
Une journée imprévisible
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- fredchl
- Résident(e) de JdL
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- Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
- Localisation : Basse-Normandie
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Re: Une journée imprévisible
Ouh la la ! Que de rebondissements, je ne m'attendais pas à cette fin ! Je crois bien qu'elle va encore se retrouver en très facheuse posture ! 

-
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- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: Une journée imprévisible
le geolier, le retour 

- Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
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- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: Une journée imprévisible
Je viens d'apprendre un nouveau mot
enliasser.
Si ça continue Yuri va finir par l'enfermer chez lui quoique le Geolier s'apprête à le faire.

Si ça continue Yuri va finir par l'enfermer chez lui quoique le Geolier s'apprête à le faire.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants

Re: Une journée imprévisible
Episode Suivant, bonne lecture à tous!!!
2 prisonnières
mmmmm…………………………………………………………..
mmm…………………………………………………………………
mmmhhh…….aaahh……où suis-je ??Qu’est-ce qu’il se passe ?? Je me sens tellement….Oh non, je me souviens, le message du geôlier, puis ensuite j’ai été surprise, endormie avec du chloroforme. Mes mains sont attachées derrière le dos, les cordes ont été enroulées, juste dessous ma montre et mon bracelet. Mes jambes sont également ligotées, les cordes ont été passées autour de mes chevilles, d’autres cordes ont lié mes jambes, étant juste au-dessus de mes genoux. Je suis dans ma même tenue, mais je ne porte plus ma veste, je ne porte plus que mon top gris argenté. Je suis bâillonnée, je sens un scotch contre ma bouche, le geôlier a également inséré un tissus dans ma bouche. J’entends une autre femme bâillonnée :
"gggmmmmmhhhhh… "
Je me redresse et me positionne assise au sol, puis je vois Evelyne : Elle porte des talons gris argentés, une courte jupe noir avec des paillettes et un débardeur rouge. Elle a toujours ses beaux cheveux blonds vénitiens, longs légèrement ondulés. Elle est attachée comme moi, les mains dans le dos, ainsi que des cordes autour des chevilles et autour des jambes au-dessus des genoux. Je tente de lui parler :
"GGGMmmmhhh…mmmmhhhh..mmmmhhhggmmhh.. " Inutile, je ne peux pas prononcer un seul mot, pas plus qu’elle.
Je regarde autour de moi, nous sommes dans une pièce sans fenêtre, j’ignore absolument où, j’ignore d’ailleurs combien de temps je suis restée inconsciente. D’ailleurs où est le geôlier ? Ce monstre a finalement réussi à me kidnapper ! Il n’y a aucun objet dans cette pièce.
Je tente de me dégager des cordes. J’essaie d’ôter une de mes deux mains, c’est le plus important. Je le fais de toutes mes forces !!! Rien n’y fait, il allait de soi que le geôlier sait attacher correctement une femme.
Je regarde Evelyne. Malgré les circonstances je ressens quelque chose de très étrange. Cette fille est très belle, la voyant attachée comme moi, je la trouve…encore plus jolie. Le geôlier doit vraiment être heureux de nous avoir ligotée et nous savoir ses captives toutes les deux. Va-t-il nous violer ? Je repense à ce que m’avait dit Evelyne, la première fois qu’il l’avait enlevée, le geôlier s’était contenté de la caresser. Mais peu importe je n’ai pas envie de rester ici pour le savoir.
Il y a tant de chose que je voudrais dire à Evelyne. Si seulement nous n’étions pas bâillonnées ! Je n’avais pourtant vraiment rien vu venir. Comment le geôlier a-t-il su ou je me trouvais ? Peu importe, pour le moment il faut trouver un moyen de se libérer. Mais il n’y a aucun objet ici, d’ailleurs je pense que si c’était le cas, Evelyne se serait bien libérée toute seule. Toute seule ??? Mais nous sommes deux, si je me rapproche d’elle, nous pourrons défaire nos liens. Il n’y a plus une minute à perdre !!!
Etant assise, je me sers de mes jambes pour avancer en glissant sur mes fesses. Pas facile avec mes talons, mais peu importe. Une chance que le geôlier ne nous ait pas attachées à une chaise ou à une barre !! Evelyne se rapproche également de moi en avançant de la même façon. Allez, plus que quelques mètres !!! Nous continuons à nous rapprocher… et voilà nous sommes tout prêt, l’une face à l’autre, je tente de lui demander de se retourner pour que je puisse détacher ses liens :
"Gggmmmhhhh….mmmmhhh..mmmmhhh !! " je lui fait en faisant signe de la tête. Evelyne se retourne, je me rapproche d’elle, mon dos est presque collé contre le sien. Je tente maintenant de trouver ses liens, avec mes mains. Pas facile avec mes poignets attachés, je n’arrive pas à voir ce que je touche. Je sens les doigts d’Evelyne, elle porte plusieurs bagues. Je cherche un peu plus haut, remontant ses mains, puis …je sens ses les cordes enlaçant ses poignets. Très bien, maintenant il faut trouver le nœud, mes doigts palpent ses cordes…où est ce nœud bon sang !! Je tente de retourner ma tête, mais je n’arrive pas à voir d’avantage ses mains. Je continue à chercher…OUI, j’ai senti le nœud, sur le côté, je remets mes mains au même endroit…c’est bon le sens, ça doit être un double nœud. Il est tout de même très bien serré, mais je tente de le défaire…pas facile, je ne vois absolument pas ce que je fais, et en plus mes mains sont attachées.. mais j’arrive à défaire le premier nœud ! Je ne perds pas de temps et m’occupe du second nœud… et voilà il est aussi défait. Maintenant je déroule les cordes enlaçant les poignets d’Evelyne, progressivement. Je sens que ses poignets sont de moins en moins serré…puis soudain elle ôte l’une de ses mains, Evelyne est détachée, il ne lui reste plus que les jambes. Elle ne perd pas de temps et commence à détacher les cordes enroulant ses jambes. Je suis toujours attachée, mais peu importe, Evelyne est resté attachée tellement longtemps, je comprends qu’elle veuille d’abord se libérer avant de défaire mes liens. Evelyne a déjà ôtée la corde qui enlaçait ses jambes au-dessus de ses genoux. Puis elle commence à défaire les cordes de ses chevilles... et voilà ses pieds sont également détachés. Puis elle ôte son scotch, et crache immédiatement le tissu se trouvant dans sa bouche. Aussitôt elle me fait :
"Aaaaaaahhh !!!Enfin !!! Enfin libre de toutes ces saletés de cordes !!! "
"GGGMMMMHHHH..MMMHHHH !!! " je lui répond :
"Oh désolé Nina, je vais te libérer !! " me répond-elle en enlevant mon scotch, je crache le tissus instantanément et je lui fais :
"Evelyne, je suis tellement heureuse de te revoir, dès que j’ai appris ton enlèvement, j’ai tout fait pour te retrouver !! "
Evelyne se met à détacher la corde de mes poignets en me répondant :
"Je suis heureuse de te revoir aussi Nina. Je suis navrée que tu aies dû subir le même sort que moi !!! Mais c’est enfin fini maintenant !! "
"Ne parlons pas trop fort, j’ignore où se trouve le geôlier. Il ne faut surtout pas qu’il nous entende !! " je réplique "Mon dieu Evelyne, cela a dû être tellement horrible pour toi !! "
"Presque trois mois, prisonnière, ligotée et bâillonnée en permanence !! Je tuerais le geôlier, comment peut-il prendre du plaisir à m’infliger cela !!? "
"Est-ce que tu l’as vu ? " je réponds. Mes mains sont enfin détachées, Evelyne commence à défaire mes liens aux jambes pendant que je détache me cheville. Evelyne réplique :
"Non, pas une seule fois. Le geôlier m’a caressée, fait divers attouchement. Mais je n’ai pas pu le voir une seule fois, mes yeux étaient pendant ses caresses. Je ne sais pas du tout à quoi il ressemble, pas plus que la première fois. D’ailleurs, ses hommes m’ont dit que si je le voyais, je devrais mourir."
