Une Feria attachante

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Mars34230
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Une Feria attachante

Message par Mars34230 »

CHAPITRE 1 : Le piège du premier soir ou le secret dévoilé



Nous sommes à Béziers, à la mi-journée du 11 Août, Maëva rêve à la terrasse de son domicile, situé dans le quartier des Arènes, elle sent cette atmosphère particulière dans la ville se lever, elle entend les préparatifs, et, dans quelques heures, elle rejoindra ses « folles », ses amies avec qui elle compose le « club des cinq » … Ce soir et pour cinq jours, la ville héraultaise va vibrer au rythme des bodegas, de la fête … L’année passée, avec ses amies, elles s’étaient lancées un challenge, celui de trouver des surnoms pour la Féria prochaine (il fallait donner son surnom un mois avant l’évènement et la perdante se verrait. Cependant, elle n’avait pas pensé à ce challenge, car entre son quotidien et son côté rêveur, dans sa tête, seuls le plaisir d’être entre copines, l’adrénaline de l’évènement envahissent son esprit…

Maëva est une jeune femme, âgée de 31 ans, avec des cheveux blonds et longs, descendants jusqu’en dessous des épaules, des jolis yeux bleus lagon qui éclairent un visage fin. Elle mesure un mètre soixante-cinq et sa silhouette fine est le résultat d’un métier exigeant en tant que professeur de danse et d’une passion pour le sport, notamment la gymnastique artistique qui développe chez elle une souplesse à tout épreuve. Elle a aussi une autre passion, plus secrète, plus « interdite » qu’elle ne partage qu’avec son groupe d’amies : le bondage et plus particulièrement son côté attaché, impuissant, bâillonné, ce côté de soumission …. Elle est loin de s’imaginer une seconde que cette Feria sera une aventure mémorable….

C’est aux alentours de 17h30 qu’elle se rend chez Sylvie, passionnée de rugby, joueuse dans le XV Féminin, un mètre soixante, dynamique, cheveux bruns attachés avec un chignon, un visage arrondi et une caractère teigneux, comme les demis de mêlée. Elle est la leader de ce groupe de filles. C’est elle qui s’est occupé de préparer les tenues de cette Féria : chaque fille doit porter un débardeur blanc, sur lequel au dos est marqué le surnom choisi depuis l’année précédente, une image et une petite description, et un mini short noir avec des baskets blancs et le traditionnel foulard rouge….

Pour Sylvie c’est :

« LA TEIGNE : elle mord comme un pitbull, aboie fort et n’essayez pas de l’approcher… » avec comme symbole un poing

Les autres filles sont :

Sophie, grande de taille, un mètre quatre-vingt, passionnée de basket surnommée « LA TOUR DE CONTRÔLE : Si on se perd, cherchez Sophie », symbole un avion ;

Pénélope, cheveux noirs, passionnée d’Espagne, de Flamenco surnommée : « L’ESPAGNOLE : Sang chaud & Flamenco ! » symbole un éventail

La dernière est Coralie, cheveux longs ondulés, un mètre soixante-dix, passionnée par le sable, la plage et rêveuse… Son surnom ? « LA PETITE SIRENE : Baignée d’eau et de soleil » avec un coquillage comme symbole….

C’est alors que Maëva se rappelle du challenge et qu’elle a oublié de se trouver un surnom…. Sylvie se présente face à elle avec les trois autres amies et lui dévoilent son débardeur avec son surnom :

« LA MENOTTE : Si vous la prenez par la main, prenez les clés de sa liberté »

Rougissante, elle ne peut refuser sa défaite évidemment mais surtout elle laisse échapper un petit gloussement de plaisir…. De plus, le symbole de Maëva est une paire de menottes… Le groupe de filles ne peut s’empêcher de ricaner de satisfaction, l’aventure ne fait que commencer pour leur amie et Sylvie s’approche de Maëva et lui murmure à l’oreille :

« Ton défi pendant ces cinq jours de Féria est de te trouver un homme qui accepte de t’attacher, te bâillonner et faire de toi sa prisonnière… A défaut, ma chère Menotte, en cas de nouvel échec dans ce défi, tu seras ma soumise personnelle pendant un mois ! Bien évidemment tu goûteras au plaisir des liens, d’un bon bâillon mais surtout d’être soumise, je le répète, et impuissante ! Et qui sait ? Peut-être que tu pourrais devenir aussi mon amoureuse ….» dit-elle en rêvassant

Maëva comprend dès lors que son secret sert désormais de piège et qu’il se referme lentement sur elle …..

