Une journée imprévisible
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Re: Une journée imprévisible
Bonjour à tous. Désolé pour cette longue attente, j'étais très occupée ces derniers temps. Voici enfin la suite.
Indication importante: une partie de l'histoire vers la fin contient une scène très violente et très choquante dans le même style que la scène à la fin de l'épisode "la justice corrompue" de "Chantage". Pour les âmes sensible, vous trouverez juste avant cette scène une lignes d'étoiles comme suit:
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Ne lisez pas ce qui suit ces deux lignes d'étoiles et reportez vous après les prochaines deux lignes d'étoiles. Si vous ne lisez pas ce passage, ce n'est pas grave pour autant, l'essentiel sera résumé là où vous reprendrez la lecture, sans que ce soit choquant.
Sur ce, bonne lecture à tous!!!
Je regarde Alicia en train de tenter de se débattre. C’est peine perdue, Théodore m’a bien attachée, il aura fait de même avec elle. Elle gigote et se débat de toutes ses forces. Et encore !! Cette furie ne lâche pas décidément !! Mais après une dizaine de minutes d’efforts inutiles elle s’arrête. Je pourrais me retourner et essayer de défaire ses liens, mais si elle se libérait avant moi, elle me kidnapperais et me ramènerait au centre. Pas question !!
Alicia semble comprendre qu’elle ne pourra pas se détacher seule, elle a cessé de se débattre. Elle me regarde et essaie de communiquer :
« Gggmmmhhh !!mmmmmmmhhhh !!gggggmmmggmmhhh !! »
Impossible d’enlever son bâillon, il est trop bien fixé ! Je lui fais signe d’enlever le mien. Le scotch sur ma bouche sera plus facile à enlever. De plus, en dehors des jambes et des chevilles, Alicia n’a que les poignets attachées, contrairement à moi qui suis également enlacée par des cordes au bras. Si j’arrive à la convaincre de me libérer il y aura une issue pour moi. Alicia semble comprendre et se retourne. Je vois ses mains, croisées et attachées par les cordes. Je me couche afin que ses mains puissent atteindre le scotch qui bâillonne ma bouche. Soudain, j’entends quelqu’un venir, je me redresse immédiatement assise sur le fauteuil. La porte s’ouvre, Théodore est déjà de retour.
« Le magasin est fermé, j’avais plus pensé que c’était dimanche aujourd’hui »
Quelle cruche, moi non plus je n’y pensait plus. Une chance qu’il n’ait pas remarqué ce que nous faisions juste avant !! Théodore continue :
« Mais c’est pas grave, comme ça je vais pouvoir passer un peu de temps avec vous mes mignonnes !! »
Puis il s’assied entre nous deux sur le fauteuil. Je suis enlacée par son bras gauche, alors qu’Alicia est enlacée par son bras droit. Il allume la télévision et met les sports. Cela dit, il est plus concentré sur nous que sur son écran. Ce malade doit être en pleine extase !!
Puis il m’attrape, me faisant asseoir sur ces genoux, mon dos face à lui. Il me dit :
« Cela fait un moment que tu es attachée ma jolie, voyons si tout cela devrait encore tenir ».
Il commence par flirter mes poignets et les liens les entravant. Il fait de même avec la corde enlaçant mes bras. Puis il fait en glissant ses mains sur mes seins :
« Oui, c’est très bien, ça devrait encore tenir ma mignonne !! »
« Mmmmmggghhh… » je fais, troublée qu’il plote à nouveau mes seins. Puis il m’embrasse également sur le coup. Alicia est toujours à côté regardant la scène. Elle doit se douter que son tour va venir.
Théodore ne se prive de rien, ses mains sont toujours fixées sur mes seins. Même si étrangement, je supporte de mieux en mieux d’être attachée et même bâillonnée, je suis mal à l’aise qu’il me tripote de cette façon, il n’a pas beaucoup de tact et n’est pas tendre du tout. Enfin, inutile de faire la difficile, je n’ai pas le choix. Puis voilà maintenant que ses mains relâchent mes seins. Il me retourne, me faisant assoir sur le côté toujours sur ses genoux, son bras gauche me retient par le dos. Il se met maintenant à caresser mes cuisses. Il me fait :
«Si tu savais Nina ! Je …je ne veux plus rien d’autre !! Tu es tellement belle, tellement craquante, tellement sexy !! »
« gggmmmmhhh… » je fais, en espérant qu’il retire mon bâillon pour que l’on puisse parler.
« Non, non, non, ma minette !! Pas maintenant, tu es !! Si mignonne avec ton bâillon, je ne veux pas gâcher ce plaisir, surtout pas maintenant. »
Il caresse mes cuisses, comme si j’étais la première femme qu’il n’ait jamais touché. Je sens aussi !! Oh non c’est pas vrai ! Son pénis est en pleine érection, je le sens juste sous ma jambe. Sa main passe également sous ma jupe, je commence à m’agiter, incapable néanmoins de bouger tant je suis bien ligotée. Sa main remonte ma cuisse en direction de mon string, paniquée je fais :
« mmmmmhhhh, ggmmhhhh, mhhhhmmmhhh !!! »
« Oh oui, Nina, laisse-moi découvrir ton joli petit monde secret !!! » me fait Théodore avec une respiration des plus enthousiastes. Sa main glisse à l’intérieur de mon string. Je sens….ses doigts…il n’y va vraiment pas délicatement !!! Cela me fait un peu d’effet, mais dans l’ensemble je ne trouve pas vraiment agréable.
« Oh, oui, Nina !!C’est tellement, Oh, tellement tendre, tellement magnifique !!! »
Après quelques minutes il retire ses doigts, je cesse de m’agiter rassurée. Alicia me regarde, elle semble quelque peu nerveuse à l’idée qu’elle subira surement la même chose. Je la vois en train de se débattre. Mais rien n’y fait. La main de Théodore ressort de ma jupe. Il me fait :
« Je crois que mon petit biscuit va s’y tremper. Mais un peu plus tard. C’est vrai, nous avons tout le temps qu’il nous faut !! Il y a autre chose en toi auquel je veux gouter !! »
Puis il me retourne et me fait coucher sur lui, mon bassin étant posé sur ses genoux. Il me fait :
« Oh seigneur !!!Dire que ça existe !! Oh c’est tellement magnifique, ton joli petit cul, te mains attachée juste au-dessus !!Tu es ….PARFAITE Nina !! »
Puis il se met à ploter mes fesses. Sa main touche tantôt mes fesses, tantôt mes mains attachées juste au-dessus. Il est carrément au ciel !! Soudain, il me donne une tape sur les fesses !!
« Mggmmhhh » je fais quelque peu surprise.
« Aaah ouiii ! J’aime pimenter un petit peu ma chérie !!!Ohh, ton cul est tellement !!Je crois que mon biscuit va aussi bien s’y tremper !!! Ohhh ouiiii !!!»
Puis il relâche prise, il me redresse et fait délicatement assoir à nouveau sur le canapé à sa gauche. Il me dit :
« Je ne veux plus que ça Nina. Je veux rester ici pour toujours avec toi ma mignonne !!! »
Son regard se tourne vers Alicia, il fait :
« Et avec toi aussi ma belle gazelle !! D’ailleurs c’est ton tour maintenant !! Tellement longtemps que je te matais dans le centre, ça me démangeait depuis si longtemps de te choper et de t’attachée et…. Ahh, j’attendais ça avec tellement d’impatience !! »
« Ggggmmmhhh…mmmmhhhmmhhhh !! » fait Alicia bâillonnée, semblant également très nerveuse.
Il la soulève, la portant dans ses bras, Alicia se débat, en vain étant trop attachée pour résister. Théodore lui fait :
« Ohh, tu dois tellement manipuler les gens. User de ta beauté et de ton charme pour contrôler les hommes à ta guise. D’ailleurs qui pourrait résister !! Tellement mignonne, tellement sexy !!! »
Puis il la dépose sur le canapé couché sur le dos. Il lui fait :
« Ohh tes beaux seins, tellement magnifique avec ton joli décolleté !!! »
Puis il se met à ploter les seins d’Alicia comme jamais. Ce monstre est heureux comme jamais. Mais à quelques parts je suis satisfaite qu’Alicia commence enfin à payer ses crimes, même de cette façon. Etant attachée je savoure de voir Alicia en train d’être abusée. Et à quelques parts je la trouve aussi, très belle ligotée et bâillonnée, et ….de savoir que nous sommes toutes les deux prisonnières.
Les mains de Théodore sont toujours fixées sur les seins d’Alicia. Puis Théodore plonge sa tête dans ses seins, les embrassant et les caressant de sa langue. Alicia semble tenir le coup, quoique elle tente quelque peu de se débattre, inutilement. Je la vois tenter d’user de forces avec ses bras. Ses mains étant attachée dans le dos, ses seins sont totalement vulnérables, et Théodore n’a pas fini d’en profiter. Ses lèvres, sa langue ont dû parcourir totalement les seins d’Alicia. Enfin Théodore retire sa tête des atouts d’Alicia. Cette dernière semble vraiment enragée de devoir subir ces attouchements, impuissante. Théodore la retourne, il est presque couché dessus, parcourant ses mains ligotés, il fait :
« Ohh, tu vois… C’est ça qui me fait le plus bander… tes petits poignets, tout joli avec tes bracelet, attachés derrière le dos. Oh quelle bonheur Alicia, si tu savais !! »
Il est en train de tripoter ses mains, les liens qui les maintiennent attachés…
Cette fille a l’air habituée. Pourtant, il semblerait qu’elle commence à vraiment détester d’être abusée par Théodore. Puis Théodore la retourne, elle est à nouveau couchée sur le dos. Il lui fait :
« Bien je vais te faire une fleur, belle gazelle, je suis prêt à enlever ton bâillon, mais lorsque je vais t’embrasser, je veux que tu y mettes du tiens. Tu as compris ? »
Alicia fait oui de la tête.
« Ouais, c’est une bonne petite catin ça !! » il enlève son bâillon, Alicia fait :
« Théodore vous…. » Il l’embrasse aussitôt. Alicia semble tenter d’éloigner sa tête, Théodore prend sa tête de ses deux mains la collant face à lui contre sa bouche. Soudain il sépare sa tête en criant :
« Ahhh !!!Salope va !!! » il saigne de la lèvre, Alicia l’a mordu. Elle lui fait :
« Ben qu’est ce qui t’arrives mon petit pervers, tu voulais que j’y mette du miens non ? »
« En plus tu fais la maligne !!! »
« Ce qui est sûr c’est que toi tu feras moins le malin quand les sbires du centre te retrouveront !! » réplique Alicia.
Théodore fou de rage la retourne à plat ventre sur le canapé, il la saisit par les cheveux, afin de maintenir sa tête et lui fait :
« Je vais te dire, espèce de sale pute arrogante !!!Il n’y a pas de centre, pas de tes petits amis ici !! Tu es à moi désormais, je fais ce que je veux de toi ma belle gazelle !!! »
Puis il se sert de son autre main pour remonter la jupe d’Alicia. Ses fesses sont maintenant découvertes, Théodore reprend :
« Et pour commencer, une bonne sodomie devrait te calmer !!!C’est ça que tu veux pétasse hein !!!Répond !!! »
Soudain Alicia semble perdre son assurance, elle fait d’une voix plus faible :
« Théodore ne…ne faites pas ça…. »
Je sens de la crainte maintenant dans la voix d’Alicia. C’est la première fois que la voix apeurée. Théodore baisse son pantalon et son slip, son sexe est en pleine érection, il le rapproche des fesses d’Alicia et lui dit :
« Supplie-moi pétasse !!! Supplie-moi maintenant !!! » lui fait Théodore. Alicia attend et fini par lui dire d’une voix faible et aigue :
« Je vous en supplie Théodore !!!Arrêtez !!! » puis elle n’ose rien dire de plus. Le sexe de Théodore effleure les fesses d’Alicia, puis il s’en écarte en lui disant :
« Tu vois ma belle !!! T’es qu’une pute !!!Tu es ma pute !!!N’oublie jamais ça !!! »
Puis il remonte son slip et son pantalon et s’éloigne du canapé se dirigeant plus loin. Alicia semble rassurée mais encore sous le coup de l’émotion, elle ne dit rien de plus. Mais voilà que Théodore a pris d’un tiroir un… un bâillon avec une sangle mais ce n’est pas une boule rouge à l’intérieur c’est un cercle en métal…oh j’y suis, un écarteur buccale, faisant aussi office de bâillon. Il se dirige vers Alicia, elle lui fait :
« Non…non Théodore, pas ça !! S’il vous plait !! »
« Avec ça tu ne me mordras plus, allez ouvre ta bouche pétasse !! »
Alicia s’y refuse et ferme sa bouche. Théodore colle sa tête contre le canapé et utilise sa main pour pincer son nez, lui empêchant de respirer. Elle refuse néanmoins d’ouvrir sa bouche, préférant être privée de respiration que de subir ce nouveau bâillon. Mais elle semble bientôt étouffer…soudain elle ouvre sa bouche, étant obligée de reprendre son souffle, mais Théodore en profite pour lui mettre son bâillon, le cercle maintien sa bouche ouverte. Il attache la sangle derrière sa tête, sous ses cheveux. Alicia est à nouveau bâillonnée, la bouche ouverte. Elle se débat, tape de ses pieds ligotés au sol… ce bâillon doit vraiment être désagréable. Théodore baisse à nouveau son pantalon et son slip, il bande toujours comme jamais, et lui dit :
« Comme je te l’ai dit, tu es désormais ma prisonnière ! Ma pute !!!!! ET CELA VA T’AIDER A T’EN SOUVENIR !!!! »
Alicia panique totalement tentant de gigoter, attachée, couinant de toutes ses forces :
« GGGGMMMHHHHHHH !!!!MMMMMHHHHH !!!!MMMHHHMMHHHHH !!!MMMMMMMMMHHHH »
Théodore commence par la retourner pour regarder ses mains attachées, il se masturbe en les contemplant, Alicia semblant paniquée et terrorisée. Elle est impuissante attachée et de nouveau bâillonnée. Elle ne cesse pas de gémir. Après quelques secondes, Théodore la retourne, elle est couche sur le dos, il pénètre son pénis dans la bouche d’Alicia, passant dans l’anneau de métal. Il lui fait en pleine extase :
« Maintenant régale toi, salope !!!! »
Puis il éjacule, pas moins que les fois précédente. Une fois son sperme sorti, il attend quelques instant puis reprend le bâillon boule. Il enlève l’écarteur buccale d’Alicia, et lui remet le bâillon boule avant qu’elle ait le temps de prononcer un seul mot. Il pose encore sa main sur sa bouche encore bâillonnée et lui fait :
« Et maintenant tu vas tout avaler sale pute !! ça t’apprendra à vouloir me résister !!! »
Il attend quelques minutes. Alicia n’a pas eu le choix étant bâillonnée, elle a été contrainte de tout avaler. Théodore lui fait :
« Et voilà qui est fait ! J’espère que tu as retenu la leçon maintenant !!!! »
Alicia est totalement dépitée et épuisée. Théodore file à la salle de bain.
Après un quart d’heure il revient, à nouveau habillé. Voyant Alicia dépitée il lui dit en riant :
« Ha ha ha !! je me demande combien de bite de le cul on pourrait t’enfiler en ce moment !!! Je dois dire que toute cette excitation m’a vraiment donné soif !! Je vais m’en boire une à l’extérieur. Soyez sage mes deux minettes !!!Ne vous en faites pas, je vais revenir bientôt !!! »
Puis il quitte la pièce se dirigeant au garage. Puis j’entends sa voiture démarrer et sortir. Heureusement Alicia semble progressivement reprendre son esprit. Après quelques minutes encore je lui fais :
« Gggmmmhhh !!mmmhhhmmhhgmmmh !! »
Alicia se retourne, ses mains sont face à moi, je me penche non sans difficulté étant attachée. Mon visage se rapproche de ses mains. Le doigts d’Alicia parcours ma bouche, puis enfin elle parviens à saisir une extrémité du scotch qui me bâillonne. Puis elle décolle progressivement ce scotch de ma bouche. Cela me fait un peu mal, ça fait tellement longtemps que je suis bâillonnée. Puis enfin le scotch est totalement décollé, enfin, je fais :
« Ahhh enfin !!!Enfin sans ce satané bâillon !! ». Alicia se retourne et me regardant elle me fait :
« MMMmmmmhhhffff !!! ». Puis je lui réponds :
« Détache-moi en première Alicia. Pour l’instant je n’arriverais pas à t’enlever ton bâillon ! je suis trop attachée en ce moment. Et si je te détache en première, je sais que tu assassineras Théodore avant de me ramener au centre ! Il n’en est pas question !!! Détaches moi, et je te promets, je te donne ma parole que je te libèrerais dès que mes mains sont libre, nous enfermerons Théodore, le livrerons à la police, puis nous partirons chacun de notre côté. Tu dois me faire confiance Alicia, tu n’as pas le choix ! Tu as vu de quoi est capable ce cinglé !! »
Alicia soupire, puis fait oui de la tête. Elle se retourne, et recherche le nœud des liens enlaçant mes poignets. Ses mains parcours les miennes…puis les cordes m’attachant…puis il semblerait qu’elle ait atteint le nœud. Elle fait son possible pour le défaire…Cela prend du temps….je crois que le nœud est défait ! Elle déroule les cordes, progressivement….je parviens enfin à retirer une de mes mains !!! Aussitôt je commence à détacher les cordes attachant mes jambes. Alicia détache les cordes de mes bras, tant bien que mal étant donné qu’elle est toujours attachée….Mes jambes sont aussi libre, et Alicia semble avoir défait le nœud des cordes de mes bras. Je déroule ces cordes, me voilà presque détachée, plus que mes chevilles, je ne perds pas de temps et défait le nœud…je déroule les cordes….ENFIN libre !!!
Je me relève, Alicia me fait :
« GGGMMMHHHHH !!!! »
« Navré Alicia, mais il n’est pas question que je te libère !!! Tu m’as déjà kidnappée un fois, me livrant dans cet enfer en Roumanie, juste pour ton petit plaisir et pour de l’argent. Je vais te livrer à la police, nous allons arrêter toutes les personnes impliquées dans cet établissement affreux que vous appelez Le Centre. Nous mettrons également Soumarov à sa place, derrière des barreaux !! Et toi avec ! »
« GGGMMMMHHH !!!MMMMHHHH !!MMMMMMMMHH !!!!! » me fait Alicia, trahie !