Mes jambes et mes chevilles sont maintenant libre, je suis totalement détachée comme Evelyne. Je lui fais :
"Espérons que la porte soit ouverte, avançons silencieusement et prudemment !! "
Nous nous rapprochons de la porte. Par pitié, faites que cette porte soit ouverte !!!
Je tourne la poignée. La porte est verrouillée, quelle poisse !! Soudain une voix se fait entendre dans la pièce à partir d’un haut-parleur :
"Bonjour les filles, ma voix est masquée, mais cela ne vous empêchera pas de savoir qui vous parle en ce moment j’imagine ! "
C’est le geôlier, aucun doute, mais hélas ce n’est pas sa vrai voix, une voix bouillée électroniquement. Je crie :
"Qu’est-ce que vous voulez !!!Qui êtes-vous espèce de lâche !! "
"Mais je suis le geôlier, Nina. Je n’ai pas d’autre nom pour vous !! Ohh, vous voudriez pourtant tellement le savoir, n’est-ce pas ma chère journaliste !! "
"Je vous tuerais espèce de cinglé !!! " crie Evelyne. Le geôlier répond :
"Oh, Evelyne, vous êtes tellement mignonne en colère. Vous m’en voulez beaucoup n’est-ce pas ? Et pourtant, vous avez ressenti du plaisir, lorsque je vous caressais. Avez-vous honte ? Ohh, c’est peut-être pour cela que vous m’en voulez tellement au fond !! "
"Que compter vous faire de nous" je réponds.
"Mmmmm, ce que je veux faire…eh bien… d’abord vous remercier pour cette magnifique scène. Bien que j’aime beaucoup voir des filles attachées, je prends aussi du plaisir à les voir se libérer de temps en temps, et là vous deux étiez…parfaite… alors merci pour commencer"
Avec Evelyne nous regardons partout dans la pièce, le geôlier reprend :
"Bien sûr que je vous vois à travers plusieurs caméra, je n’allais tout de même pas manquer le spectacle !! "
"Vous trouvez ça amusant espèce de malade" je lui réponds. Le geôlier poursuit :
"Nina, vous vouliez pourtant bien retrouvé Evelyne. C’est ce qui s’est passé, je n’ai rien fait de plus qu’exhaussé votre vœux le plus cher. Mais pour répondre à votre question, oui, j’adore jouer avec vous. D’ailleurs depuis le temps que la partie dure, je crois que l’on pourra se tutoyer. J’aime jouer avec toi Nina. Je ne veux pas que le jeu s’arrête d’ailleurs, cela va continuer. Mais plus tard, pour l’instant je vais vous garder encore un peu. "
"Je veux sortir, ouvrez cette porte" réplique Evelyne.
"Oh non ma jolie " reprend le geôlier. Maintenant vous allez obéir à mes prochaines instructions, si vous refuser, je vous ferez terriblement souffrir toutes les deux. Je suis une personne de parole. Bien, pour commencer je veux que vous vous embrassiez, ne soyez pas timide, n’oubliez pas la langue !! " Je réponds :
"espèce de …"
"Nina, il faut qu’on obéisse, sinon ce sera bien pire !! "
"Bon très bien" je réponds.
Je me rapproche d’Evelyne. Nos visages se rapprochent. Nos bouches se touchent, nous nous faisons un baiser assez bref. Je geôlier reprends :
"Vous vous moquez de moi !!! Je veux que vous vous embrassiez comme si c’était votre dernier jour sur terre, faites-le, ou ce sera vraiment vos derniers instants !! "
Je colle immédiatement ma bouche contre celle d’Evelyne. Nous nous embrassons à pleine bouche cette fois. Nos langues se croisent. Nous nous embrassons plusieurs fois, sans nous ménager. Le geôlier reprend parole :
"OUI, splendide !! Je savais bien que vous en étiez capable !! Maintenant soyez attentive : Nina je veux que tu reprennes quatre cordes trainant par terre, et que tu attaches Evelyne !! "
Je me dirige vers les cordes dont nous nous sommes dégagées. J’en prends 4 comme demandé. Je me rapproche d’Evelyne. Le geôlier réplique :
"Très bien, commencez par les poignets, Evelyne, mets tes mains derrière le dos, Nina, attaches bien ses poignets. Depuis le temps que tu te fais ligotée, tu dois bien savoir comment attacher d’autres personnes. Ligote la bien, n’oublie pas, je vous regarde !! "
Je commence à enrouler la corde autour des poignets d’Evelyne en lui disant :
"Je suis désolée Evelyne"
Puis je serre le nœud. Evelyne est attachée les mains derrière le dos.
"Très bien, maintenant Nina, tu vas attacher Evelyne au niveau des bras, enroule la corde par-dessus et par-dessous ses beaux seins. J’attends".
Je continue attachant Evelyne comme me demande notre ravisseur. Je suis obligée de bien l’attachée, je ne veux pas me risquer au geôlier. Evelyne est maintenant attachée aux bras également.
"Parfait" réplique notre ravisseur "et maintenant aide Evelyne à s’asseoir par terre et attache ses pieds ensemble".
Je fais assoir Evelyne. Je me mets à enlacer ses chevilles. Je serre le nœud.
"Nous y sommes presque. Ligote encore ses jambes en passant la corde par-dessus ses genoux"
J’exécute sa demande. J’attache Evelyne aux jambes. Je serre le nœud, la voilà totalement ligotée.
Soudain, plusieurs choses sont lancées dans notre pièce à partir d’une petite trappe. Il y a deux baillons boule rouge, deux foulards noir et une paire de menottes.
"Maintenant Nina prends utilise l’un des bâillons sur Evelyne. Tu te serviras ensuite d’un foulard pour bander ses yeux. "
Je prends l’un des baillons, je me rapproche de Evelyne en lui disant tout doucement :
"Je te promets que nous allons nous en tirer Evelyne"
Elle ouvre sa bouche, je fais passer la boule à l’intérieur, puis je sangle son bâillon derrière la tête. La voilà également bâillonnée. Puis je me sers d’un foulard pour bander ses yeux.
"Très bien. Encore une dernière chose ma jolie Nina, prends encore une corde, passe la dans ses liens aux pieds, ramène ses pieds ligotés près de ses mains et serre le nœud. J’aime qu’elle soit hogtiedée. "
Je prends une autre corde et exécute la demande. Je passe la corde dans ses liens qui enlace ses chevilles, puis je fais plier ses jambes afin de ramener ses pieds vers ses mains. Enfin je relie ses pieds à ses poignets et serre le nœud. La voilà désormais totalement immobilisée.
"Ce sera tout pour Evelyne Nina, elle est splendide maintenant. Maintenant c’est ton tour ma journaliste sexy, je veux que tu prennes le deuxième bâillon et que tu bâillonne par toi-même. "
Je prends le second bâillon, passe la boule dans ma bouche et l’attache derrière ma tête, sous mes cheveux.
"Ohh, que tu es belle ainsi Nina !!Maintenant prends la paire de menotte et le foulard. Commence par bander tes yeux, garder les menottes à proximité, que tu puisses les reprendre une fois tes yeux bandés".
Je band mes yeux selon sa demande. Je ne vois absolument plus rien. Puis le geôlier réplique :
"Voilà, très bien, maintenant passe toi les menottes"
Je menotte mon poignet droit. Je m’apprête à menotte mon autre poignet gauche à l’avant. Soudain le geôlier me fait :
"Non non ma chérie !! Menotte toi les mains derrière le dos !!! "
Je soupire comme je peux malgré mon bâillon, puis je mets mes mains derrière le dos. Puis je menotte mon poignet gauche. Je suis désormais menottes les mains dans le dos, attachée et mes yeux sont bandés.