Les filles sortent donc vers 20h30 aux abords des Arènes pour se mêler à la foule de la sortie de la messe inaugurale et commencer, jusqu’à 3 heures du matin la tournée des bodegas …. Les sourires des cinq filles ne laissent transparaitre aucune inquiétude ni aucun stress chez Maëva qui pourtant sait la menace qui plane sur elle… Des bières, de la sangria, de la musique et les filles, soudées, unies, dansent ensemble en profitant de la fête… Mis à part quelques hommes un peu trop alcoolisés, qui lui ont passé quelques mains aux fesses, aucun candidat crédible à « verrouiller » la Menotte lors de ce premier soir…. Les cinq filles rentrent donc chez Sylvie, se répartissent les deux chambres de l’appartement mais, tandis que Coralie, Sylvie et Pénélope se partagent la seconde chambre, Sylvie emmène Maëva avec elle …

Une fois dans la chambre, la rugbywoman sort un gros rouleau de scotch noir et dit à son amie :

« Ma petite Menotte, premier échec ce soir, plus que quatre jours … En attendant, tu vas dormir avec moi et tu mérites évidemment une punition … Tu seras donc attachée et bâillonnée pour dormir, allez donne-moi tes mains ! »

Maëva s’exécute, Sylvie ramène les bras de son amie dans le dos, lui attache, par plusieurs tours de scotch, les poignets et les coudes, passant quelques tours aussi autour de la poitrine et du débardeur pour bien fixer sa victime… Ensuite, elle attache les chevilles et les genoux de la même sorte, laissant la pauvre prof de danse prisonnière et allongée sur le lit …

Maëva ne peut à peine se tortiller et un foulard noir est appliqué sur ses yeux …. Quelques frissons traversent son corps elle suit avec crainte mais une confiance en son amie la voix de Sylvie qui lui indique ce qu’il va se passer ensuite…

« Bien, maintenant ma chérie tu vas ouvrir la bouche et te laisser réduire au silence… Je te libèrerai demain matin avant que les filles ne se réveillent… Demain sera un autre jour et on te trouvera un candidat parfait …. Laisse-toi faire… »

A ces mots, la Menotte s’exécute et la Teigne lui insère dans la bouche une immense balle en mousse qu’elle serre par une lanière de cuir au cran maximal… Un gémissement se fait entendre de la part de Maëva, cependant Sylvie ne cesse pas son travail et relie par une bande de scotch supplémentaire les chevilles et les poignets en un hogtie très strict …. Une fois le paquet terminé, Sylvie dit à son amie :

« Bonne nuit ma petite soumise, demain est déjà décisif ma puce … Bisous ma chérie ! »

Une fois que tout le monde dort, Maëva tente quelques tentatives de se libérer en vain … Elle finit finalement par abandonner et s’endort en pensant au choix qui l’attend : trouver un homme qui créera une relation amoureuse et attachante avec elle ou, après les cinq jours de Féria, s’abandonner lentement aux bras de Sylvie ainsi qu’à la soumission…. Le dilemme débute pour notre chère Menotte ….
Dernière modification par Mars34230 le 03 déc. 2022, 12:19, modifié 1 fois.
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Mad Hatter
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Re: Une Feria attachante

Message par Mad Hatter »

Amusante petite mise en situation.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
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geesink
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Re: Une Feria attachante

Message par geesink »

Sympathique histoire! A quand le Chapitre 2!

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Mars34230
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Re: Une Feria attachante

Message par Mars34230 »

Voici la suite…. Désolé pour l’attente il m’a manqué du temps pour écrire….

—————————————

Chapitre 2 : La rencontre du second jour



Le lendemain Maëva se réveille de sa nuit agitée dans les liens imposés par son amie… Cependant, elle a toujours ses bras attachés dans le dos, un armbinder a remplacé le tape, le hogtie est détaché et elle sent des escarpins verrouillés à ses pieds… Soudain, deux bras la soulèvent et la mettent debout… Elle est positionnée face à un miroir devant lequel on lui ôte le bandeau… Quelle n’est pas sa surprise quand elle découvre qu’’on lui a changé sa tenue de Féria de la veille au soir pour une tenue de soubrette en satin, un collier autour du cou et un plateau d’argent fixé à sa taille et relié par une chaine au collier, toujours bâillonnée bien évidemment, les chevilles enchaînées et les genoux reliés par des sangles… Elle entend un ricanement derrière elle … C’est Sylvie ! Elle lui dit :

« Bien ma petite Maëva,

Comme tu peux t’en apercevoir, j’ai changé ta tenue et tes liens pendant la courte nuit … Pour ce matin, c’est le gage convenu avec les filles pour ton échec d’hier soir, tu vas devoir nous servir le petit-déjeuner ainsi vêtue en soubrette… Pour ce soir, on en discutera dans l’après-midi, autour de la piscine, car je ne te garderai pas soumise toute la journée (s’approchant de l’oreille de son amie) Tu ne m’appartiens pas encore … »

Cette dernière phrase fait passer un frisson dans le dos de la pauvre Menotte … Le petit-déjeuner se passe, Maëva est tour à tour fessée, moquée pour son échec de la veille, quelques fois des caresses parcourent ses cheveux… Elle se jure de tout faire pour atteindre l’objectif de se trouver un homme car être la soumise de Sylvie, seule, ne serait pas déplaisant mais face aux copines, l’humiliation est trop forte …. Après cette matinée où elle a été un jouet, la Teigne amène son amie dans la salle de bain, la libère de ses liens divers et de sa tenue de soubrette… Elle lui dit à nouveau :

