Camping Paradis.

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Mad Hatter
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Re: Camping Paradis.

Message par Mad Hatter »

La chance tournera ou ne tournera pas :?: , l'avenir nous le dira, :menottes:
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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sam22

Re: Camping Paradis.

Message par sam22 »

Nous sommes maintenues dans l'inconnu... :bandeau:

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sdc
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Re: Camping Paradis.

Message par sdc »

L'accueil.

L’attente commence à être longue et cette nouvelle contrainte n’arrange rien ajoutant ainsi une nouvelle douleur. Je ne sais pas du tout combien de temps s’est écoulé depuis qu’elle a garé le van en marche arrière mais je commence à m’y faire à cette barre entre mes fesses ! Tout est question d’habitude, surtout en captivité. Je ne sens plus ma bouche, la boule est pourtant toujours en place vu que je ne peux toujours pas crier. Elle ne pourrait plus y être cela ne changerait rien : je n’ai vraiment plus envie de crier, j’ai une toute autre envie…en plus de celle de me tirer de ce merdier. J’espère toujours que ma voiture est garée juste à côté, qu’elle a été vue en roulant sans son propriétaire officiel au volant, surtout en traversant ce camping avec...la porte s’ouvre.
- Désolée d’avoir été si longue mon petit Paulo. Tu permets que je t’appelle Paulo ? C’est mieux que Paul en tout cas : ça fait vieux ce prénom, tu ne trouves pas ? Ca fait aussi boulangerie, Paul ! Je ne sais pas comment tu fais pour porter ce prénom, c’est vraiment vieillot. Tu portes mieux le bâillon-boule que ce prénom, ce n’est que mon avis. Attends un peu…voilà, c’est bon, je suis à toi Paulo. Et puis c’est comme ça que l’on t’appelle ici, du moins une personne.
Ma voiture est ici c’est sûr. Ou bien elle a farfouillé dans mon portable vu qu’il n’a aucune restriction d’accès. Oui pas besoin de restriction sur mobile ici, du moins jusqu’à maintenant. Elle a eu le temps de dérouler un large tapis de sol dans le coin en face du mien, de sortir 2 rubans adhésifs orange et des cordes de ce fameux coffre. Les 2 rubans sont prêt à l’emploi avec une bande qui pend et qui ne demande qu’à être tirée, il y a un largement entamé et elle les a posé devant la porte toujours ouverte. La voici maintenant devant moi, la barre entre ses jambes, face aux miennes, toujours dans sa tenue moulante et avec un sourire plus qu’humiliant.
- Tu vas te laisser faire Paulo, ça va se faire tout seul. Enfin je vais le faire toute seule avec ton aide cela va de soi.
- Ppppppppffffffffmmmmmm…je n’ai plus de courage, fais-toi plaisir salope.
- C’est tout ? Tant mieux ce sera plus facile. Tu veux que je te dise un secret avant ? Et bien les clefs des menottes étaient sous le tapis. Classique, efficace et facile d’accès.
Elle passe une main sous le tapis et me montre les clefs en retour. Connasse. Elle me détache les pieds, je ne tente rien car je n’ai plus aucune force : elle est déjà utilisée ailleurs. Elle m’enlève délicatement mes chaussures. Ses mains viennent ensuite au niveau de ma taille : elle déboutonne mon treillis facilement.
- Bon tu vas juste relever ton petit cul pour que j’enlève ton pantalon.
Va te faire foutre, démerdes toi pour me l’enlever. Elle tire dessus et il résiste sur la barre, au niveau de mon cul justement. Elle me montre sa main.
- Une petite pression Paulo ? Et je ne parle pas de bière, t’as compris ?
Parles pas de bière s’il te plait. C’est bon elle a gagné : je l’aide avec une petite pression sur mes pieds pour relever un peu mon cul. Le petit passage a bien aidé et mon treillis se trouve sur mes genoux. Elle déplie mes jambes lentement et sors mon pantalon. Elle finit par m’ôter mes chaussettes et les plient en boules avant de les jeter vers les rubans adhésifs. Elle vient vers ma tête.
- Allez je t’enlève le mousqueton, ce sera plus facile pour t’attacher. Et ben, le slip est bien raide. On aime ça Paulo ?
Non pas trop si tu savais, mais je n’ai pas le choix. Le mousqueton enlevé je m’écroule latéralement face à ses jambes. Elle rigole et commence à siffloter. J’ai repris naturellement ma position d’origine et elle en profite pour m’attacher les pieds. La corde est pliée en 2, elle a fait une boucle avec, celle-ci a ensuite rapprochée mes chevilles avant de faire quelques tours pour finir par passer entre mes jambes: mes pieds sont ligotés et je ne sens rien. Elle fait la même chose au-dessus de mes genoux mais c’est un peu plus douloureux car des poils sont venus s’incruster dans le tas de cordes maintenant présent. Je ne bouge plus. Le temps passé dans cette position en attendant a fini par me fatiguer. Et puis elle s’occupe bien de moi. Non je déconne, je n’en peux plus faut que ça sorte. Je sens des cordes autour de mes poignés alors que les menottes sont toujours présentes.
- Et merde, qu’elle conne je fais.
Et merde quel con je fais : je n’ai pas été foutu de cogner au bon moment, mon téléphone est tombé et j’avais les clefs de ma libération sous le tapis.
- Bon avant de t’enlever le haut faut que je m’assure que tu te tiendras tranquille. Tu comprends où je veux en venir…
Sa phrase n’est même pas fini que mon sexe est entre sa main et pressé comme un citron. Putain pas maintenant, tu m’aurais dit « s’il te plait » et je me serai laissé faire gentiment. De toute façon je me serai laissé faire, idiote. Les cordes sont retirés, les menottes aussi et je me laisse déshabiller. Elle a fait ça rapidement car je n’ai même pas repris ma vision normale qu’elle s’attèle à nouveau sur mes poignés : elle a fait vite pour les immobiliser. Une autre corde vient autour de mon torse pour maintenir mes bras bien contre. Aie, elle serre vraiment la garce. « Mmmmmmmmmppppffffffffffooooooonnnnnnnnnn ». Avec un peu de salive qui coule sur mon torse j’espère qu’elle a compris que c’était trop serré. Elle me tire vers le tapis qu’elle a mis et me contemple un instant.
- T’es assez poilu mon Paulo, on va éviter l’adhésif sur le corps alors, dit-elle en rangeant les menottes. Bon je vais enlever mes baskets pour la suite.