Je redescends au garage. Zut la porte pour l’extérieur est fermée, comment faire. Mais je regarde sur la table, le pistolet d’Alicia que Théodore avait emporté est juste dessus. Soudain la porte s’ouvre, la voiture de Théodore revient. Je saisis immédiatement le pistolet, et me cache derrière la porte menant aux escaliers vers l’étage. La porte du garage se referme. Théodore sort de la voiture et se rapproche de la porte de l’escalier, ou je suis cachée. Je sors de ma cachette et me place face à lui pointant le pistolet, il me fait :
« Nina !!!Comment as-tu !!!??? »
« Trêve de bavardage espèce de malade !! Recule immédiatement vers le coffre de la voiture !! »
Théodore s’avance doucement en me disant :
« Ne t’énerve pas ma belle Nina, nous allons tranquillem… » je tire une balle à quelques centimètres de son pied et lui répondant :
« Un pas de plus, et je te tire dans la jambe cette fois !!! ». Théodore s’arrête immédiatement. Je répète :
« Dirige-toi vers le coffre !! »
Théodore, contrarié se dirige vers le coffre de la voiture, je lui fais :
« Ouvre le et donnes moi les clés ! »
Ce dernier obéis puis me lance les clés, je lui fais :
« Entre dedans maintenant !! »
Théodore obéis. Il parvient à s’y glisser, je m’approche et referme le coffre, fermant immédiatement la voiture à clé. Une chance que je connaisse ce modèle, le coffre peut en aucun cas être ouvert de l’intérieur. J’entends Théodore crier à travers le coffre :
« Salope, tu perds rien pour attendre. Je vais bien sortir, et je t’attacherai te bâillonnerai à nouveau !!! Pétasse, connasse, sale pute !!!! »
Je remonte à l’étage. Alicia est toujours attachée et bâillonnée sur le canapé. La regardant dans cet état je me sens. Satisfaite…presque un peu excitée à l’idée que Alicia est maintenant ma prisonnière. Elle est tellement belle !!
Je me dirige vers et lui dit :
« Tout d’abord je dois vérifier tes liens Alicia.. » Je commence par regarder ses chevilles…oui ça semble bon, puis ses jambes…bien ficelée également, puis je la retourne pour vérifier ses mains attachées dans le dos. Ok ça semble bien tenir. Je dois avouer que ça lui va vraiment bien d’être attachée les mains dans le dos ! Je me remets face à elle et lui dit :
« Tu voulais me capturer à nouveau n’est-ce pas ! Et finalement c’est toi qui est ma prisonnière maintenant. »
« gggmmmhhhh..gggmmhh !! » me fait Alicia qui est assurément très frustrée par la situation. Je lui fait :
« Comment as-tu pu me faire ça !! Comment arrives-tu à dormir sachant que tu m’avais fait attachée à la merci de tous les pervers venu dans ce centre !! As-tu seulement idée de ce que j’ai failli subir là-bas !! »
Alicia ne fait qu’écouter, incapable de prononcer un mot avec son bâillon, je continue :
« Comment en es-tu arrivée là Alicia ? Tu es une si belle femme, surement intelligente. Alors pourquoi as-tu choisie une vie de criminelle, pourquoi vouloir du mal aux autres ? Tout ça pour de l’argent ?? »
« gggmmmhhh…mmmhh… » tente de me faire Alicia. Elle veut surement me demander d’ôter son bâillon. Jamais de la vie, elle ne le ferait pas pour moi. Je lui fais :
« Alors Alicia, maintenant que les rôles sont inversés, qu’est-ce que tu ressens étant ma captive ? »
Elle me lance simplement un regard très énervée. Plus ça va et plus. Ouiii, j’aime tellement avoir une si belle femme sous mon emprise !! Je devrais peut-être la garder un moment, rester, ça me fait tellement du bien. Non, non reprend toi Nina, il faut la remettre à la police, et obtenir un maximum d’information sur le Centre.
Je prends le téléphone de la maison, et compose le numéro….rien, ça ne sonne même pas. Je recommence….toujours rien…à croire que la ligne est HS. Mon portable, bien entendu est toujours chez Théodore là où je suis arrivée au début. Il faut que j’aille directement à la police.
Je viens vers Alicia, pose délicatement une de mes mains sur sa joue et lui dit :
« Profite bien Alicia, je vais maintenant à la police, ils vont t’embarquer, et tu vas tout nous dévoiler : Le Centre, Soumarov…plus tu t’abstiendras, pire ce sera pour toi. A tout de suite ! »
Je redescends au garage. Maintenant il faut que je trouve comment ouvrir la porte principale, aucun moyen de sortir avec la voiture autrement. Je regarde autour… Théodore m’avait bloqué la porte la dernière fois alors qu’il se trouvait proche de l’escalier, je regarde dans cette direction…je vois un tableau…oh zut il faut un mot de passe pour l’ouvrir. Je m’approche de la voiture, et je tape sur le coffre où est enfermé Théodore en faisant :
« Théodore, quel est le code pour ouvrir cette porte ! » j’entends faiblement sa réponse à cause de l’isolement du coffre :
« Va te faire foutre salope !!! De toute façon ça te servira à rien, t’iras pas bien loin, je te le garantis !!!Connasse, sale pute !!! »
« Donnez-moi ce code, où je vous laisserai pourrir dans ce coffre ! » je réplique, il me répond :
« C’est toi qui va pourrir sous mes couilles quand je sortirai, pétasse !!! »
Bon inutile d’insister, je vais voir si je peux aller à pieds. Il me semble que le temps n’était pas vraiment favorable. Je remonte l’escalier, Je vois Alicia, par terre, en train de ramper en direction de la cuisine. Je lui fais :
« Ah, j’aurais du me méfier !! Allez, revient là sale peste !! »
Je la saisi sous les aisselles et la ramène vers le canapé. Elle est à nouveau assise. Une chance que je sois revenue à temps, un peu plus et elle aurait saisi un couteau et aurait pu se libérer.
« Je vais bientôt régler ça » je lui fait. Je regarde par la fenêtre : c’est la tempête ! Impossible de sortir sans voiture !! Il faudra sans doute attendre demain. Peu importe, après tout, j’apprécie garder Alicia comme prisonnière. D’ailleurs, elle a bien failli se libérer, je ne peux pas prendre plus de risque.
Je prends une chaise en bois, l’amenant proche d’Alicia. Je porte cette dernière en la soulevant sous les bras et la fait asseoir sur la chaise. Je saisis d’autre corde, et je lui dis :
« Okay, maintenant je vais m’assurer que tu ne puisse plus bouger !! »
Je commence par relier son corps au dossier de la chaise, passant les cordes à la hauteur de son nombril… je serre le nœud, ma prisonnière est maintenant attachée à la chaise. Puis je prends une autre corde, afin de lier ses chevilles déjà ligotées au pied de la chaise, afin qu’elle ne puisse plus lever ses jambes… j’aime tellement…faire ça, attacher cette belle femme…..le nœud est serré. Alicia fait :
« Ggggmmmhhh…mmmmhhhmmhhhh !!! »
« Bon d’accord, nous allons parler un peu » je lui fais en enlevant son bâillon. Aussitôt la bouche libre, Alicia me fait :
« Alors dis-moi ? Tout ça te plait ? Tu prends ton pied pétasse ? »
« A vérité je dois dire que je suis pas mécontente que tu sois ma captive. Tu ne t’étais pas privée de me capturer il y a quelques temps, alors pas la peine de faire ta rabat joie. »
« Soumarov m’avait dit que tu avais déjà essayé de faire plier son organisation, tu t’étais rapprochée de lui en te faisant passer pour sa campagne », je réplique aussitôt.
« Il exploitait la prostitution en France, en kidnappant de jeunes étrangères qui n’avait rien demandé. A cette époque j’étais loin de me douter qu’un centre à part en Romanie retenait prisonnière toutes ces filles. D’ailleurs combien de filles sont enfermées là-bas. »
« Bien assez pour amasser une fortune Nina ! »
« Et ça ne te fait rien de contribuer à toutes ces horreurs ? »
« Des horreurs se déroulent partout dans le monde, personne peut rien y faire. Le plus important c’est de savoir en tirer profit !! »
Elle me regarde intensément. Ce regard, tellement…je n’arrive pas à expliquer. Je me rapproche d’elle, son visage sont tout proche l’un de l’autre, Alicia me fait :
« Je suis réaliste, ce sera peut-être mon dernier, alors va-z-y, embrasse moi Nina !! »
Nos bouches se collent, nous nous embrassons à pleine bouche. Je ne sais pas pourquoi, je la trouve tellement, belle, ligotée de la sorte. Elle semble aimer également. J’aime tellement ça…ça me rappelle, la fois où j’ai embrassé Clara alors que j’étais menottée. Un si bon souvenir maintenant que j’y pense. Ce qui est curieux c’est que j’ai l’impression d’avoir à nouveau ressenti cela récemment. Puis nos bouches se séparent. Je lui remets son bâillon. Elle ne semble pas vraiment résister. C’est presque à croire qu’elle aime être bâillonnée en ce moment.
Je regarde par la fenêtre, la tempête ne s’est toujours pas arrêtée et il se fait tard, il fait déjà nuit noir maintenant. Je n’ai qu’à dormir ici, demain la tempête aura surement diminué, puis je pourrai aller au poste de police le plus proche, ou au moins à un endroit où je pourrais téléphoner. Je préfère tout de même dormir dans la même pièce qu’Alicia, même si elle est solidement attachée, je préfère prendre mes précautions. Je monte dans la chambre de Théodore, prends une couverture propre ainsi qu’un oreiller, puis je redescend et m’installe dans le canapé, tout proche d’Alicia, attachée et bâillonnée sur sa chaise. Je suis tellement épuisée, je commence à m’endormir……..
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……………………………Je rêve ou j’entends…des ….couinements….gémir….je sors progressivement de mon sommeil, j’entends de faibles bruits….qu’est-ce qui se passe ? J’ouvre les yeux : j’y suis, Alicia est en train de se débattre, inutilement, elle est trop bien attachée pour se libérée. Je la vois de dos, ses poignets attachés, elle tente de tirer de toute ces forces pour se dégager de ses liens…mais rien n’y fait. Je l’entends également légèrement gémir :
« gggmmmhhh…mmmmhhh..ggmmmhhhmmhh… »
Mais quelle peste, quelle heure il est maintenant ? Je regarde ma montre : 02h40, je déteste me réveillée au milieu de la nuit. Je m’approche d’elle et lui fait en saisissant ses cheveux par derrière :
« Silence ! Calmes toi maintenant !! Sinon je te fais avaler un somnifère de force, tu as compris ? »
Après quelques instants d’hésitations elle fait oui de la tête. Je lui réponds :
« Bon très bien, j’espère que je vais pouvoir me rendormir maintenant !! »
Je recommence à m’endormir….je suis encore si fatiguée, toute ces émotions, je ne pense pas que j’aurais beaucoup de mal à me rendormir finalement, je pense a toute sorte de chose : au centre, Yuri, Evelyne, le Geôlier, Soumarov……………………………………………………………………………………………….
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……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………hhhhhhh….oohhhhh…le soleil, je suis toujours dans ce canapé….j’ouvre les yeux : Alicia est toujours ligotée devant moi. Je regarde ma montre, il est déjà 09h45 du matin. Ohh, j’ai tellement bien dormie…Le temps s’est bien améliorer, je vais pouvoir aller au poste de police. Mais avant il faut que je reprenne des forces, je vais prendre le petit déjeuner dans la cuisine. Il y a du pain, du beurre, miel, jus d’orange…tout ce dont j’ai besoin. Je commence à manger, j’entends Alicia gémir dans l’autre pièce. Il faudra également que je la nourrisse. Je lui crie :
« Calme toi, je suis à toi dans un instant ».
De toute façon j’ai fini de manger. Soudain j’entends un bruit de verre se casser, je retourne immédiatement dans la pièce où se trouve Alicia. Cette maladroite a fait basculer sa chaise, elle est tombée sur la table de verre la brisant. Je redresse immédiatement la chaise où Alicia est attachée. Elle a vraiment eu de la chance de ne pas se couper ! Je ramasse les débris et jette le tout dans la poubelle. Finalement elle attendra encore un peu avant de se restaurer. Elle recommence à gémir :
« MMMMHHHHH !!!MMMMMMFFFFHHHHH !!!!! » Je la saisi par les cheveux et lui répond :
« Silence maintenant Alicia ! Et tiens toi tranquille maintenant où je te bande les yeux, c’est compris !!? »
Elle fait oui de la tête. Je relâche ses cheveux et masse tout doucement ses épaules, et je lui dis :
« Très bien, c’est bien. Reste tranquille et je ne te ferai pas de mal, d’accord ? »
Je lui fais une bise sur la joue, puis je monte à l’étage en prenant le pistolet avec moi. J’accède à la salle de bain.
Il est temps de prendre une bonne douche. J’ôte mes vêtements, et j’entre sous cette bonne eau chaude. Aaahhh !!!Comme ça fait du bien ! Maintenant il ne me reste plus qu’à aller au poste, Alicia sera arrêtée, Théodore également. Ces deux criminels révéleront de précieuses informations concernant le Centre. C’était mal parti, mais je m’en suis bien tirée finalement. Cette douche me fait tellement de bien. Je fini enfin par y ressortir. J’ai du y rester plus d’une demi heure, j’ai vraiment exagérée. Je recommence à m’habiller en remettant le même tenue. Me voilà prête, il est tant d’alerter les autorités maintenant.
Je redescends de l’étage avec le pistolet, puis j’ouvre la porte du salon. Ce que je vois est impensable : je ne vois plus Alicia, la chaise est vide et les cordes trainent par terre, elle a du réussir à se libérer. Puis soudain je sens que l’on m’attrape à l’arrière, une main se posant sur ma bouche, puis quelque chose de froid et coupant se pose sur ma gorge.
« Mmmmhhhhhh !!! »
« Pas de geste brusque surtout » me fait Alicia, c’est elle qui m’attrape. Puis elle continue :
« Si j’ai pu couper des cordes avec ce morceau de verre, je te garantie que je n’aurai aucune difficulté à te trancher la gorge ma mignonne !! »
Je reste immobile terrorisée. Alicia réplique :
« D’abord tu va saisir le pistolet par le canon pour éviter les accident » ce que je fais instantanément.
« Très bien » poursuit-elle « maintenant donne la moi tout doucement ».
Je lui rend le pistolet, elle le saisit et me dit :
« C’est bien, gentil fi-fille !! » Elle jette le morceau de verre et enlève sa main de ma bouche puis elle me retourne face à elle et me fait :
« J’espère que tu as bien profité pétasse, parce que maintenant, c’est mon tour !! »
« Alicia, pitié je… »
« Ta gueule !!! Maintenant met toi à genoux et met tes mains derrière la tête ! » J’obéis instantanément. Alicia ramasse une corde et se place derrière moi. Elle a rangé le pistolet à l’arrière de sa jupe. Je ne vais pas prendre de risque, je sais de quoi elle est capable.
« Croise tes mains derrière le dos, ne tente rien ou tu vas vraiment souffrir sale garce !! »
J’obéis, Alicia s’empresse d’attacher mes poignets. J’étais libre, et voilà que je sens à nouveau ces saletés de cordes m’enlacer. Pendant qu’elle m’attache je lui fais :
« Tu vas me livrer au centre ? Tu sais ce qu’ils me feront là-bas !! Tu n’as vraiment aucune pitié pour moi Alicia ?? »
Elle serre le nœud en me répondant : « Tu sauras bien assez tôt ce que je compte faire de toi ! Et au passage, c’est moi qui ai coupé la ligne téléphonique quand je suis arrivée, pour éviter les incidents. Faut croire que j’ai pas si mal fait.»
« Alicia, pitié, je…mmmmmmmggggmmmmfffhhh » Alicia vient de me bâillonner avec le bâillon boule. Elle prend le sac avec les cordes et m’emmène de force. Nous descendons les escaliers. Pendant que nous descendons Alicia semble effectuer une manipulation sur sont pistolet, je ne vois pas ce qu’elle fait exactement. Nous atteignons le garage. Alicia me laisse dans un coin et me fait :
« Surtout bouges pas ou je vais vraiment te faire souffrir !! »
Je reste immobile la regardant ouvrir le coffre. Théodore s’exclame dès le coffre ouvert :
« Ah, putain c’est pas trop tôt…Marie ? Tu as réussi à te libérer ? Où est la journaliste ? » Alicia braque son arme sur lui et lui dit :
« Sors du coffre et regarde et face de toi ! »
Théodore me voit, Alicia lui fait :
« Ecoute on va faire court. Cette salope a tenté de me doubler, je suis prête à te la laisser, mais je te préviens c’est pas gratuit !! »
« D’accord, je te paierais tout ce que tu veux pour la récupérer. Combien !? »
« GGGGMMMMMMHHHHHH !!!! » je tente de faire bâillonnée.
« Elle vaut largement 800'000.- dollars, mais ce sera pas tout. Tu m’as obligé à te faire une fellation, ça va te couter assez cher si tu veux t’en tirer !! 200'000 de plus, soit un millions d’euro au total !! » Théodore lui répond :
« Un million c’est…énorme !! »
« A prendre ou à laisser » lui fait Alicia.
« Bon très bien je te paierai » Alicia le coupe :
« Tout de suite, c’est pas négociable, appel ta banque et fait immédiatement le virement !! »
« Ok, ok, ok, laisses moi les appeler alors ».
Théodore joint sa banque. Une fois son appel terminé il fait à Alicia :
« Voilà, le virement devrait déjà avoir été effectué »
Alicia regarde sur son téléphone portable en lui faisant :
« Attend un peu, je vérifie….Tu peux déjà ouvrir la porte du garage, je vais pas trainer… »
« Bien sûr » lui fait Théodore. Il exécute le code, j’entends la porte s’ouvrir.
Après quelques minutes elle reprend parole :
« Le virement a bien été effectué, je t’en remercie. »
(((ATTENTION, IL S'AGIT DE LA SCENE VIOLENTE ET CHOQUANTE DONT J'AI PARLE. POUR LES AMES SENSIBLE, REPORTEZ REPRENEZ LA LECTURE APRES Les PROCHAINEs LIGNEs D'ETOILEs. NE VOUS INQUIETEZ PAS, L'ESSENTIEL EST EXPLIQUE APRES LA PROCHAINE LIGNE D'ETOILES, SANS QUE CE SOIT CHOQUANT)))
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Alicia se rapproche de Théodore en lui disant :
« Je ne vais pas trainer mais… » Elle enlace ses mains autour de la tête de Théodore en lui disant :
« Ce serait dommage qu’on se quitte sans se dire au revoir…convenablement »
« Marie….oui, rends moi heureux !! »
Aussitôt Alicia l’embrasse à pleine bouche. Puis pendant leur baiser elle le fait avancer contre le mur en bois, Alicia a saisi quelque chose en avançant, c’est…la forme d’une, d’un…je ne vois pas encore bien ce que c’est. Je reste immobile, attachée. Soudain Alicia lâche le petit pistolet par terre derrière elle. Théodore l’a remarqué, il saisit un bras d’Alicia. Il va sans doute la pousser pour reprendre son arme, quelle salopard !!! Mais Alicia baisse le pantalon de Théodore, il est déjà en train de bander !! Elle baisse également son slip, Théodore renonce apparemment à la pousser, il est trop sous extase et est dépassée par son envie pour Alicia. Mais soudain j’entends six bruits de percussions, aussitôt Alicia s’écarte et Théodore hurle de douleur :
« AAAAAAAAAAAAAARRRRRGGGGG !!!!!!!AAAAAAHHHHH !!!!!!! »
Je vois…Oh nom de !!! Alicia avait pris un pistolet à clou sur la table, elle vient de tirer six clous dans les testicules de Théodore, lesquels sont cloués contre le mur en bois contre lequel il est plaqué. Théodore hurle :
« AAAAAAHHHHHAAAAAAHHHHH !!!SALOPE, PETASSE, PUTE, SALE PUTE !!!!!AAAAAAAAHHH CETTE DOULEURS !!!! PETASSE, PETAAAASSSE !!! » Alicia lui répond :
« Faux espoirs enfoirés ! La petite galipette, c’était juste pour pouvoir te faire bien souffrir après. Tu ne croyais quand même pas que j’allais te laisser filer après ce que tu m’as fait espèce de trou de balle !!!» lui fait Alicia.