« Ma petite Menotte,

Ce n’est qu’un aperçu de ce qu’il t’attend si tu dois, après cette Féria, m’être soumise… Pour aujourd’hui, j’ai pris la liberté, vu que tu étais ma prisonnière et que les autres dormaient à poings fermés, d’aller chez toi te chercher une tenue de rechange afin de te prouver que je ne suis pas un monstre… J’ai choisi ta jolie robe blanche décolletée avec la jupe noire et j’ai pris ton joli maillot de bain doré, tu me l’avais caché celui-là coquine (dit-elle en claquant les fesses nues de son amie) …. Allez douche toi et habille-toi, les autres filles sont déjà prêtes, on mange dehors ce midi et cet après-midi c’est la piscine, on va élaborer le plan d’attaque pour ce soir ! »

Après une bonne douche, s’être habillée, recoiffée et maquillée, Maëva rejoint les filles et elles vont manger dans un petit restaurant situé à Valras-Plage en bord de plage … Un moment entre filles et une petite promenade, la soumission de la nuit passée semble un mauvais souvenir. De retour chez Sylvie, l’après-midi piscine est un moment bronzage, baignade et discussions de filles jusqu’aux environs de 17h.

Après, la préparation de la soirée débute, chacune enfile sa tenue de Féria mais, sur l’idée de Pénélope et de Coralie, les deux filles les plus discrètes du groupe, l’idée d’ajouter un ou plusieurs accessoires séduit le groupe de filles, sauf Maëva qui sent évidemment le traquenard se refermer une nouvelle fois sur elle…

Pour Sylvie, l’accessoire est un collier de chaines comme ceux que l’on met aux gros chiens de garde, Sophie quant à elle arbore une casquette de pilote d’avion, Pénélope change son mini short noir pour une robe flamenca, une fleur dans les cheveux et l’éventail à la main. Coralie a, pour accessoire, un collier de coquillages fabriqué à partir des coquillages ramassés à la plage l’après-midi et une coquille Saint-Jacques dans les cheveux…

Maëva pour sa part avait bien deviné qu’encore une fois, entre son surnom et son secret découvert par ses amies elle n’échapperait pas à l’accessoire en rapport avec ses mésaventures depuis le début de cette Féria … Elle se retrouve donc avec une paire de menottes et un bâillon boule accrochés à la ceinture…. Sylvie en profite pour lui lancer avec un rire machiavélique :

« Ma pauvre Menotte,

Tu attiseras la tentation de te rendre prisonnière jusqu’au bout… Ce soir, j’ai comme l’impression que tu vas finir par te faire attraper et que tu finiras la soirée loin de notre petit groupe … »

Après un petit soupir, elle accepte définitivement le défi et pendant l’apéritif que les filles prennent avant d’aller à la Féria, manger et faire la fête, Maëva prend Sylvie à part et lui murmure, d’un ton confiant et provocant :

« Ma jolie Teigne …

Ce soir, je compte bien trouver un garçon et peu importe s’il me passe les menottes, qu’il me bâillonne, j’accepte le défi et ce soir je compte bien gagner ! »

Une fois l’apéritif terminé, les filles s’en vont donc, après s’être vêtues du même débardeur blanc sur lequel est marqué leur surnom et leur petite description et du mini-short noir, la fine équipe a prévu une tenue de rechange pour chaque soir de Féria, soit cinq fois le même débardeur et le même mini-short … Elles passent donc vers 20h30, à la sortie de la corrida du jour dans le flot de foule qui bonde le parvis des Arènes … Elles remontent vers les Allées et s’arrêtent manger dans une casita installée sur l’Avenue Saint-Saëns : paëlla, gardianne de taureau, les cinq nanas profitent de leur repas et Maëva semble perdue dans ses pensées, elle s’imagine en fin de soirée avec un garçon mais elle rêve secrètement qu’elle finira avec ses menottes aux poignets et bâillonnée avec le bâillon-boule, tant ces équipements à sa ceinture la titillent, ce sont pour elle une tentation à laquelle elle doit pourtant résister …. A la fin du repas, les filles reprennent leur chemin vers les Allées Paul Riquet afin d’aller voir le concert au parvis du théâtre des années 90 : Larusso, Charly et Lulu, Les Worlds Apart …Toute leur génération en musique ! Mais sur le trajet, au pied de la statue de Paul Riquet, elles aperçoivent un groupe de cinq garçons, dont quatre sont habillés avec un t-shirt blanc et un jean noir, toujours avec le traditionnel foulard rouge, et le cinquième, un blond cheveux courts en brosse, est habillé lui avec un T-shirt noir et un pantalon blanc, à l’inverse de ses camarades… Sur son T-shirt est floqué « Célibataire » sur le torse côté cœur et au dos une petite annonce :

« Cherche jeune femme attachante et sensible pour nouer de nouveaux liens »

Maëva a repéré ce petit groupe, Sylvie aussi et elle dit , en ricanant, à son amie Menotte :

« Ma petite, il semblerait que ce soit ton jour de chance… Ce petit blondinet lance un appel et ses camarades me rappellent les filles et moi-même pour te caser avec un garçon … »

Elles continuent leur chemin vers le théâtre et voient le groupe de garçons les suivre discrètement. Les filles se mettent en place au plus près de la scène et le groupe masculin un peu en retrait, des messes basses entre les garçons éveillent les soupçons de Maëva ….