Elle a donc bien remis une paire de chaussure pour conduire. Les veines de ses pieds sont vraiment saillantes, c’est bizarre. Attirant mais bizarre. Elle passe derrière moi, relève le haut de mon corps par les bras et vient s’asseoir en passant ses jambes autour de ma taille. Elle recule un peu en forçant sur ses jambes puis me tire contre elle. Ses jambes viennent sur les miennes en enroulant ses cuisses autour de mon bassin. Je sens le lycra bien lisse sur mon dos, sa petite poitrine a les tétons qui pointent, c’est grisant. Mon sexe grossit un peu plus mais cette fois-ci c’est pour la bonne cause. Il ne manquait plus que ça. Les sangles commencent à se détendre et en un rien de temps la boule sort de ma bouche. J’ai juste le temps de laisser s’évader un flot de salive qui finit sur mon slip, que sa main vient sur ma bouche pendant qu’avec l’autre Lise jette le harnais. Puis sa main vient rapidement se positionner sur mon slip, enfin sur mon sexe surtout. Elle le caresse doucement.
- Et merde j’ai oublié le collier rilsan pour tes orteils. Pas grave, ce sera après le spectacle !
Ma voiture est bien garée au camping, je vois très bien ce qui va arriver. Elle siffle dans mes oreilles et force sur sa main couvrant ma bouche puis silence.
Quelques secondes après j’entends des paroles, je ne comprends rien mais c’est bien une voix féminine ainsi que celle d’un homme. J’ai reconnu les 2 voix à l’approche de la porte.
- Allez-y la première je suis juste derrière.
- Merci Marc. Après je préviendrai Sophie pour qu’elle vienne le récupérer et tout…
Salut Audrey. Elle a à peine passé la tête dans le van qu’elle a vu mon treillis jeter à terre et qu’elle a tourné la tête vers nous. Elle ne dit plus rien. Sous ses lunettes ses yeux marron fixent les miens et sans parler je lui envoie un message : c’est trop tard t’es dans la merde. J’ai toujours cru en la télépathie mais elle ne s’est jamais manifestée. Marc la pousse et elle se laisse faire. Elle porte un tee-shirt blanc sous un gilet matelassé noir bien gonflant et un short en jean. Elle a des tongs, pas très pratique pour l’accueil mais elle aime ça. Lise maintient ma bouche pendant qu’elle me caresse plus rapidement mon sexe devant Audrey.
- Alors on ne dit plus rien Audrey. Pourtant tu nous as bien tout raconté sur notre invité depuis que tu as reconnu sa voiture qui était censée être en panne. Et oui Paulo, avec la parole on peut faire n’importe quoi, n’est-ce pas ?
- Elle a raison. Allez on ouvre la bouche.
Audrey s’exécute : elle ouvre la bouche et ce taré lui enfonce une de mes chaussettes dedans. Puis il récupère le petit rouleau d’adhésif et met la capuche du gilet d’Audrey en place.
- T’as des longs cheveux bien noir, je vais éviter de les coller. Et en plus tes lunettes seront un peu en sécurité. Un peu hein, c’est pas sûr !
- Là tu es content, je ne suis plus folle de faire ça sur un parking…toi c’est pire : elle travaille au camping et tu le fais !
- Si y’a de la gêne il n’y plus de plaisir. Par contre cela va réduire fortement notre séjour.
- Audrey, nous partirons plus tôt, cela ne te dérange pas ? On va se tutoyer vu les circonstances.
Audrey se laisse faire et n’émet aucun gémissement. Marc fais plusieurs tours de rubans adhésif autour de sa tête maintenant en place ma chaussette et la capuche. Il laisse le rouleau en place et récupère le gros rouleau. Toujours aucune réaction d’Audrey. Il lui enlève le tour de coup auquel sont accrochés sont portable et un trousseau de clef et lui ferme son gilet venant le gonfler encore plus grâce aux seins d’Audrey. Elle a une très belle paire de seins, plus que Lise. En même temps ce n’est pas difficile. Marc lui scotche les mains dans le dos, puis les bras au niveau de la taille et il s’attarde sur sa poitrine : il fait de nombreux passage au-dessus et en-dessous de celle-ci. Le gilet est prêt à exploser, tout comme Lise car elle me caresse rapidement mon sexe. « Mmmmmmmmooooooooonnnnnnnpppfffffff » et je gigote comme un damné.
- Ola mon petit Paul, tu en veux plus ? Patience.
- Il veut peut-être sa chaussette ? dit-il en la lançant sur nous.
- Merci. Je vais la réchauffer un peu entre mes jambes.
Ouf elle lâche mon sexe du coup, récupère ma chaussette et je sens sa main dans mon dos. Je devine où va être réchauffée ma chaussette. Marc s’est occupé des cuisses d’Audrey, puis de de ses genoux et enfin de ses chevilles. L’orange lui va bien à Audrey qui, du temps de son ligotage, n’a pas quitté mes yeux. Marc la force à s’allonger. Il lui enlève ses tongs, passes un doigt sur ses pieds et se met à en lécher un. Enfin elle réagit en lui donnant un bon coup de pied sur son visage et elle se dandine avec une ferveur qu’elle aurait dû avoir…au début.
- Mmmmoooooppppfffff….oooooooommmmmmppppffffff !
- Tu es vraiment excitante Audrey, nous allons bien nous entendre nous aussi. Tu es bien en chair, j’aime ça.
- Hum…tu peux m’envoyer l’adhésif s’il te plait ?
Marc remet ses tongs et lui scotche en faisant 2 tours pour chaque pied. Il lui passe un dernier coup de langue sur ses orteils. Puis il coupe le rouleau qui était resté sur la bouche d’Audrey et le jette à Lise. Il embrasse l’adhésif d’Audrey comme jamais, en tenant l’arrière de sa tête par la capuche. Ses mains se baladent ensuite sur sa poitrine étouffée sous le gilet. Elle remue de plus belle et il lui met une fessée : putain la journée s’annonce longue. Il caresse longuement ses seins et de temps en temps Audrey ferme les yeux. Faut s’habituer à tout, surtout en captivité. Et moi je n’en peux vraiment plus lorsque Lise ôte sa main de ma bouche.
- Tu veux peut-être nous dire un petit quelque chose Paul ?
- Faut que je pisse.
Ils éclatent de rire mais ce n’est vraiment pas drôle : je me retiens depuis un bon moment et là je vais me pisser dessus. Le regard d’Audrey est…je ne sais pas dire ce qu’il m’envoie, elle doit me prendre pour un toquard : j’ai le moyen de crier, de les insulter, de les mordre et non, rien de tout ça car mon physique a pris le dessus et il faut que je pisse avant de nous tirer de ce foutoir. D’essayer de nous tirer de ce foutoir. Elle se relève et vient devant moi. Son entrejambe a un peu gonflé, ma chaussette est bien au chaud. Elle la retire en la frottant longuement sur son vagin.
- Il y a de quoi pisser sous la tente, retiens toi 5 minutes encore et ouvres la bouche.
Ma chaussette file dans ma bouche et comme Audrey, l’adhésif fait le tour de ma tête plusieurs fois.
- Faut que je pisse…on nous l’avait jamais faite encore celle-là. Ça fait 2 fois gros malin.

