En Sarthe dans la commune de St Liboire vient d’ouvrir une clinique très spéciale : en effet elle est à spécialité psychiatrique mais son directeur et les médecins souhaitent expérimenter des méthodes axées sur le bondage afin de faire jouir les patientes qui sont vierges et dépressives. Ainsi elles pourront connaître les joies du sexe et seront aptes à se trouver un compagnon qui si possible aime ce genre de jeux coquins. C’est le château de Tilleul d'Amour qui abrite cet établissement et qui héberge 15 patientes dans un premier temps.
Chapitre 2 :
Chaque patiente porte un uniforme afin de se conformer aux règles de la clinique. Le directeur adorant le cuir, il impose cette matière pour les habits de tous les jours. Ainsi, chaque malade porte une minijupe en agneau noir couvrant à peine le tiers de la cuisse, des bottes Buffalo à talon bobine de 12 cms de haut, des collants opaques noirs, un chemisier blanc en soie et un perfecto en agneau noir complètement ceinturé et fermé ainsi que des gants opéra assortis. Pour l’extérieur elles portent un trench en cuir noir Claudie Pierlot ¾ longueur.
La coiffure est identique pour toutes : cheveux longs tombant sur les épaules bruns, avec des frisous dedans, ou bien coiffés en chignon avec une mèche tombant sur l’œil gauche.
Seul bijou autorisé : des créoles sur les oreilles.
Chapitre 3 :
Chaque matin, la patiente est réveillée à 8h. Petit déjeuner copieux, habillage puis vient le temps des groupes de parole. Toutes n’ont aucune expérience sexuelle et sont là pour découvrir des jeux coquins. 3 sexologues font partie de la maison pour les motiver et leur expliquer les joies du bondage. Ensuite elles peuvent profiter d’un parc de 6 hectares pour discuter entre elles jusqu’à la fin de la matinée. Conditions expresses : pas d’alcool ni de tabac, sinon c’est la punition suprême que je décrirai en fin d’histoire.
Chapitre 4 :
L’après – midi, vient le temps des expériences bondagesques, par séance de 4 h à chaque fois pour bien faire profiter les patientes de leur condition d’esclave.
Préalablement à chaque bondage, la patiente est très sévèrement bâillonnée avec un foulard de satin noir fourré dans la bouche, 10 tours de tape de bondage, des yeux fermés avec des compresses et du sparadrap, puis la tête est complètement cachée par quatre foulards de soie noire, un au-dessus de la coiffure, un pour cacher les yeux aveugles de la patiente, un OTN gag pour masquer le tape et un foulard noué façon Grace Kelly.
La première séance est un hogtie : on lie les jambes de la patiente avec des cordes, les chevilles, les mains tendues derrière les jambes, puis on noue une corde partant du talon des bottes jusqu’à la tête de la victime. Ainsi elle ne peut plus bouger. On finalise la séance en ajoutant un vibromasseur à sa vitesse maximale qui fait mouiller les victimes au niveau de leur culotte.
Les résultats obtenus sont spectaculaires et les patientes en redemandent.
La seconde séance utilise une chaise : on assied la patiente sur une chaise de bois puis on lui lie les chevilles, les genoux, les jambes, les mains derrière le dossier et on met en valeur sa poitrine en l’entourant d’un chapelet de cordes. Pour exciter sexuellement la victime on lui caresse sa poitrine encuirée jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Une fois ceci fait on l’endort avec du chloroforme pour une sieste bien méritée !
La troisième séance se fait debout : on lie les chevilles des patientes, les mollets, les genoux, les mains derrière le dos, et on met en valeur la poitrine comme la séance pour la chaise. On ajoute un vibromasseur à sa vitesse maximale et on lui caresse les seins parés de cuir. Les résultats sont remarquables car les patientes couinent – heureusement qu’elles sont bâillonnées car toutes les vitres du château voleraient en éclat ! – ont des orgasmes spectaculaires et mouillent à tel point qu’elles tachent le sol de la salle de torture.
Ensuite, vient l’heure du dîner, puis viennent les préparatifs pour la nuit.
