Le gage
Publié : 07 nov. 2024, 12:24
Bonsoir à tous
Inspiré lors de cette journée par cette belle météo automnale, j'ai rédigé une courte nouvelle. N'hésitez pas à me transmettre votre retour.
En ouvrant le colis livré par la poste, Lætitia s’énerva :
- J’avais commandé des sous-vêtements rouges et je reçois des sous-vêtements noirs !
Martin entendit l’exaspération de sa campagne et s’empressa de la calmer :
- Pourquoi s’emporter, ma chérie ? Il te suffit de contacter le vendeur par téléphone ou courriel pour lui signifier son erreur.
- Tu as bien raison, mon amour. Ma colère n’est pas justifiée.
- En outre, le noir te va si bien. Cet erreur est, peut-être, un mal pour un bien. Il est dommage que tu t’énerves pour des choses si futiles. Pour canaliser ta colère, je te propose un défi : au cours de la semaine prochaine, tu disposeras d’un quota de trois colères.
- Si peu !
- S’énerver revient à perdre de l’espérance de vie ! C’est donc pour ton bien !
- Quel sera mon gage si j’échoue ?
- J’ai quelques idées mais je les garde secrètes.
- Mon amour, tu es bien cachottier mais j’accepte ton défi.
Lætitia était une belle femme de vingt-huit ans avec une chevelure rousse et des yeux verts. D’un tempérament plutôt agréable, elle avait comme principal défaut de s’énerver souvent pour des choses de peu d’importance. Elle était en couple depuis deux ans avec Martin, un bel homme de trente-un ans avec une chevelure noire et des yeux marrons. Ils s’étaient rencontrés lors d’un dîner entre amis deux ans auparavant et avaient ressenti dès le premier regard une attirance l’un envers l’autre. Lors d’une deuxième rencontre, ils échangèrent un baiser, ce qui marqua le début d’une relation qui les comblait tous les deux.
Quelques jours plus tard, Martin sentit une odeur de brûlé et entendit Lætitia se fâcher :
- Mince ! J’ai oublié mon gâteau dans le four ! Quel gâchis !
- Ma chérie, il me semble que tu as dépassé ton quota de colère.
- Vraiment ?
- J’en suis sûr. Tu as pesté Lundi car tu ne trouvais pas tes clefs. Tu as juré Mardi car tu avais oublié d’acheter le sel. Tu as affirmé ton mécontentement Mercredi car tu avais tâché ton nouveau pantalon.
- Je crois que tu as raison. Quel est mon gage ?
- Tu vas le découvrir rapidement, ma chérie .
Martin prit un paquet posé sur l’étagère du salon puis l’offrit à sa compagne.
- Ce paquet contient ta tenue vestimentaire pour la durée du gage. Monte vite dans notre chambre pour l’enfiler ».
Lætitia exécuta l’ordre de Martin tout en se demandant nerveusement ce que son compagnon lui réservait comme surprise. En l’ouvrant dans la chambre, elle trouva un micro bikini rayé noir et blanc constitué d’un petit string et d’un petit soutien gorge. Elle trouva Martin bien malicieux mais c’était également pour cette raison qu’elle l’aimait.
Elle se déshabilla, enfila le cadeau de son compagnon et admira sa silhouette presque nue dans un miroir et en fut très satisfaite !
Elle redescendit dans le salon et signala sa présence à son compagnon :
- Tu es bien coquin, mon amour et tu as également bon goût. Je trouve ce bikini splendide mais pourquoi avoir choisi ce motif de bagnard ? Tu sais pourtant que je suis ta prisonnière !
- Je le sais ma chérie mais tu le seras un peu plus ce soir.
Lætitia, intriguée par cette réponse, sentit son cœur accélérer.
Martin expliqua la nature du gage à sa compagne :
- Dans notre société, si quelqu’un enfreint la loi, il finit en prison pour quelque temps. J’ai choisi ce gage à l’image de ce principe mais, notre logement ne disposant pas de barreaux, j’ai du trouver une autre solution.