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Télémaque
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Ce que je déteste : je n'aime pas trop les suspensions compliquées, ni les positions où l'esthétique prime sur la simplicité et l'efficacité.
Je n'aime pas non plus ceux qui se prennent au sérieux, dans le bondage comme ailleurs.
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Re: Camping Paradis.

Message par Télémaque »

J'aime bien ton histoire Sdc, c'est assez rare ici que ce soit un garçon à la place de la did.
La suite est elle prévue ? en tout cas je l'attends... ;)
Les liens qui libèrent...

sdc2
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Ce que je déteste : Voir au-dessus.

Re: Camping Paradis.

Message par sdc2 »

Bienvenue chez nous.

C’est quoi ce bordel ? Je ne comprends strictement rien, je me suis laissée faire sans broncher sous les yeux de Paul. En même temps lui n’a pas dû tenter grand-chose non plus vu qu’il est presque nu et ligoté. Et il bande… Je n’arrive qu’à gémir, ce bâillon est terriblement efficace : une chaussette, des tours de rubans adhésif et plus rien ne sort de ma bouche. Mais je dois avaler toute la salive que cette chaussette me fait avoir et je n’aime pas ça. J’arrive à être dégoutée de ce petit détail alors qu’ils viennent de nous jeter au sol dans leur vaste tente. C’est une tente de l’armée, on peut s’y tenir debout facilement et elle a un sol en polyester. Même dans une telle situation il faut que je fasse attention à ce genre de détail. Et dire qu’en plus je leur ai conseillé cet emplacement pour qu’ils soient tranquilles : putain quelle conne. Nous n’avons rien à voler ici, je ne vois pas ce qu’ils ont à gagner en nous enlevant. Ce n’est quand même pas croyable qu’il m’arrive un truc pareil. Enfin qu’ils soient d’abord tombé sur Paul, qu’ils aient décidé de l’enlever, puis de venir ici avec sa voiture…et si…non, faut que j’arrête de me faire des idées. Pourtant la situation à laquelle j’assiste est surréaliste : Paul est à genoux, slip baissé, toujours en érection, Lise le tient d’un bras autour de son torse et de l’autre elle récupère le puissant jet d’urine dans un seau. C’est n’importe quoi. Mais je commence à comprendre ce qu’ils attendent de nous.
- Et dire que je me plaint que nous devons pisser assises alors que pisser en érection c’est assez compliqué !
- Et avec les mains attachées ausssssmmmmmmmppppppffffffff
Marc vient de lui remettre la chaussette dans la bouche et déroule le ruban adhésif autour de sa tête. Le rouleau est fini. Paul a fini lui aussi. « Et voilà. Les dernières gouttes sont pour moi. » Lise pose le seau et s’approche du barreau de Paul. Elle passe 3 coups de langue rapides mais délicats. « Mmmmmmooooonnnnnnn ». Traduction : non mais oui. Le 4ème coup de langue est plus long, il se termine par un baiser sur son gland. Elle insiste une dernière fois sur son gland puis me regarde en se léchant les lèvres pour n’en perdre aucune goutte. Complètement tarée. Dorénavant je ne me fais plus aucun doute sur leur motivation.
Paul gigote comme un malade après ce « baiser ». Pourtant il se laisse ligoter les pieds, sans les bouger, par une petite corde qui semble très bien serrée. Seule la partie centrale de Paul est active, le peu de force qu’il lui reste doit être concentrée dans sa bite. Faut dire que cette salope vient de le reprendre dans son étreinte et elle y va fort en le masturbant. Son slip va éclater. Je pensais qu’il mettait des boxers comme tous les mecs et bien non. Il est très à l’étroit dans ce petit mor…
- Mmmmmmppppfffff mmmmmoooooooooopppfffff !!!
- Et bien ma jolie, on n’aime pas quand je lèche tes pieds ?
Ce salaud n’est pas en train de me les lécher, il me les dévore ainsi qu’une partie des tongs. Je retire rapidement mon pied de sa bouche mais comme les 2 sont attachés, ils tentent une évasion. En vain. Je ramène mes pieds vers mes cuisses et le mec rigole. Pourtant il n’y a rien de drôle.
- Tu ne vois pas qu’elle n’attend que ça ! s’exclama la masturbatrice.
- Hé hé je crois aussi.
Que j’attends quoi exactement ? Je gigote de plus belle en voulant essayer de sortir de la tente. Il me saisit par les chevilles, me lève les jambes et retire le scotch qui retient chaque tong à mes pieds. Une fois mes tongs jetées à terre, il s’empresse de me lécher les orteils. Je sens sa langue passer entre mes doigts de pieds, c’est horriblement dégueulasse mais terriblement efficace, et ce connard le sait.
- MMMMMMmmmmmmmmmmmmmmmoooooooonnnnnnpppffffff mmmmoooonnnnnn.
- Tu résistes beaucoup moins que ton ami…tu te laisses faire, c’est très pratique.
- Chacun ses envies ! s’exclama l’autre salope en baissant le slip de Paul. Il a une terrible érection. Et moi je commence à me laisser aller. C’est pas croyable.
J’ai mon cul qui se lève du sol à mesure que Marc gobe littéralement mes pieds. Puis il envoie valdinguer mes jambes violement au sol. Mon buste se tourne et mes seins se retrouvent encore plus compressés dans ma doudoune. « Ca va exploser. J’ai hâte de te préparer pour la suite. » La suite, faut que je me démerde pour alerter au moins les voisins. C’est un couple de jeunes italiens, je ne parle pas italien mais ils devraient comprendre la situation en me voyant. Et puis je ne parle pas tout court. Je me lance dans une tentative qui s’annonce perdue d’avance en voulant sortir de cette tente. La blonde est occupée avec Paul qui ne communique plus que par des onomatopées. Je rampe, je roule un peu, je rampe à nouveau en essayant d’atteindre la sortie…de toute façon même si j’y arrive il me reste encore une bonne dizaine de mètres par la suite pour arriver au chemin principal. Avec mes pieds j’essaie de prendre appui sur la surface lisse du sol de leur tente afin de me déplacer plus vite. Ce n’est pas évident car ça glisse. Mes gros orteils font leur maximum, inutilement. Marc passe devant moi sans courir. Il va me préparer pour la suite et je l’appelle par son prénom. Génial, c’est très encourageant. Il a eu le temps d’aller chercher un rouleau de ruban adhésif orange dans leur van et de revenir.
