène que tu développes, Sophie garde une posture gracieuse malgré les limitations. Ses mouvements sont mesurés et réfléchis, montrant à la fois sa résilience et sa capacité à trouver de l'humour même dans des circonstances délicates. Ses gestes restent fluides, et elle conserve un air calme qui contraste avec la situation comique ou tendue.


Alexandre
Taille et Silhouette : Alexandre mesure environ 1m85, lui donnant une allure grande et élancée. Il est plutôt fin, mais avec une musculature discrète qui trahit une bonne condition physique sans être imposante. Son corps semble naturellement agile et équilibré, ce qui lui donne une posture droite et assurée.

Cheveux : Ses cheveux noirs sont d’un noir intense, épais et bien entretenus. Ils sont généralement coupés courts avec une légère mèche qui tombe parfois sur son front, accentuant son côté décontracté mais soigné. Il peut parfois passer sa main dans ses cheveux lorsqu'il est pensif ou nerveux, ce qui est l'un de ses gestes caractéristiques.

Yeux : Ses yeux bleus sont perçants et captivants, ajoutant une profondeur à son regard. Ils reflètent souvent une intelligence vive et une curiosité constante, mais aussi un côté mystérieux qui intrigue. Leur couleur éclatante contraste avec ses cheveux noirs, créant un point focal fascinant lorsqu’on le regarde.

Peau : Il a un teint légèrement hâlé, signe qu'il aime passer du temps en extérieur. Sa peau est claire, mais avec une légère teinte dorée qui lui donne une allure saine et active.

Vêtements et Style : Alexandre a un style plutôt décontracté mais élégant, mettant souvent l’accent sur le confort sans pour autant négliger l’apparence. Il préfère des chemises bien ajustées ou des pulls fins, souvent dans des tons neutres ou sombres comme le noir, le gris ou le bleu marine. Son allure est toujours soignée, même lorsqu’il opte pour des tenues plus simples.

Il porte souvent des jeans slim ou des pantalons chino, accentuant sa silhouette fine mais bien proportionnée. Quand il se détend, il peut ajouter une veste en cuir ou un blouson casual pour renforcer son style sans effort.

Accessoires : Alexandre reste minimaliste en termes d’accessoires. Il pourrait porter une montre discrète en métal ou en cuir, symbolisant son goût pour les choses simples mais de qualité. Parfois, il a un bracelet en cuir ou une chaîne fine autour du cou, ajoutant une touche subtile de personnalité à son look.

Personnalité : Alexandre est naturellement calme et réfléchi, toujours capable de garder la tête froide même dans les situations les plus délicates. Il est intelligent et aime analyser les choses avant de prendre une décision. Cependant, il a aussi un côté ludique et sarcastique, ce qui le rend agréable et drôle en compagnie de ses amis et de Sophie. Il aime lancer des petites piques humoristiques, mais toujours avec bienveillance.

Malgré sa nature posée, il est aussi curieux et ouvert d’esprit, prêt à essayer de nouvelles expériences, y compris dans des situations plus intimes ou créatives comme celles que tu envisages pour la scène. Sa complicité avec Sophie est évidente, et il sait quand il peut se permettre de détendre l’atmosphère avec un commentaire léger ou taquin.

Mouvements et Comportement : Alexandre bouge avec une aisance naturelle, jamais précipité ni stressé. Ses gestes sont mesurés et souvent fluides, ce qui reflète sa maîtrise de lui-même. Il aime observer avant d’agir, mais lorsqu’il décide de se lancer, il le fait avec assurance. Dans des situations cocasses, il reste détendu et préfère utiliser l'humour pour apaiser les tensions.

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moimoi2
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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

La porte de l’appartement se referme doucement derrière eux. Sophie retire ses chaussures à talons avec un soupir de soulagement, les abandonnant près de l’entrée. Elle se tourne vers Alexandre, un sourire amusé aux lèvres.

« C’était une belle soirée, non ? Je crois que Clara et Thomas n’ont pas arrêté de se taquiner toute la soirée, » dit-elle, un éclat espiègle dans ses yeux verts.

Alexandre, en train de se défaire de sa veste, hoche la tête avec un petit sourire en coin. « Oui, ils ne s’avoueront jamais qu’ils sont faits l’un pour l’autre, mais tout le monde l’a vu. »

Il pose sa veste sur une chaise, s’étirant légèrement. Il observe Sophie se diriger vers le salon, son chemisier blanc contrastant avec l’obscurité de la pièce, alors qu’elle passe la main dans ses longs cheveux châtains. Il la suit des yeux, prenant une inspiration profonde avant de s’installer sur le canapé.

« On pourrait leur donner quelques astuces, tu ne crois pas ? » ajoute-t-il, avec une lueur malicieuse dans le regard. Sophie lève un sourcil, intriguée.

Elle s’approche, se penche légèrement en arrière sur le bras du canapé et croise les bras. « Ah oui ? Comme quelles astuces ? » Elle le défie du regard, son sourire ne la quittant pas.

Alexandre se redresse légèrement, son sourire s’élargissant. « Oh, je suis sûr qu’on a quelques... techniques intéressantes qu’on pourrait leur montrer. Mais peut-être qu’on devrait s’entraîner d’abord. »

Sophie rit doucement, un rire léger et complice. « S’entraîner, tu dis ? » Elle glisse une main sur le dos du canapé, le regardant de haut en bas, prête à jouer le jeu. « Et à quoi exactement tu pensais ? »

Alexandre se lève lentement, s’approchant d’elle avec une assurance tranquille. « Disons qu’il y a une manière de... pimenter les choses. » Il la regarde avec intensité, mais une étincelle d'humour brille dans ses yeux.

Sophie, toujours adossée contre le canapé, penche la tête, curieuse. « Vraiment ? » Elle mordille légèrement sa lèvre inférieure, visiblement intéressée par ce qu’il propose.

Il pose doucement sa main sur sa hanche, l’attirant délicatement vers lui. « On peut commencer avec quelque chose de simple, » dit-il doucement, avant d’ajouter d’un ton taquin, « si tu te sens prête. »

Sophie lève les yeux, faussement sceptique. « Je suis toujours prête. »


Sophie, toujours légèrement appuyée contre le canapé, regarde Alexandre avec un air à la fois curieux et taquin. « Alors, c’est quoi cette fameuse technique ? » demande-t-elle en croisant ses bras, feignant une méfiance joueuse.

Alexandre sourit, prenant un instant pour savourer le moment. Il fait un pas en arrière, s’adossant contre la table basse. « Eh bien, je pensais à quelque chose qui... limiterait un peu tes mouvements, » dit-il en laissant planer un silence, juste assez pour attiser la curiosité de Sophie.

Elle fronce légèrement les sourcils, sans perdre son sourire. « Limiter mes mouvements ? Oh, ça m’intéresse. Et tu comptes faire ça comment, exactement ? »

Alexandre hausse les épaules d’un air faussement désinvolte. « Tu sais, avec quelques cordes bien placées... » Il lui lance un regard appuyé. « Juste de quoi te garder sous contrôle, mais rien de trop... sévère, bien sûr. »

Sophie rit doucement. « Ah, donc c’est à ça que tu pensais quand tu disais 's’entraîner'. Tu penses pouvoir me contrôler avec juste quelques cordes ? »

Il hoche la tête, son sourire s’élargissant. « Je pense que je peux faire beaucoup avec juste quelques cordes. Et toi, tu penses pouvoir t’échapper ? »

Sophie réfléchit un instant, penchant la tête de côté. « Hmm, ça dépend de comment tu les utilises, non ? » Elle se redresse et avance vers lui, le défiant du regard. « Mais je suis curieuse. Montre-moi. »

Alexandre éclate de rire, reconnaissant bien là son esprit de défi. « C'est ce que je comptais faire. Mais avant... t’es sûre que tu es prête à perdre cette petite liberté ? »

Sophie plisse légèrement les yeux, amusée par son ton dramatique. « Perdre ma liberté ? Seulement pour un temps, je suppose. »

Il sourit en hochant la tête, puis se rapproche à nouveau. « Exactement, juste pour un temps. Mais tu verras, tu seras... confortablement restreinte. » Il lui fait un clin d’œil, avant de se diriger vers le coin de la pièce, où une petite boîte discrète attendait.

Sophie, le regard pétillant, observe avec attention. « Ah, donc tu avais tout prévu ? T’as même préparé ton matériel ! »

Alexandre se retourne avec un sourire en coin, la boîte dans la main. « On ne sait jamais, il faut être prêt à toute éventualité. Et puis... j’avais l’impression que tu allais te laisser tenter. »


Alexandre se dirige vers le coin de la pièce, ouvrant doucement la boîte. Il en sort plusieurs longueurs de corde en jute noir, soigneusement enroulées. La lumière tamisée des lampes crée des ombres intrigantes sur les parois, accentuant l’atmosphère intimiste de l’appartement.

Sophie, toujours adossée au canapé, observe avec une curiosité grandissante. « Alors, tu veux commencer par où ? » demande-t-elle avec un sourire taquin.

Alexandre la regarde, un éclat de détermination dans les yeux. « Je pense qu’on va commencer par quelque chose de simple mais efficace. Les bras d’abord. »

Il se rapproche de Sophie, tenant une longueur de corde dans ses mains. « On va les attacher dans un box tie, c’est une méthode qui permet de... limiter les mouvements tout en restant assez confortable. »

Sophie incline la tête, intriguée. « Et tu te sens prêt pour le challenge ? » Elle s’approche légèrement, comme pour vérifier la qualité des cordes, ses doigts effleurant la texture rugueuse du jute.

Alexandre sourit en réponse, amusé par son attitude. « Oh, je suis prêt. Et je crois que tu seras assez... satisfaite du résultat. » Il passe les cordes autour des poignets de Sophie, commençant par faire des tours serrés mais doux pour assurer la sécurité et le confort.

Sophie regarde les mouvements de ses mains, puis lève les yeux pour croiser le regard d’Alexandre. « Je dois admettre que tu as un certain talent pour ça. Mais qu’est-ce qui te donne la confiance nécessaire pour te lancer dans ce genre de défis ? »

Alexandre ajuste les cordes autour de ses bras avec une précision méticuleuse. « C’est tout un art, tu sais. Et comme tout art, il demande de la pratique. Mais surtout, il s’agit de s’assurer que l’expérience est agréable pour les deux parties. »

Il fait passer la corde entre ses poignets, les serrant juste assez pour qu’ils ne bougent pas facilement mais sans causer d’inconfort. Ensuite, il relie les poignets à une ceinture en cuir autour de la taille de Sophie. « Voilà, avec cette ceinture, on ajoute un peu plus de restriction sans trop exagérer. Tu te sens bien ? »

Sophie fait un petit mouvement pour tester les nouvelles contraintes. « Oui, c’est assez confortable jusqu’à présent. Et je dois dire que ça donne un petit côté excitant à la situation. » Elle lui lance un regard espiègle. « Que prévois-tu ensuite ? »

Alexandre sourit en ajustant les menottes aux chevilles de Sophie. « Maintenant, on s’occupe des jambes. On va les maintenir avec des menottes pour limiter la liberté de mouvement, mais sans aller trop loin. Juste assez pour que tu te sentes un peu... restreinte mais pas trop. »

Sophie observe Alexandre travailler avec une concentration amusée. « Et si je veux bouger un peu, comment vais-je faire ? »

Alexandre termine de fixer les menottes, puis se redresse pour la regarder. « Tu pourras te déplacer, mais avec une certaine difficulté. C’est là tout le charme. Mais ne t’inquiète pas, je vais m’assurer que tout reste dans les limites du confortable. »

Il prend un moment pour admirer son travail, puis se tourne vers Sophie avec un sourire satisfait. « Prête pour voir comment ça se passe ? On peut toujours ajuster si nécessaire. »

Sophie, maintenant complètement liée mais encore souriante, incline la tête. « Je suis prête. Montre-moi ce que tu as en tête. »

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moimoi2
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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Après avoir terminé les attaches autour des poignets et des chevilles de Sophie, Alexandre observe sa compagne avec un sourire satisfait. Mais en voyant que Sophie semble encore assez à l’aise, il décide d’ajouter une touche supplémentaire pour intensifier les sensations.

« Je crois qu’on peut ajouter un petit détail pour augmenter le défi, » dit-il, en prenant une autre longueur de corde dans ses mains. Il s’approche de Sophie avec une expression de détermination.

Sophie, voyant qu’Alexandre semble avoir encore des idées en tête, lève les yeux vers lui avec curiosité. « Qu’as-tu en tête ? » demande-t-elle en essayant de bouger un peu pour tester ses limites.