Martin montra à Lætitia un carton qui contenait des cordes.
Un peu effrayée, Lætitia s’exclama :
- Des cordes ! Tu souhaites donc me ligoter ! N’est ce pas dangereux ?
- Rassure-toi. Ces cordes sont spécialement conçues pour le ligotage et je sais m’en servir .
- Tiens donc !
- J’ai été en couple avec une femme qui appréciait être ligotée et j’ai appris grâce à elle l’art du ligotage. Es tu rassurée, ma chérie ?
Après quelques secondes d’hésitation, Lætitia marqua son approbation :
- Oui.
Martin prit sa compagne par la main et l’invita à s’asseoir sur une des chaises du salon. Il prit une première corde puis commença à lui lier les bras derrière le dossier.
Lætitia se fit la réflexion qu’elle n’aurait jamais cru ce matin qu’elle finirait ligotée en petite tenue sur une chaise du salon ! Elle avait néanmoins une grande confiance dans son compagnon.
Martin acheva le ligotage des bras de sa chérie : ils étaient à présent solidement liés au dossier de la chaise derrière son dos.
- Dans notre société, la durée de l’emprisonnement est définie par un juge mais, n’étant pas juge, je te laisserai définir toi-même cette durée.
Lætitia fut intriguée par cette assertion.
- Mon amour, je souhaiterais alors que mon « emprisonnement » ne dure que cinq minutes.
- Ma chérie, le pouvoir de décision sera bientôt dans tes mains.
Martin quitta le salon quelques minutes puis revint avec le vibromasseur de sa compagne pour sa plus grande surprise. Cette dernière comprit qu’elle serait « stimulée » au cours de sa punition.
- J’ai apporté quelques modifications à ton vibromasseur. Tu disposes à présent d’une commande avec un bouton poussoir qui déclenche à chaque impulsion un cycle de dix minutes de « plaisir ». Tu seras délivrée à l’issue de cinq cycles. A toi de décider quand tu souhaites les déclencher mais sache que tu ne peux arrêter le cycle lorsqu’il est lancé.
- Tu as une imagination bien canaille !
- Je suis sûr qu’elle te comble de bonheur.
Pour toute réponse, Lætitia fit un grande sourire.
Martin posa le vibromasseur contre le sexe de sa chérie puis l’attacha fermement à ses cuisses. Il termina le ligotage par d’autres liens au droit des chevilles et des genoux. Les jambes de Lætitia étaient solidement liées à la chaise. Il déposa la commande du vibromasseur dans la main droite de sa chérie et la fixa avec un ruban adhésif afin qu’elle ne la perde pas.
- Pour rendre ta soirée plus agréable, j’ai téléchargé une version informatique du roman que tu est en train de lire sur ton ordinateur et tu pourras ainsi poursuivre ta lecture tout étant ligotée.
Martin posa le PC de sa compagne sur la table face à elle puis déposa la souris dans la main gauche de Lætitia et la fixa également avec un ruban adhésif.
- Pour faire défiler les pages, il te suffit de tourner la molette.
Martin reprit le carton contenant les cordes puis en sortit un bâillon boule rouge.
- Il ne reste plus qu’un détail pour achever ta préparation. Ma chérie, pourrais tu, s’il te plaît, ouvrir ta bouche ?
Lætitia s’exécuta puis Martin enfonça la balle dans la bouche et sangla le bâillon derrière la nuque de sa compagne.
- Te voici prête pour ton gage. Un signal sonore m’indiquera l’achèvement des cinq cycles. En cas de difficulté, le deuxième bouton de la commande te permettra de m’avertir par un autre signal sonore. N’hésite surtout pas à l’utiliser quel que soit ton problème.
Martin déposa un baiser sur la joue de sa compagne.
- Je te souhaite une belle soirée, ma chérie !
Il alluma la chaîne hi-fi, choisit une musique relaxante puis quitta le salon y laissant seule sa compagne. Elle déclencha dès son départ un cycle de « stimulation » et constata que la puissance du vibromasseur était à son maximum !