Le concert débute, le public présent chante à tue-tête, danse sur les tubes connus de tous et soudain, le garçon blond s’approche de Maëva, elle l’a repéré dès le début de son approche, et il lui dit :

« Bonsoir, je m’appelle Dylan, désolé de venir comme ça à l’improviste, mais je sais que tu as vu ma petite annonce sur le t-Shirt, j’ai aussi repéré ta tenue, ta description sur le débardeur et tes « outils »… Dis moi, est-ce que tu voudrais bien qu’on fasse un peu plus connaissance en s’éloignant de nos petites équipes d’amis et en allant boire un verre un peu plus bas ? »

Maëva hésite un petit moment, le jeune homme attend une réponse et après un court instant, elle accepte l’invitation … Une fois attablés dans un bar des Allées, le Mathis, non loin du concert, après avoir commandé un verre de sangria rougeMaëva entame la conversation :

« Bien Dylan, je m’appelle Maëva, j’ai 31 ans. Déjà ce surnom de Menotte vient de mes amies, elles ont découvert une de mes passions, un peu étrange, un peu inavouable et s’en sont servi pour me donner un gage suite à un pari perdu depuis la Féria de l’année dernière … On y viendra peut-être plus tard une fois qu’on se connaîtra un peu mieux… Je suis professeur de danse et j’ai un loisir c’est la gymnastique… Je suis célibataire, et je ne me suis jamais posé la question de faire des rencontres, car j’aime bien avoir ce côté imprévu, à faire la fête et à laisser venir les choses … Je veux en savoir plus sur toi et sur ta curieuse annonce par contre … »

Dylan pose son verre et réponds donc à Maëva qui se tient face à elle :

« J’ai 33 ans, je travaille dans la publicité. Mes amis m’ont fait ce t-shirt car j’ai été incapable de garder une petite amie … Ils connaissent la raison et eux aussi ont joué avec mon secret … Je n’ai jamais gardé de compagne plus d’un mois car, une fois qu’on arrivait à créer des affinités, j’ai voulu faire découvrir à chaque fille ma passion pour le bondage mais en attachant la fille, la résoudre à l’impuissance et en la gardant silencieuse avec un bon bâillon le temps de « jeux » assez attachants … Sauf que la première expérience n’a jamais été concluante, chacune de mes ex n’aimait pas ce côté prisonnière… »

Surprise Maëva ne peut retenir un petit gloussement … Après avoir commandé un nouveau verre de sangria, elle passe elle aussi aux révélations :

« Je pense que je dois te révéler donc l’origine de mon surnom et les accessoires à ma ceinture… Je suis passionnée par les jeux de liens mais du côté de l’attachée, la prisonnière … Cette « passion » m’est venue dès l’âge de 25 ans, je venais de m’installer en colocation et un jour, avec ma colocataire on a joué au poker mais au bout d’un certain temps, les déguisements imposés, les gages ne suffisaient plus et on a voulu pimenter tout ça, c’est comme ça que je me suis retrouvée, pour la première fois, ligotée, bâillonnée et à jouer la soubrette pendant près d’une semaine … Ensuite elle a dû partir pour des raisons professionnelles loin de France, elle travaille désormais aux Etats-Unis, et quand je me suis retrouvée seule avec mon emploi, mon appartement, j’ai continué à m’intéresser aux liens, bâillons, pratiquant le self quelques fois …. »

Dylan esquisse un petit sourire et fait une proposition :

« Maëva, petite Menotte, que penserais-tu que l’on laisse nos équipes de copains pour ce soir, qu’on leur fausse compagnie et que l’on poursuive cette conversation dans mon appartement, situé vers la Médiathèque ? On pourrait utiliser tes menottes, ton bâillon et jouer un peu tous les deux à se découvrir plus en profondeur …. »

Maëva rougit et elle sait qu’elle meurt d’envie de suivre Dylan, après avoir repris ses esprits et après avoir respiré un bon coup, elle dit avec un ton provocant mais tout aussi sensuel:

« J’accepte ! Tu veux créer de nouveaux liens avec une femme attachante ? Alors prends-moi par la main et prends les clés de ma liberté… Tu as désormais une femme à attacher ! »

Chacun des deux se lève, s’approche de son groupe d’amis et les informe de leur départ… Une fois à l’abri des regards, Dylan attrape Maëva par les poignets, les menotte dans le dos et range la clé dans son jean. Il lui impose ensuite le bâillon-boule qu’il sangle au cran maximum et il l’amène jusqu’à son appartement… Une fois chez le jeune homme, il l’installe sur le canapé et lui fait signe d’attendre gentillement son retour… Il revient au bout de cinq minutes avec des cordes…. Il lui attache les chevilles, au dessus et en dessous des genoux, laissant la pauvre menotte impuissante… Il lui murmure à l’oreille :

« Bienvenue chez moi… Pour ce soir, ce sera ta prison, on va apprendre à mieux se connaître, moi le bondageur et toi ma victime … Demain, on retournera à la Féria voir nos amis et leur montrer notre victoire, moi dominant et toi soumise … Pour l’instant profite de tes liens car la nuit sera blanche et longue…. On a beaucoup de liens à explorer ensemble ! »

Maëva tente de se débattre en vain et comprends vite que son destin est désormais lié à Dylan … Ce qui n’est pas pour lui déplaire mais cela durera-t-il au délà de ce mois d’Août ?
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Re: Une Feria attachante