"Parfait ! Maintenant ne bougez plus. Quand je serai là, je ne parlerais pas, me vrai voix ne vous sera pas révélée, je vous guiderai par le touchez, surtout obtempérez !!! "
Je reste debout à attendre. Je ne peux plus parler, je ne vois plus rien, et je suis menottée. Qu’est ce que le geôlier me réserve !!??



2 prisonnières
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mmmhhh…….aaahh……où suis-je ??Qu’est-ce qu’il se passe ?? Je me sens tellement….Oh non, je me souviens, le message du geôlier, puis ensuite j’ai été surprise, endormie avec du chloroforme. Mes mains sont attachées derrière le dos, les cordes ont été enroulées, juste dessous ma montre et mon bracelet. Mes jambes sont également ligotées, les cordes ont été passées autour de mes chevilles, d’autres cordes ont lié mes jambes, étant juste au-dessus de mes genoux. Je suis dans ma même tenue, mais je ne porte plus ma veste, je ne porte plus que mon top gris argenté. Je suis bâillonnée, je sens un scotch contre ma bouche, le geôlier a également inséré un tissus dans ma bouche. J’entends une autre femme bâillonnée :
"gggmmmmmhhhhh… "
Je me redresse et me positionne assise au sol, puis je vois Evelyne : Elle porte des talons gris argentés, une courte jupe noir avec des paillettes et un débardeur rouge. Elle a toujours ses beaux cheveux blonds vénitiens, longs légèrement ondulés. Elle est attachée comme moi, les mains dans le dos, ainsi que des cordes autour des chevilles et autour des jambes au-dessus des genoux. Je tente de lui parler :
"GGGMmmmhhh…mmmmhhhh..mmmmhhhggmmhh.. " Inutile, je ne peux pas prononcer un seul mot, pas plus qu’elle.
Je regarde autour de moi, nous sommes dans une pièce sans fenêtre, j’ignore absolument où, j’ignore d’ailleurs combien de temps je suis restée inconsciente. D’ailleurs où est le geôlier ? Ce monstre a finalement réussi à me kidnapper ! Il n’y a aucun objet dans cette pièce.
Je tente de me dégager des cordes. J’essaie d’ôter une de mes deux mains, c’est le plus important. Je le fais de toutes mes forces !!! Rien n’y fait, il allait de soi que le geôlier sait attacher correctement une femme.
Je regarde Evelyne. Malgré les circonstances je ressens quelque chose de très étrange. Cette fille est très belle, la voyant attachée comme moi, je la trouve…encore plus jolie. Le geôlier doit vraiment être heureux de nous avoir ligotée et nous savoir ses captives toutes les deux. Va-t-il nous violer ? Je repense à ce que m’avait dit Evelyne, la première fois qu’il l’avait enlevée, le geôlier s’était contenté de la caresser. Mais peu importe je n’ai pas envie de rester ici pour le savoir.
Il y a tant de chose que je voudrais dire à Evelyne. Si seulement nous n’étions pas bâillonnées ! Je n’avais pourtant vraiment rien vu venir. Comment le geôlier a-t-il su ou je me trouvais ? Peu importe, pour le moment il faut trouver un moyen de se libérer. Mais il n’y a aucun objet ici, d’ailleurs je pense que si c’était le cas, Evelyne se serait bien libérée toute seule. Toute seule ??? Mais nous sommes deux, si je me rapproche d’elle, nous pourrons défaire nos liens. Il n’y a plus une minute à perdre !!!
Etant assise, je me sers de mes jambes pour avancer en glissant sur mes fesses. Pas facile avec mes talons, mais peu importe. Une chance que le geôlier ne nous ait pas attachées à une chaise ou à une barre !! Evelyne se rapproche également de moi en avançant de la même façon. Allez, plus que quelques mètres !!! Nous continuons à nous rapprocher… et voilà nous sommes tout prêt, l’une face à l’autre, je tente de lui demander de se retourner pour que je puisse détacher ses liens :
"Gggmmmhhhh….mmmmhhh..mmmmhhh !! " je lui fait en faisant signe de la tête. Evelyne se retourne, je me rapproche d’elle, mon dos est presque collé contre le sien. Je tente maintenant de trouver ses liens, avec mes mains. Pas facile avec mes poignets attachés, je n’arrive pas à voir ce que je touche. Je sens les doigts d’Evelyne, elle porte plusieurs bagues. Je cherche un peu plus haut, remontant ses mains, puis …je sens ses les cordes enlaçant ses poignets. Très bien, maintenant il faut trouver le nœud, mes doigts palpent ses cordes…où est ce nœud bon sang !! Je tente de retourner ma tête, mais je n’arrive pas à voir d’avantage ses mains. Je continue à chercher…OUI, j’ai senti le nœud, sur le côté, je remets mes mains au même endroit…c’est bon le sens, ça doit être un double nœud. Il est tout de même très bien serré, mais je tente de le défaire…pas facile, je ne vois absolument pas ce que je fais, et en plus mes mains sont attachées.. mais j’arrive à défaire le premier nœud ! Je ne perds pas de temps et m’occupe du second nœud… et voilà il est aussi défait. Maintenant je déroule les cordes enlaçant les poignets d’Evelyne, progressivement. Je sens que ses poignets sont de moins en moins serré…puis soudain elle ôte l’une de ses mains, Evelyne est détachée, il ne lui reste plus que les jambes. Elle ne perd pas de temps et commence à détacher les cordes enroulant ses jambes. Je suis toujours attachée, mais peu importe, Evelyne est resté attachée tellement longtemps, je comprends qu’elle veuille d’abord se libérer avant de défaire mes liens. Evelyne a déjà ôtée la corde qui enlaçait ses jambes au-dessus de ses genoux. Puis elle commence à défaire les cordes de ses chevilles... et voilà ses pieds sont également détachés. Puis elle ôte son scotch, et crache immédiatement le tissu se trouvant dans sa bouche. Aussitôt elle me fait :
"Aaaaaaahhh !!!Enfin !!! Enfin libre de toutes ces saletés de cordes !!! "
"GGGMMMMHHHH..MMMHHHH !!! " je lui répond :
"Oh désolé Nina, je vais te libérer !! " me répond-elle en enlevant mon scotch, je crache le tissus instantanément et je lui fais :
"Evelyne, je suis tellement heureuse de te revoir, dès que j’ai appris ton enlèvement, j’ai tout fait pour te retrouver !! "
Evelyne se met à détacher la corde de mes poignets en me répondant :
"Je suis heureuse de te revoir aussi Nina. Je suis navrée que tu aies dû subir le même sort que moi !!! Mais c’est enfin fini maintenant !! "
"Ne parlons pas trop fort, j’ignore où se trouve le geôlier. Il ne faut surtout pas qu’il nous entende !! " je réplique "Mon dieu Evelyne, cela a dû être tellement horrible pour toi !! "
"Presque trois mois, prisonnière, ligotée et bâillonnée en permanence !! Je tuerais le geôlier, comment peut-il prendre du plaisir à m’infliger cela !!? "
"Est-ce que tu l’as vu ? " je réponds. Mes mains sont enfin détachées, Evelyne commence à défaire mes liens aux jambes pendant que je détache me cheville. Evelyne réplique :
"Non, pas une seule fois. Le geôlier m’a caressée, fait divers attouchement. Mais je n’ai pas pu le voir une seule fois, mes yeux étaient pendant ses caresses. Je ne sais pas du tout à quoi il ressemble, pas plus que la première fois. D’ailleurs, ses hommes m’ont dit que si je le voyais, je devrais mourir."