Lætitia essaya de se maîtriser mais en vain. Elle sentit l’excitation monter rapidement et ses muscles se contracter jusqu’à une explosion de plaisir puis le processus recommençait de plus belle sans lui laisser le moindre répit jusqu’à l’arrêt du vibromasseur. A l’issue de ce premier cycle, elle était déjà en sueur et exténuée comme une athlète après avoir couru un marathon. Elle s’étonna de la force de l’orgasme et conclut que les cordes avaient un effet très érogène sur son corps.
Elle prit le temps de lire quelques pages de son roman puis admira sa silhouette presque nue dans le miroir du salon. Elle se trouva particulièrement belle, les cordes et le bâillon mettant élégamment en valeur son corps.
Elle démarra un nouveau cycle de stimulation et enchaîna à nouveau un orgasme après l’autre. Ses muscles étaient tendus à rompre un mur en béton mais les cordes ne bougeaient pas d’un millimètre. Elle se fit la réflexion que son chéri maniait divinement bien les cordes : rien ne bougeait alors qu’elle essayait de gigoter comme une forcenée.
Lætitia enchaîna cycles de stimulation et pauses lecture jusqu’à arriver au bout de son gage. Totalement fourbue mais émerveillée par le plaisir procurée par cette expérience, elle entendit le signal sonore de la délivrance.
Son compagnon arriva une ou deux minutes plus tard, la délivra, massa ses jambes et bras et lui offrit une coupe de champagne.
- Félicitations, ma chérie ! Tu as réussi avec succès à aller au bout de ton gage.
- Tu as été bien fripon : le vibromasseur était réglé à la puissance maximale.
- C’était dans le but de rendre cette soirée mémorable.
- Je ne suis pas prête de l’oublier.
Sur ces mots, elle embrassa fougueusement son compagnon puis lui avoua :
- Cette punition fut un délice. Je crois que je me mettrai très bientôt en colère afin que tu me punisses à nouveau.
- Ce sera un plaisir de te combler ton désir.
Inspiré lors de cette journée par cette belle météo automnale, j'ai rédigé une courte nouvelle. N'hésitez pas à me transmettre votre retour.
En ouvrant le colis livré par la poste, Lætitia s’énerva :
- J’avais commandé des sous-vêtements rouges et je reçois des sous-vêtements noirs !
Martin entendit l’exaspération de sa campagne et s’empressa de la calmer :
- Pourquoi s’emporter, ma chérie ? Il te suffit de contacter le vendeur par téléphone ou courriel pour lui signifier son erreur.
- Tu as bien raison, mon amour. Ma colère n’est pas justifiée.
- En outre, le noir te va si bien. Cet erreur est, peut-être, un mal pour un bien. Il est dommage que tu t’énerves pour des choses si futiles. Pour canaliser ta colère, je te propose un défi : au cours de la semaine prochaine, tu disposeras d’un quota de trois colères.
- Si peu !
- S’énerver revient à perdre de l’espérance de vie ! C’est donc pour ton bien !
- Quel sera mon gage si j’échoue ?
- J’ai quelques idées mais je les garde secrètes.
- Mon amour, tu es bien cachottier mais j’accepte ton défi.
Lætitia était une belle femme de vingt-huit ans avec une chevelure rousse et des yeux verts. D’un tempérament plutôt agréable, elle avait comme principal défaut de s’énerver souvent pour des choses de peu d’importance. Elle était en couple depuis deux ans avec Martin, un bel homme de trente-un ans avec une chevelure noire et des yeux marrons. Ils s’étaient rencontrés lors d’un dîner entre amis deux ans auparavant et avaient ressenti dès le premier regard une attirance l’un envers l’autre. Lors d’une deuxième rencontre, ils échangèrent un baiser, ce qui marqua le début d’une relation qui les comblait tous les deux.
Quelques jours plus tard, Martin sentit une odeur de brûlé et entendit Lætitia se fâcher :
- Mince ! J’ai oublié mon gâteau dans le four ! Quel gâchis !
