flagrant délit
Publié : 29 sept. 2013, 13:38
quand on est dans la brigade financière, on ne sort pas son arme souvent. La délinquance elle est en col blanc et en costume cravate. Aucun risque de prendre une balle perdue dans une ruelle sordide.
C'est sans doute à quoi pensa Anne-Lise au moment de sortir de sa voiture. Elle était lieutenant de police dans la brigade financière, cette grande brune elancée passait beaucoup de temps dans la paperasse et donc dans les bureaux que sur le terrain mais cela lui convenait plutôt bien.
Tout le contraire de sa co-équipière Orlane, grande blonde au visage dur mais néanmoins charmant, muté dans ce service pour manquement répété à la discipline. Pourtant le courant passait plutôt bien entre les deux filles devant il est vrai cohabiter pour ne pas que ce devienne invivable.
Elles sortirent donc de la voiture en même temps mais dans une tenue bien différente.
Alors que Anne-Lise avait choisi un tailleur assez strict mais sexy avec des talons aiguilles, Orlane elle était habillée comme un flic, blouson de cuir, débardeur jean mais des bottines à talons un peu plus épais trahissait son appartenance au sexe faible.
Il est vrai que pour arrêter des délinquants financiers un tailleur et des talons aiguilles n'était pas un obstacle tant la résistance de l'interpellé était nulle.
C'est donc relativement decontractées qu'elle arrivèrent devant la porte de l'appartement d'un immeuble assez cossu.
Anne-Lise frappa discrètement et attendit une réponse.
La porte s'ouvrit sur un homme d'une quarantaine d'années, bien bâti et habillé avec des vetements de luxe.
"Bonjour monsieur, pouvons nous entrer? Anne-Lise Potain Lieutenant de police à la brigade financière. Nous avons quelques questions à vous poser." dit simplement la brune sûre d'elle brandissant son insigne devant l'homme très surpris.
"La brigade financière? Mais pourquoi? Je ne comprends pas? Expliquez moi? s'affola l'homme.
"Bien sur monsieur, continua Anne-Lise, je vous présente l'officier Orlane Baquère, nous allons vous demander de nous suivre afin d'évoquer votre rôle dans l'affaire Motaz où votre nom apparait dans quelques versements d'argent."
Il blémit soudainement, semblant prendre conscience de tout.
"Me permettrez vous de prendre quelques affaires?" commenta t'il sobrement.
"Mais bien sur" lui répondit le lieutenant.
L'homme prit le chemin de son bureau face aux deux jeunes femmes, il mit sa chevalière à sa main droite, enfila sa veste et ouvrit le tiroir de son bureau.
En un instant, il sortit un Glock 17 et le pointa en direction des deux officiers.
Orlane esquissa un geste mais l'homme lui conseilla de renoncer à cette idée d'une inclinaison de la tête.
"Mesdemoiselles, veuillez me confier vos armes de service je vous prie faites les glisser sur le sol doucement." dit simplement le financier.
elles s'executèrent tout en faisant la moue, vexées d'avoir été roulées dans la farine.
"Sortez vos menottes, je sais que vous en avez chacun une paire" continua t'il.
"Vous n'allez pas faire ça, lui rétorqua Anne-Lise, cela va vous coûter cher!"
"Allez!" lui répondit l'homme d'un geste de son arme.
Anne-Lise et Orlane jettèrent toutes deux leurs menottes au pied de leur coupable.
"je vous prierais à présent de vous deshabiller, je ne veux pas risquer le diable, vous avez souvent des armes cachées!" dit il laconiquement.
Les deux trentenaires se regardèrent, effarées. "Vous plaisantez ou quoi? Filez pendant qu'il en est encore temps! prevena Orlane passablement enervée.
"Pas question!" lui asséna l'homme. "A poil! et tout de suite!" insista t'il
Anne-Lise ouvrit le bal et ota sa veste ainsi que sa jupe de tailleur, elle se retrouva en soutien gorge, culotte, bas noirs et talons aiguilles.
"Pas mal, dit il, vous avez un budget lingerie à la brigade financière ou quoi? Tu peux garder ce que tu as sur toi, ça ira"
Orlane hésita avant d'enlever difficilement son jean ainsi que son débardeur.
"Toi tes fringues et tes sous-vêtements sont moches, tu va te mettre complètement à poil et vite!" continua t'il sur un ton plus menaçant.
La blonde ne discuta pas et se mit entièrement nue, très gênée. elle se mordait les lèvres pour ne pas lacher la moindre émotion. Orlane dissimulait tant qu'elle pouvait son intimité avec ses mains.
Il poussa du pied une paire de menottes en direction d'Anne-Lise.
"Tiens, attache ta copine avec ça" lui indiqua t'il.