Mes jambes et mes chevilles sont maintenant libre, je suis totalement détachée comme Evelyne. Je lui fais :
"Espérons que la porte soit ouverte, avançons silencieusement et prudemment !! "
Nous nous rapprochons de la porte. Par pitié, faites que cette porte soit ouverte !!!
Je tourne la poignée. La porte est verrouillée, quelle poisse !! Soudain une voix se fait entendre dans la pièce à partir d’un haut-parleur :
"Bonjour les filles, ma voix est masquée, mais cela ne vous empêchera pas de savoir qui vous parle en ce moment j’imagine ! "
C’est le geôlier, aucun doute, mais hélas ce n’est pas sa vrai voix, une voix bouillée électroniquement. Je crie :
"Qu’est-ce que vous voulez !!!Qui êtes-vous espèce de lâche !! "
"Mais je suis le geôlier, Nina. Je n’ai pas d’autre nom pour vous !! Ohh, vous voudriez pourtant tellement le savoir, n’est-ce pas ma chère journaliste !! "
"Je vous tuerais espèce de cinglé !!! " crie Evelyne. Le geôlier répond :
"Oh, Evelyne, vous êtes tellement mignonne en colère. Vous m’en voulez beaucoup n’est-ce pas ? Et pourtant, vous avez ressenti du plaisir, lorsque je vous caressais. Avez-vous honte ? Ohh, c’est peut-être pour cela que vous m’en voulez tellement au fond !! "
"Que compter vous faire de nous" je réponds.
"Mmmmm, ce que je veux faire…eh bien… d’abord vous remercier pour cette magnifique scène. Bien que j’aime beaucoup voir des filles attachées, je prends aussi du plaisir à les voir se libérer de temps en temps, et là vous deux étiez…parfaite… alors merci pour commencer"
Avec Evelyne nous regardons partout dans la pièce, le geôlier reprend :
"Bien sûr que je vous vois à travers plusieurs caméra, je n’allais tout de même pas manquer le spectacle !! "
"Vous trouvez ça amusant espèce de malade" je lui réponds. Le geôlier poursuit :
"Nina, vous vouliez pourtant bien retrouvé Evelyne. C’est ce qui s’est passé, je n’ai rien fait de plus qu’exhaussé votre vœux le plus cher. Mais pour répondre à votre question, oui, j’adore jouer avec vous. D’ailleurs depuis le temps que la partie dure, je crois que l’on pourra se tutoyer. J’aime jouer avec toi Nina. Je ne veux pas que le jeu s’arrête d’ailleurs, cela va continuer. Mais plus tard, pour l’instant je vais vous garder encore un peu. "
"Je veux sortir, ouvrez cette porte" réplique Evelyne.
"Oh non ma jolie " reprend le geôlier. Maintenant vous allez obéir à mes prochaines instructions, si vous refuser, je vous ferez terriblement souffrir toutes les deux. Je suis une personne de parole. Bien, pour commencer je veux que vous vous embrassiez, ne soyez pas timide, n’oubliez pas la langue !! " Je réponds :
"espèce de …"
"Nina, il faut qu’on obéisse, sinon ce sera bien pire !! "
"Bon très bien" je réponds.
Je me rapproche d’Evelyne. Nos visages se rapprochent. Nos bouches se touchent, nous nous faisons un baiser assez bref. Je geôlier reprends :
"Vous vous moquez de moi !!! Je veux que vous vous embrassiez comme si c’était votre dernier jour sur terre, faites-le, ou ce sera vraiment vos derniers instants !! "
Je colle immédiatement ma bouche contre celle d’Evelyne. Nous nous embrassons à pleine bouche cette fois. Nos langues se croisent. Nous nous embrassons plusieurs fois, sans nous ménager. Le geôlier reprend parole :
"OUI, splendide !! Je savais bien que vous en étiez capable !! Maintenant soyez attentive : Nina je veux que tu reprennes quatre cordes trainant par terre, et que tu attaches Evelyne !! "
Je me dirige vers les cordes dont nous nous sommes dégagées. J’en prends 4 comme demandé. Je me rapproche d’Evelyne. Le geôlier réplique :
"Très bien, commencez par les poignets, Evelyne, mets tes mains derrière le dos, Nina, attaches bien ses poignets. Depuis le temps que tu te fais ligotée, tu dois bien savoir comment attacher d’autres personnes. Ligote la bien, n’oublie pas, je vous regarde !! "
Je commence à enrouler la corde autour des poignets d’Evelyne en lui disant :
"Je suis désolée Evelyne"
Puis je serre le nœud. Evelyne est attachée les mains derrière le dos.
"Très bien, maintenant Nina, tu vas attacher Evelyne au niveau des bras, enroule la corde par-dessus et par-dessous ses beaux seins. J’attends".
Je continue attachant Evelyne comme me demande notre ravisseur. Je suis obligée de bien l’attachée, je ne veux pas me risquer au geôlier. Evelyne est maintenant attachée aux bras également.
"Parfait" réplique notre ravisseur "et maintenant aide Evelyne à s’asseoir par terre et attache ses pieds ensemble".
Je fais assoir Evelyne. Je me mets à enlacer ses chevilles. Je serre le nœud.
"Nous y sommes presque. Ligote encore ses jambes en passant la corde par-dessus ses genoux"
J’exécute sa demande. J’attache Evelyne aux jambes. Je serre le nœud, la voilà totalement ligotée.
Soudain, plusieurs choses sont lancées dans notre pièce à partir d’une petite trappe. Il y a deux baillons boule rouge, deux foulards noir et une paire de menottes.
"Maintenant Nina prends utilise l’un des bâillons sur Evelyne. Tu te serviras ensuite d’un foulard pour bander ses yeux. "
Je prends l’un des baillons, je me rapproche de Evelyne en lui disant tout doucement :
"Je te promets que nous allons nous en tirer Evelyne"
Elle ouvre sa bouche, je fais passer la boule à l’intérieur, puis je sangle son bâillon derrière la tête. La voilà également bâillonnée. Puis je me sers d’un foulard pour bander ses yeux.
"Très bien. Encore une dernière chose ma jolie Nina, prends encore une corde, passe la dans ses liens aux pieds, ramène ses pieds ligotés près de ses mains et serre le nœud. J’aime qu’elle soit hogtiedée. "
Je prends une autre corde et exécute la demande. Je passe la corde dans ses liens qui enlace ses chevilles, puis je fais plier ses jambes afin de ramener ses pieds vers ses mains. Enfin je relie ses pieds à ses poignets et serre le nœud. La voilà désormais totalement immobilisée.
"Ce sera tout pour Evelyne Nina, elle est splendide maintenant. Maintenant c’est ton tour ma journaliste sexy, je veux que tu prennes le deuxième bâillon et que tu bâillonne par toi-même. "
Je prends le second bâillon, passe la boule dans ma bouche et l’attache derrière ma tête, sous mes cheveux.
"Ohh, que tu es belle ainsi Nina !!Maintenant prends la paire de menotte et le foulard. Commence par bander tes yeux, garder les menottes à proximité, que tu puisses les reprendre une fois tes yeux bandés".
Je band mes yeux selon sa demande. Je ne vois absolument plus rien. Puis le geôlier réplique :
"Voilà, très bien, maintenant passe toi les menottes"
Je menotte mon poignet droit. Je m’apprête à menotte mon autre poignet gauche à l’avant. Soudain le geôlier me fait :
"Non non ma chérie !! Menotte toi les mains derrière le dos !!! "
Je soupire comme je peux malgré mon bâillon, puis je mets mes mains derrière le dos. Puis je menotte mon poignet gauche. Je suis désormais menottes les mains dans le dos, attachée et mes yeux sont bandés.