La patiente se déshabille intégralement et se retrouve toute nue. On la ligote comme pour la séance debout et on la glisse dans un sac de couchage. Celui – ci est intégralement fermé et la capuche de celui – ci est bien serré sur la tête de la victime. On lui met des bouchons d’oreille, un masque à gaz avec les vitres pour les yeux cachés par des obturateurs et on branche une bouteille contenant un cocktail lytique comprenant 200 mg de Nembutal, 1 comprimé de Nozinan, 1 comprimé de Phénergan et 0.1 mg de Diprivan / kg. Cela lui garantit un sommeil de qualité pendant 12h.
J’ai parlé d’une punition suprême si les règles sur le tabac et l’alcool n’étaient pas respectées : la voici.
La victime garde son uniforme de cuir, mais est intégralement momifiée avec du tape noir, de la pointe de ses bottes au sommet de son crâne, avec juste deux trous pour respirer. Elle est ensuite mise dans une caisse de transport, et renvoyée par FedEx soit chez sa personne de confiance, soit dans sa famille, avec interdiction définitive de retourner à Tilleul d'amour.
En conclusion, je dirai que cette méthode marche puisque nous allons ouvrir deux établissements, à Ligny dans le Loiret et à St Jean de Cheire dans le Puy de Dôme. Preuve que des ingénues peuvent devenir des nymphomanes en puissance en quelques jours !
La clinique du bondage...
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- Ce que j'adore : Les histoires de bondage !
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La clinique du bondage...
Dernière modification par rocame le 11 janv. 2022, 03:44, modifié 1 fois.
Re: La clinique du bondage...
Elle m'a l'air pas mal cette clinique lol. Le protocole est bien expliqué. Si on pouvait avoir le point de vue d'une patiente, d'un médecin ou d'une infirmière perverse ça serait encore mieux
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Re: La clinique du bondage...
Floxy, ton voeu est exaucé ! J'ai eu l'inspiration pour trouver le témoignage d'une patiente qui, tu vas le voir, est assez corsé. Bonne lecture ! :
Chapitre 1 :
Je m’appelle Emilie, j’ai 25 ans et j’habite St Val, en Ardèche. Je n’ai pas de vie amoureuse et ne sait pas ce que c’est que de faire l’amour. J’ai pourtant un physique avantageux, 1,70 m, 90, 95, 90, et une surtout une poitrine de 95 D. Malgré tout, aucune personne n’a voulu de moi et je suis tombé en grave dépression et j’ai envisagé de sauter du pont de l’Artubie, 150 mètres de hauteur, pour en finir. J’ai fini par consulter le Dr DUDENON, psychiatre à Rigorges qui m’a dit ceci « Emilie, il faut que tu connaisses les joies du sexe pour que tu puisses enfin te débloquer sur ce plan-là. Tu m’as dit être amatrice du bondage, je vais donc t’envoyer dans une clinique spécialisée dans l’art de l’entravement et tu m’en diras des nouvelles. » J’accepte sa proposition et 15 jours après je me rends au château de Tilleul d'Amour, situé à St Liboire dans la Sarthe, là où se trouve la clinique.
Chapitre 2 :
Je suis accueillie par le Dr MABUSE, directeur de la clinique, qui me présente les différentes activités de l’établissement, avec les pratiques en vigueur dans la maison. Ce que j’ai caché en revanche est mon alcoolisme, et il est rigoureusement interdit dans la maison, ainsi que le tabac. Je vais essayer de tenir, mais ce sera dur !
Je passe ensuite l’uniforme de la maison qui me plaît énormément : mini-jupe en cuir noir couvrant le 1/3 de la cuisse, collants opaques noirs, bottes Buffalo en cuir noir avec des talons d’une hauteur de 12 cms, un chemisier en soie blanche, un perfecto en cuir noir ultra cintré que je devrai porter tout le temps fermé jusqu’en haut du col et ceinturé, des gants opéra en cuir noir et un trench Gérard Darel fermé jusqu’en haut et ceinturé. Ma poitrine est enfin mise en valeur par cette tenue et j’adore ça.
La coiffure est identique pour toutes : cheveux longs tombant sur les épaules bruns, avec des frisous dedans, ou bien coiffés en chignon avec une mèche tombant sur l’œil gauche. Ça tombe bien, c’est ma coiffure naturelle, d’autres patientes doivent porter des perruques.
Pour le maquillage, smoky eye gris moyen obligatoire, mascara noir et eye liner noir. Pour le rouge à lèvres nous avons le choix, moi je privilégie le rose.