« AAAAAAAHHHH » reprend Théodore en hurlant de douleur « COMMENT T’AS PU !!!! ESPECE DE SALOPE CINGLÉE !!! » Il essaie d’atteindre le petit pistolet, mais il à un mètre de lui par terre, et les clous lui empêche de quitter le mur, Alicia qui tient toujours le pistolet à clous lui fait :
« C’est frustrant hein ! Si proche du flingue, tu pourrais….me le braquer et me capturer à nouveau…ça ne tient qu’a à peine un mètre. Je suis sûr que ça doit te désespérer enfoiré !! », puis Théodore lui répond en criant :
« AAAAHH C’EST-CE QUE TU CROIS SALOPE, ATTEND UN PEU… » puis il met toute sa force, pour avancer puis…non ce n’est pas !! Théodore vient s’arracher les testicules, qui sont resté cloué contre le mur, il s’effondre immédiatement par terre, couché sur le pistolet, il crie :
« AAAAAAAAAAAARGG !!!!AAAAAAAHHHHHAAAAAAAAA !!!! » Puis il regarde Alicia, celle-ci prend un air inquiet, il lui fait :
« AAAAAAAAHHHH !!!AAAAAAHH !!!TU…tu…tu…t’attendais pas à ça….AAAAAAHHHH…..hein…..salope , manges toi ça maintenant » il pointe le pistolet en direction de la jambe d’Alicia, il tire mais, aucune balle ne sort, pas de coup de feu !Juste une percussion vide !!Théodore paniqué tire plusieurs fois, mais rien n’y fait, puis Alicia perds instantanément son air paniqué, elle semble avoir simulé son inquiétude. Puis elle sort de sa jupe un chargeur en lui disant :
« Il te manque pas quelques chose mon petit pervers ? Ohhh, non !! Mais c’est là qu’il comprend que j’avais fait exprès pour que notre petit pervers s’arrache les couilles tout seul. Dommage pour toi hein ?!! » Théodore lui répond en pleurant de douleur :
« Sale pute !!Espèce de sale pute !!!! »
Alicia saisit la main droite de Théodore la plaque contre le mur en bois et tire un clou pour fixer sa main contre le mur, Théodore hurle à nouveau de douleur. Puis elle fait de même avec la main gauche de Théodore. Elle le laisse souffrir quelques minutes, puis elle coince le pistolet à clou dans la bouche de Théodore et lui fait :
« Maintenant à ton tour, régales toi fils de pute !!! » Puis elle lui tire plusieurs clous la bouche de Théodore. Il agonise et fini par mourir.
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Je viens de voir Alicia tuer Théodore sous mes yeux.
Alicia revient vers moi et me fait en me prenant par le bras :
« Allé, assez trainé maintenant, le Centre n’attend plus que toi ma mignonne !! »
Alicia me fait entrer dans la voiture de Théodore, elle prend le volant, je suis attachée les mains derrière le dos et bâillonnée. Je sais que nous nous dirigeons vers le centre. Je suis terrorisée par ce qu’elle vient de faire, même si Théodore le méritait peut-être !!! J’ai tellement peur !!! Quand ce cauchemar se terminera-t-il ? »
Indication importante: une partie de l'histoire vers la fin contient une scène très violente et très choquante dans le même style que la scène à la fin de l'épisode "la justice corrompue" de "Chantage". Pour les âmes sensible, vous trouverez juste avant cette scène une lignes d'étoiles comme suit:
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Ne lisez pas ce qui suit ces deux lignes d'étoiles et reportez vous après les prochaines deux lignes d'étoiles. Si vous ne lisez pas ce passage, ce n'est pas grave pour autant, l'essentiel sera résumé là où vous reprendrez la lecture, sans que ce soit choquant.
Sur ce, bonne lecture à tous!!!
Je regarde Alicia en train de tenter de se débattre. C’est peine perdue, Théodore m’a bien attachée, il aura fait de même avec elle. Elle gigote et se débat de toutes ses forces. Et encore !! Cette furie ne lâche pas décidément !! Mais après une dizaine de minutes d’efforts inutiles elle s’arrête. Je pourrais me retourner et essayer de défaire ses liens, mais si elle se libérait avant moi, elle me kidnapperais et me ramènerait au centre. Pas question !!
Alicia semble comprendre qu’elle ne pourra pas se détacher seule, elle a cessé de se débattre. Elle me regarde et essaie de communiquer :
« Gggmmmhhh !!mmmmmmmhhhh !!gggggmmmggmmhhh !! »
Impossible d’enlever son bâillon, il est trop bien fixé ! Je lui fais signe d’enlever le mien. Le scotch sur ma bouche sera plus facile à enlever. De plus, en dehors des jambes et des chevilles, Alicia n’a que les poignets attachées, contrairement à moi qui suis également enlacée par des cordes au bras. Si j’arrive à la convaincre de me libérer il y aura une issue pour moi. Alicia semble comprendre et se retourne. Je vois ses mains, croisées et attachées par les cordes. Je me couche afin que ses mains puissent atteindre le scotch qui bâillonne ma bouche. Soudain, j’entends quelqu’un venir, je me redresse immédiatement assise sur le fauteuil. La porte s’ouvre, Théodore est déjà de retour.
« Le magasin est fermé, j’avais plus pensé que c’était dimanche aujourd’hui »
Quelle cruche, moi non plus je n’y pensait plus. Une chance qu’il n’ait pas remarqué ce que nous faisions juste avant !! Théodore continue :
« Mais c’est pas grave, comme ça je vais pouvoir passer un peu de temps avec vous mes mignonnes !! »
Puis il s’assied entre nous deux sur le fauteuil. Je suis enlacée par son bras gauche, alors qu’Alicia est enlacée par son bras droit. Il allume la télévision et met les sports. Cela dit, il est plus concentré sur nous que sur son écran. Ce malade doit être en pleine extase !!
Puis il m’attrape, me faisant asseoir sur ces genoux, mon dos face à lui. Il me dit :
« Cela fait un moment que tu es attachée ma jolie, voyons si tout cela devrait encore tenir ».
Il commence par flirter mes poignets et les liens les entravant. Il fait de même avec la corde enlaçant mes bras. Puis il fait en glissant ses mains sur mes seins :
« Oui, c’est très bien, ça devrait encore tenir ma mignonne !! »
« Mmmmmggghhh… » je fais, troublée qu’il plote à nouveau mes seins. Puis il m’embrasse également sur le coup. Alicia est toujours à côté regardant la scène. Elle doit se douter que son tour va venir.
Théodore ne se prive de rien, ses mains sont toujours fixées sur mes seins. Même si étrangement, je supporte de mieux en mieux d’être attachée et même bâillonnée, je suis mal à l’aise qu’il me tripote de cette façon, il n’a pas beaucoup de tact et n’est pas tendre du tout. Enfin, inutile de faire la difficile, je n’ai pas le choix. Puis voilà maintenant que ses mains relâchent mes seins. Il me retourne, me faisant assoir sur le côté toujours sur ses genoux, son bras gauche me retient par le dos. Il se met maintenant à caresser mes cuisses. Il me fait :
«Si tu savais Nina ! Je …je ne veux plus rien d’autre !! Tu es tellement belle, tellement craquante, tellement sexy !! »
« gggmmmmhhh… » je fais, en espérant qu’il retire mon bâillon pour que l’on puisse parler.
« Non, non, non, ma minette !! Pas maintenant, tu es !! Si mignonne avec ton bâillon, je ne veux pas gâcher ce plaisir, surtout pas maintenant. »
Il caresse mes cuisses, comme si j’étais la première femme qu’il n’ait jamais touché. Je sens aussi !! Oh non c’est pas vrai ! Son pénis est en pleine érection, je le sens juste sous ma jambe. Sa main passe également sous ma jupe, je commence à m’agiter, incapable néanmoins de bouger tant je suis bien ligotée. Sa main remonte ma cuisse en direction de mon string, paniquée je fais :
« mmmmmhhhh, ggmmhhhh, mhhhhmmmhhh !!! »
« Oh oui, Nina, laisse-moi découvrir ton joli petit monde secret !!! » me fait Théodore avec une respiration des plus enthousiastes. Sa main glisse à l’intérieur de mon string. Je sens….ses doigts…il n’y va vraiment pas délicatement !!! Cela me fait un peu d’effet, mais dans l’ensemble je ne trouve pas vraiment agréable.
« Oh, oui, Nina !!C’est tellement, Oh, tellement tendre, tellement magnifique !!! »
Après quelques minutes il retire ses doigts, je cesse de m’agiter rassurée. Alicia me regarde, elle semble quelque peu nerveuse à l’idée qu’elle subira surement la même chose. Je la vois en train de se débattre. Mais rien n’y fait. La main de Théodore ressort de ma jupe. Il me fait :
« Je crois que mon petit biscuit va s’y tremper. Mais un peu plus tard. C’est vrai, nous avons tout le temps qu’il nous faut !! Il y a autre chose en toi auquel je veux gouter !! »
Puis il me retourne et me fait coucher sur lui, mon bassin étant posé sur ses genoux. Il me fait :
« Oh seigneur !!!Dire que ça existe !! Oh c’est tellement magnifique, ton joli petit cul, te mains attachée juste au-dessus !!Tu es ….PARFAITE Nina !! »
Puis il se met à ploter mes fesses. Sa main touche tantôt mes fesses, tantôt mes mains attachées juste au-dessus. Il est carrément au ciel !! Soudain, il me donne une tape sur les fesses !!
« Mggmmhhh » je fais quelque peu surprise.
« Aaah ouiii ! J’aime pimenter un petit peu ma chérie !!!Ohh, ton cul est tellement !!Je crois que mon biscuit va aussi bien s’y tremper !!! Ohhh ouiiii !!!»
Puis il relâche prise, il me redresse et fait délicatement assoir à nouveau sur le canapé à sa gauche. Il me dit :
« Je ne veux plus que ça Nina. Je veux rester ici pour toujours avec toi ma mignonne !!! »
Son regard se tourne vers Alicia, il fait :
« Et avec toi aussi ma belle gazelle !! D’ailleurs c’est ton tour maintenant !! Tellement longtemps que je te matais dans le centre, ça me démangeait depuis si longtemps de te choper et de t’attachée et…. Ahh, j’attendais ça avec tellement d’impatience !! »
« Ggggmmmhhh…mmmmhhhmmhhhh !! » fait Alicia bâillonnée, semblant également très nerveuse.
Il la soulève, la portant dans ses bras, Alicia se débat, en vain étant trop attachée pour résister. Théodore lui fait :
« Ohh, tu dois tellement manipuler les gens. User de ta beauté et de ton charme pour contrôler les hommes à ta guise. D’ailleurs qui pourrait résister !! Tellement mignonne, tellement sexy !!! »
Puis il la dépose sur le canapé couché sur le dos. Il lui fait :
« Ohh tes beaux seins, tellement magnifique avec ton joli décolleté !!! »
Puis il se met à ploter les seins d’Alicia comme jamais. Ce monstre est heureux comme jamais. Mais à quelques parts je suis satisfaite qu’Alicia commence enfin à payer ses crimes, même de cette façon. Etant attachée je savoure de voir Alicia en train d’être abusée. Et à quelques parts je la trouve aussi, très belle ligotée et bâillonnée, et ….de savoir que nous sommes toutes les deux prisonnières.
Les mains de Théodore sont toujours fixées sur les seins d’Alicia. Puis Théodore plonge sa tête dans ses seins, les embrassant et les caressant de sa langue. Alicia semble tenir le coup, quoique elle tente quelque peu de se débattre, inutilement. Je la vois tenter d’user de forces avec ses bras. Ses mains étant attachée dans le dos, ses seins sont totalement vulnérables, et Théodore n’a pas fini d’en profiter. Ses lèvres, sa langue ont dû parcourir totalement les seins d’Alicia. Enfin Théodore retire sa tête des atouts d’Alicia. Cette dernière semble vraiment enragée de devoir subir ces attouchements, impuissante. Théodore la retourne, il est presque couché dessus, parcourant ses mains ligotés, il fait :
« Ohh, tu vois… C’est ça qui me fait le plus bander… tes petits poignets, tout joli avec tes bracelet, attachés derrière le dos. Oh quelle bonheur Alicia, si tu savais !! »
Il est en train de tripoter ses mains, les liens qui les maintiennent attachés…
Cette fille a l’air habituée. Pourtant, il semblerait qu’elle commence à vraiment détester d’être abusée par Théodore. Puis Théodore la retourne, elle est à nouveau couchée sur le dos. Il lui fait :
« Bien je vais te faire une fleur, belle gazelle, je suis prêt à enlever ton bâillon, mais lorsque je vais t’embrasser, je veux que tu y mettes du tiens. Tu as compris ? »
Alicia fait oui de la tête.
« Ouais, c’est une bonne petite catin ça !! » il enlève son bâillon, Alicia fait :
« Théodore vous…. » Il l’embrasse aussitôt. Alicia semble tenter d’éloigner sa tête, Théodore prend sa tête de ses deux mains la collant face à lui contre sa bouche. Soudain il sépare sa tête en criant :
« Ahhh !!!Salope va !!! » il saigne de la lèvre, Alicia l’a mordu. Elle lui fait :
« Ben qu’est ce qui t’arrives mon petit pervers, tu voulais que j’y mette du miens non ? »
« En plus tu fais la maligne !!! »
« Ce qui est sûr c’est que toi tu feras moins le malin quand les sbires du centre te retrouveront !! » réplique Alicia.
Théodore fou de rage la retourne à plat ventre sur le canapé, il la saisit par les cheveux, afin de maintenir sa tête et lui fait :
« Je vais te dire, espèce de sale pute arrogante !!!Il n’y a pas de centre, pas de tes petits amis ici !! Tu es à moi désormais, je fais ce que je veux de toi ma belle gazelle !!! »
Puis il se sert de son autre main pour remonter la jupe d’Alicia. Ses fesses sont maintenant découvertes, Théodore reprend :
« Et pour commencer, une bonne sodomie devrait te calmer !!!C’est ça que tu veux pétasse hein !!!Répond !!! »
Soudain Alicia semble perdre son assurance, elle fait d’une voix plus faible :
« Théodore ne…ne faites pas ça…. »
Je sens de la crainte maintenant dans la voix d’Alicia. C’est la première fois que la voix apeurée. Théodore baisse son pantalon et son slip, son sexe est en pleine érection, il le rapproche des fesses d’Alicia et lui dit :
« Supplie-moi pétasse !!! Supplie-moi maintenant !!! » lui fait Théodore. Alicia attend et fini par lui dire d’une voix faible et aigue :
« Je vous en supplie Théodore !!!Arrêtez !!! » puis elle n’ose rien dire de plus. Le sexe de Théodore effleure les fesses d’Alicia, puis il s’en écarte en lui disant :
« Tu vois ma belle !!! T’es qu’une pute !!!Tu es ma pute !!!N’oublie jamais ça !!! »
Puis il remonte son slip et son pantalon et s’éloigne du canapé se dirigeant plus loin. Alicia semble rassurée mais encore sous le coup de l’émotion, elle ne dit rien de plus. Mais voilà que Théodore a pris d’un tiroir un… un bâillon avec une sangle mais ce n’est pas une boule rouge à l’intérieur c’est un cercle en métal…oh j’y suis, un écarteur buccale, faisant aussi office de bâillon. Il se dirige vers Alicia, elle lui fait :
« Non…non Théodore, pas ça !! S’il vous plait !! »
« Avec ça tu ne me mordras plus, allez ouvre ta bouche pétasse !! »
Alicia s’y refuse et ferme sa bouche. Théodore colle sa tête contre le canapé et utilise sa main pour pincer son nez, lui empêchant de respirer. Elle refuse néanmoins d’ouvrir sa bouche, préférant être privée de respiration que de subir ce nouveau bâillon. Mais elle semble bientôt étouffer…soudain elle ouvre sa bouche, étant obligée de reprendre son souffle, mais Théodore en profite pour lui mettre son bâillon, le cercle maintien sa bouche ouverte. Il attache la sangle derrière sa tête, sous ses cheveux. Alicia est à nouveau bâillonnée, la bouche ouverte. Elle se débat, tape de ses pieds ligotés au sol… ce bâillon doit vraiment être désagréable. Théodore baisse à nouveau son pantalon et son slip, il bande toujours comme jamais, et lui dit :
« Comme je te l’ai dit, tu es désormais ma prisonnière ! Ma pute !!!!! ET CELA VA T’AIDER A T’EN SOUVENIR !!!! »
Alicia panique totalement tentant de gigoter, attachée, couinant de toutes ses forces :
« GGGGMMMHHHHHHH !!!!MMMMMHHHHH !!!!MMMHHHMMHHHHH !!!MMMMMMMMMHHHH »
Théodore commence par la retourner pour regarder ses mains attachées, il se masturbe en les contemplant, Alicia semblant paniquée et terrorisée. Elle est impuissante attachée et de nouveau bâillonnée. Elle ne cesse pas de gémir. Après quelques secondes, Théodore la retourne, elle est couche sur le dos, il pénètre son pénis dans la bouche d’Alicia, passant dans l’anneau de métal. Il lui fait en pleine extase :
« Maintenant régale toi, salope !!!! »
Puis il éjacule, pas moins que les fois précédente. Une fois son sperme sorti, il attend quelques instant puis reprend le bâillon boule. Il enlève l’écarteur buccale d’Alicia, et lui remet le bâillon boule avant qu’elle ait le temps de prononcer un seul mot. Il pose encore sa main sur sa bouche encore bâillonnée et lui fait :
« Et maintenant tu vas tout avaler sale pute !! ça t’apprendra à vouloir me résister !!! »
Il attend quelques minutes. Alicia n’a pas eu le choix étant bâillonnée, elle a été contrainte de tout avaler. Théodore lui fait :
« Et voilà qui est fait ! J’espère que tu as retenu la leçon maintenant !!!! »
Alicia est totalement dépitée et épuisée. Théodore file à la salle de bain.