- Quelle vitesse ma belle.
- Ta captive est aussi lente que celle que j’ai entre les mains ! Et c’est tant mieux.
A ces mots, je jette un coup d’œil vers Paul et cette connasse. Paul a les yeux en l’air, assis les jambes en avant, le slip baissé jusqu’au bas des cuisses et elle est positionnée derrière lui : une main sur ses testicules et l’autre en train de lui caresser lentement son sexe. Il ne gère plus rien. Je ne sais pas s’il en a envie mais je ne veux pas subir ça alors je repars de plus belle vers la sortie en tentant d’hurler.
- MMMMMMMPPPPPFFFFFFFmmmmmmooooooooonnnnnnnnpppfffffff
- Aller on revient vers nous. Audrey tu nous as choisi un bel emplacement, on va te récompenser. Considère cela comme un pourboire, me dit-il avec une voix mielleuse.
- Un très joli pourboire même : avoir la chance de vivre à la montagne avec en prime l’immense bonheur de découvrir ce que nous faisons généralement en ville. Vous allez partager notre bonheur !
- Bien dit. Mais il va falloir déguerpir et s’éloigner rapidement de ce trou.
- Ne t’inquiètes pas, on s’amuse d’abord et on verra après.
- Ouais. On nous retrouvera facilement dans cette vallée et puis…
- Ferme ta gueule et profites d’Audrey. Après tout elle nous a bien dit qu’il ne fallait pas hésiter en cas de besoin, non ?
- NNNNNNNNNOOOOOOOPPPPPPPMMMMFFFFFF
Salope. Le mec m’a prise par les pieds et il vient de me plier les jambes de manière à ce que mes pieds touchent mes fesses. Et le voilà qu’il déroule de l’adhésif. Mes pieds sont collés sur mon cul, il a fait un certain nombre de tours de rubans adhésif et me voilà incapable de déplier mes jambes.
- Chéri c’est un hogtie bas de gamme que tu me fais là, je suis déçue.
- On va dire que c’est une entrée de gamme. Ses cuisses ressortent encore plus comme ça. Et puis elle est encore habillée, pas comme ton jouet !
Ils rigolent de leur blague maintenant. Je tire sur mes pieds, je me tourne, j’essaie de bouger dans tous les sens…sans effet. Je suis encore habillée mais pour combien de temps. Je cherche à croiser le regard de Paul, mais celui-ci est dans une autre dimension. Comment peut-il prendre du plaisir dans cette situation ? C’est impossible, vraiment je ne comprends pas. Ou je ne désire pas encore comprendre. « Je me répète mais ta jolie poitrine va faire exploser le tissus de ta doudoune. ». Et le voilà en train de me palper les seins. Je remue mais il ne se passe rien. Ah si, il continue toujours. Et merde. A regarder Paul et avec ce connard qui me malaxe les seins, je commence à être encore troublée par ce qui nous arrive. Il commence à s’en rendre compte en me touchant et il cherche même à titiller mes tétons par-dessus mes fringues.
- J’adore ces doudounes tu sais. Elles ont un touché lisse, on dirait de la peau. Mmmm je les ai presque trouvés, ils commencent à raidir.
- La sienne est raide depuis un moment !
- Qu’est-ce que tu es lourde.
Je suis d’accord avec lui, cela risque d’être le seul moment d’ailleurs.
- Tu aurais dû la déshabiller et lui remettre sa doudoune comme tu aimes bien.
- Je te donne des conseils pour ton jouet moi ? Non alors fais ce que tu veux.
- Ca va venir. Je ne parle pas de toi mon petit Paul, hein ? Je parle de ton amie Audrey qui va se retrouver comme toi, à avoir du plaisir.
Et je n’aurai pas le choix. Ce bâtard continue avec mes seins. Puis il enlève une main. Ouf. Pour la mettre aussitôt sous mon short, et directement au point sensible. Le voici en train de me caresser et de me passer quelques doigts sur ma culotte…le tissus rentre maintenant dans mon vagin. C’est mort. Avoir mis un short aussi court aujourd’hui. Inutile de m’en vouloir car ils sont déterminés. Merde. Et…non…mes tétons commencent à durcir je le sens. Et lui ne va pas tarder à s’en rendre compte vu que ma poitrine est complètement sous pression avec le ruban adhésif si serré en dessus et en dessous mes seins.
- Et voilà, notre Audrey pointe.
- Et notre Paul va faire le geyser.
- Alors arrête tout on va les préparer pour la suite. Amène-le vers moi…ou vers nous devrais-je dire.
Je me laisse aller et je ne peux rien tenter : je ne fais que subir. Si pour Paul c’est la même chose alors on est mal. Vu son visage cela ne peut-être que la même chose pour lui. Leur résister ne sert à rien, sauf à leur donner encore plus de plaisir. J’espère que Paul l’a bien compris, vu comme il n’a pas encore jouit je pense que non. Dommage pour nous.
Lise traine Paul par les pieds tout en me montrant son cul dans son cycliste rouge : cette salope prend du plaisir aussi vu l’auréole qu’il laisse entrevoir. Je l’appelle Lise maintenant, je me laisse vraiment aller. Paul fini par croiser mon regard et il n’y a aucun réconfort dans le sien, on est mal parti. Il ne se débat pas. Moi non plus d’ailleurs.
- Tu me passes les ciseaux pour que je leur découpe slip et short ?
- Et s’il te plait, c’est de trop ?
Elle se baisse vers moi avec un large sourire. Une de ses mains me prend par les joues durement scotchées. Et elle appuie. Je sens la chaussette se compresser et ma langue qui s’appuie sur mon palais pour essayer de lui faire de la place. « Et il veut que je sois polie en plus. Tu as de la chance de ne pas pouvoir parler. » Sale pute, c’est sûr que ligotée et bâillonnée je suis docile. Elle me jette le visage en arrière et se relève. « C’est bon je vais les chercher. Et on attaque. Mais d’abord je vais jeter un coup d’œil à ton portable ma belle. ».
Mon portable…avec des SMS on peut faire croire n’importe quoi. Avec la parole aussi vu que je me retrouve dans cet état.