Message par Mars34230 »

Voici la suite

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Chapitre 3 : Un troisième jour entre liens et romance



Le lendemain Maëva se réveille, simplement vêtue de son ensemble de lingerie, un crotchrope passant sur son sexe, relié aux cordes de ses poignets qui sont venues remplacer les menottes, d’autres cordes se sont rajoutées aux coudes faisant les coudes se toucher vu la souplesse acquise lors de la gymnastique. Son bâillon est toujours en place et un bandeau noir opaque vient masquer sa vision, les liens de ses chevilles sont eux aussi reliés mais aux coudes dans un hogtie très serré, enfin quelques liens viennent passer autour de sa poitrine, elle est dans l’impuissance extrême …. En revanche, il semblerait que la nuit a été agitée, elle n’a aucun souvenir précis de ce qu’il s’est passé dès l’instant où elle a été prisonnière sur le canapé de Dylan. Elle s’éveille donc sur le lit, apparemment elle s’est prise au jeu mais tout a été si soudain qu’elle ne s’est rendu compte de rien …



Dylan rentre dans la chambre, lui met une fessée assez forte pour finir de réveiller sa captive. Il lui dit :

« Bonjour Menotte, ou devrais-je dire ma prisonnière … Voici le contrat pour ce matin, je te détache de ton hogtie, mais tu gardes le crotchrope, je t’amène au salon pour le petit-déjeuner que je te donnerai et que tu prendras attachée …. Ensuite, je te laisserai quelques instants sans bâillon pour qu’on échange de cette nuit, de ton ressenti … »

Il s’exécute donc, détache le hogtie, prend Maëva par les bras, l’amène sur la table à manger dans le salon, la ligote sur la chaise et lui donne le petit-déjeuner : croissants chaud, café, jus de fruits et une fois que la jeune femme a fini son petit déjeuner, il dépose sur ses lèvres un baiser, ne laissant à Maëva qu’un gémissement de plaisir …

Le jeune homme ne s’arrête pas là et il commence son récit de la nuit :

« Hier soir, après que nous soyons rentrés, que je t’ai fait captive sur mon canapé, je t’ai embrassée sur ton bâillon. Ensuite, je t’ai déshabillée, juste laissée en soutien-gorge et en string, tu t’es laissée faire comme si tu avais attendu ce moment, je t’ai d’abord suspendue au plafond par les poignets en remplaçant les menottes par des cordes, je t’ai donné quelques fessées et tu as pris du plaisir … Je t’ai bandé les yeux, retiré le bâillon un instant et tu m’as supplié de continuer, je t’ai embrassé une nouvelle fois, tu n’as opposé aucune résistance… Je t’ai donc remis le bâillon et au bout d’un moment, après t’avoir observé en train de te débattre, je t’ai proposé qu’on aille se coucher, tu as acquiescé de la tête… Je t’ai une nouvelle fois ôté le bâillon et tu m’as demandé de dormir sur le lit à mes côtés, attachée et impuissante, jusqu’à ce matin… J’espère que tu as aimé … »

Maëva rougit, elle se sent à la fois honteuse d’avoir cédé si facilement mais tout aussi coupable d’avoir pris du plaisir… Toujours attachée sur la chaise, elle tente de répondre gênée :

« Dylan…. Je … je ne pensais pas que je prendrais autant de plaisir à être captive, impuissante, chaque lien m’a fait frissonné, les fessées comme si j’étais une mauvaise fille aussi … réduite au silence, je me suis abandonnée à toi sans crainte … Je veux que ça continue encore et encore … Mais je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi … je veux être tienne, tes baisers sont autant de promesses de sentiments que tu pourrais avoir envers moi, mais je veux plus entre nous deux, un véritable amour et des liens à volonté …. S’il te … MMMMPPPPHHHH !»

La prof de danse n’a même pas le temps de finir sa phrase que son hôte lui remet un foulard pour la bâillonner de nouveau …. Il la regarde, lui ôte le bandeau et lui dit :

« C’est vrai que tu es le style de femme que je recherche, tu es jolie, tu es sensible, souriante et tu aimes être attachée, bâillonnée, soumise … Je commence aussi à tomber amoureux de toi mais attends encore un peu, on a encore une vengeance à planifier … Nos amis croient qu’on n’ira pas plus loin que cette nuit mais dans deux jours, ta copine la Teigne sera une soubrette pour 24 heures, prisonnière à tes côtés… Quant à mes amis, ils devront se travestir c’est leur gage s’ils perdent … je vais te détacher et on va profiter de cette journée tous les deux sans liens mais bon quelques baisers, une promenade et un petit pique-nique à la campagne vont nouer une jolie relation… On retournera ce soir à la Féria mais tu seras à nouveau prisonnière des liens... En attendant, tu vas aller prendre une douche et tu iras chercher une tenue pour t’habiller autrement qu’avec ta tenue de Féria, ce soir tu vas changer aussi mais ça c’est une surprise … »

Dylan libère donc Maëva, qui va prendre une bonne douche, après avoir enfilé ses habits de la nuit précédente, elle passe chez elle, prend une robe bleue simple, s’attache les cheveux en une queue de cheval, se maquille pour plaire à Dylan, enfile des chaussures à talon, elle prévoit ses baskets et du rechange dans un sac à dos pour le soir et pour repasser la nuit chez son prétendant… Elle retourne chez le jeune homme, l’embrasse dès son entrée dans l’appartement. Ils prennent la voiture du jeune homme pour aller dans la campagne se promener, pique-niquer et, allongés sur l’herbe, ils s’échangent baisers et câlins pendant presque deux belles heures sous le soleil.