Après un quart d’heure il revient, à nouveau habillé. Voyant Alicia dépitée il lui dit en riant :
« Ha ha ha !! je me demande combien de bite de le cul on pourrait t’enfiler en ce moment !!! Je dois dire que toute cette excitation m’a vraiment donné soif !! Je vais m’en boire une à l’extérieur. Soyez sage mes deux minettes !!!Ne vous en faites pas, je vais revenir bientôt !!! »
Puis il quitte la pièce se dirigeant au garage. Puis j’entends sa voiture démarrer et sortir. Heureusement Alicia semble progressivement reprendre son esprit. Après quelques minutes encore je lui fais :
« Gggmmmhhh !!mmmhhhmmhhgmmmh !! »
Alicia se retourne, ses mains sont face à moi, je me penche non sans difficulté étant attachée. Mon visage se rapproche de ses mains. Le doigts d’Alicia parcours ma bouche, puis enfin elle parviens à saisir une extrémité du scotch qui me bâillonne. Puis elle décolle progressivement ce scotch de ma bouche. Cela me fait un peu mal, ça fait tellement longtemps que je suis bâillonnée. Puis enfin le scotch est totalement décollé, enfin, je fais :
« Ahhh enfin !!!Enfin sans ce satané bâillon !! ». Alicia se retourne et me regardant elle me fait :
« MMMmmmmhhhffff !!! ». Puis je lui réponds :
« Détache-moi en première Alicia. Pour l’instant je n’arriverais pas à t’enlever ton bâillon ! je suis trop attachée en ce moment. Et si je te détache en première, je sais que tu assassineras Théodore avant de me ramener au centre ! Il n’en est pas question !!! Détaches moi, et je te promets, je te donne ma parole que je te libèrerais dès que mes mains sont libre, nous enfermerons Théodore, le livrerons à la police, puis nous partirons chacun de notre côté. Tu dois me faire confiance Alicia, tu n’as pas le choix ! Tu as vu de quoi est capable ce cinglé !! »
Alicia soupire, puis fait oui de la tête. Elle se retourne, et recherche le nœud des liens enlaçant mes poignets. Ses mains parcours les miennes…puis les cordes m’attachant…puis il semblerait qu’elle ait atteint le nœud. Elle fait son possible pour le défaire…Cela prend du temps….je crois que le nœud est défait ! Elle déroule les cordes, progressivement….je parviens enfin à retirer une de mes mains !!! Aussitôt je commence à détacher les cordes attachant mes jambes. Alicia détache les cordes de mes bras, tant bien que mal étant donné qu’elle est toujours attachée….Mes jambes sont aussi libre, et Alicia semble avoir défait le nœud des cordes de mes bras. Je déroule ces cordes, me voilà presque détachée, plus que mes chevilles, je ne perds pas de temps et défait le nœud…je déroule les cordes….ENFIN libre !!!
Je me relève, Alicia me fait :
« GGGMMMHHHHH !!!! »
« Navré Alicia, mais il n’est pas question que je te libère !!! Tu m’as déjà kidnappée un fois, me livrant dans cet enfer en Roumanie, juste pour ton petit plaisir et pour de l’argent. Je vais te livrer à la police, nous allons arrêter toutes les personnes impliquées dans cet établissement affreux que vous appelez Le Centre. Nous mettrons également Soumarov à sa place, derrière des barreaux !! Et toi avec ! »
« GGGMMMMHHH !!!MMMMHHHH !!MMMMMMMMHH !!!!! » me fait Alicia, trahie !
Je redescends au garage. Zut la porte pour l’extérieur est fermée, comment faire. Mais je regarde sur la table, le pistolet d’Alicia que Théodore avait emporté est juste dessus. Soudain la porte s’ouvre, la voiture de Théodore revient. Je saisis immédiatement le pistolet, et me cache derrière la porte menant aux escaliers vers l’étage. La porte du garage se referme. Théodore sort de la voiture et se rapproche de la porte de l’escalier, ou je suis cachée. Je sors de ma cachette et me place face à lui pointant le pistolet, il me fait :
« Nina !!!Comment as-tu !!!??? »
« Trêve de bavardage espèce de malade !! Recule immédiatement vers le coffre de la voiture !! »
Théodore s’avance doucement en me disant :
« Ne t’énerve pas ma belle Nina, nous allons tranquillem… » je tire une balle à quelques centimètres de son pied et lui répondant :
« Un pas de plus, et je te tire dans la jambe cette fois !!! ». Théodore s’arrête immédiatement. Je répète :
« Dirige-toi vers le coffre !! »
Théodore, contrarié se dirige vers le coffre de la voiture, je lui fais :
« Ouvre le et donnes moi les clés ! »
Ce dernier obéis puis me lance les clés, je lui fais :
« Entre dedans maintenant !! »
Théodore obéis. Il parvient à s’y glisser, je m’approche et referme le coffre, fermant immédiatement la voiture à clé. Une chance que je connaisse ce modèle, le coffre peut en aucun cas être ouvert de l’intérieur. J’entends Théodore crier à travers le coffre :
« Salope, tu perds rien pour attendre. Je vais bien sortir, et je t’attacherai te bâillonnerai à nouveau !!! Pétasse, connasse, sale pute !!!! »
Je remonte à l’étage. Alicia est toujours attachée et bâillonnée sur le canapé. La regardant dans cet état je me sens. Satisfaite…presque un peu excitée à l’idée que Alicia est maintenant ma prisonnière. Elle est tellement belle !!
Je me dirige vers et lui dit :
« Tout d’abord je dois vérifier tes liens Alicia.. » Je commence par regarder ses chevilles…oui ça semble bon, puis ses jambes…bien ficelée également, puis je la retourne pour vérifier ses mains attachées dans le dos. Ok ça semble bien tenir. Je dois avouer que ça lui va vraiment bien d’être attachée les mains dans le dos ! Je me remets face à elle et lui dit :
« Tu voulais me capturer à nouveau n’est-ce pas ! Et finalement c’est toi qui est ma prisonnière maintenant. »
« gggmmmhhhh..gggmmhh !! » me fait Alicia qui est assurément très frustrée par la situation. Je lui fait :
« Comment as-tu pu me faire ça !! Comment arrives-tu à dormir sachant que tu m’avais fait attachée à la merci de tous les pervers venu dans ce centre !! As-tu seulement idée de ce que j’ai failli subir là-bas !! »
Alicia ne fait qu’écouter, incapable de prononcer un mot avec son bâillon, je continue :
« Comment en es-tu arrivée là Alicia ? Tu es une si belle femme, surement intelligente. Alors pourquoi as-tu choisie une vie de criminelle, pourquoi vouloir du mal aux autres ? Tout ça pour de l’argent ?? »
« gggmmmhhh…mmmhh… » tente de me faire Alicia. Elle veut surement me demander d’ôter son bâillon. Jamais de la vie, elle ne le ferait pas pour moi. Je lui fais :
« Alors Alicia, maintenant que les rôles sont inversés, qu’est-ce que tu ressens étant ma captive ? »
Elle me lance simplement un regard très énervée. Plus ça va et plus. Ouiii, j’aime tellement avoir une si belle femme sous mon emprise !! Je devrais peut-être la garder un moment, rester, ça me fait tellement du bien. Non, non reprend toi Nina, il faut la remettre à la police, et obtenir un maximum d’information sur le Centre.
Je prends le téléphone de la maison, et compose le numéro….rien, ça ne sonne même pas. Je recommence….toujours rien…à croire que la ligne est HS. Mon portable, bien entendu est toujours chez Théodore là où je suis arrivée au début. Il faut que j’aille directement à la police.
Je viens vers Alicia, pose délicatement une de mes mains sur sa joue et lui dit :
« Profite bien Alicia, je vais maintenant à la police, ils vont t’embarquer, et tu vas tout nous dévoiler : Le Centre, Soumarov…plus tu t’abstiendras, pire ce sera pour toi. A tout de suite ! »
Je redescends au garage. Maintenant il faut que je trouve comment ouvrir la porte principale, aucun moyen de sortir avec la voiture autrement. Je regarde autour… Théodore m’avait bloqué la porte la dernière fois alors qu’il se trouvait proche de l’escalier, je regarde dans cette direction…je vois un tableau…oh zut il faut un mot de passe pour l’ouvrir. Je m’approche de la voiture, et je tape sur le coffre où est enfermé Théodore en faisant :
« Théodore, quel est le code pour ouvrir cette porte ! » j’entends faiblement sa réponse à cause de l’isolement du coffre :
« Va te faire foutre salope !!! De toute façon ça te servira à rien, t’iras pas bien loin, je te le garantis !!!Connasse, sale pute !!! »
« Donnez-moi ce code, où je vous laisserai pourrir dans ce coffre ! » je réplique, il me répond :
« C’est toi qui va pourrir sous mes couilles quand je sortirai, pétasse !!! »
Bon inutile d’insister, je vais voir si je peux aller à pieds. Il me semble que le temps n’était pas vraiment favorable. Je remonte l’escalier, Je vois Alicia, par terre, en train de ramper en direction de la cuisine. Je lui fais :
« Ah, j’aurais du me méfier !! Allez, revient là sale peste !! »
Je la saisi sous les aisselles et la ramène vers le canapé. Elle est à nouveau assise. Une chance que je sois revenue à temps, un peu plus et elle aurait saisi un couteau et aurait pu se libérer.
« Je vais bientôt régler ça » je lui fait. Je regarde par la fenêtre : c’est la tempête ! Impossible de sortir sans voiture !! Il faudra sans doute attendre demain. Peu importe, après tout, j’apprécie garder Alicia comme prisonnière. D’ailleurs, elle a bien failli se libérer, je ne peux pas prendre plus de risque.
Je prends une chaise en bois, l’amenant proche d’Alicia. Je porte cette dernière en la soulevant sous les bras et la fait asseoir sur la chaise. Je saisis d’autre corde, et je lui dis :
« Okay, maintenant je vais m’assurer que tu ne puisse plus bouger !! »
Je commence par relier son corps au dossier de la chaise, passant les cordes à la hauteur de son nombril… je serre le nœud, ma prisonnière est maintenant attachée à la chaise. Puis je prends une autre corde, afin de lier ses chevilles déjà ligotées au pied de la chaise, afin qu’elle ne puisse plus lever ses jambes… j’aime tellement…faire ça, attacher cette belle femme…..le nœud est serré. Alicia fait :
« Ggggmmmhhh…mmmmhhhmmhhhh !!! »
« Bon d’accord, nous allons parler un peu » je lui fais en enlevant son bâillon. Aussitôt la bouche libre, Alicia me fait :
« Alors dis-moi ? Tout ça te plait ? Tu prends ton pied pétasse ? »
« A vérité je dois dire que je suis pas mécontente que tu sois ma captive. Tu ne t’étais pas privée de me capturer il y a quelques temps, alors pas la peine de faire ta rabat joie. »
« Soumarov m’avait dit que tu avais déjà essayé de faire plier son organisation, tu t’étais rapprochée de lui en te faisant passer pour sa campagne », je réplique aussitôt.
« Il exploitait la prostitution en France, en kidnappant de jeunes étrangères qui n’avait rien demandé. A cette époque j’étais loin de me douter qu’un centre à part en Romanie retenait prisonnière toutes ces filles. D’ailleurs combien de filles sont enfermées là-bas. »
« Bien assez pour amasser une fortune Nina ! »
« Et ça ne te fait rien de contribuer à toutes ces horreurs ? »
« Des horreurs se déroulent partout dans le monde, personne peut rien y faire. Le plus important c’est de savoir en tirer profit !! »
Elle me regarde intensément. Ce regard, tellement…je n’arrive pas à expliquer. Je me rapproche d’elle, son visage sont tout proche l’un de l’autre, Alicia me fait :
« Je suis réaliste, ce sera peut-être mon dernier, alors va-z-y, embrasse moi Nina !! »
Nos bouches se collent, nous nous embrassons à pleine bouche. Je ne sais pas pourquoi, je la trouve tellement, belle, ligotée de la sorte. Elle semble aimer également. J’aime tellement ça…ça me rappelle, la fois où j’ai embrassé Clara alors que j’étais menottée. Un si bon souvenir maintenant que j’y pense. Ce qui est curieux c’est que j’ai l’impression d’avoir à nouveau ressenti cela récemment. Puis nos bouches se séparent. Je lui remets son bâillon. Elle ne semble pas vraiment résister. C’est presque à croire qu’elle aime être bâillonnée en ce moment.
Je regarde par la fenêtre, la tempête ne s’est toujours pas arrêtée et il se fait tard, il fait déjà nuit noir maintenant. Je n’ai qu’à dormir ici, demain la tempête aura surement diminué, puis je pourrai aller au poste de police le plus proche, ou au moins à un endroit où je pourrais téléphoner. Je préfère tout de même dormir dans la même pièce qu’Alicia, même si elle est solidement attachée, je préfère prendre mes précautions. Je monte dans la chambre de Théodore, prends une couverture propre ainsi qu’un oreiller, puis je redescend et m’installe dans le canapé, tout proche d’Alicia, attachée et bâillonnée sur sa chaise. Je suis tellement épuisée, je commence à m’endormir……..
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……………………………Je rêve ou j’entends…des ….couinements….gémir….je sors progressivement de mon sommeil, j’entends de faibles bruits….qu’est-ce qui se passe ? J’ouvre les yeux : j’y suis, Alicia est en train de se débattre, inutilement, elle est trop bien attachée pour se libérée. Je la vois de dos, ses poignets attachés, elle tente de tirer de toute ces forces pour se dégager de ses liens…mais rien n’y fait. Je l’entends également légèrement gémir :
« gggmmmhhh…mmmmhhh..ggmmmhhhmmhh… »
Mais quelle peste, quelle heure il est maintenant ? Je regarde ma montre : 02h40, je déteste me réveillée au milieu de la nuit. Je m’approche d’elle et lui fait en saisissant ses cheveux par derrière :
« Silence ! Calmes toi maintenant !! Sinon je te fais avaler un somnifère de force, tu as compris ? »
Après quelques instants d’hésitations elle fait oui de la tête. Je lui réponds :
« Bon très bien, j’espère que je vais pouvoir me rendormir maintenant !! »
Je recommence à m’endormir….je suis encore si fatiguée, toute ces émotions, je ne pense pas que j’aurais beaucoup de mal à me rendormir finalement, je pense a toute sorte de chose : au centre, Yuri, Evelyne, le Geôlier, Soumarov……………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………hhhhhhh….oohhhhh…le soleil, je suis toujours dans ce canapé….j’ouvre les yeux : Alicia est toujours ligotée devant moi. Je regarde ma montre, il est déjà 09h45 du matin. Ohh, j’ai tellement bien dormie…Le temps s’est bien améliorer, je vais pouvoir aller au poste de police. Mais avant il faut que je reprenne des forces, je vais prendre le petit déjeuner dans la cuisine. Il y a du pain, du beurre, miel, jus d’orange…tout ce dont j’ai besoin. Je commence à manger, j’entends Alicia gémir dans l’autre pièce. Il faudra également que je la nourrisse. Je lui crie :
« Calme toi, je suis à toi dans un instant ».
De toute façon j’ai fini de manger. Soudain j’entends un bruit de verre se casser, je retourne immédiatement dans la pièce où se trouve Alicia. Cette maladroite a fait basculer sa chaise, elle est tombée sur la table de verre la brisant. Je redresse immédiatement la chaise où Alicia est attachée. Elle a vraiment eu de la chance de ne pas se couper ! Je ramasse les débris et jette le tout dans la poubelle. Finalement elle attendra encore un peu avant de se restaurer. Elle recommence à gémir :
« MMMMHHHHH !!!MMMMMMFFFFHHHHH !!!!! » Je la saisi par les cheveux et lui répond :
« Silence maintenant Alicia ! Et tiens toi tranquille maintenant où je te bande les yeux, c’est compris !!? »
Elle fait oui de la tête. Je relâche ses cheveux et masse tout doucement ses épaules, et je lui dis :
« Très bien, c’est bien. Reste tranquille et je ne te ferai pas de mal, d’accord ? »
Je lui fais une bise sur la joue, puis je monte à l’étage en prenant le pistolet avec moi. J’accède à la salle de bain.
Il est temps de prendre une bonne douche. J’ôte mes vêtements, et j’entre sous cette bonne eau chaude. Aaahhh !!!Comme ça fait du bien ! Maintenant il ne me reste plus qu’à aller au poste, Alicia sera arrêtée, Théodore également. Ces deux criminels révéleront de précieuses informations concernant le Centre. C’était mal parti, mais je m’en suis bien tirée finalement. Cette douche me fait tellement de bien. Je fini enfin par y ressortir. J’ai du y rester plus d’une demi heure, j’ai vraiment exagérée. Je recommence à m’habiller en remettant le même tenue. Me voilà prête, il est tant d’alerter les autorités maintenant.
Je redescends de l’étage avec le pistolet, puis j’ouvre la porte du salon. Ce que je vois est impensable : je ne vois plus Alicia, la chaise est vide et les cordes trainent par terre, elle a du réussir à se libérer. Puis soudain je sens que l’on m’attrape à l’arrière, une main se posant sur ma bouche, puis quelque chose de froid et coupant se pose sur ma gorge.
« Mmmmhhhhhh !!! »
« Pas de geste brusque surtout » me fait Alicia, c’est elle qui m’attrape. Puis elle continue :
« Si j’ai pu couper des cordes avec ce morceau de verre, je te garantie que je n’aurai aucune difficulté à te trancher la gorge ma mignonne !! »
Je reste immobile terrorisée. Alicia réplique :
« D’abord tu va saisir le pistolet par le canon pour éviter les accident » ce que je fais instantanément.
« Très bien » poursuit-elle « maintenant donne la moi tout doucement ».
Je lui rend le pistolet, elle le saisit et me dit :
« C’est bien, gentil fi-fille !! » Elle jette le morceau de verre et enlève sa main de ma bouche puis elle me retourne face à elle et me fait :
« J’espère que tu as bien profité pétasse, parce que maintenant, c’est mon tour !! »
« Alicia, pitié je… »
« Ta gueule !!! Maintenant met toi à genoux et met tes mains derrière la tête ! » J’obéis instantanément. Alicia ramasse une corde et se place derrière moi. Elle a rangé le pistolet à l’arrière de sa jupe. Je ne vais pas prendre de risque, je sais de quoi elle est capable.
« Croise tes mains derrière le dos, ne tente rien ou tu vas vraiment souffrir sale garce !! »
J’obéis, Alicia s’empresse d’attacher mes poignets. J’étais libre, et voilà que je sens à nouveau ces saletés de cordes m’enlacer. Pendant qu’elle m’attache je lui fais :
« Tu vas me livrer au centre ? Tu sais ce qu’ils me feront là-bas !! Tu n’as vraiment aucune pitié pour moi Alicia ?? »
Elle serre le nœud en me répondant : « Tu sauras bien assez tôt ce que je compte faire de toi ! Et au passage, c’est moi qui ai coupé la ligne téléphonique quand je suis arrivée, pour éviter les incidents. Faut croire que j’ai pas si mal fait.»