"Parfait ! Maintenant ne bougez plus. Quand je serai là, je ne parlerais pas, me vrai voix ne vous sera pas révélée, je vous guiderai par le touchez, surtout obtempérez !!! "
Je reste debout à attendre. Je ne peux plus parler, je ne vois plus rien, et je suis menottée. Qu’est ce que le geôlier me réserve !!??
- dizzy22
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- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : Le bondage, le respect de l'autre.
J'avoue que j'aime regarder une femme se débattre dans ses liens et encore plus quand elle porte des vêtements en latex, lol. J'aime aussi me retrouver ligoté et bâillonné, je prends ceci plus comme un jeu et non pas comme une humiliation.
J'adore autrement voyager, découvrir de nouveaux horizons et parler avec des gens. - Ce que je déteste : La vulgarité, la violence gratuite, l'irrespect.
- Localisation : Bretagne
Re: Une journée imprévisible
La température monte, çà va être chaud
Hâte de voir les prochains événements 


-
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comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Une journée imprévisible
quelle superbe suite, franchement j'adore 

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- JdL, c'est ma vie
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- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: Une journée imprévisible


De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham

les synonymes de fou sont intéressants

Re: Une journée imprévisible
Bonjour!! Contente que ça vous plait
Voici la suite des évènements
Bonne lecture!!
2ème partie Nina et le geôlier
……………………………………………………
Voilà déjà une dizaines de minutes que j’attends, menottées, bâillonnées, les yeux bandés. Je suis très stressé, mon rythme cardiaque est assez élevé. Que va-t-il m’arriver ? Vais-je m’en sortir ?
Soudain, la porte s’ouvre, le geôlier est entré. Je sais que le geôlier est là, mais je ne peux absolument pas voir cette personne, impossible d’en savoir plus sur son apparence. D’ailleurs si je vois son visage, je serai surement assassinée. Mon cœur bat de plus en plus fort. Je l’entends marcher, mais où, vers moi ? Puis j’entends un son familier :
« Mmmmmhhh !!! »
C’est Evelyne, qui est hogtiedée au sol, bâillonnée et également les yeux bandés, le geôlier est sur elle, je ne sais pas du tout ce que le geôlier lui fait. Les couinements de Evelyne sont de plus en plus fort :
« mmmmgggmmmhhh…MMMMMMHHHHH !!!GGGGMMMMMHHHHH !!!! »
Elle essaie de crier, mais je ne peux rien faire, je ne vois même pas où elle est, et je suis entravée. Ses couinements continuent. C’est horrible, je suis absolument impuissante !! Qu’est ce qui peut bien lui être infligé ainsi. Par reflexe je tente de dégager mes mains, en vain. Le bruit de la chainette de mes menottes se fait entendre. Mais c’est inutile, je me suis bien menottée. Puis après quelques minutes, les couinements de Evelyne baisse, diminue progressivement. J’entends des pas dans cette pièce, ceux du geôlier. Evelyne a arrêté de gémir maintenant. Soudain, je sens se poser une main sur mon épaule, mon cœur s’accélère d’un coup. Le geôlier me touche en ce moment même. Sa même main glisse le long de mon bras droit. Sa main est…très douce ! Puis elle s’arrête là où mon poignet est menotté. Le geôlier caresse doucement mon poignet, ses mains glissant sur mes menottes également. J’ai à la fois peur, mais je ressens aussi quelques choses d’étrange…pas vraiment désagréable en réalité. Puis cette même main saisi mon bras droit, puis une autre main me pousse légèrement sur l’épaule, me faisant signe d’avancer. Je consens à avancer, le geôlier tient mon bras droit et avance derrière moi.
Pendant que nous avançons, j’entends une porte derrière nous claquer en se refermant, nous avons quitté la pièce où se trouve encore Evelyne. Où allons-nous maintenant ? Nous continuons à avancer, je ne vois rien, mains le geôlier me guide par contact. Tout ce que j’entends c’est le bruit de mes talons résonnant dans cet étrange endroit. Puis après environ 15 minutes de marches, il m’empêche d’avancer, me retenant le bras. Je reste sur place, puis j’entends un bruit de clé dans une serrure, j’entends la porte s’ouvrir, mon ravisseur me fait avancer à nouveau, nous entrons dans une autre pièce que je ne vois pas du tout. J’entends la porte se refermer. Le geôlier me fait avancer encore un peu, puis me retiens par le bras, je me stoppe. Je reste debout à attendre. J’entends le geôlier en train de glisser quelques choses, un meuble. Puis je sens quelques choses toucher derrière mes genoux, une chaise, je m’assois tout doucement, le geôlier fait passer mes bras derrière le dossier de la chaise. Le dossier de la chaise est assez bas, plus bas que mes épaules. Je sens ses mains sur ma tête, caressant mes cheveux, je fais :
« Mmmmmmhhh…ggmmmhhh !.. »
Mais le geôlier continu, caressant délicatement mes cheveux, je gémis, bâillonnée. Puis il s’arrête. Peu après, ses mains saisissent mes chevilles, les rapprochant l’une à l’autre. Mes jambes sont désormais serrées. Puis je sens une corde enlacer mes chevilles. Je me mets à couiner, ce qui laisse le geôlier indifférent ! Plusieurs tours de cordes sont passées et le nœud est déjà en train d’être serré. En à peine une minutes, mes chevilles sont déjà attachées ! Mes pieds sont ramenés au pied gauche de la chaise, le geôlier utilise le reste de la même corde pour attacher mes pieds au pied de la chaise. Le nœud est serré. Puis cela continue avec mes jambes, la corde est passée en dessus de mes genoux. Puis les voilà déjà ligotées également. C’est incroyable la vitesse à laquelle le geôlier me ligote !
Puis il rapproche mes coude ensemble, une autre corde s’enroule autour de mes bras, légèrement au dessous de mes coudes. Puis le nœud est serré, mes bras sont déjà attachés, mes coudes serrés l’un contre l’autre. Puis il enroule une autre corde cette fois juste au dessus de mes coudes. Me voilà encore attaché avec des cordes juste au dessus de mes coudes. Puis je sens une autre corde passer juste au dessous de mes seins, enroulant également mes bras. Puis la corde me serre contre le dossier de la chaise, le geôlier a enroulé la corde autour du dossier pour que mon dos y soit fixé, puis il passe la corde par-dessus mon épaule droite, derrière ma nuque, pour la faire redescendre par devant mon épaule gauche, puis il repasse un tour au dossier de la chaise, pour m’y attacher solidement. Il serre le nœud, je suis bien immobilisée. Puis il saisit mes menottes, j’entends un faible bruit de clé, puis mon poignet droit est détaché. Puis il libère également mon poignet gauche, les menottes me sont totalement enlevées. Mais cela ne change pas grand-chose, je suis trop entravée pour réagir. Puis il ramène mes poignets ensemble, et les lie avec une autre cordes. En à peine 30 secondes il attache mes mains à l’arrière. Je suis attachée par six cordes. Mais le geôlier n’en a pas fini, il utilise une autre corde, la passant par-dessus mes cuisses, et la faisant passer sous le siège de ma chaise. Il fait quelque tour et serre le nœud. Mes fesses sont absolument fixées au siège. Quand s’arrêtera-t-il !!? Puis il passe une autre corde juste au dessus de mon nombril, faisant quelques tours aux barre du dossier pour me lié à la chaise. Puis il serre le nœud. Il semble avoir terminé avec le bondage. Je ne sens plus son contact maintenant, je ne sais pour où le geôlier se trouve.
Malgré toute les fois où j’ai été ligotée, de quelques sortes que ce soit, je n’ai jamais été aussi bien attachée. Huit cordes pour m’immobiliser sur cette chaise! Je ne peux pas du tout bouger, assise, je suis à la plus complète merci du geôlier !!! Mais d’ailleurs où est mon ravisseur en ce moment ?