Comme bijoux j’ai droit à une paire de créoles, ce qui met bien en valeur mes oreilles. On me prend en photo sur toutes les coutures puis on me laisse tranquille pour la soirée, le traitement commençant demain et durant 3 semaines.
Chapitre 3 :
Le lendemain matin, je suis réveillée à 8h. Je mets mon uniforme puis je passe au réfectoire où je mange un petit déjeuner somptuaire : fruits à volonté, céréales, café, chocolat, yaourts, on est bien loin de la bouffe industrielle de l’hôpital de Rigorges !
Ensuite, viennent les groupes de parole. 3 sexologues interviennent pour faire partager les plaisirs du bondage aux patientes ! J’ai hâte de passer aux travaux pratiques ! Puis nous avons le droit de nous promener dans le parc de 6 hectares jusqu’à la fin de la matinée, avant un déjeuner copieux et surtout fait avec des produits bios.
Chapitre 4 :
Et voilà l’après – midi où sont tentées les expériences bondagesques pour faire aimer le sexe aux patientes !
Préalablement à chaque bondage, la patiente est très sévèrement bâillonnée avec un foulard de satin noir fourré dans la bouche, 10 tours de tape de bondage, des yeux fermés avec des compresses et du sparadrap, puis la tête est complètement cachée par quatre foulards de soie noire, un au-dessus de la coiffure, un pour cacher les yeux aveugles de la patiente, un OTN gag pour masquer le tape et un foulard noué façon Grace Kelly. J’ai un peu l’impression d’être voilée comme une femme arabe, mais ce n’est pas pour me déplaire, loin de là !
Les Lundis et Mercredis, c’est un hogtie : on lie les jambes de la patiente avec des cordes, les chevilles, les mains tendues derrière les jambes, puis on noue une corde partant du talon des bottes jusqu’à la tête de la victime. Ainsi elle ne peut plus bouger. On finalise la séance en ajoutant un vibromasseur à sa vitesse maximale qui fait mouiller les victimes au niveau de leur culotte. Pour ma part je monte très vite en température et mon premier orgasme vient dès la première séance, ce qui me rend heureuse à en pleurer….
Les Mardi et Jeudi, on utilise une chaise : on assied la patiente sur une chaise de bois puis on lui lie les chevilles, les genoux, les jambes, les mains derrière le dossier et on met en valeur sa poitrine en l’entourant d’un chapelet de cordes. Pour exciter sexuellement la victime on lui caresse sa poitrine encuirée jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme, ou bien on lui met des pinces sur les têtons des seins avec une bonne séance d’électrification. Catherine, une des infirmières la plus perverse de la maison, utilise systématiquement cette méthode. Une fois l’extase atteinte on l’endort avec du chloroforme pour une sieste bien méritée ! Le Dr MABUSE a un fantasme sur les femmes anesthésiées, vous verrez cela dans la procédure du coucher.
Le Vendredi, la troisième séance se fait debout : on lie les chevilles des patientes, les mollets, les genoux, les mains derrière le dos, et on met en valeur la poitrine comme la séance pour la chaise. On ajoute un vibromasseur à sa vitesse maximale et on lui caresse les seins parés de cuir. Les résultats sont remarquables car les patientes couinent – heureusement qu’elles sont bâillonnées car toutes les vitres du château voleraient en éclat ! – ont des orgasmes spectaculaires et mouillent à tel point qu’elles tachent le sol de la salle de torture.
Ensuite, vient l’heure du dîner, puis viennent les préparatifs pour la nuit.
Je me déshabille intégralement et se retrouve toute nue. On me ligote comme pour la séance debout et on la glisse dans un sac de couchage. Celui – ci est intégralement fermé et la capuche de celui – ci est bien serré sur ma tête. On me met des bouchons d’oreille, un masque à gaz avec les vitres pour les yeux cachés par des obturateurs et on branche une bouteille contenant un cocktail lytique comprenant 200 mg de Nembutal, 1 comprimé de Nozinan, 1 comprimé de Phénergan et 0.1 mg de Diprivan / kg. Cela lui garantit un sommeil de qualité pendant 12h. Au départ j’ai un peu de mal à respirer mais l’anesthésiant fait effet en 30 secondes et me voilà au pays des songes en 12h.