« Alicia, pitié, je…mmmmmmmggggmmmmfffhhh » Alicia vient de me bâillonner avec le bâillon boule. Elle prend le sac avec les cordes et m’emmène de force. Nous descendons les escaliers. Pendant que nous descendons Alicia semble effectuer une manipulation sur sont pistolet, je ne vois pas ce qu’elle fait exactement. Nous atteignons le garage. Alicia me laisse dans un coin et me fait :
« Surtout bouges pas ou je vais vraiment te faire souffrir !! »
Je reste immobile la regardant ouvrir le coffre. Théodore s’exclame dès le coffre ouvert :
« Ah, putain c’est pas trop tôt…Marie ? Tu as réussi à te libérer ? Où est la journaliste ? » Alicia braque son arme sur lui et lui dit :
« Sors du coffre et regarde et face de toi ! »
Théodore me voit, Alicia lui fait :
« Ecoute on va faire court. Cette salope a tenté de me doubler, je suis prête à te la laisser, mais je te préviens c’est pas gratuit !! »
« D’accord, je te paierais tout ce que tu veux pour la récupérer. Combien !? »
« GGGGMMMMMMHHHHHH !!!! » je tente de faire bâillonnée.
« Elle vaut largement 800'000.- dollars, mais ce sera pas tout. Tu m’as obligé à te faire une fellation, ça va te couter assez cher si tu veux t’en tirer !! 200'000 de plus, soit un millions d’euro au total !! » Théodore lui répond :
« Un million c’est…énorme !! »
« A prendre ou à laisser » lui fait Alicia.
« Bon très bien je te paierai » Alicia le coupe :
« Tout de suite, c’est pas négociable, appel ta banque et fait immédiatement le virement !! »
« Ok, ok, ok, laisses moi les appeler alors ».
Théodore joint sa banque. Une fois son appel terminé il fait à Alicia :
« Voilà, le virement devrait déjà avoir été effectué »
Alicia regarde sur son téléphone portable en lui faisant :
« Attend un peu, je vérifie….Tu peux déjà ouvrir la porte du garage, je vais pas trainer… »
« Bien sûr » lui fait Théodore. Il exécute le code, j’entends la porte s’ouvrir.
Après quelques minutes elle reprend parole :
« Le virement a bien été effectué, je t’en remercie. »
(((ATTENTION, IL S'AGIT DE LA SCENE VIOLENTE ET CHOQUANTE DONT J'AI PARLE. POUR LES AMES SENSIBLE, REPORTEZ REPRENEZ LA LECTURE APRES Les PROCHAINEs LIGNEs D'ETOILEs. NE VOUS INQUIETEZ PAS, L'ESSENTIEL EST EXPLIQUE APRES LA PROCHAINE LIGNE D'ETOILES, SANS QUE CE SOIT CHOQUANT)))
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Alicia se rapproche de Théodore en lui disant :
« Je ne vais pas trainer mais… » Elle enlace ses mains autour de la tête de Théodore en lui disant :
« Ce serait dommage qu’on se quitte sans se dire au revoir…convenablement »
« Marie….oui, rends moi heureux !! »
Aussitôt Alicia l’embrasse à pleine bouche. Puis pendant leur baiser elle le fait avancer contre le mur en bois, Alicia a saisi quelque chose en avançant, c’est…la forme d’une, d’un…je ne vois pas encore bien ce que c’est. Je reste immobile, attachée. Soudain Alicia lâche le petit pistolet par terre derrière elle. Théodore l’a remarqué, il saisit un bras d’Alicia. Il va sans doute la pousser pour reprendre son arme, quelle salopard !!! Mais Alicia baisse le pantalon de Théodore, il est déjà en train de bander !! Elle baisse également son slip, Théodore renonce apparemment à la pousser, il est trop sous extase et est dépassée par son envie pour Alicia. Mais soudain j’entends six bruits de percussions, aussitôt Alicia s’écarte et Théodore hurle de douleur :
« AAAAAAAAAAAAAARRRRRGGGGG !!!!!!!AAAAAAHHHHH !!!!!!! »
Je vois…Oh nom de !!! Alicia avait pris un pistolet à clou sur la table, elle vient de tirer six clous dans les testicules de Théodore, lesquels sont cloués contre le mur en bois contre lequel il est plaqué. Théodore hurle :
« AAAAAAHHHHHAAAAAAHHHHH !!!SALOPE, PETASSE, PUTE, SALE PUTE !!!!!AAAAAAAAHHH CETTE DOULEURS !!!! PETASSE, PETAAAASSSE !!! » Alicia lui répond :
« Faux espoirs enfoirés ! La petite galipette, c’était juste pour pouvoir te faire bien souffrir après. Tu ne croyais quand même pas que j’allais te laisser filer après ce que tu m’as fait espèce de trou de balle !!!» lui fait Alicia.
« AAAAAAAHHHH » reprend Théodore en hurlant de douleur « COMMENT T’AS PU !!!! ESPECE DE SALOPE CINGLÉE !!! » Il essaie d’atteindre le petit pistolet, mais il à un mètre de lui par terre, et les clous lui empêche de quitter le mur, Alicia qui tient toujours le pistolet à clous lui fait :
« C’est frustrant hein ! Si proche du flingue, tu pourrais….me le braquer et me capturer à nouveau…ça ne tient qu’a à peine un mètre. Je suis sûr que ça doit te désespérer enfoiré !! », puis Théodore lui répond en criant :
« AAAAHH C’EST-CE QUE TU CROIS SALOPE, ATTEND UN PEU… » puis il met toute sa force, pour avancer puis…non ce n’est pas !! Théodore vient s’arracher les testicules, qui sont resté cloué contre le mur, il s’effondre immédiatement par terre, couché sur le pistolet, il crie :
« AAAAAAAAAAAARGG !!!!AAAAAAAHHHHHAAAAAAAAA !!!! » Puis il regarde Alicia, celle-ci prend un air inquiet, il lui fait :
« AAAAAAAAHHHH !!!AAAAAAHH !!!TU…tu…tu…t’attendais pas à ça….AAAAAAHHHH…..hein…..salope , manges toi ça maintenant » il pointe le pistolet en direction de la jambe d’Alicia, il tire mais, aucune balle ne sort, pas de coup de feu !Juste une percussion vide !!Théodore paniqué tire plusieurs fois, mais rien n’y fait, puis Alicia perds instantanément son air paniqué, elle semble avoir simulé son inquiétude. Puis elle sort de sa jupe un chargeur en lui disant :
« Il te manque pas quelques chose mon petit pervers ? Ohhh, non !! Mais c’est là qu’il comprend que j’avais fait exprès pour que notre petit pervers s’arrache les couilles tout seul. Dommage pour toi hein ?!! » Théodore lui répond en pleurant de douleur :
« Sale pute !!Espèce de sale pute !!!! »
Alicia saisit la main droite de Théodore la plaque contre le mur en bois et tire un clou pour fixer sa main contre le mur, Théodore hurle à nouveau de douleur. Puis elle fait de même avec la main gauche de Théodore. Elle le laisse souffrir quelques minutes, puis elle coince le pistolet à clou dans la bouche de Théodore et lui fait :
« Maintenant à ton tour, régales toi fils de pute !!! » Puis elle lui tire plusieurs clous la bouche de Théodore. Il agonise et fini par mourir.
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Je viens de voir Alicia tuer Théodore sous mes yeux.
Alicia revient vers moi et me fait en me prenant par le bras :
« Allé, assez trainé maintenant, le Centre n’attend plus que toi ma mignonne !! »
Alicia me fait entrer dans la voiture de Théodore, elle prend le volant, je suis attachée les mains derrière le dos et bâillonnée. Je sais que nous nous dirigeons vers le centre. Je suis terrorisée par ce qu’elle vient de faire, même si Théodore le méritait peut-être !!! J’ai tellement peur !!! Quand ce cauchemar se terminera-t-il ? »
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- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: Une journée imprévisible
toujours autant de retournement de situation, ça m'avait manqué cette histoire 
vivement la suite

vivement la suite

- fredchl
- Résident(e) de JdL
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- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
- Localisation : Basse-Normandie
- Contact :
Re: Une journée imprévisible
Un nouveau chapitre tout aussi passionnant à lire que les précédents !
Quelles aventures attendent encore Nina ?...

Quelles aventures attendent encore Nina ?...

- dizzy22
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- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : Le bondage, le respect de l'autre.
J'avoue que j'aime regarder une femme se débattre dans ses liens et encore plus quand elle porte des vêtements en latex, lol. J'aime aussi me retrouver ligoté et bâillonné, je prends ceci plus comme un jeu et non pas comme une humiliation.
J'adore autrement voyager, découvrir de nouveaux horizons et parler avec des gens. - Ce que je déteste : La vulgarité, la violence gratuite, l'irrespect.
- Localisation : Bretagne
Re: Une journée imprévisible
Que de retournements à trois
Suite au prochain numéro 


- foulards6384
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- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : Le contact avec un foulard en soie surtout comme liens ou bâillon,discuter avec des gens sur le ligotage ou autre. connaitre des gens de régions différentes, tester de nouvelles méthodes de ligotage, profiter des bon moments qu'offre la vie.
- Ce que je déteste : Les bâillon boule,ne pas avoir de partenaire pour les scéances de ligotages, tout ce qui hard
- Localisation : haute loire auvergne
Re: Une journée imprévisible
Une suite qui pour moi mérité de patienter, la Pauvre Nina elle est prisonnière ensuite elle retrouve sa liberté pour mieux se retrouve en prisonnière ligoter et bâillonner dans un coffre à destination du centre, une fois de plus c'est Alicia qui la livre 

je bouge pas
je ne regarde pas
je ne parle pas 



Re: Une journée imprévisible
Une suite des plus jouissive!!! J'ai aussi bien aimé que Alicia soit pendant un moment prisonnière de Nina 

Re: Une journée imprévisible
Bonjour la dernière partie de l'épisode. Bonne lecture à tous
Voilà déjà une bonne heure que nous roulons, je suis toujours sur le siège arrière, Alicia ne m’a pas d’avantage parlée. Je fais :
« Ggggggmmmmmhhhh…mmmmhhhh…. »
« Inutile d’insister fi fille, je t’enlèverai ton baillon que quand ça me chantera. Et pour info moins tu gémira, plus je serais prête à te l’enlever » me fait Alicia.
Rien de surprenant. J’ai déjà essayé de me dégager des cordes plusieurs fois, mais Alicia est hélas une bonne attacheuse, je n’ai aucune chance de m’en défaire. Alicia reprend parole :
« Rassure toi chérie, d’ici peu nous atteindrons un petit aérodrome clandestin qui appartient à Soumarov, il nous faudra à peine une heure de vol pour atteindre la Roumanie, le trajet sera moins long que la dernière fois ».
Quelle poisse, si nous avions roulé par la route, au moins la frontière m’aurait peut-être sauvée. Quoique de toute façon je ne me fais pas trop d’illusion. Dire que je tenais Alicia sous mon emprise, et que maintenant je suis à nouveau sa prisonnière. Et ce qu’elle a fait à Théodore !! Même si je le haïssais, je suis encore effrayé par ce qu’Alicia lui a fait subir.
Je regarde par la fenêtre, je n’ai rien d’autre à faire de toute façon. Les alentours sont inabités, nous sommes, dans une route au milieu d’une forêt. Difficile de croire qu’un aérodrome se trouve aux alentours. Mais voilà maintenant que nous avons traversé la forêt, nous arrivons dans une zone isolée…mais il y a bel et bien des routes pour l’aviation, pas pour des boeing, mais des engins suffisamment grand pour quitter le pays. Nous nous arrêtons, Alicia remet le chargeur dans son pistolet. Puis elle me fait :
« Okay, le pilote et notre équipage arrivera dans un petit moment, on va pouvoir parlé un peu, mais ne crie pas. Tu l’auras remarqué, personne ne t’entendra ici ».
Puis elle sort de la voiture, puis rejoins le siège passager, elle s’assied à côté de moi et enlève mon bâillon, je fais :
« Ahh, merci !! Je ne sais pas comment tu l’as ressentis, mais je trouve ce bâillon vraiment désagréable ! »
« Je l’ai bien ressenti comme toi, mais je me suis rendu compte qu’il est tout autant efficace, c’est pour cela que je te l’ai gardé ».
« Je sais que c’est peine perdue, mais si tu me relâchais, Alicia, je …tu sais très bien que je te donnerai tout ce que je pourrais !! » je lui dis. Alicia me répond en me caressant les cheveux:
« Quoique tu aie à m’offrir, ça ne représentera rien à côté de ce que tu me rapportera quand je te livrai au centre. Regardes toi Nina, tu es tellement…Naïve, innocente, incorruptible. Je suis sûr que si tu te libèrerais tu irais rejoindre ton chéri, duquel tu amoureux et fidèle comme un caniche à son maître. » je lui fais :
« N’as-tu jamais été amoureuse Alicia ? Une relation amoureuse te répugne à ce point là ? L’honnêté est une chose aussi incomprise pour toi ? » elle réplique :
« Nina tu m’avais demandé pourquoi j’ai aussi peu de pitié et pourquoi je me suis retrouvée dans une situation de criminelle. Là où j’ai grandi, nous étions très pauvre. Même toute enfant, j’ai été contrainte de voler et tricher pour survivre. Je me suis mise à la prostitution en fin d’adolescence. Cela a durer quelques temps jusqu’au jour ou un homme, très charmant, qui avait l’air droit honnête, bon et aimable, très riche était venu à moi. Du jour au lendemain je suis tombé folle amoureuse de lui. Je me voyais déjà arrêter les délits, devenir moi aussi honnête, je me voyais même l’épouser et fonder une famille avec lui. Je suis restée dans mon beau rêve pendant quelques mois, jusqu’au jour où il m’a trahie. Ce jour, il m’a fait quelques chose d’affreux, des pires choses que l’on puisse faire à une femme. Alors que je ne m’étais jamais sentie aussi trahie, c’est là que j’ai prise conscience de la réalité, que je me suis rendu compte que les hommes n’en ont rien à foutre de nous, tout ce qui leur intéresse c’est notre beau cul. Je me suis vengé de cette pourriture puis je me suis juré de ne plus tombé amoureuse des hommes. Depuis je joue avec les hommes, je les manipules, et c’est comme ça que je m’en tire à chaque fois. »
« Qu’est ce qu’il t’as fait Alicia ? » je lui demande.
Soudain une voiture dans l’aérodrome. Alicia me remet mon bâillon. Elle m’emmène de force à l’extérieur, cinq personnes sortent de la voiture. L’un deux nous fait :
« Ohoh !! Regardez moi ça, la petite journaliste ! Soumarov va vraiment être de très bonne humeur, excellent travail Alicia ! » cette dernière répond :
« Tu me feras des éloges plus tard Max, il faut qu’on décolle». L’un des hommes lui répond :
« Je suis là pour ça. Le temps sera judicieux, notre vol sera tranquille, on va pouvoir embarquer ! »
Nous nous déplaçons vers et entrons à l’intérieur de l’avion. Il me font asseoir sur un siège, Alicia donne une corde à l’un des hommes en lui disant :
« Attache ses pieds, on va pas prendre de risque ! »
Son sbire joint mes chevilles ensemble et passe la corde autour. De toute façon ça ne changera rien, je n’ai aucune chance de m’enfuir. L’homme serre le nœud, mes chevilles sont attachées. Nous décollons, et en quelques instant nous sommes dans les airs. Alicia se dirige vers la cabine du pilote. C’est alors que l’homme que Max, qui semble être le chef des hommes présents, se dirige vers moi et me fait :
« Eh ben ma cocotte, je comprends pourquoi Soumarov voulait tant te récupérer. Tu sais on aura jusqu’à une heure avant que l’avion se pose, on a tout le temps » puis il pose sa main sur ma cuisse, je tente de crier :
« MMMHHHHH…GGGGMMMHHHH !!! »
« Ooohh, tu n’as pas envie ? Peu importe, attachée telle que tu l’es je n’ai pas besoin de ton accord » sa main se dirige sous ma jupe. Soudain Alicia revient et fait à Max :
« Vire tes mains Max, tu sais bien que Soumarov veut qu’on la lui remette intacte. » Max réplique.
« Ah fais pas ta chieuse Alicia ! De toute façon il ne remarquera rien !! Et puis c’est pas tous les jours qu’on a une telle beauté sous la main !! »
Alicia le tire alors vers elle, le plaque contre un autre siège en l’immobilisant par une clé de bras. Alors que Max est maitrisé, Alicia sort son pistolet et le pointe sur la tête de Max en lui disant :
« Soumarov a donné des ordres : Personnes ne touche à Nina jusqu’à ce que je la lui ait remis. Tu me connais depuis un moment Max, tu crois que j’hésiterais à te mettre une balle dans la tête si il le faut !? » Max lui répond, totalement paniqué :
« Non, non, non, c’est bon ! Pas la peine d’en arriver là Alicia. Tu as raison, il vaut mieux pas désobéir aux ordres, je la toucherai plus ! »
Alicia le relâche et s’assied à côté de moi. L’un des hommes lui fait avec le sourire:
« Hé hé, t’as pas changé Alicia ! Toujours la même lionne, mignonne mais féroce ».
Je n’arrive pas y croire. Une chance que Soumarov ne veut pas qu’on me viole, et qu’Alicia soit aussi intimidante ! J’ai encore peine à croire qu’elle soit ma protectrice en plus de ma ravisseuse.
Voilà près d’une heure que nous volons, personne d’autre n’a tenté de me violer, ce qui est tout à fait compréhensible. Le pilote nous dit par haut parleur :
« Les gars rester sur vos siège et remettez vos ceinture, on va atterrir !! »
Tout le monde est ceinturé sur le siège, l’avion commence à descendre. L’atterrissage se passe bien. L’avion est maintenant arrêté. Alicia commence alors à détacher mes chevilles…les voilà libre, mais je suis toujours attachée les mains dans le dos, et bâillonnée. Elle me tient par le bras et me fait :
« on y va Nina. Les autres je veux deux personnes devant et deux autres derrière nous, on sait jamais. »
Nous descendons de l’avion. Dans le petit aérodrome, une limousine vitrée nous attend, nous entrons à l’intérieur, Alicia s’assied à côté de moi tout à l’arrière. Le chauffeur lui dit quelques chose probablement en roumain, je ne sais pas ce que cela veut dire. Alicia lui répond dans la même langue. Puis nous avançons. Je n’ose même pas tenté de dégager mes mains, Alicia est tout près de moi. En plus, ça ne donnerait rien. Après moins d’une demi heure nous arrivons à cet endroit affreux : le Centre. Quelle angoisse d’être contrainte d’y retourner. Le même homme avec une kalachnikov protège l’entrée. Nous sommes déjà entrés dans l’enceinte. Nous nous approchons du bâtiment principal. Alicia me fait :
« Et voilà chérie, retour à la case départ, allez suis moi !! Vous autres surveillez la gamine, on va directement au bureau de Soumarov ! »
Nous descendons de la voiture, les 5 hommes nous accompagnent. Nous prenons l’ascenseur, toujours escortées par les 5 hommes et Alicia. Décidément ils ne prennent vraiment aucun risque. Nous sommes à l’étage, nous traversons le couloir et arrivons devant une porte gardée par deux hommes armés. Alicia leur dit quelques choses en roumain. L’un d’eux lui répond dans la même langue et ouvre la porte, et me dit avec un accent :
« Bienevenue Mamoiselle Avérine ! »
Alicia entre seule avec moi dans le bureau, les autres attendent dehors. Je vois Soumarov, que je n’ai pas revu depuis qu’il exploitait la prostitution en France. J’aurais préféré ne jamais le revoir ailleurs qu’en prison. Alicia lui fait :
« Bonjour M. Soumarov, je vous rapporte Nina Averine, comme vous le désiriez tellement. » Soumarov lui répond :
« Si j’avais bien compris la situation, un de nos clients Théodore l’avait emmenée chez lui. Puis-je savoir ce qu’il en est de lui ?! »
« Je lui ai expliqué la situation, il a tenté de me tuer pour garder Nina, je n’ai pas eu le choix, j’ai été obligée de le descendre ! »
« C’est dommage, c’était un bon client ! Mais au moins les morts ne vont pas dévoiler nos affaire à la police. C’est un excellent travail Alicia, tu as toute ma reconnaissance. Maintenant laisse nous, nous avons beaucoup à parlé avec ma chère Nina…ou préfère tu que je t’appelle Natacha comme au bon vieux temps ?! » Alicia me fait asseoir sur une chaise et réplique :
« J’apprécie votre reconnaissance, bien sûr je vais vous laisser. » puis elle quitte la pièce nous laissons seuls. Soumarov me regarde, je suis assise face à lui, attachée les mains dans le dos et bâillonnée. Il ne dit rien, il se contente de me regarder avec un sourire inquiétant.