De retour chez le jeune homme, il est temps, après un petit apéritif en amoureux et un petit repas, de s’apprêter pour retrouver le groupe de copains qui attendent de savoir si la relation est partie pour durer … Dylan amène un cadeau à Maëva, après un nouveau baiser, elle l’ouvre et voit une magnifique robe flamenca espagnole avec les épaules asymétriques, rouge en haut et une jupe flamenca blanche à fleurs avec des pois noirs… des boucles d’oreilles rouges, rondes style gipsy, un éventail, un bracelet manchette, et un collier de perles rouges et noires… La tenue complète de l’Espagnole ! Maëva est émue, elle a toujours rêvé de porter ces tenues traditionnelles … Elle va donc dans la salle de bains s’apprêter, se fait un chignon espagnol, une fleur dans les cheveux, du rouge à lèvres bien éclatant et des escarpins noirs … Elle sort se présenter à Dylan et lui dit :

« Holà mi amor ! Tu voulais une Espagnole ? Venga conmigo, Chico ! »

Dylan sourit, s’approche de Maëva, l’embrasse un long moment et lui dit :

« Mucha guapa señorita ! Mais ne fanfaronne pas trop … Ouvre ton éventail devant moi et montre-moi tes poignets … »

Elle s’exécute, une fois les poignets face à elle, l’éventail ouvert, le jeune homme lui attache les poignets avec du tape transparent ne laissant soupçonner aucun instant qu’elle est prisonnière, un nouveau baiser plus tard et la belle danseuse se retrouve bâillonnée avec le même tape transparent ne laissant apparaître aucune trace de son silence. Seules les jambes demeurent libres …. Elle tente de bouger les poignets et de parler en vain… Ils vont vers 21h rejoindre leurs deux groupes d’amis devant la Médiathèque … Les garçons questionnent Dylan qui montre sa prise, sa captive tandis que les filles observent et questionnent Menotte qui ne peut que gémir derrière son bâillon … Sylvie sourit et dit à sa copine en ricanant :

« Bien ma jolie, tu es sublime en Espagnole et je vois que ce blondinet a fait de toi son jouet, attachée, silencieuse, je te vois aussi amoureuse et il semble à la fois fier, protecteur et amoureux lui aussi … Tu as gagné ton pari et j’attends ton gage avec la plus grande impatience … »



La soirée se passe, Dylan ôte le bâillon de Maëva uniquement pour la faire boire … Il n’est pas loin de 3 heures du matin, heure où toutes les festivités se terminent, quand les deux tourtereaux rentrent chez Dylan…Il enlève le tape des poignets et qui sert de bâillon, les deux amants s’embrassent avant d’aller se coucher mais Maëva a une demande particulière :

« Mon chéri, maintenant qu’on a fait nos preuves, je veux demain pour le quatrième jour de cette Féria qu’on se venge de Sylvie … Elle ferait bien dans ta collection en soubrette … Mais pour ce soir, je ne me déshabille pas, je veux que tu m’attaches dans cette tenue flamenco en entier, que tu me bâillonne avec mon bâillon-boule qui est rangé dans ton tiroir, que tu me bandes les yeux mais surtout que tu me fasses l’amour pendant que je suis prisonnière… Je veux sceller ces liens, ces promesses entre nous par les cordes évidemment mais aussi t’offrir mon corps … Je veux que cette nuit soit l’ultime étape de ma soumission envers toi !»

Le jeune homme ne se fait pas prier, il attache les poignets dans le dos, les coudes aussi, plusieurs tours de cordes autour de la poitrine, il met le bâillon-boule, sanglé au cran maximum à sa captive espagnole, il lui bande les yeux avec un bandeau noir, il lie une cheville à un pied du lit et l’autre de l’autre côté, laissant la jeune femme ouverte, prête à recevoir celui qui en 24 heures a conquis son cœur… Il ôte le string de la jeune femme et la laisse ainsi quelques instants, le temps pour lui d’aller se déshabiller …. La nuit promet d’être longue mais la belle captive s’abandonne toute entière, elle dérive lentement vers l’amour et la soumission…..
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”

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Mars34230
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Re: Une Feria attachante

Message par Mars34230 »