Alexandre commence à faire passer la corde entre les coudes de Sophie, les attachant légèrement ensemble. Il ajuste la tension pour que ce soit assez restrictif mais sans aller trop loin. « Je pense que cette corde supplémentaire entre les coudes ajoutera un peu plus de sensation. Cela permettra de maintenir tes bras dans une position un peu plus contraignante. »

Sophie fronce légèrement les sourcils en ressentant la nouvelle contrainte, mais garde un sourire amusé. « Oh, je vois, tu veux vraiment tester mes limites. Tu es sûr que c’est nécessaire ? »

Alexandre ajuste la corde avec soin, vérifiant que tout est bien en place. « Il vaut mieux s’assurer que tout est parfait. Et puis, c’est pour ton bien-être, après tout. Je veux que tu te sentes parfaitement... restreinte. »

Il termine de faire les nœuds et recule pour admirer le résultat. La corde entre les coudes donne à Sophie une position encore plus contraignante, limitant ses mouvements et augmentant la sensation de restriction.

« Comment ça se passe ? Toujours confortable ? » demande Alexandre, le regard brillant d’une touche de satisfaction.

Sophie teste les nouvelles contraintes, bougeant légèrement les bras pour s’adapter. « Je dois admettre que c’est plus intéressant maintenant. Ça donne un sentiment de... plus de contrôle, je suppose. Mais c’est toujours assez confortable. » Elle lui lance un regard espiègle. « Tu es vraiment déterminé à me garder sous contrôle ce soir. »

Alexandre sourit, se penchant légèrement vers elle. « Je veux juste m’assurer que tu passes un bon moment. Et puis, je pense que ça ajoute un peu de piment à la soirée. »

Sophie, toujours liée mais amusée, regarde Alexandre avec une étincelle dans les yeux. « Je suis impatiente de voir ce que tu as encore prévu. On est prêts pour la suite, alors ? »


Sophie, maintenant complètement attachée avec les bras en box tie et les poignets reliés à la ceinture en cuir, se déplace lentement dans la pièce. Les menottes aux chevilles lui permettent de faire des pas hésitants mais contrôlés. Elle explore la pièce avec une curiosité amusée, ses mouvements étant limités mais toujours fluides.

« Tu sais, c’est plutôt amusant de voir comment on peut se déplacer avec ces liens, » dit-elle en essayant de trouver un équilibre pour marcher sans trop de difficultés. Elle s’arrête un instant pour regarder autour d’elle, un sourire espiègle sur les lèvres.

Alexandre, installé confortablement sur le canapé, l’observe avec amusement. « Tu sembles bien te débrouiller. Mais pourquoi tu as l’air si préoccupée ? »

Sophie tourne la tête vers lui, les yeux brillants de malice. « Eh bien, je me dis que je pourrais au moins avoir des chaussures. Marcher pieds nus sur ce sol est un peu moins glamour avec cette tenue. »

Alexandre rit légèrement, se levant pour aller chercher une paire de chaussures à talons dans le placard. « D’accord, d’accord. Mais tu devras les mériter. Et je pense que j’ai une petite surprise pour toi. »

Il revient avec les chaussures à talons, les tendant à Sophie. Elle les regarde avec une expression de joie. « Merci ! Je suis impatiente de les essayer. »

En se penchant pour enfiler les chaussures, Sophie remarque un petit détail : Alexandre a glissé une clé de menottes dans la chaussure à talon droite. Elle éclate de rire en réalisant la farce. « Alors, comme ça, tu essaies de me laisser chercher la clé ? C’est assez astucieux ! »

Alexandre, les bras croisés et un sourire taquin sur le visage, répond : « Je pensais que ça ajouterait un peu de défi. Après tout, il faut que tu puisses t’amuser tout en restant un peu... restreinte. »

Sophie se penche avec difficulté pour saisir la clé dans la chaussure, ses mouvements étant limités par les menottes aux chevilles. Elle s’amuse de la situation, utilisant son humour pour rendre le moment encore plus léger. « C’est vraiment bien joué. Mais tu sais, je pense que je vais m’amuser à essayer de trouver la clé pour me libérer. Tu vas devoir faire attention, je pourrais très bien me libérer toute seule ! »

Alexandre sourit en la regardant, amusé par sa détermination. « Bon, bon, bon. Je suppose que je devrai garder un œil sur toi pour être sûr que tu ne t’échappes pas trop vite. »

Sophie se remet debout en ajustant les chaussures, l’air de quelqu’un qui est prête pour le prochain défi. « Alors, prêt pour la suite ? Je suis prête à découvrir ce que tu as encore en réserve. »

Sophie, maintenant chaussée de ses talons hauts, se déplace avec une grâce limitée par les menottes aux chevilles. Ses mouvements sont lents mais élégants, le bruit des talons résonnant doucement sur le sol. Elle s'approche d'Alexandre, qui est occupé à préparer du matériel sur une table.

« Alors, qu’est-ce que tu prépares là ? » demande-t-elle en regardant avec curiosité, ses yeux suivant chaque geste d’Alexandre.

Alexandre lève les yeux de son travail, un sourire énigmatique sur le visage. « Oh, rien de trop compliqué. Juste quelques éléments pour... pimenter un peu les choses. » Il semble garder une part de mystère, ce qui aiguise encore plus la curiosité de Sophie.

Sophie se penche légèrement, essayant de voir ce qu'il est en train de préparer. « Tu as l’air d’avoir un plan bien précis. Et moi, je suis toujours là à essayer de comprendre ce que tu mijotes. Tu sais, ça pourrait être amusant de savoir ce qui est prévu avant que ça ne commence. »

Alexandre sourit en voyant l’intérêt grandissant de Sophie. « Tu devras patienter un peu pour le découvrir. Mais je te promets que ce sera intéressant. »

Après avoir terminé ses préparatifs, Alexandre se dirige vers le milieu de la pièce, où il commence à déplacer une chaise élégante vers le centre. Il ajuste sa position avec soin, la plaçant exactement où il le souhaite.

Sophie, intriguée, regarde la chaise avec un mélange de curiosité et de suspicion. « C’est pour moi, ça ? Ou bien tu prépares un nouveau défi ? »

Alexandre se tourne vers elle avec un sourire. « Peut-être un peu des deux. Je pense que cette chaise pourrait ajouter un élément amusant à la soirée. »

Il fait un dernier ajustement à la chaise et se dirige vers Sophie, ses yeux pétillant de malice. « Alors, tu es prête pour la suite des événements ? Je pense que cette chaise aura un rôle intéressant à jouer. »

Sophie, bien que toujours attachée et limitée dans ses mouvements, se redresse avec une expression d’excitation. « Je suis prête à tout essayer. Et je dois avouer que je suis impatiente de voir ce que tu as prévu avec cette chaise. »

Alexandre se penche légèrement pour lui murmurer, tout en regardant la chaise. « L’idée est de rendre les choses un peu plus... interactives. Et je pense que tu vas vraiment apprécier ce que j’ai en tête. »


Alexandre se penche pour retirer délicatement les menottes des chevilles de Sophie, les remplaçant par des liens plus appropriés pour la nouvelle position. Il les attache avec des cordes solides, croisant ses cuisses pour plus de sécurité. Sophie, maintenant libérée de ses menottes aux chevilles mais encore bien attachée, observe attentivement chaque mouvement de son partenaire.

Alexandre prend une nouvelle longueur de corde et commence à la passer autour des chevilles de Sophie. Il s’assure que les liens sont bien sécurisés avant de faire passer l'autre extrémité de la corde sous les pieds arrière de la chaise. Il ajuste soigneusement la corde pour relier les chevilles de Sophie aux pieds de la chaise, la maintenant ainsi dans une position immobile mais confortable.

Sophie, installée sur la chaise avec les jambes croisées et les chevilles solidement attachées aux pieds de la chaise, se redresse pour tester ses nouveaux liens. Elle se rend vite compte que ses mouvements sont maintenant très limités, augmentant le sentiment de contrainte tout en conservant une certaine aisance.

« Alors, voilà ce que tu avais en tête, hein ? » demande-t-elle, un sourire espiègle sur les lèvres. « Je dois dire que tu es vraiment un maître de l’art du ligotage. »

Alexandre se recule légèrement pour admirer son travail, satisfait du résultat. « Je voulais juste m’assurer que tu serais bien maintenue tout en étant à l’aise. Et je pense que cette position devrait rendre les choses encore plus intéressantes. »

Il se penche vers elle, caressant doucement son visage. « Maintenant que tu es bien installée, je pense que nous pouvons commencer à explorer ce que j’ai prévu pour ce soir. Prête pour le prochain défi ? »

Sophie, ses mouvements limités par les cordes mais son esprit vif, regarde Alexandre avec une lueur de défi dans les yeux. « Je suis prête. Et je suis impatiente de voir ce que tu as encore en réserve pour moi. Allez, fais-moi découvrir tes surprises ! »

Alexandre sourit en entendant sa réponse, déterminé à rendre la soirée aussi amusante et excitante que possible.


Une fois que Sophie est bien attachée avec les chevilles et les cuisses liées, Alexandre décide de sécuriser encore davantage les bras de Sophie. Il prend une nouvelle longueur de corde et commence à l'enrouler autour des poignets de Sophie, les fixant solidement au dossier de la chaise. Les bras de Sophie sont ainsi maintenus dans une position confortable mais immobile, renforçant le sentiment de contrainte.

Sophie, bien installée et voyant Alexandre terminer son travail, lève les yeux vers lui avec un mélange d’amusement et de curiosité. « Alors, tu as l’air de bien t’amuser avec tout ce matériel. Qu’est-ce que tu prépares pour la suite ? »

Alexandre, avec un sourire malicieux, se penche pour ajuster les dernières cordes. « Oh, tu verras bien. Pour l’instant, je pense que c’est le moment idéal pour profiter un peu de ta position. »

Il se positionne à califourchon sur les cuisses de Sophie, sa posture lui permettant de rester bien stable tout en étant en contact proche avec elle. Ses mouvements sont lents et calculés, ajoutant un élément de surprise à chaque geste.

Sophie le regarde avec un sourire, un peu surprise par cette approche. « Alors comme ça, tu veux te faire plaisir tout en restant discret ? Je dois admettre que c’est une façon intéressante de passer le temps. »

Alexandre se penche en avant, ses doigts effleurant doucement les côtes de Sophie, déclenchant une réaction immédiate. « Je pense que c’est le moment idéal pour te faire découvrir un peu de mon sens de l’humour. Qu’en dis-tu ? »

Sophie éclate de rire, essayant de se dérober à la légère torture que lui inflige Alexandre. « Ah, tu es vraiment un petit diable. Mais je dois avouer que c’est amusant. Tu ne vas pas me laisser tranquille, n’est-ce pas ? »

Alexandre continue de chatouiller doucement Sophie, son sourire s’élargissant à chaque éclat de rire qu’il provoque. « Je pense que tu mérites bien un peu de divertissement. Et puis, j’adore te voir rire comme ça. »

Il alterne entre chatouiller ses côtes et ses aisselles, s’assurant de bien utiliser cette interaction pour maintenir une atmosphère légère et ludique. Sophie, bien que limitée dans ses mouvements, répond avec des éclats de rire et des commentaires amusés, profitant du moment tout en appréciant la complicité avec Alexandre.


Alexandre ajuste soigneusement le bandeau autour des yeux de Sophie, ses doigts effleurant doucement sa peau. Il lui adresse un sourire en coin avant de se redresser.

« Alors, comment ça se sent ? Est-ce que le bandeau est bien placé ? » demande-t-il en vérifiant une dernière fois l'ajustement.

Sophie, avec le bandeau sur les yeux, sourit en entendant sa voix. « C’est parfait, je ne vois rien du tout. Et je dois avouer que c’est assez excitant de ne pas savoir ce qui va suivre. »

Alexandre lui caresse doucement les cheveux, profitant du moment. « Je suis content que tu apprécies. Je vais devoir m’absenter pour faire une petite course rapide. Mais ne t’inquiète pas, je serai de retour assez vite. Je veux juste que tu restes calme et détendue pendant mon absence. »

Sophie, se remémorant ses liens et la situation, ajoute avec un ton amusé, « Je suppose que je dois me préparer à une surprise, alors ? Et je dois dire que tu as bien réussi à me rendre impatiente. »

Sophie, tout en ressentant les dernières caresses d’Alexandre, répond avec un sourire dans la voix, « D’accord, je vais essayer de ne pas trop m’ennuyer. »











Alexandre ajuste soigneusement le bandeau autour des yeux de Sophie, ses doigts effleurant doucement sa peau. Il lui adresse un sourire en coin avant de se redresser.

« Alors, comment ça se sent ? Est-ce que le bandeau est bien placé ? » demande-t-il en vérifiant une dernière fois l'ajustement.