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Re: Camping Paradis.

Message par sdc2 »

Pigeon voyageur.

- Je te laisse t’occuper d’eux pendant que je m’occupe de leurs portables. Je veux juste qu’il soit nu et ligoté sur mon sac de couchage. Avec les cordes en chanvre s’il te plait, j’adore cette odeur. Combinée avec celle de son foutre ce sera parfait.
- Tes désirs sont des ordres. Une préférence pour le bâillon ?
- Oui le bâillon-boule rose, le petit. Sauf si tu le veux pour ta chienne.
- Non c’est bon je lui réserve le harnais inauguré par notre Paulo.
- Et puis non pour la boule rose. Regarde si la capuche d’Audrey s’enlève et tu t’en sers comme bâillon.
- Un coup chienne, un coup Audrey…t’es hésitante ce soir.
- Pourtant non.
J’aime regarder Marc ligoter nos victimes, bien assise dans un fauteuil. Aujourd’hui de camping vu que ce n’était pas prévu. Jusqu’à présent aucune proie ne s’est enfuit durant nos escapades. Mais ce Paulo a de la ressource, je me méfie.
- Commence par Paulo s’il te plait, il est combatif ce coquin.
- Ce n’est pas très galant mais bon, c’est ce que je comptais faire pour ensuite être tranquille avec ma belle. Je te le ligote au lit de camp aussi ?
- Oh oui, comme dans l’épisode de Tarzan. Paaaaarfait.
En tant que femme j’aime bien faire durer les voyelles quand je suis émoustillée. Et pouvoir jouer avec mon Paulo ça m’émoustille beaucoup. Marc a sorti le sac de cordes et sors celles en chanvre. Il va le ligoter comme je l’aime : 3 prises pour les jambes et le haut couvert de cordes avec les bras un sur l’autre dans le dos. Normalement il devra être incapable de bouger les poignets et les coudes. Il va lui faire aussi ressortir les tétons, j’aime ça chez un mec ligoté. Je le laisse faire on verra le résultat. Quand à Audrey…cela ne me regarde pas mais je lui mettrai bien un petit académique en lycra ou un maillot de bain brassards et shorty. Elle a une poitrine magnifique, Marc va se régaler. Du moins sa bite surtout vu qu’elle va passer longuement entre ses seins. Bon je le laisse faire faut que je regarde ces portables. Alors…parfait…bien aucun des 2 n’a de sécurité ou de code de déverrouillage. Et ils ont de la batterie. Tant mieux, pas besoin de sortir le chargeur. Je commence par celui de Paulo. Alors qu’a-t-il à me raconter…bien. Classique. Oh pas mal. J’en profite pour me caresser un peu mon entre-jambe, car j’ai bien mouillé en m’occupant de son sexe. C’est trop bon d’avoir 2 mains. Et libres.
- Bon mon petit Paulo soyons sérieux 5 min. Tu as nourrit le chat juste avant que je t’enlève, tu…
- Qu’on l’enlève !
- Ne me coupe pas la parole s’il te PLAIT. Et envoies moi son slip que tu viens de couper que je me frotte un peu avec. Merci.
Je ne vais pas me gêner.
- Donc je disais mon petit Paulo a bien donné à manger au chat, sa copine s’appelle Sophie, il y a beaucoup de sextos entre eux mais rien sur d’éventuels jeux de liens. Ce n’est pas encore dans ce portable que je vais trouver le mot bondage, merde.
- Tu vas encore perdre ton pari, c’est con ça.
- Je fais peut-être exprès de perdre vu que je ne te montre jamais les portables. Finalement ne lui mets pas de corde au-dessus des genoux, je veux pouvoir lui écarter un peu les cuisses. Et pour le bâillon je change encore d’avis : la boule rose s’il te plait. Si la capuche s’enlève tu lui emballe son service 3 pièces avec, bien serré.
- Oui madame.
- T’es un amour. Je continue : des sextos, de la guimauve, de la passion, pas de photos osées non plus. Aller hop, ce sera ta première !
Tout en parlant j’ai récupéré le slip que Marc m’a envoyé pour le fourrer directement dans mon cycliste, juste sur mon vagin. J’aime ça. Je me lève et me rapproche des 3 avec son portable en mode photo. « Je n’arrives pas à voir si tu souris. Ah Audrey s’incruste aussi sur la photo, t’es bien une femme. Reste derrière Paul mon chéri. Voilaaaaaa son sexe en érection et Audrey juste à côté. Souriez ! » J’aime bien cette blague et la photo est prise. « Tu peux continuer le ficelage ». Je ne vais pas envoyer cette photo à Sophie, non quand même pas. Je vais d’abord voir s’il y a moyen de la faire venir ici. Audrey assiste au spectacle du bondage de son ami. Elle doit être impatiente que mon chéri s’occupe d’elle. Enfin moi je le serai. J’entends les gémissements de Paul pendant que je fouille le portable d’Audrey. Elle a en plus les clefs du camping, intéressant tout cela. Nous ne sommes pas des voleurs mais s’il y a de quoi nous faciliter notre fuite demain ce sera utile. Bien sûr Audrey et Sophie sont amies, ça va donc me faciliter la tâche pour la faire venir. Mais je cherche autre chose…bingo.
- Audrey est amie avec Sophie ce sera donc notre troisième guest. Malheureusement Audrey n’a pas de copain…attitré.
- Continuuuuuuue !
Une partie du cerveau de Marc doit être féminin.
- Elle a de jolies photos d’elle avec plusieurs mecs.