Humiliée, le lieutenant ne pouvait qu'obéir et elle referma les bracelets métalliques sur les poignets d'Orlane ne pouvant à présent plus rien cacher du tout de son corps très attirant malgré quelques bourrelets.
"Attention, dit-il, a ton tour! Mais pas de mauvaises surprises! ou c'est le tir aux canards! compris?"
Elle hocha la tête se tournant pour lui permettre de la menotter. Il enjoigna ensuite les deux jeunes femmes à s'asseoir sur les chaises de bureau prévues à cet effet.
"Maintenant que vous êtes revenues à la raison, nous allons papoter un peu si vous le voulez bien. Il me semble cohérent de ne pas accéder à votre invitation dans les locaux de la police, je vais donc prendre congé de vous et de la police française mais avant je voudrais bien m'amuser avec vous." leur asséna t'il froidement.
"s'amuser?" dit Anne-Lise sans comprendre.
"oui s'amuser, continua t'il tout en prenant son ordinateur portable qu'il alluma pour montrer quelques photos bien intéressantes, vous voyez cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu de cobayes pour mes expériences, je pense que vous êtes les modèles parfaits pour cela."
Il faut expliquer que les photos en question montrait des jeunes femmes attachées baillonnées dans des situations extrêment humiliantes.
Le doute n'étant plus permis, Anne-Lise et Orlane hurlèrent de concert. De toutes leurs forces. Mais l'homme ne bougea pas.
Ce qui fit stopper les deux jeunes femmes intriguées.
"Merci de cette démonstration mesdemoiselles mais cet appartement qui coûte très cher est entièrement insonorisé. Vous pensez bien que vous n'êtes pas les premières mais apparement les dernières puisque la police me cherche. C'est pourquoi je vais particulièrement bien prendre soin de vous..." dit doucement l'homme.
Anne-Lise ouvrit fébrilement la bouche: "Mais enfin, vous n'allez pas faire cela? Je vous en prie! Reflechissez"
Orlane fut moins diplomate " salopard, tu nous le paieras! De toute façon, une unité va venir à notre secours si nous ne donnons pas de nouvelles!"
Cela me surprendrait puisque le lieutenant est dans ses murs et que c'est le chef d'équipe...
A cette nouvelle, Anne-Lise baissa la tête. Elle savait qu'il avait raison. Orlane serra les dents de rage.
il prit une clef dans sa poche et ouvrit un vieux coffre présent dans la pièce et servant uniquement de décoration. Mais il renfermait aussi le secret de ce chef d'entreprise.
Tout un arsenal de tortures pour mettre à mal les deux officiers de police tremblantes de peur.
C'est sans doute à quoi pensa Anne-Lise au moment de sortir de sa voiture. Elle était lieutenant de police dans la brigade financière, cette grande brune elancée passait beaucoup de temps dans la paperasse et donc dans les bureaux que sur le terrain mais cela lui convenait plutôt bien.
Tout le contraire de sa co-équipière Orlane, grande blonde au visage dur mais néanmoins charmant, muté dans ce service pour manquement répété à la discipline. Pourtant le courant passait plutôt bien entre les deux filles devant il est vrai cohabiter pour ne pas que ce devienne invivable.
Elles sortirent donc de la voiture en même temps mais dans une tenue bien différente.
Alors que Anne-Lise avait choisi un tailleur assez strict mais sexy avec des talons aiguilles, Orlane elle était habillée comme un flic, blouson de cuir, débardeur jean mais des bottines à talons un peu plus épais trahissait son appartenance au sexe faible.
Il est vrai que pour arrêter des délinquants financiers un tailleur et des talons aiguilles n'était pas un obstacle tant la résistance de l'interpellé était nulle.
C'est donc relativement decontractées qu'elle arrivèrent devant la porte de l'appartement d'un immeuble assez cossu.
Anne-Lise frappa discrètement et attendit une réponse.
La porte s'ouvrit sur un homme d'une quarantaine d'années, bien bâti et habillé avec des vetements de luxe.
"Bonjour monsieur, pouvons nous entrer? Anne-Lise Potain Lieutenant de police à la brigade financière. Nous avons quelques questions à vous poser." dit simplement la brune sûre d'elle brandissant son insigne devant l'homme très surpris.
"La brigade financière? Mais pourquoi? Je ne comprends pas? Expliquez moi? s'affola l'homme.
"Bien sur monsieur, continua Anne-Lise, je vous présente l'officier Orlane Baquère, nous allons vous demander de nous suivre afin d'évoquer votre rôle dans l'affaire Motaz où votre nom apparait dans quelques versements d'argent."
Il blémit soudainement, semblant prendre conscience de tout.
"Me permettrez vous de prendre quelques affaires?" commenta t'il sobrement.
"Mais bien sur" lui répondit le lieutenant.
L'homme prit le chemin de son bureau face aux deux jeunes femmes, il mit sa chevalière à sa main droite, enfila sa veste et ouvrit le tiroir de son bureau.