Après cinq minutes Soumarov reprend me fait :
« Ma chère Nina, j’étais tellement impatient de ce moment. J’étais tellement déçu d’avoir été contraint de te relâcher lorsque nous étions en France. Mais te voilà de nouveau. Toujours aussi belle, tu n’as pas changé ! »
« gggmmmm….mmmmhhhhffff » je fais, pour lui inciter à retirer mon bâillon.
« Oh, bien sûr. Même si je raffole de te voir bâillonnée, je pense qu’une petite discussion s’impose… » me fait-il. Il se dirige derrière moi, puis défait délicatement la sangle, il ôte alors la boule de ma bouche, retirant ainsi mon bâillon. Je lui fais :
« Que comptez-vous faire de moi Yvan ? »
« Mmmm…ta question n’est pas mauvaise, à ta place je me ferai du soucis pour mon sort. » Il se replace face à moi s’asseillant sur une chaise, juste en face de moi. Il me fait :
« Apparemment tu faisait des recherches sur le centre. Tu avais donc décidé de piéger deux de nos plus fidèles clients…avant qu’ils te capturent !! »
« Yvan, ces filles, que tu as faites prisonnière ici. Elle n’ont rien demandé ! Comment avez-vous pu les enlevée !! » je lui répond. Il réplique
« Alors c’est pour cela que tu t’attaquais encore à moi. Des états d’âmes, comme c’est touchant. Mais ça ne t’as pas vraiment réussi jusqu’ici ! Mais heureusement, tu es la plus belle fille de tout ce centre vois-tu !Et pour cause, tu auras droit aux clients les plus privilégiés. »
Soudain deux hommes entre dans la pièce et l’un d’eux fait :
« Chef, M. Timer va arriver, on l’attache solidement ! La dernière fois elle avait réussi à s’enfuire ! »
« Absolument, faite ce qu’il faut, et…ôtez ses vêtements, M. Timer va vraiment apprécier !! »
« Non, non, au secours !!! » je crie, mais ces hommes me prenne de force et m’emmène hors de la pièce. Ils me dirigent vers une autre pièce au fond à l’opposé. La pièce est luxueuse, un lit confortable deux places, une table en verre champagne…il y a également des menottes et des chaines. L’un des hommes me fait :
« Maintenant enlève tes vêtements, où c’est nous qui allons le faire, la balle est dans ton camps ! »
Je commence par ôter le haut, je suis en soutient gorge. Puis je défais la ceinture de ma jupe, puis je baisse ma jupe et la retire, je suis en string, soutint gorge, et je porte encore mes talons. L’homme me fait :
« Très bien, ça devrait suffire »
Aussitôt les deux hommes me saisissent et m’allonge sur le lit. Je suis couché sur le dos. Ils saisissent mon poignet droit et les menotte, puis passe la menotte à une barre du lit. Puis il menotte mon autre poignet et le menotte à une barre du lit sur la gauche. Je suis menottée au lit, les bras légèrement écartés. Puis ils font de même avec mes chevilles, les menottant aux barres opposées du lit. Mes jambes, menottées, sont écartées. Puis avant que je puisse prononcer un mot, il me passe le bâillon, enfonçant la boule dans ma bouche puis sanglant derrière ma tête. Puis l’un deux me plote les seins, je ne peux m’empêcher de crier :
« GGGGMMMMHHHH !!! » il me fait continuant à ploter ma poitrine :
« Ton client va arriver, éclate toi bien salope !! On peut dire qu’il a de la chance de pouvoir se faire une beauté comme toi !! »
Les deux hommes me laisse seule dans la chambre. Je tente de me débattre, j’entends le bruit des chainettes de mes menottes…rien à faire, impossible pour moi de me libérer. Et dans quelques instant un pervers va venir abuser de moi, de panique je commence à crier :
« GGGGMMMMMMHHHH !!! MMMMMMMHHHHHHH !!!! »
Saleté de bâillon, impossible d’articuler un mot ni de sortir un bruit. Je regarde les alentours. La chambre est luxueuse, mais je ne vois pas ce qui pourrait m’aider à me libérer. D’ailleurs, ce sont des menottes, un objet coupant ne servirait à rien. Et en plus je ne pourrais jamais l’atteindre, je suis menottée à ce fichu lit. Et je ne vais surement pas partir de si tôt ! Soudain la porte s’ouvre…Un homme en costard noir, très vieux, cheveux gris, petite taille entre dans la pièce. Il referme la porte, la fermant à clé, il s’avance doucement vers moi, il me regarde quelques instant…puis il me fait :
« Bonjour, ma bella !! Nina Averine c’est ça ! Vous êtes journaliste !! C’est très bien, les petites journalistes m’ont toujours beaucoup excité. Surtout celle qui fourre leur nez là où il ne faut pas ! »
Je me débats en gémissant… puis l’homme me fait :
« Mon nom est M. Timer… M. Soumarov accorde beaucoup d’importance pour votre capture. Vous devez peut-être vous demander, comment j’ai eu l’honneur de pouvoir bénéficier d’une aussi belle femme que vous, avec autant d’importance !! J’ai financé en grande partie cet établissement. J’ai financé également une grande partie de l’organisation de Soumarov. Je suis sans nul doute son créancier le plus important » dit-il en enlevant la veste de son costard. Puis il continue en me contemplant :
« Quand j’avais vu vos photos, j’ai immédiatement sommé d’être le premier client lorsque Soumarov vous capturerait à nouveau. Un arrangement à été facile à négocier, comme je vous l’ai dit, Soumarov me doit encore beaucoup d’argent. Où plutôt…me devait beaucoup d’argent » il est en train de déboutonner sa chemise, puis il continue « Oui, je lui ai dit qu’il ne me devait plus rien, à condition que je puisse profiter de vous, librement et quand je le voulais. Le voilà notre accord ! »
« GGGGMMMMMMHHHH !!! MMMMMMMMHHHHH !!! » je fais bâillonnée et terrifiée à cette idée. Cet homme me répugne ! Puis sa chemise est ouverte, il commence à l’enlever…. Puis il s’approche de moi. Il commence par ploter mes seins, en me disant :
« Ooohh, je ne regrette pas un tel arrangement !! J’aurais donné toute ma fortune pour une femme comme toi Nina !! Tellement belle, tellement sexy !! OOhhh, oui !!»
Sa respiration s’accélère, je suis vraiment effrayée ! Soudain il baisse mon soutient gorge, mes seins sont complètement nus ! Puis il baisse également mon string, mon vagin est complètement libre !! Je gémis et tente de me débattre de toute mes forces, prise de panique par la situation. L’homme enlève alors son pantalon. Puis il enlève son slip, il est complètement nu !! Horreur, il me fait :
« Assez parlé maintenant, on va passer à l’acte ma belle !! » Il est déjà en train de bander, il se pose sur le lit, juste dessus moi, je fait en tentant de me débattre :
« GGGGMMMMHHH !!!GGGGGMMMHHH !!!MMMMMMHHH !MMMMMMMMMMHHH !!!! » le bruit des chainettes de mes menottes se font retentir, tant je tente de me débattre !! en vain hélas. Il s’apprête à plonger son pénis !! Cette fois je vais bien être violée pour de bon !! Et par un homme aussi répugnant, cet horrible !!
Soudain, la porte se déverrouille, Timer s’enlève de moi, il son pénis ne m’a juste pas pénétrée. La porte commence à s’ouvrir, Timer crie en s’approchant de la porte :
« ESPECE D’ABRUTIS, QUITTER IMMEDIATEMENT CETTE PIECE OU JE VOUS FAIS EXECUT… » je ne vois pas qui était en train d’entrer, je ne vois que l’extrémiter d’un pistolet avec un silencieux pointer sur Timer, ce dernier se calme et fait :
« Oulà, oulà !! On va pas s’emporter d’accord !! »
Puis Timer reçoit un morceau de papier de cette personne. Il se met à le lire, puis il dit :
« Bon d’accord, je vais le faire, mais ne tirer pas d’accord, restons calme !! »
M. Timer se rapproche de moi, et prenant sa chemise à la main. Il se sert de sa chemise pour me bander les yeux, puis il fait :
« Voilà, vous voyez, il n’y a aucune raison de s’emporter ».
J’entends la porte se refermer, puis j’entends deux coups de feu étouffer par le silencieux, puis un corps tomber à terre. Timer est sans doute mort. Puis cette mystérieuse personne semble s’approcher de moi, puis soudain un mouchoir de tissus est collé contre ma bouche, je connais…cette…odeur….de…………..non………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………mmmmm…………oohhhh…..ma tête…..je me sens……comme si je…………………….je suis restée endromie….si longtemps…..c’est comme si je me réveillais d’un coma………je commence à ouvrir lentement mes yeux…..quoi….je suis….chez moi, dans ma chambre….tirée d’affaire ??.....mais je…mes mains, elles sont attachées derrière le dos, passée entre la colonne d’une étagère !!Je suis assise sur mon matelas qui est par terre près de cette étagère !! Mes pieds sont aussi ligotés par des cordes. Je porte toujours le même bâillon. Mais je suis à nouveau habiller de la tenue que j’avais. Je remarque qu’une feuille de papier se trouve sur ma jupe, je lit ce qui est écrit :
**Bonjour, ma chère Nina !!
Si notre petit jeu était une partie de monopoly, je dirais que tu as des difficultés à éviter la case prison. Une chance que je sois là pour te remettre sur le bon chemin. Oui, tu m’as reconnu, le geôlier, toujours à ton service !! Rassures toi, la police ne va pas tarder, et tu pourras reprendre tes recherches. Chose que tu n’aurais pas été à même de faire si tu pourrissais encore dans le Centre. Et je voulais tellement que nous reprenions la partie. Ah et au fait, si tu es attachée c’est juste pour mon petit plaisir !! Après tout, je ne pense pas que j’aurais beaucoup de peine à te kidnapper de nouveau quand j’en aurai envie
Cordialement,
Le geôlier O---O**
Une chance que j’ai pu m’en tirer !! Décidément le geôlier me veut vraiment que pour lui. Mais comment a-t-il fait pour pénétrer dans le centre, me reprendre, quitter le centre avec moi inconsciente, le tout sans être aperçu !!?? Comment a-t-il simplement su où je me trouvais ???? Aucun autre indice sur sa véritable identité hélas. Et il prend ça pour un jeu !! Hélas je crois que je l’ai encore sous estimée. Comment vais-je mettre la main sur ce malade !!!
Je tente de me débattre….les cordes sont bien serrées, le geôlier sait attacher une fille, rien de surprenant. Je crie :
« GGGMMMMHHH !!!MMMMMMHHH !! » Ah mais quelle saleté de bâillon. J’en ai presque à avoir plus l’habitude d’être bâillonnée qu’avoir la bouche libre !! Bon autant attendre la police, je n’ai rien d’autre à faire…
Je me sens soulagée d’avoir été sauvée…et cet étrange mais…que le geôlier m’ait sauvée…je ait pourtant cette personne criminelle, mais à quelque part je me sens…protégée, appréciée… et malgré tous ce temps de captivité, en ce moment j’apprécie être attachée, et même être bâillonnée, surtout sachant que cela vient du geôlier. Cet étrange, vraiment !!
Après une demi heure de plus, j’entends des voitures arriver à mon domicile. La porte est ouverte, j’entends crier :
« Nina, Nina, c’est la police !! Où êtes vous !! »
« GGGGMMMMHHHHHH !!MMMMMHHHHHFFFHHHH !!! » je fais bâillonnée. Les policiers m’entendent, ils montent à l’étage et rejoigne ma chambre. L’un des policiers enlève mon bâillon et me fait :
« Oh, seigneurs !! Mademoiselle Averine, comment vous sentez vous !! Ils vous ont fait du mal ? »
« Je vais bien, merci, merci infiniment ! »
Le policiers détachent en même temps mes mains et mes chevilles, je fais :
« Comment aviez vous su que j’étais de nouveau chez moi ? »
« Une lettre anonyme était déposée sur la table de la cafétéria de la police ! C’était la signature du géôlier. On ignore comment il a pu se promener librement dans le commissariat !! »
Je suis libre, je leur réponds :
« Quel jour sommes nous ? »
« Mercredi, il est 09h00 du matin »
« Je suis resté inconsciente pendant un jour entier…Il m’a aussi laissé un message, regardez » je leur montre la feuille qui figurait sur moi. Je redescends, à l’extérieur je retrouve l’agent Léo, je lui fait :
« Léo vous êtes là !! Il y a beaucoup de chose dont je dois vous parler !! »
« Bien sûr Nina !! Je suis impatient de prendre votre déposition !! » me répond-il. Je réplique :
« Où est Yuri ? »
« Il a disparu il y a deux jours. Oh, on ne s’inquiète plus, on a l’habitude, je lui ai laissé un message, j’espère qu’il sera rapidement de retour. »
Soudain une autre voiture arrive et se gare, puis quelqu’un nous rejoint Léo fait :
« Ah ben…le.. il est de retour le voilà ! »
Yuri court vers moi et me prend dans ses bras. Il me fait :
« Ma douce !! Dans quoi tu t’es encore fourrée bon sang !! »
« Je suis tellement heureuse de le revoir !! »
Nous nous embrassons. Une fois terminé je reprends mes émotions, et je lui fait :
« J’ai enquêté sur le Centre, j’avais trouvé deux personnes qui fréquentait l’établissement, mais ils ont réussi à me capturée, ensuite ils m’ont gardé prisonnière dans un chalet à Chamonix. L’un d’entre a était prêt à me libérer, mais il a été tué par mon deuxième ravisseur. Puis Alicia est ensuite arrivé, pour me reprendre au centre, mon ravisseur l’a d’abord capturé à son tour, puis…puis…elle…c’était horrible elle s’est libérée et l’a tué d’une façon atroce !! Ensuite il m’a emmené au Centre ! J’étais sur le point d’être violée, lorsque le geôlier a abattu mon violeur, puis il m’a emmenée…je me suis réveillée attachée dans ma chambre avec ce petit mot ! »
« Théodore et Henry c’est bien ça le nom de vos ravisseurs? » me fait Léo, je lui répond :
« Oui, oui c’est ça, comment avez-vous su ? » Léo me répond :
« La femme de Théodore avait porté un avis de disparition, on a envoyé une équipe à son chalet, et on y a trouvé votre portable, dans la poche du pantalon de Théodore. Il était déjà mort, les couilles arrachés et coulé contre un mur. Il avait deux clou aussi planté dans le haut le gorge ! »
« Oui, je sais, j’ai vu toute la scène ! Malheureusement nous ne pourrons rien en tirer de plus ! »
« De Théodore, non. Par contre, Henry est toujours vivant, il est à l’hopital sous surveillance policière » me répond Léo.
« Il faut à tout prix l’interrogé, et au plus vite !! » je réponds, mais Yuri me fait :
« Nina, Nina !! Oui nous allons le faire, mais d’abord je dois savoir quelques choses ! Tu dis que c’est le geôlier qui t’a secouru !! Tu as vu son visage ? »
« Non, mes yeux étaient bandés ! »
« Tu n’as rien vu d’autre ?? Rien qui puisse nous en apprendre plus sur le geôlier !?? »
« Non, je suis navrée Yuri, mais j’étais inconsciente pendant tout ce temps, je n’ai rien d’autre ! »
« D’accord, ne t’en fais pas ce n’est pas grave ! Le contraire m’aurait d’ailleurs surpris. Nous allons pouvoir interroger Henry ! » termine Yuri.