Sophie, avec le bandeau sur les yeux, sourit en entendant sa voix. « C’est parfait, je ne vois rien du tout. Et je dois avouer que c’est assez excitant de ne pas savoir ce qui va suivre. »

Alexandre lui caresse doucement les cheveux, profitant du moment. « Je suis content que tu apprécies. Je vais devoir m’absenter pour faire une petite course rapide. Mais ne t’inquiète pas, je serai de retour assez vite. Je veux juste que tu restes calme et détendue pendant mon absence. »

Sophie, se remémorant ses liens et la situation, ajoute avec un ton amusé, « Je suppose que je dois me préparer à une surprise, alors ? Et je dois dire que tu as bien réussi à me rendre impatiente. »

Alexandre rit doucement, « Exactement. Et n’oublie pas ce que je t’ai dit : surtout, ne réponds pas aux inconnus. » Il lui donne une dernière caresse sur la joue, ajoutant, « Je vais te laisser maintenant. Profite de cette attente, ça fait partie du jeu aussi. »

Sophie, tout en ressentant les dernières caresses d’Alexandre, répond avec un sourire dans la voix, « D’accord, je vais essayer de ne pas trop m’ennuyer. À bientôt, alors. »

Alexandre lui adresse un dernier regard complice avant de se diriger vers la porte. « À tout à l’heure ! Reste bien tranquille, et amuse-toi bien. » Il ouvre la porte et sort, laissant Sophie seule dans l’appartement.



Une fois qu’Alexandre est parti, Sophie commence à explorer ses liens. Avec le bandeau couvrant ses yeux, elle se fie à ses autres sens pour ressentir les contraintes. Elle teste les cordes autour de ses poignets, sentant leur tension contre le dossier de la chaise. Ses jambes sont attachées de manière sécurisée aux pieds de la chaise, ce qui limite ses mouvements.

Sophie se déplace légèrement, essayant de trouver une position plus confortable tout en ressentant les limites imposées par les cordes. Ses pensées vagabondent sur ce que pourrait être le retour d’Alexandre. Elle se demande s’il va apporter quelque chose de surprenant ou s’il a préparé un nouveau jeu pour elle.

Elle se rend vite compte qu’elle ne peut pas vraiment bouger beaucoup, mais elle apprécie le sentiment de contrainte. Tout en se concentrant sur ses sensations, elle se dit à elle-même avec un petit rire étouffé, « Bon, il semble que je suis en train de devenir la star du spectacle ici. J’espère qu’il ne va pas me faire attendre trop longtemps ! »

Sophie profite de ce moment pour se détendre et se préparer à la suite des événements, se laissant aller à l’anticipation de ce que pourrait être la prochaine étape.

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moimoi2
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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Sophie attend patiemment, ses pensées vagabondant entre anticipation et amusement. Le silence de l’appartement est ponctué par les bruits de la maison — le léger grincement des meubles, le bourdonnement distant de la rue. Soudain, un bruit de moteur se fait entendre, suivi d’un arrêt net. Sophie est légèrement alarmée par le bruit d’une voiture se garant non loin de chez elle.

Elle essaie de se calmer, se disant que tout va bien et que c’est probablement une voiture passant dans la rue. Cependant, les bruits de pas commencent à se rapprocher de la porte d’entrée. Les talons résonnent de manière distincte sur le sol, amplifiant l’impression que quelqu’un se dirige directement vers chez elle.

Sophie commence à ressentir une montée d’angoisse. Elle se souvient alors qu’Alexandre est parti sans la voiture, ce qui signifie qu'il n'est pas possible qu'il soit revenu à pied. La panique s’installe lorsqu’elle réalise que la personne qui arrive porte des talons, un détail qui ne correspond pas du tout à la démarche habituelle d’Alexandre.

Elle tente de bouger, ses mouvements restreints par les cordes et les menottes, mais la tension dans son corps augmente. Ses pensées se précipitent : « Oh non, qu’est-ce qui se passe ? Qui est-ce ? Je n’avais pas prévu ça… »

Les bruits de pas continuent de se rapprocher, et le cœur de Sophie bat la chamade. Chaque pas semble plus proche de la porte d’entrée, augmentant son anxiété. Elle essaie d’appeler à l’aide, mais le bandeau sur ses yeux et ses liens rendent toute communication difficile. Elle peut seulement attendre et espérer que la situation se résolve sans qu’elle ait à affronter un inconnu.

Scène (Interaction avec l’intrus) :

La porte d’entrée s’ouvre lentement, les talons cliquetant sur le sol de l’entrée. La personne entre dans l’appartement, et le bruit des pas se rapproche. Sophie, dans une agitation croissante, se demande comment elle va gérer cette situation imprévue.

Le bruit des talons se fait de plus en plus distinct, et Sophie sent la montée de l’angoisse. Elle essaie de se mouvoir discrètement pour voir si elle peut se libérer ou au moins se déplacer, mais les cordes sont bien serrées et bien nouées. Chaque tentative de mouvement est rapidement entravée par les nœuds habilement faits par Alexandre. Elle se maudit intérieurement pour sa situation inconfortable et l'absence d'options évidentes.

« Pourquoi est-ce que j’ai accepté ça ? Je suis vraiment mal partie pour cette fois. » pense-t-elle en essayant de se calmer. Elle réalise qu’en raison de ses liens solides, toute tentative de fuite serait vaine et risquerait d'attirer encore plus l'attention.

Elle décide de rester immobile et de ne pas faire de bruit. En silence, elle se concentre sur l'écoute des bruits de la personne qui entre dans l'appartement, espérant qu’elle puisse déterminer ce qui se passe. Elle respire profondément, essayant de garder son calme malgré la situation stressante.

Les pas se rapprochent de la pièce où elle se trouve, et Sophie se dit qu'elle doit maintenant se préparer à la rencontre. Elle essaie de se détendre malgré la position contraignante et les bruits environnants, pensant que la discrétion est sa meilleure chance pour éviter une situation encore plus compliquée.

Elle réfléchit à ce que cette visite imprévue pourrait signifier. Si la personne qui arrive est un visiteur non attendu, elle espère que l’intrus ne découvrira pas immédiatement sa présence et que tout pourrait se résoudre sans trop de complications.


Les pas s’arrêtent soudainement, et un léger sifflement commence à résonner dans l’appartement. Sophie, tendant l'oreille, reconnaît ce sifflement comme étant celui d'Émilie, l’une de ses meilleures amies. Elle se rend compte avec un mélange de soulagement et de panique qu'Émilie est l'intrus. Elle avait donné les clés de son appartement à Émilie pour qu’elle puisse utiliser la machine à laver, mais dans l’excitation de la soirée, elle avait complètement oublié cet aspect.

« C’est Émilie ! Oh non, pas elle… » pense Sophie en essayant de se calmer. Elle craint le regard d'Émilie plus que tout autre intrus, car la découverte de cette situation par une amie proche serait particulièrement embarrassante.

Les bruits de pas continuent vers la buanderie, et Sophie profite de cet instant pour essayer de se détacher de la chaise. Elle tire et se contorsionne autant que ses liens le permettent, mais les cordes sont fermement nouées, rendant tout effort futile. Ses tentatives pour se libérer ne font que renforcer sa frustration.

Elle reste immobile, sa respiration légèrement accélérée par l'angoisse. Elle écoute les bruits d'Émilie en espérant que sa présence ne sera pas découverte. Tout en maintenant le plus grand silence possible, elle se concentre sur ses mouvements et la façon dont elle pourrait éventuellement gérer la situation si Émilie venait à entrer dans la pièce.

Émilie continue de siffler gaiement alors qu'elle entre dans la buanderie pour terminer sa lessive. Elle semble de bonne humeur et ne prête pas attention à ce qui se passe autour d’elle. Sophie, bien que soulagée que ce soit une amie plutôt qu'un inconnu, est toujours dans une position difficile.

Sophie, immobilisée par ses liens, entend les bruits de la buanderie : la machine à laver qui tourne, les objets déplacés dans le petit espace. Elle tente de se calmer et de rester aussi silencieuse que possible, espérant qu’Émilie ne se dirigera pas vers la pièce où elle est attachée.

Émilie finit par quitter la buanderie, se dirigeant vers la pièce principale de l’appartement. Sophie est figée, attendant le moment où Émilie pourrait entrer et la découvrir. Le bruit des pas se rapproche de la porte, et Sophie se concentre sur la moindre tentative pour éviter que sa présence ne soit remarquée.

Les bruits des pas se font de plus en plus proches, et Émilie entre dans la pièce sans se douter de ce qui l’attend. Elle continue de siffler en se dirigeant vers la chaise sur laquelle Sophie est attachée, sans prêter attention aux détails.

Sophie, dans sa tentative désespérée de se libérer, bouge légèrement sur la chaise. Ses talons font un bruit distinct sur le sol, attirant l'attention d'Émilie. La sonorité résonne à travers l'appartement, faisant hausser les sourcils d'Émilie, qui se tourne vers la direction du bruit.

Émilie, intriguée et légèrement méfiante, décide de vérifier la source du son. Elle se dirige vers la chambre de Sophie, ses pas se faisant plus lents alors qu’elle approche. Les bruits de pas résonnent clairement dans le couloir, amplifiant l’angoisse croissante de Sophie.

Sophie, réalisant qu'Émilie arrive, se maudit intérieurement pour avoir fait du bruit et craint de se faire surprendre. Son esprit tourne à toute vitesse alors qu'elle essaie de calmer son anxiété et de se préparer à l'éventualité d'une découverte.

Les pas d'Émilie se rapprochent de la porte de la chambre. Sophie reste immobile et silencieuse, priant pour que la situation ne prenne pas une tournure embarrassante ou gênante. Son cœur bat fort alors qu’elle attend le moment où Émilie va ouvrir la porte et découvrir la scène.

Les pas d'Émilie se rapprochent, et Sophie serre les dents, espérant qu’un miracle la sauverait de cette situation. La porte s'ouvre soudainement, projetant une lumière dans la pièce, mais cette fois, c'est le rire qui résonne.

« Eh bien, eh bien ! Qu'est-ce qu'on a là ?! » s'exclame Émilie d’une voix pétillante.

Elle se tient dans l’encadrement de la porte, une main sur la hanche, un sourire malicieux étirant ses lèvres. Sans la moindre hésitation, elle s'approche, les talons claquant joyeusement sur le sol. Son regard passe rapidement des cordes bien nouées à la posture immobile de Sophie, et elle éclate de rire, sincèrement amusée.

« Sophie ! Je dois dire que tu as toujours su me surprendre, mais là… c'est un chef-d'œuvre ! »

Sophie, terriblement gênée derrière son bandeau, tente de marmonner quelque chose, mais tout ce qu’elle réussit à faire, c'est un son étouffé et maladroit. La chaleur de l’embarras monte sur ses joues, mais cela ne fait que rendre la situation plus cocasse pour Émilie.

« Oh là là, ne me dis pas que tu as besoin d'aide !? » poursuit Émilie en riant encore, se penchant légèrement pour examiner les nœuds avec une expression espiègle. « Je ne devrais peut-être pas te détacher tout de suite… Tu sembles tellement à ton aise ! »

Elle tourne autour de la chaise, amusée par chaque détail, tandis que Sophie soupire intérieurement, priant pour que le sol s’ouvre sous ses pieds. Mais avec Émilie, la situation semble encore plus drôle.