En un instant, il sortit un Glock 17 et le pointa en direction des deux officiers.
Orlane esquissa un geste mais l'homme lui conseilla de renoncer à cette idée d'une inclinaison de la tête.
"Mesdemoiselles, veuillez me confier vos armes de service je vous prie faites les glisser sur le sol doucement." dit simplement le financier.
elles s'executèrent tout en faisant la moue, vexées d'avoir été roulées dans la farine.
"Sortez vos menottes, je sais que vous en avez chacun une paire" continua t'il.
"Vous n'allez pas faire ça, lui rétorqua Anne-Lise, cela va vous coûter cher!"
"Allez!" lui répondit l'homme d'un geste de son arme.
Anne-Lise et Orlane jettèrent toutes deux leurs menottes au pied de leur coupable.
"je vous prierais à présent de vous deshabiller, je ne veux pas risquer le diable, vous avez souvent des armes cachées!" dit il laconiquement.
Les deux trentenaires se regardèrent, effarées. "Vous plaisantez ou quoi? Filez pendant qu'il en est encore temps! prevena Orlane passablement enervée.
"Pas question!" lui asséna l'homme. "A poil! et tout de suite!" insista t'il
Anne-Lise ouvrit le bal et ota sa veste ainsi que sa jupe de tailleur, elle se retrouva en soutien gorge, culotte, bas noirs et talons aiguilles.
"Pas mal, dit il, vous avez un budget lingerie à la brigade financière ou quoi? Tu peux garder ce que tu as sur toi, ça ira"
Orlane hésita avant d'enlever difficilement son jean ainsi que son débardeur.
"Toi tes fringues et tes sous-vêtements sont moches, tu va te mettre complètement à poil et vite!" continua t'il sur un ton plus menaçant.
La blonde ne discuta pas et se mit entièrement nue, très gênée. elle se mordait les lèvres pour ne pas lacher la moindre émotion. Orlane dissimulait tant qu'elle pouvait son intimité avec ses mains.
Il poussa du pied une paire de menottes en direction d'Anne-Lise.
"Tiens, attache ta copine avec ça" lui indiqua t'il.
Humiliée, le lieutenant ne pouvait qu'obéir et elle referma les bracelets métalliques sur les poignets d'Orlane ne pouvant à présent plus rien cacher du tout de son corps très attirant malgré quelques bourrelets.
"Attention, dit-il, a ton tour! Mais pas de mauvaises surprises! ou c'est le tir aux canards! compris?"
Elle hocha la tête se tournant pour lui permettre de la menotter. Il enjoigna ensuite les deux jeunes femmes à s'asseoir sur les chaises de bureau prévues à cet effet.
"Maintenant que vous êtes revenues à la raison, nous allons papoter un peu si vous le voulez bien. Il me semble cohérent de ne pas accéder à votre invitation dans les locaux de la police, je vais donc prendre congé de vous et de la police française mais avant je voudrais bien m'amuser avec vous." leur asséna t'il froidement.
"s'amuser?" dit Anne-Lise sans comprendre.
"oui s'amuser, continua t'il tout en prenant son ordinateur portable qu'il alluma pour montrer quelques photos bien intéressantes, vous voyez cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu de cobayes pour mes expériences, je pense que vous êtes les modèles parfaits pour cela."
Il faut expliquer que les photos en question montrait des jeunes femmes attachées baillonnées dans des situations extrêment humiliantes.
Le doute n'étant plus permis, Anne-Lise et Orlane hurlèrent de concert. De toutes leurs forces. Mais l'homme ne bougea pas.
Ce qui fit stopper les deux jeunes femmes intriguées.
"Merci de cette démonstration mesdemoiselles mais cet appartement qui coûte très cher est entièrement insonorisé. Vous pensez bien que vous n'êtes pas les premières mais apparement les dernières puisque la police me cherche. C'est pourquoi je vais particulièrement bien prendre soin de vous..." dit doucement l'homme.
Anne-Lise ouvrit fébrilement la bouche: "Mais enfin, vous n'allez pas faire cela? Je vous en prie! Reflechissez"
Orlane fut moins diplomate " salopard, tu nous le paieras! De toute façon, une unité va venir à notre secours si nous ne donnons pas de nouvelles!"
Cela me surprendrait puisque le lieutenant est dans ses murs et que c'est le chef d'équipe...
A cette nouvelle, Anne-Lise baissa la tête. Elle savait qu'il avait raison. Orlane serra les dents de rage.
il prit une clef dans sa poche et ouvrit un vieux coffre présent dans la pièce et servant uniquement de décoration. Mais il renfermait aussi le secret de ce chef d'entreprise.
Tout un arsenal de tortures pour mettre à mal les deux officiers de police tremblantes de peur.