Chapitre 5 :
Le séjour se passe très bien mais j’ai de plus en plus de mal à réfréner mes envies d’alcool. Un beau matin d’Avril je vais enfreindre le règlement et ça va me coûter très cher.
Je décide de faire le mur et de me rendre chez Auchan à Sauldres pour acheter une bouteille de vodka. L’hypermarché n’étant pas loin, je m’y rends à pied.
Une fois la bouteille achetée je me rends compte que c’est trop tard pour rentrer déjeuner, je vais donc manger chez Flunch. C’est ce qui va me perdre : nous avons en effet le droit de garder nos portables mais en cas d’infraction au règlement, nous sommes immédiatement géolocalisés et la brigade d’intervention privée de la clinique intervient.
J’en suis au dessert quand 3 agents de la dite brigade rentrent brusquement dans la cafétéria et me neutralisent séance tenante. J’ai droit à un bâillon gonflable qui me prive de l’usage de la parole, mes mains sont ligotées derrière le dos et surtout ma poitrine est entourée de cordes, ce qui rend mes seins gros comme un double airbag de chez Volkswagen. Ils me lèvent brusquement et me font marcher jusqu’au Peugeot Expert de la clinique. Là ils me ligotent les chevilles, les jambes, les genoux et me jettent littéralement au fond du fourgon, comme un vulgaire sac à patates. Je me mets à pleurer car je me demande quel sort va m’être réservé.
Nous arrivons à la clinique, je suis détachée et convoquée séance tenante chez le Dr MABUSE, qui me tient le discours suivant « Emilie, tu as enfreint les règles de la maison, et ça vaut non seulement une punition exemplaire, mais aussi l’exclusion définitive de l’établissement. On vient ici pour former des nymphomanes, pas des picoleuses. Je te confisque la bouteille, je vais la rapporter chez Auchan. Maintenant je vais appeler la plus perverse des infirmières pour ta punition ». Il branche son interphone et dit « Emmanuelle, tu peux venir s’il te plaît ? ».
Là je vois arriver une matrone de 200 kg avec une brouette pleine de rouleaux de tape noir de 5 mètres de longueur, il y en a 50 ! Je vais être impitoyablement momifiée de la pointe des bottes au sommet du crâne, seules mes narines sont libres.
Une fois la besogne terminée je ressemble à une chrysalide noire qui va être renvoyée à l’hôpital de Rigorges par …. Fedex ! Ainsi on me met dans une grande caisse en métal et me voilà transbordée dans le Peugeot Expert, direction l’agence Fedex de Fidoux où je vais être transportée comme un vulgaire colis. Je passe la nuit dans un camion et suis de retour dans ma région le lendemain matin 7h. Ma geôlière m’a tellement bien momifiée qu’il faut des ciseaux de jardin pour me libérer.
Conclusion :
Cette aventure date de 2 mois et je suis toujours hospitalisée en psy à Rigorges, cette fois ci pour me sevrer de l’alcool. Mais cette expérience palvinéenne a été formidable et maintenant je vais m’habiller sexy tout le temps, peut être trouverais je la femme ou l’homme providentiel !
Chapitre 1 :
Je m’appelle Emilie, j’ai 25 ans et j’habite St Val, en Ardèche. Je n’ai pas de vie amoureuse et ne sait pas ce que c’est que de faire l’amour. J’ai pourtant un physique avantageux, 1,70 m, 90, 95, 90, et une surtout une poitrine de 95 D. Malgré tout, aucune personne n’a voulu de moi et je suis tombé en grave dépression et j’ai envisagé de sauter du pont de l’Artubie, 150 mètres de hauteur, pour en finir. J’ai fini par consulter le Dr DUDENON, psychiatre à Rigorges qui m’a dit ceci « Emilie, il faut que tu connaisses les joies du sexe pour que tu puisses enfin te débloquer sur ce plan-là. Tu m’as dit être amatrice du bondage, je vais donc t’envoyer dans une clinique spécialisée dans l’art de l’entravement et tu m’en diras des nouvelles. » J’accepte sa proposition et 15 jours après je me rends au château de Tilleul d'Amour, situé à St Liboire dans la Sarthe, là où se trouve la clinique.