Je tente de me dégager des cordes..Oh mon dieu, impossible, même si j’avais une force surhumaine, je ne pourrai absolument rien faire !! En plus les cordes sont très serrées !!! Même en me débattant de toutes mes forces, je ne peux pas bouger du tout !! Mes pieds sont liés au pied de la chaise, mes fesses sont collées contre le siège, et mon dos est complètement lié au dossier de la chaise !!
Je suis aussi impressionnée par la vitesse à laquelle j’ai été ligotée. En à peine 5 minutes, le geôlier m’a totalement immobilisée avec toutes ces cordes.
Voilà en tout cas 10 minutes que je le geôlier a fini de m’attacher. Mais je l’entends revenir vers moi. Ses mains saisissent ma chaise. La chaise est trainée, moi avec, sur environ deux mètre. Je suis très stressée. Puis le geôlier fait basculer la chaise en arrière, je sursaute crie :
« GGGMMMHH !!!!!! » Il me penche de plus en plus en arrière, mon cœur bat tellement fort. Puis il me ramène, reposant la chaise droite. Puis ses mains se posent à nouveau, caressant mon cou ce qui me fait gémir :
« Mmmmmmhhhhh..mmmmmmmhhh !! »
Mais ses mains caressent très délicatement mon cou, je gémis de moins en moins fort. Cela n’est pas désagréable. Son toucher est tellement tendre, ses mains tellement douces. Et attachée comme je suis, je ne peux pas le repousser, je suis contrainte de le laisser me toucher où il le veut. Puis ses mains caressent maintenant mes cheveux. Mon ressenti est étrange : d’un côté, je trouve ses mains tellement délicate que je trouve ces caresse agréable, mais une partie de moi n’aime pas du tout être tripoté à la guise de ce cinglé ! J’ai un peu peur, jusqu’où iront ses attouchements !!??
Puis maintenant ce sont mes poignets qui sont caressés, le geôlier glisse ses mains sur les cordes qui attachent mes poignets. Je suis totalement soumise, je n’ai pas le moindre contrôle !! Et j’ai de plus en plus peur. Ce ne sont que des caresses, mais le geôlier va peut-être me violer. Enzo avait dit que le geôlier me voulait plus que tout, et en ce moment je suis à sa merci.
Puis ses mains maintenant caressent mes cuisses. Je n’aime pas beaucoup ça par contre, car ses mains remonte. Je tente de crier :
« GGMMMMHHHH…MMMMMHHHH…MMMHHMMHHHMHHHHH !!! »
Mais ses mains continuent de monter, se rapprochant toujours de…mon vagin… toujours en couinant, je tente de me débattre, de toute mes forces, faisant presque vaciller la chaise. Mais je reste tout de même immobilisée, ligotée comme jamais. Mais une de ses mains continue malgré tout de monter, passant maintenant sous ma jupe.
« MMMMHHHhhhh !!GGGMMMMHHhhh !!!! » je fais en tentant de dire, NON, ARRETEZ !!
Puis sa main, par miracle redescend, tout doucement. Je me calme quelques peu. Le plus atroce c’est qu’en plus je ne vois rien. Sa main a quitté ma jupe, je reprends mon calme…
Voilà bientôt une heure que ces attouchements durent. Je ne ressens pour le moment plus ses mains, mais je doute que cela dure.
Soudain, ses deux mains se posent sur mes seins !!! Je fais :
« GGGMMMMMMMMMMMMMHHHHHH !!!!!! »
Oh non je déteste ça !!! Lâches-moi espèce de salaud !! Je couine et tente de me débattre de toute mes forces, hélas inutilement. Je déteste que l’on touche mes seins sans que je ne puisse rien faire !!! Et le geôlier est en train de les ploter à pleines mains. Je continue de couiner, mais un de ses mains attrape ma bouche, me forçant à faire encore moins de bruit, alors que son autre main est maintenant passée sous mon top et plote directement mes seins !!!
Je suis totalement impuissante, alors que le geôlier fait absolument tout ce qu’il veut de moi, ne se privant de rien. Sa saleté de main tripote toujours mes seins, cet enflure doit être en pleine extase !!
Mais voilà que son touché est tout à coup plus doux, même paniquée, je déteste un peu moins ce que sa main me fait. Puis sa main toujours plus délicate, caresse mes seins délicatement. Je….c’est bizarre, j’ai honte de le penser mais…j’aime vraiment ça….de toute façon je ne peux rien repousser…et je commence étrangement à apprécier….
Son autre main relâche ma bouche, j’ai arrêté de couiner. Son autre main rejoint ma poitrine sous mon top, il me caresse étrangement, mais cela me procure du plaisir. Puis il continue, alors que je fais :
« mm…mmmmmhhh…mmmmmmhhh…. »
Oh seigneur, je rêve, je suis en train d’avoir un orgasme ! Oh non, je n’aime pas ça, le geôlier me manipule. Mais ces mains continue à caresser mes seins, même si cela me procure du plaisir, je veux que ça s’arrête, ça m’effraye bien trop maintenant. Mais je ne peux rien y faire. Puis ses caresses continuent…
Enfin, ses mains relâchent mes seins, sortent de mon top, je reprends mon calme. Mais je ne suis pas rassurée pour autant !!
Oh non, sa main est à nouveau sur ma cuisse. Je couine de toutes mes forces, mais sa main continue de monter. Elle passe sous ma jupe, je me débats de toutes mes forces, malgré le fait que je suis presque épuisée, même sachant que je suis trop bien ligotée pour faire quoi que ce soit. Puis sa main se glisse dans ma culotte dentelée…Horreur, je ne veux pas qu’il me touche ici !!!! Son un doigt entre dans mon vagin, je crie, couine avec mon bâillon à en prendre ma voix..Mais son doigtage, me rends….je ne peux rien y faire… et malheureusement que je le veuille où non, je ressens quelques chose de très fort en ce moment. Cela dure près d’une minute, puis sa main se retire, quittant ma jupe. Je suis rassurée de ne plus subir son contact.
Puis j’entends de faible pas, un interrupteur est déclenché, je crois que la lumière a été éteinte. Les pas reviennent vers moi. Le geôlier ôte le bandeau autour de mes yeux, mais je ne vois toujours rien, il fait totalement noir. Puis j’entends ses pas s’éloigner peu à peu. La porte s’ouvre, puis se referme, j’entends la clé verrouiller la serrure. Puis la lumière s’allume, je vois à nouveau enfin !! Mais il y a un miroir juste en face, je me vois : je me vois si belle, attachée par toute ces cordes à cette chaise et bâillonnée par ce bâillon boule, en détresse. Malgré ma panique et ma peur, je me trouve tellement belle ainsi !!
Où est le geôlier maintenant !!?? Sans doute d’autre caméra lui permette de m’observer en ce moment.
Voilà au moins trois heures que je suis attachée sur cette chaise. Cela doit faire environ une demi heure que le geôlier a quitté la pièce. Mais soudain, cette même voix brouillée électroniquement se fait entendre dans la pièce, le geôlier me fait :
« Ohhh ma chère Nina !! Quel dommage que je n’ai pas pu prendre la parole durant tout ce tout où je t’attachais, je te caressais !! je t’aurais dit à quel point j’adorais cela !! J’ai kidnappé déjà beaucoup de fille, mais aucune n’est aussi belle que toi !! Si tu savais à quel point je suis heureux que tu sois ma prisonnière !! »
« GGGMMMMMHHH !!! » je fais en tentant de crier :
« Oh ne t’en fais pas ma sexy » reprend le geôlier « nous parlerons plus tard. Mais je sais que mon plaisir n’était pas univoque ! Je t’ai entendu, lorsque je caressais tes magnifiques seins !! Tu étais en train de jouir ma chère Nina !! Ne t’en fais pas, tu n’es pas encore prête de partir d’ici ma jolie !!! »
A SUIVRE



Voici la suite des évènements

2ème partie Nina et le geôlier
……………………………………………………
Voilà déjà une dizaines de minutes que j’attends, menottées, bâillonnées, les yeux bandés. Je suis très stressé, mon rythme cardiaque est assez élevé. Que va-t-il m’arriver ? Vais-je m’en sortir ?