- Sur une seule photo ? Laisse toi faire ça sera plus rapide et sans douleur.
- Non un seul mec à la fois. Mais elle est coquine notre Audrey ! Coquine mais soft : pas de cordes.
- Peut-être pas en photos…
- Elle ne montre que ses seins. C’est déjà pas mal !
Marc en a presque terminé avec mon jouet : il est en un magnifique hogtie. Marc lui a fait un joli harnais de poitrine, pour un mec je trouve cela toujours sympa. Le chanvre lui rentre dans la peau, j’adore les traces que cela laisse par la suite. J’en profiterai un peu demain matin. Je continue mes enquêtes de portables alors que Marc s’apprête à changer le bâillon d’Audrey. Je croise les doigts pour que la capuche soit amovible. Je jette des coups d’œil entre les écrans et Marc. Il lui retire les couches successives de ruban adhésif jusqu’à ce que la chaussette soit visible. Audrey ne dit rien. Elle recrache la chaussette sans hurler en bavant. Et elle se met à cracher.
- Hé oh, ce n’est pas toi qui va faire le ménage alors évite de cracher.
- Détachez-nous on ne dira rien.
- Effectivement vous ne direz rien.
- Et c’est moi qui suis lourde !
Marc a un peu d’humour des fois. Il lui dit cela tout en lui installant le bâillon-boule harnais. Et la capuche est bien amovible. « Essuie lui la salive et la bouche avec la capuche avant de faire le joli paquet de mon Paul. ». Marc s’exécute. Le brillant de la capuche devient encore plus brillant. Audrey repousse un peu son visage au passage de la capuche sur sa bouche et sur la boule. Puis Marc enveloppe la totalité du sexe de Paul toujours en érection. Il a bien de la ressource cet homme. Puis il prend les 2 grands lacets noirs et maintient la capuche molletonnée bien gonflé en effectuant un ligotage stricte de son sexe. Un mec lui ligote le sexe et il bande encore. Je vais me régaler à le faire jouir. Le paquet ainsi emballé dans cette capuche noire me fait des frétillements dans mon vagin. Du coup je m’enfonce généreusement son slip bien plus profondément. J’aime être dans de bonnes conditions pour réfléchir à la suite. Mais je ne peux pas m’empêcher d’aller jouer un peu avec ce joli paquet. Paulo est sur le côté, la capuche joue bien son rôle de protection. Je passe lentement ma main sur l’ensemble. Les cordes laissent passer des morceaux de tissus bien gonflés. Je le masturbe délicatement. Je sens un peu du mouillé à travers, ce doit être la salive qui commence à être absorbée. Il me regarde droit dans les yeux. Je le masturbe plus vivement. Ses yeux se ferment…il aime c’est sûr. Je m’arrête net car ce n’est pas le moment et j’ai autre chose à faire. Comme faire venir Sophie.
Pendant que Marc installe mon jouet sur mon lit de camp avec mon sac de couchage, je commence la conversation avec Sophie. Je cesse d’écrire le message car le portable d’Audrey vient d’en recevoir un.
Patron : Tu fais quoi ?
Je lui dirais bien comment elle est mais bon…Restons simple. Patron, elle s’est pas foulée.
Audrey : Je suis à l’emplacement H7, je règle un souci électrique. Paul est là aussi.
Patron : OK. On se voit ce soir ?
Et ben putain, le mystère d’un des mecs est résolu. Soit il se fout de Paul soit il ne veut que sa partie de jambes en l’air.
Audrey : Non pas possible. Demain oui. Je rentre directement avec Paul quand j’ai fini.
Patron : OK.
Il ne veut que sa partie de jambes en l’air.
Audrey : Partie remise. Demain double dose.
Patron : 
Quel homme, même pas une bonne nuit ou une bonne soirée. « Ma petite Audrey ton patron ne pense qu’à ton cul. Mais ça tu dois le savoir. » Elle ne gémit même pas, elle a du tout faire pour le mener par la bite. Trop facile.
Mon jouet est enfin ligoté sur mon sac de couchage bleu et rouge des années 80. En hogtie. Des cordes supplémentaires ont été rajoutées pour un excellent maintien sur le lit de camp. J’ai hâte de jouer avec la capuche. Il s’occupe d’Audrey maintenant, il va mieux s’en occuper que son patron. Je préviens Sophie en attendant.
Paul : J’ai fait un détour au camping pour aider Audrey. On se fait des pizzas ce soir ?
Au vu de l’historique elle répond vite à son chéri. Et hop.
Sophie : A la maison ?
Paul : Non au camping.
Sophie : Tu l’aides à faire quoi ?
Bon on va jouer un peu.
Paul : je l’aide à l’emplacement…
Audrey : …H7 pour un problème électrique !
Message commun de Sophie : Vous êtes trop cons !
Et toi très conne mais tu ne le sais pas encore.
Sophie : Je viens à pieds du coup.
Paul : Oui comme ça ton petit cul sera encore plus ferme.
Sophie : J’aime quand tu me parles comme ça.
Paul : Ben bouge ton cul de rappliquer ici ;-)
Sophie : A tout à l’heure.
Paul : Je t’aime.
Sophie : Je t’aime.
Audrey : Je t’aime aussi.
Sophie : On s’aime tous. J’arrive !
Quelle belle invention le texto. On t’attend Sophie, tu sais où nous trouver.

sdc2
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Re: Camping Paradis.