- Ma chérie, il me semble que tu as dépassé ton quota de colère.
- Vraiment ?
- J’en suis sûr. Tu as pesté Lundi car tu ne trouvais pas tes clefs. Tu as juré Mardi car tu avais oublié d’acheter le sel. Tu as affirmé ton mécontentement Mercredi car tu avais tâché ton nouveau pantalon.
- Je crois que tu as raison. Quel est mon gage ?
- Tu vas le découvrir rapidement, ma chérie .
Martin prit un paquet posé sur l’étagère du salon puis l’offrit à sa compagne.
- Ce paquet contient ta tenue vestimentaire pour la durée du gage. Monte vite dans notre chambre pour l’enfiler ».
Lætitia exécuta l’ordre de Martin tout en se demandant nerveusement ce que son compagnon lui réservait comme surprise. En l’ouvrant dans la chambre, elle trouva un micro bikini rayé noir et blanc constitué d’un petit string et d’un petit soutien gorge. Elle trouva Martin bien malicieux mais c’était également pour cette raison qu’elle l’aimait.
Elle se déshabilla, enfila le cadeau de son compagnon et admira sa silhouette presque nue dans un miroir et en fut très satisfaite !
Elle redescendit dans le salon et signala sa présence à son compagnon :
- Tu es bien coquin, mon amour et tu as également bon goût. Je trouve ce bikini splendide mais pourquoi avoir choisi ce motif de bagnard ? Tu sais pourtant que je suis ta prisonnière !
- Je le sais ma chérie mais tu le seras un peu plus ce soir.
Lætitia, intriguée par cette réponse, sentit son cœur accélérer.
Martin expliqua la nature du gage à sa compagne :
- Dans notre société, si quelqu’un enfreint la loi, il finit en prison pour quelque temps. J’ai choisi ce gage à l’image de ce principe mais, notre logement ne disposant pas de barreaux, j’ai du trouver une autre solution.
Martin montra à Lætitia un carton qui contenait des cordes.
Un peu effrayée, Lætitia s’exclama :
- Des cordes ! Tu souhaites donc me ligoter ! N’est ce pas dangereux ?
- Rassure-toi. Ces cordes sont spécialement conçues pour le ligotage et je sais m’en servir .
- Tiens donc !
- J’ai été en couple avec une femme qui appréciait être ligotée et j’ai appris grâce à elle l’art du ligotage. Es tu rassurée, ma chérie ?
Après quelques secondes d’hésitation, Lætitia marqua son approbation :
- Oui.
Martin prit sa compagne par la main et l’invita à s’asseoir sur une des chaises du salon. Il prit une première corde puis commença à lui lier les bras derrière le dossier.
Lætitia se fit la réflexion qu’elle n’aurait jamais cru ce matin qu’elle finirait ligotée en petite tenue sur une chaise du salon ! Elle avait néanmoins une grande confiance dans son compagnon.
Martin acheva le ligotage des bras de sa chérie : ils étaient à présent solidement liés au dossier de la chaise derrière son dos.
- Dans notre société, la durée de l’emprisonnement est définie par un juge mais, n’étant pas juge, je te laisserai définir toi-même cette durée.
Lætitia fut intriguée par cette assertion.
- Mon amour, je souhaiterais alors que mon « emprisonnement » ne dure que cinq minutes.
- Ma chérie, le pouvoir de décision sera bientôt dans tes mains.
Martin quitta le salon quelques minutes puis revint avec le vibromasseur de sa compagne pour sa plus grande surprise. Cette dernière comprit qu’elle serait « stimulée » au cours de sa punition.
- J’ai apporté quelques modifications à ton vibromasseur. Tu disposes à présent d’une commande avec un bouton poussoir qui déclenche à chaque impulsion un cycle de dix minutes de « plaisir ». Tu seras délivrée à l’issue de cinq cycles. A toi de décider quand tu souhaites les déclencher mais sache que tu ne peux arrêter le cycle lorsqu’il est lancé.