Voici le 4e chapitre : on approche doucement de la fin de cette histoire

———————————————————————
Chapitre 4 : Plaisirs innocents, victoire et vengeance



Il est aux alentours de 10 heures et après quelques heures de sommeil, après une nuit torride, agitée et durant laquelle Maëva s’est trouvée électrisée sous les assauts sexuels répétés de Dylan, un coup en étant complètement ouverte, les jambes écartées sur le lit, une autre fois attachée à quatre pattes comme une chienne en chaleur, une autre fois libérée de tout lien se laissant aller sous les coups qui allaient et venaient dans son vagin, une nuit enflammée qu’elle n’oubliera pas, quelques instants aussi à subir le sexe de celui qu’elle aime dans la bouche, récoltant la semence à terme, que la jeune femme se réveille… Elle est désormais entièrement nue, toujours les bras et les coudes attachées dans le dos, quelques tours de cordes autour de sa poitrine, un crotchrope sur son sexe, encore humide de cette fabuleuse nuit, qui frotte encore et forcent Maëva à gémir derrière son bâillon d’un plaisir qui ne cesse pas et ses yeux toujours bandés, laissant uniquement le désir et le plaisir se mélanger avec les chevilles et les genoux prisonniers des cordes et reliés en hogtie toujours aussi serré laissant juste des frissons s’emparer de son corps … Seul Dylan peut y mettre fin en la libérant… C’est à cet instant qu’il arrive donc, retire le bâillon, embrasse Maëva, toujours captive, pendant un long moment (environ cinq bonnes minutes) et la libère lentement cette fois-ci de chaque lien, pour maintenir le plaisir même jusque dans la libération …

Un nouveau baiser plus tard, Maëva tombe dans les bras de Dylan et s’abandonne dans un câlin intense et lui disant à l’oreille, apaisée :

«Merci pour cette nuit, Dylan, Je t’aime … Je ne pensais pas en seulement 48 heures m’abandonner ainsi à un homme mais avec toi, tout est si sécurisant, chaque lien me fait chavirer et je n’ai aucune peur, je me sens en sécurité à tes côtés… »

Il lui caresse les cheveux, la redresse et la regarde dans les yeux. En silence, il masse les poignets et les chevilles de Maëva pour la soulager des longues heures passées dans les liens. La jeune femme va prendre une bonne douche et elle coiffe sa longue chevelure blonde en une tresse, elle se maquille s’habille avec une robe blanche, avec une ceinture noire et des nus pieds blancs avec quelques paillettes dorées sur le dessus… Après un bon petit déjeuner, les tourtereaux s’installent sur le canapé à regarder un film sur Netflix. Maëva pose sa tête sur le torse de Dylan habillé d’un polo noir et d’un bermuda en jean, lui la prend dans ses bras et caresse sa longue chevelure … Un instant d’accalmie après les passions déchaînées de la veille…Après le repas du midi, Dylan évoque ses projets, d’acheter une maison avant la fin de l’année, d’offrir à Maëva sa propre école de danse et surtout que les deux amoureux s’installent ensemble … La joie et l’émotion submergent la jeune femme qui saute au cou de l’homme qui garde la clé de son cœur mais surtout de celui qui la retient prisonnière depuis deux jours déjà… Elle l’embrasse et lui dit d’une voix sensuelle, comme une demande :

« Avant de réaliser ces beaux projets, beau mâle, attache-moi encore une fois ! »

La jeune femme ne contrôle plus ses pulsions, elle ne peut demeurer libre trop longtemps, presque comme une drogue, une voix qui l’appelle… Dylan accepte la proposition, il l’amène dans la chambre, il lui attache une nouvelle fois les poignets, les coudes dans le dos, croise d’autres cordes en huit autour de la poitrine de Maëva , les genoux attachés, les chevilles aussi et Maëva est laissée comme cela sur le lit, le temps que le jeune homme revienne avec le string porté la veille et du tape … Il lui insère le string encore humide dans la bouche et scelle le bâillon avec plusieurs couches de tape sur les lèvres… Menotte ne peut que gémir de plaisir à nouveau… Un masque noir sur les yeux et la voici une nouvelle fois impuissante, aveugle et silencieuse, s’abandonnant à nouveau aux liens et succombant au désir d’être prisonnière … Elle demeure à côté de lui, qui en profite pour faire une sieste, torse nu, pendant qu’elle tente, futilement et sans véritable intention de se libérer, de se débattre, juste pour tester la solidité des liens et en gémissant aussi futilement pour voir l’efficacité de son bâillon, malgré l’humidité du string dans sa bouche… Elle finit aussi par s’endormir en posant sa tête sur le torse dénudé de celui qu’elle aime

Après deux heures, Dylan se réveille et réveille par quelques caresses sa captive, il la détache, il est presque 17 heures, elle demeure dans sa tenue blanche, lui se rhabille et ils s’installent sur le canapé du salon pour un petit goûter et c’est à cet instant que Dylan, discret depuis la veille hormis pour les projets d’avenir, agissant selon le désir de Maëva, lui dit :

« Mon amour, moi aussi je t’aime, j’ai trouvé avec toi la femme qui me complète, qui partage les mêmes passions que moi… T’attacher, te bâillonner sont à la fois ton désir, ton plaisir mais surtout ma passion … Tu es la victime parfaite à qui on veut capturer le cœur, l’âme et qu’on veut emprisonner dans les liens, toi qui es si docile, ça aide … Mais, on a tellement profité pour nous deux qu’il ne faut pas oublier notre vengeance auprès des amis… Je vais envoyer un message à Marc, Pascal, Kevin et Gaëtan pour leur dire ce soir de venir habillés en femme, j’ai pensé à une mini-jupe et un top sans manches, tu en penses quoi ? Quant à tes copines, parmi les quatre, c’est Sylvie qui mène la danse, mais bon tu as déjà suggéré que ce soir, elle vienne ici et qu’elle soit prisonnière des liens mais surtout qu’elle nous serve de soubrette pendant 24 heures, soit pour le 15 août … Excellente idée ! »