« Alors là, Sophie, je savais que tu avais des goûts particuliers, mais là, tu te surpasses ! »
(elle fait un tour autour de la chaise)
« Sérieusement, c’est du grand art ! Qui a fait ces nœuds ? J'ai presque envie de prendre des notes ! »

Sophie (gênée, essayant de trouver ses mots) :
« Émi… c’est pas ce que tu crois… »

Émilie (riant) :
« Pas ce que je crois ? Oh, je t’en prie ! Je suis sûre qu’il y a une explication très… créative derrière tout ça ! Tu voulais te déguiser en paquet cadeau pour moi ? »

Sophie (soupirant) :
« J’étais juste... avec Alexandre… »

Émilie (jouant la comédie, mains sur la poitrine) :
« Oh là là, mais pourquoi tu ne m’as pas invitée ? C’est quoi cette histoire de se lier sans moi ? »

Sophie (tentant de se libérer, encore plus embarrassée) :
« Tu… tu vas vraiment juste rester là à plaisanter ? »

Émilie (riant de plus belle) :
« Eh bien, ça dépend… Tu veux que je te laisse là pour voir ce que tu fais après ? »
(elle s’approche et tire légèrement sur une des cordes)

« Oh, mais laisse moi deviné qui a décidé de s’attacher pour le plaisir ! Tu es splendide, Sophie, vraiment, une œuvre d'art. »

Sophie (gênée, tentant de rester calme) :
« Émilie... ce n'est pas... tu ne devrais pas être là... »

Émilie (avec un sourire malicieux) :
« Ah non ? Et moi qui pensais que tu m’avais préparé une petite surprise. Tu sais, j’aime les cadeaux inattendus. »
(elle fait lentement le tour de la chaise)
« Alors, qu’est-ce qu’on fait ? On t’admire un peu plus ou je m’invite dans le jeu ? »

Sophie (soufflant, sachant très bien où ça va) :
« Émilie, arrête... Tu sais très bien que ce n'est pas drôle... »

Émilie (feignant l’innocence, haussant les sourcils) :
« Pas drôle ? Mais voyons, tu te trompes complètement ! C’est extrêmement drôle ! »
(elle s'arrête, croise les bras, un air joueur sur le visage)

« Bon, qu’est-ce que je fais ? Je te libère… ou je te laisse mijoter un peu ? »
(elle se penche légèrement, murmurant)
« Réfléchis bien, je pourrais aussi ajouter ma touche personnelle. »

Sophie (roulant des yeux sous son bandeau, soupirant profondément) :
« Émilie, ne fais pas ça... »

Émilie (riant franchement) :
« Oh, chérie, c'était une fausse question. »
(elle tire légèrement sur une corde, se penchant pour observer Sophie)
« C'est tellement mignon de voir à quel point tu essaies de rester sérieuse. »
(elle tapote gentiment la tête de Sophie)
« Bon, je vais réfléchir… mais je crois que tu pourrais rester ainsi un peu plus longtemps. Tu es bien trop confortable ! »


suite à venir ...

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moimoi2
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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Émilie (s'approchant, taquinant une corde du bout des doigts) :
« Ça se voit que c’est Alexandre qui t’a attachée. Il est vraiment doué pour ça, hein ? »
(Elle tire légèrement sur une corde, comme pour tester la tension, et lève un sourcil amusé)
« Pas de chance pour toi… »

Sophie (désespérée, mais essayant de garder un peu de dignité) :
« Très drôle… C'est pas comme si j'avais une chance d'y échapper avec toi là. »
(Elle tente de bouger ses bras mais réalise à quel point Alexandre a bien fait son travail)
« Tu pourrais au moins essayer de m’aider un peu ? »

Émilie (souriant malicieusement, avec une touche de fausse sympathie) :
« Oh, ma pauvre chérie. Tu sais, je pourrais... mais... »
(Elle fait mine de réfléchir longuement)
« ... Ce serait vraiment un gâchis de défaire ce chef-d'œuvre, tu ne crois pas ? »
(Elle rit doucement et s'assoit sur le bord du lit, faisant mine de contempler la situation avec admiration)
« Franchement, Sophie, t’as l’air tellement confortable. Presque... relaxée. »

Sophie (roulant des yeux sous le bandeau, avec un soupir résigné) :
« Confortable ? Tu plaisantes, là ? Je pourrais à peine me lever de cette chaise si je le voulais ! »
(Elle tente une nouvelle fois de tirer sur ses liens, sans succès)
« Tu sais très bien que tu adorerais être à ma place... »

Émilie (riant, s'approchant pour se pencher vers Sophie) :
« Oh, crois-moi, si j'étais à ta place, je trouverais déjà un moyen de sortir de là. Tu es juste un peu... rouillée dans l'art de l'évasion. »
(Elle tapote gentiment la tête de Sophie avant de reculer, observant chaque mouvement avec une attention presque calculée)
« Mais dis-moi, combien de temps Alexandre t'a laissée ici comme ça, hmm ? »

Sophie (tentant de garder une voix calme malgré sa gêne) :
« Il est parti il y a peut-être... dix, quinze minutes. Il a dit qu'il devait faire une course rapide. »
(Elle soupire)
« Je pensais qu’il serait de retour avant que tu arrives, mais apparemment, j’ai eu tort... »

Émilie (faisant un clin d’œil malicieux, tout en sortant son téléphone et dirigeant l’objectif vers Sophie) :
« Oh, ne t’inquiète pas, je vais immortaliser ce moment pour lui. Dis ‘cheese’ ! »
(Elle éclate de rire, prenant la photo avant que Sophie puisse protester davantage)
« Promis, ça restera entre nous... sauf si un petit chantage amical te tente ? »

Sophie (gémissant, secouant légèrement la tête) :
« Sérieusement ? Émilie, pas de photos ! Tu vas vraiment me faire regretter de t’avoir donné ces clés... »

Émilie (avec un sourire innocent) :
« Oh, mais tu m’as bien donné les clés, non ? Tu savais très bien que j’allais entrer sans prévenir. On sait toutes les deux à quel point je suis curieuse. »
(Elle croise les bras, jouant toujours avec l’idée de prolonger la situation)
« Allez, avoue que ça rend les choses un peu plus... piquantes. »

Sophie (désespérée, mais amusée malgré elle) :
« Si par "piquantes", tu veux dire "embarrassantes", alors oui, tout à fait. »

Émilie (riant franchement) :
« Embarrassante ? Non, c’est adorable ! Et puis, tu n’as pas l’air si mal. »
(Elle fait un tour autour de Sophie, observant ses mouvements limités avec intérêt)
« En fait, je me demande... tu te débrouilles encore un peu trop bien à mon goût. Peut-être que je devrais resserrer une corde ou deux. »

Sophie (frissonnant légèrement) :
« Non, non, ça va comme ça ! Je t’assure... »

Émilie (s'approchant à nouveau, cette fois avec une corde en main, mais ne la serrant pas encore) :
« Mmh, je vais réfléchir à ça… Mais en attendant… »
(Elle s’installe confortablement à côté de Sophie sur la chaise, les jambes croisées, comme si tout était normal)
« Alors, t’as entendu pour Clara et ce type du café ? Ils sont sortis ensemble l’autre soir, et crois-moi, c’était un vrai spectacle ! »

Sophie (incrédule, secouant légèrement la tête) :
« Attends… tu vas vraiment me parler de potins alors que je suis attachée comme ça ? »

Émilie (prenant un air faussement surpris, un sourire aux lèvres) :
« Bah quoi ? C’est pas comme si tu pouvais aller quelque part. Autant passer le temps agréablement, non ? »
(Elle rit doucement, observant Sophie avec un mélange de malice et de plaisir évident)

Émilie (avec une aisance déconcertante, s'installant confortablement sur la chaise à côté de Sophie) :
« Donc, je te disais pour Clara… Eh bien, figure-toi qu’elle est enfin sortie avec ce gars du café. Tu sais, celui qu’on voyait tout le temps traîner là-bas avec ses livres. »
(Elle secoue la tête, un sourire amusé aux lèvres)
« Je te jure, c’était pas glorieux. Ils sont allés au resto, et apparemment, le type a passé la moitié du dîner à parler de ses cours de guitare. »

Sophie (tirant sur ses liens, encore gênée par la situation) :
« Émilie… tu es vraiment en train de me parler de Clara pendant que je suis attachée à une chaise, là ? »
(Elle soupire, essayant en vain de se libérer, mais sans succès)
« Sérieusement, tu penses vraiment que c'est le moment ? »

Émilie (avec un clin d'œil amusé, ignorant totalement la protestation de Sophie) :
« Bah quoi ? On est entre amies, non ? Tu ne vas pas te sauver de toute façon. Autant en profiter pour discuter un peu. »
(Elle rit doucement et reprend son histoire, comme si rien d'inhabituel ne se passait)
« Et devine quoi ? Clara a dû supporter tout ça avec le sourire. Mais à la fin, elle m’a envoyé un message... Elle s’est enfuie sous prétexte d’aller aux toilettes, puis elle est partie par la porte de derrière ! »

Sophie (grognant légèrement, secouant la tête sous le bandeau) :
« Eh bien, elle a eu de la chance, elle... Moi, je ne peux même pas me lever pour aller aux toilettes ! »
(Elle bouge ses poignets, toujours aussi piégée par les cordes)

Émilie (ignorant totalement l’agacement de Sophie, continuant avec un sourire radieux) :
« Oh, arrête, tu vas te détendre un peu, c’est bon pour toi. »
(Elle fait un geste dramatique)
« Franchement, j’aurais fait pareil à sa place. Le gars avait l’air sympa, mais au bout d’une demi-heure de monologue sur ses cordes de guitare... Je crois que même toi, tu aurais fui, malgré tes talents pour rester coincée ! »
(Elle rit de bon cœur, clairement amusée par sa propre plaisanterie)

Sophie (avec un soupir résigné) :
« Très drôle, vraiment… Clara au moins pouvait fuir, moi je suis... totalement coincée ici. »

Émilie (feignant l'innocence, mais incapable de cacher son amusement) :
« Oui, bon, c’est pas exactement la même situation... Mais, t’inquiète, si Alexandre tarde trop, je t’aiderai... ou peut-être pas. »
(Elle laisse échapper un autre éclat de rire avant de continuer, presque rêveuse)
« Maintenant que j’y pense... Je me demande comment Clara aurait réagi si elle t’avait vue comme ça. Peut-être que ça lui aurait donné des idées pour son prochain rencard. »
(Elle rit à nouveau, tandis que Sophie, toujours captive, secoue la tête, désespérée)

Émilie (regardant autour de la pièce, son regard se posant sur une boîte posée non loin) :
« Tiens, c’est quoi cette boîte ? Je ne me souviens pas l’avoir vue avant. »
(Elle se lève et se dirige vers la boîte, curieuse, tout en jetant un coup d'œil à Sophie)
« Tu sais ce que c’est ? »

Sophie (essayant de se tourner vers la boîte, mais incapable de voir clairement) :
« Euh, non, je n’en ai aucune idée... Alexandre a dû la laisser là pour une raison. Peut-être qu’il voulait... »
(Elle tente de se souvenir, mais ses liens et le bandeau rendent la tâche difficile)
« Je ne suis pas sûre, je n’ai pas vu ce qu’il y avait dedans. »

Émilie (ouvrant la boîte avec une expression de curiosité) :
« Allons voir ça de plus près. Qui sait, ça pourrait être quelque chose d’intéressant. »
(Elle soulève le couvercle avec un air intrigué, fouillant à l’intérieur)
« Peut-être des accessoires de bondage ou autre chose. »
(Elle regarde avec intérêt, découvrant le contenu de la boîte)

Sophie (soupirant) :
« Si tu trouves quelque chose d'intéressant, je suis tout ouïe... mais ne fais pas de bêtises. »

Émilie (riant légèrement en sortant un objet de la boîte) :
« Oh, ne t’inquiète pas, je fais juste un peu de fouille. »
(Elle examine un objet, le tournant dans ses mains avec un sourire amusé)
« Ah, regarde ça ! Je me demande si c’est pour les jeux de rôle ou quelque chose du genre. »

Sophie (avec un soupir de frustration) :
« Émilie, est-ce que tu pourrais au moins essayer de te concentrer sur le fait de me libérer plutôt que d’examiner des objets inconnus ? »

Émilie (feignant une expression pensive tout en continuant de fouiller dans la boîte) :
« Hmm, peut-être. Mais avoue que c’est plus amusant de découvrir des choses surprises. Et puis, c’est pas comme si tu allais te sauver tout de suite. »
(Elle sourit, amusée par la situation)
« En fait, je suis curieuse de savoir ce qu’Alexandre prévoit. Ça ne m’étonnerait pas qu’il ait caché quelque chose de spécial ici. »

Sophie (exaspérée mais amusée) :
« Il pourrait aussi simplement avoir oublié de ranger les choses... »

Émilie (avec un sourire malicieux) :
« Peut-être, mais ça rend le tout encore plus intéressant. Qui sait ce qu’on pourrait découvrir ? »
(Elle replace les objets dans la boîte avec soin, puis retourne vers Sophie)
« Bon, je pense que je vais garder ça pour plus tard. Mais je vais réfléchir à une solution pour toi. En attendant, continue de te détendre et profite du spectacle. »


Émilie (se dirigeant vers la buanderie, en vérifiant son téléphone) :
« Bon, voyons combien de temps il me reste avant que je doive retourner à la lessive. »
(Elle regarde l'écran de son téléphone avec une expression concentrée, puis éclate de rire en entendant les plaintes étouffées de Sophie)
« Oh, tu râles encore ? Ça rend le tout encore plus drôle, tu sais. »

Sophie (essayant de faire entendre sa voix malgré le bandeau et les liens) :
« Émilie, s’il te plaît, est-ce que tu pourrais au moins vérifier si tu peux me libérer bientôt ? Je commence à vraiment perdre patience. »