Chapitre 2 :
Je suis accueillie par le Dr MABUSE, directeur de la clinique, qui me présente les différentes activités de l’établissement, avec les pratiques en vigueur dans la maison. Ce que j’ai caché en revanche est mon alcoolisme, et il est rigoureusement interdit dans la maison, ainsi que le tabac. Je vais essayer de tenir, mais ce sera dur !
Je passe ensuite l’uniforme de la maison qui me plaît énormément : mini-jupe en cuir noir couvrant le 1/3 de la cuisse, collants opaques noirs, bottes Buffalo en cuir noir avec des talons d’une hauteur de 12 cms, un chemisier en soie blanche, un perfecto en cuir noir ultra cintré que je devrai porter tout le temps fermé jusqu’en haut du col et ceinturé, des gants opéra en cuir noir et un trench Gérard Darel fermé jusqu’en haut et ceinturé. Ma poitrine est enfin mise en valeur par cette tenue et j’adore ça.
La coiffure est identique pour toutes : cheveux longs tombant sur les épaules bruns, avec des frisous dedans, ou bien coiffés en chignon avec une mèche tombant sur l’œil gauche. Ça tombe bien, c’est ma coiffure naturelle, d’autres patientes doivent porter des perruques.
Pour le maquillage, smoky eye gris moyen obligatoire, mascara noir et eye liner noir. Pour le rouge à lèvres nous avons le choix, moi je privilégie le rose.
Comme bijoux j’ai droit à une paire de créoles, ce qui met bien en valeur mes oreilles. On me prend en photo sur toutes les coutures puis on me laisse tranquille pour la soirée, le traitement commençant demain et durant 3 semaines.
Chapitre 3 :
Le lendemain matin, je suis réveillée à 8h. Je mets mon uniforme puis je passe au réfectoire où je mange un petit déjeuner somptuaire : fruits à volonté, céréales, café, chocolat, yaourts, on est bien loin de la bouffe industrielle de l’hôpital de Rigorges !
Ensuite, viennent les groupes de parole. 3 sexologues interviennent pour faire partager les plaisirs du bondage aux patientes ! J’ai hâte de passer aux travaux pratiques ! Puis nous avons le droit de nous promener dans le parc de 6 hectares jusqu’à la fin de la matinée, avant un déjeuner copieux et surtout fait avec des produits bios.
Chapitre 4 :
Et voilà l’après – midi où sont tentées les expériences bondagesques pour faire aimer le sexe aux patientes !
Préalablement à chaque bondage, la patiente est très sévèrement bâillonnée avec un foulard de satin noir fourré dans la bouche, 10 tours de tape de bondage, des yeux fermés avec des compresses et du sparadrap, puis la tête est complètement cachée par quatre foulards de soie noire, un au-dessus de la coiffure, un pour cacher les yeux aveugles de la patiente, un OTN gag pour masquer le tape et un foulard noué façon Grace Kelly. J’ai un peu l’impression d’être voilée comme une femme arabe, mais ce n’est pas pour me déplaire, loin de là !
Les Lundis et Mercredis, c’est un hogtie : on lie les jambes de la patiente avec des cordes, les chevilles, les mains tendues derrière les jambes, puis on noue une corde partant du talon des bottes jusqu’à la tête de la victime. Ainsi elle ne peut plus bouger. On finalise la séance en ajoutant un vibromasseur à sa vitesse maximale qui fait mouiller les victimes au niveau de leur culotte. Pour ma part je monte très vite en température et mon premier orgasme vient dès la première séance, ce qui me rend heureuse à en pleurer….
Les Mardi et Jeudi, on utilise une chaise : on assied la patiente sur une chaise de bois puis on lui lie les chevilles, les genoux, les jambes, les mains derrière le dossier et on met en valeur sa poitrine en l’entourant d’un chapelet de cordes. Pour exciter sexuellement la victime on lui caresse sa poitrine encuirée jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme, ou bien on lui met des pinces sur les têtons des seins avec une bonne séance d’électrification. Catherine, une des infirmières la plus perverse de la maison, utilise systématiquement cette méthode. Une fois l’extase atteinte on l’endort avec du chloroforme pour une sieste bien méritée ! Le Dr MABUSE a un fantasme sur les femmes anesthésiées, vous verrez cela dans la procédure du coucher.