Maëva sourit, embrasse encore Dylan, et réponds à sa déclaration :

« Mon chéri, notre relation est partie pour durer très longtemps car rien n’est plus solide que les liens une fois qu’ils sont bien serrés … Pour les 4 Fantastiques, les voir en Pompom Girl serait plus amusant, quant aux filles je les vois bien toutes les 4 prisonnières des liens pour cette nuit mais Sylvie doit être une soubrette pour toute la journée de demain car elle m’a imposé une matinée de servitude en début de Féria comme gage … Je veux lui rendre la pareille ! »

Le jeune homme sourit, acquiesce les propositions de sa compagne et il est soudain à la fois surpris mais serein face à l’assurance de cette fille qu’il a rencontré voici deux jours. Il envoie donc le SMS avec la tenue imposée et le lieu de rendez-vous… Maëva envoie par message le lieu du rendez-vous et propose aux filles de venir dormir chez Dylan après la soirée … Le piège se referme …

Les cinq filles et les cinq garçons, habillés en pompom girls, se rejoignent donc à 20h à la statue de Paul Riquet et vont manger au Cristal en bas des Allées… La soirée se passe par un tour des bodegas, durant lequel les garçons se prêtent au jeu, les filles sont bizarrement plus réservéeset les garçons se séparent tandis que le nouveau couple ramène les filles chez Dylan. Arrivés à l’appartement, Maëva s’absente, va dans la chambre et ramène un paquet qu’elle dissimule dans un placard à l’entrée, la joyeuse troupe boit un dernier verre que Maëva a préparé et est allé chercher dans la cuisine, dans quatre d’entre eux, elle a versé un somnifère et elle distribue les verres piégés à ses amies…. Sylvie, Pénélope, Sophie et Coralie tombent donc de sommeil sur le canapé…

Maëva et Dylan entreprennent donc leur petite vengeance sur les filles : une fois déshabillées en lingerie, Sophie se retrouve momifiée par des tours de tape blanc de la tête aux pieds, bien immobilisée et silencieuse Coralie se retrouve attachée avec du tape noir liants poignets, coudes épaules et l’intégralité des jambes dans une queue de sirène, et plusieurs tours de tape scellant sa bouche … Pour Pénélope, la belle espagnole, Maëva a vu dans son regard et de l’envie avec sa tenue de la veille, elle décide donc de la laisser les bras, les coudes liés dans le dos, suspendus en l’air, les chevilles et les genoux solidement attachés bâillonnée avec une boule de tissu dans la bouche, scellée par un foulard bien serré, elle l’abandonne ainsi exposée au milieu du salon tel un trophée… Arrive enfin le tour de Sylvie, la Teigne soudainement si docile, se voit enfiler la tenue de soubrette noire avec un tablier blanc à dentelles, un armbinder dans le dos, un bâillon boule noir assorti à sa tenue, des sangles emprisonnant ses genoux et ses chevilles, un chignon et une capelette, l’attirail complet de la soumise parfaite avec un collier… Maëva observe ses amies prisonnières, sourit et se tourne vers Dylan, elle l’embrasse un long moment et lui dit avec un petit ton provocant :

« Mon amour, maintenant que la vengeance suit son cours, je suis tout à toi… Tu décides de mon sort, n’oublie pas quand même que j’aime particulièrement être ta captive … »

Les amoureux vont dans la chambre, entrainant par une laisse la soubrette qui s’est réveillée furieuse d’être tombée dans un piège … Ils attachent la laisse au pied du lit, laissant Sylvie à genoux et lui imposant un masque opaque noir sur les yeux … Pendant ce temps, Maëva se déshabille, laisse Dylan l’attacher comme ce matin, nue en hogtie avec un crotchrope, le bâillon boule, un bandeau noir sur les yeux… Il lui murmure à l’oreille une fois apprêtée :

« Ma petite femme, maintenant qu’on a gagné face à nos amis, tu es ma prisonnière à vie, profite quelques instants de ces liens car bientôt, tu ne pourras plus retenir ni ton plaisir ni tes gémissements… Je te promets un flot d’orgasmes et ce sera désormais ton quotidien. »

Des frissons parcourent déjà son corps, ses sens s’éveillent et la jeune femme attend désormais la clé qui va ouvrir sa porte des plaisirs, elle se prépare une nouvelle fois à abandonner tout contrôle … Elle a succombé aux jeux interdits, aux plaisirs coupables ….
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Re: Une Feria attachante

Message par Mad Hatter »

:bravo: Et bien c'est une histoire qui a avancé d'une traite. :dada:
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Re: Une Feria attachante

Message par Mars34230 »

J’avais déjà tout cela en préparation mais encore une fois le temps de le retravailler et de l’éditer me manquait…. Ça a accéléré j’espère pouvoir écrire la fin avant la fin d’année 😅😅😅
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Re: Une Feria attachante

Message par Mad Hatter »

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Re: Une Feria attachante

Message par Red Sonja »

perso j'adore

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