Émilie (revenant vers Sophie, toujours avec un sourire amusé) :
« Patience, patience. Il te reste encore un petit moment avant que je puisse m’occuper de toi. »
(Elle se penche vers Sophie avec un regard malicieux)
« C’est assez amusant de te voir dans cette situation. Et puis, j’ai encore quelques minutes avant de devoir retourner à la buanderie. »

Sophie (gémissant) :
« Génial, donc je suis coincée ici pendant que tu t’amuses à discuter et à vérifier ton temps de lessive. »

Émilie (riant, secouant la tête) :
« Oh, allez, ne sois pas si sérieux. C’est juste une petite pause dans ta routine. En plus, je suis sûre que tu te rappelleras de cette journée pendant un bon moment ! »
(Elle regarde l’horloge sur le mur de la buanderie, faisant mine de réfléchir)
« En attendant, profite du spectacle. »

Sophie (avec une pointe de sarcasme) :
« Oui, parce que c’est tellement divertissant d’être attachée à une chaise en attendant que quelqu’un revienne. »

Émilie (riant encore plus fort) :
« Oh, ne sois pas si dramatique. Je trouve ça hilarant, et je suis certaine qu’Alexandre aussi. »
(Elle se dirige vers la buanderie pour vérifier le linge, tout en jetant un dernier regard amusé à Sophie)
« Je vais aller vérifier la lessive, mais je reviendrai dans quelques minutes. En attendant, continue de te détendre. Ça pourrait être bien pire ! »

Émilie (revenue de la buanderie, tenant la boîte en main) :
« Bon, je me suis dit que ce serait amusant de continuer l’exploration. »
(Elle prend un objet de la boîte avec un air intrigué, mais en le cachant légèrement de la vue de Sophie)
« Regarde ce que j’ai trouvé ! C’est un très bel objet, je dois dire. »

Sophie (fronçant les sourcils, essayant de deviner de quoi il s’agit) :
« Quoi ? Tu ne peux pas me dire ce que c’est ? »
(Elle essaie de voir à travers le bandeau, mais sans succès)
« Ça ne peut pas être pire que ce que je vis déjà, non ? »

Émilie (avec un sourire malicieux, faisant semblant d’admirer l’objet) :
« Oh, je suis sûre que tu aimerais savoir ce que c’est. Mais, tu sais, je préfère garder un peu de mystère. »
(Elle tourne l’objet dans ses mains avec une expression de fascination)
« C’est toujours plus amusant quand on garde un peu de suspense, tu ne crois pas ? »

Sophie (exaspérée mais amusée par le jeu d’Émilie) :
« Sérieusement, Émilie, est-ce que tu vas me laisser dans le flou encore longtemps ? »

Émilie (riant doucement, cachant toujours l’objet) :
« Peut-être que je pourrais te donner un petit indice... ou peut-être pas. »
(Elle se penche légèrement vers Sophie, chuchotant comme si elle partageait un secret)
« Disons juste que cet objet pourrait ajouter un petit quelque chose à ta situation déjà bien... intéressante. »

Sophie (fronçant les sourcils, essayant de se concentrer) :
« Je suppose que ça ne sert à rien de tenter de deviner. Mais tu pourrais au moins me dire si c’est quelque chose de dangereux ou non. »

Émilie (avec un clin d'œil) :
« Oh, ne t’inquiète pas. Ce n’est pas dangereux... du moins, pas trop. »
(Elle repose doucement l’objet dans la boîte, laissant encore planer le mystère)
« Tu devras attendre et voir ce qu’Alexandre en fera. Mais je suis sûre que tu trouveras ça... surprenant. »

Sophie (gémissant de frustration, mais essayant de sourire) :
« Tu es vraiment incorrigible. Mais bon, j’imagine que je n’ai pas vraiment le choix. »

Émilie (riant encore une fois, se dirigeant vers la buanderie) :
« Exactement ! Profite de ta pause. Je vais retourner m’occuper de la lessive, et je reviendrai bientôt. En attendant, garde espoir, la surprise peut parfois être la meilleure partie ! »

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Émilie revient en souriant. Elle reprend l'objet de la boîte avec un sourire mystérieux :

« Alors, j’ai une petite idée pour remplacer ton bandeau. »
(Elle regarde Sophie avec un sourire malicieux)
« Je pense que tu trouveras cela... intéressant. »

Sophie (curieuse et légèrement inquiète) :
« Qu’est-ce que c’est ? Je préférerais savoir ce que tu as en tête avant de le mettre. »
(Elle bouge la tête pour essayer de voir ce que tient Émilie, mais le bandeau lui est toujours pas enlevé)

Émilie (riant en voyant les efforts de Sophie pour voir l’objet) :
« Oh, tu te demandes vraiment ce que c’est ? »
(Elle fait mine de réfléchir)
« C’est quelque chose qui pourrait rendre les choses encore plus amusantes, je te promets. »

Sophie (continuant à bouger la tête pour voir, légèrement inquiète) :
« Est-ce que ça va être inconfortable ou... ? »

Émilie (avec un sourire en coin, mettant en place le nouvel outil) :
« Disons simplement que c’est un peu plus... restrictif. Mais tu as accepté un marché, n’est-ce pas ? »
(Elle enlève doucement le bandeau et remplace avec le bâillon, ajustant ce dernier autour de la bouche de Sophie)
« Un marché est un marché, après tout. »

Sophie se rend compte que le nouvel outil est un bâillon, tente de parler mais est incapacité de le faire clairement.
(Elle essaie de demander des explications, mais les mots sont étouffés par le bâillon)

Émilie (riant de la réaction de Sophie) :
« Oh, je vois que tu as découvert la surprise. »
(Elle regarde Sophie avec amusement)
« Je suis désolée, je ne voulais pas te faire peur. C’est juste un petit ajout pour pimenter un peu les choses. »

Sophie (fronçant les sourcils et se rendant compte qu’elle doit accepter la situation) :
(Elle bouge légèrement, essayant de faire passer le message que le bâillon est un peu trop restrictif, mais son amie est déjà partie pour examiner les rouleaux de tape)

Émilie (se dirigeant vers les rouleaux de tape avec enthousiasme) :
« Allez, ce n’est pas si grave. On va s’amuser avec ces rouleaux de tape ! Et puis, je suis sûre qu’Alexandre va apprécier la surprise quand il reviendra. »
(Elle se tourne vers Sophie avec un sourire plein de malice)
« En attendant, profite de ce petit moment de mystère. »


À l’instant où Émilie lui proposa de remplacer le bandeau, Sophie eut un léger doute, mais par curiosité ou peut-être par défi, elle accepta sans poser plus de questions. Qu’est-ce qu’elle a bien pu trouver dans cette boîte ? pensa-t-elle, essayant de deviner sans succès. Mais ce n’est qu’une fois le bandeau retiré qu’elle comprit l’étendue de son erreur. Le nouvel « outil » qu'Émilie lui appliqua sur la bouche n’était rien d’autre qu’un bâillon. Sophie se figea instantanément en sentant le cuir se resserrer autour de ses lèvres, réduisant ses mots à de simples murmures étouffés. Elle tenta de protester, de demander des explications, mais chaque tentative se heurta à la barrière silencieuse imposée par le bâillon.

Émilie, pour sa part, semblait totalement ravie de la situation, riant doucement en voyant la surprise mêlée à la frustration sur le visage de Sophie. Comment ai-je pu tomber dans ce piège ? se demanda Sophie, incapable de s’exprimer autrement que par des grognements. Ses mains liées derrière son dos, ses mouvements restreints, et maintenant sa parole aussi... Sophie se rendit compte qu'elle était désormais à la merci totale de son amie. Une étrange sensation de vulnérabilité l’envahit, mêlée à une frustration grandissante. Ses pensées se bousculaient : Pourquoi est-ce que j'ai fait confiance à Émilie sans en savoir plus ? Comment vais-je me sortir de cette situation ?

Chaque petit mouvement de sa tête ne faisait qu’ajuster le bâillon un peu plus contre sa peau, et Sophie réalisa qu’elle n’avait aucune échappatoire. Un marché est un marché... Les mots d’Émilie résonnaient encore dans sa tête alors qu’elle se débattait intérieurement, prise entre l'envie de rire de l'absurdité de la situation et la frustration de ne pouvoir rien faire. Émilie, toujours aussi décontractée, se promenait dans la pièce, insistant pour inspecter la boîte et les rouleaux de tape qu’elle venait de découvrir, tandis que Sophie ne pouvait qu’observer, silencieuse et immobile. Tout ce qu'elle pouvait faire désormais, c'était espérer qu'Émilie n'ait pas d'autres "surprises" en réserve.

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moimoi2
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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Émilie était tout le contraire de Sophie en termes de style et de personnalité. Grande, avec des cheveux blonds bouclés qui lui tombaient juste en dessous des épaules, elle adorait attirer l'attention. Toujours habillée de manière audacieuse et colorée, elle aimait les accessoires extravagants et les tenues qui reflétaient son exubérance. Ce jour-là, elle portait une robe moulante à motifs, avec des talons hauts qui résonnaient à chaque pas. Ses yeux pétillants de malice et son sourire espiègle trahissaient son amusement face à la situation. Elle avait un caractère imprévisible et joueur, ce qui la rendait à la fois fascinante et un peu intimidante.


Émilie, toujours enjouée, s’installa tranquillement dans le fauteuil en face de Sophie, comme si de rien n’était. « Alors, tu sais quoi ? L’autre jour, j’ai vu cette robe en solde... Tu aurais adoré ! » Elle parlait d’un ton léger, ses doigts jouant distraitement avec un des rouleaux de tape qu'elle avait trouvés dans la boîte. Sophie, toujours attachée, lançait des regards noirs à son amie, mais cela ne faisait qu’amplifier l’amusement d’Émilie.

« Oh, et devine quoi ? Clément m’a encore appelé hier soir... Toujours aussi insistant, celui-là ! » continua Émilie, faisant une petite pause pour observer la réaction de Sophie. Mais Sophie, dans sa frustration, ne pouvait qu'émettre un grognement à travers son bâillon, ses yeux lançant des éclairs.

« Oh, c'est vrai ! Tu ne peux pas vraiment répondre. Quelle dommage... » dit Émilie avec un clin d'œil, feignant une fausse tristesse avant de reprendre son monologue. « Je me demande si je devrais lui donner une chance. Mais tu sais comment il est... tellement prévisible ! »

Elle se pencha un peu vers Sophie, un sourire malicieux aux lèvres. « Dis-moi, tu penses qu’il est sincère cette fois ? » Elle attendit quelques secondes, comme si elle s'attendait à une réponse, et éclata de rire en voyant Sophie lui jeter un autre regard noir. « Oh, j’adore quand tu fais cette tête, ça te va si bien ! »

Émilie continua son bavardage, de plus en plus enjouée face à la frustration de Sophie. Mais tout à coup, elle s'arrêta de parler et fixa le rouleau de tape qu'elle tenait dans la main, songeuse. « Tu sais, Sophie, je me demande... » dit-elle en faisant tourner lentement le rouleau entre ses doigts. Elle leva les yeux vers Sophie, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres. « On pourrait... essayer ça, tu crois pas ? »

Sophie émit un grognement, secouant légèrement la tête, essayant de faire comprendre à son amie que ce n'était peut-être pas la meilleure idée. Mais Émilie n’en avait que faire. Elle se pencha un peu plus en avant, plissant les yeux comme si elle réfléchissait profondément. « Hmmm... C’est vrai que tu es déjà bien coincée. Peut-être qu’un peu de tape ici ou là... Tu sais, pour compléter le look. »

Le silence se fit dans la pièce alors qu’Émilie continuait d'observer le rouleau. Sophie, bien que ne pouvant pas dire un mot, sentait l'excitation de son amie grandir, et cela ne la rassurait pas du tout.


Émilie fit soudain une pause, levant le rouleau de tape devant elle avec une expression malicieuse. Elle tapota le rouleau contre sa paume, puis son visage s'éclaira comme si une idée géniale venait de lui traverser l'esprit. « Tu sais quoi, Sophie ? » dit-elle avec enthousiasme. « Peut-être que c’est injuste que tu sois la seule à être attachée... Je vais te tenir compagnie. »

Sophie émit un bruit confus à travers son bâillon, observant Émilie avec des yeux remplis de doute. Elle regarda Émilie se lever et se diriger vers le coin de la pièce, où une autre chaise était posée. Sophie secoua légèrement la tête, comme si elle essayait de comprendre si son amie était sérieuse ou si elle plaisantait encore.

Émilie tira la chaise à côté de Sophie, la posant à quelques centimètres de sa compagne ligotée. « Voilà ! Comme ça, on est toutes les deux dans le même bateau ! » s'exclama Émilie en s’asseyant sur la chaise. Puis, sans perdre de temps, elle prit le rouleau de tape et commença à enrouler méthodiquement ses propres chevilles. Sophie, les yeux écarquillés, ne pouvait qu’observer en silence, totalement incrédule face à l’audace d’Émilie.