Je prends la voiture avec Yuri, nous allons immédiatement à l’hôpital, Léo est retourné au commissariat pour enquêter sur le geôlier en analysant ses messages. Nous accédons à la chambre, quatres agents sont sur place, Henry est un sur un lit d’hôpital, menotté. Yuri lui fait :
« Bonjour Henry, comment vous sentez-vous ? »
« aaah..euh..bien..je vais bien….content d’être en vie surtout… » lui répond Henry, Yuri lui répond :
« Je n’ai pas besoin de vous rappeler que votre situation est très fâcheuse ! Viols multiple sous paiement, kidnapping, séquestration, menace de mort… croyez, il vaut mieux que vous coopériez si vous ne voulez pas aggraver d’avantage votre situation !! » Henry répond faiblement :
« Je….je…oui bien sûr…je vais coopérer, je vous dirais tout ce que je sais…je ferai tout ce que je peux pour vous aidez…et je ferai ma peine de prison, je l’ai mérité. »
« Très bien » reprend Yuri « tout d’abord comment avez-vous entendu parler du Centre ? »
« Théodore. C’est lui qui m’en a parlé. Il était revenu de Roumanie, il était allé avec ses collègues en vacances. Il avait dit à sa femme que c’était pour des visites culturelles. Je sais quel genre de personne est Théodore : la prostitution est monnaie courante dans ce pays, c’est la seule raison de sa visite. D’ailleurs une fois il m’avait même raconté qu’il était revenu d’un « camps de prostitution » dans notre pays en France, dans lequel il y avait notamment des prostituées roumaines. Il me disait que c’était des femmes super bien roulées. Je pense que c’est cela qui l’a poussé à aller en Roumanie ! Enfin bref, quelques jour après son retour, il m’avait expliqué qu’il était tombé là bas sur un centre, un établissement où l’on pouvait abuser librement de femmes, du moment que l’on y mettait le prix ! »
« Très bien » répond Yuri « quand y êtes vous allé pour la première fois ? »
« Il y a a peu près une année. C’étais deux semaines après que Théodore soit revenu, il m’a convaincu d’allé profiter d’une fille là-bas. » Je lui demande :
« Comment cela fonctionne ? Comment commandez-vous les filles? » Henry répond :
« Il y a un site internet, secret, on peut y accéder et savoir ce que c’est qu’une fois connecté. Pour obtenir un compte il faut appeler directement le Centre. Ensuite il vous offre le lien pour se connecter par email. Ensuite, sur le site, il y a des photos des filles sous ventes. Il y a un prix base, puis cela fonctionne comme une vente aux enchères. Dès qu’une personne dépose une somme supérieur au prix de base, les autres utilisateurs ont une minute pour hausser la somme. Si dans la minute qui suit l’enchère n’a pas été augmenté, le dernier a avoir monté la mise aura droit à la fille pour deux heures, aux prix indiqué par l’enchère. Si l’on veut pouvoir profiter plus longtemps de la fille, il faut repayer la somme finale pour chaque heure supplémentaire. »
« A combien était les montants ? » demande Yuri
« La somme de base variait en fonction de la fille, mais ça se comptait toujours en millier d’euros. Les sommes de bases étaient généralement entre 10'000 et 20'000 euros. Le plus souvent, la somme finales à la fin des enchères n’étaient à au moins 30'000 euros. Parfois les mises de départs partaient à 50'000 euros. Ce genre de mise se terminaient à passé 100'000 euros. La plus chère que j’ai vu étaient une fille dont la somme de base était de 100'000 euros. A la fin, la somme finale était à 480'000 euros. Je m’en souviens bien, parce que ce jour là j’étais avec Théodore, et il voulait à tout prix cette fille, il voulait mettre 500'000, mais je lui avais dit de lâcher l’affaire et de trouver une autre fille moins cher. Le temps que nous discutions, la minute était passée et la somme étaient verrouillée, il était vraiment furax contre moi ! »
« Comment cela se passaient une fois que vous étiez au centre ? » je lui demande :
« Dès que l’on franchissait l’établissement, une hôtesse du Centre nous accompagnait jusqu’à notre chambre. Les hôtesses étaient d’ailleurs très jolies, on bavait souvent sur elles. Après on entre dans une chambre, on referme la porte, et notre fille est menottée à un lit et bâillonnée. Pendant les deux heures, on a le droit de les toucher, les violer comme on veut… il y a une règle importante : La fille ne doit avoir aucune marque, aucun bleu, aucune blessure, afin qu’elle puisse servir pour d’autres clients. Les prix restaient alors inchangés pour ces filles. Dès que notre temps est passé, des hommes du centre viennent inspecter la fille. D’après ce que j’ai entendu, les rares personnes qui avait battus les filles, ils ont été abattus dans le centre. Notons que dans la chambre, il y avait également des cordes, du scotch, d’autres baillons, des réserves de menottes, on pouvait attacher la fille librement, tant que l’on lui faisait pas de mal. »
« Avez-vous déjà connu une Marie » je reprends « une femme aux cheveux noirs, visage roumain, yeux bruns ? »
« Oui » répond Henry « c’était une des hôtesse du centre. Une des plus belles, avec Théodore on fantasmais dessus depuis longtemps ! Un sacré jolie fille !! »
« Très bien. Est-ce que vous connaissez un dénommé Yvan Soumarov ? » je lui demande, il me fait :
« Non, ce nom ne me dit rien du tout »
« Et M. Timer, ça vous dit quelque chose ? »
« Non, aucune idée, je suis vraiment désolé. »
Nous quittons la pièce avec Yuri, je lui fais :
« C’est déjà pas mal, il pourra témoigner de l’existence du centre, et on sait exactement comme cet horreur se déroule ! »
« Oui, cette piste va bien avancer au moins. Hélas, pour ce qui est du geôlier nous n’avons rien de plus. »
Je passe la soirée avec Yuri. Je suis tellement heureuse d’être libre. Et en plus, nous avons tout ce qu’il nous faut pour mettre fin à ce centre et à Soumarov !!



Voilà déjà une bonne heure que nous roulons, je suis toujours sur le siège arrière, Alicia ne m’a pas d’avantage parlée. Je fais :
« Ggggggmmmmmhhhh…mmmmhhhh…. »
« Inutile d’insister fi fille, je t’enlèverai ton baillon que quand ça me chantera. Et pour info moins tu gémira, plus je serais prête à te l’enlever » me fait Alicia.
Rien de surprenant. J’ai déjà essayé de me dégager des cordes plusieurs fois, mais Alicia est hélas une bonne attacheuse, je n’ai aucune chance de m’en défaire. Alicia reprend parole :
« Rassure toi chérie, d’ici peu nous atteindrons un petit aérodrome clandestin qui appartient à Soumarov, il nous faudra à peine une heure de vol pour atteindre la Roumanie, le trajet sera moins long que la dernière fois ».
Quelle poisse, si nous avions roulé par la route, au moins la frontière m’aurait peut-être sauvée. Quoique de toute façon je ne me fais pas trop d’illusion. Dire que je tenais Alicia sous mon emprise, et que maintenant je suis à nouveau sa prisonnière. Et ce qu’elle a fait à Théodore !! Même si je le haïssais, je suis encore effrayé par ce qu’Alicia lui a fait subir.
Je regarde par la fenêtre, je n’ai rien d’autre à faire de toute façon. Les alentours sont inabités, nous sommes, dans une route au milieu d’une forêt. Difficile de croire qu’un aérodrome se trouve aux alentours. Mais voilà maintenant que nous avons traversé la forêt, nous arrivons dans une zone isolée…mais il y a bel et bien des routes pour l’aviation, pas pour des boeing, mais des engins suffisamment grand pour quitter le pays. Nous nous arrêtons, Alicia remet le chargeur dans son pistolet. Puis elle me fait :
« Okay, le pilote et notre équipage arrivera dans un petit moment, on va pouvoir parlé un peu, mais ne crie pas. Tu l’auras remarqué, personne ne t’entendra ici ».
Puis elle sort de la voiture, puis rejoins le siège passager, elle s’assied à côté de moi et enlève mon bâillon, je fais :
« Ahh, merci !! Je ne sais pas comment tu l’as ressentis, mais je trouve ce bâillon vraiment désagréable ! »
« Je l’ai bien ressenti comme toi, mais je me suis rendu compte qu’il est tout autant efficace, c’est pour cela que je te l’ai gardé ».
« Je sais que c’est peine perdue, mais si tu me relâchais, Alicia, je …tu sais très bien que je te donnerai tout ce que je pourrais !! » je lui dis. Alicia me répond en me caressant les cheveux:
« Quoique tu aie à m’offrir, ça ne représentera rien à côté de ce que tu me rapportera quand je te livrai au centre. Regardes toi Nina, tu es tellement…Naïve, innocente, incorruptible. Je suis sûr que si tu te libèrerais tu irais rejoindre ton chéri, duquel tu amoureux et fidèle comme un caniche à son maître. » je lui fais :
« N’as-tu jamais été amoureuse Alicia ? Une relation amoureuse te répugne à ce point là ? L’honnêté est une chose aussi incomprise pour toi ? » elle réplique :
« Nina tu m’avais demandé pourquoi j’ai aussi peu de pitié et pourquoi je me suis retrouvée dans une situation de criminelle. Là où j’ai grandi, nous étions très pauvre. Même toute enfant, j’ai été contrainte de voler et tricher pour survivre. Je me suis mise à la prostitution en fin d’adolescence. Cela a durer quelques temps jusqu’au jour ou un homme, très charmant, qui avait l’air droit honnête, bon et aimable, très riche était venu à moi. Du jour au lendemain je suis tombé folle amoureuse de lui. Je me voyais déjà arrêter les délits, devenir moi aussi honnête, je me voyais même l’épouser et fonder une famille avec lui. Je suis restée dans mon beau rêve pendant quelques mois, jusqu’au jour où il m’a trahie. Ce jour, il m’a fait quelques chose d’affreux, des pires choses que l’on puisse faire à une femme. Alors que je ne m’étais jamais sentie aussi trahie, c’est là que j’ai prise conscience de la réalité, que je me suis rendu compte que les hommes n’en ont rien à foutre de nous, tout ce qui leur intéresse c’est notre beau cul. Je me suis vengé de cette pourriture puis je me suis juré de ne plus tombé amoureuse des hommes. Depuis je joue avec les hommes, je les manipules, et c’est comme ça que je m’en tire à chaque fois. »
« Qu’est ce qu’il t’as fait Alicia ? » je lui demande.
Soudain une voiture dans l’aérodrome. Alicia me remet mon bâillon. Elle m’emmène de force à l’extérieur, cinq personnes sortent de la voiture. L’un deux nous fait :
« Ohoh !! Regardez moi ça, la petite journaliste ! Soumarov va vraiment être de très bonne humeur, excellent travail Alicia ! » cette dernière répond :
« Tu me feras des éloges plus tard Max, il faut qu’on décolle». L’un des hommes lui répond :
« Je suis là pour ça. Le temps sera judicieux, notre vol sera tranquille, on va pouvoir embarquer ! »
Nous nous déplaçons vers et entrons à l’intérieur de l’avion. Il me font asseoir sur un siège, Alicia donne une corde à l’un des hommes en lui disant :
« Attache ses pieds, on va pas prendre de risque ! »
Son sbire joint mes chevilles ensemble et passe la corde autour. De toute façon ça ne changera rien, je n’ai aucune chance de m’enfuir. L’homme serre le nœud, mes chevilles sont attachées. Nous décollons, et en quelques instant nous sommes dans les airs. Alicia se dirige vers la cabine du pilote. C’est alors que l’homme que Max, qui semble être le chef des hommes présents, se dirige vers moi et me fait :
« Eh ben ma cocotte, je comprends pourquoi Soumarov voulait tant te récupérer. Tu sais on aura jusqu’à une heure avant que l’avion se pose, on a tout le temps » puis il pose sa main sur ma cuisse, je tente de crier :
« MMMHHHHH…GGGGMMMHHHH !!! »
« Ooohh, tu n’as pas envie ? Peu importe, attachée telle que tu l’es je n’ai pas besoin de ton accord » sa main se dirige sous ma jupe. Soudain Alicia revient et fait à Max :
« Vire tes mains Max, tu sais bien que Soumarov veut qu’on la lui remette intacte. » Max réplique.
« Ah fais pas ta chieuse Alicia ! De toute façon il ne remarquera rien !! Et puis c’est pas tous les jours qu’on a une telle beauté sous la main !! »
Alicia le tire alors vers elle, le plaque contre un autre siège en l’immobilisant par une clé de bras. Alors que Max est maitrisé, Alicia sort son pistolet et le pointe sur la tête de Max en lui disant :
« Soumarov a donné des ordres : Personnes ne touche à Nina jusqu’à ce que je la lui ait remis. Tu me connais depuis un moment Max, tu crois que j’hésiterais à te mettre une balle dans la tête si il le faut !? » Max lui répond, totalement paniqué :
« Non, non, non, c’est bon ! Pas la peine d’en arriver là Alicia. Tu as raison, il vaut mieux pas désobéir aux ordres, je la toucherai plus ! »
Alicia le relâche et s’assied à côté de moi. L’un des hommes lui fait avec le sourire:
« Hé hé, t’as pas changé Alicia ! Toujours la même lionne, mignonne mais féroce ».
Je n’arrive pas y croire. Une chance que Soumarov ne veut pas qu’on me viole, et qu’Alicia soit aussi intimidante ! J’ai encore peine à croire qu’elle soit ma protectrice en plus de ma ravisseuse.
Voilà près d’une heure que nous volons, personne d’autre n’a tenté de me violer, ce qui est tout à fait compréhensible. Le pilote nous dit par haut parleur :
« Les gars rester sur vos siège et remettez vos ceinture, on va atterrir !! »
Tout le monde est ceinturé sur le siège, l’avion commence à descendre. L’atterrissage se passe bien. L’avion est maintenant arrêté. Alicia commence alors à détacher mes chevilles…les voilà libre, mais je suis toujours attachée les mains dans le dos, et bâillonnée. Elle me tient par le bras et me fait :
« on y va Nina. Les autres je veux deux personnes devant et deux autres derrière nous, on sait jamais. »
Nous descendons de l’avion. Dans le petit aérodrome, une limousine vitrée nous attend, nous entrons à l’intérieur, Alicia s’assied à côté de moi tout à l’arrière. Le chauffeur lui dit quelques chose probablement en roumain, je ne sais pas ce que cela veut dire. Alicia lui répond dans la même langue. Puis nous avançons. Je n’ose même pas tenté de dégager mes mains, Alicia est tout près de moi. En plus, ça ne donnerait rien. Après moins d’une demi heure nous arrivons à cet endroit affreux : le Centre. Quelle angoisse d’être contrainte d’y retourner. Le même homme avec une kalachnikov protège l’entrée. Nous sommes déjà entrés dans l’enceinte. Nous nous approchons du bâtiment principal. Alicia me fait :
« Et voilà chérie, retour à la case départ, allez suis moi !! Vous autres surveillez la gamine, on va directement au bureau de Soumarov ! »
Nous descendons de la voiture, les 5 hommes nous accompagnent. Nous prenons l’ascenseur, toujours escortées par les 5 hommes et Alicia. Décidément ils ne prennent vraiment aucun risque. Nous sommes à l’étage, nous traversons le couloir et arrivons devant une porte gardée par deux hommes armés. Alicia leur dit quelques choses en roumain. L’un d’eux lui répond dans la même langue et ouvre la porte, et me dit avec un accent :
« Bienevenue Mamoiselle Avérine ! »
Alicia entre seule avec moi dans le bureau, les autres attendent dehors. Je vois Soumarov, que je n’ai pas revu depuis qu’il exploitait la prostitution en France. J’aurais préféré ne jamais le revoir ailleurs qu’en prison. Alicia lui fait :
« Bonjour M. Soumarov, je vous rapporte Nina Averine, comme vous le désiriez tellement. » Soumarov lui répond :
« Si j’avais bien compris la situation, un de nos clients Théodore l’avait emmenée chez lui. Puis-je savoir ce qu’il en est de lui ?! »
« Je lui ai expliqué la situation, il a tenté de me tuer pour garder Nina, je n’ai pas eu le choix, j’ai été obligée de le descendre ! »
« C’est dommage, c’était un bon client ! Mais au moins les morts ne vont pas dévoiler nos affaire à la police. C’est un excellent travail Alicia, tu as toute ma reconnaissance. Maintenant laisse nous, nous avons beaucoup à parlé avec ma chère Nina…ou préfère tu que je t’appelle Natacha comme au bon vieux temps ?! » Alicia me fait asseoir sur une chaise et réplique :
« J’apprécie votre reconnaissance, bien sûr je vais vous laisser. » puis elle quitte la pièce nous laissons seuls. Soumarov me regarde, je suis assise face à lui, attachée les mains dans le dos et bâillonnée. Il ne dit rien, il se contente de me regarder avec un sourire inquiétant.
Après cinq minutes Soumarov reprend me fait :
« Ma chère Nina, j’étais tellement impatient de ce moment. J’étais tellement déçu d’avoir été contraint de te relâcher lorsque nous étions en France. Mais te voilà de nouveau. Toujours aussi belle, tu n’as pas changé ! »
« gggmmmm….mmmmhhhhffff » je fais, pour lui inciter à retirer mon bâillon.
« Oh, bien sûr. Même si je raffole de te voir bâillonnée, je pense qu’une petite discussion s’impose… » me fait-il. Il se dirige derrière moi, puis défait délicatement la sangle, il ôte alors la boule de ma bouche, retirant ainsi mon bâillon. Je lui fais :
« Que comptez-vous faire de moi Yvan ? »
« Mmmm…ta question n’est pas mauvaise, à ta place je me ferai du soucis pour mon sort. » Il se replace face à moi s’asseillant sur une chaise, juste en face de moi. Il me fait :
« Apparemment tu faisait des recherches sur le centre. Tu avais donc décidé de piéger deux de nos plus fidèles clients…avant qu’ils te capturent !! »
« Yvan, ces filles, que tu as faites prisonnière ici. Elle n’ont rien demandé ! Comment avez-vous pu les enlevée !! » je lui répond. Il réplique
« Alors c’est pour cela que tu t’attaquais encore à moi. Des états d’âmes, comme c’est touchant. Mais ça ne t’as pas vraiment réussi jusqu’ici ! Mais heureusement, tu es la plus belle fille de tout ce centre vois-tu !Et pour cause, tu auras droit aux clients les plus privilégiés. »
Soudain deux hommes entre dans la pièce et l’un d’eux fait :
« Chef, M. Timer va arriver, on l’attache solidement ! La dernière fois elle avait réussi à s’enfuire ! »
« Absolument, faite ce qu’il faut, et…ôtez ses vêtements, M. Timer va vraiment apprécier !! »
« Non, non, au secours !!! » je crie, mais ces hommes me prenne de force et m’emmène hors de la pièce. Ils me dirigent vers une autre pièce au fond à l’opposé. La pièce est luxueuse, un lit confortable deux places, une table en verre champagne…il y a également des menottes et des chaines. L’un des hommes me fait :
« Maintenant enlève tes vêtements, où c’est nous qui allons le faire, la balle est dans ton camps ! »
Je commence par ôter le haut, je suis en soutient gorge. Puis je défais la ceinture de ma jupe, puis je baisse ma jupe et la retire, je suis en string, soutint gorge, et je porte encore mes talons. L’homme me fait :
« Très bien, ça devrait suffire »
Aussitôt les deux hommes me saisissent et m’allonge sur le lit. Je suis couché sur le dos. Ils saisissent mon poignet droit et les menotte, puis passe la menotte à une barre du lit. Puis il menotte mon autre poignet et le menotte à une barre du lit sur la gauche. Je suis menottée au lit, les bras légèrement écartés. Puis ils font de même avec mes chevilles, les menottant aux barres opposées du lit. Mes jambes, menottées, sont écartées. Puis avant que je puisse prononcer un mot, il me passe le bâillon, enfonçant la boule dans ma bouche puis sanglant derrière ma tête. Puis l’un deux me plote les seins, je ne peux m’empêcher de crier :
« GGGGMMMMHHHH !!! » il me fait continuant à ploter ma poitrine :
« Ton client va arriver, éclate toi bien salope !! On peut dire qu’il a de la chance de pouvoir se faire une beauté comme toi !! »
Les deux hommes me laisse seule dans la chambre. Je tente de me débattre, j’entends le bruit des chainettes de mes menottes…rien à faire, impossible pour moi de me libérer. Et dans quelques instant un pervers va venir abuser de moi, de panique je commence à crier :
« GGGGMMMMMMHHHH !!! MMMMMMMHHHHHHH !!!! »
Saleté de bâillon, impossible d’articuler un mot ni de sortir un bruit. Je regarde les alentours. La chambre est luxueuse, mais je ne vois pas ce qui pourrait m’aider à me libérer. D’ailleurs, ce sont des menottes, un objet coupant ne servirait à rien. Et en plus je ne pourrais jamais l’atteindre, je suis menottée à ce fichu lit. Et je ne vais surement pas partir de si tôt ! Soudain la porte s’ouvre…Un homme en costard noir, très vieux, cheveux gris, petite taille entre dans la pièce. Il referme la porte, la fermant à clé, il s’avance doucement vers moi, il me regarde quelques instant…puis il me fait :
« Bonjour, ma bella !! Nina Averine c’est ça ! Vous êtes journaliste !! C’est très bien, les petites journalistes m’ont toujours beaucoup excité. Surtout celle qui fourre leur nez là où il ne faut pas ! »
Je me débats en gémissant… puis l’homme me fait :
« Mon nom est M. Timer… M. Soumarov accorde beaucoup d’importance pour votre capture. Vous devez peut-être vous demander, comment j’ai eu l’honneur de pouvoir bénéficier d’une aussi belle femme que vous, avec autant d’importance !! J’ai financé en grande partie cet établissement. J’ai financé également une grande partie de l’organisation de Soumarov. Je suis sans nul doute son créancier le plus important » dit-il en enlevant la veste de son costard. Puis il continue en me contemplant :
« Quand j’avais vu vos photos, j’ai immédiatement sommé d’être le premier client lorsque Soumarov vous capturerait à nouveau. Un arrangement à été facile à négocier, comme je vous l’ai dit, Soumarov me doit encore beaucoup d’argent. Où plutôt…me devait beaucoup d’argent » il est en train de déboutonner sa chemise, puis il continue « Oui, je lui ai dit qu’il ne me devait plus rien, à condition que je puisse profiter de vous, librement et quand je le voulais. Le voilà notre accord ! »
« GGGGMMMMMMHHHH !!! MMMMMMMMHHHHH !!! » je fais bâillonnée et terrifiée à cette idée. Cet homme me répugne ! Puis sa chemise est ouverte, il commence à l’enlever…. Puis il s’approche de moi. Il commence par ploter mes seins, en me disant :
« Ooohh, je ne regrette pas un tel arrangement !! J’aurais donné toute ma fortune pour une femme comme toi Nina !! Tellement belle, tellement sexy !! OOhhh, oui !!»
