Récit noir
Publié : 20 juin 2011, 06:54
"Une sensation d'affliction accompagnait la montée de ce "désir" impossible à dominer; la main, moite et tremblante, plaquée telle une ventouse sur ses lèvres charnues, était un bon résume de l'état d'esprit qui m'accompagnait tel un mauvais copain de taverne.
"Mieux vaut-être seul que mal accompagné"
Maxime idiote.
Nous étions entre le 4 et le 5. Deux des étages sur les 15 que nous avions à monter par ascenseur.
Je m'empressait d'arracher le foulard qui se fondait gracieusement autour de son cou pour en faire un bâillon. Chose faite.
Pourquoi ne criait-elle pas? C'est énervant à la fin!
Ah... d'accord. Ses dents forçaient sur mon index. Je ne criais pas (par bravade imbécile) mais, en mon fort intérieur, j'étais profondément meurtris. Pas seulement par la douleur perçante mais par la personne qui causait cette dite-douleur. J'encaisse quelques secondes, paumé dans mes pensées; mais la couleur, plus sanguine que chair, de mon doigt me rappela brusquement à l'ordre. Je parvins à enlever mon index avant de finir ma triste besogne."
La suite, lorsque j'aurais le temps et moins d'aller et retour... Je rassure: point question de viol (je fait partie de ceux qui évitent de mélanger le bondage avec le sexe).
A la prochaine, j'espère.
"Mieux vaut-être seul que mal accompagné"
Maxime idiote.
Nous étions entre le 4 et le 5. Deux des étages sur les 15 que nous avions à monter par ascenseur.
Je m'empressait d'arracher le foulard qui se fondait gracieusement autour de son cou pour en faire un bâillon. Chose faite.
Pourquoi ne criait-elle pas? C'est énervant à la fin!
Ah... d'accord. Ses dents forçaient sur mon index. Je ne criais pas (par bravade imbécile) mais, en mon fort intérieur, j'étais profondément meurtris. Pas seulement par la douleur perçante mais par la personne qui causait cette dite-douleur. J'encaisse quelques secondes, paumé dans mes pensées; mais la couleur, plus sanguine que chair, de mon doigt me rappela brusquement à l'ordre. Je parvins à enlever mon index avant de finir ma triste besogne."
La suite, lorsque j'aurais le temps et moins d'aller et retour... Je rassure: point question de viol (je fait partie de ceux qui évitent de mélanger le bondage avec le sexe).
A la prochaine, j'espère.