« Allez, ne fais pas cette tête, ça va être amusant ! » dit Émilie en riant, tout en continuant de sceller ses jambes à la chaise. « On verra combien de temps Alexandre mettra à nous retrouver dans cet état ! »

-----

Émilie s’installa sur une chaise qu’elle avait placée à côté de Sophie, prenant soin d’adopter une posture exagérément confortable, comme si elle s’apprêtait à profiter d’une longue sieste. Avec un sourire narquois, elle attrapa le rouleau de tape et commença à enrouler ses chevilles, serrant suffisamment pour immobiliser ses jambes tout en laissant un peu de jeu, juste pour la forme. Le son du ruban adhésif se déroulant résonnait doucement dans la pièce, ajoutant à l’ambiance légère et complice.

« Ça va, Sophie ? Tu tiens le coup ? » demanda-t-elle en riant, sans attendre de réponse.

Après avoir sécurisé ses mollets, elle monta progressivement, fixant le haut de ses genoux, puis ses cuisses contre le siège de la chaise. Chaque tour de tape renforçait son immobilité, et elle s'amusait de la situation, presque trop satisfaite de son propre jeu.

« Je crois que je m’y habitue… » dit-elle en plaisantant, sa voix pleine de malice. Puis, alors qu'elle jetait un coup d’œil autour d'elle, son regard s'arrêta sur les menottes abandonnées près du bureau. Un éclat brilla dans ses yeux. « Oh tiens, pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ? » ajouta-t-elle avec un sourire en coin, tendant la main pour attraper les menottes. Elles tintèrent légèrement entre ses doigts lorsqu'elle les souleva, les faisant tourner lentement comme si elle pesait ses options.

Mais avant de passer aux menottes, elle eut une autre idée. Elle se tourna vers Sophie, toujours ligotée à côté, et afficha un sourire plein de sous-entendus, bien que Sophie ne puisse plus le voir. « On va équilibrer les choses, ma chère. » Avec un petit rire, Émilie défit le bandeau qui couvrait précédemment les yeux de Sophie et le noua autour de sa propre tête. « Voilà, on est à égalité maintenant, » plaisanta-t-elle en tirant sur le nœud pour s'assurer qu'il était bien serré. Sa vision disparut dans l’obscurité, mais cela ne fit que renforcer son amusement.

D’un geste presque désinvolte, elle passa ensuite les menottes derrière le dossier de sa chaise et les referma autour de ses poignets. Un déclic sonore confirma qu'elles étaient bien verrouillées. « Parfait ! » déclara-t-elle en se balançant légèrement, visiblement satisfaite de sa propre folie.

Sophie, observant tout cela avec un mélange d'amusement et d'incrédulité, ne put s'empêcher de sourire malgré elle. Émilie, toujours aussi intrépide, ignorait totalement que la clé des menottes reposait dans la chaussure à talon droite de Sophie, et non sur le bureau comme elle le pensait. Sophie, avec son regard taquin, ne pouvait s'empêcher de se demander quand Émilie découvrirait la vérité... mais pour l'instant, elle la laissa savourer sa petite victoire.

L'air dans la pièce était devenu plus léger, presque complice, les deux amies prises dans un jeu où ni l'une ni l'autre ne pouvait désormais prétendre avoir le contrôle total. Émilie, bien qu'aveugle et menottée, continuait à bavarder joyeusement, inconsciente des détails qui échappaient encore à son plan improvisé.


Mémoire mise à jour
C’est une excellente idée d’ajouter cette touche supplémentaire ! Voici comment la scène pourrait se poursuivre avec Émilie posant des questions sur la passion de Sophie pour le bondage :

Émilie, maintenant bien installée et visiblement amusée, se balançait légèrement sur sa chaise, profitant de son nouveau rôle. Elle avait toujours ce sourire espiègle, même si sa vision était complètement obscurcie par le bandeau.

« Alors, Sophie, je me demandais… » commença-t-elle avec un ton faussement inquisitif, « qu’est-ce qui t’attire vraiment dans tout ça ? Le bondage, je veux dire. Est-ce le côté contrôle, ou est-ce le fait d’être contrôlée ? » Elle rit légèrement, ajoutant, « ou est-ce juste que ça te fait te sentir super puissante d’avoir quelqu’un comme Alexandre qui te ligote si bien ? »

Sophie, bien que tentant de faire bonne figure malgré sa situation, aurait préféré voir Émilie dans le rôle du gag plutôt que de devoir répondre à ces questions tout en étant elle-même immobile et contrainte. Elle tenta de bouger légèrement, les chaînes de ses menottes tintant doucement, ce qui fit rire encore plus Émilie.

« Je suis curieuse, vraiment ! » continua Émilie avec un éclat de voix. « Et depuis combien de temps tu es dans ce… hobby, disons ? Est-ce que tu as des astuces secrètes pour rendre tout ça encore plus amusant ? »

Sophie, tentant de réprimer un sourire tout en se maudissant pour la situation dans laquelle elle se trouvait, avait déjà du mal à supporter la gêne provoquée par l’attitude décontractée d’Émilie. Elle se demandait combien de temps encore elle pourrait supporter les questions incessantes sans pouvoir répondre, surtout avec la situation actuelle où la présence d'un bâillon aurait été la bienvenue pour elle.

Émilie, profitant de chaque moment de silence et de chaque réaction silencieuse de Sophie, s’amusait à poser des questions toujours plus personnelles et intimes, ignorant complètement le dilemme intérieur de son amie. Ses questions continuaient de fuseler, tandis qu’elle se frottait les poignets enroulés de tape, ne perdant pas une occasion de plaisanter et de se réjouir du tour qu’elle avait joué à sa meilleure amie.

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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Alors qu’Émilie continuait de discuter avec Sophie, un bruit inattendu se fit entendre. La porte d'entrée de l'appartement s'ouvrit avec un léger grincement, et les deux filles échangèrent un regard alarmé.

« Oh non ! » s’exclama Émilie, ses yeux agrandis sous le bandeau. « Ce n’est pas Alexandre, je le sais ! »

Sophie, même si elle était bâillonnée, pouvait percevoir la montée de la panique chez Émilie et sentait l’urgence de la situation. Émilie, réalisant l’urgence, tenta de se libérer de ses liens. Elle chercha frénétiquement un bouton auto-ouvrant sur les menottes, mais en vain. Avec une lueur d’angoisse dans les yeux, elle prit la clé qu’elle avait gardée en main, essayant de déverrouiller les menottes.

« Allez, allez ! » murmura-t-elle pour elle-même, essayant de déverrouiller les menottes en se contorsionnant. Mais malgré ses efforts, la clé ne semblait pas fonctionner. Elle essayait de toutes les manières possibles, tournant la clé dans tous les sens, mais les menottes restaient obstinément fermées.

« Pourquoi ça ne marche pas ?! » se demanda Émilie, la frustration croissant avec chaque seconde. Elle se demanda si elle avait pris la mauvaise clé ou si quelque chose bloquait le mécanisme. Elle jetait des coups d'œil anxieux vers la porte, craignant que leur visiteur ne se rapproche.

Sophie, bien que dans l’incapacité de parler ou de bouger, ressentait l’angoisse de son amie et était elle-même de plus en plus stressée. Elle se demandait comment elles allaient gérer cette situation sans être découvertes.

Émilie continua de lutter avec les menottes, la clé refusant de tourner correctement. La situation devenait de plus en plus désespérée à mesure que le bruit des pas se rapprochait. Émilie se demandait si quelqu’un serait assez curieux pour entrer dans la chambre et découvrir leur situation. Elle avait besoin d’une solution rapide, et le temps jouait contre elles.

Émilie, toujours dans son rôle dramatique, gigote dans ses menottes tout en jetant des répliques amusantes. Elle fait claquer la clé inutilement dans le verrou.

« Non mais sérieusement, Sophie ! C’est quoi ce matériel ? Un truc de débutants ! Si je reste coincée, je te préviens, tu devras m'entendre me plaindre pendant des heures ! » Sa voix est pleine de sarcasme, et malgré ses efforts pour rester sérieuse, elle ne peut s'empêcher de rire de l’absurdité de la situation.

Sophie, attachée à la chaise, ses poignets reliés à la ceinture de cuir, lance un regard mi-amusé, mi-exaspéré, tout en essayant de ne pas éclater de rire malgré son bâillon. Elle regarde Émilie qui gesticule de plus en plus, agitant la clé avec frustration.

« Ah, et je t'en parle même pas du bandeau ! » continue Émilie, d'un ton faussement outré, en tentant de le réajuster malgré ses mains entravées. « Tu es sûre que ce n'est pas fait pour des enfants ? J’aurais dû m’en douter avec tes trucs, Sophie... »

Sophie, les yeux pleins de malice, pousse un petit gémissement en réponse, tentant tant bien que mal de communiquer son amusement.

Au même moment, des pas résonnent de plus en plus près. Anaïs, qui vient d’entrer dans la maison, appelle doucement : « Sophie ? Tu es là ? » Émilie se fige, son visage passant rapidement de l’amusement à une expression de panique légère.

« Oh non, oh non ! » souffle-t-elle à voix basse, tout en essayant encore plus frénétiquement de retirer les menottes, sans succès.

Sophie, les joues rouges de honte et d’amusement, se tortille sur sa chaise, tout en priant intérieurement pour que sa sœur ne les trouve pas dans cette situation embarrassante.


------------

Anaïs ouvre doucement la porte, curieuse après avoir entendu des bruits étouffés. Elle pousse la porte et tombe sur la scène inattendue : Sophie attachée à la chaise, bâillonnée, et Émilie, les jambes entravées, les poignets menottés derrière le dossier de la chaise et un bandeau sur les yeux. Anaïs s'arrête, sourit, et après un instant d'hésitation, éclate de rire.

Anaïs : "Eh bien, eh bien, je crois que j'arrive au mauvais moment… ou au meilleur, tout dépend du point de vue !"
Sophie, embarrassée, tente de se défendre en murmurant sous son bâillon, tandis qu’Émilie, sans encore comprendre, lève la tête, agitant ses mains menottées derrière la chaise.

Émilie : "Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? C'est toi Alexandre ?"

Anaïs (moqueuse) : "Non, ce n’est pas Alexandre, ma chère. C’est Anaïs, et je dois dire que je ne m’attendais pas à trouver une telle scène en venant ici pour un simple bonjour."

Elle s'approche lentement, inspectant les liens des deux femmes, tout en lançant un regard amusé à Sophie.

Anaïs : "Alors, c'est comme ça que vous occupez vos journées ? Vous auriez pu m'inviter, j'aurais au moins amené des snacks."
Sophie lance un regard noir à sa sœur, espérant qu'elle se contente de les détacher rapidement. Mais Anaïs n’est pas décidée à leur faciliter la tâche.

Anaïs : "Oh non, ne me regarde pas comme ça ! Je veux bien vous libérer, mais je crois qu’on va discuter un peu avant. J’ai des questions, et je doute que tu sois dans une position pour ne pas répondre, non ?"
Elle s'assoit sur le lit, en face des deux prisonnières, les observant avec un sourire complice.

Anaïs : "Alors, Sophie, c’est quoi l’histoire ? Alexandre est parti, et toi… et toi Émilie, tu t’es laissée prendre à ton propre jeu ?"
Sophie secoue la tête, désespérée, tandis qu’Émilie éclate de rire sous son bandeau, sans vraiment savoir à quoi elle ressemble, mais ravie par la tournure comique de la situation.

Émilie continuait de discuter joyeusement avec Anaïs, totalement aveugle à ce qui allait se passer. Anaïs, d’un regard complice à sa sœur Sophie, qui était toujours attachée, souriait malicieusement. Sophie, elle, oscillait entre amusement et exaspération, se demandant ce qu’Anaïs mijotait exactement.

« Tu sais, Sophie a de la chance de t’avoir comme sœur, vraiment... Mais ces menottes, c'est n'importe quoi ! » râlait Émilie, se débattant un peu sans succès. « Sérieusement, c'est de la camelote ! Je ne vais jamais... »

À ce moment précis, Anaïs, sans dire un mot, s'approcha doucement d’Émilie et lui présenta un objet que Sophie reconnaissait immédiatement : un bâillon boule recouvert d'une élégante plaque de cuir noire. Avant qu'Émilie ne puisse continuer de protester, Anaïs glissa la boule dans sa bouche et ajusta la plaque de cuir autour, bouclant le tout solidement derrière sa tête.