Sa respiration s’accélère, je suis vraiment effrayée ! Soudain il baisse mon soutient gorge, mes seins sont complètement nus ! Puis il baisse également mon string, mon vagin est complètement libre !! Je gémis et tente de me débattre de toute mes forces, prise de panique par la situation. L’homme enlève alors son pantalon. Puis il enlève son slip, il est complètement nu !! Horreur, il me fait :
« Assez parlé maintenant, on va passer à l’acte ma belle !! » Il est déjà en train de bander, il se pose sur le lit, juste dessus moi, je fait en tentant de me débattre :
« GGGGMMMMHHH !!!GGGGGMMMHHH !!!MMMMMMHHH !MMMMMMMMMMHHH !!!! » le bruit des chainettes de mes menottes se font retentir, tant je tente de me débattre !! en vain hélas. Il s’apprête à plonger son pénis !! Cette fois je vais bien être violée pour de bon !! Et par un homme aussi répugnant, cet horrible !!
Soudain, la porte se déverrouille, Timer s’enlève de moi, il son pénis ne m’a juste pas pénétrée. La porte commence à s’ouvrir, Timer crie en s’approchant de la porte :
« ESPECE D’ABRUTIS, QUITTER IMMEDIATEMENT CETTE PIECE OU JE VOUS FAIS EXECUT… » je ne vois pas qui était en train d’entrer, je ne vois que l’extrémiter d’un pistolet avec un silencieux pointer sur Timer, ce dernier se calme et fait :
« Oulà, oulà !! On va pas s’emporter d’accord !! »
Puis Timer reçoit un morceau de papier de cette personne. Il se met à le lire, puis il dit :
« Bon d’accord, je vais le faire, mais ne tirer pas d’accord, restons calme !! »
M. Timer se rapproche de moi, et prenant sa chemise à la main. Il se sert de sa chemise pour me bander les yeux, puis il fait :
« Voilà, vous voyez, il n’y a aucune raison de s’emporter ».
J’entends la porte se refermer, puis j’entends deux coups de feu étouffer par le silencieux, puis un corps tomber à terre. Timer est sans doute mort. Puis cette mystérieuse personne semble s’approcher de moi, puis soudain un mouchoir de tissus est collé contre ma bouche, je connais…cette…odeur….de…………..non………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………mmmmm…………oohhhh…..ma tête…..je me sens……comme si je…………………….je suis restée endromie….si longtemps…..c’est comme si je me réveillais d’un coma………je commence à ouvrir lentement mes yeux…..quoi….je suis….chez moi, dans ma chambre….tirée d’affaire ??.....mais je…mes mains, elles sont attachées derrière le dos, passée entre la colonne d’une étagère !!Je suis assise sur mon matelas qui est par terre près de cette étagère !! Mes pieds sont aussi ligotés par des cordes. Je porte toujours le même bâillon. Mais je suis à nouveau habiller de la tenue que j’avais. Je remarque qu’une feuille de papier se trouve sur ma jupe, je lit ce qui est écrit :
**Bonjour, ma chère Nina !!
Si notre petit jeu était une partie de monopoly, je dirais que tu as des difficultés à éviter la case prison. Une chance que je sois là pour te remettre sur le bon chemin. Oui, tu m’as reconnu, le geôlier, toujours à ton service !! Rassures toi, la police ne va pas tarder, et tu pourras reprendre tes recherches. Chose que tu n’aurais pas été à même de faire si tu pourrissais encore dans le Centre. Et je voulais tellement que nous reprenions la partie. Ah et au fait, si tu es attachée c’est juste pour mon petit plaisir !! Après tout, je ne pense pas que j’aurais beaucoup de peine à te kidnapper de nouveau quand j’en aurai envie
Cordialement,
Le geôlier O---O**
Une chance que j’ai pu m’en tirer !! Décidément le geôlier me veut vraiment que pour lui. Mais comment a-t-il fait pour pénétrer dans le centre, me reprendre, quitter le centre avec moi inconsciente, le tout sans être aperçu !!?? Comment a-t-il simplement su où je me trouvais ???? Aucun autre indice sur sa véritable identité hélas. Et il prend ça pour un jeu !! Hélas je crois que je l’ai encore sous estimée. Comment vais-je mettre la main sur ce malade !!!
Je tente de me débattre….les cordes sont bien serrées, le geôlier sait attacher une fille, rien de surprenant. Je crie :
« GGGMMMMHHH !!!MMMMMMHHH !! » Ah mais quelle saleté de bâillon. J’en ai presque à avoir plus l’habitude d’être bâillonnée qu’avoir la bouche libre !! Bon autant attendre la police, je n’ai rien d’autre à faire…
Je me sens soulagée d’avoir été sauvée…et cet étrange mais…que le geôlier m’ait sauvée…je ait pourtant cette personne criminelle, mais à quelque part je me sens…protégée, appréciée… et malgré tous ce temps de captivité, en ce moment j’apprécie être attachée, et même être bâillonnée, surtout sachant que cela vient du geôlier. Cet étrange, vraiment !!
Après une demi heure de plus, j’entends des voitures arriver à mon domicile. La porte est ouverte, j’entends crier :
« Nina, Nina, c’est la police !! Où êtes vous !! »
« GGGGMMMMHHHHHH !!MMMMMHHHHHFFFHHHH !!! » je fais bâillonnée. Les policiers m’entendent, ils montent à l’étage et rejoigne ma chambre. L’un des policiers enlève mon bâillon et me fait :
« Oh, seigneurs !! Mademoiselle Averine, comment vous sentez vous !! Ils vous ont fait du mal ? »
« Je vais bien, merci, merci infiniment ! »
Le policiers détachent en même temps mes mains et mes chevilles, je fais :
« Comment aviez vous su que j’étais de nouveau chez moi ? »
« Une lettre anonyme était déposée sur la table de la cafétéria de la police ! C’était la signature du géôlier. On ignore comment il a pu se promener librement dans le commissariat !! »
Je suis libre, je leur réponds :
« Quel jour sommes nous ? »
« Mercredi, il est 09h00 du matin »
« Je suis resté inconsciente pendant un jour entier…Il m’a aussi laissé un message, regardez » je leur montre la feuille qui figurait sur moi. Je redescends, à l’extérieur je retrouve l’agent Léo, je lui fait :
« Léo vous êtes là !! Il y a beaucoup de chose dont je dois vous parler !! »
« Bien sûr Nina !! Je suis impatient de prendre votre déposition !! » me répond-il. Je réplique :
« Où est Yuri ? »
« Il a disparu il y a deux jours. Oh, on ne s’inquiète plus, on a l’habitude, je lui ai laissé un message, j’espère qu’il sera rapidement de retour. »
Soudain une autre voiture arrive et se gare, puis quelqu’un nous rejoint Léo fait :
« Ah ben…le.. il est de retour le voilà ! »
Yuri court vers moi et me prend dans ses bras. Il me fait :
« Ma douce !! Dans quoi tu t’es encore fourrée bon sang !! »
« Je suis tellement heureuse de le revoir !! »
Nous nous embrassons. Une fois terminé je reprends mes émotions, et je lui fait :
« J’ai enquêté sur le Centre, j’avais trouvé deux personnes qui fréquentait l’établissement, mais ils ont réussi à me capturée, ensuite ils m’ont gardé prisonnière dans un chalet à Chamonix. L’un d’entre a était prêt à me libérer, mais il a été tué par mon deuxième ravisseur. Puis Alicia est ensuite arrivé, pour me reprendre au centre, mon ravisseur l’a d’abord capturé à son tour, puis…puis…elle…c’était horrible elle s’est libérée et l’a tué d’une façon atroce !! Ensuite il m’a emmené au Centre ! J’étais sur le point d’être violée, lorsque le geôlier a abattu mon violeur, puis il m’a emmenée…je me suis réveillée attachée dans ma chambre avec ce petit mot ! »
« Théodore et Henry c’est bien ça le nom de vos ravisseurs? » me fait Léo, je lui répond :
« Oui, oui c’est ça, comment avez-vous su ? » Léo me répond :
« La femme de Théodore avait porté un avis de disparition, on a envoyé une équipe à son chalet, et on y a trouvé votre portable, dans la poche du pantalon de Théodore. Il était déjà mort, les couilles arrachés et coulé contre un mur. Il avait deux clou aussi planté dans le haut le gorge ! »
« Oui, je sais, j’ai vu toute la scène ! Malheureusement nous ne pourrons rien en tirer de plus ! »
« De Théodore, non. Par contre, Henry est toujours vivant, il est à l’hopital sous surveillance policière » me répond Léo.
« Il faut à tout prix l’interrogé, et au plus vite !! » je réponds, mais Yuri me fait :
« Nina, Nina !! Oui nous allons le faire, mais d’abord je dois savoir quelques choses ! Tu dis que c’est le geôlier qui t’a secouru !! Tu as vu son visage ? »
« Non, mes yeux étaient bandés ! »
« Tu n’as rien vu d’autre ?? Rien qui puisse nous en apprendre plus sur le geôlier !?? »
« Non, je suis navrée Yuri, mais j’étais inconsciente pendant tout ce temps, je n’ai rien d’autre ! »
« D’accord, ne t’en fais pas ce n’est pas grave ! Le contraire m’aurait d’ailleurs surpris. Nous allons pouvoir interroger Henry ! » termine Yuri.
Je prends la voiture avec Yuri, nous allons immédiatement à l’hôpital, Léo est retourné au commissariat pour enquêter sur le geôlier en analysant ses messages. Nous accédons à la chambre, quatres agents sont sur place, Henry est un sur un lit d’hôpital, menotté. Yuri lui fait :
« Bonjour Henry, comment vous sentez-vous ? »
« aaah..euh..bien..je vais bien….content d’être en vie surtout… » lui répond Henry, Yuri lui répond :
« Je n’ai pas besoin de vous rappeler que votre situation est très fâcheuse ! Viols multiple sous paiement, kidnapping, séquestration, menace de mort… croyez, il vaut mieux que vous coopériez si vous ne voulez pas aggraver d’avantage votre situation !! » Henry répond faiblement :
« Je….je…oui bien sûr…je vais coopérer, je vous dirais tout ce que je sais…je ferai tout ce que je peux pour vous aidez…et je ferai ma peine de prison, je l’ai mérité. »
« Très bien » reprend Yuri « tout d’abord comment avez-vous entendu parler du Centre ? »
« Théodore. C’est lui qui m’en a parlé. Il était revenu de Roumanie, il était allé avec ses collègues en vacances. Il avait dit à sa femme que c’était pour des visites culturelles. Je sais quel genre de personne est Théodore : la prostitution est monnaie courante dans ce pays, c’est la seule raison de sa visite. D’ailleurs une fois il m’avait même raconté qu’il était revenu d’un « camps de prostitution » dans notre pays en France, dans lequel il y avait notamment des prostituées roumaines. Il me disait que c’était des femmes super bien roulées. Je pense que c’est cela qui l’a poussé à aller en Roumanie ! Enfin bref, quelques jour après son retour, il m’avait expliqué qu’il était tombé là bas sur un centre, un établissement où l’on pouvait abuser librement de femmes, du moment que l’on y mettait le prix ! »
« Très bien » répond Yuri « quand y êtes vous allé pour la première fois ? »
« Il y a a peu près une année. C’étais deux semaines après que Théodore soit revenu, il m’a convaincu d’allé profiter d’une fille là-bas. » Je lui demande :
« Comment cela fonctionne ? Comment commandez-vous les filles? » Henry répond :
« Il y a un site internet, secret, on peut y accéder et savoir ce que c’est qu’une fois connecté. Pour obtenir un compte il faut appeler directement le Centre. Ensuite il vous offre le lien pour se connecter par email. Ensuite, sur le site, il y a des photos des filles sous ventes. Il y a un prix base, puis cela fonctionne comme une vente aux enchères. Dès qu’une personne dépose une somme supérieur au prix de base, les autres utilisateurs ont une minute pour hausser la somme. Si dans la minute qui suit l’enchère n’a pas été augmenté, le dernier a avoir monté la mise aura droit à la fille pour deux heures, aux prix indiqué par l’enchère. Si l’on veut pouvoir profiter plus longtemps de la fille, il faut repayer la somme finale pour chaque heure supplémentaire. »
« A combien était les montants ? » demande Yuri
« La somme de base variait en fonction de la fille, mais ça se comptait toujours en millier d’euros. Les sommes de bases étaient généralement entre 10'000 et 20'000 euros. Le plus souvent, la somme finales à la fin des enchères n’étaient à au moins 30'000 euros. Parfois les mises de départs partaient à 50'000 euros. Ce genre de mise se terminaient à passé 100'000 euros. La plus chère que j’ai vu étaient une fille dont la somme de base était de 100'000 euros. A la fin, la somme finale était à 480'000 euros. Je m’en souviens bien, parce que ce jour là j’étais avec Théodore, et il voulait à tout prix cette fille, il voulait mettre 500'000, mais je lui avais dit de lâcher l’affaire et de trouver une autre fille moins cher. Le temps que nous discutions, la minute était passée et la somme étaient verrouillée, il était vraiment furax contre moi ! »
« Comment cela se passaient une fois que vous étiez au centre ? » je lui demande :
« Dès que l’on franchissait l’établissement, une hôtesse du Centre nous accompagnait jusqu’à notre chambre. Les hôtesses étaient d’ailleurs très jolies, on bavait souvent sur elles. Après on entre dans une chambre, on referme la porte, et notre fille est menottée à un lit et bâillonnée. Pendant les deux heures, on a le droit de les toucher, les violer comme on veut… il y a une règle importante : La fille ne doit avoir aucune marque, aucun bleu, aucune blessure, afin qu’elle puisse servir pour d’autres clients. Les prix restaient alors inchangés pour ces filles. Dès que notre temps est passé, des hommes du centre viennent inspecter la fille. D’après ce que j’ai entendu, les rares personnes qui avait battus les filles, ils ont été abattus dans le centre. Notons que dans la chambre, il y avait également des cordes, du scotch, d’autres baillons, des réserves de menottes, on pouvait attacher la fille librement, tant que l’on lui faisait pas de mal. »
« Avez-vous déjà connu une Marie » je reprends « une femme aux cheveux noirs, visage roumain, yeux bruns ? »
« Oui » répond Henry « c’était une des hôtesse du centre. Une des plus belles, avec Théodore on fantasmais dessus depuis longtemps ! Un sacré jolie fille !! »
« Très bien. Est-ce que vous connaissez un dénommé Yvan Soumarov ? » je lui demande, il me fait :
« Non, ce nom ne me dit rien du tout »
« Et M. Timer, ça vous dit quelque chose ? »
« Non, aucune idée, je suis vraiment désolé. »
Nous quittons la pièce avec Yuri, je lui fais :
« C’est déjà pas mal, il pourra témoigner de l’existence du centre, et on sait exactement comme cet horreur se déroule ! »
« Oui, cette piste va bien avancer au moins. Hélas, pour ce qui est du geôlier nous n’avons rien de plus. »
Je passe la soirée avec Yuri. Je suis tellement heureuse d’être libre. Et en plus, nous avons tout ce qu’il nous faut pour mettre fin à ce centre et à Soumarov !!
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- Fana de JdL
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- Ce que j'adore : Le contact avec un foulard en soie surtout comme liens ou bâillon,discuter avec des gens sur le ligotage ou autre. connaitre des gens de régions différentes, tester de nouvelles méthodes de ligotage, profiter des bon moments qu'offre la vie.
- Ce que je déteste : Les bâillon boule,ne pas avoir de partenaire pour les scéances de ligotages, tout ce qui hard
- Localisation : haute loire auvergne
Re: Une journée imprévisible
Une super suite, je me disais que sa serait possible que le geôlier pourrais venir sauver la pauvre Nina du centre
Vivement la suite et qui sait la prochaine fois sonnera peut être le retour de Clara ou d'un nouveau criminelle qui ferait de notre journaliste préfère sa prisonnière
Vivement la suite et qui sait la prochaine fois sonnera peut être le retour de Clara ou d'un nouveau criminelle qui ferait de notre journaliste préfère sa prisonnière

je bouge pas
je ne regarde pas
je ne parle pas 



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- Squatteur(se) de JdL
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- Inscription : 25 août 2013, 13:45
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- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: Une journée imprévisible
le geolier en sauveur? voilà qui n'est pas courant ^^
vivement la suite et fin alors, même si depuis un moment une idée me traverse l'esprit ^^
vivement la suite et fin alors, même si depuis un moment une idée me traverse l'esprit ^^
- fredchl
- Résident(e) de JdL
- Messages : 675
- Inscription : 22 mars 2016, 16:03
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
- Localisation : Basse-Normandie
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Re: Une journée imprévisible
Un très bon nouveau chapitre !
Idem, j'aurais été loin d'imaginer que ce serait le geolier qui viendrait la liberer...
Hâte de lire la suite !...

Idem, j'aurais été loin d'imaginer que ce serait le geolier qui viendrait la liberer...
Hâte de lire la suite !...