Soudain, la porte s’ouvre, le geôlier est entré. Je sais que le geôlier est là, mais je ne peux absolument pas voir cette personne, impossible d’en savoir plus sur son apparence. D’ailleurs si je vois son visage, je serai surement assassinée. Mon cœur bat de plus en plus fort. Je l’entends marcher, mais où, vers moi ? Puis j’entends un son familier :
« Mmmmmhhh !!! »
C’est Evelyne, qui est hogtiedée au sol, bâillonnée et également les yeux bandés, le geôlier est sur elle, je ne sais pas du tout ce que le geôlier lui fait. Les couinements de Evelyne sont de plus en plus fort :
« mmmmgggmmmhhh…MMMMMMHHHHH !!!GGGGMMMMMHHHHH !!!! »
Elle essaie de crier, mais je ne peux rien faire, je ne vois même pas où elle est, et je suis entravée. Ses couinements continuent. C’est horrible, je suis absolument impuissante !! Qu’est ce qui peut bien lui être infligé ainsi. Par reflexe je tente de dégager mes mains, en vain. Le bruit de la chainette de mes menottes se fait entendre. Mais c’est inutile, je me suis bien menottée. Puis après quelques minutes, les couinements de Evelyne baisse, diminue progressivement. J’entends des pas dans cette pièce, ceux du geôlier. Evelyne a arrêté de gémir maintenant. Soudain, je sens se poser une main sur mon épaule, mon cœur s’accélère d’un coup. Le geôlier me touche en ce moment même. Sa même main glisse le long de mon bras droit. Sa main est…très douce ! Puis elle s’arrête là où mon poignet est menotté. Le geôlier caresse doucement mon poignet, ses mains glissant sur mes menottes également. J’ai à la fois peur, mais je ressens aussi quelques choses d’étrange…pas vraiment désagréable en réalité. Puis cette même main saisi mon bras droit, puis une autre main me pousse légèrement sur l’épaule, me faisant signe d’avancer. Je consens à avancer, le geôlier tient mon bras droit et avance derrière moi.
Pendant que nous avançons, j’entends une porte derrière nous claquer en se refermant, nous avons quitté la pièce où se trouve encore Evelyne. Où allons-nous maintenant ? Nous continuons à avancer, je ne vois rien, mains le geôlier me guide par contact. Tout ce que j’entends c’est le bruit de mes talons résonnant dans cet étrange endroit. Puis après environ 15 minutes de marches, il m’empêche d’avancer, me retenant le bras. Je reste sur place, puis j’entends un bruit de clé dans une serrure, j’entends la porte s’ouvrir, mon ravisseur me fait avancer à nouveau, nous entrons dans une autre pièce que je ne vois pas du tout. J’entends la porte se refermer. Le geôlier me fait avancer encore un peu, puis me retiens par le bras, je me stoppe. Je reste debout à attendre. J’entends le geôlier en train de glisser quelques choses, un meuble. Puis je sens quelques choses toucher derrière mes genoux, une chaise, je m’assois tout doucement, le geôlier fait passer mes bras derrière le dossier de la chaise. Le dossier de la chaise est assez bas, plus bas que mes épaules. Je sens ses mains sur ma tête, caressant mes cheveux, je fais :
« Mmmmmmhhh…ggmmmhhh !.. »
Mais le geôlier continu, caressant délicatement mes cheveux, je gémis, bâillonnée. Puis il s’arrête. Peu après, ses mains saisissent mes chevilles, les rapprochant l’une à l’autre. Mes jambes sont désormais serrées. Puis je sens une corde enlacer mes chevilles. Je me mets à couiner, ce qui laisse le geôlier indifférent ! Plusieurs tours de cordes sont passées et le nœud est déjà en train d’être serré. En à peine une minutes, mes chevilles sont déjà attachées ! Mes pieds sont ramenés au pied gauche de la chaise, le geôlier utilise le reste de la même corde pour attacher mes pieds au pied de la chaise. Le nœud est serré. Puis cela continue avec mes jambes, la corde est passée en dessus de mes genoux. Puis les voilà déjà ligotées également. C’est incroyable la vitesse à laquelle le geôlier me ligote !
Puis il rapproche mes coude ensemble, une autre corde s’enroule autour de mes bras, légèrement au dessous de mes coudes. Puis le nœud est serré, mes bras sont déjà attachés, mes coudes serrés l’un contre l’autre. Puis il enroule une autre corde cette fois juste au dessus de mes coudes. Me voilà encore attaché avec des cordes juste au dessus de mes coudes. Puis je sens une autre corde passer juste au dessous de mes seins, enroulant également mes bras. Puis la corde me serre contre le dossier de la chaise, le geôlier a enroulé la corde autour du dossier pour que mon dos y soit fixé, puis il passe la corde par-dessus mon épaule droite, derrière ma nuque, pour la faire redescendre par devant mon épaule gauche, puis il repasse un tour au dossier de la chaise, pour m’y attacher solidement. Il serre le nœud, je suis bien immobilisée. Puis il saisit mes menottes, j’entends un faible bruit de clé, puis mon poignet droit est détaché. Puis il libère également mon poignet gauche, les menottes me sont totalement enlevées. Mais cela ne change pas grand-chose, je suis trop entravée pour réagir. Puis il ramène mes poignets ensemble, et les lie avec une autre cordes. En à peine 30 secondes il attache mes mains à l’arrière. Je suis attachée par six cordes. Mais le geôlier n’en a pas fini, il utilise une autre corde, la passant par-dessus mes cuisses, et la faisant passer sous le siège de ma chaise. Il fait quelque tour et serre le nœud. Mes fesses sont absolument fixées au siège. Quand s’arrêtera-t-il !!? Puis il passe une autre corde juste au dessus de mon nombril, faisant quelques tours aux barre du dossier pour me lié à la chaise. Puis il serre le nœud. Il semble avoir terminé avec le bondage. Je ne sens plus son contact maintenant, je ne sais pour où le geôlier se trouve.
Malgré toute les fois où j’ai été ligotée, de quelques sortes que ce soit, je n’ai jamais été aussi bien attachée. Huit cordes pour m’immobiliser sur cette chaise! Je ne peux pas du tout bouger, assise, je suis à la plus complète merci du geôlier !!! Mais d’ailleurs où est mon ravisseur en ce moment ?
Je tente de me dégager des cordes..Oh mon dieu, impossible, même si j’avais une force surhumaine, je ne pourrai absolument rien faire !! En plus les cordes sont très serrées !!! Même en me débattant de toutes mes forces, je ne peux pas bouger du tout !! Mes pieds sont liés au pied de la chaise, mes fesses sont collées contre le siège, et mon dos est complètement lié au dossier de la chaise !!
Je suis aussi impressionnée par la vitesse à laquelle j’ai été ligotée. En à peine 5 minutes, le geôlier m’a totalement immobilisée avec toutes ces cordes.