Sophie ne put retenir un sourire en coin alors qu'Émilie poussait un faible « mmmph ! » étouffé sous le bâillon, ses paroles désormais bien réduites à des bruits incompréhensibles. La plaque en cuir, bien ajustée, empêchait toute tentative d’Émilie de déloger le bâillon, et étouffait encore plus ses sons. Anaïs, toujours avec ce même sourire taquin, déclara : « Là, ça devrait être un peu plus calme... Pas vrai, Sophie ? »

Sophie, avec son propre bâillon toujours en place, lança un regard à la fois amusé et complice à Anaïs. Émilie, bien qu’incapable de répondre, semblait rouler des yeux derrière son bandeau, résignée à son sort, tout en s’agitant un peu sur la chaise, visiblement agacée mais amusée à la fois. La scène, entre amis, oscillait entre légèreté et cocasserie, chacun jouant parfaitement son rôle.


Très bonne idée d'ajouter des tours de tape pour immobiliser Émilie un peu plus, surtout si elle a encore plus de liberté que Sophie. Voici la scène enrichie avec ce détail supplémentaire :

Alors qu’Émilie tentait de marmonner des protestations à travers son bâillon, Anaïs ne s'arrêta pas là. Elle observa son amie, toujours en train de s'agiter légèrement, et eut une petite idée. Avec un regard rapide à Sophie pour s'assurer qu’elle ne se sentait pas trop démunie, Anaïs se dirigea vers la boîte d’accessoires à proximité et en sortit un rouleau de tape gris brillant.

« On va s’assurer que tout le monde soit bien à égalité ici, » murmura Anaïs, avec un sourire en coin.

Émilie, ayant entendu le son distinct du tape qu'Anaïs déroulait, se figea sur sa chaise. Malgré son bandeau, elle devinait très bien ce qui se préparait. Elle tenta de bouger ses épaules, mais avant qu’elle n’ait pu formuler une nouvelle protestation, Anaïs commença à enrouler le tape autour de son torse, juste en dessous de sa poitrine, fixant fermement ses bras au dossier de la chaise. Émilie se retrouva désormais bien plus immobilisée, incapable de bouger ses épaules ou ses bras.

Après quelques tours supplémentaires autour de la taille et du haut des bras, Anaïs recula légèrement pour admirer son travail. Elle sourit, satisfaite de sa propre technique, tandis qu’Émilie testait ses nouveaux liens sans grand succès, émettant quelques « mmmph ! » étouffés et roulades de tête derrière son bandeau.

« Voilà, maintenant on est sûres que tu ne te fais pas de faveur par rapport à Sophie, » lança Anaïs d’un ton faussement paternel. Sophie, observant la scène tout en étant elle-même solidement attachée, ne put s’empêcher de laisser échapper un rire silencieux derrière son propre bâillon, les yeux remplis d'amusement.

Émilie, bien que totalement immobilisée et bâillonnée, semblait étrangement amusée par la situation, un soupçon de défi dans ses mouvements limités. Elle essayait de bouger ses bras ou de faire glisser le tape, mais sans succès. Tout ce qu’elle pouvait faire désormais, c’était lancer des regards invisibles à travers son bandeau, espérant un brin de clémence qui, manifestement, n’allait pas venir.

Anaïs, tout sourire, se place derrière Sophie, observant les deux femmes ligotées. « Maintenant, il n’y a plus de jalouse, vous êtes vraiment adorables, toutes les deux, » dit-elle en se penchant légèrement pour resserrer un lien déjà bien ajusté autour des poignets de sa sœur. Elle glousse en voyant Sophie tenter de protester silencieusement sous son bâillon, ses sourcils froncés exprimant plus que des mots. Émilie, quant à elle, laisse échapper un rire étouffé, bien consciente de la situation, mais elle ne peut s’empêcher de se tortiller pour tester les nouvelles bandes de tape autour de son torse.

« Alexandre aura droit à une sacrée surprise en rentrant, » murmure Anaïs, avec un clin d'œil complice. Elle regarde Sophie en haussant les sourcils d'un air malicieux, puis se dirige doucement derrière sa sœur, posant délicatement ses mains sur ses épaules. Elle savoure ce moment, comme une spectatrice qui admire une œuvre d'art.

Elle se penche à l’oreille de Sophie et murmure : « Tu sais, tu es encore plus jolie quand tu ne peux pas riposter. » Sophie tente de se débattre, sa gêne augmentant, mais elle est parfaitement immobile sous l’étreinte des cordes et des mains de sa sœur. Anaïs ne fait qu’accentuer la tension en posant ses doigts sur la joue de Sophie, la caressant doucement, tandis que derrière elle, Émilie secoue doucement la tête, mi-amusée, mi-envieuse de l’attention qu’Anaïs porte à sa sœur.

Puis, Anaïs se redresse, un sourire joueur aux lèvres, et claque ses mains ensemble comme si elle venait d’avoir une idée brillante. « Et si on laissait Alexandre découvrir tout ça par lui-même ? »

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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

Message par moimoi2 »

Anaïs s'approche doucement de Sophie, prenant un air faussement bienveillant. « Allez, je vais te rendre service, » dit-elle en commençant à dessangler délicatement le bâillon de sa sœur. Sophie, reconnaissante, laisse échapper un soupir de soulagement et murmure un « Merci… » à peine audible avant que, sans prévenir, Anaïs resserre le bâillon encore plus fermement, le remettant en place avec un sourire malicieux.

« Oups, trop tôt pour te libérer, ma chère ! » plaisante-t-elle en tirant légèrement sur le cuir pour s'assurer qu'il est bien ajusté. Sophie la regarde avec des yeux pleins d'une frustration muette, incapable de répondre autrement que par un regard noir.

Anaïs se recule un peu et plisse les yeux, semblant réfléchir. « Hmm… Il manque quelque chose, je trouve. » Elle fait mine de réfléchir intensément, puis sans un mot de plus, elle quitte la pièce, ses talons claquant doucement sur le sol.

Émilie, les yeux bandés et donc incapable de voir ce qui se passe, écoute attentivement les bruits autour d'elle, essayant de deviner ce qu'Anaïs pourrait préparer. Elle échange des regards inquiets avec Sophie, mais sans pouvoir vraiment voir ce qui se passe.

Deux minutes plus tard, Anaïs revient dans la pièce, cachant quelque chose derrière son dos. Elle se dirige vers Sophie avec un air de mystère.

« Devinez ce que j’ai trouvé, » annonce-t-elle d’un ton taquin, s'arrêtant juste devant Sophie, les yeux pétillants de malice. « J'ai l'impression que ça va être très amusant… pour moi, en tout cas. »


Anaïs s'approche de Sophie avec une expression déterminée, et le premier geste qu'elle fait est de placer un bandeau sur les yeux de Sophie. Ce dernier est bien ajusté, empêchant Sophie de voir ce qui se passe autour d'elle.

Sophie, toujours enchaînée à la chaise, essaie de se détendre, mais son inquiétude grandit alors qu'elle entend les bruits de mouvements d’Anaïs. Elle peut entendre des gémissements étouffés provenant d’Émilie, mais comme elle ne peut pas voir, elle est un peu désorientée et se demande ce qui arrive à son amie.

Anaïs s’occupe ensuite d’Émilie. Avec une dextérité surprenante, elle commence à apposer des bouchons de cire dans les oreilles d’Émilie, qui réagit immédiatement avec des gémissements incompréhensibles. Le processus semble rendre Émilie encore plus inconsciente de ce qui se passe autour d'elle.

Sophie entend les plaintes étouffées de son amie mais n’a aucune idée de ce que fait Anaïs. Le silence s’installe peu à peu dans la pièce pour Émilie, qui se retrouve maintenant presque complètement coupée du monde sonore.

Une fois que Anaïs a terminé avec les bouchons d’oreilles, elle retourne vers Sophie. Le sourire malicieux toujours sur les lèvres, elle reprend la parole. « Je pense que c'est presque parfait, » dit-elle d'un ton espiègle. « Mais il me semble qu'il manque encore un petit détail. »

Sophie, toujours attachée et avec le bandeau sur les yeux, tente de se détendre en attendant de découvrir ce que prépare Anaïs.


« Je vais partir étudier maintenant, » annonce-t-elle avec un sourire amusé. « Je veux du silence, et vous aussi. Vous pourrez réfléchir plus calmement comme ça. »

« Je vais vous laisser ici jusqu'à ce qu'Alexandre revienne, » ajoute Anaïs, d'un ton nonchalant. « Profitez du silence et de votre réflexion, mes chères. ». Elle pose délicatement des bouchons de cire dans les oreilles de Sophie, complétant ainsi le processus de l'isolement sensoriel pour ses deux « prisonnières ».

Anaïs quitte la pièce avec un dernier regard amusé vers ses deux captives. Sophie et Émilie, maintenant complètement privées de leur vision et de leur ouïe, se retrouvent seules, attendant le retour d'Alexandre dans une complète incertitude.

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Re: Alexandre et Sophie - (Chat GPT)

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Alexandre rentra dans l’appartement, un sourire satisfait aux lèvres après sa courte escapade. Ce qu’il découvrit en entrant dans la pièce le surprit au plus haut point. Au lieu de trouver Sophie ligotée comme il l’avait laissée, il découvrit deux femmes attachées sur les chaises, l’une d’elles étant Émilie, l’amie de Sophie. Le tableau le fit rire de bon cœur.

Il s’approcha d’abord de Sophie et Émilie, et commença par retirer les bouchons de cire de leurs oreilles. Les filles semblaient d’abord désorientées, leurs expressions trahissant un mélange de soulagement et d’anxiété. Le silence oppressant était maintenant brisé par les sons de leur environnement, mais leurs bouches restaient encore bâillonnées.

Alexandre, amusé par la situation, enleva le bandeau de Sophie pour découvrir son visage marqué par l’incompréhension et la gêne. Il observa les réactions des deux femmes avec un amusement croissant. Les gémissements étouffés et les regards suppliants des deux prisonnières ne firent qu’accroître son amusement. Il écouta les tentatives désespérées des deux femmes pour communiquer, leurs voix étouffées par les bâillons et leurs mouvements limités par les cordes. Les expressions de frustration et de supplication étaient évidentes, et il en profita pour faire durer le suspense.

« Alors, qu’est-ce qui s’est passé ici ? » demanda-t-il en se moquant gentiment. Il fit un tour autour d’elles, examinant les liens et les accessoires avec une curiosité amusée. Les regards accusateurs de Sophie et les gémissements plaintifs d’Émilie lui firent comprendre qu’elles étaient impatientes de retrouver leur liberté.

Il sourit, amusé par la tournure des événements, et se pencha vers elles pour leur promettre qu’il les détacherait bientôt. Mais avant de le faire, il se demanda comment il pourrait prolonger encore un peu cette situation divertissante, savourant le jeu de pouvoir et de surprise qui venait de se dérouler.


Alexandre commença à détacher Sophie avec une attention minutieuse. Dès qu'il libéra ses bras, Sophie se leva avec un soupir de soulagement et s’étira, tentant de dénouer les tensions accumulées dans ses muscles. Elle se frotta les poignets, appréciant la sensation de liberté retrouvée.

Cependant, lorsqu'Alexandre tenta d’enlever le bâillon, il se rendit compte qu’une petite surprise l’attendait : un petit cadenas sécurisé maintenait la sangle en place. Ses sourcils se haussèrent de surprise et il lâcha un rire amusé.

« Ah, je vois que quelqu'un a été particulièrement diligent dans ses préparatifs », dit-il en examinant le cadenas avec curiosité. Il secoua la tête, amusé par la situation, et tenta en vain de défaire le bâillon.

Pendant ce temps, Émilie, toujours ligotée et bâillonnée, s’impatientait. Elle se tortillait sur sa chaise, les gémissements étouffés et les mouvements limités accentuant son frustration croissante. Elle lança des regards plaintifs à Alexandre, essayant de capter son attention, mais celui-ci semblait parfaitement absorbé par les efforts pour libérer Sophie.

« Oh, Émilie, je ne t’ai pas oubliée », dit Alexandre en se tournant vers elle avec un sourire malicieux. Il nota les regards accablés et les mouvements agités de son amie et se moqua gentiment. « Patience, tu n’es pas en reste. Je m’occupe de toi dans un instant. »

Il retourna à Sophie, inspectant le cadenas et cherchant une solution pour le déverrouiller. Les plaintes et les regards désespérés d’Émilie n’avaient pas l’air de le déranger, au contraire, il semblait plutôt apprécier le jeu. Il fit de son mieux pour offrir un spectacle amusant, profitant de chaque moment de suspense pour prolonger le divertissement.