Message par sdc2 »

Premières activités.

Lise est complètement nue, à cheval sur mon torse, ses pieds sont au niveau de mes oreilles et ils viennent se frotter contre. Je suis donc en hogtie, d’après les dires de Lise, plus ou moins strict car son poids tire ou relâche la corde qui relie mes pieds à mes mains. Je ne vois pas ce qu’elle fait, je ne peux que le ressentir : elle me lèche vigoureusement les pieds puis de temps en temps elle passe une de ses mains sur mon sexe bien emprisonné dans la capuche. Je me laisse aller, inutile de freiner ou de me débattre. Je n’ai toujours pas débandé, même lorsque j’ai uriné. Je ne les ai d’ailleurs pas remerciés d’avoir pu me soulager, du coup mes hôtes risquent de ne me mettre que 2 ou 3 étoiles sur Air B’n’G. Je ne vois pas Audrey mais elle doit être dans la même situation. J’apprécie ce moment, du moins on me force à l’apprécier. Je bave comme une meute d’escargots sur le sac de couchage. Dans la capuche il se passe la même chose mais avec de la sueur. Marc m’a ligoté le sexe dans la capuche et je continue à bander…je dois être aussi détraqué qu’eux. Lise alterne une masturbation lente puis rapide. Le tissu devient collant sur mon sexe et le frein a sauté depuis un moment. Mon sexe encapuchonné est bien au chaud car pour le reste du corps je suis uniquement couvert par des cordes. Et par Lise. Elle n’a plus rien dit depuis qu’elle est sur moi. Sa langue est occupée à passer entre mes doigts de pieds, des fois elle essaie d’en rentrer un entier dans sa bouche. Elle doit avoir vraiment faim .Je gigote un peu mais les liens sont trop serrés et sur le sac de couchage je glisse un peu. Il avait gonflé au début puis il s’est rapidement tassé. Le lit de camp supporte nos 2 poids, un miracle vu sa piètre qualité façon Quechua made in China. Quand je pense que Sophie va se jeter directement dans leurs bras. Putain inutile de refaire la scène, c’est fait et elle suit son cours suivant leurs désirs. Lise descend du lit pour mieux pouvoir me faire basculer sur le côté. J’entraperçois Audrey : elle est nue, chaque pied est attaché à sa cuisse respective ainsi que ses mains. Ses seins sont compressés par un flot de cordes qui passent au-dessus et en-dessous, relié par une corde en V qui lui passe autour du cou. Elle a un peu de bide qui ressort avec ces cordes bien serrées. Marc lui a enlevé ses lunettes et lui a mis le même harnais que je porte. La boule rouge lui fait ressortir ses lèvres pulpeuses ainsi qu’une coulée de salive qui passe de temps en temps sur et entre ses seins. Marc est derrière elle, il doit terminer les nœuds. « Mmmmmmmmpppffff ! » je suis surpris par Lise qui me masturbe rapidement tout en regardant Audrey. Je sens les petites cordes qui passent sur ma bite, ce n’est pas douloureux car la capuche me protège. Et dans pas longtemps elle va recevoir mon jus. Lise ralentit pour finir en délicates caresses, je m’accommode de cette situation. Audrey aussi. Marc vient de se relever et tire le sac de couchage sur lequel elle est assise. Il est à même le sol. Sur ce fait, les plantes de pieds d’Audrey viennent l’une contre l’autre, laissant apparaitre son intimité intégralement vierge de tout poil. Je ne savais pas qu’elle se faisait l’intégral, je la pensais plus sage. Mais depuis les révélations des SMS je revoie ma position et il coïncide avec ce rasage de près. Je finis par voir que Marc est nu lui aussi, il vient s’asseoir à côté d’elle et commence à passer sa bite sur une des mains d’Audrey. Elle garde le poing fermé. Il insiste. Audrey finit par ouvrir sa main et la laisse tendue. Il se frotte joyeusement contre. Elle tourne la tête afin d’éviter son regard. D’une main il vient lui appuyer sur les joues ce qui lui fait ressortir de plus belle ces lèvres. De la salive coule de la boule et Marc s’empresse aussitôt de la récupérer en mettant sa bouche dessous. Puis il vient embrasser la boule pendant que Lise se remet à me masturber rapidement. Elle ne fit qu’un « Mmmmmm » de plaisir en esquissant un large sourire. Je bave encore plus et je me laisse faire. Le spectacle auquel j’assiste m’est imposé, tout est fait pour que je cède à la tentation alors je ne me débat plus. Je lèche la boule qui m’obstrue la bouche en regardant le visage de Lise s’illuminer face à ce spectacle. Elle jette un rapide coup d’œil vers moi. Et c’est tout. Pas un seul mot, ni pour moi ni pour les autres. Les 2 semblent être ailleurs, en plein « boulot ». Au plus elle me masturbe, au plus je gobe ou lèche la boule en lâchant des « Mmmmmmmoooommmpppfffff » de plaisir. Je suis au bord de l’explosion et elle s’en moque. Marc s’est finalement assis à côté d’Audrey, il lui a imposé un main dans la main et avec son autre main il lui caresse son vagin. Je regarde par à-coup car je ferme les yeux de temps à autre. Mon souffle s’accélère, Lise l’a senti et elle accélère le rythme. Le bruit du tissu qui frotte sur mon sexe s’amplifie, je gémis. Je pousse la boule avec ma langue, elle passe encore à une vitesse supérieure. Je ne sais pas combien elle a de vitesses mais elle l’adapte très bien. Lise est une boîte automatique. Et une très bonne, peut-être une Deutsche Qualität. « Mooooffffffpppppppffffffff ». C’est un stop mais elle n’a pas compris. Elle a les yeux sur Marc et elle va me finir sans un regard vers moi. Je ferme les yeux, serre les poings, j’essaie de déplier mes jambes, ce qui n’a pour effet que de tirer sur mes poignets. Et elle arrive à ses fins : je tousse vaguement dans mon bâillon et j’éjacule. Je tremble un peu lorsque Lise se tourne enfin vers moi. Enfin je l’imagine s’être tournée vers moi car j’ai gardé les yeux fermés. Je sens mon jus couler dans la capuche et tout le long de mon sexe. C’est tiède. « Je veux que ton foutre passe à travers le tissu. Je vais l’y aider. ». Aux paroles de Lise, j’ouvre difficilement les yeux, j’aperçois une crinière blonde bouger puis disparaitre. Je ne sens plus ses mains sur mon sexe. Mais il est bien au chaud dans une capuche remplit de ma semence.