- Tu as une imagination bien canaille !
- Je suis sûr qu’elle te comble de bonheur.
Pour toute réponse, Lætitia fit un grande sourire.
Martin posa le vibromasseur contre le sexe de sa chérie puis l’attacha fermement à ses cuisses. Il termina le ligotage par d’autres liens au droit des chevilles et des genoux. Les jambes de Lætitia étaient solidement liées à la chaise. Il déposa la commande du vibromasseur dans la main droite de sa chérie et la fixa avec un ruban adhésif afin qu’elle ne la perde pas.
- Pour rendre ta soirée plus agréable, j’ai téléchargé une version informatique du roman que tu est en train de lire sur ton ordinateur et tu pourras ainsi poursuivre ta lecture tout étant ligotée.
Martin posa le PC de sa compagne sur la table face à elle puis déposa la souris dans la main gauche de Lætitia et la fixa également avec un ruban adhésif.
- Pour faire défiler les pages, il te suffit de tourner la molette.
Martin reprit le carton contenant les cordes puis en sortit un bâillon boule rouge.
- Il ne reste plus qu’un détail pour achever ta préparation. Ma chérie, pourrais tu, s’il te plaît, ouvrir ta bouche ?
Lætitia s’exécuta puis Martin enfonça la balle dans la bouche et sangla le bâillon derrière la nuque de sa compagne.
- Te voici prête pour ton gage. Un signal sonore m’indiquera l’achèvement des cinq cycles. En cas de difficulté, le deuxième bouton de la commande te permettra de m’avertir par un autre signal sonore. N’hésite surtout pas à l’utiliser quel que soit ton problème.
Martin déposa un baiser sur la joue de sa compagne.
- Je te souhaite une belle soirée, ma chérie !
Il alluma la chaîne hi-fi, choisit une musique relaxante puis quitta le salon y laissant seule sa compagne. Elle déclencha dès son départ un cycle de « stimulation » et constata que la puissance du vibromasseur était à son maximum !
Lætitia essaya de se maîtriser mais en vain. Elle sentit l’excitation monter rapidement et ses muscles se contracter jusqu’à une explosion de plaisir puis le processus recommençait de plus belle sans lui laisser le moindre répit jusqu’à l’arrêt du vibromasseur. A l’issue de ce premier cycle, elle était déjà en sueur et exténuée comme une athlète après avoir couru un marathon. Elle s’étonna de la force de l’orgasme et conclut que les cordes avaient un effet très érogène sur son corps.
Elle prit le temps de lire quelques pages de son roman puis admira sa silhouette presque nue dans le miroir du salon. Elle se trouva particulièrement belle, les cordes et le bâillon mettant élégamment en valeur son corps.
Elle démarra un nouveau cycle de stimulation et enchaîna à nouveau un orgasme après l’autre. Ses muscles étaient tendus à rompre un mur en béton mais les cordes ne bougeaient pas d’un millimètre. Elle se fit la réflexion que son chéri maniait divinement bien les cordes : rien ne bougeait alors qu’elle essayait de gigoter comme une forcenée.
Lætitia enchaîna cycles de stimulation et pauses lecture jusqu’à arriver au bout de son gage. Totalement fourbue mais émerveillée par le plaisir procurée par cette expérience, elle entendit le signal sonore de la délivrance.
Son compagnon arriva une ou deux minutes plus tard, la délivra, massa ses jambes et bras et lui offrit une coupe de champagne.
- Félicitations, ma chérie ! Tu as réussi avec succès à aller au bout de ton gage.
- Tu as été bien fripon : le vibromasseur était réglé à la puissance maximale.
- C’était dans le but de rendre cette soirée mémorable.
- Je ne suis pas prête de l’oublier.
Sur ces mots, elle embrassa fougueusement son compagnon puis lui avoua :
- Cette punition fut un délice. Je crois que je me mettrai très bientôt en colère afin que tu me punisses à nouveau.
- Ce sera un plaisir de te combler ton désir.