Alexandre, toujours en train d'examiner le bâillon, annonça à Sophie avec un sourire : « Il y a un cadenas sur ce bâillon, tu sais. »

Sophie, agacée et impatiente, leva les yeux vers lui, exprimant son exaspération par un regard noir. Elle tenta de vérifier par elle-même et, se rendant compte qu'il avait raison, secoua la tête en signe de frustration. Le cadenas, petit mais redoutablement efficace, maintenait la sangle en place, rendant son retrait impossible sans la clé.

Elle soupira bruyamment et lança un regard exaspéré vers Alexandre, faisant tout son possible pour exprimer son irritation à travers le bâillon. Malgré son impatience, Sophie dut attendre patiemment que le problème soit résolu, la sensation d'être ainsi piégée aggravant son mécontentement.

Alexandre, après un moment de contemplation amusée, commença à détacher Sophie. Celle-ci se leva enfin, libérée de ses entraves, et s’étira longuement, savourant le retour de sa liberté. Elle lança un regard noir vers Alexandre, impatiente de se débarrasser de son bâillon. Alexandre s'approcha pour le lui retirer, mais lorsqu’il tira sur la sangle, il se rendit compte qu’un petit cadenas verrouillait le dispositif.

« Eh bien… » murmura-t-il avec un sourire en coin. « On dirait qu’il y a un cadenas là-dessus. »

Sophie, agacée et incrédule, vérifia elle-même, ses doigts glissant sur le petit cadenas métallique. Elle grogna de frustration en réalisant qu'Alexandre disait la vérité. Le bâillon était bel et bien verrouillé. Sa colère monta rapidement, mais Alexandre ne put s’empêcher de rire en voyant l’expression sur son visage.

Pendant ce temps, Émilie, toujours solidement attachée à sa chaise, pieds, jambes et bras immobilisés, n’en pouvait plus. Les yeux bandés, elle ne pouvait rien voir, mais elle entendait les murmures et les gémissements frustrés de Sophie. Sentant qu’on l’ignorait, elle commença à se tortiller davantage, émettant des gémissements pour attirer l'attention. Pourtant, ni Sophie ni Alexandre ne semblaient la remarquer, ce qui accentua son sentiment d’impuissance.

Sophie, malgré son bâillon, désigna Émilie d’un signe de tête à Alexandre, mais lorsqu’il s’apprêta à la libérer, Sophie l’arrêta brusquement. Elle s'approcha de sa meilleure amie, et avec un air malicieux, sortit un bandeau de son sac. Elle plaça soigneusement ce bandeau sur les yeux d’Émilie, qui geignait et secouait légèrement la tête, confuse.

« Un marché est un marché, » aurait dit Sophie si elle avait pu parler. Puis, dans un dernier acte de taquinerie, Sophie inséra les bouchons de cire dans les oreilles d’Émilie. Désormais, privée de sa vue et de son ouïe, Émilie était totalement coupée du monde. Elle émit de faibles plaintes, mais Sophie fit un pas en arrière, observant son travail avec satisfaction.

Alexandre, amusé par toute la scène, fit mine de chercher la clé du cadenas dans la chambre. Pendant ce temps, Sophie circulait librement, savourant sa liberté retrouvée. Elle prenait tout son temps, examinant la situation avec un sourire en coin. De son côté, Émilie, totalement inconsciente de ce qui se passait autour d’elle, continuait de se tortiller sur sa chaise, émettant des gémissements comme pour essayer de dire quelque chose. Mais ni Sophie ni Alexandre ne lui prêtèrent attention, préférant savourer le moment.

Le silence s'installa dans la pièce, interrompu seulement par les petits bruits de frustration qu’Émilie émettait. Sophie, désormais débarrassée de la plupart de ses liens, s'apprêtait à découvrir ce que son cher Alexandre avait en tête pour la suite.

Sophie, bien qu'encore prisonnière de son bâillon, décide qu'il est temps d'aller confronter sa sœur. Ses pas sont déterminés, mais son visage trahit un mélange de frustration et d’impatience. Elle se dirige vers la chambre où Anaïs s’est installée après sa petite escapade espiègle.

En la voyant entrer, Anaïs, allongée nonchalamment sur le lit avec un livre, relève à peine les yeux.

« Oh, te voilà, » dit-elle avec un sourire en coin. « Tu as l'air d'avoir besoin de quelque chose. »

Sophie, les bras croisés, lui lance un regard noir et, d’un geste rapide, désigne le cadenas sur son bâillon, l’air de dire « maintenant ça suffit. » Anaïs la regarde avec une fausse innocence, prenant visiblement un malin plaisir à la voir ainsi.

« Ah, tu veux les clés ? » Elle se redresse, faisant mine de réfléchir. « Hmm... je me demande où je les ai mises… » Elle affiche un air taquin, ses doigts tapotant son menton. Sophie soupire à travers le bâillon, exaspérée.

Anaïs finit par se lever, lentement, en traînant ses pieds vers une commode. « Bon, d'accord. Je vais être sympa. Mais tu me dois bien ça pour toutes les fois où je t’ai couverte. » Elle sourit malicieusement, ouvrant doucement un tiroir pour en sortir un petit trousseau de clés. Puis, d’un geste théâtral, elle le fait danser dans l’air devant Sophie, avant de finalement lui tendre.


Sophie, enfin libérée de son bâillon, prend une profonde inspiration en savourant sa liberté retrouvée. Elle se tourne vers Alexandre, qui l'attendait patiemment dans la pièce, les bras croisés et un sourire amusé aux lèvres. Derrière eux, Émilie, toujours fermement attachée à la chaise, continue de gémir et de se tortiller, mais ils l’ignorent pour l’instant.

« Alors, qu’est-ce qui s’est passé exactement ici ? » demande Alexandre, un sourcil levé. « Je te laisse seule, et je retrouve Émilie ligotée à une chaise. Comment elle a fini là ? »

Sophie soupire en croisant ses bras, se rappelant toute la scène absurde qui s'était déroulée. « Eh bien… tu te souviens des clés que j’avais données à Émilie pour qu’elle puisse utiliser la buanderie ? »

« Oui, et ? » Alexandre s'assoit sur le bord du lit, intrigué.

« Elle est venue faire sa lessive, comme prévu. Mais le problème, c’est que je n’avais pas pensé à ça quand tu es parti. Elle est entrée, sifflotant dans la maison, et moi… j'étais toujours attachée à cette fichue chaise. Je n'ai pas bougé, espérant qu'elle ne me trouverait pas. Mais évidemment, avec mon manque de discrétion et mes talons qui faisaient du bruit, elle m’a entendue. »

Alexandre sourit, déjà amusé par la tournure des événements. « Donc, elle est entrée dans la pièce et t’a trouvée là ? »

Sophie hoche la tête. « Exactement. J’étais mortifiée. Émilie, fidèle à elle-même, a trouvé ça plus drôle qu’embarrassant. Elle a commencé à poser plein de questions et à se moquer de moi, comme si de rien n’était. Puis… je ne sais pas ce qui lui a pris, mais elle a décidé qu’elle aussi voulait essayer. »

Alexandre éclate de rire. « Elle voulait essayer ? »

« Oui, tu la connais… Elle est complètement folle, » continue Sophie, avec un sourire en coin. « Elle a trouvé du tape, une autre chaise… et avant que je ne réalise ce qu’il se passait, elle s’était ligotée elle-même, les jambes bien immobilisées, le bandeau sur les yeux, et même les menottes. »

Alexandre rit encore, visiblement ravi par le récit. « Donc elle s'est attachée toute seule… »

« Oui, mais elle a oublié un détail, » ajoute Sophie, malicieuse. « Les clés des menottes… elles étaient cachées dans mes chaussures. Elle a essayé d'utiliser celles sur le bureau, mais ça n'a évidemment pas marché. »

Alexandre secoue la tête, impressionné. « C’est tellement elle. »

Sophie acquiesce, son regard se dirigeant vers Émilie qui gémit toujours, essayant désespérément d’attirer leur attention. « Voilà comment elle s'est retrouvée là. »

Alexandre la regarde avec une étincelle dans les yeux. « Et maintenant ? Tu veux que je la libère, ou on la laisse se débrouiller un peu plus longtemps ? »

Sophie sourit en se tournant vers Émilie, amusée. « Je crois qu’elle peut attendre encore un peu. Elle a tellement parlé tout à l'heure... un peu de silence ne lui fera pas de mal. »

Sophie se rapproche d’Alexandre, un peu plus sérieuse mais toujours amusée par la situation. « Tu sais, ce n’est pas tout ce qui s’est passé. Anaïs est passée aussi, et... disons qu’elle a mis sa touche personnelle à tout ça. »

Alexandre, intrigué, fronce les sourcils. « Anaïs ? Qu’est-ce qu’elle a fait ? »

Sophie roule des yeux, encore agacée par le souvenir. « Oh, elle n’a pas pu s’empêcher de s’amuser. Elle est entrée après qu’Émilie se soit attachée, et au lieu de m’aider à enlever mon bâillon, elle s’est bien moquée de moi. Elle a fait semblant de vouloir m’aider, puis elle a resserré le bâillon avec un petit cadenas. J’étais furieuse ! »

Alexandre éclate de rire. « Un cadenas ? Sérieusement ? »

« Oui, sérieusement, » réplique Sophie en secouant la tête, mi-exaspérée, mi-amusée. « Mais ce n’est pas tout. Elle a trouvé que j’étais ‘trop bruyante’… alors elle a aussi mis des bouchons de cire dans mes oreilles. Et elle a fait pareil pour Émilie. »

Alexandre secoue la tête, riant doucement. « C’est bien Anaïs, ça. Elle aime tout contrôler, même le silence. »

Sophie soupire, un sourire en coin. « Elle nous a laissées là, toutes les deux, ligotées, bâillonnées, et à moitié sourdes, en disant qu’on pourrait ‘réfléchir en silence’ jusqu’à ton retour. »

Alexandre, toujours hilare, jette un coup d’œil vers Émilie, qui gigote sur sa chaise, les yeux bandés, clairement impatiente d’être libérée. « Et bien… je suppose qu’il y en a une qui ne réfléchit plus, là. »

Sophie éclate de rire à son tour, puis secoue la tête en regardant son amie. « Oui, je crois que c’est à toi de jouer maintenant. »

Sophie s'approche d'Émilie, toujours assise sur la chaise, les joues rouges et les yeux suppliants derrière son bandeau. Ses gémissements étouffés par le bâillon résonnent dans la pièce. Sophie retire d'abord délicatement le bandeau des yeux d'Émilie, révélant son regard impatient, puis retire les bouchons de cire de ses oreilles.

Émilie tente de parler, mais le bâillon empêche toute parole intelligible. Ses yeux sont à la fois furieux et curieux. Sophie, un sourire amusé aux lèvres, se baisse et sort tranquillement une clé de sa chaussure.

Elle lève la clé devant Émilie avec une touche de malice dans les yeux. « Devine ce que c'est. »

Émilie la regarde, incrédule, tentant encore de dire quelque chose, mais ses protestations sont toujours étouffées. Sophie se penche et murmure : « Les clés des menottes. »

Le regard d'Émilie s'élargit de surprise et de frustration. Sophie lui explique, avec un brin de sarcasme : « J'ai essayé de te prévenir… mais bon, tu m'avais bâillonnée, alors… pas vraiment facile de te dire où étaient les clés. »

Émilie grogne, visiblement partagée entre l'envie de rire et l'exaspération de la situation. Sophie s'approche finalement, retire doucement le bâillon d'Émilie, qui, à peine libérée, éclate de rire malgré elle, secouant la tête : « Tu plaisantes, non ? Dans ta chaussure ?! »

Sophie hoche la tête avec un sourire en coin, puis hausse les épaules. « Eh oui. Si seulement tu ne m'avais pas bâillonnée… »

Émilie se met à rire de plus belle. « C'était vraiment une idée idiote... Allez, tu veux bien me détacher, maintenant ? »

Sophie, avec un sourire malicieux, tend la clé à Émilie. « Allez, je te laisse faire ça toi-même. » Émilie la regarde, d'abord surprise, puis réalise que c'est la dernière petite blague de Sophie.

« Sérieusement ? » grogne Émilie, encore attachée, mais un sourire en coin apparaît sur son visage.

« Oh oui, » répond Sophie en riant doucement. « Je vais préparer l'apéro avec Alexandre. Prends ton temps... et surtout, essaie de ne pas faire tomber les clés. » Elle lui lance un clin d'œil avant de se tourner vers Alexandre, qui observe la scène amusé.

Alors que Sophie et Alexandre s'éloignent, laissant Émilie seule avec la clé, cette dernière secoue la tête en souriant. Elle marmonne à elle-même : « C’est vraiment pas ma journée… »

Sophie, tout en s’éloignant, lance joyeusement par-dessus son épaule : « On t'attend dans la cuisine !

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