Paul a fini par succomber, je suis donc la prochaine en attendant Sophie. Ma position semble plus confortable que celle de Paul, mais le résultat est identique : entravée et livrée à ces 2 tarés. Avec tout ce que j’ai pu faire jusqu’à présent, je n’avais pas encore essayé d’être ligotée. Du bondage d’après les dires de la salope blonde. Mains, cuisses et pieds ligotés ensembles: astucieux et efficaces. J’apprécie moyennement la compression de mes seins et le fait que ce connard me tienne la main, finalement je préfèrerai le branler. C’est ce qu’il va arriver de toute façon. Dans le meilleur des cas bien sûr. La boule dans ma bouche me fait saliver comme ce n’est pas possible, j’ai l’impression qu’il en tombe des litres. Mes seins pointent sévèrement. Enfin il me lâche la main et vient jouer avec mes tétons. Puis il finit par venir les mordiller. Paul est dans un autre monde depuis qu’il a joui, ses yeux alternent présence et disparition. Et Lise elle…elle…j’arrive encore à être choquée alors que cela ne devrait même pas. Lise a détaché une partie de ma capuche qui emprisonnait le sexe de Paul et elle commence à sucer la totalité du paquet. Elle est gourmande : capuche et sexe. N’importe quoi, ou plutôt chacun ses envies. Marc mordille toujours mes tétons alors que ma salive lui coule sur la tête. Il ne peut qu’apprécier, c’est une certitude. Lentement il vient passer sa bite sur mes seins, caresse son gland avec mes tétons. Sa bite finit aussi sur mon visage, puis sur la boule dégoulinante de salive qu’il s’empresse d’étaler avec sa main sur son barreau. Il continue de me caresser les joues avec son gland désormais baveux. Je lâche un « Mooooommmppppffffffff » aussi clair que possible. Même moi je ne sais pas très bien ce que j’ai voulu dire. Je commence à bouger mes mains, si cela peut lui faire comprendre que je préfère le branler au lieu de subir cet affront…et il les regarde bouger. Mes pieds se frottent sur le duvet bleu. J’aime bien cette sensation satinée et je commence à mouiller un petit peu. Je bouge mes mains encore plus, mes cuisses en subissent les conséquences et commencent à me chauffer sous les cordes. Marc est imberbe, tout le contraire de Paul. Je préfère le type méditerranéen mais ais-je le choix ce soir ? Il finit par mettre sa bite dans ma main droite. Je la ferme délicatement sur son sexe et il entame une série de paisible va et vient. Il ne me regarde même plus, de temps en temps il vient lécher la boule me réduisant au silence sans un seul regard. Flippant. Mais excitant. Alors que j’exerce diverses pressions sur sa bite, le voilà pris d’une furieuse envie de me doigter. Ou plutôt de me « mainer » si je peux me permettre vu qu’il essaie en vain de faire rentrer sa main dans mon vagin ! Lui qui est pourtant grand ouvert, sa main ne rentre pas. Et c’est tant mieux. Il me fait des sortes de caresses efficaces tout de même, je commence à bien mouiller et à perdre pied. Au faire et à mesure que je le branle, je tire sur mes liens qui ne bronchent pas. Du très bon boulot de ficelage, enfoiré. Il ne me reste donc plus qu’à le faire éjaculer en silence et lui à me faire jouir. Je serai silencieuse également. Les mouvements s’intensifient, il m’embrasse sur la boule maintenant. Il pousse des petits « mmmmmm » de plaisir. Et Lise continue de sucer ou plutôt d’essorer ma capuche remplit du foutre de Paul. Elle se passe également son visage sur la capuche désormais trempée. C’est du propre. Je sens que Marc ne va pas tarder à tout cracher lui aussi. Je lui comprime un peu le sexe pour voir sa réaction. Et elle ne se fait pas attendre, il me met une petite gifle sans me regarder. Elle fut petite mais elle a bien claqué ! Ok je ne vais pas trop l’exciter davantage et le finir rapidement afin qu’il me crache sa purée au visage. Je le vois venir de loin ce connard. Il ouvre enfin les yeux et dit « Lise bouge-toi ça vient. ». Elle a encore en bouche le mélange foutre/salive/capuche, laisse-là donc finir mon petit Marc. « MmmAaaaammmiivvvvveeee ! »…elle a dû vouloir dire j’arrive. Elle retire tout ce qu’elle avait en bouche et se précipite vers nous. J’ai à peine le temps de sentir le jus de Paul dans ma main qu’il se retire rapidement et que les voilà en train de se pénétrer ! J’hallucine. Ils se pénètrent devant nous. Je n’ai plus mes lunettes mais je vois encore à peu près. Paul gigote de plus belle sur le lit de camp, du coup je profite de ce moment de répit pour essayer de tirer sur mes liens une nouvelle fois. Peine perdue. Et puis je n’ai pas encore joui contrairement à Paul. Je suis pour la parité, enfin dans certains cas. Ils finissent par se mettre au sol toujours bien ancrés l’un dans l’autre.
- C’était intense ce soir. Plus que d’habitude en tout cas.
- Oh que oui, dit Lise. Ça peut marcher cette fois-ci. Mais ne nous arrêtons pas là et mettons toutes les chances de notre côté.

Alexandre Tape
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Ce que j'adore : Le duct tape
Les ziptie
Le réalisme
Le bondage
Les cordes
Les mennottes
Ce que je déteste : Le non réalisme

Re: Camping Paradis.

Message par Alexandre Tape »

Tellement excitant :)

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