Voilà en tout cas 10 minutes que je le geôlier a fini de m’attacher. Mais je l’entends revenir vers moi. Ses mains saisissent ma chaise. La chaise est trainée, moi avec, sur environ deux mètre. Je suis très stressée. Puis le geôlier fait basculer la chaise en arrière, je sursaute crie :
« GGGMMMHH !!!!!! » Il me penche de plus en plus en arrière, mon cœur bat tellement fort. Puis il me ramène, reposant la chaise droite. Puis ses mains se posent à nouveau, caressant mon cou ce qui me fait gémir :
« Mmmmmmhhhhh..mmmmmmmhhh !! »
Mais ses mains caressent très délicatement mon cou, je gémis de moins en moins fort. Cela n’est pas désagréable. Son toucher est tellement tendre, ses mains tellement douces. Et attachée comme je suis, je ne peux pas le repousser, je suis contrainte de le laisser me toucher où il le veut. Puis ses mains caressent maintenant mes cheveux. Mon ressenti est étrange : d’un côté, je trouve ses mains tellement délicate que je trouve ces caresse agréable, mais une partie de moi n’aime pas du tout être tripoté à la guise de ce cinglé ! J’ai un peu peur, jusqu’où iront ses attouchements !!??
Puis maintenant ce sont mes poignets qui sont caressés, le geôlier glisse ses mains sur les cordes qui attachent mes poignets. Je suis totalement soumise, je n’ai pas le moindre contrôle !! Et j’ai de plus en plus peur. Ce ne sont que des caresses, mais le geôlier va peut-être me violer. Enzo avait dit que le geôlier me voulait plus que tout, et en ce moment je suis à sa merci.
Puis ses mains maintenant caressent mes cuisses. Je n’aime pas beaucoup ça par contre, car ses mains remonte. Je tente de crier :
« GGMMMMHHHH…MMMMMHHHH…MMMHHMMHHHMHHHHH !!! »
Mais ses mains continuent de monter, se rapprochant toujours de…mon vagin… toujours en couinant, je tente de me débattre, de toute mes forces, faisant presque vaciller la chaise. Mais je reste tout de même immobilisée, ligotée comme jamais. Mais une de ses mains continue malgré tout de monter, passant maintenant sous ma jupe.
« MMMMHHHhhhh !!GGGMMMMHHhhh !!!! » je fais en tentant de dire, NON, ARRETEZ !!
Puis sa main, par miracle redescend, tout doucement. Je me calme quelques peu. Le plus atroce c’est qu’en plus je ne vois rien. Sa main a quitté ma jupe, je reprends mon calme…
Voilà bientôt une heure que ces attouchements durent. Je ne ressens pour le moment plus ses mains, mais je doute que cela dure.
Soudain, ses deux mains se posent sur mes seins !!! Je fais :
« GGGMMMMMMMMMMMMMHHHHHH !!!!!! »
Oh non je déteste ça !!! Lâches-moi espèce de salaud !! Je couine et tente de me débattre de toute mes forces, hélas inutilement. Je déteste que l’on touche mes seins sans que je ne puisse rien faire !!! Et le geôlier est en train de les ploter à pleines mains. Je continue de couiner, mais un de ses mains attrape ma bouche, me forçant à faire encore moins de bruit, alors que son autre main est maintenant passée sous mon top et plote directement mes seins !!!
Je suis totalement impuissante, alors que le geôlier fait absolument tout ce qu’il veut de moi, ne se privant de rien. Sa saleté de main tripote toujours mes seins, cet enflure doit être en pleine extase !!
Mais voilà que son touché est tout à coup plus doux, même paniquée, je déteste un peu moins ce que sa main me fait. Puis sa main toujours plus délicate, caresse mes seins délicatement. Je….c’est bizarre, j’ai honte de le penser mais…j’aime vraiment ça….de toute façon je ne peux rien repousser…et je commence étrangement à apprécier….
Son autre main relâche ma bouche, j’ai arrêté de couiner. Son autre main rejoint ma poitrine sous mon top, il me caresse étrangement, mais cela me procure du plaisir. Puis il continue, alors que je fais :
« mm…mmmmmhhh…mmmmmmhhh…. »
Oh seigneur, je rêve, je suis en train d’avoir un orgasme ! Oh non, je n’aime pas ça, le geôlier me manipule. Mais ces mains continue à caresser mes seins, même si cela me procure du plaisir, je veux que ça s’arrête, ça m’effraye bien trop maintenant. Mais je ne peux rien y faire. Puis ses caresses continuent…
Enfin, ses mains relâchent mes seins, sortent de mon top, je reprends mon calme. Mais je ne suis pas rassurée pour autant !!
Oh non, sa main est à nouveau sur ma cuisse. Je couine de toutes mes forces, mais sa main continue de monter. Elle passe sous ma jupe, je me débats de toutes mes forces, malgré le fait que je suis presque épuisée, même sachant que je suis trop bien ligotée pour faire quoi que ce soit. Puis sa main se glisse dans ma culotte dentelée…Horreur, je ne veux pas qu’il me touche ici !!!! Son un doigt entre dans mon vagin, je crie, couine avec mon bâillon à en prendre ma voix..Mais son doigtage, me rends….je ne peux rien y faire… et malheureusement que je le veuille où non, je ressens quelques chose de très fort en ce moment. Cela dure près d’une minute, puis sa main se retire, quittant ma jupe. Je suis rassurée de ne plus subir son contact.
Puis j’entends de faible pas, un interrupteur est déclenché, je crois que la lumière a été éteinte. Les pas reviennent vers moi. Le geôlier ôte le bandeau autour de mes yeux, mais je ne vois toujours rien, il fait totalement noir. Puis j’entends ses pas s’éloigner peu à peu. La porte s’ouvre, puis se referme, j’entends la clé verrouiller la serrure. Puis la lumière s’allume, je vois à nouveau enfin !! Mais il y a un miroir juste en face, je me vois : je me vois si belle, attachée par toute ces cordes à cette chaise et bâillonnée par ce bâillon boule, en détresse. Malgré ma panique et ma peur, je me trouve tellement belle ainsi !!
Où est le geôlier maintenant !!?? Sans doute d’autre caméra lui permette de m’observer en ce moment.
Voilà au moins trois heures que je suis attachée sur cette chaise. Cela doit faire environ une demi heure que le geôlier a quitté la pièce. Mais soudain, cette même voix brouillée électroniquement se fait entendre dans la pièce, le geôlier me fait :
« Ohhh ma chère Nina !! Quel dommage que je n’ai pas pu prendre la parole durant tout ce tout où je t’attachais, je te caressais !! je t’aurais dit à quel point j’adorais cela !! J’ai kidnappé déjà beaucoup de fille, mais aucune n’est aussi belle que toi !! Si tu savais à quel point je suis heureux que tu sois ma prisonnière !! »
« GGGMMMMMHHH !!! » je fais en tentant de crier :
« Oh ne t’en fais pas ma sexy » reprend le geôlier « nous parlerons plus tard. Mais je sais que mon plaisir n’était pas univoque ! Je t’ai entendu, lorsque je caressais tes magnifiques seins !! Tu étais en train de jouir ma chère Nina !! Ne t’en fais pas, tu n’es pas encore prête de partir d’ici ma jolie !!! »
A SUIVRE
- dizzy22
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J'avoue que j'aime regarder une femme se débattre dans ses liens et encore plus quand elle porte des vêtements en latex, lol. J'aime aussi me retrouver ligoté et bâillonné, je prends ceci plus comme un jeu et non pas comme une humiliation.
J'adore autrement voyager, découvrir de nouveaux horizons et parler avec des gens. - Ce que je déteste : La vulgarité, la violence gratuite, l'irrespect.
- Localisation : Bretagne
Re: Une journée imprévisible
Situation torride
Comment Nina va se sortir de cette situation ? Hâte de lire la suite 


- fredchl
- Résident(e) de JdL
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- Inscription : 22 mars 2016, 16:03
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- Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
- Localisation : Basse-Normandie
- Contact :
Re: Une journée imprévisible
Un bon épisode quoique j'aurais pensé que le geôlier serait plus sadique...
Je me demande s'il n'est pas amoureux de sa prisonnière finalement...
Je me demande s'il n'est pas amoureux de sa prisonnière finalement...