Le Vendredi, la troisième séance se fait debout : on lie les chevilles des patientes, les mollets, les genoux, les mains derrière le dos, et on met en valeur la poitrine comme la séance pour la chaise. On ajoute un vibromasseur à sa vitesse maximale et on lui caresse les seins parés de cuir. Les résultats sont remarquables car les patientes couinent – heureusement qu’elles sont bâillonnées car toutes les vitres du château voleraient en éclat ! – ont des orgasmes spectaculaires et mouillent à tel point qu’elles tachent le sol de la salle de torture.
Ensuite, vient l’heure du dîner, puis viennent les préparatifs pour la nuit.
Je me déshabille intégralement et se retrouve toute nue. On me ligote comme pour la séance debout et on la glisse dans un sac de couchage. Celui – ci est intégralement fermé et la capuche de celui – ci est bien serré sur ma tête. On me met des bouchons d’oreille, un masque à gaz avec les vitres pour les yeux cachés par des obturateurs et on branche une bouteille contenant un cocktail lytique comprenant 200 mg de Nembutal, 1 comprimé de Nozinan, 1 comprimé de Phénergan et 0.1 mg de Diprivan / kg. Cela lui garantit un sommeil de qualité pendant 12h. Au départ j’ai un peu de mal à respirer mais l’anesthésiant fait effet en 30 secondes et me voilà au pays des songes en 12h.
Chapitre 5 :
Le séjour se passe très bien mais j’ai de plus en plus de mal à réfréner mes envies d’alcool. Un beau matin d’Avril je vais enfreindre le règlement et ça va me coûter très cher.
Je décide de faire le mur et de me rendre chez Auchan à Sauldres pour acheter une bouteille de vodka. L’hypermarché n’étant pas loin, je m’y rends à pied.
Une fois la bouteille achetée je me rends compte que c’est trop tard pour rentrer déjeuner, je vais donc manger chez Flunch. C’est ce qui va me perdre : nous avons en effet le droit de garder nos portables mais en cas d’infraction au règlement, nous sommes immédiatement géolocalisés et la brigade d’intervention privée de la clinique intervient.
J’en suis au dessert quand 3 agents de la dite brigade rentrent brusquement dans la cafétéria et me neutralisent séance tenante. J’ai droit à un bâillon gonflable qui me prive de l’usage de la parole, mes mains sont ligotées derrière le dos et surtout ma poitrine est entourée de cordes, ce qui rend mes seins gros comme un double airbag de chez Volkswagen. Ils me lèvent brusquement et me font marcher jusqu’au Peugeot Expert de la clinique. Là ils me ligotent les chevilles, les jambes, les genoux et me jettent littéralement au fond du fourgon, comme un vulgaire sac à patates. Je me mets à pleurer car je me demande quel sort va m’être réservé.
Nous arrivons à la clinique, je suis détachée et convoquée séance tenante chez le Dr MABUSE, qui me tient le discours suivant « Emilie, tu as enfreint les règles de la maison, et ça vaut non seulement une punition exemplaire, mais aussi l’exclusion définitive de l’établissement. On vient ici pour former des nymphomanes, pas des picoleuses. Je te confisque la bouteille, je vais la rapporter chez Auchan. Maintenant je vais appeler la plus perverse des infirmières pour ta punition ». Il branche son interphone et dit « Emmanuelle, tu peux venir s’il te plaît ? ».
Là je vois arriver une matrone de 200 kg avec une brouette pleine de rouleaux de tape noir de 5 mètres de longueur, il y en a 50 ! Je vais être impitoyablement momifiée de la pointe des bottes au sommet du crâne, seules mes narines sont libres.
Une fois la besogne terminée je ressemble à une chrysalide noire qui va être renvoyée à l’hôpital de Rigorges par …. Fedex ! Ainsi on me met dans une grande caisse en métal et me voilà transbordée dans le Peugeot Expert, direction l’agence Fedex de Fidoux où je vais être transportée comme un vulgaire colis. Je passe la nuit dans un camion et suis de retour dans ma région le lendemain matin 7h. Ma geôlière m’a tellement bien momifiée qu’il faut des ciseaux de jardin pour me libérer.
Conclusion :
Cette aventure date de 2 mois et je suis toujours hospitalisée en psy à Rigorges, cette fois ci pour me sevrer de l’alcool. Mais cette expérience palvinéenne a été formidable et maintenant je vais m’habiller sexy tout le temps, peut être trouverais je la femme ou l’homme providentiel !